Tumgik
#tapoti perpétuel
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there, it's done <3
i created this symbol for the Tapoti. it has many meanings in that world, but for me it's about perseverance and change in the right direction. it's a reminder that things can get better, an encouragement.
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daelf-tapoti-blog · 5 years
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had forgotten how soothing it is to draw and see this on my wrist.
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oyme · 8 years
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T.— Hi. Oyme is not very good at beginnings and introductions, but when I told em about the possibility of corresponding with people from ‘Earth-that-was’, ey said ey was interested, especially since ey don’t have much to do right now. So ey asked me to arrange it and provide some very basic info, just to get things going. Have some portraits:
1/ Young Oyme (wasn’t ey cute in eir emo period?) Age: 20, 25 years at most.
2/ Oyme when staying at eir familiy’s home in Styllà, after eir work on the Spires was done. Hair was lightened and done in a certain style to ensure that people who knew em would not recognize em. Age: too old. It’s complicated, I’ll let em deal with that… if ey want to explain.
3/ Later, with eir Blade, when ey goes back to the Spires with some pilgrims.
4/ Fatolg Byrr, when ey was teaching the minor hunts to emo Oyme
… There, it’s done. I don’t plan on intervening directly again. Have fun!
O~ Whoah, okay – hi. The portraits are not very accurate, as the artist has never seen any Hjinza… We can receive image or sound from em— sorry, her— but we can’t send any, just text… Tbatis gave her detailed descriptions, but humans look very different from us and it’s difficult to get something accurate, especially using old English… Well, old for Tbatis, that is.
But this is accurate enough for you to get how different we are, for now. Now let’s talk.
(… and thanks, Tbatis. Despite the ridiculous comments and references. Now shut up.)
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*kof kof*
OYEZ O— ouais non.
voilà, je retente, encore, de publier le tapoti sous forme de feuilleton.
des humains à qui on avait promis une planète vierge préparée exprès pour eux, qui aterrissent sur une planète déjà occupée par une bonne demi-douzaine d’espèces intelligentes.
tbatis, l’androïde qui les a menés jusque-là, ou presque.
oyme, un hjinza, l’espèce qui domine la région où le vaisseau s’est échoué.
et syjalya, son ami d’une espèce rare et mal connue, souvent confondue avec des dieux…
ce n’est pas l’histoire des humains. ils ne sont que le grain de sable en trop dans une région où les relations entre différents peuples de hjinzas sont déjà tendues.
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my problem with my writing is that… the process is intense.
that’s a phrase i just found somewhere else, and it’s accurate for me too, though in a different way than the one that was illustrated there.
i have to put myself in the shoes of my characters.
ALL of them.
it’s frequent that, if i’m stuck and don’t know how someone will react in a scene, i’ll start over from their point of view, and try again.
or unravel a LOT of their life up to this point, if the moment is especially significant to the plot and these people.
it’s intense, time-consuming, distracting, and very ineffective.
but oh gosh how much i love my characters now. i know a lot about them. and i want to tell their story… stories.
but i’m so tired. of doing all that work alone, and yet needing validation and feedback every forking step of the way.
sometimes i’ll miss the times when i was a teenager and wrote so much by hand, tons and tons of dialogue and lore and random stuff, at home, during class, recess, everywhere. … and then i’ll remember how terrible that stuff was, and how i’d probably be super embarrassed to read it again now.
still. i miss the momentum, and not needing anyone to read it, and writing even more anyway.
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i did a thing.
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but HECK drawing is HARD and this needs someone who can do better than me at perspective >__<
(starting at the human top right and going counter clockwise: a banesa, an ekde, a lyeryg, a hjinza – oyme, because weapon right next to em – and a tsusœn. the empty space with a shell is for a lásq, i’m still not sure how to draw them and they’re not amphibious anyway so.)
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i aten’t dead! (yet)
just very busy with nanowrimo.
if you’re interested in that, and read french, a bit under the cut. also, if you look up ‘notilya’ in fb, you can find the novek’s page there :3
Dans son coin, Alnao semblait perdu. Oyme tenta de parler avec eil, mais la discussion n’alla pas loin. — J’ai passé toute ma vie à essayer de réconcilier ce que je pensais savoir de mon ancêtre naiim le plus connu – j’en ai sûrement d’autres – et ce qu’en disent régulièrement les Patients, l’Institut et le reste du monde. Je n’ai jamais cru que les Patients pouvaient avoir trouvé les dieux de Noltilya… — Et vous avez raison. Les Trois ne sont pas des dieux. — Mais eils existent. Et ce sont eils qui continuent de prolonger votre vie, pas vrai ? — Oui. Tout comme un hja qui prend soin d’un animal sauvage pourra prolonger sa vie par ses soins. Ce n’est pas une comparaison exacte, mais pas loin. L’existence des Trois est très différente de la nôtre. Mais eils ne sont pas des dieux. Alnao dissipa la remarque d’un geste las de la main. — Peu importe. Je pensais avoir compris, avant de vous rencontrer. Vous avez bien vu. Je pensais que les incohérences que je croyais avoir repérées venaient des erreurs des autres, de leurs mensonges. Des vôtres. C’était moi qui me trompais. Mais au final je ne comprends pas plus la réalité qu’avant. — Que voulez-vous dire ? Alnao désigna la salle où se mêlaient no-naiims, noltiims, lyerygs – et Tbatis, qui dépassait tout le monde, impossible à ignorer. — Tout ça. Ce nouveau Peuple, ces Naiims qui acceptent de venir en Styllàsya et de se mêler à des gens dont eils ont toujours appris qu’eils étaient mauvais et à détruire. C’est bien, c’est très bien, tous ces liens qui se forment, mais c’est déroutant. Et au milieu, vous. — Je comprends. Ça fait beaucoup de nouveautés d’un seul coup. Le front plissé, Alnao acquiesça, le regard toujours perdu dans la foule qui encombrait le réfectoire de l’hôtel. Eil s’arrêta sur son œunfant, toujours en grande conversation avec Tbatis. — Et Olnij a l’air de s’y faire beaucoup mieux que moi. Je l’envie presque. À cause de ce “presque”, Oyme préféra ne rien répondre.
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(Dans les Îles-Pont, Amyla collecte les témoignages de hjas qui pensent avoir rencontré les Cinq…)
Enfin, eil se mit à raconter, sans tout à fait regarder Amyla. — C’était il y a deux neuvaines. J’étais sorti de la Maison pour prendre l’air, j’ai souvent besoin de le faire quand – enfin, ça arrive souvent et je n’ai jamais eu de reproches à cause de ça. Eils sont gentils avec moi là-bas. — Ce ne sont pas eils qui se sont moqués de vous, alors ? — Non. C’est mon parnid. Je crois qu’eil est encore vexé d’être resté de l’Eau ici, et mon parœuf aussi, alors que j’ai été accepté à l’Air. Eil ne comprend pas que les castes fonctionnent autrement ici, et eil croit que les responsables des Maisons le méprisent. Amyla acquiesça d’un geste discret de la main, et attendit la suite. — J’étais sorti, et je traversais les champs où broutent les shelnes. Quelqu’un ramassait des herbes derrière la barrière, et se rapprochait des bêtes. Je l’ai appelé pour le prévenir que c’était dangereux, et quand eil s’est retourné j’ai vu qu’eil avait les yeux rouges. Ou orange, c’est difficile à dire, j’ai du mal à faire la différence entre les deux couleurs. Eil est venu me voir, et j’ai vu qu’eil n’avait pas de wuny. Eil m’a demandé si je pouvais lui apprendre à faire un accessoire spiralé, avec l’herbe, et comme je mettais du temps à répondre eil m’a regardé et a dit : “Oh, pardon, vous êtes de l’Air, vous ne saurez pas m’apprendre.” Je lui ai dit que si, parce qu’on est dans les Îles Pont, et que n’importe qui a le droit d’apprendre ce qu’eil veut en plus de son rôle de base. Je lui ai dit aussi que j’étais de l’Eau avant de quitter Tharisya, et que la spirale est une des premières choses que j’ai apprises à faire quand j’étais petit. Eil s’interrompit, le front plissé sous la concentration. Lorsqu’eil reprit, eil parlait plus lentement, comme pour mieux choisir ses mots. — Eil avait eu l’air déçu quand j’ai dit qu’on était dans les Îles, mais ravi d’apprendre que je venais de Tharisya. Et là, eil m’a demandé… Eil a dit qu’eil pensait avoir dormi longtemps, et m’a demandé si le Monarque disparu était retrouvé. Le front d’Amyla se glaça. — Disparu ? Comment ça, le Monarque disparu ? — Je n’ai pas compris non plus, alors j’ai demandé ce qu’eil voulait dire par là. Eil s’est excusé, a dit que la nouvelle de la séparation des Monarques n’était peut-être pas encore arrivée jusqu’ici, a essayé de m’encourager à dire quelque chose, et comme j’étais trop surpris pour répondre eil est parti. J’ai essayé de le suivre, quand j’ai réalisé que j’allais vite le perdre de vue, mais il n’y avait plus personne sur le chemin.
Oyme jeta un regard dur à Enoloe. — Tu lui as dit quoi ? Le hja aux yeux vermillon prit un air penaud. — C'est arrivé pendant mon test. Je venais juste de revenir, et j'étais curieux, je suis tout de suite allé demander des nouvelles. Comme eil n'a pas compris, je me suis dit que je n’étais pas bien réveillé, et je suis reparti dormir. Mais on dirait que quelque chose m’a échappé. — C’est le moins qu’on puisse dire, vu qu’aux dernières nouvelles les deux Monarques du Bronze sont encore bel et bien ensemble à Tharyth ! Et avec sa veine, grâce à Enoloe eils allaient bientôt se retrouver avec une prophétie sur les bras.
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Eils durent en parler plusieurs fois, à voix basse, lorsque Oyme n’était pas dans les parages, pour enfin trouver le courage d’aller voir l’herboriste du convoi. Seloe laissa parler Olnij, parce qu’eil n’avait aucune idée de la meilleure façon de formuler leur demande, mais il ne lui aurait jamais traversé l’esprit de l’envoyer là-bas seul. Eils passèrent ensemble la barrière amovible, qui encerclait le jardin mobile disposé autour de l’entrée de la roulotte. Des pots de toutes tailles, décorés de peinture ou de paniers spiralés en paille séchée, s’alignaient au sol et sur des étagères. Seloe les détailla, fasciné, sans comprendre l’organisation de ce qu’eil voyait. Des fleurs immenses, s’élevant sur des tiges robustes avant de retomber en cascades d’un rose vif majestueux, côtoyaient des plantes aux longues tiges grêles surmontées de plumeaux pelés peu élégants, et dans le pot suivant un buisson exubérant étalait ses feuilles d’un vert tendre tacheté de rouille. Olnij frappa à la porte, et l’herboriste leur ouvrit. Eil avait l’air fatigué, et agacé de leur visite avant même qu’Olnij puisse lui parler. — Oui ? Les enracinés viennent profiter de leur dernier jour pour visiter la maison mobile la plus exotique du convoi ? Fichez-moi la paix, j’ai du travail. — Justement. Nous avons besoin de vos services. C’est urgent. — Tous les deux ? Pour la même chose ? — Oui. Je préfère ne pas en parler dehors. — Mh. Entrez. Mais ne touchez à rien, il n’y a pas beaucoup de place. L’intérieur était plus déroutant encore. Des bouquets séchés s’alignaient aux murs, des bocaux de graines et de feuilles pilées s’entassaient dans plusieurs tiroirs que l’herboriste ouvrit les uns après les autres. Olnij le regardait faire avec inquiétude. — Je pensais que vous aviez compris ce qu’il nous faut. Vous n’utilisez jamais ça chez vous ? — Non, presque pas. C’est plus facile d’empêcher la formation d’un œuf avant qu’elle débute. Il faut que je vous prévienne : si la coquille a déjà commencé à se consolider, il est trop tard même pour ce que j’ai à vous proposer. Seloe détourna le regard, et continua d’observer les stocks entassés un peu partout sans logique apparente, pour penser à autre chose. Des grappes de fruits séchés pointus ou hérissés d’épines bouclées, accrochées au montant d’une étagère. Un panier en forme de goutte, couché sur le coussin lit tassé dans un coin, et d’où débordaient des cosses en cours d’épluchage. Tout à côté, les graines étaient rassemblées dans un sachet délicat, d’un beige rosé tacheté de bleu pâle. L’herboriste prit deux sachets de tissus similaires à celui-là, et les remplit de feuilles d’un bocal pioché dans le premier tiroir ouvert, et de baies séchées prises dans un autre plus loin. Seloe sentit la main d’Olnij se glisser dans la sienne. Eil la serra, et s’absorba plus encore dans la contemplation du décor. Eil n’arrivait plus à s’arrêter sur chaque plante ou chaque contenant, désormais, et ne voyait plus qu’une masse informe de feuilles, de tiges, de fruits, de reflets sur les bocaux en verre et les pots en terre vernis. — Voilà. Prenez ça en infusion, matin, midi, collation et soir, trois jours de suite. Avec les baies pour parfumer, sinon c’est imbuvable. Bonne chance. Olnij prit les sachets dans ses deux mains, remercia et partit. Seloe, gêné par le regard plein de pitié du vieil herboriste, réussit à prononcer quelques mots d’excuse ou de remerciement – eil ne savait pas – et se précipita dehors à la suite de son compagne.
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moi depuis des mois : il me faut d’autres héros des Cinq, parce que si je n’ai que Oyme ça va être chelou. il faut aussi qu’eils aient une légende chacun, pour que des personnages puissent y faire référence quand c’est pertinent et que ça soit intégré en douceur du coup
moi pendant des mois :
moi à minuit moins douze après avoir passé la soirée sur un nouveau panier en rafia : OKAY BOUGE PAS j’en ai une.
Vlyl de l’Eau
Lorsque Vish montra à Vena, le premier hja de l’Eau, comment faire un panier avec des branchages fins, son œufant Vlyl, encore jeune, les observa en silence.
Lorsque Vena rentra chez eil et fit des paniers pendant plusieurs jours jusqu’à être satisfait du résultat, Vlyl l’aida. Eil récupéra, fasciné, les fines lamelles d’écorces que Vena retirait des branchages et n’utilisait pas. Puis eil voulut en faire quelque chose. Eil rassembla des brassées d’herbes folles, d’autres lanières d’écorce souple, une aiguille, et se mit au travail.
Lorsque Vena fut satisfait de son travail, eil invita les hjinzas du village à utiliser ses paniers. Eils vinrent nombreux visiter sa hutte, et presque tous repartirent avec un panier qui pourrait lui être utile. À la fin, deux hjas de la Terre restaient : Ume et Utse, frœurs de paire et cultivateurs. Ume avait de quoi garder son grain au sec, avec la potterie, mais eil voulait aussi quelque chose de plus léger et maniable pour le tranporter. Eil repartit déçu, parce que les grains passaient à travers les paniers de Vena. Utse avait besoin de quelque chose pour porter les fruits de son verger et de son jardin au fur et à mesure qu’eil les récoltait, et n’avait rien trouvé encore. Vexé que  Ume soit reparti sans avoir trouvé ce qui l’aiderait, Vena présenta à son frœur panier après panier en insistant pour qu’eil reste et en voie un autre avant de partir chercher ailleurs une solution à son problème. Mais il y avait toujours quelque chose qui n’allait pas : les branchages étaient trop solides ou trop anguleurs et abîmeraient les fruits, ou trop fins et le panier ne serait pas assez solide.
Utse allait rejoindre son frœur, tout aussi déçu qu’eil, lorsque Vlyl intervint : eil avait un panier qui pourrait convenir, disait-eil. Vena l’accusa d’en avoir chipé un dans la réserve de ceux qu’eil avait fabriqué ces derniers jours, bien qu’eil ne soit pas certain duquel il puisse s’agir puisqu’eil n’avait pas l’impression d’en avoir perdu. Mais Vlyl alla chercher dans sa chambre un panier grand comme ses bras en rond, léger et solide, et sans un seul branchage. Eil avait travaillé avec le même sérieux et la même patience que son parœuf, avec l’herbe et les écorces fines qu’eil avait rassemblées, et inventé la spirale qui serait désormais tant utile aux hjinzas dans tous les domaines. Après quelques tests, eil en avait fait un panier, un seul, mais Utse  le trouva parfait et repartit avec. Vena présenta ses excuses à Vlyl, pour l’avoir accusé à tort et n’avoir pas remarqué que pendant qu’eil perfectionnait les techniques apprises auprès de Vish, son œufant aussi travaillait, et avec un talent aussi grand. Vlyl lui accorda son pardon, et lui apprit aussi la spirale, mais insista pour que la technique soit enseignée à tous les enfants dès qu’eils sauraient tenir une aiguille. Il en est toujours ainsi aujourd’hui.
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(Olnij et Thawaht essayent de faire comprendre *quelque chose* à Oyme, en se basant sur une courte série de questions liée à leur propre passé…)
 C’en était trop. Oyme lui retira la lettre d’un geste sec. — Ne viens pas me dire comment j’aurais dû me comporter. Tu as toujours refusé de rencontrer Syj, ceil que je connaissais moi, ne viens pas me dire ce que j’aurais dû faire en découvrant que je ne le reverrais jamais ! Olnij croisa les bras et attendit. Enfin, Oyme entendit ce qu’eil venait de dire. Eil murmura d’une voix blanche : — Question numéro deux. Olnij se contenta d’écarter les mains comme pour le mettre devant l’évidence. Oyme se passa la main sur le visage, et s’affaissa de nouveau sur son siège. — Je n’ai pas la réponse à la dernière. C’est la plus importante, et je n’ai pas la réponse. Thawaht intervint d’une voix apaisante : — C’est normal, il faut les faire dans l’ordre. Le vieil Hex me les a posées aussi, quand je suis allé le voir ce jour-là. Commence par la question zéro : quelle est ta situation vis-à-vis de Syj, si tu devais la résumer dans les termes les plusinquiétants qui soient ? Tu n’es pas obligé de répondre à voix haute, mais sois honnête avec toi-même. C’était facile, un peu trop même. Oyme dut fermer les yeux et se concentrer pour trouver une série de phrases qui ait un sens. Eil voulut les prononcer, mais ses mots se coincèrent dans sa gorge. Eil rouvrit les yeux, et fit signe à Thawaht qu’eil était prêt pour la question suivante. — Apprécies-tu… — Oui. — Je n’ai même pas eu le temps de finir la question. — Je m’en souviens, c’est bon. Et j’ai déjà répondu à celle d’après : l’idée de ne pas le revoir m’est insupportable. Le problème, c’est que je n’ai pas le choix de toute façon : je ne le reverrai plus. C’est fini.
(sauf qu'eil se trompe, évidemment, mais chuuut)
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sooo i’ve been thinking about it for… two days?
so today’s writing started with me doing an obituary for oyme. the first one, that turned out to have been completely unnecessary.
but it’s still the most official to date, because the Institute has a monthly thing for teachers and watchers and shadows and their families and stuff, so they published an annoucement when Namdâe gave up and decided they wouldn’t find em after ey disappeared at the Spires.
… i’m in a weird mood today CAN U TELL
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atelier d’écriture : “foreshadowing”, avec un exercice autour d’une enquête policière. trois étapes : présenter le coupable, la victime et l’arme du crime ; l’enquêteur qui interroge le coupable ; et l’enquêteur fait le lien entre les indices et le crime (j’ai pris un peu de libertés, j’étais à la bourre et j’ai pas tout suivi ^^° mais je suis contente du résultat.)
là aussi, une situation que j’avais en tête depuis lontemps, sans avoir tous les éléments. y réfléchir pour l’atelier m’a permis d'avancer un peu sur des éléments de worldbuilding qui me tracassaient depuis un moment.
~~~
Comme chaque soir, Oshyme et Setutes se retrouvaient dans le salon à l’étage du Palais pour prendre une infusion et discuter des affaires courantes.
Pendant que son frœur s’installait dans un coussin près de la table, Setutes mit en route la bouilloire offerte par les responsables de l’Enclave. Pour la douzième fois au moins, eil se demanda ce qui arriverait si eil ne respectait pas les consignes de sécurité que le presque-humain leur avait répété en la leur remettant.
— As-tu prévu d’emmener Asusa et Thawaht avec nous la prochaine fois que nous rendrons visite à l’Enclave ?
Setutes grimaça et faillit renverser l’eau brûlante qu’eil était en train de servir.
— Oui. Mais j’aimerais que tu cesses d’encourager mon nifant en utilisant ce nom. Choisir un élément différent d’Asusa et prendre un nom réservé à un œufant de Monarque était un affront que j’espère encore faire annuler.
— Rien dans les Lois ne le lui interdisait. Les paires harmonieuses ne sont qu’une tradition.
— Une tradition que j’espère faire inscrire dans les Lois, parce qu’elle nous aide à mieux combattre les démons, l’Histoire nous l’a prouvé.
— Je n’en suis pas convaincu.
Setutes posa les deux mains sur la table, de chaque côté des tasses désormais pleines, pour se calmer et ne pas montrer à quel point Oshyme l’irritait. Puis eil se força à sourire, et apporta les tasses à table pour s’y installer eil aussi.
~~~
— Mjinno.
Le serviteur referma la porte derrière l’Eminent du Feu, qui attendait poliment une réaction, mains croisées sur le devant de son vêtement. Setutes lui jeta un regard las.
— Je ne suis plus Monarque, Eminent. C’est à mes enfants que revient cette responsabilité désormais.
— Oui, bien sûr. Mes excuses, mjao Haut Conseiller. Je sais que vous êtes en deuil, mais le Conseil des Eminents a jugé important de chercher à en savoir plus sur ce terrible accident.
— Je comprends. Installez-vous, je vous en prie. Vous m’excuserez si je ne vous propose pas d’infusion, nous n’avons plus…
Eil s’interrompit, et leva une main tremblante à son visage.
— Dites-moi comment s’est déroulé l’accident, mjao. S’il vous plaît. Setutes fit de son mieux pour donner un résumé cohérent de la soirée de la veille. Son frœur qui prenait un bain, décidait de se préparer une infusion en même temps. La bouilloire qui tombait dans l’eau, probablement suite à un mauvais geste, et la découverte du corps un peu plus tard, chevelure en pagaille, dans un bain désormais froid.
— Personne d’autre n’est entré dans la pièce entre le début du bain et votre arrivée ?
— Non. Eil commençait à savoir se servir seul de l’appareil. C’était un grand réconfort pour nous, de pouvoir prendre des infusions ensemble le soir, sans les allées et venues des serviteurs.
— Je comprends, mjao.
— Que comptez-vous faire maintenant ?
— Parler avec vos — avec les Monarques. Eils décideront quelle suite donner à cet accident causé par l’Enclave. Avec votre aide, bien sûr. Setutes retint un sanglot, et remercia l’Eminent, qui se retira aussitôt.
~~~
— Mjao Haut Conseiller ?
Setutes se força à sourire, sans aucun effort pour faire croire à une politesse naturelle.
— Eminent. Je n’attendais plus votre visite.
— Mjao. Vous avez l’air d’aller bien mieux depuis la neuvaine dernière.
— J’ai du travail, Eminent, essentiel pour reprendre une vie normale.
L’Eminent plissa les yeux.
— J’ai partagé mes conclusions avec le Conseil. Mes collègues ont transmis leurs conclusions à vos successeurs, qui ont décidé de…
Setutes l’interrompit d’un geste agacé :
— Réduire nos relations avec l’Enclave et stopper les extensions annuelles que nous leur avions accordées en échange de leur technologie, je suis au courant. Où voulez-vous en venir ? Je vous l’ai dit, j’ai du travail.
— Je trouve que vous êtes un peu trop à l’aise avec la nouvelle situation, mjao.
— Et moi je trouve que vous êtes un peu trop malpoli avec un ancien Monarque encore en deuil.
— Je me demande depuis quelques jours si le geste “maladroit” qui a plongé l’appareil dans le bain de votre frœur n’était pas intentionnel.
Setutes serra les poings, prêt à s’indigner.
— Attention à ce que vous allez dire, mjao.
L’Eminent dissipa la remarque d’un geste.
— Peu importe. Je sais que personne ne me croira. Si je devais désigner un coupable, l’un de vos enfants serait plus plausible. Qui voudrait ne plus être Monarque ? Qui ne voudrait pas le devenir plus vite ?
Quelque peu rassuré, mais toujours méfiant, Setutes plissa les yeux.
— Qui, en effet. Vous savez que si vous faites un pas de travers je peux encore vous reléguer à une caste et une sous-caste si basses que personne ne vous écoutera jamais plus ?
— Oui. Mais je tenais à vous prévenir : vous n’avez pas été aussi discret que vous le croyez. Bonne journée, mjao.
~~~
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exercice d’atelier d’écriture : même phrase au début et à la fin, avec un sens différent (ish)
c’est une scène que j’avais déjà écrite il y a longtemps, et je n’en étais plus contente. donc j’ai recommencé…
~~~
Les ailes multicolores et les quelques plumes isolées qui les complétaient étaient magnifiques.
Comme son frœur, Thawaht reçut ses présents – une aile entière, et un talisman fait de plumes turquoises, évoquant l’Air – en félicitant chaleureusement le chasseur de démons ailés qui les leur avait apportés. Eil noua l’amulette de plumes bleues à son bras, puis posa le reste sur un plateau que lui présentait un serviteur. Du coin de l’œil, eil vit qu’Olnij ne semblait pas apprécier autant qu’eil ces cadeaux exceptionnels. Pas le temps de s’en inquiéter pourtant, le chasseur était parti et la séance continuait, avec ses multiples rencontres et questions plus pressantes que cet interlude esthétiquement plaisant.
Lorsque tous les plaidants du jour furent repartis, les Monarques et leur Haut Conseiller se séparèrent, et repartirent chacun dans leurs quartiers, accompagnés de serviteurs et conseillers personnels pour porter leurs affaires.
Olnij suivit Thawaht, seul, en portant d’un air lugubre le plateau chargé de plumes. Eils entrèrent dans les quartiers du Monarque de l’Air, qui commença immédiatement à défaire sa lourde coiffe cérémonielle, pendant qu’Olnij posait le plateau et refermait la porte.
Après un moment, Thawaht trouva étrange de ne pas entendre le bruit du rideau qui devait être tiré devant la porte, et se tourna vers celle-ci : Olnij n’avait pas bougé, la main toujours sur la poignée, le front appuyé sur le lourd panneau de bois.
— Un soucis, Olnij ?
— Oui, Mjinno, mais je ne sais pas comment vous en parler.
Thawaht plissa le nez, perplexe, et continua d’ôter l’un après l’autre les liens, épingles et barrettes qui retenaient mèches et torsades sur son armature officielle.
— Commence par tirer le rideau, ça te laissera peut-être le temps de trouver quoi dire.
Olnij s’exécuta, et revint vers le Monarque d’un pas hésitant, bras croisés et une main sur son amulette wuny. Thawaht n’eut pas à attendre longtemps : son traducteur et conseiller lui demanda ce qu’eil avait pensé du cadeau du chasseur. Thawaht sourit :
— Magnifique. Je sais que la superstition les présenterait aussi comme protections contre les démons, mais je me contenterai de les trouver plaisants à l’œil. Ces couleurs – je ne savais pas que des démons ailés de plumes pouvaient en avoir autant, mais il est vrai que je n’en ai jamais vu avant leur rencontre avec la lance d’un chasseur. Est-ce vrai que ces couleurs sont rares ? En as-tu déjà vu de telles ?
— Des douzaines de fois, Mjinno.
Thawaht plissa les yeux :
— Pourquoi ce ton lugubre, Olnij ? Les démons aux couleurs vives sont-ils plus féroces et effrayants que les autres ? Ce n’est pas ce que semblait dire ce chasseur, eil parlait seulement de leur rareté.
— Non. Eils ne sont pas rares.
— “Eils” ?
Sans raison apparente, Thawaht pensa à son parœuf et ce qu’eil lui disait autrefois sur les démons et leurs origines.
— Les ailés de plumes ne sont pas des démons. Il n’y a pas de démons, seulement des animaux dangereux et – des gens. Les ailés de plumes sont des Lyerygs, et j’en connais personnellement une douzaine qui ont ce genre de couleurs. Ceil-ci aurait pu être mon ami. Je lui avais probablement déjà parlé.
Thawaht faisait confiance à Olnij, depuis qu’eils se connaissaient, pour lui parler honnêtement et sans rien dissimuler. Eil aurait dû savoir qu’un jour le résultat serait déplaisant.
Ses mains tremblaient, et Thawaht ne savait plus quoi faire pour le cacher. Eil croisa les bras, et ses doigts effleurèrent l’amulette de plumes bleues – eil en défit le lien à gestes secs, et la laissa tomber à terre, avant de laisser son regard glisser vers le plateau où reposaient les autres présents du chasseur.
L’aile multicolore et les quelques plumes isolées qui la complétaient étaient magnifiques.
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… okay I’ll TRY to talk about A Conspiracy of Truths, by @ariaste​
(spoiler free. mostly personal feels, and also Vague Stuff but SHOUTED.)
This will take a while, because adhd I don’t know where to start but I also have to mention a couple things for context. It’s my blog, I do what I want.
I don’t talk much about the books I read. First because I don’t read that much these days (I’m trying to fix that; worldcon helped a bit) and second because… I’m just plain bad at it. Often when I finish a book (or movie, or tv show) I need to go read/listen to other people’s opinions, because how else am I going to make one for myself if I don’t see Thoughts properly articulated, and then think about if i agree or not, and why? (and yeah i’m also someone who’s supposed to write a story. shut up. we’re coming to that.)
But this one was different. It’s the second book I read in less than a month, and I hadn’t read that much, and THAT FAST, in a looong while. Incidentally, these two were books I had thought about reading since they first came out, and YES THAT’S A WHILE AGO I said I don’t read enough.
Ooh boi.
It took me Some Time to start, through no fault of the book. Life kept happening, and same thing happened when I decided to reread Good Omens in April, starting in the plane for Japan (it took me a week to read the first two chapter, then a lot less for the big middle, and a couple weeks to finish. uh. weird.) I’ve kept track, accidentally, of how fast this one went. Monday I was at the First Tale, on page 23. Wednesday evening I was around page 233 and could. not. stop. I finished last night, after just one more day, and immediately thought “what am I going to do with myself now while I wait for Choir to arrive at my doorstep”
… okay no more procratination that book made me Feel Things. You know that moment when Chant sees the bejeweled Queen and it’s Too Much because he’s been starved for beauty? I went ‘ow my heart’ and also ‘it me’. I’ve been starved for deep, complicated, distant and yet relatable emotions. Both similar and different to mine. Even the distance that Chant puts between himself and his emotions made me FEEL. If you’d told me; before I read the book, that he was going to Do That all the time, I would’ve said “urrrggh, annoying” — but it’s not. I’m wondering now if i’m not doing exactly that myself, all the time, even if I’m not. you know. telling a story.
personal aside here. i have adhd. i started to understand that a couple years ago, and was officially diagnosed about a year ago. i’ve had debilitating difficulties with everyday and professional stuff all my adult life, it became worse after the birth of my son, and about 20 months later, we’d just moved and i was starting to get better – or at least a hope to get better – when he was diagnosed with t1 diabetes. and my husband helped, of course, but he’s the one who earns all the money here, so i was the one who had to go see our son at the hospital every day for three weeks, and then take care of him almost 24/7 from then on. he’s only starting to find some real, reliable independance. he’s nine, and ALSO has adhd. after the diagnosis i was hit by depression, HARD. my emotions shut down. I started to rediscover them when watching Doctor Who, and Twelve’s era especially helped. (I miss him a LOT.)
Now the world is going to shit and no-one in position to actually do anything about it seems to care. I’m shutting down again, I can feel it.
And I think this book shoved my nose into that fact, and didn’t let me go until I admitted I could do something about that.
That scene I mentionned ealier. The whole discussion with Ylfing, about the misunderstanding around the ritual sinking of the homeland. Chant’s panic about where the cities are on the map (THE MAPS omfg THE. MAPS. that is all.) When Chant talks about her parents and grandparents with Consenza, and about her daughter, and what he could tell her (and will not tell us.) The whole last times we see the Queen of Order. The tale Helena told, and Chant’s quite inappropriate glee at it.
I just. This is all A Lot. But it’s not Too Much. It’s Something.
Life is Too Much right now. Lots of bad from the Great Outside, all the political that will not stay separate from our personal lives, because that’s what political means — just a lot of personal lives together.
Like I said, I’m shutting down again. Because I’m losing my filters against the bad stuff, and if I want to stay myself, or just a self, I need to protect myself, and I need an anchor. My anchor these last few years has been my writing project, but it’s… slipping from my metaphorical hands right now. I want to tell everything about that world, at the same time that I feel more and more like I’m — like we are — running out of time. But I can’t, I can’t tell everything, and so I’m feeling lost, at the same time as I feel like that story is pretty much everything to me.
So when I found that other story — about stories, and how they shape life, and how they help, even if sometimes they can hurt, and with all these raw emotions — I don’t know if it’s because I’ve been starving for that kind of story, I don’t know if it’s because I think it will help me write my own, or find a way to navigate in my own life again. I just know I needed it, and I probably needed it now more than I would have had a year and a half ago and half the world away when I first heard about it.
Thank you.
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Text
i’ll never get over that feeling when a character you’re writing suddenly feels solid.
like… yes. that’s a person. they are bound in space and time, and have a story, and motivations, and highs and lows in their life, and silly moments and weird habits and hopes and significant others and—
yup. never gets old.
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