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#trouver ses valeurs
fitnessmith · 2 months
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Stopper les crises de boulimie ( ou d'hyperphagie )
NOUVEAU 👉 Stopper les crises de boulimie ( ou d'hyperphagie ). On va passer une heure ensemble pour en parler. Le lien est en bio @fitnessmith ou directement sur mon site. #tca #boulimie #hyperphagie #emotion #defusion #act
L’hyperphagie boulimique est un trouble des conduites alimentaires ( TCA ) . Il conduit à manger au-delà de sa faim, de manière compulsive et émotionnelle. On y ajoute la boulimie s’il y a une stratégie quelconque de compensation pour ne pas prendre de poids ( vomissement, sport à outrance, jeune, laxatif, etc. ). Il s’agit d’une forme de TCA qui nécessite l’aide d’un psychologue, d’un médecin ou…
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coolvieilledentelle · 7 months
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Avec le temps, vous comprendrez que les plus belles vacances peuvent se trouver sur une paire de lèvres ; qu'il y a de l'hiver en été, de la poésie en automne et que toutes les fleurs ne naissent pas au printemps. Vous apprendrez aussi que rien n'est éternel, mais que certains moments sont proches de l'être ; que les cicatrices sur l'âme ne guérissent pas, que les promesses expirent, que les rêves changent, que les plans changent et que les gens déçoivent ; qu'il y a de la douleur derrière les sourires, de l'amour derrière un "prenez soin", des raisons et des regrets derrière les silences. Que les meilleurs baisers que vous ayez jamais reçus sont cachés dans les regards et que les bras sont sans aucun doute le meilleur abri, celui qui vous débarrasse vraiment du froid. Avec le temps, vous comprendrez la valeur d'un je t'aime, d'un comment vas-tu, d'un merci, d'un pardon et d'un je t'ai manqué, et que, bien que ce soient des mots, certains sont si lourds qu'ils ne sont pas emportés par le vent ; vous comprendrez l'importance d'un sourire, d'une accolade, d'un bonjour, d'un baiser sur le front, d'un repas à l'ancienne, d'un café avec des amis et d'une lettre inattendue dans la boîte aux lettres. Avec le temps, vous changerez vos priorités, votre façon de penser, de rire, de vous habiller, de rêver, vous changerez votre numéro préféré pour celui d'un rendez-vous, votre chanson pour une bande originale dans le silence d'une paire de bras, votre couleur préférée pour celle de ces yeux ? Vous changerez tant de choses… Le temps vous fera aussi pleurer, crier de rage, vous mettre en colère, tomber amoureux, désirer quelque chose… Mais il t'apprendra qu'il n'y a pas de regrets, qu'il faut prendre des risques, qu'il y a des erreurs, des regards, des baisers et des moments qui sont les seuls à donner un sens à tout cela.
Et avec le temps, vous comprendrez qu'il n'y a plus de temps. Que c'est aujourd'hui et maintenant qu'il faut agir.
Mais seulement… Vous ne réaliserez qu'avec le temps…
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lounesdarbois · 5 months
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Ce sont les Anciens qui voient le mieux l'avenir, par exemple les vétérans de l'armée engagés dans les unités combattantes de première ligne qui un jour écrivent leurs mémoires pour qu'elles soient transmises jusqu'à nous. Ainsi de d'Aubigné, Monluc, Céline... Ainsi de Roger Holeindre. Sa fameuse citation "Si l'on descendait dans la rue on serait dissous dans le quart d'heure et les républicains armeraient les banlieues pour sauver les valeurs de la république" s'appuie non sur des spéculations d'intellectuel mais sur son expérience de terrain. Quelle expérience ?
Holeindre était un soldat des années 50-60 spécialisé dans les arrestations de terroristes, car au bout des porteurs de valise se trouvaient les porteurs de bombes, et ces bombes en explosant dans les cafés de famille le matin coupaient en 2 des fillettes, les Lola Daviet d'alors. Holeindre partait loin en mission chez les ennemis, il se déguisait en ennemi, il allait chez eux sans arme, dans leurs campements, et au signal (une sonnerie de sifflet) lui et d'autres se jetaient sur les cibles identifiées et les arrêtaient "à coup de poings dans la gueule", récit authentifié par plusieurs témoignages. Ainsi, quand un monsieur qui a démontré ce degré de courage physique recommande de ne pas descendre dans la rue on peut le croire sur parole.
Pour achever de s'en convaincre il faut relire chaque année au moins une fois Bagatelles pour un massacre (1937) pour trouver de nouveaux éclairages sur la période actuelle. Le processus de persécution des Blancs chez eux a commencé longtemps avant l'avènement de la racaille du bas (années 1970-90), lors de l'immigration de la racaille du haut (années 1920-30). Et c'est la racaille du haut qui permet la racaille du bas, aujourd'hui encore. Si vous attaquez la racaille du bas elle perdra peut-être mais la racaille du haut se lèvera immédiatement contre vous (notion du prioritaire et du secondaire chez Karl Schmitt). Regardez comme ces lâches se frottent les mains sur leurs plateaux télé depuis une semaine ! Si vous calmez la racaille du haut, non seulement la racaille du bas cessera ses déprédations mais sous un pouvoir patriote elle tournera patriote car elle est toujours le décalque de l'esprit du pouvoir. C'est le seul objectif à la fois raisonnable et moral pour le pays.
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raisongardee · 5 months
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"Il faut savoir concevoir ce qui est autre – se doter d’yeux nouveaux et d’oreilles nouvelles pour des choses perdues dans le lointain, devenues invisibles et muettes. Ce n’est qu’en remontant aux significations et aux visions qui prévalaient avant l’établissement des causes de la civilisation présente, qu’on pourra disposer d’un point de référence absolu, d’une clé pour comprendre effectivement toutes les déviations modernes – et pour trouver en même temps la tranchée imprenable, la ligne de résistance infranchissable destinée à ceux auxquels il sera donné, malgré tout, de rester debout. Seul compte, aujourd’hui, le travail de ceux qui savent se tenir sur les lignes de crête : fermes sur les principes ; inaccessibles à tout compromis ; indifférents devant les fièvres, les convulsions, les superstitions et les prostitutions sur le rythme desquelles dansent les dernières générations. Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de "convives de pierre" sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, à construire un pôle qui, s’il n’empêchera certes pas ce monde d’égarés et d’agités d’être ce qu’il est, permettra cependant de transmettre à certains la sensation de la vérité – sensation qui sera peut-être aussi le déclic de quelque crise libératrice."
Julius Evola, RĂ©volte contre le monde moderne, trad. Philippe Baillet, 1934.
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ascle · 11 days
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Les expressions québécoises
(Partie 1)
Il pleut Ă  boire debout
Cette expression est employée en cas d’averse intense ou d’orage. Elle signifie qu’il pleut si fort qu’on pourrait boire debout, en levant simplement la tête vers le ciel.
Le verbe « pleuvoir » peut aussi être remplacé par « mouiller ». Par exemple : « Il mouille à boire debout ».
Se faire passer un sapin
Si quelqu’un vous dit qu’il s’est fait passer un sapin, montrez-lui un peu de compassion. Cela signifie qu’il s’est fait avoir, qu’il a fait une bien mauvaise affaire ou qu’il s’est fait arnaquer.
Cette drôle d'expression québécoise tire son nom du sapin baumier, qu’on utilise comme sapin de Noël. Pour les ébénistes, ce dernier ne vaut pratiquement rien sur le marché. En effet, les planches de sapin baumier ont tendance à craquer une fois séchées, contrairement à d’autres conifères comme le pin et l’épinette.
À l’époque, lorsque les Anglais venaient acheter du bois de construction aux Canadiens français, les francophones remplaçaient le bois de qualité par du sapin baumier, au moment de la livraison.
Tomber en amour
Explication : Celle-ci est tirée de l’expression « fall in love » en anglais. Chez nous, on tombe en amour avant d’être en amour. Et puis quand on y pense, commencer une nouvelle relation, c’est un peu comme se lancer dans le vide, non ?
Dans tous les cas, au Québec, l’amour fait mal. On tombe… Et « on casse » quand une relation se termine.
Ă€ noter, on peut aussi tomber en amour avec un pays, une ville, une chanson, etc.
J'ai mon voyage
Rien à voir avec vos prochaines vacances. Ça signifie d'en avoir ras-le-bol, en avoir marre.
Pogner les nerfs
Faire une crise de colère, d'impatience
C'est arrangé avec le gars des vues.
Pour bien comprendre cette expression québécoise il faut savoir ce que signifie "les vues" au Québec. "Les vues", "les petites vues" ou "les vues animées" sont utilisées pour parler du cinémas au Québec. Ainsi, "aller aux vues" signifie tout simplement aller au cinéma.
L'expression québécoise "c'est arrangé avec le gars des vues" veut dire que quelque chose est truqué ou falsifié. Cela veut dire que le résultat est connu en avance.
Se fendre le cul
L'expression québécoise se fendre le cul est très couramment utilisée. C'est une expression familière synonyme de se fatiguer, se donner du mal. Il s'agit donc de faire un effort et de dépenser de l'énergie pour faire réussir son activité.
Une variante est "se fendre le cul en quatre", dont l'Ă©quivalent en France serait "se plier en quatre", synonyme de "faire tout son possible".
Se r’virer sur un dix cenne
Décortiquons d’abord cette expression. Un dix cenne est une pièce de dix centimes de dollars. C’est 10 cents, 0,10$, dix sous, prononcé un peu différemment. Se r’virer, ou se revirer, c’est se retourner.
Une fois ces termes clarifiés il est plus facile de comprendre l’expression. Être capable de se retourner sur une pièce de 10 centimes, c’est être capable d’adaptation rapidement.
Exemple: Son plan a échoué. Il a fallu se revirer sur un dix cennes pour trouver rapidement une solution.
O.P.C!
Si un Français lit une lettre ou un courriel qui se conclu par la mention "OPC", il n'est pas certain qu'il comprendra bien ce que ces 3 lettres signifient.
OPC est l’abréviation sonore d’Au Plus Crisse. Cela veut dire que ça urge, qu'il faut réagir au plus vite! C’est l’équivalent du A.S.A.P américain (As Soon As Possible).
Ça prend pas la tête à Papineau
L'expression fait référence à quelque chose qui ne demande pas une grande intelligence. On utilise cette expression pour dire que quelque chose est simple à comprendre, évidente ou facilement réalisable.
La tête à Papineau fait référence à Louis-Joseph Papineau. Il s'agit d'un politicien célèbre et reconnu pour sa grande intelligence. Il a notemment mené les Patriotes durant la rébellion de 1837.
C’est d’valeur
C'est L'expression québécoise "C'est de valeur" est synonyme de fâcheux, qui est dommage.
Une expression qui provient des amérindiens. Dans leurs conversations avec les canadiens, ils utilisaient souvent des réponses concises. Lorsqu'une situation était importante et nécessitait de réfléchir aux pours et aux contres, ils répondaient que " la chose est de valeur ". Du moins c'est ainsi que les interprètes français le traduisaient. Avoir de la valeur, qui mérite d'être réfléchi en opposition à ce qui ne vaut rien. Par cette expression, l'Amérindien voulait faire entendre poliment à son interlocuteur que ses propos sont dignes d'intérêt, mais qu'il ne veut pas s'engager tout de suite à une réponse. Puisque souvent c'était relié à des choses tristes, l'expression à pris le sens de fâcheux, dommage.
Le Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, dans une lettre adressée à la cour de France le 20 octobre 1691, parle d'une escarmouche avec les Iroquois où ces derniers perdirent quarante-cinq hommes. «Cet échec qui était de valeur pour eux, pour me servir de leurs termes, parce que parmi leurs morts, il y avait de leurs principaux chefs, les ralentit beaucoup»
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jeanchrisosme · 2 months
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Puissiez-vous tomber amoureux de quelqu’un qui connaît votre sombre passé mais ne l’utilise jamais pour vous juger. J’espère que vous tomberez amoureux de quelqu’un qui sait que vous faites des erreurs, mais qui croit toujours que vous continuez à apprendre et à grandir. J’espère que vous trouverez quelqu’un qui se soucie de ce que vous ressentez et qui vous traite toujours avec respect. Puissiez-vous trouver quelqu’un qui ne cesse jamais de vous rendre heureux. Croyez-moi, vous méritez quelqu’un qui vous fasse réaliser que l’amour n’est pas douloureux. Vous méritez quelqu’un qui a de bonnes intentions envers vous. Et j’espère que vous trouverez quelqu’un qui voit votre valeur. Puissiez-vous trouver un partenaire qui ne vous laissera jamais vous sentir inutile avant de dormir la nuit. Puissiez-vous tomber amoureux de quelqu’un qui s’efforce de vous donner le sourire tous les matins. Puissiez-vous tomber amoureux de quelqu’un qui vous aide à surmonter vos insécurités et vos peurs. Peu importe à quel point vous vous sentez désespéré en ce moment et que vous pensez que c’est impossible, j’espère que quelqu’un entrera dans votre vie et vous prouvera que vous méritez d’être aimé correctement. Si ce n’est pas aujourd’hui, j’espère qu’un jour quelqu’un aimera chaque détail de vous. J’espère que vous trouverez quelqu’un qui ne vous laissera pas tomber amoureux seul, quelqu’un qui vous donnera tout ce dont vous avez besoin sans le demander ou le mendier. J’espère que vous tomberez amoureux de quelqu’un qui vous fera sentir que vous êtes la seule personne qu’il aimera de toute sa vie et que vous êtes irremplaçable. Puissiez-vous tomber amoureux de quelqu’un qui vous regarde toujours avec adoration – quelqu’un qui reste amoureux de vous, peu importe l’ampleur des changements dans votre vie. J’espère que vous trouverez quelqu’un qui ne se lasse jamais de se battre pour vous et qui choisit toujours de vous garder, quelle que soit la difficulté de la situation. J’espère que vous trouverez l’amour que vous méritez. Qui que vous soyez, et peu importe à quel point vous pensez être indigne, j’espère que vous tomberez amoureux de quelqu’un qui vous fera sentir que vous n’êtes pas difficile à aimer.
Shiori X
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extrait-livre · 2 months
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"Tu le comprendras, on ne risque rien à devenir ce que l'on est déjà. On connait la valeur de la vie et ce que ça peut apporter d'être au monde. Il ne faut mettre de l'énergie qu'à être soi-même. Se trouver reste la clé."
Frédérique Deghelt - Les brumes de l'apparence
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morphinedoutretombe · 2 months
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Cachée aux yeux de tous... Elle foule un sol jonché de cendres... Ils ont tout brûlé... Qu'une ombre qui parcoure la terre entière pour retrouver un semblant d'existence... Ses pensées s' entrechoquent entre elles... Elle pense à mille à l'heure... Jamais de répit... Tant de questions sans réponses... Que fait elle ici? Pourquoi une telle punition pour une âme égarée? Trop différente pour trouver sa place parmi l'humanité... Par rituel elle réduit en poussière chaque morceau de papier sur lequel elle déverse ses émotions... Espérant devenir insensible... Intouchable elle le souhaite plus que de raison... Comment avancer si elle ferme les yeux sur la réalité ? Et si elle pouvait s' évader par l'esprit ? Et ne laisser qu'une coquille vide... Se brisant au fil du temps... Et si sa voix touchait au moins un coeur meurtri... Cela suffirait il pour la convaincre que sa vie a de la valeur ? Faut il qu'elle perde tout pour mériter ne serait ce qu'une seconde d'attention ? Où s'arrête ce chemin? Conduit il à son caveau ? Est ce que quelqu'un l'attend quelque part?
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ivo-oz · 8 months
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âť„âť„âť„
🄲🄾🄻🄳 🄷🅄🄶
『𝙿̷𝚊̷𝚛̷𝚝̷𝚒̷𝚎̷ 𝟷̷ 』
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Je suis stérile.
Ça, c'est ce que j'aimerais dire pour enfin avoir la paix. On doit tous contribuer à l'augmentation de la population ; trop de gens meurent à cause du froid. C'est notre devoir de faire prospérer l'humanité. Enfin, leur devoir. "Tu en es capable, alors pourquoi restes-tu inutile ?" Ces reproches ne servent plus à rien maintenant. Malheureusement, je ne suis pas assez fort d'esprit pour me trouver une nouvelle raison de vivre.
C'est donc loin dans la forêt que j’ai décidé d'accepter cette faiblesse. Je voulais accueillir le froid dans mon corps, pour qu'il me fasse disparaitre dans la neige... Et c'est là que je l'ai vue. Une femme nue, maudite vision de mon échec... Ce corps déplorable sera donc mon ultime vision... Épuisé, j'essaye d'apaiser mes tourments par le plaisir coupable que m'offrira tôt ou tard son hypothermie...
Mais je n'ai pas mis longtemps à comprendre qu'elle ne partirait pas aussi facilement. Assise à mes côtés, elle m'a bien fait comprendre qu'elle ne m'épargnerait pas sa présence... Cette femme... elle n'a aucune pudeur, aucun respect... Mais d'un autre côté, aucune de ces stupides valeurs qui constituent la société que je hais tant. Rien que pour cela, je pourrais sans doute me faire à cet entêtement d'origine obscure qui la pousse à ne pas me lâcher.
Cela faisait déjà quelques mois, et je m'étais résigné à ne jamais comprendre sa mystérieuse résistance au froid. Mais un jour, quand... j'ai... encore craqué, elle m'a prise dans ses bras. C'était moins désagréable que d'habitude... Pour en revenir à mon propos, sa peau était froide, disons, "cadavériquement" froide. Et après confirmation de sa part, j'ai appris que son cœur ne battait plus, ses cheveux et ses ongles ne poussent pas non plus...
Un fantôme, un esprit de la forêt, qu'importe, cela n'a pas vraiment impotence. J'étais censé quitter ce monde il y a longtemps déjà, mais il m'est impossible de sauter le pas en sa présence... En attendant, je me contente de vagabonder dans la forêt, en me nourrissant de ce qui me passe sous la main.
Les mois passent, et je me désintéresse peu à peu de mes tentatives pour partir, qui me paraissent futiles... À cause de l'ennui, mes conversations avec elle s'éternisent de plus en plus... Finalement, sa présence ne m'est pas si pénible…
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e642 · 4 months
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En 2023 j'ai...
j'ai rencontré une personne, qui au début, n'avait pas vocation à devenir quelqu'un pour moi
j'ai appris à revivre à deux, à faire des concessions, à m'intéresser à l'autre, à ses journées, à aller plus loin que juste ken, me rhabiller et partir
j'ai obtenu une licence en sciences de la vie option maths et physiques appliquées après trois années de galère, de doute et de dégout pour les études, sans mention évidemment
je me suis baignée tous les mois, sans exception, sauf celui de décembre et je le regrette
j'ai arrêté de me mettre caisses sur caisses, en fait, j'ai même arrêté de boire tout court
j'ai pas repris la fumette mais j'ai fait un super space cake, et je me suis toujours dit que ça ne comptait pas comme une reprise si je n'avait fait que manger, elle est loin l'époque des 6 joints par jour
je ne me suis pas coupée, c'est la première année depuis la 5e je crois, soit 10 piges que ça durait presque, j'en pense rien, je souffre toujours de ce manque, et je crois que je ne serais jamais guérie de cette addiction
j'ai eu le code, puis j'ai appris Ă  conduire, plus ou moins bien et sans savoir me garer mais je finirai bien par le passer
j'ai eu une pyélonéphrite qui m'a mise à terre, j'ai cru que mon rein allait éclater mais j'ai eu de la morphine à la fac, quel flex
je n'ai eu aucun master, je n'ai même pas été sur liste d'attente d'une seule fac malgré toutes mes demandes
j'ai dû trouver un plan b, déménager de mon havre de paix et partir dans une grande ville pour prendre en route d'autres études qui me font tout autant galérer mais juste différemment
j'ai assisté au 3e cancer du sein de ma mère, je suis allée la voir à l'hôpital, j'ai essayé de l'aider comme je pouvais en sachant que je en comprendrai pas son mal être
je suis partie une semaine en vacances avec mon mec dans les Cévennes et ça ma fait un bien fou, j'aurais voulu y vivre
je me suis faite tromper et ça m'a beaucoup impactée, ça ne m'a pas fait me questionner sur ma valeur, en revanche, ça m'a fait me questionner sur la valeur des relations et des interactions sociales
j'ai jamais aussi bien fait l'amour et aussi été épanouie sexuellement, une vraie révélation cette année pour ça
j'ai expérimenté une autre sorte de solitude et de fragilité, toutes deux parfaitement meurtrières
j'ai fait très peu d'effort pour maintenir les liens avec les personnes qui sont dans ma vie, à tel point, que je ne crois pas avoir réellement d'amis, juste des gens avec qui je m'entends plus ou moins bien
j'ai fini mon deuil amoureux à tel point que j'ai eu du mal à accepter que je pouvais vraiment penser à personne, que personne ne pouvait me manquer, que je ne regrettais plus rien, que je n'y pensais plus, que j'étais en paix, que c'est comme si ça n'avait jamais existé
j'ai lâché la course et le yoga et ça m'a rendue triste
j'ai vu plus de 100 films, l'écrasante majorité, accompagnée par lui
j'ai régressé, je me suis détestée, j'ai culpabilisé, j'ai pleuré, j'ai mal dormi, j'ai eu du mal, j'ai tremblé, j'ai perdu pied
j'ai pas vomi, une année de plus, yeees
je me suis rendue compte, cette année plus que les autres, qu'il faudrait commencer à sérieusement se bouger le cul si je veux éviter de me bouffer une voiture dans 2 ans
j'ai skié et j'ai détesté ça mais j'ai vu la neige tomber et ça m'a apaisée
je n'ai pas vu de psy
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lisaalmeida · 6 months
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La paresse est une valeur humaine qui est en train de disparaître. C'est fou ce qu'à notre époque les gens peuvent être actifs. Que quelques amis se réunissent le dimanche pour un bon déjeuner, à peine la dernière bouche avalée, il se trouve toujours quelqu'un pour demander: "Alors, qu'est-ce qu'on fait?" Une espèce d'angoisse bouleverse ses traits, tant est grand son désir de faire quelque chose. Et il insiste: "Qu'est-ce qu'on fait? - Mais rien!", ai-je toujours envie de répondre. Pour l'amour de Dieu, ne faisons rien. Restons un bon après-midi sans rien faire du tout. Çà ne suffit donc pas d'être avec de bons amis, de jouer à sentir cet invisible courant qui, dans le silence, règle les cœurs à la même cadence, de regarder le jour décroître sur les toits, sur la rivière, ou plus simplement sur le coin du trottoir?
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J'exagère sans doute. C'est que j'aime tant la paresse, mais la vraie paresse, consciente, intégrale, que je voudrais bien lui trouver toutes les bonnes vertus. Bien sûr elle est comme toutes les bonnes choses, comme le vin, comme l'amour; il faut la pratiquer avec modération. Mais croyez-moi, la terre ne tournerait pas moins rond si ses habitants avaient le courage de se forcer chaque semaine à rester quelques heures bien tranquilles, sans occupation apparente, à guetter les signaux invisibles et puissants que vous adresse le monde vaste et généreux.
Jean Renoir
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petit-atelier-de-poesie · 9 months
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Quelques trucs bien. Juillet 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
M’entraîner à la poésie et redécouvrir les poèmes à forme fixe
Tenir bon face à maman qui lutte et demande (exige parfois) de continuer de faire « comme avant » alors qu’elle n’en a plus la capacité physique et mentale. Savoir que l’enjeu est une question de vie ou de mort. L’accepter pour elle, qui est dans le déni et le chantage affectif
Refaire le monde tard dans la nuit. Revenir avec humilité sur les rêves de jeunesse et le principe de réalité. Et puis me taire et laisser parler les donneurs de leçons
S’habiller dans toutes les nuances de la « Pink Party » et porter des lunettes extravagantes. Décorer le jardin de papier. Siroter un cocktail au romarin. Préparer une playlist de musiques entraînantes. Danser jusqu’à minuit dans le jardin. Faire un peu semblant de voir la vie en rose
Penser la poésie comme un casse-tête, bref me prendre au jeu du son et du sens
Recevoir mon parrain et ma marraine à la maison afin qu’ils prennent conscience de l’état dégradé de maman. Profiter de la vie tant qu’on peut. Les trouver heureusement inchangés, eux
Recommencer à écrire de la poésie. Commencer à s’entraîner pour les #30jourspourécrire
Organiser une Pink Party avec les copines
Aller au cinéma entre filles (ma sœur et mes deux nièces) pour voir Barbie. Rire et pleurer en conscience des injonctions paradoxales. S’en trouver regonflée et rassérénée avec l’espérance d’un avenir d’égalité homme femme
Perdre la face en amenant maman à son activité de bénévole, alors qu’elle n’en est plus capable. Rester en doublon jusqu’à ce qu’elle demande de rentrer à la maison. L’expérience aura duré deux fois 45 minutes, à deux jours d’intervalle. Décider pour elle et moi que c’est la dernière fois
Passer trois jours avec ma fille, son compagnon et le bébé. Pouponner (les trois)
Recommencer Ă  Ă©crire aussi. Tout doucement avec un haĂŻku
Recommencer Ă  lire. Enfin, plaisir des vacances
Dormir, puis faire la grasse matinée, et encore la sieste pour récupérer du sommeil en retard. Étaler la cure sur 3 jours
Finir l’année scolaire sur les rotules et sur les nerfs. Laisser couler les larmes lors de la dernière soirée. Me sentir bizarre encore mais trouver des collègues empathiques
Manger une paella lors d’une tablée à 25 personnes. Me souvenir des repas de famille où c’est ma grand-mère qui était aux fourneaux
FĂŞter des anniversaires en dizaines. Laisser un paquet cadeau incognito et recevoir un message de remerciement le lendemain matin
Attendre le mois prochain pour le défi en écriture annuel. Me sentir pourtant sans ressources
Préparer de nouveaux outils pour les collègues à la rentrée. Tirer bénéfices de la dernière formation avec des pictogrammes
Choisir sur cintre une robe par jour, varier les couleurs avec l’humeur estivale
Apprendre par hasard que mon ex est dans une nouvelle relation sentimentale et qu’il a pris un 3ème poste professionnel. Rien de surprenant, rien à envier. Me sentir soulagée d’être dans ma vie
Acheter un album messager pour mon petit-fils qui grandira avec le regard et les mots de ses parents. Écrire son histoire avec le temps qui passe
Rencontrer la médiatrice des ateliers pédagogiques du Musee d’art concret. Faire des projets ensemble sur la même perspective, celle de la valeur de la culture et de l’art accessible à tous
Écouter les cigales chanter l’été dès le lever du jour : 5h45. Il fait déjà trop chaud
Fêter le départ de la cheffe de service. Me laisser emporter par ses larmes de regret et de reconnaissance. Partager l’émotion
Manger au restaurant d’application et d’insertion dans un cadre magnifique. Trouver une équipe bienveillante et efficace. Prendre des contacts pour le réseau professionnel. Envisager d’en faire un lieu de stage pour les jeunes
Bénéficier d’une formation théorique et pratique, de qualité. Se sentir renforcée pour les nouveaux projets. Envisager des lectures offertes de mythes
Améliorer la maison. S’y sentir confortable
Profiter de l’absence de mon fils pour faire le tri dans les vieilleries : photos, souvenirs, fringues, etc. Me sentir allégée et soulagée
Passer des stridulations des cigales à celles des grillons, plus subtiles. Écouter venir la nuit dans la splendeur rose et bleue du crépuscule
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alain-keler · 1 year
Photo
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Vendredi 18 novembre 2022
Paris photo, visite du vendredi 11 et dimanche 13. Alors pourquoi cette photo de la Tour Eiffel ? Pourquoi ce double copyright ?
 Paris photo est une grande foire à la photo. On y trouve un peu tout et son contraire, je suppose comme toutes les foires. Des remarquables photos perdues dans un univers commercial qui donne le là. Des photos vulgaires présentées de préférence en grand format pour impressionner, mais sans aucune valeur artistique, genre poster à coller sur un mur, et encore il y a des sublimes posters. Il y a aussi le prix : plus c’est cher, plus ça a de chance de trouver des acquéreurs pour impressionner d’éventuels clients qui ne connaissent rien à l’histoire de la photographie. Puis soudain, perdues au détour d’une des nombreuses allées ou l’on se perd, apparaitront des sublimes images sorties tout droit d’un monde que l’on croyait englouti par l’argent roi et le mauvais goût. C’est ça la foire, on mélange les torchons avec les serviettes.
 Et puis il y a cet endroit un peu perdu au fond où se trouvent les éditeurs, ceux qui au prix de difficultés grandissantes sauront trouver l���énergie, le talent et la passion de la vraie photographie pour publier livres et portfolios imprimés. Je ne cite personne mais suivez mon regard. Le livre restera pour la vie portant les images qui resteront vivantes jusqu’à la fin des temps.  
 Trop de monde à Paris Photo, difficile de savourer ce qui doit être savouré, comme une course contre la montre ou seul compte le nombre de stands passés en revue. Le photographe est curieux mais ne se retrouve pas dans ce vaste circuit commercial. Je parle pour moi bien entendu.
 Il fait chaud, c’est bruyant. Une porte s’ouvre comme miraculeusement sur la Tour Eiffel illuminée à la nuit tombante. L’image est tentante, à condition qu’une fois publiée figure le copyright du maitre des lumières. C’est la loi. Il y a des copyrights pour nos photographies, des gravures et autres images d’art. Je suppose que pour l’illumination de notre monument national c’est pareil.
 Le moment et le lieu sont magiques. Cela vaut bien une signature supplémentaire !
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pauline-lewis · 2 months
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Les poussières dorées
J'ai passé toute la semaine dernière à écrire cet article de blog dans ma tête, tant et si bien qu'il n'en reste rien — me voilà donc condamnée à reprendre de zéro. Je crois que je voulais écrire que je suis allée voir Dune au cinéma — la suite, évidemment — et que j'ai aimé certaines choses (le fait que le personnage de Chani ait gagné en profondeur, et Zendaya qui lui donne beaucoup de force) et que j'en ai regretté d'autre. J'ai surtout regretté les choses bizarres du roman qui ont disparu avec cette adaptation. L'enfant qui naît avec les connaissances d'une adulte, les longs trips psychédéliques sous eau de vie qui m'avaient tant marquée sous la plume d'Herbert. Même la chevauchée épique sur le ver Shai-Hulud m'a laissée un peu sur ma faim. Je crois que je ne cesserai jamais de regretter chez Villeneuve sa capacité à lisser les choses. C'est un cinéma qui n'imprime pas vraiment d'images dans ma rétine, comme s'il glissait sur mes yeux. J'ai beaucoup pensé à mon rapport aux images ces derniers jours puisque nous avons regardé par accident un film que nous avions déjà vu, Panic à Needle Park. Je me suis étonnée de ces fictions qui ne laissent pas le moindre résidu en moi quand d'autres déposent leurs poussières dorées jusqu'au plus profond de mon âme. Qu'est-ce qui accroche, qu'est-ce qui s'évapore ?
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Bungalow pour femmes de Raoul Walsh (1956)
J'étais contente, après Dune, de regarder Bungalow pour femmes de Raoul Walsh (je préfère évidemment le titre anglais The revolt of Mamie Stover). Contente d'y trouver le visage en colère de Jane Russell mais aussi les reflets bleutés de ses robes à paillettes, le roux de ses cheveux, le bleu vif de la mer et le jaune du sable. La couleur au cinéma me rend très heureuse, c'est cette augmentation de la réalité derrière laquelle je cours toujours.
Bungalow pour femmes, donc, raconte l'histoire d'une femme qui s'installe à Honolulu après avoir été obligée de quitter San Francisco. Le film fait beaucoup de manières pour ne pas parler de travail du sexe (censure oblige), mais c'est bien de cela qu'il s'agit ici. Le personnage de Russell tombe amoureuse d'un homme sur le bateau, qui lui préfère une femme plus respectable, une femme qui va bien avec sa maison de riche sur les hauteurs de la ville. Mamie Stover commence à travailler dans un hôtel. Elle gagne un pourcentage sur les consommations des hommes et sur les coupons qu'ils donnent par dizaine pour passer quelques minutes avec elle. En parallèle, elle revoit l'homme du bateau avec qui elle développe une relation ambigüe.
Bungalow pour femmes n'est pas vraiment une histoire d'amour mais plutôt une histoire de ce que la société attend des femmes : d'être ambitieuses sans être vénales, d'être désirables sans être trop désirées, d'abandonner leur agentivité entre les mains d'un homme qui n'est pas digne de confiance. Mamie Stover est justement trop — trop vénale, trop corrompue. Impossible pour elle de s'arrêter de désirer de l'argent, plus d'argent, pour sortir de la pauvreté dans laquelle elle a grandi et pour réaliser son rêve : rentrer chez elle, conquérante. Le regard porté sur elle est cruel. C'est un film très dur sur la valeur de l'amour dans une société capitaliste (en un sens le film a fait écho à Simple comme Sylvain de Monia Chokri, que j'ai vu une semaine plus tard, qui est aussi un film assez triste sur le fait que l'amour s'inscrit dans un système de classes sociales, qu'il ne transcende pas les conditions matérielles des amant·es).
Et puis Bungalow pour femmes est très beau — ses plans sur la mer, les contrastes entre les lieux bourgeois et la petite pièce dans laquelle Mamie reçoit les clients de l'hôtel — de la couleur, partout ! Comme beaucoup de films de l'époque, il laisse complètement de côté la colonisation, tous les personnages racisés font de la figuration, quand bien même ce sujet aurait vraiment pu être intégré au propos du film et à son analyse des rapports de domination/pouvoir.
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Come what may
Comme je suis allée voir la comédie musicale à Londres le mois dernier, j'ai replongé dans Moulin Rouge de Baz Luhrmann, un film que je ne pourrai jamais renier sans avoir l'impression d'arracher une partie de moi-même. À chaque fois que je le regarde, je le commence en étant parfaitement rationnelle, une personne de 37 ans qui a désormais vu beaucoup de comédies musicales, à qui on ne la fait pas en somme, et je le termine à pleurer sur Come What May comme si j'avais de nouveau 14 ans et que je faisais partie d'une mailing list de fan fiction consacrée à Ewan McGregor. Je pense qu'aucun film ne me fait ce même effet, et je le porte près de mon cœur tel un collier en forme de cœur en strass rouges qui s'ouvre pour dévoiler des photos du film découpées dans le Télé 7 Jours. J'éprouve une forme de fidélité pour cette ado qui cousait deux ans plus tard Placebo en strass sur un sac Café Privilège donné par sa grand-mère. Elle n'avait pas beaucoup d'ami·es — je lui dois bien d'être la sienne aujourd'hui.
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Écrire !
Bref, tout ça pour dire que j'ai repris le travail sur mon projet sur la comédie musicale. Ça va faire dix ans que j'ai cette idée en tête, que je la reprends et l'abandonne et la reprend et l'abandonne (on repeat). Parfois j'écris dessus ici comme j'écrirais une pensée magique. Je me dis que je vais le faire apparaître comme ça, en en parlant, le faire exister.
J'en suis donc à ce stade habituel de mes projets où je me dis qu'il faut que je lise 150 livres universitaires sur le sujet, livres que j'achète d'occasion sur Internet, que je reçois, que je range dans une jolie pile sur mon étagère, que je lis sans vraiment en retenir grand chose. C'est une forme coûteuse et vaine de procrastination, qui a pour seul but illusoire de légitimer mon écriture. Comme c'est un livre personnel, je pourrais simplement me lancer, d'autant que j'ai beaucoup travaillé l'année dernière à me détacher de mon besoin de citer pour exister.
Bref, il est grand temps que je m'y remette, que je me jette dans le grand bain de l'écriture et autres métaphores. D'autant que mon deuxième chapitre porte sur Brigadoon et sur la nécessité d'ouvrir les portes d'un autre monde ! Une joyeuse perspective ? Une joyeuse perspective !
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omagazineparis · 10 months
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Les stratégies de Mathilde et Pauline Tantot pour réussir sur Instagram
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Les jumelles Mathilde et Pauline Tantot ont réussi à se démarquer sur Instagram grâce à leur stratégie de contenu efficace. Voici les principales stratégies qu'elles ont utilisées pour réussir sur la plateforme. Des photos de qualité professionnelle Mathilde et Pauline Tantot accordent une grande importance à la qualité de leurs photos. Elles utilisent des appareils photo professionnels et travaillent avec des photographes de renom pour réaliser leurs clichés. Elles choisissent des angles et des compositions originales pour se démarquer sur la plateforme. Un contenu varié et créatif Les jumelles publient régulièrement du contenu varié et créatif sur Instagram. Elles partagent des photos de leurs voyages, des séances de photos, des moments de leur vie quotidienne, des tenues de mode, des produits de beauté et bien plus encore. Elles savent comment captiver leur public en proposant un contenu diversifié et original. Une utilisation efficace des hashtags Mathilde et Pauline Tantot utilisent des hashtags pertinents pour augmenter la visibilité de leurs publications. Elles choisissent des hashtags populaires dans leur domaine d'activité et créent également leurs propres hashtags pour marquer leur identité. Des collaborations avec des marques Les jumelles collaborent régulièrement avec des marques pour promouvoir leurs produits sur Instagram. Elles choisissent des marques qui correspondent à leur image et à leurs valeurs, et mettent en avant les produits de manière subtile et créative. En suivant ces stratégies efficaces, Mathilde et Pauline Tantot ont réussi à devenir les jumelles les plus influentes de la planète sur Instagram. Les erreurs à éviter sur Instagram Instagram est l'une des plateformes de médias sociaux les plus populaires au monde, avec des millions d'utilisateurs actifs chaque jour. Cependant, il est facile de commettre des erreurs qui peuvent nuire à votre succès sur la plateforme. La première erreur à éviter est de publier du contenu de mauvaise qualité. Les utilisateurs d'Instagram sont attirés par des photos et des vidéos de haute qualité, donc si votre contenu est flou ou mal cadré, il ne sera pas apprécié par votre public. Les hashtags sont utilisés pour aider les utilisateurs à trouver votre contenu, donc si vous n'en utilisez pas ou si vous utilisez des hashtags inappropriés, votre contenu ne sera pas facilement découvert. Enfin, ne pas être authentique est une erreur à éviter. Les utilisateurs d'Instagram apprécient les personnes qui sont authentiques et honnêtes, donc ne prétendez pas être quelqu'un que vous n'êtes pas ou ne publiez pas de contenu qui ne reflète pas votre personnalité. En évitant ces erreurs, vous pouvez augmenter votre succès sur Instagram et attirer plus de followers. Read the full article
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claudehenrion · 3 months
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Et bla... et bla... et bla...
De manière un peu unilatérale, j'avais décidé de ne pas faire de compte-rendu du ''discours du renouveau'' macronien, cette ''séance de sauvetage du quinquennat'', cette ''conférence de la dernière chance''... et ces deux heures et demie (Ouf !) pour la refondation de la nation (dans l'Europe, évidemment !), de la démocratie rebaptisée, de l'histoire du monde réinventée, de la pensée progressiste en plein désarroi et –cercle bouclé-- de l'Europe anthropophage. Mais j'ai des excuses : je me suis ''tapé'', par le passé, nombre de ces séances soporifiques (je n'y peux rien : notre président m'endort : ''je n'imprime pas'' !) pour vous en raconter le non-contenu... en me tire-bouchonnant souvent les circonvolutions pour trouver quelque chose à dire...
Ce mardi était un peu particulier : d'abord, je sortais à peine d'une intervention chirurgicale qui m'a libéré (j'espère !) d'un cancer, visible à en être dérangeant –NDLR : je n'en avais pas dit mot, avant : ''Never complain, never explain'', nous répétait mon Père. Et, ne pouvant pas être devant mon récepteur, j'avais ''zappé'' la séance, trop content... tout en imaginant un récit ''ante-post'' de ce que je pensais que serait cette punition. Et le lendemain, devant l'effondrement de l'Audimat (19 millions juste avant, et 7,3 millions ensuite... autrement dit, en termes d'audience, 3 fois rien) et devant les commentaires ''tout-sauf-enthousiastes'', j'ai pensé que j'avais ''imaginé juste''.
Mais c'était compter, amis-lecteurs, sans votre curiosité : vous m'avez aussitôt, en grand nombre, fait l'honneur de me demander de vous en parler... comme si ma voix ''clamantis in deserto'' pouvait avoir la moindre valeur devant celle de ''Jupiter-Chrysostome'' (= ''qui parle d'or'' !) ! Du coup, je me suis tapé un ''replay'', à votre santé, et me voici prêt à vous raconter... rien. Rien, au point que c'en est triste ! Mais avant, il faut parler du ''teasing'' : rarement, autant de ''temps d'antenne'' n'a été dépensé pour nous persuader que se préparait un événement d'une amplitude jamais vue jusque là ! Ceux qui ne seraient pas dans leur canapé, devant leur récepteur, au moins deux heures avant le coup d'envoi... ne seraient pas certains de trouver une place assise ! La question suivante est, évidemment : ''Pourquoi un tel foin pour rien ?'' (Car eux (et lui) savaient la taille abyssale du vide à venir ! De deux choses l'une, ou bien il n'est pas intelligent, ou bien il a perdu tout contact avec le réel –ce qui revient un peu au même : il faudra bien qu'on m'explique sur quoi repose la réputation de mec intelligent qu'on lui fait sans cesse –et sans explication.
Mais ne nous égarons pas : Jupiter avait donc réuni la fine fleur de ce milieu (plus à gauche qu'au milieu, à quelques rares exceptions près), pour que les membres de cette confrérie lui servent la soupe, le mettent en valeur, et lui permette de briller (''Voyez comme j'ai bien révisé mon ''Grand Oral''!''). D'ouverture, il a tracé un tableau surréaliste de ce qu'il croit être la France. En résumé : ''tout va mieux qu'à mon élection''... ''j'ai réalisé 70 % de ce que j'avais promis''... et ''circulez, y a rien à voir''... au prix, tout de même, de quelques (NB : lire : ''pas mal de'') mensonges aussitôt relevés par les quelques opposants interrogés (le ''plat du jour'' étant son serment que Dati n'avait jamais dit qu'elle se foutait de la culture puisqu'elle n'est intéressée que par Paris ! Dans un moment de lucidité rare, il a même osé dire : ''vous n'allez pas me croire''... Bingo ! Je suis prêt à parier que pas un seul français ne l'a cru, ce qui est un beau succès d'audience !
Ensuite, il a parlé de l'école, dans un grand moment de ''décrochage du réel''. Constat : ''derniers en maths, et dans toutes les autres matières''. Réponse : ''une heure d'instruction civique'' ! Même chose sur tous les autres sujets, et notamment, à propos de Crépol, ce mensonge sur ''des jeunes désœuvrés qui tuent le temps'' (en tuant des blancs ?). Son but unique semble être de réussir à ne pas dire –contre toute évidence-- qu'il y a un lien entre criminalité et violence, d'une part, et immigration, incontrôlée ou pas, de l'autre.
Ensuite, on a eu droit à un grand coup de ''rabia'' puérile contre le RN, ce qui est inadmissible, venant du responsable en chef de l'unité de la Nation, ''président de tous les français'' et pas chefaillon d'un parti (pris , en plus !). Président de tous... sauf des 35 à 40 % qui ne sont pas européo-progressistes'' ! Ce moment de gêne palpable par sa véhémence et la violence qu'il ne cachait même pas était pitoyable et impardonnable'. On dirait qu'il n'a toujours pas compris qu'il a été élu : il est toujours en campagne contre Marine le Pen ! Tassé à côté, le pauvre Attal faisait peine à voir, voyant traiter à sa place tout ce qui est de son ressort de premier ministre.
Le ''PR'' a aussi parlé ''démographie'' : le cassage de gueule de la nôtre est directement dépendant de la stupide décision de hollande de détruire notre ''triptyque nataliste'', un des plus beaux succès de la IV ème République : allocations sans condition, quotient fiscal et crèches... c'est aussi simple que ça ! Tout le monde sait qu'il suffirait d'abolir toutes les hollanderies néfastes pour que tout se remette à bien fonctionner... Sauf lui !
Autre grand moment : ''j'ai consulté les plus grands spécialistes... qui m'ont convaincu que trop de temps devant les écrans n'est pas bon pour les enfants, surtout de moins de 2 ans (ou 5... peu importe !)''. On se croyait revenu aux beaux jours des conneries covidiennes où ''les savants-sic'' recommandaient le confinement, l'intubation, les éternuements dans le genou, les vaccins en 6, 8, ou 14 exemplaires, et la position debout sur les plages... entre autres folies XXL … dont pas une seule n'a survécu au ''jugement de l'Histoire'', comme prévu !
Dernier point qui mérite d'être relevé, car il est gravissime pour tout ce qui va suivre… ou pas : voilà un homme qui vole d'échec en échec depuis bientôt 7 ans... qui appelle ''succès'' chaque nouvelle tuile dont il accable le peuple français... qui a dressé les différentes composantes de la Nation l'une contre l'autre à tour de rôle (avec un succès égal à celui du Pape François pour ses ouailles)... dont tous les systèmes de référence sont démontrés mauvais l'un après l'autre... mais qui n'a pas honte de nous resservir, deux fois en deux heures, son abominable ''et en même temps'', responsable de tant des malheurs que nous devons à ses deux mandatures...
Et 48 heures après cette prestation sans prestance ni prestige, il a filé à Davos, ce Saint des Saints du complotisme mondialiste : seul chef d'Etat à avoir du temps à perdre dans cet antre de la pensée perverse, il va psittaciser son idée fixe : l'Europe, qui a échoué sur à peu près tout et dans à peu près tous les domaines, doit être relancée ! D'après lui,  elle échouerait parce qu'il n'y a ''pas assez d'Europe''. Gribouille a, pour beaucoup moins que ça, laissé un souvenir impérissable –mais ridicule-- dans la littérature mondiale. J'ai, vraiment, ''mal à la France'', après m'être ''pelé'' ce ''replay'' d'un moment si triste... Pourvu qu'il n'y en ait pas trop : je n'y résisterais pas !
H-Cl.
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