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#être de Lumière et d’Amour
energiologue · 2 months
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LA LIBÉRATION DE LA TERRE A COMMENCÉ !
. . Le Conseil Intergalactique d’Andromède Salutations, dans la Lumière et l’Amour de notre Créateur Infini, La Divulgation est en train de devenir le premier plan de votre réalité perçue. Dans les coulisses, il y a ceux qui travaillent pour les Humanités et la libération de la Terre. Libération des êtres qui vous ont tenus en captivité pendant la plus grande partie de votre existence.…
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praline1968 · 5 months
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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jeanchrisosme · 4 months
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Mi-femme, mi-enfant. Avec elle, vous pourriez manger des bonbons pendant des heures ou lui faire l’amour toute la nuit. Elle était de celles qui, quand elle te regardait, te regardaient avec son âme, Une de celles qui, si elle vous souriait, le faisait avec toutes les parties de son corps. Elle était de celles à qui l’on pouvait parler pendant des heures, la caresser, Elle ne se lasserait jamais d’attirer un peu d’attention. Mais elle se cachait toujours, Elle se cachait dans ses fragilités, dans ses silences. À l’intérieur de ses pupilles, il y avait de l’amour, Un tsunami d’amour qu’il voulait donner, mais que personne ne voulait. Vous connaissez ces étoiles qui brillent de leur propre lumière ? Ceux qui pourraient éclairer une galaxie entière, Ceux qui, si vous les touchez, vous brûlent mais vous ne pouvez pas vous empêcher de les regarder Et tu voudrais les toucher, Et vous aimeriez les serrer dans vos bras. On ne rencontre des gens comme elle qu’une fois dans sa vie. Et il faut être vraiment stupide pour la faire fuir. Ou vous pouvez l’admirer de loin, Vous pouvez aimer ses traits, ses lèvres, ses yeux. Vous pouvez admirer la façon dont il illumine tout ce qui l’entoure, Vous pouvez admirer tout ce qui est. Parce que quelqu’un comme elle, ou la serrer contre toi toute ta vie, ou le regretter pour toujours.
Charles Bukowski
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Quelques trucs bien. Avril 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Jardins du Musée International de la Parfumerie. Mouans-Sartoux
Participer aux travaux de rénovation chez mon amie P. Ouvrir l’espace à la lumière. Mais me sentir toujours cloisonnée à l’intérieur 
Avoir la satisfaction du travail accompli jusqu’à la fin des vacances de printemps 
Pleurer à chaudes larmes devant ce film qui évoque l’adoption. Repenser à mes enfants petits et tout ce que j’ai pu leur dire d’amour 
Inviter des amis de maman. Nous faire plaisir des retrouvailles 
Me réveiller avant l’aube, déjeuner, lire et me rendormir au petit matin sans mettre de réveil 
Me promener avec la poussette dans les jardins en fleurs. Nous laisser baigner de lumière et d’odeurs 
Composer un bouquet de fleurs sauvages du jardin : iris, fleurs d’ail, pois de senteur, boutons d’or 
Commencer et finir un bouquin entre la veille et le lendemain : « Une nuit particulière »
Entendre mon petit Mateo commencer à s’entraîner à dire « papa »
Aller boire un verre de vin blanc en terrasse. Être surprise par un double arc-en-ciel 
Écrire. Encore. Comment la poésie est devenue un nid…
Cueillir pour maman un bouquet de fleurs sauvages dans le jardin 
Apprécier le passage à l’heure d’été. Rallonger les journées 
Partir en fou rire au souvenir d’un fou rire 
Garder mon petit Mateo. S’accorder ensemble sur le rythme 
Partager une invitation au soleil avec ma sœur chez des amis. Évoquer le temps qui passe et l’âge qui n’y fait rien, les questions d’identité qui se renouvellent et se précisent tout au long de la vie
Organiser le premier apéro de la saison dehors dans le jardin 
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thedarkbelowrpg · 5 months
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Mythe de la création
A l’origine, il n’y avait rien, simplement le néant. Se manifesta alors Eorr, être suprême venu au monde du néant lui-même dans un chaos fulgurant qui créa avec lui les étoiles et les galaxies. Eorr s’employa à créer des choses, avec sa formidable puissance, façonnant des mondes incroyables, des planètes remarquables et même des univers entiers. Iel regardait ses mondes vides se développer, changer au fil des saisons, au fil du temps qui s’écoulait avec une lenteur infinie. 
Mais Eorr s’ennuyait, seul dans ce monde, n’ayant pas encore créé la vie. Iel se décida donc à créer d’autres êtres pour peupler ce monde gigantesque qu’il avait bâti. Iel s’enleva une côte et s’en servit pour créer Ancaster, qu’iel nomma comme dieu de la vie. Avec ses cheveux, iel créa les jumelles Sahar et Solair, déesses de la nuit et du jour, de la lumière et des ténèbres. Iel donna ensuite l’un de ses yeux, pour créer Anondar, dieu de la sagesse et du savoir. Répandant son sang dans la terre, iel créa Kehala, déesse de la mort. D’un de ses rêves, s’échappa Shandrea, déesse du monde onirique Et enfin, de sa langue naquit Enoch, dieu de la noblesse et de la parole.
Eorr s’amusa de voir ses enfants grandir et se disputer, essayant de savoir qui recevait le plus d’amour de leur parent. Chacun d’entre eux créant des miracles pour l’impressionner. Iel aimait les voir jouer et leur donna, à chacun, le pouvoir de la création. Les dieux décidèrent d’un jeu, pour déterminer qui était le préféré de leur parent. Ainsi naquit la vie, d’abord des animaux, puis des créatures magiques en tout genre et, enfin, les peuples magiques. Chacun d’entre eux avaient créé un peuple et celui dont le peuple serait le dernier survivant serait forcément le préféré. Ils se servirent des incroyables pouvoirs offerts par Eorr pour infuser de la magie dans les éléments du monde et créer, chacun un peuple entièrement différent.
Ancaster, dieu de la vie, décida de créer un peuple qui pourrait gouverner toute vie sur Terre. Comprenant les animaux du monde, les Changelings étaient doués du don de métamorphose et pouvaient communiquer avec les autres formes de vie. 
Sahar et Solair, déesses respectives de la lune et du soleil, décidèrent qu’elles infuseraient leurs pouvoirs dans les éléments de la nature, pour leur donner ainsi vie. Les Nymphes sont des protectrices de la nature et peuvent se servir des éléments pour se battre. 
Kehala, déesse de la mort, créa un peuple qui provenait de son propre royaume, perdu entre les morts et les vivants. A la nature changeante et complexe, les Psychiques sont des êtres à la morts et vivants, aux dons mentaux incroyables.
Shandrea, déesse des rêves et cauchemars, ne fit que rêver de ce qu’elle voulait créer. Mais son rêve devint cauchemar et elle créa ainsi les Croquemitaines, créatures d’effroi à la forme monstrueuse, se nourrissant de toute vie et faits de ténèbres.
Enoch, dieu de la noblesse et de la parole, souhaita l’emporter en créant une race puissante et aux idéaux grandioses. Les Dragons contrôlaient les métaux de la terre et se montraient nobles et valeureux en toutes circonstances. 
Anondar, dieu de la sagesse et du savoir, ne voulait pas participer à ce jeu, trouvant ridicule de se battre entre eux et voulant qu’ils vivent et œuvrent en harmonie. Il décida de créer une race qui n’aurait aucun pouvoir, autre que leur intelligence. Il créa les Humains. 
Pendant des millénaires, ces peuples vécurent sur Terre, s’opposant et se battant, sans qu’aucun vainqueur véritable ne se détache. Chaque peuple recevait des messages des dieux, des présages et des cadeaux pour les aider, puisque tous pouvaient intervenir dans le monde de la manière qui leur plaisait. Mais le jeu n’était cependant plus aussi amusant si personne ne pouvait gagner ou perdre. Alors les dieux, d’un commun accord, décidèrent de répandre sur Terre la magie qu’Eorr leur avait confiée. Ils créèrent des lignes de force et des puits magiques partout sur le monde, où chaque race pouvait recevoir plus de force et de savoir. Mais les dieux n’avaient pas prévu un détail : ils avaient tous été trompés car Eorr avait eu un dernier enfant. 
Larkhan, dieu de la tromperie et du mensonge, était sorti de l’oreille de son parent, minuscule comparé aux autres dieux, et s’était caché tout ce temps pour observer les jeux des dieux. Usant de ruse, Larkhan s’empara de la magie laissée sur Terre par les dieux, empêchant les peuples de s’en servir, ne laissant qu’un seul et unique puits. Grâce à ce puits, il créa les Magiciens à partir des Humains, seul peuple à ne pas faire partie de la magie mais à pouvoir l’utiliser selon leurs bons vouloirs, comme lui. 
Le jeu prit une toute nouvelle tournure, dominé par les Magiciens, qui avaient entraîné avec eux les Humains pour vaincre les autres races et s’emparer de leurs pouvoirs. Les pertes furent nombreuses et le monde fut sur le point de mourir quand Eorr intervint. Si iel aimait voir ses enfants se disputer, iel n’allait pas leur laisser détruire sa création. Iel bannit ses enfants, les forçant à résider chacun dans un monde où ils étaient enfermés et libres de faire ce qui leur plaisait. Quant à ellui, iel surveillerait le monde qu’iel avait créé et les peuples qui l’habitaient. Iel choisit les Humains, race inoffensive, pour diriger le monde et cacha les autres, dotant chacune du pouvoir de se dissimuler sous forme humaine.
Depuis, le secret magique est une règle absolue de tous les peuples, l’enfreindre, c’est risquer de déclencher la fureur d’Eorr. Tous les peuples respectent cette règle et tous cachent la magie aux Humains qui règnent sur le monde. Eorr fit également signe à tous les peuples d’arrêter de se battre, que la guerre entre eux devait se terminer. Et la cohabitation fut difficile, la paix règne depuis lors entre les six peuples magiques. 
Secret magique et cohabitation sont les maîtres-mots de la vie aujourd’hui. La société magique vivant bien tranquillement à l’abri des regards humains. Mais quelque chose couve, une ombre s’approche que tout le monde n’est pas encore capable de voir…
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coeurencrise · 10 months
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Une lumière dans l’obscurité.
Quels mots poser ? Je n’ai plus rien. Pas de beauté à faire jaillir de ce sombre événement. Pas d’artifices, nulle verve créative. Rien.
La perte de ta chaleur est anéantissante et à nouveau, ce que représente la mort perd de sa mystique abstraction parce qu’elle m’est jetée à la figure.
Où es-tu, mon bébé ?
Dans les moments de tristesse, tu étais ma seule joie. Mon réconfort.
Je crois en Dieu et au paradis, mais je n’arrive pas à t’imaginer là-bas. C’est trop tôt pour moi.
Je t’aime encore. Je t’aime trop et à la fois pas assez. J’avais encore de l’amour à cultiver et à te donner. Je t’aime tellement et je t’aimerai toujours. Pourquoi faut-il que je parle de toi au passé ?
Mon ange, mon refuge, mon tout. Une créature de moins d’un mètre m’arrivant au-dessous des genoux. La douceur de ton tout petit corps, la tendresse de tes pattes. Tes oreilles adorables aux messages les plus mystérieux et secrets.
Bien plus qu’un animal de compagnie, bien plus qu’un chat, bien plus que la forme à laquelle ils te réduisent. Tu étais une partie de mon âme. Mon sauveur. Il me suffisait de te regarder pour trouver un semblant de joie et de paix dans la vie. Tu donnais un sens à mon existence et à toi, je dédie tout.
Que vais-je faire sans toi ? Que faire d’une vie sans toi ?
Je savais que ce jour viendrait, mais pas aussi tôt, et pas aussi brutalement.
Est-ce que Dieu a conscience de ce qu’il m’a arraché ?
Je veux bien me dire que tu es parmi les étoiles et que tu brilleras à jamais et pourtant, que c’est dur de l’accepter.
Kuro. Le flambeau de mes jours. Dès que je te voyais arriver dans la pièce, tout s’illuminait et tout revenait à sa place. Tu plaçais des repères dans mon quotidien, m’aidais à calmer mes songes.
Kuro, pour une personne dépressive comme moi, pour une personne qui a tant de mal à aimer la vie, tu représentais l’infini. La perspective d’un lendemain, d’une vieillesse. Je me préparais à grandir et vieillir avec toi, pour pouvoir aussi bien accueillir la vie que la mort, mais voilà que tu es parti.
J’essaie de me consoler en me disant que tu es dans un monde meilleur, parce qu’il ne doit pas être difficile de trouver plus agréable que celui-ci…
Malgré ça, rien n’apaise mon chagrin. Que vais-je faire sans toi, mon Kuro ? Que vais-je devenir ?
Tu n’as jamais prononcé le moindre mot mais dans la douleur, il n’y avait que toi. Il n’y avait que toi quand je repensais à mon viol en décembre, en larmes sur le canapé, il n’y avait que le poids de ton corps sur le mien pour me consoler. Dans la solitude, tu étais là. Tu avais le pouvoir de tout changer.
Est-ce que tu étais magicien ?
Pour une fille triste comme moi, il n’y avait que toi. Tu évoquais quotidiennement, à tes simples apparitions, l’émerveillement le plus total. Le ravissement pour la vie et ses mystères. J’étais en adoration devant toi. Un si petit être rempli d’amour. Un petit être vivant de caresses et de croquettes. J’aurais pu continuer à te câliner jusque le ciel s’effondre sur ma tête.
Que je t’aime.
Que je t’aime, mon amour. Que je t’aime.
C’est si douloureux. Si douloureux de savoir que je ne peux même pas te dire adieu.
Mon Kuro, je t’aime.
J’espère qu’on se retrouvera un jour et que tu dors paisiblement au paradis des chats. Que tu as aimé ta vie avec nous.
Merci pour ces aventures. Merci pour l’espoir et la foi que tu m’as donné. Merci pour ces trois ans de bonheur.
La vie avec toi, c’était comme un long dimanche…
Merci pour tout mon bébé. Mon Kuro d’amour. Mon chou bébé, comme je disais.
Je ne t’oublierai jamais, et il y aura toujours une place pour toi dans mon cœur, mes rêves, mes ambitions.
Repose en paix.
Je t’aime.
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mysadecstasy · 1 year
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Retrouvailles
A dos de murène je fends les airs comme un glaive d’or La fougue cuirassée des premiers instants est intacte Par-delà les mers j’avale les horizons Je dévore le temps perdu Je cours vers tes bras chauds comme du sang Vers tes bras doux comme des roses Vers ton cœur en camisole Extasié sur nos heures dévorées Avant le déluge Avant le massacre Le recommencement me tend ses bras miséricordieux A travers les brumes je sens poindre une nouvelle aube Un nouveau soleil craché au son déchiré Déchiré comme des violons rances Dans la beauté de la violence d’une apparition Avec la grâce d’un dévoilement sublime Au loin se tisse la toile des rêves à accomplir Dévêtir son âme Enduire son cœur Entre les mascarades Nu sous le ciel lourd comme mille pyramides je cours vers mon espérance Tu es là quelque part Sans doute entre mes mains ou entre mes rêves dansants Peut-être au-delà des doutes épais Dans les gorges escarpées des désirs insatisfaits Je t’imagine Enlacée à l’attente Suave de détachement Oublieuse des premiers désirs Exaltée comme une ondine dans des eaux limpides Unique et diaphane devant l’éternel Ton aura dévore les nuits sauvages de tes incertitudes J’arrive ma jolie Ma reine J’arrive en ton sein mielleux Me blottir et panser mes douleurs J’arrive à dos de murène par-delà les mers déchaînées Noires comme l’ébène Sauvages comme des hommes Ecumeuses comme tes saccades de plaisir Dormante que tu étais en ce jour de juin Quelque part entre la félicité et une rivière gracile Les herbes hautes caressant ton visage Bouche entrouverte Soleil planté J’admirais l’éternité Et plus tard à la fête du village nous jouions à attraper des peluches Le mauvais alcool embrumait nos yeux étourdis d’amour Cinq mille deux cent quarante-sept pas jusque la maison nichée dans la colline La douce odeur du pin et du thym La couche défaite de la veille Sous le drap blanc Un dernier verre Grand égarement de nos plaisirs dans l’immense pièce chaude Grand égarement de nos envies entre nos bras coulants de plaisir Elle était belle la nuit Étirée comme la traîne d’une étoile filante Enivrée comme les bouteilles vides sur la table en bois C’est partout la famine Et nous dévorons comme des gloutons Jusqu’à la perdition de la satiété avide Mes mains dans les tiennes Drapées de pureté Excitées de désirs fou La nuit s’étirait vers sa belle mort Et c’est mars à l’horizon qui brillait encore dans la lumière cuivrée de l’horizon L’aube sublime Lumière d’empyrée Dévasté le noir gluant pointillé d’argent Lumière Lumière sur notre amour Mais alors Quand avons-nous quitté la route Quel jour sonna le grand fracas Un mercredi peut-être… Qu’importe Un jour funeste certainement La nuit La longue traversée Sans repère ni promesse Suffoquant la peine Suffoquant comme un crucifié jusqu’à apercevoir la lumière Un point Plus petit que ton sein Mais un point d’or et de feu Dans mon immuable certitude Sur le dos de ma murène je viens à toi Je viens à toi reconstruire notre pyramide Les mains en sang peut-être La soir terrible sous le travail harassant Mais par amour tout devient juteux Tout devient juste et grand même l’impossible
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marie-swriting · 1 year
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Pour Toujours - Chrissy Cunningham [Partie 1]
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Stranger Things Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu profites de tes vacances d'été avec Chrissy mais plus septembre se rapproche, plus ça devient compliqué de voir Chrissy alors que tout ce que tu veux faire, c'est lui dire "je t'aime" pour la première fois.
Warnings : angst, fin triste, un peu d'homophobie intériorisée, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4.2k
Chanson qui m'a inspiré : Single In September par Zolita
La lumière du jour te force à ouvrir les yeux. Tu vois le soleil installé dans le ciel bleu, te faisant comprendre que la journée a commencé depuis plusieurs heures. Tu poses tes yeux sur le visage de Chrissy face à toi. Elle dort encore paisiblement. Tu regardes son visage illuminé par le soleil et tu te dis que tu pourrais t’habituer à cette vue. Tu pourrais t’habituer à l’idée de te réveiller avec Chrissy à tes côtés pour le restant de ta vie. Elle bouge légèrement, faisant tomber une mèche de cheveux sur son visage. Tu te rapproches et remets ses cheveux en place. En sentant ton touché, Chrissy papillonne des yeux avant de te regarder. 
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller, murmures-tu, Chrissy secoue la tête. 
-Tu es réveillée depuis longtemps ? questionne-t-elle d’une voix endormie.
-Il y a à peine une minute.
-Il est quelle heure ?
-Presque dix heures, réponds-tu, la faisant froncer les sourcils. 
-Tu ne dois pas retrouver Eddie à dix heures ? 
-Si, mais on peut encore rester dans le lit, affirmes-tu en la prenant dans tes bras.
-J’adorerais, mais si tu veux être à l’heure pour voir ton meilleur ami, tu dois partir dans peu de temps et je dois commencer ma valise, de toute façon.
-Est-ce que tu tentes de me virer de chez toi ?
-Non, j’essaye de préserver ton amitié. Et puis, je ne voudrais pas lui donner une autre raison de me détester, précise Chrissy en se levant du lit.
-Il te déteste pas.
-Il n’aime pas les populaires.
-Il n’aime pas les harceleurs, corriges-tu. Toi, tu es une personne gentille, populaire ou pas, donc il t’apprécie. Et puis, même si ce n’était pas le cas, il n’a pas son mot à dire. 
-Ça reste ton meilleur ami.
-Bref, coupes-tu court à la conversation en quittant le lit. Je vais aller me préparer comme une certaine personne veut absolument que je parte de chez elle.
Chrissy ne prend même pas le temps de répondre à ta phrase dramatique, elle embrasse seulement ta joue. Ensuite, tu quittes la chambre avec tes affaires de toilettes. 
Quand tu es prête, tu retrouves Chrissy, le nez dans son placard, et de nombreux vêtements étalés sur son lit et d’autres déjà pliés dans une valise. Chrissy part en vacances le lendemain pendant deux semaines. Tu appréhendes un peu, car vous n’allez pas pouvoir vous voir et c’est déjà compliqué pour vous d’avoir des moments seule à seule. 
-Tu sais si tu pourras m’appeler ? demandes-tu, nerveusement. 
-Je ne suis pas sûre, mais je pense que ça va être compliqué. Mes parents choisissent toujours un endroit perdu, encore plus qu’Hawkins, pour réellement se couper du travail. Si j’ai accès à un téléphone, je t’appellerai à la première occasion, promis, t’assure Chrissy en prenant tes mains dans les siennes. 
-Je n’en doute pas. J’espère juste que je ne serai pas occupée au travail quand tu pourras m’appeler. 
-On trouvera forcément un moment pour se parler. 
Chrissy te prend dans ses bras pour te rassurer. Tu t’abandonnes dans son étreinte, appréciant son corps contre le tien pour la dernière fois jusqu’à ce qu’elle rentre de vacances. Quand vous vous séparez, vous vous embrassez passionnément, comme si vous vouliez partager deux semaines d’amour en un baiser. Quand vous manquez d’air, tu poses tes lèvres sur sa joue droite avant de prendre ton sac et de partir de chez Chrissy. 
Quand tu arrives chez Eddie, il t’attend devant sa caravane, une cigarette en main. Lorsqu’il te voit arriver, il prend un faux air énervé en pointant une montre imaginaire sur son poignet.
-On avait dit dix heures, pas dix heures et demi.
-Tu es mal placé pour parler ! rétorques-tu. Est-ce que je dois te rappeler que pour tes examens de l’année dernière, j’ai dû déregler toutes tes pendules pour que tu sois à l’heure ?
-Ouais, mais le lycée, c’est pas un meilleur ami. Allez viens, faut que je te parle de ma dernière campagne, j’ai besoin de conseils, déclare-t-il en mettant son bras autour de tes épaules pour te traîner dans la caravane. Je suppose que Chrissy est la raison de ton retard.
-Elle part demain pendant deux semaines, alors il fallait bien qu’on profite de nos derniers moments ensemble. Et si ça avait tenu qu’à moi, je serais encore dans ses bras actuellement, avoues-tu en t’asseyant à la table de la cuisine.
-Awn, regardez qui est tout cucul pour son béguin pour la cheerleader du lycée, se moque Eddie en te pinçant les joues.
-Si tu veux mon aide, je te conseille d’arrêter, menaces-tu faussement en enlevant ton visage de ses mains.
-Je te taquine, je vois bien que t’es heureuse avec elle.
-Plus qu’heureuse, même ! Je… Je crois, non, commences-tu avec un sourire, je suis sûre que je l’aime, Eddie. Je sais que c’est idiot de dire ça car ça pourrait être un simple amour de lycée, mais j’ai envie de penser qu’elle est l’amour de ma vie. En me réveillant ce matin, j’avais juste une envie : rester auprès d’elle pour toujours.
-Tu devrais lui dire. 
-Je vais le faire, quand elle sera rentrée, informes-tu d’un air déterminé. Ça sera pile au moment où mes parents partiront pour leurs propres vacances alors je pourrai organiser quelque chose de spécial pour le lui dire. Elle ne le dira sûrement pas en retour, car on sort ensemble que depuis cinq mois et qu’elle essaye encore de comprendre des choses, être avec une fille est tout nouveau pour elle, mais je veux lui dire, énonces-tu alors qu’Eddie te regarde avec un sourire affectueux. Enfin, bref, on est pas là pour parler de ma relation avec Chrissy, termines-tu et tu prends le cahier d’Eddie pour l’aider. 
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Depuis que Chrissy est partie, tu n’as pas eu de nouvelles. Tu n’as pas reçu un coup de fil, ni chez toi ni au travail. Quand tu as commencé à travailler au Diner d’Hawkins, tu lui as donné le numéro de ton job au cas où elle en aurait besoin, mais apparemment, elle ne va pas s’en servir dans les prochains jours. Elle t’avait dit qu’elle aurait dû mal à te contacter, tu ne devrais pas être étonnée, mais tu ne peux t’empêcher d’avoir un pincement au cœur. Elle te manque. Tu veux au moins entendre sa voix. Par conséquent, tu tentes de t’occuper un maximum, espérant ne pas penser à elle. C’est un échec. Alors, tu comptes les jours jusqu’à son retour. Quand est enfin arrivé le jour de où les Cunningham reviennent à Hawkins, tu attends de rentrer du travail pour essayer de l’appeler. Tu as pensé à le faire toute la journée, mais tu ignorais à quelle heure Chrissy devait rentrer, alors tu as attendu jusqu’à la fin de ton service. 
Le numéro de Chrissy composé, tu attends, le téléphone à ton oreille droite alors que ta main gauche joue avec le fil du combiné. Tu penses que tu n’auras pas de réponse, mais Chrissy répond à la dernière seconde. Quand tu entends sa voix, ton cœur loupe un battement. Que sa voix t’avait manqué !
-Hey, c’est Y/N. Je ne te dérange pas, j’espère ? lui demandes-tu. 
-Non, ne t’inquiète pas. Je viens tout juste de vider mes valises.
-Tu fais partie de ces gens qui défont leurs valises à peine arrivés ? Pourquoi ça ne m’étonne pas, notes-tu, la faisant rire. Alors, comment se sont passées tes vacances ? 
-Plutôt bien. J’ai passé un bon moment avec mes parents et mon frère.
-Je veux que tu me racontes tout ! Ça te dit si on se voit demain ? C’est mon jour de repos.
-J’aurais adoré, mais le voyage jusqu’à Hawkins a été fatiguant, je pense me reposer demain et il faut aussi que je commence à préparer mes affaires pour la fac, répond-elle en baillant. 
-Oh…, dis-tu, déçue, on peut se voir à un autre moment ? Tu connais mes horaires au travail, appelle-moi quand tu veux qu’on se voie, proposes-tu.
-Je le ferai.
-Super. Je ne vais pas te déranger plus longtemps, je t’ai…, commences-tu avant de te reprendre, j’te souhaite une bonne nuit.
-Bonne nuit à toi aussi.
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Chrissy et toi avez mis un peu plus d’une semaine pour trouver le jour parfait pour vous voir. Soit tu travailles, soit Chrissy doit faire quelque chose pour ses parents ou l’université. Vous avez tellement bataillé que tu as pu remarquer que Chrissy est plus occupée que toi, alors qu’elle ne travaille pas. Quand vous avez réussi à trouver une date pour votre rendez-vous, tu as eu un grand sourire sur ton visage toute la journée, ce qui t’a valu plusieurs taquineries de la part d’Eddie.
Le jour où vous devez vous retrouver, tu tentes de cacher ton excitation. Ne pas être proche d’elle pendant trois semaines a été une réelle torture. Tu en es même venue à te demander comment tu allais faire quand vous allez être à la fac. Chrissy va à New York alors que tu pars pour Los Angeles, autrement dit, vous allez être aux deux extrémités du pays. Quand vous avez eu vos réponses pour vos études supérieures, tu as tout de suite compris que ça allait être un challenge, mais tu l’as accepté sans hésiter car elle en vaut la peine, tu es optimiste, ça peut fonctionner. Bien évidemment, ça ne sera pas une partie de plaisir, mais vous voulez tenter. Tu aimes Chrissy depuis trop longtemps pour la laisser filer au premier obstacle. C’est pourquoi cet été, vous avez décidé de passer tout votre temps ensemble. Vous voulez profiter de chaque seconde que vous avez ensemble. Alors, ces trois dernières semaines vous ont fait perdre un temps précieux, mais tu comptes le récupérer. Tes parents étant enfin partis pour leurs vacances, tu n’as pas lâché Chrissy jusqu’à ce que vous ayez trouvé un moment où vous pouviez vous voir. 
Quand le jour-J arrive, tu as tout prévu. Elle va venir passer la nuit chez toi et tu veux que ça soit un moment spécial, surtout car tu veux lui avouer que tu l’aimes. Tout doit être parfait. Tu entends frapper à ta porte alors, avec hâte tu cours ouvrir à Chrissy et tu la fais entrer. Quand tu refermes la porte, tu l’embrasses sans attendre. Chrissy te rend ton baiser, mais se sépare rapidement. Tu te retiens de froncer les sourcils face à son geste. Le baiser semble différent, avec moins de passion. Peut-être qu’elle ne veut pas perdre de temps et rattraper le temps perdu tout de suite ? Chrissy pose son sac à côté de l’entrée et tu la traines dans le salon. 
-J’ai tout prévu pour ce soir, commences-tu avant de lui montrer la table du salon. J’ai loué tes films préférés à Family Video, j’ai pris tes snacks préférés et j’ai fait ton plat préféré pour ce soir. 
-Tu n’aurais pas dû te démener autant pour moi, déclare Chrissy.
-Je veux juste qu’on passe une bonne soirée, souris-tu.
Étrangement, Chrissy semble embarrassée, elle joue avec son collier.
-Je ne te mérite pas, merci.
Avec des joues rouges, Chrissy t’embrasse chastement. À ce moment-là, tu veux lui dire que tu l’aimes. Tu commences à ouvrir la bouche, mais Chrissy t’interrompt : 
-On lance un film ?
Tu hoches la tête, prise de court. Tu lui prends la main et l’invites à s'asseoir sur le canapé. Tu prends la télécommande et lances le premier film, que tu avais déjà mis avant qu’elle n’arrive. Quand le générique commence, tu te blottis contre Chrissy, en prenant sa main dans la tienne. Tu n’écoutes pas le début du film, réfléchissant à quand tu vas pouvoir lui confesser tes sentiments. Dans ta tête, tout était prévu, tu devais lui dire avant de démarrer le film, pour être sûre que tu n’allais pas te dégonfler. Finalement, tu te dis que tu lui diras quand vous aurez fini de regarder la télé. Tu sais déjà le discours que tu vas lui dire, alors quand vous pourrez enfin parler réellement, tu n’auras plus qu’à lui avouer ce que tu as sur le cœur. 
Au fur et à mesure, tu sens Chrissy changer de position, se décalant de toi, à tel point que sa main quitte la tienne. Tu ne réagis pas plus, te disant qu’elle veut juste trouver une position plus confortable sur le canapé. À un moment, tu réalises que Chrissy est distraite, même si ses yeux sont posés sur l’écran. Tu t’apprêtes à dire quelque chose quand Chrissy te demande de mettre le film sur pause, car elle doit aller aux toilettes, et tu t’exécutes. En l’attendant, tu te dis que c’est le moment de tout lui dire. Tu ne veux pas perdre une minute de plus. Chrissy revient sur le canapé et s’assoit de façon à être face à toi. Vous prenez toutes les deux une grande inspiration avant de parler en même temps : 
-Je dois te dire quelque chose.
-Désolée, toi d’abord, rigoles-tu alors que Chrissy se gratte la nuque.
-Non, commence.
-Tu es l’invitée, à toi de parler en premier.
-Très bien, soupire-t-elle en évitant ton regard pendant une seconde. Écoute, à propos de notre relation, j’ai bien réfléchi et je pense qu’on devrait pas aller aussi vite.
-Qu’est-ce que tu veux dire ? J’avais l’impression qu’on prenait notre temps, je suis désolée si j’ai accéléré notre relation, t’excuses-tu, Chrissy secoue la tête.
-Ce n’est pas juste ça. J’essaie encore de comprendre des choses et je ne veux pas te faire perdre ton temps, tente d’expliquer Chrissy et tu fronces les sourcils.
-Tu ne me fais pas perdre mon temps. Je sais que tu essayes de comprendre qui tu es et je n’ai pas de problème avec ça. 
-Non, Y/N, tu ne comprends pas. J’ai besoin d’être seule, de réellement me comprendre et de m’accepter. Je ne veux pas te blesser parce que je suis perdue.
-Tu vas me blesser avec ce que tu t’apprêtes à me dire, corriges-tu, l’anxiété commençant à monter. Chrissy, je te comprends totalement. Je suis passée par là, je sais ce que c’est de se chercher, j’essaye encore de me comprendre parfois. Je te comprends plus que tu ne le crois, alors s’il te plait, ne romps pas, supplies-tu en prenant ses mains. Est-ce que quelque chose s’est passé durant tes vacances pour que tu changes d’avis sur notre relation ?
-Non, comme je t’ai dit, j’ai réfléchi et j’en suis venue à la conclusion que c’est la meilleure chose à faire. Et puis, avec la fac, on ne va jamais se voir. On a déjà du mal quand on est à Hawkins, alors dans deux États opposés ? Ça sera pire.
-Mais on peut essayer, balbuties-tu en tentant de retenir tes larmes. Je peux venir te voir, tu peux venir à L.A et on peut se voir à Hawkins pendant les fêtes et on peut aussi s’appeler tous les jours. 
-Ça fonctionnera seulement pendant quelques semaines, insiste-t-elle, sa voix se brisant. Je pense qu’on devrait vivre notre vie chacun de notre côté pour mieux comprendre, nous et notre relation, ça pourra même nous aider à voir si ce qu’on a est quelque chose de bien. Peut-être que tu en as besoin toi-même sans le savoir. On peut toujours se retrouver quand on se sera plus matures, après nos études, propose-t-elle et tu secoues la tête en enlevant tes mains des siennes.
-Pourquoi tu veux qu’on attende alors qu’on a déjà quelque chose actuellement ?
Au moment où Chrissy t’entend retenir un sanglot, son cœur se brise. Elle savait que ça allait être compliqué, mais elle y avait pensé pendant de nombreuses semaines, en espérant que ça ne soit pas la bonne décision. Malheureusement, ça l’est. Même si elle ne veut pas être la raison d’une telle souffrance, ses problèmes et ses peurs lui ont fait réaliser qu’elle doit arrêter d’être avec toi. Au fond d’elle, elle ne veut pas attendre, mais elle sait qu’elle doit se mettre en priorité pour être sûre de ne pas détruire ce que vous avez.
-Je pense que c’est mieux si on attend avant d’aller plus loin dans notre relation, car on a besoin d’évoluer chacun de notre côté. Surtout qu’on va être loin d’Hawkins, on va pouvoir totalement se découvrir loin de la pression familiale. On devrait vraiment profiter de ce moment à la fac pour vivre de nouvelles expériences, embrasser d’autres filles, par exemple.
-Mais je ne veux pas embrasser d’autres filles. Je veux juste t’embrasser, toi, rétorques-tu en te levant du canapé. Chrissy, je… je t’aime, avoues-tu, la surprenant.
-Tu m’aimes ? bredouille Chrissy. 
-Bien évidemment, pas toi ? Peut-être pas “aimer”, mais tu n’as même pas au moins de légers sentiments pour moi après ces mois qu’on a passés ensemble ? questionnes-tu, les lèvres tremblantes.
-Y/N, je…, commence-t-elle avec un regard suppliant, essaye de me comprendre, s’il te plait.
Tu lèves la main pour l’obliger à se taire, les yeux remplis de larmes. Chrissy reste mutique, ignorant quoi faire pour rendre la situation moins douloureuse. Elle tente de s’approcher de toi, mais tu fais un pas en arrière avant de courir dans ta chambre. Tu refermes la porte derrière toi, prenant de grandes respirations pour ne pas pleurer. Cependant, quand tu entends ta porte d’entrée claquer, tu exploses en sanglots. Tu comprends enfin ce qu’il vient de se passer, ton cœur se brise en mille morceaux, t’en rendant presque malade. Ta respiration est saccadée alors que tes joues sont remplies de larmes. Tu finis par t’effondrer sur ton lit, n’ayant plus l’énergie de rester debout. Tu continues à pleurer pendant plusieurs heures. Quand tu reprends une respiration normale, tu prends ton téléphone et composes le numéro de ton meilleur ami. Ta vision est toujours brouillée par les larmes quand tu lui demandes de venir chez toi avant de raccrocher et de pleurer de plus belle.
Tes larmes ont enfin cessé de couler quand Eddie entre en trombe dans ta chambre. Il te voit rouler en boule sous ta couette, il fait de grands pas jusqu’à toi. Il soulève ta couverture et il retient ses larmes en te voyant les yeux rougis. Tu te jettes dans ses bras, sanglotant à nouveau. Eddie essaye de te calmer en caressant ton dos. Quand il sent que tu es apte à parler, il te demande de lui expliquer la raison de ta tristesse. Sans attendre, tu lui expliques tout dans les moindres détails. Tu lui racontes comment Chrissy t’a brisé le cœur alors que ça devait être un moment romantique dans votre histoire. Tu finis de tout expliquer en répétant encore et encore “elle n’a même pas essayé de me rattraper quand je suis partie”, “elle ne m’aime pas”, “je ne représente rien pour elle”. Eddie sait que rien de ce qu’il pourrait te dire pourrait t’aider, alors il continue à te serrer contre lui jusqu’à ce que tu t’endormes. 
Les deux jours suivants, tu es comme paralysée. Eddie a réussi à te sortir de ton lit, te forçant à aller sur ton canapé, après qu’il ait tout rangé de ce que tu avais préparé. Tu restes dans ton salon, bougeant seulement pour changer de place ou aller aux toilettes. Comme c’est le week-end, tu n’as pas besoin d’aller au travail et tu en es contente, car tu ne sais pas comment tu aurais fait pour te concentrer, tu arrives à peine à écouter ce que te dit Eddie. Il essaye de te changer les idées en te parlant de sa nouvelle campagne. Il sait que tu confesseras ce que tu as sur le cœur quand tu voudras en parler, alors il évite le sujet “Chrissy” un maximum. Depuis qu’elle est partie, tu n’as pas reçu un appel de sa part. Le soir de votre rupture, tu avais un espoir qu’elle te téléphone et qu’elle te dise qu’elle regrette. Tu voulais l’entendre dire qu’elle t’aimait, qu’elle ne voulait pas te perdre, qu’elle voulait être avec toi pour toujours, mais ton téléphone n’a jamais sonné. Eddie a fini par enlever le combiné du salon. Il avait peur que tu finisses par le détruire à force de le fixer. 
Une nouvelle journée sans Chrissy se termine et tu pousses un énième soupir. Tu regardes la télé avec Eddie à tes côtés. Quand vous entendez frapper à la porte, il se lève en se frottant les mains, imaginant déjà le goût de la pizza dans sa bouche. Avant d’ouvrir la porte, il regarde par la fenêtre et arrête tout mouvement en ne voyant pas le livreur de pizza, mais Chrissy, regardant à droite et à gauche et tenant quelque chose dans ses mains. Eddie revient vers toi en courant. Tu tournes ta tête vers lui en le voyant tout agité.
-Chrissy est là ! s’écrie-t-il et tu ne comprends pas.
-Quoi ?
-Tu m’as bien entendu. Chrissy est là et je crois qu’elle a quelque chose en main.
-Mon Dieu !
Tu retires ta couverture et sautes hors du canapé. Tu cours vers le hall d’entrée. Malgré toi, tu ne peux t’empêcher d’avoir de l’espoir. Avec ce que t’as dit Eddie, tu l’imagines déjà avec un bouquet et une expression désolée sur son visage. Tu es persuadée que tout est sur le point d’aller mieux. Avant d’ouvrir la porte, tu t’arranges rapidement en te regardant dans le miroir. Quand tu es assez satisfaite du résultat, tu ouvres la porte et découvres Chrissy, un carton en main.
-Salut, souffle-t-elle, embarrassée. Je suis désolée de te déranger, je sais que je suis sûrement la dernière personne que tu veux voir, mais je voulais te rendre ça, informe Chrissy en te tenant le carton que tu prends. C’est les affaires que tu as laissées chez moi. Je me suis dit que tu voulais sûrement les récupérer. 
Sa phrase semble être un énième coup de couteau dans ta poitrine. Tous tes espoirs s’évanouissent en un instant. Tu retiens tes larmes et évites son regard en posant tes yeux sur le contenu de la boîte. 
-Je…, commences-tu avec une voix brisée, j’ai aussi des affaires à toi dans ma chambre.
Sans répondre, Chrissy te suit. Vous montez dans votre chambre, sous le regard curieux d’Eddie que vous ignorez. En arrivant, tu te diriges tout de suite dans ton placard où tu as les affaires de Chrissy mises également dans un carton. Tu n’avais pas prévu de les lui rendre tout de suite, tu les avais juste rangées au fur et à mesure de votre relation, car tu ne voulais pas qu’elle les perde. Toutefois, Chrissy a l’air pressé de tourner la page alors tu lui tends le carton sans la regarder dans les yeux. En prenant le carton, les doigts de Chrissy caressent les tiens. Quand tu es sûre qu’elle tient la boite, tu places tes bras derrière toi, comme si son touché t’avait brûlé. Tu attends que Chrissy parte, mais elle reste en face de toi. Tu oses enfin la regarder et vois ses yeux larmoyant.
-Y/N, je suis désolée de t’avoir fait du mal. J’aurais aimé que ça soit différent, mais c’est la meilleure chose à faire. On doit être réaliste, ça allait forcément arriver, explique Chrissy, mais tu restes silencieuse. Je suis sincèrement désolée. S’il te plaît, Y/N, parle-moi, je ne veux pas qu’on se quitte alors que tu es fâchée contre moi.
-Ce n’est pas des excuses que je voulais que tu me dises, lâches-tu en osant enfin la regarder. J’aimerais que tu me dises autre chose qu’au revoir. 
-Ce n’est pas un au revoir, comme je t’ai dit on pourra se revoir qu’on aura fini nos études, t’assure-t-elle, mais tu ne la crois pas. Ça ne veut pas dire que ce qu’on a est terminé, ça veut juste dire qu’on fait une pause pour vivre de nouvelles choses, mais qu’on se retrouvera plus tard.
-Et qui me dit que tu n’auras pas trouvé quelqu’un d’autre d’ici là ? On sait tous que quand on dit ça, on ne le pense pas. On ne se reverra pas. Ce que tu me dis n’est pas une vraie promesse, rétorques-tu en croisant tes bras sur ta poitrine et en ayant les larmes aux yeux.
-Pour moi, ça en est une. On se reverra quand on aura grandi.
Chrissy pose le carton au sol et se dirige vers ton bureau. Elle prend un papier et un stylo avant d’inscrire quelque chose. Elle le plie avant de défaire tes bras de ta poitrine, elle prend ta main gauche et la serre en te donnant le papier.
-Je te le jure, prononce Chrissy en te regardant dans les yeux.
Tu tiens sa main avec force, malgré le papier, tu prends le temps d’apprécier son touché une dernière fois. Tu aimerais figer le temps pour qu’elle ne te quitte pas à nouveau. Malheureusement, elle enlève sa main de la tienne, te laissant seulement la feuille dans tes doigts, et reprend le carton. Chrissy te regarde une dernière fois avant de passer la porte de ta chambre. Tes yeux se baissent sur ta main gauche. Ta vue se brouille de plus en plus pendant que tu déplies le papier prudemment. Alors qu’une larme coule sur ta joue, tu lis la délicate écriture de Chrissy  : 
“Retrouvons-nous à cette date dans six ans à Lover's Lake. Peu importe ce qu'il se passera, tu seras gravée dans mon cœur, pour toujours.
Chrissy”
Partie deux
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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arp-273 · 11 months
Text
« c’est autour du soleil qui gravitent les planètes, de son énergie vient la vie, les humains et tout un existence. »
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en cas de tu avait un jour difficile:
l’amour pour moi a une couleur dorée très brillante. l’amour est doré comme le soleil. le soleil est doré comme ton essence. ton essence rayonne, vibre et fascine.
tes cheveux sont dorés comme le soleil. ton esprit est basé sur le soleil. tu es comme le soleil. tu es le soleil.
c'est toi le soleil qui chauffe mon cœur, qui éclaire ma vie et qui amène à mes yeux la brillance de toutes les étoiles au ciel.
ta présence qui gravitent les autres, ta vie existe pour être rappelée, célébrée. tu contrôles le temps et tu changes le monde.
je suis si heureuse de vivre au même espace de temps que toi. merci, mon petit soleil.
aujourd’hui et tous les jours, je me rappele de ton existence et je la célèbre. tu changes la vie des autres, même sans le savoir ou percevoir. dans tous les chemins que tu vas, dans tous les personnes qui passent pour là.
ton présence es magique, la magie pulse de son cœur et sauve même l’âme plus obscur. je n’avait jamais vu un portrait plus beau. ton cœur est précieux au monde.
la vie est si courte, je veut seulement être rappelée pour les choses que j’aime. je veut être rappelée à cause de toi. je veut être rappelée de t’aimer ce tant.
bien, c’est exactement ce type d’amour qui tu mérites. je suis heureuse de pouvait te donner ça, je suis tellement fière.
je suis entrée dans ta vie pour te rapporter tout ce que déjà t’appariaient, mais tu a oublié. alors, ne laisses jamais les dégâts du passé voulent ce qui t'appartient. tu mérites le monde.
tout qu’on rencontre en toi c’est la lumière. tu vas toujours être spécial pour moi. dans tes jours plus noirs, s’il te plaît, te souviens de moi et de mon existence, parce que tu es aimes, beaucoup aimé pour moi. je t’adore pour toujours.
je vais veiller sur toi d’ici.
bisous,
nat.
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elia-de-silentio · 1 year
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Pourquoi Kunikida est notre Roi!
Ceci est la traduction d’un post que j’ai déjà écrit en anglais, fait pour améliorer mon français. Si quelque âme charitable avait envie de me corriger, je serais très grate.
Donc! Ainsi je ne réponds pas à un seul des requêtes de la partner idéelle de Kunikida, je veux écrire une analyse du personnage qu’est plutôt une lettre d’amour à lui. Qu’est-ce que je peux dire, il est un de mes préférés.
Il faut qu’on dise: la première impression n’est pas la meilleure. Il se porte de façon plutôt insensible vers notre dépourvu héro, spécialement si par rapport à l' amiable Dazai; ainsi il est l’un qu’est vraiment payant pour son déjeuner. Mais il est très professionnel: il est ici pour capturer une tigresse, et s’il rencontre quelqu’un qui lui a vue, il serait très sérieux avec l’interrogation et contrarié par le comportement terrifié de Atsushi.
Bien sûr, il a bientôt son côté comique exposé comme résultat de travailler avec Dazai; mais de toute l'Agence, il est l’un qui donne un accueil froid à Atsushi, sans le comportement amiable de l’autres.
Mais ce n’est  pas pour dir qu’il est completement indifferent: il se consacre à le rôle d’un tuteur dans une façon différente que l’une de Dazai, lui avertissant de Akutagawa et lui faisant travailler avec Ranpo et Kenji pour lui montrer les différentes modèles de travaille.
Malgré tout ceci, il semble être un de ceux les plus disposés à laisser Atsushi et Kyouka à leurs fates pendant l’arc de la Mafia. Au début, on semble que c’est pourquoi il ne se donne pas de peine: la raison qu’il donne pour ne sauver pas Atsushi est que l'Agence est déjà occupée, et il semble plutôt choqué quand Fukuzawa donne l’ordre de laisser n’importe que et sauver leur membre plus récent.
Mais on n’est pas comme ça. Quand il finalement trouve Atsushi, et entends que le garçon veut jeter sa seule chance de se sauver pour protéger autrui, il pète les plombs: il crie qu’il ne peut pas sauver tout le monde, c’est un idéal surrealistic, et il sa pourquoi lui meme a échoué plusieures fois et il est encore hanté de ses remords.
Ceci est le moment où son conflit comme personnage vient à la lumière pour la première fois. Jusqu’à présent, ses idéals ont été peu plus que comiques, quelque chose pour souligner sa étrangesse.
 A partir de maintenant, on commencera à voir comme ils sont importants pour lui et pour son arc comme personnage. Nous pouvons voir à la fin de l’arc de la Gilde qu’il n’est pas complètement inflexible et sérieux. Il se plaint de l'opération solitaire de Atsushi, mais il est de toute façon plus que voulant de reconnaître que le garçon a vraiment réussi à sauver la situation.
Mais depuis le chapitre 40 arrive, et il est pratiquement an étudie de son personnage.
Il commence sa journée préparant un plan dans lequel il a calculé comme placer toutes ses activités par le second. Il ignore vauleureusement toutes les temptations du transgredir offertes par Dazai … et depuis, il veut une petite fille avec une bombe dans ses mains.
Il démontre qu'il n'est pas un montre abandonnant son plan pour courir à désamorcer la bombe; comme récompense, il finit coincé avec la jeune fille, qui insiste pour chercher le criminel avec lui  et continues lui criticizer par ses points faibles (that is he ain't seeing a woman in a million years). Il est sauvé par le retrouvement du plus de bombes, cette fois sur une voie ferrée.
La situation dégénère peu après. Une autre bombe est attachée à la fille, Kunikida est éliminé et lié. Le coupable est quelque gars qui Kunikida avait arrêté in a case précédent: il avait tenté de lui encourager à reconstruire sa vie, mais le gars n’a pas été encouragé; plutôt, il a développé un rancune contre Kunikida, et il a décidé de faire quelque chose qu’aurait detruit ses ideals. 
Et ici est où nous découvrons se croit fondamental: ne laisser pas quelqu’un mourir devant lui. J’admets, je suis extrêmement curieux sur son histoire personnelle et comme il pourrait avoir développé cette ligne de pensée. Dans les premiers chapitre, on est dit qu’il travaillait comme un instructeur du algebra maintenant il fréquentait l’université: une occupation plutôt sûre, je doute qu’on lui laisser exposé à des personnes mourant davant à lui, donc a-lui développé ces idéals après de se joindre à l'Agence? Mais si tel est le cas, pourquoi a-il accepté une occupation tellement dangereuse?
De toute façon, le plan du bombardier est de lui imprisonner dans une situation ou il devra voir quelqu’un mourir, n’importe qui. Il même peut choisir qui, dans une variation sur le trolley dilemma: le commutateur pour désactiver la bombe sur la fille active la bombe sur la voie ferrée, donc c’est ou la petite fille devant à lui ou une multitude d'étrangers. Kunikida prend cela avec une attitude plutôt sombre: il est le premier à admettre qu’est inévitable que ses idéaux s'opposent à la réalité.
Toutefois, il les suivra de la meilleure façon qu’il peut: se sacrifiera le moindre de personnes possible, la fille et soi même, pour n’avait été capable de prévenir ça.
Sauf que personne ne meurs, pourquoi pendant tout ce chaos, il avait réussi à souffler un signal à Yosano, qui à son tour avait appelé la police et s’était précipitée à soigner tous.
Le chapitre concludes avec la révélation que Kunikida est le successeur pour le rôle de président de l'Agence: Ranpo et Dazai ont plus de cerveau, mais pour guider autres, pour leur inspirer à être leur meilleur soi, c’est quelque chose que seulement Kunikida peut faire.
Mais est-Kunikida confiante de ça? Comme nous verrons dans l’arc du Cannibalisme, la riposte est un sonore no.
Quand Fukuzawa est démonté et que le construction est encerclé par la Port Mafia, il va dans la panique. Il a des problèmes à faire un plan qui ne résulte pas en victimes, et comme résultat, Ranpo fait une schisme, portant la plupart de l'Agence avec lui, sans Atsushi. Kunikida se trouve seul, et c’est le moment dans lequel commence le kink collectif que le villais de BSD ont pour lui tormenter.
Fyodor est le pire perpétrateur: il commence tuant Katai, un de les plus vieux amis de Kunikida, ainsi c’était plus pour des raisons stratégiques que par une attaque personnelle. Mais ce qui suit est quelque chose de très, très personnel: il trouve quelque connard disposé à donner armes à des enfants pour lui défendre maintenant qu’il fuit, et il a l'Agence penser qu’il le Pushkin ils sont chassant. Kuni commence ça contraint à blesser les enfants, si il ne veut pas Atsushi et soi même tués. Mais le vrai désastre est la petite fille avec la granata.
Fyodor lui a littéralement instruit à se tuer si Kunikida lui montre son carnet - précisément ce qu’il fait, pensant de faire une astuce amusante pour lui calmer. Il deviens involountairement responsable pour la mort d’une petite fille, exactement devant lui.
Kunikida est détruit par ça. Il travaille sans pause jusqu’à la fin du l’arc pour ne laisser la mort de la fille etre en vain;après, il se laisse être accusé et arrêté, sans protester sa innocence, pourquoi lui même n’en croit pas.Comme Ranpo dit, c’est part du plan de l’ennemi: Kunikida est le pilier morale de l'Agence, l’un qu’ils devaient cibler premiers pour décourager les autres et leur laisser sans support.
Après, il est laissé pour aller droit dans le case du Decay of Angels. Où ses idéals sont défiés encore: au commencement du l’arc, quand ils sont tentant de sauver ces politiciens, il était l’un qui vient avec le plan de couper les têtes des criminels da dernier avec la Capacité de Kyouka. Il est clairement ne pas heureux de ça faire, disant qu’autrement les otages seront tués: encore un cas dans lequel ses idéaux s'opposent à la réalité.
Et c’est seulement le commencement. Le Livre travaille sa magie, transformant l’ADA en terroristes; il sont contraints à échapper à la police, et Kunikida se trouve appelé comme un traiteur et presque tourné par un policier. La façon par laquelle il réagi est intéressante: il devient très agressif dans un premier temps, et seulement après il réalise que c’était pourquoi cette personne était clairement quelqu’un vertueux, qui vivrait pour la justice tellement lui-même fait. Est-ce, et la réaction de Kunikida, signifie qu’il était déjà un monstre?
Il est réveillé de ces réflections da Kenji, et depuis il va donner un instructive exemple de vol de voiture éthique.
Le trend de ‘utilisons les idéals de Kunikida pour lui tourmenter’ continue; cette fois le coupable est Jouno, qui obtient un effet similaire à l’un de Fyodor avec seulement quelques paroles.
Ou plutôt, ainsi mieux que lui. Pourquoi Jouno ne lui fait pas douter sa capacité de soutenir ses ideals, il lui fait douter les ideals eux même et sa relation avec eux. Il a manqué, et cela signifie qu’il peut accepter qu’il est une disgrâce et vivre sans leur poids. Ainsi cela signifiera que le reste de l'Agence mourira.
La seule insinuation est suffisante pour secouer Kunikida à ses fondamentaux. Est-il possible qu’il puisse sentir de soulagement dans les mœurs de ses amis? Ça demande laisserait n’importe qui horrifié, encore plus quelqu’un comme lui. Pour lui éviter, il saute literallement à la chance de se tuer, avec un joli moment heroique qu’aurait du fermer sa crisis existentielle avec sa vie. Dazai aurait été fier!
Et il manque. Son manque est sur tous les fronts: il ne réussit à empêcher la capture des membres de l’ADA (au moins à la mi-course), il perd ses mains qu’était nécessaire pour l'utiliser de sa Capacité, et il n’a même pas réussi à mourir. Et sa crisis est encore ici, pire que après pourquoi maintenant le scénario proposé da Jouno est réel.
Eh bien, elle n’a pas reçu une riposte. Il dit Jouno de lui laisser, et il a une ventilation terrible, après laquelle il est sauvé da Ranpo et réuni à la reste de l'Agence, miraculeusement sûre, sans autres paroles sur l'argument.
Bien, plus ou moins. Est-ce que qu’il plaindrait pour soulagement par l'être avec ses amis encore, ou pour le stress et la coulpe à ce qu’il avait trouvé soi-même pensant?
Donc. Qu’est-ce que nous pouvons dire dessus?
Les ideals de Kunikida sont en épée à double tranche. D'un côté, ils facilement lui faient un de les personnes les plus morales dans le manga. Et ils ne donnent pas lui une vue de la moralité simplifié, blanc-et-noire: voye comme il encourageait Rokuro, un criminel, à recontruir sa vie; voye comme il est disposé à tuer des criminels, mais seulement in situations qui lui ne donne pas aucune autre option, avec une sombre acceptation. Ses ideals sont positifs: sauver et protéger les autres.
Leur côté négatif n’est pas un mal hypocrite aux autres dans leur nom: c’est que ils font mal à Kunikida soi-même. Jouno leur a décrit mieux: élevés et nobles comme une montgolfière, trop pourquoi un simple être humain comme Kunikida leur suit. On n'importe pas quant il prouve, on n'importe pas qu'il fait tous ce qu'il peut pour leur suivre, avant ou aprés il manquera, et quand il arrivera il sera incapable de se relever par soi meme. Rappelez comme Ranpo a dû lui relever de sa spiral de haine de soi même dans le deux cases? Il a eu autres choses sur lesquelles il devait se concentrer, et il n'a pas eu le temps d'élaborer sur le vrai signifiant de ses manquements.
Et ce arriver après quelque développement de son personnage: rappelez-vous quand il n'a pas cherché de sauver Kyouka, préparant Atsushi au défaillance avant qu'il meme tentait? Ses ideals ont un autre côté négatif: ils peuvent lui conduire à une attitude défaitiste, renonçant avant de tenter pour ne pas confronter le manquement.
Kunikida est probablement le personnage plus genuinement heroique de la série, l'un pour lequel le désire plus grand est d'aider les autres; mais il a encore de la rue de faire avant qu'il peut prendre les reins de l'Agence.
Merci beaucoup à tous ceux qu'ont voulu lire mes radotages!
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mileskingston · 2 years
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Toutes ces émotions qui me constituent et me structurent, tous ces discours qui ont forgé ma vie présente font partie de moi mais ne sont pas moi. Je vais donc les transformer en flux d’énergie pour être vraiment moi - pas le produit de mon passé et de mes vexations/ frustrations/traumatismes/ambitions. À partir de ce moment, vous ouvrez une porte, LA porte, vous détenez le sésame qui fait que rien ni personne ne peut vous empêcher d’être rempli de lumière, de joie, d’amour et de gratitude.
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babydolblog · 2 years
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Séance 5 : Sociabilité, réseaux sociaux et communautés en ligne : Les fandoms
Chers lecteur, lectrice,
Aujourd’hui, je vais vous exposer un sujet qui allie les réseaux sociaux et les communautés en ligne ; les fandoms. Ce que l’on sait vraiment c'est que "fandom" est issus du mot anglophone “fan” et “domain”. On sait que ça peut être une plateforme Web qui rassemble plusieurs personnes qui ont pour point commun le fait d'idolâtrer un artiste célèbre, une œuvre cinématographique, littéraire, un phénomène, et d’autres divertissements. Il est possible de trouver des groupes de fandom sur Twitter, Instagram, mais aussi sur Zoom.
Les fandoms permettent de créer de la sociabilité, de se créer une vie social. On peut dire que les “fans” en question, ressentent un sentiment d’empathie l’un envers l’autre, se reconnaissent comme une grande famille. Ils s'identifient étant une communauté qui partage un intérêt commun. Grâce à Internet, les membres qui partagent les mêmes adorations ont pu se rencontrer. Internet leur a permis de se retrouver, leur permettais de compléter leurs besoins de reconnaissances, d’appartenir à leurs communautés. Le fan se plaît dans son groupe, ils partagent leurs connaissances, s’éduquent sur la culture interne, créent des choses autour de l’objet de la fandom. Les fandoms sont décrit comme « une histoire d’amour » qui est animée par trois grandes motivations : la prise en charge de soi, le lien social et l’identité. ”D’après l’agence de marketing Troika.
Il existe des fandoms sur diverses choses. Je trouve intéressant le phénomène qui se traduit de ces manifestations d’adoration. Le dévouement des fans joue un rôle important dans l'existence médiatique de l'objet de leur fanatisme. Je souhaiterais mettre en lumière le rôle des idoles dans le développement de ces phénomènes, de ces communautés sur les réseaux sociaux. 
Je suis pour le suivi plus profond de la part des idoles concernés, artistes, producteurs vis à vis de leurs fandoms. Pour réguler les comportements extrêmes, on sait que les réseaux sociaux peuvent affecter les comportements de certains utilisateurs. Je souhaiterais une évolution dans le sens où ils auraient plus de responsabilités vis à vis de leurs communautés de fan. Avez-vous déjà mesuré le rôle des idoles qui ont des milliers de fan ? 
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lesouffle · 2 years
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« Coule, coule le temps, la sagesse grandit au soleil »
La rivière se moque éperdument de ce que peut penser la vallée. Elle vient et coule, gardant une trace éternelle tout au long de la vallée, qui quant à elle, n’a pas le choix que d’accepter. Elle n’a pas d’emprise sur la rivière et ne peut lui demander de s’arrêter, ni de changer son trajectoire le temps pour elle de reprendre son souffle car elle sait que l’hiver approche, et comme chaque année, elle sera rude pour toute vie.
Les saisons passent et se transforment en années. Une fois la pluie calmée et les nuages disparues, la vallée contemple chaque rayons de lumières qui l’éblouissent et qui illuminent la roche et colorent les fleurs. Elle savoure le doux parfum du miel et de la lavande. Le bourdonnement des abeilles et les oiseaux qui lui chantent aux oreilles à chaque lever du soleil. Et elle remercie la rivière après toutes ces années pour avoir rendu les arbres aussi verdoyants et fructueuses. De permettre aux animaux de croitre et de se désaltérer, et d’être une source de vie et de beauté. Car sans elle, la vallée ne serait qu’un endroit aride, vide, triste et désolé.
La vallée représente chaque êtres vivants, chaque êtres humains, immobile et prisonnier de la routine du quotidien moderne. Tout homme privé d’un lux connu comme le « choix ». Passant par les difficultés qui changent au fils du temps mais qui nous accompagnent et coule en nous sans cesse et qui ne cessera sans doute jamais, tel la rivière.
En prenant du recul, l’humain, symbole de la montagne qui se tient toujours debout malgré les tempêtes, comprend que tant que sa fondation reste solide, tant que la rivière des difficultés coule toujours, l’espoir perdure, car on apprend de nos erreur, chaque cours d’eau transporte avec lui son histoire et le repend dans les quatre coins de la vallée.
Laissez donc la rivière des difficultés suivre sa course, car elle est porteuse de vie. Et la vie elle-même est le mécanisme mystérieux qui fait battre le coeur, qui est lui-même à son tour, un temple d’amour.
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p--a--s--s--i--o--n · 2 years
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💜 ÉCLIPSE LUNAIRE TOTALE & WESAK Le dimanche 15 mai 2022 , la pleine Lune traversera l'ombre de la Terre, produisant une éclipse lunaire totale. La Lune deviendra rouge pendant près de 85 minutes.. l'ombre de la terre et de l'humanité , font face au Soleil.. ou l'Ombre et la lumière vont s'opposer ou fusionner.. ..
De plus c’est le wesak le 15 et 16 mai
Qu’est ce que le wesak?
Chaque année, lors de la pleine lune du Taureau (avril ou mai), la tradition bouddhiste célèbre la fête du Vésak.
La fête du Wesak (ou Vesak) est "Une fête qui a lieu dans les Himalayas au moment de la pleine Lune de mai. Il est dit que, à cette fête, à laquelle assistent tous les membres de la Hiérarchie, le Bouddha, pour une brève période renouvelle son contact et son association avec le travail de notre planète." Avec Jeshua , ils répandent la lumière d’amour sur la planète ..
Accrochons donc nos ceintures !💫💫
un Face à Face avec notre Essence et sa lumière , avec la lumière de l'être . ou chaque Un s'alignera selon ses influences et impulsions , selon ce qu'il fait vivre en lui…..
💜 Les éclipses sont des ouvertures qui associent la lumière, les fréquences planétaires, les gravités terrestres et la pensée collective.
Des états supérieurs de l’Éternel Présent où tout est simultané sont rehaussés, permettant une phase vraiment embellie de clarté multidimensionnelle.
Les éclipses émettent pendant un certain temps une onde concentrée de force de vie créatrice.
Ce bombardement d’énergie peut inclure des inserts de pensée divine et d’intentions humaines élevées, aux niveaux conscient et inconscient.
ensuite c'est en bas .. la part humaine ce qu'elle fait vivre en Elle , l'énergie bascule d'un côté ou d'un autre…ou reste neutre pour ceux qui sont au delà de l'ombre et la lumière… c'est a dire que là…!! l'énergie a été christifiée , l'ombre et la lumière ont fusionnée , état Christique ..
Cette énergie affecte tout les humains à des degrés divers et variés .
Des tensions émotionnelles comme celles provoquées par la mixture d’énergies actuelle sur la planète peuvent être ramenées à un niveau plus équilibré.
Une éclipse lunaire ne peut se produire qu’à la pleine lune et la pleine Lune c'est le 16 Mai 2022
L'éclipse sera largement visible depuis les Amériques le 15 mai ; et Afrique et Europe le 16 mai 2022.
💜🙏
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mysadecstasy · 2 years
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L'amour fou
Pardonne je t’en prie mes maladresses Mes politesses et mes impolitesses viscérales Mes latitudes écartelées qui naviguent d’un pôle à l’autre Mes permissions mes effractions Mes zigzags stroboscopiques Pardonne cet amour fou qui entre sans frapper Comme un possédé Qui semble creuser des tombes pour des fleurs coupées Être un clown au sourire triste Qui se désarticule sans cesse comme dans une danse macabre Je ne connais d’autres frontières que celles de mon cœur et Dieu sait qu’elles sont vastes C’est un hurlement Un cri jeté dans un champ de coquelicot Un cri du cœur qui aime sans compter Sans penser Sans calculer Oui c’est bien de l’amour Animal viscéral et sans tête L’amour fou et nu sur les falaises Je rêve souvent que je marche sur les remparts d’une ville ocre et brûlante Que je te cherche à l’heure de la sieste Tu es là antique à l’ombre d’un arganier Inondée de beauté et de grâce Endormie Pardonne mes maladresses quand je te serre dans mes bras plus fort qu’il le faudrait Quand je te couvre de baisers jusqu’à en avoir mal à la bouche Lécher tes seins Sous le soleil torride Sur la pierre chaude Plonger dans les fontaines et s’abriter dans les églises Mes permissions mes effractions Mes désirs et mes plaisirs Mes simplicités et mes tranquillités Je suis l’homme qui ne reconnait pas le son de la trompette lugubre Car j’aime trop et je m’en moque Tu es ma reine mon désir fou Et jamais je n’arrêterai d’hurler Ta suavité ta nonchalance Tes yeux gris enfoncés dans les miens comme trop d’amour Je le sens Je peux lire je peux écrire et je peux rire Sentir… Sentir ta peau Tout peut s’arrêter et tout commence ici Ton odeur Dans ta nuque sous tes bras Ton odeur… Jamais je ne veux te lâcher je veux t’attacher à moi M’attacher à toi et à mes rêves immenses Coule le vin sur nos jours paisibles Coule le temps sur le lit défait Tes caresses comme un onguent magique Soignent mon âme éclatée Je bois ton corps et tes douceurs Toucher ta peau Être aimer et mourir Quoi d’autre à faire Si ! Plonger nu du haut du pont dans la rivière glacée Refaire mille fois le chemin entre chez toi et chez moi Nue dans la piscine sécher sur le hamac Marcher au bord des falaises avec la certitude que tout ira pour le mieux Dans la tempête Au-delà des horreurs et des doutes Des maladresses et des impolitesses L’amour gagne Il couvre tout de son sang divin Dégouline et pleure les malheurs jusqu’à les dévorer Grande mécanique ondulatoire qui phagocyte la douleur Echancré qui recueille en son sein les fleurs du mal Salut des braves qui s’égarent Amour amour Et ton odeur… Dans la nuit noire Seuls sur le toit à l’aube dorée Te souviens-tu ? Etoile du matin lumière naissante C’est toujours l’espoir Pas d’échecs juste de nouveaux départs Amour écuyer des chevaliers tombés Qui se relèvent toujours Et encore tes baisers sur ma peau me font trembler Tes baisers… Trembler d’un je ne sais quoi Indescriptible Toi et toi Je n’aime que toi
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