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#Œdipe
blog-bleu · 3 months
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Kevin Lucbert. 2024 @kevinlucbert
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dsirmtcom · 28 days
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NC - María Zambrano, Les Clairières du bois
Notes contemplatives - María Zambrano, Les Clairières du bois #Philosophie #Filosofía #MardiCestPhilosophie #Contemplation #Zambrano #Espagne #Être #Vie #Mort #Parole #Temps
Notes contemplatives de lecture – Note contemplative n° 78 Philosophie espagnole Aucune explication verbale ne remplace jamais la contemplation. Saint-Exupéry, Pilote de guerre. Notes de lecture La clairière est un centre où l’on ne peut pas toujours pénétrer ; on la regarde, et l’apparition de quelques traces d’animaux n’aide guère à franchir ce pas. […] Il ne faut pas aller à sa recherche.…
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information-2-0 · 7 months
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hjemne · 10 days
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If I may suggest something controversial, the translation for Ubu Roi should not be King Ubu, but Ubu Rex
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imago-memoria · 9 months
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(...) Le réel n’est pas impossible, dans le réel au contraire tout est possible, tout devient possible. Ce n’est pas le désir qui exprime un manque molaire dans le sujet, c’est l’organisation molaire qui destitue le désir de son être objectif. Les révolutionnaires, les artistes et les voyants se contentent d’être objectifs, rien qu’objectifs ils savent que le désir étreint la vie avec une puissance productrice, et la reproduit d’une façon d’autant plus intense qu’il a peu de besoin. Et tant pis pour ceux qui croient que c’est facile à dire, ou que c’est une idée dans les livres. « Du peu de lectures que j’avais faites, j’avais tiré cette conclusion que les hommes qui trempaient le plus dans la vie, qui la moulaient, qui étaient la vie même, mangeaient peu, dormaient peu, ne possédaient que peu de biens, s’ils en avaient. Ils n’entretenaient pas d’illusions en matière de devoir, de procréation, aux fins limitées de perpétuer la famille ou défendre l’Etat… Le monde des fantasmes est celui que nous n’avons pas achevé de conquérir. C’est un monde du passé, non pas de l’avenir. Aller de l’avant en se cramponnant au passé, c’est traîner avec soi les boulets du forçat » Henry Miller, Sexus. (...)
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jaimelire-france · 1 year
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Œdipe roi est une tragédie grecque de Sophocle, représentée entre 430 et 420 av. J.-C.
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classicalcanvas · 8 months
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Title: Œdipe
Artist: Georges Rochegrosse
Date: 1859 - 1938
Style: Art Nouveau
Genre: Literary Painting
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«Il se disait que la question fondamentale n’était pas: Savaient-ils ou ne savaient-ils pas? Mais: Est-on innocent parce qu’on ne sait pas? Un imbécile assis sur le trône est-il déchargé de toute responsabilité du seul fait que c’est un imbécile?
Admettons que le procureur tchèque qui réclamait au début des années cinquante la peine de mort pour un innocent ait été trompé par la police secrète russe et par le gouvernement de son pays. Mais maintenant que l’on sait que les accusations étaient absurdes et les suppliciés innocents, comment se peut-il que le même procureur défende la pureté de son âme et se frappe la poitrine: ma conscience est sans tache, je ne savais pas, je croyais! N’est-ce pas précisément dans son «Je ne savais pas! Je croyais!» que réside sa faute irréparable?
Alors, Tomas se rappela l’histoire d’Œdipe. Œdipe ne savait pas qu’il couchait avec sa propre mère et, pourtant, quand il eut compris ce qui s’était passé, il ne se sentit pas innocent. Il ne put supporter le spectacle du malheur qu’il avait causé par son ignorance, il se creva les yeux et, à jamais aveugle, il partit de Thèbes.
Tomas entendait le hurlement des communistes qui défendaient la pureté de leur âme, et il se disait: À cause de votre inconscience, ce pays a peut-être perdu pour des siècles sa liberté et vous criez que vous vous sentez innocents? Comment, vous pouvez encore regarder autour de vous?
Comment, vous n’êtes pas épouvantés? Êtes-vous capables de voir? Si vous aviez des yeux, vous devriez vous les crever et partir de Thèbes!»
(Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être)
Remplacez "communiste" par "médecin de plateau-télé", membre du comité scientifique, gouvernant, parlementaire, journaliste…
Pour Lacan: «l’erreur de bonne foi est de toutes la plus impardonnable».
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professeur-stump · 1 month
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Le paranoïaque machine des masses, et ne cesse de former de grands ensembles, d'inventer des appareils lourds pour l'encadrement et la répression des machines désirantes. Certes, il ne lui est pas difficile de passer pour raisonnable, en invoquant des buts et des intérêts collectifs […]
(Gilles Deleuze, Félix Guattari, L'Anti-Œdipe)
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Louis Édouard Fournier - Mounet-Sully se maquillant dans sa loge avant une représentation d'"Œdipe roi" (1893)
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papierscolles · 1 year
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Flux de femmes et d'enfants, flux de troupeaux et de graines, flux de sperme, de merde et de menstrues, rien ne doit échapper. La machine territoriale primitive, avec son moteur immobile, la terre, est déjà machine sociale ou mégamachine, qui code les flux de production, de moyens de production, de producteurs et de consommateurs: le corps plein de la déesse Terre réunit sur soi les espèces cultivables, les instruments aratoires et les organes humains.
GILLES DELEUZE,  FÉLIX GUATTARI. CAPITALISME ET SCHIZOPHRÉNIE.  L'ANTI-ŒDIPE.
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philippebresson · 7 months
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Angot, Breillat, et moi, et moi...
Christine Angot a le mérite de savoir d'où elle parle, et c'est ce qui fait pour moi sa qualité.
Je ne sais pas ce que Catherine Breillat dit sur son film "L'été dernier", et à la limite je m'en fiche. C'est son film qui m'a parlé. Ému. Touché. Dérangé. Bouleversé.
Je suis sans doute l'un des "esthètes" que pointe du doigt C. Angot dans sa "critique" du fim. Oui, sans aucun doute. Et je l'assume.
C. Angot m'intéresse et me touche, mais peut-être parfois mélange-t-elle différentes choses, différents "plans", différents sujets ; le film de C. Breillat n'est pas un film à thèse sur l'inceste, loin de là, pas plus que "Théorème" de Pasolini n'en est un, même si toute la famille - italienne et bourgeoise - finit par coucher avec le même homme (climat incestuel plutôt qu'inceste dans le théorème de P.).
Le film de Breillat ne nous dit pas que c'est bien ou beau de coucher avec son jeune beau-fils. Il montre les choses telles qu'elles sont dans cette histoire-là, dans cette famille-là, la vérité complexe de ces personnages-là, de cette fiction-là. Sans jugement sur l'un ou l'autre des personnages, sans encouragement à les imiter non plus, sous prétexte que l'image serait belle, que la lumière serait belle, car en effet elle irradie !
"Familia Grande" (cité par Angot) parlait de "l'affaire Kouchner" ; il s'agit d'un récit autobiographique avec des personnes impliquées (qui ne sont pas des personnages de fiction), des plaignants, un ou des accusés, des complices.
Je ne crois pas que le scénario de C. Breillat et Pascal Bonitzer ("L'été dernier" est un remake du film danois "Dronningen" réalisé par May el-Toukhy en 2019 et jamais sorti en France), repose sur le témoignage intime d'un homme incesté durant son adolescence. Nous ne sommes pas non plus dans la transposition d'un fait divers à l'écran. Pas plus, dans un autre registre, que pour Médée, Œdipe, Antigone (Antigone n'est pas incestueuse, mais elle est le fruit d'un inceste), ou Phèdre (qui avoue à sa nourrice son amour coupable pour Hippolyte, son beau-fils, fils de Thésée).
D'une certaine manière, le plaidoyer de C. Angot me rappelle la fameuse polémique autour du film de Cyril Collard "Les nuits fauves" ; à l'époque certains lui reprochaient de montrer un personnage qui, se sachant séropo, couchait avec une jeune fille qu'il aimait, sans préservatif et sans qu'elle soit informée de sa séropositivité. Mais depuis quand un film de fiction devrait-il assumer le rôle d'une campagne de prévention ou de sensibilisation ?
Quand Almodovar réalise avec "Parle avec elle" l'un de ses longs-métrages les plus aboutis - Eros et Thanatos dans une chambre d'hôpital, le tout filmé par un cinéaste qui touche avec ce film à la perfection absolue -, je ne me demande pas si cet homme a raison d'avoir une relation sexuelle avec une femme qui est dans le coma. Ça me dérange certes, mais je ne suis ni cet homme, ni cette femme, ni l'un des membres du personnel hospitalier. C'est la vérité de cette histoire et de ces personnages qui m'intéresse.
Connaissant (comme nous tous) son histoire personnelle, je peux comprendre le malaise de C. Angot face au film de C. Breillat ; et son point de vue, sa prise de position, m'intéressent. Elle pique l'esthète en moi à un endroit où, volontiers funambule sur le fil qui relie fond et forme, je pourrais parfois me sentir en déséquilibre. Mais encore une fois, je n'attends pas d'une oeuvre artistique qu'elle s'autocensure dans son propos, dans son processus de création, et quel que soit le sujet dont elle se fait, in fine, l'objet (filmique ici).
Est-ce que la relation du personnage de Léa Drucker avec son jeune beau-fils de dix-sept ans dans "L'été dernier" de Catherine Breillat banalise le climat incestuel, la relation incestueuse ? Je ne le crois pas. Elle nous montre au contraire que le crime (presque) parfait se passe sous nos yeux, dans la chambre d'à côté, et que la vie est ainsi faite qu'elle mérite, en dehors des salles de cinéma j'entends, que nous lui accordions la plus grande vigilance.
Philippe Bresson
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philoursmars · 1 year
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Marseille. Je suis retourné au Musée des Beaux-Arts après quelques années..
- les 2 premières : Charles Jalabert : “La Peste de Thèbes - ou - Œdipe fuyant la malédiction des habitants de Thèbes”
- Françoise Duparc : “L'Homme à la besace”
- André Allar : “Hécube découvrant le cadavre de Polydore”
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mr-e-gallery · 2 years
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salvador dali ŒDIPE ET LE SPHINX, 1964
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Le philosophe produit des idées, le poète des poèmes, l’ecclésiastique des sermons, le professeur des traités…
Le criminel produit des crimes.
Si on regarde de plus près les rapports qui existent entre cette dernière branche de production et la société dans son ensemble, on reviendra de bien des préjugés.
Le criminel ne produit pas que des crimes : c’est lui qui produit le droit pénal, donc le Professeur de droit pénal, et donc l’inévitable traité dans lequel le professeur consigne ses cours afin de les mettre sur le marché en tant que «marchandise».
Il en résulte une augmentation de la richesse nationale, sans parler de la satisfaction intérieure que selon le professeur Roscher, témoin autorisé, le manuscrit du traité procure à son auteur.
Plus : le criminel produit tout l’appareil policier et judiciaire : gendarmes, juges, bourreaux, jurés, etc., et tous ces divers métiers, qui constituent autant de catégories de la division sociale du travail, développent différentes facultés de l’esprit humain et créent en même temps de nouveaux besoins et de nouveaux moyens de les satisfaire.
La torture, à elle seule, a engendré les trouvailles mécaniques les plus ingénieuses, dont la Production procure de l’ouvrage à une foule d’honnêtes artisans.
Le criminel crée une sensation qui participe de la morale et du tragique, et ce faisant il fournit un «service» en remuant les sentiments moraux et esthétiques du public.
Il ne produit pas que des traités de droit pénal, des codes pénaux et, partant, des législateurs de droit pénal : il produit aussi de l’art, des belles-lettres, voire des tragédies, témoins non seulement La Faute de Msüllner et Les Brigands de Schiller mais aussi Œdipe et Richard III.
Le criminel brise la monotonie et la sécurité quotidienne de la vie bourgeoise, la mettant ainsi à l’abri de la stagnation et suscitant cette incessante tension et agitation sans laquelle l’aiguillon de la concurrence elle-même s’émousserait. Il stimule ainsi les forces productives.
En même temps que le crime retire du marché du travail une part de la population en surnombre et qu’il réduit ainsi la concurrence entre travailleurs et contribue à empêcher les salaires de tomber au-dessous du minimum.
La lutte contre la criminalité absorbe une autre partie de cette même population.
Ainsi le criminel opère une de ces «compensations» naturelles qui créent l’équilibre et suscitent une multitude de métiers «utiles».
On peut démontrer par le détail l’influence qu’exerce le criminel sur le développement de la force productive :
— Faute de voleurs, les serrures fussent-elles parvenues à leur stade actuel de perfection ?
— Faute de faux-monnayeurs, la fabrication des billets de banque ?
— Faute de fraudeurs, le microscope eût-il pénétré les sphères du commerce ordinaire ?
La chimie appliquée ne doit-elle pas autant aux tromperies et à leur répression qu’aux efforts Légitimes pour améliorer la production ?
En trouvant sans cesse de nouveaux moyens de s’attaquer à la propriété, le crime fait naître sans cesse de nouveaux moyens de la défendre, de sorte qu’il donne à la mécanisation une impulsion tout aussi productive que celle qui résulte des grèves.
En dehors du domaine du crime privé, le marché mondial serait-il né sans crimes nationaux ?
Et les nations elles-mêmes ?
Et depuis Adam, l’arbre du péché n’est-il pas en même temps l’arbre de la science ?
(Éloge du crime par Karl Marx. Cette notule écrite entre 1860 et 1862, fut intégrée par son éditeur à la Théorie de la plus-value, dans le tome IV du Capital)
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professeur-stump · 3 months
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Fluide et glissant
Mais les « explications » qu'il y joint, et dont il change suivant son humeur, font appel à des séries généalogiques qui constituent l'enregistrement du dessin. Bien plus, l'enregistrement se rabat sur le dessin lui-même, sous forme de lignes de « catastrophe » ou de « chute » qui sont autant de disjonctions entourées de spirales.
(Gilles Deleuze, Félix Guattari, L'Anti-Œdipe)
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