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[moocportedoree]

Un souvenir inoubliable !

Chers amis,

Je suis parti ce matin de la maison, parcourant l’avenue Daumesnil jusqu’à l’orée du bois de Vincennes où se trouve l’Exposition Coloniale dont on parle tant. Arrivé à la Porte Dorée j’ai été impressionné par l’architecture du bâtiment principal : de hautes colonnes attirant le regard vers le ciel, la façade foisonnante de bas-reliefs où figurent les divers continents de nos colonies. Une immense statue dorée d’Athéna nous indique l’entrée. L’intérieur est éblouissant de richesses. Le salon Afrique est meublé d’un superbe bureau. Il est réalisé en matériaux nobles comme l’ébène de macassar pour le bois, le plateau est gaîné de galuchat (le galuchat est un cuir de poisson cartilagineux comme la raie ou le requin) et incrusté d’ivoire, les moulures sont en bronze argenté. Le salon Asie comporte aussi un élégant bureau, c’est le bureau du maréchal Lyautey, réalisé en palmier de Patawa, essence rare qui est considérée comme le plus dur et le plus difficile à travailler. Quel luxe ! Le forum est garni d’éblouissantes peintures murales qui représentent l’allégorie de l'Art, la Paix, le Travail, le Commerce, l'Industrie, la Liberté, la Justice et la Science. Je ne sais plus où donner de la tête !

J’ai ensuite pris le petit train qui permet de faire le tour de l’exposition qui est aussi un voyage dans des pays exotiques. D’abord la section étrangère avec les pavillons portugais, les huttes congolaises de la Belgique, le temple javanais des Hollandais, la basilique tripolitaine de l’Italie, la plantation de Mount Vernon des États-Unis. La grande avenue est bordée par les pavillons de nos colonies : Antilles, Guyane, Réunion, Indes françaises, Océanie. Vient ensuite le majestueux temple d’Angkor, œuvre impressionnante de réalisme. Il est déjà 19 heures, je n’ai pas vu le temps passer et j’avoue que j’ai un peu mal aux jambes. Ma journée a été bien remplie mais il me reste encore quelques endroits à visiter. J’y retourne demain !

Venez à la maison, l’exposition mérite vraiment une visite car c’est exceptionnel de beauté, je suis sûr que dans l’avenir on reparlera de cette exposition.

Je vous embrasse.

Albert

[behind-the-me]

Qui suis-je?

Il y a beaucoup de choses qui contribuent et influencent une personne dans la vie que sa soit pas traditions, idées, et genres artistiques, y compris moi qui n ‘est une exceptions à ceci. Mes traditions sont majoritairement très influencées par ma culture congolaise. Une des traditions que je pratique est d’accueillir des invitées à la maison avec de la nourriture ou en disant bonjour avant de sortir, ceci ce fait car nous avons une grande culture de respect et famille au Congo est quand quelqu’un est chez toi il faut leur traiter comme ta famille. Il y a certaines chansons et habits qui sont portés au mariages congolais.

Mon choix de style personnel est influencé par ce que j’ai vécu, et vu quand je grandissais. Malgré ma grande personnalité, je préfère porte des habits de couleur foncé majoritairement plus gros pour mon corps.  Le standard de beauté dans lequel notre société fonctionne avec, mis un emphase sur les corps mince, alors depuis jeune on m’a appris à couvrir mon corps car personne ne voulait le voir. Sinon je devrais porter des couleurs pour amincir ma figure. A part ça, mon style est aussi influencé par les figures que j'idéalise quand j'étais plus jeune dans mes émission préférée ou livres préférés, coïncident ils étaient tous des filles sur la teles avec de forte personnalité qui s'habillent de façon traditionnellement plus masculines. Hors de la norme. Je me sentais aussi comme si j'étais hors de la norme, alors je modelais mon style comme eux.

Je me décrirais plutôt comme artistique donc d’une façon mes loisirs reflètent donc cet aspect de ma personnalité. J’aime dessiner, jouer des instruments,t' écrire quand bon me semble et danser. Une grande partie de la culture congolaise, c’est la musique. Devenir danseur, ou musicien est considéré comme un grand accomplissement chez nous. Nous avons de la musique pour tous. D’autre part mon père était musicien quand j'étais jeune alors je ne doute pas que ça m’a influencé tandis que j’aime tous qui est art dans un aspect ou l’autre, c’est médiane sont aussi des moyens de s’exprimer. Je ne suis pas douée pour exprimer mes sentiments alors je prends ces loisirs comme façons de les traduire . Mes divertissements font aussi partie de ses influences artistiques, j’aime écouter de la musique et regarder des films. Pour moi ce sont deux choses que tout le monde peut se réunir malgré la langue ou genre, ce sont des arts consumer par tous. Donc nous pouvons tous nous identifier  dans ces médias et je trouve ça très beau.

[congopositif]

“La mère est celle qui prend le couteau par la lame” - Proverbe Bantou

@leyuwera

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[simbatokonga]

Une Congolaise d'origine libanaise - une《Blanche》d'un point de vue africain - se fût auparavant qualifiée au concours de beauté 'Miss Congo' : silence radio. Mais une indigène, originaire d'une petite province locale, en fait de même puis voilà que des Congolais dans les réseaux sociaux partent en vrille simplement en raison de son apparence et ethnicité. J'exècre le tribalisme & le favoritisme racial. Certains (pour ne pas dire BEAUCOUP) de ses gens auquel je fûs toute ma vie élevé à dénommer《mes compatriotes》ne valent pas mieux que tous ces ignorants et xénophobes ayant calmonié les Miss Algérie, Japon ou France. *** A Lebanese-born Congolese female - a "white woman" from an African standpoint - had once qualified herself for the beauty pageant contest 'Miss Congo' : nothing about it. But a native-born province girl does exactly the same and here come now the Congolese social media lobby who's going nuts over this simply because of her appareance and ethnicity. I loathe tribalism and racial favoritism. Some (if not VERY MANY) of those people I had long been raised up to call them "my countryfellows" aren't better than the foolish ignorants who racially slandered the likes of Misses Algeria, Japan & France. #congo #misscongo #rdc #republiquedemocratiqueducongo #zaire #tribalisme #tribalism #discrimination #bigotry #bigotrie https://www.instagram.com/p/B6ajj9_AumX/?igshid=1gtbyay6za0ao

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[mediationculturellelab-blog]

Faire de la médiation culturelle sans médiateur·trice ? Tel est le pari de la muséographe Fabienne Guilleaume

François Schuiten “L’Homme Léopard au Musée de Tervuren” (2001) 

« Le modèle de société multiculturelle des européen·nes se trouve sérieusement mis en perspective ». Voilà ce que l’artiste belge issu de la diaspora congolaise Toma Muteba Luntumbue nous rappelle dans un article du bimestriel Bruxelles en Mouvements paru en novembre 2018. Professeur à l’université de La Cambre, il évoque la récente rénovation du Musée Royal d’Afrique Centrale (MRAC) de Tervuren comme étant « un échec à réformer un fossile institutionnel ». Mais quelle pourrait être la solution face à une telle volonté de décolonisation culturelle ? Comment, pour reprendre les mots d’Aimé Césaire, éviter de « se mettre devant une pierre et attendre qu’une fleur ne pousse dessus » ?

Désireux de transformer leurs musées d’ethnographie en des lieux d’échange et d’intégration culturelle, bon nombre de pays européens se font les défenseurs d’un nouveau régime d’expositions: la muséologie participative. « Soucieux de réinterpréter leurs propres méthodes d’exposition tout en réétudiant le colonialisme », les défenseurs de cette approche prétendument inclusive « s’engagent ainsi à affronter toute sorte de questions taboues, et à tenter d’y apporter des réponses, ou tout au moins à les faire converser », précise ce professeur. Le problème ? Cette intention de réconciliation culturelle basée sur l’introspection a souvent tendance à nier un fait pourtant simple, à savoir qu’il n’y a pas de décolonisation possible sans dialogue entre des partenaires égaux.

Une reconstruction innovante

Frédéric Bruly Bouabrés “La sublime beauté des cinq continents” (photo de Tristan Fewings, Getty Images for Sotheby’s)

C’est justement sur ces principes de partenariat et d’égalité que la muséographe belge Fabienne Guilleaume se base pour son futur projet de collaboration entre des étudiant·es belges et africain·es (ces dernier·es seront probablement originaires du Sénégal ou du Burkina Faso, la question n’a pas encore été tranchée). Avec l’agence Place Publique, cette professeure de l’UCL souhaite permettre à des jeunes issu·es des deux continents d’échanger sur leurs différentes idées et conceptions d’une exposition, afin de poser les bases d’une approche innovante. Bien qu’ayant dans un premier temps lieu à distance, ce partenariat est censé se concrétiser sur le continent africain, où les participant·es seront amené·es à se rencontrer pour repenser les modèles d’exposition occidentaux.

Cette initiative de co-création s’inspire d’une exposition mise sur pieds à l’Atomium et au MRAC en 2009. Intitulé « Africa: Fast Forward », cet événement avait pour but d’interroger un continent en pleine mutation, tout en remettant en question les images pessimistes qu’on peut en avoir, ainsi que les clichés réducteurs véhiculés à son égard. Désireuse de donner la parole aux intellectuel·les du continent, Fabienne Guilleaume exposa alors les travaux de bon nombre d’artistes, de chercheur·ses, d’ingénieur·es et de médecin·es africain·es. Aujourd’hui, dix ans plus tard, la muséographe porte un regard critique sur son travail. Elle commente qu’elle n’aurait plus exposé ces œuvres de la même manière et envisage pour ce faire de déconstruire cette exposition, afin de la reconstruire sur le continent africain avec la participation des jeunes mentionné·es ci-dessus.

Cette démarche témoigne de l’importance de la remise en question parce que si nos sociétés sont en évolution perpétuelle, il est logique que l’art, qui en est en quelque sorte le miroir, évolue, par la même occasion. Il est donc rassurant de constater qu’une exposition montée en 2009 ne se reconstruise pas de la même manière dix ans plus tard. Vous l’aurez compris, ce nouveau projet comporte un grand nombre d’enjeux, dont notamment un questionnement concernant les différentes façons de « faire exposition » ou de « faire musée », en Europe comme en Afrique. Compte tenu de tout cela, le défi sera de parvenir à reconstruire cette exposition sur le second continent le plus peuplé du monde, où le musée possède une toute autre symbolique qu’en Occident.

Parier sur l’intelligence des visiteurs·ses

Africa : fast forward, “L’inventaire” (2009)

Dans son essai intitulé L’architecture et la muséographie comme médiation sensible (2009), Adeline Rispal nous explique que le rôle des muséographes – comme celui des médiateur·trices – est de « créer des conditions favorables à la rencontre et permettre aux visiteur·ses d’exprimer au mieux leur part d’humanité ». Elle poursuit son propos en précisant que « dans la muséographie, presque liée à la recherche scientifique ou à la création artistique, il faut utiliser son intuition pour ouvrir de nouvelles voies de la médiation ». Ce pari sur l’intelligence des visiteur·ses rappelle le point de vue de Fabienne Guilleaume, lorsqu’elle nous explique que la muséographie est avant tout de la médiation. « Placer les œuvres d’une certaine manière, ajouter certains textes, agencer l’espace de telle sorte, y intégrer une histoire, une chronologie et une façon de voir les choses… Ces éléments permettent de créer du lien entre une œuvre et un public, dont le but est que les visiteur·ses sortent avec davantage de questions que lorsqu’ils/elles sont entré·es ». Pour la conception de « Africa: Fast Forward », la muséographe a d’ailleurs exprimé la volonté d’utiliser des matériaux bruts et peu onéreux en accord avec le contenu de l’exposition, tels que des caisses en bois et du scotch. Ce genre de réflexions scénographiques concernant les lieux, les matériaux, la disposition et autres fait déjà partie intégrante du travail de médiation culturelle.

Dans un contexte où la rénovation de nombreux musées d’anciennes puissances coloniales est accusée de véhiculer une vision culpabilisante de la nation, voire auto-flagellante, les pays tels que la Belgique essaient en quelque sorte de « présenter l’Afrique d’aujourd’hui avec des objets d’hier ». Mais comment ancrer un travail dans le monde contemporain si ce dernier s’appuie sur une collection dont l’essentiel date de la période coloniale ? Comment fertiliser la pierre dont Aimé Césaire parlait, si on ne la met pas en relation avec le terreau dont la fleur qu’on veut y faire pousser aurait besoin pour y voir le jour ? Parce qu’après tout, le rôle d’un musée est plutôt d’informer, de questionner et d’éduquer, et non pas de codamner.  

Sophia Bouhon, Sophie Dajez, Gabriel Detheux, Martha Vandermeulen, Valentine Verbeken

 Sources

Rencontre avec Fabienne Guilleaume du mardi 26 novembre 2019 

 Muteba, T. (Novembre/décembre 2018). Tervuren : du musée empaillé au musée des illusions, Bruxelles en mouvements, n°297, pp.8-11.

Rispal, A. (2009). L’architecture et la muséographie comme médiation, Érudit, 3(2), consulté sur : https://www.erudit.org/fr/revues/museo/2009-v3-n2-museo02125/1033564ar.pdf.

Vallet, C. (2018). Musée de Tervuren : Décolonisation impossible ?, Médor, n°10, pp. 102-107.

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[anderlymillicent-blog]

La beauté congolaise

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À la découverte de Shaddyboo Congogirl, une autre beauté Congolaise qui fait parler... http://kribiosuniversal.com/post/a-la-decouverte-de-shaddyboo-congogirl-une-autre-beaute-congolaise-qui-fait-parler...- (à Kribios Universal) https://www.instagram.com/p/CKTSkiyBvJx/?igshid=1wrob6rzwjclm

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[partagerlavie-blog]

Double Wear Instant Fix Concealer – Estee Lauder

Le nouvel anti-cerne de Estee Lauder - Nouvelle revue beauté sur le blog

  Hello mes amours, j’espère que vous allez super bien et que vous avez passé une belle semaine! Aujourd’hui parlons beauté car j’avais hâte de vous parler du nouvel anti-cerne d’Estee Lauder que je teste depuis quelques semaines maintenant.

Après avoir testé le fond de teint Double Wear en liquide et en version poudre et d’avoir totalement craqué, cette fois ci j’ai pu découvrir le Double Wear…

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Tokoss 💥 Beautés de Kinshasa, République Démocratique du Congo 🇨🇩 Merci beaucoup à @243_projet ! Merci d'utiliser votre hashtag : #congopositif #congopositif #congopositif #potd #ig #igafrica #igersafrica #africa #afrique #congo #rdc #drc #kinshasa #kin #kinlabelle #congolaises #congolese #congolesegirls #beaute #kitoko #beautifulafrica #beautecongolaise #congolesebeauty #women #africanwomen #pagne #dashiki #yamado #congopositif

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Georgia Boka: à la fois chantre de l'Eternel et ceo de BOKA COSMÉTICS

#RDC Georgia Boka: à la fois chantre de l'Eternel et ceo de BOKA COSMÉTICS

Être à la fois chantre de l’Eternel et entrepreneuse, c’est le pari fou réussi par Georgia Boka.

C’est une jeune congolaise, mariée, résidant à Toronto au Canada.

Elle est à la fois chantre de l’Éternel, fondatrice et ceo de BOKA COSMÉTICS.

Répondant à une interview de Direct.cd, elle nous explique que BOKA COSMÉTICS est une ligne de maquillage et de produits de soin et de beauté pour…

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Télécharger Livres PDF Gratuitement Livre : Aubin Banzouzi publie « Plumes fécondes. La beauté de la littérature congolaise et d’ailleurs » #ebook #livrePDF #livret #coursesEnVrac

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