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#il lui les faut tous
marypioneer · 6 months
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On te voit, Gaspard...
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maviedeneuneu · 2 years
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Mon frère vient de me dire qu'il aimerait bien qu'on se fasse un tattoo en commun
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culmaer · 2 years
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lilias42 · 2 years
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Simplicis caput
Bon ! J'avais pas prévu de le faire (et je ne sais pas si je recommencerais pour les autres) mais, voici la tête de Simplex ! Je l'avais bien en tête donc, autant la dessiner et la montrer ! (même si j'ai pas un super trait)
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Comme dit dans son billet, son peuple est d'origine duscurienne donc, son teint de peau est très proche de celui de Dedue (enfin, aussi proche que je pouvais le faire avec mes crayons, et j'en avais un qui s'égalisait mal pour le marron et le coloriage, c'est vraiment pas mon truc donc, pardon pour les coups de crayons encore visibles)
J'ai essayé de respecter le code couleur de Dimitri pour ses vêtements (surtout que ça colle aux vêtements des habitants de la péninsule ibérique étant donné que d'après Strabon, ils portaient des tuniques de laine noire) et, normalement, il lui ressemble beaucoup. S'ils se croisent au même âge et sans les fiertés, on dirait Dimitri mais, s'il était né en Duscur. Les plaques de métal autour de son cou sont les tessères d'hospitalité qu'il partage avec Pertinax et Laeta et même si j'ai pas eu la place, elles ont une forme de main et peuvent toutes se superposés.
Pour ses fiertés, j'ai essayé de suivre le chemin de sa trachée le long de sa gorge pour celle qui ressemble à un collier et même si c'est caché par le col de sa tunique, elle continue dessous et recouvre une grande partie de son torse, notamment ses poumons vu que Simplex utilise souvent sa flute pour faire de la sorcellerie. L'idée est la même pour celles sur ses joues, elles suivent le chemin de sa sorcellerie.
Celle sur son front est apparut plus tard dans sa vie (elle est même tout autour de sa tête et sous ses cheveux, même si je ne l'ai pas dessiné) et n'a pas la même explication : déjà parce que je trouvais ça plutôt beau, même si ça reste des difformités plutôt effrayantes, mais aussi je trouvais que ça faisait comme une couronne sur sa tête, ce qui permettait de rappeler que sa lignée deviendra la famille royale de Faerghus.
Evidemment, son oeil gauche est celui de Pertinax, d'où le fait qu'il soit avec une pupille en forme d'amande car, celles de Pertinax ont cette forme. Ces yeux se sont adaptés au cas où il plongerait en eaux profondes avec peu de lumière et sont donc plus sensible, d'où l'iris rétractable, même si j'aurais dû faire le fond blanc pour encore plus coller à l'image d'un oeil de poisson (mais bon, les poissons n'ont pas d'iris en amande de ce que j'ai vu donc, ça passe). J'ai aussi ajouté des petites écailles sarcelles à côté de son oeil pour faire comme si des résidus de sa sorcellerie faisaient apparaitre des fiertés semblables aux siennes sur le corps de Simplex. Bon par contre, je me suis loupé vu que normalement, Pertinax a les mêmes yeux bleus d'eau que Rodrigue... j'avais fini de colorier quand je m'en suis rendu compte... les aléas du dessin à la main... on va dire que c'est une couleur un peu altéré par le fait que l'oeil soit gelé. D'ailleurs,même si ça ne se voie pas finalement sur la photo, j'avais aussi passé du bleu très pale sur le blanc de ses yeux pour donner l'impression qu'il était givré.
Pour sa coiffure, c'est une tresse que Simplex roule en chignon pour qu'elle ne traine pas par terre, étant donné qu'il ne se coupe jamais les cheveux. Il en fait aussi tombé une partie sur son épaule droite et sa natte tombe jusqu'à ses hanches. Pour le résultat de dos... (+ l'échelle de taille avec Pertinax et Laeta... et oui, même Simplex ne sait pas comment il a pu finir aussi grand alors qu'il mangeait autant que ses amis conservi, qui ont eu des retards de croissances et une petite taille à cause de la malnutrition)
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(ordre de gauche à droite : Pertinax, Simplex, Laeta)
Bon, la qualité est pas top et j'avoue, je ne savais pas trop comment représenter correctement le fait que son chignon soit une tresse enroulé mais, ça donne ça de dos. Pour le chignon tressé à côté, c'est Pertinax, et là où les cheveux qui sont rassemblées en une multitude de nattes sont ceux de Laeta, ce qui crée une sorte de grand châle roux autour d'elle quand elle danse.
J'ai pas fait exprès, j'ai pensé à ses coiffures en imaginant à quoi ressemblaient les Braves indépendamment les uns des autres mais, en les dessinant tous les trois à côté, j'aime bien me dire qu'ils ont tous une / des tresses car, en plus d'être pratique, ça évite que leurs cheveux trainent au sol ou ne passent devant leurs yeux quand ils travaillent, mais aussi parce qu'avant que Pertinax et Laeta ne rentrent chez eux, ils se les faisaient les uns les autres pour gagner du temps et vérifier qu'ils n'avaient pas de poux ou de puces, ou de pucerons pour Laeta, puis ils ont continuer à s'en faire de leur côté en souvenir de ce moment-là entre eux (même s'ils ne l'avouent jamais à eux-mêmes et enferment tout dans une amphore, même si ça fait mal). Simplex porte un chignon comme Pertinax, et la partie de sa tresse qui tombe lui fait penser à Laeta.
Et voilà pour la tête de Simplex ! J'espère qu'il vous plait !
Ma source pour la manière dont il a noué son sayon vient d'Hycarius sur instagram (histoire appliquée sur Youtube) : c'est le lanceur de fronde de ce post. Allez voir ce qu'il fait, il est une source fiable ! Vous avez aussi les Ambiani et le Samara Parc sur insta qui font de supers reconstitutions ! De ce que je sais, vous pouvez les utiliser comme sources si vous écrivez une histoire qui se situe à la fin de la Tène et avant la conquête romaine ! (en plus de lecture sur le sujet !)
#blaiddyd of the 10 elites#Blaiddyd Simplex Princeps#écriture de curieuse#une curieuse qui dessine un peu#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#fait quasi sur un coup de tête mais c'était amusant à faire !#j'espère que ça vous plait surtout !#toute personne à l'époque du canon : geuhndezqnfrez !!! Blaiddyd est duscurien ?! Non ! Non ! C'est pas le bon ! C'est quelqu'un d'autre !#Dimitri : non c'est lui mon emblème réagit. Faites avec.#Simplex : qu'est-ce qu'ils ont tous à me regarder comme ça ? C'est à cause de ma taille ? Je sais que je suis grand mais quand même...#Pertinax : je crois plutôt que c'est ton teint qui les étonne... ok c'est rare mais bon leur faut pas grand-chose pour paniquer...#Laeta : ils ne sont peut-être jamais allé à Fhirdiad ou dans votre Terre Originel ? En tout cas ils sont amusant à voir comme ça !#...ils ne font même pas attention à nos fiertés !#Gens : vos fiertés... ah ! Des monstres !#Pertinax : vous êtes long pour réagir... à ce demander comment vous survivrez. On a cette tête et c'est une fierté faites avec#Gens : non seulement Blaiddyd est un duscurien et ça se voie avec sa peau noire mais en plus c'est un monstre comme Fraldarius et Dominic#Simplex : c'est ma peau le problème ? Je croyais que c'était mes fiertés ! Et je ne peux pas la blanchir pour vous faire plaisir !#Laeta et Pertinax : t'inquiètes laissez les paniquer tout seul. Au moins ils nous ficheront la paix et ne toucheront pas à nos familles.#Simplex : c'est vrai c'est le principal... au fait j'ai une question : est-ce que nos familles et nos peuples s'entendent ?#Dimitri : oui et même très bien ne vous en faites pas. Surtout celle de Fraldarius et la nôtre et celle de Dominic lui fait aussi honneur.#Simplex : d'accord tant mieux... et on ne s'est donc jamais fait la guerre ?#Dimitri : non pourquoi ?#Simplex fait un gros calin à Pertinax et Laeta comme il voulait le faire depuis + de 80 ans rassuré qu'ils ne se soient jamais entretuer#Laeta lui rend le calin en souriant et en riant de joie#ses deux frères et elle ne se sont pas entretuer et c'est tout ce qui compte !#Pertinax grogne un peu qu'il ne se gêne pas mais le serre aussi dans ses bras rassuré que leurs familles ne se soient pas affrontés#LE mot finit par sortir et ça fait du bien !#quand leurs descendants leur demandent pourquoi ils ont l'air aussi soulagé - ils répondent que c'est une très (trop) longue histoire#mais que le principal c'est qu'ils s'entendent tous que la paix règne et qu'ils aillent tous bien - c'est tout ce qui compte
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chaotictomtom · 10 months
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vas y j'essaye de rester positif mais comment c'est duuuuur purée.
#no joke que les lives reprennent pas ça me rend trop triste + surtout en sachant un des pourquoi il est ek hiatus#enfin + le capitalisme qu'il fait qu'il doit rebosser des heures de zinzin ne pharmacie mais bref#ça me rends trop trop trop triste. jme sens con mais en même temps non c'est genre la turbo safe place ses streams#et même s'il dit qu'il est bien entouré et qu'il faut pas s'en faire pour lui jsuis quand même :(((( purée#comme on lui a tous dit mille fois il peut prendre le temps qu'il faut pour revenir et tout#et jlui en voudrais jamais pour ça#mais en même temps ça manque trop :((( même un live comme aujourd'hui sans trop de but juste à hang out là c'est trop bien#ça reboost de fou#bref#jsuis head in hands depuis la fin du live j'ai l'impression d'avoir vu la lumière au bout du tunnel puis on l'a éteinte genre BFKSNFKSJ#faire rire vreument mon seul but là jme sens legit paumé c'est terrivle#terrivle ouais#tomtom_is_rambling#tomtom_communique#wah aussi jsuis TRISTE genre triste triste que la rencontre ça se fera obligé à paris alors que si on l'aurait fait avant...ça aurait pu#être sur lyon...avant qu'il déménage...bref.....jsuis pas salé parce que jme dis que masse gens pourront rencontrer le rifton#mais en même temps... </////3333#j'ai pas l'occasion de le faire rire irl au lieu que juste dans le chat........ pourquoi vivre jvous le demande#jme sens naze de me sentir truste pour ça gngnslfjd c'est terrible#big fucking head in hands moment
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thebusylilbee · 5 days
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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empiredesimparte · 5 months
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Oliver: The Polytechnique ball thinks big! Napoléon V: I suggested the Garnier Opera to the school president. You've got to have a bit of fun!
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Oliver: How did your honeymoon go? Napoléon V: Very well, thank you. It was strange to be cut off from the world, away from all the hustle and bustle of Paris.
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Oliver: Good! You needed a rest. By the way, I thought it would please Hortense to have an estate in Francesim, so that we could visit you from time to time. Napoléon V: That's a good idea, I like knowing that my twin sister won't be too far away from us.
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Oliver: Of course, don't worry, I'll look after her… That is, if you agree, officially Napoléon V: Officially, so that's it?
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Oliver: Yes, I've been ready for several months now. I'm sorry again for all the trouble I've caused you, it wasn't… Napoléon V: Let's not talk about it any more. It's all settled. I know that Hortense will be happy with you, surely … more than with me.
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Oliver: You were born to take different paths. At this time in your lives, the distance is natural. However, I believe I can echo Hortense's sentiments that she loves you dearly, no matter what and despite everything that has happened. Napoléon V: Thank you, Oliver. I'm counting on you to look after her.
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⚜ Le Cabinet Noir | Paris, 17 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and his entourage went to the Grand Bal de l'X, organised by the École Polytechnique to celebrate the end of their year of study. The ball took place at the Opéra Garnier, and featured a number of performances including dances, fencing, a choir and many other distinguished ceremonies. It's a not-to-be-missed event for young students. During the evening, Oliver approached his friend Napoléon V to officially ask for his sister Hortense's hand in marriage. The Emperor agreed to make the engagement official.
(Thanks to @theroyalthornoliachronicles and @funkyllama for the sims deco and accessories! Oliver is a character belonging to @officalroyalsofpierreland)
⚜ Traduction française
Napoléon V et ses proches se rendent au grand bal de l'X, organisé par l'école Polytechnique pour fêter la fin d'année d'étude. Le bal se déroule à l'opéra Garnier, et donne lieu à de nombreux spectacles comme des danses, des combats d'escrimes, une chorale, et bien d'autres cérémonies distinguées. C'est le rendez-vous immanquable des jeunes étudiants. Durant la soirée, Oliver approche son ami Napoléon V pour lui demander officiellement la main d'Hortense, sa soeur. L'Empereur accepte d'officialiser les fiançailles.
Oliver : Le bal de Polytechnique voit les choses en grand ! Napoléon V : J’ai proposé l’opéra Garnier au président de l’école. Il faut bien s’amuser un peu !
Oliver : Et ta lune de miel alors, ça s’est bien passé ? Napoléon V : Très bien, merci. C’était étrange d’être coupés du monde, loin de toute l’agitation parisienne.
Oliver : Tant mieux! Tu avais besoin de repos. À propos, j’ai pensé que cela ferait plaisir à Hortense d’avoir un domaine en Francesim, pour que l’on puisse vous rendre visite de temps en temps. Napoléon V : C’est une bonne idée, j’aime savoir que ma jumelle ne sera pas trop éloignée de nous.
Oliver : Bien sûr, ne t’en fais pas, je prendrai soin d’elle… Enfin, si tu y consens, officiellement Napoléon V : Officiellement, alors ça y est ?
Oliver : Oui, cela fait plusieurs mois que je suis prêt. Encore désolé pour tous les ennuis que j’ai pu t’attirer, ce n’était pas… Napoléon V : N’en parlons plus. C’est réglé. Je sais que Hortense sera heureuse avec toi, sûrement … plus qu’avec moi
Oliver : Vous êtes nés pour prendre des chemins différents. À ce moment de votre vie, la distance est naturelle, mais je crois pouvoir me faire l'écho des sentiments d'Hortense qui t'aime tendrement, quoi qu'il arrive et en dépit de tout ce qui s'est passé. Napoléon V : Merci Oliver. Je compte sur toi, pour veiller sur elle.
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pompadourpink · 1 year
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Les verbes les plus utilisés
Les auxiliaires
Être - to be (je suis une femme, il est avocat, elles sont plus grande que leur soeur, tu es d'accord avec eux)
Avoir - to have (j'ai trente ans depuis septembre, nous avons deux chiens et un chat, on avait du retard ce matin)
Les verbes communs
Aller - to be about to (je vais manger - I'm about to go eat); to go: à + city or article-free country, au + masc. country/location, à la + fem. location, aux + plural country, en + fem. country or means of transportation (je vais à Paris, à Cuba, au Canada, au café, à la mer, aux Caraïbes, en France, en métro)
Attendre - to wait (j'attends son arrivée - I'm waiting for her arrival); + de: expect from (j'attends des efforts de ta part - I'm expecting you to make efforts)
Avoir l'air - to look/seem: ø + adjective (tu as l'air perdu - you look lost), de + infinitive verb (elle a l'air d'être sûre d'elle - she seems confident)
Chercher - to look for (je cherche le chat - I'm looking for the cat); after aller: to get (je vais chercher mon colis - I'm going to get my package); try to remember (je cherche mes mots - "I'm looking for my words")
Comprendre - to understand (tu as tout compris - you got it)
Connaître - to be aware of (je connais bien Montpellier - I know Montpellier well, est-ce que tu as connu les pogs? - were you around when pogs were popular?)
Croire - to believe: + à (real) + definite article + noun (je crois au destin - I believe in destiny); + en (trust) (je ne crois pas en Dieu - I don't believe in God)
Demander - to ask: + à, ask if: si, ask for: de (j'ai demandé à mon frère de lui demander si elle veut venir - I asked my brother to ask her if she wants to come)
Devenir - to become (tu es devenu un beau jeune homme - you became a handsome young man)
Devoir - to have to, to be supposed to; present must, conditional present should (je dois manger - I have to eat, je devrais manger - I should eat)
Dire - to say to: + à (je le dirai à maman - I will tell mum)
Donner - to give: ø + noun, à + person (je donne une pomme à maman - I give an apple to mum)
Ecouter - to listen (j'écoute la pluie - I'm listening to the rain)
Entendre - to hear (j'ai entendu des bruits - I heard some noises)
Essayer - to try: ø + noun (je vais essayer une crevette - I'll try a shrimp), de + infinitive verb (il essaie de conduire - he's driving to drive)
Être en train de - to be in the process of (je suis en train de manger - I'm eating)
Faire - to make something happen/have someone do something for you (je fais nettoyer la cuisine par mon frère - I have my brother clean the kitchen); to do/make: ø + noun, à + verb (je fais mon lit tous les matins - I make my bed every morning, il fait froid - it's cold, ils font à manger - they're making food)
Faillir - to come close from (j'ai failli tomber - I almost fell)
Falloir - to be necessary to (impersonal verb*): ø + verb (il faut partir maintenant - we need to leave now), que + det/noun or pronoun verb (il fallait que tu rentres avant 19h - you were supposed to come home before 7pm)
Finir - to finish, end: ø + noun, de + infinitive verb (je finis de manger - I'm finishing my meal); to end up: + par + infinitive verb (j'en ai marre d'attendre, je vais finir par partir - I'm tired of waiting, I'm going to end up leaving)
Laisser - to let something happen, willingly or not (j'ai laissé refroidir mon plat - I let my meal cool down/get cold); to leave (je vais te laisser - I'll leave you alone, laisse-moi tranquille - leave me alone)
Mettre - to put on (clothes, music), up, something somewhere, someone in a situation (je mets mon bonnet - I'm putting my hat on), take an amount of time (j'ai mis trois heures pour venir - it took me three hours to come)
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Parler - to talk to: + à (je parle à maman - I'm talking to mum); to talk about: + de (je parle de l'école - I'm talking about school)
Partir - to go in order to (je suis partie chercher mon fils - I went to go get my son); to leave: à + specific destination/organized trip (je pars à Londres ce week-end), for + vague destination/trip, maybe forced (nous partons pour le Mexique en juin); exiting a location: de chez + person (je pars de chez moi maintenant - I'm leaving home now)
Passer - to pop by to do something (passe me chercher à la gare - come pick me up at the station, je vais passer voir ma tante - I'm going to go visit my aunt)
Pouvoir - to be able to (je peux être là dans dix minutes - I can be there in 10); be likely to/wish to
Prendre - to take: ø + noun, à + verb (je prends un biscuit - I'm taking a biscuit, il a pris à manger pour ce midi - he packed food for lunch)
Regarder - to watch/look, oserve (regarde ça - look at that)
Rendre - to give back (je te rendrai ta clé demain - I will give you your key back tomorrow); to change state (ça l'a rendu fou - it made him crazy)
Rester - to remain (je reste calme - I'm keeping my cool); + chez + person or + à + definite article + location: to stay (je reste chez ma cousine jusqu'à lundi - I'll stay at my cousin's until monday)
Savoir - to know about/how to: que + det/noun or pronoun + verb (ils savent que tu es là - they know that you are here, je sais jouer de la guitare - I can play guitar)
Sortir - to exit (sors de ma chambre - get out of my room); + de: to just have finished something (je sors de table - I just finished my meal)
Tenir - to take/hold (tiens-moi ça - hold this for me); to hold dear (je tiens à toi - I care about you); to hold oneself/resist (tiens-toi droit - stand straight)
Tomber - to fall (over, down, out)/become (je suis tombée malade - I got sick); + sur: come across (je suis tombé sur ta mère - I ran into your mother)
Trouver - to find, come across, get (something you've been looking for), come up with, have the opinion that (je trouve sa robe jolie - I find her dress pretty)
Venir - to come in order to: + pour + infinitive verb (je suis venu pour aider - I came to help); + de: just did something (je viens de rentrer - I just got home) or from (je viens de Paris - I'm from Paris)
Voir - to see: que + det/noun or pronoun + verb (je vois que tu es déjà levé - I see that you're already up), à + appearence + that det/noun or pronoun + verb (il a vu à ton expression que ça n'allait pas - from your expression he could tell something was wrong)
Vouloir - to want to: ø + infinitive verb (je veux m'en aller - I want to go), partitive + noun (je veux du calme - I want some peace and quiet), que + det/noun or pronoun + verb (je veux que tu t'en ailles - I want you to leave)
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Les verbes pronominaux
S'appeler - to be called (je m'appelle Rose - my name is Rose)
S'attendre à - to expect (tu t'attends au pire - you expect the worst)
Se demander - to wonder (ils se demandent où on va - they're wondering where we're going)
Se dépêcher - to hurry (dépêche-toi ! - hurry up!)
Se douter - to be suspicious of (je me doutais que tu serais en retard - I was pretty certain that you would be late)
S'excuser (de) - to apologize (je m'excuse de mon retard - I'm sorry for being late)
Se faire - to have something being done to you; passive form of faire + infinitive (je me suis fait virer par mon chef - I got fired by my boss)
Se lever/se coucher - to get up/go to bed (il se lève à 7h - he gets up at 7)
Se mettre - to start to (mets-toi en pyjama - start putting your pyjamas on)
Se mettre à - to start doing something (je me mets à manger - I'm starting to eat)
Se passer - to happen (qu'est-ce qu'il se passe ? - what's happening?)
Se rendre - to go somewhere (je me rends à la gare - I'm going to the station)
Se rendre compte + de + infinitive or + que + conjugated verb - to realise (tu te rends compte qu'il est encore en retard ? - do you realise he's late again?)
Se retourner - to turn around (Orphée s'est retourné - Orpheus turned around)
Se sentir - to feel a certain way inside (je me sens vide - I feel empty)
Se tourner - to turn toward (il s'est tourné vers sa mère - he turned to his mother)
Se tromper - to make a mistake (je me suis trompé de clé - I got the wrong key)
Se trouver - to find oneself (je me trouve belle aujourd'hui - I find myself pretty today, vous vous trouvez devant le magasin - they are standing in front of the shop)
S'occuper de - to take care of (elle s'occupe de lui - she's taking care of him)
Les verbes modaux
Can - present pouvoir (tu peux partir maintenant - you can leave now)*
Could/May/Might - imperfect pouvoir (tu pourrais partir - you could leave)
Have to - present impersonal verb falloir + infinitive or que + subjunctive (il faut que tu partes - it is necessary that you leave)
Must - present devoir (tu dois partir - you must leave)
Ought to - present conditional impersonal verb falloir + infinitive or que + subjunctive (Il faudrait que tu partes - You ought to leave)
Shall/Will - simple future second verb (tu partiras ce soir - you will leave tonight)
Should - present conditional devoir (tu devrais partir - you should leave)
Would - present conditional second verb(j'aimerais partir - I would like to leave)
*this verb typically means being able to: "I can't speak French" would be translated as "I don't speak French" or "I don't know how to speak French", using pouvoir means you are physically unable to do so ie I can't run because my leg is broken.
While auxiliary verbs are the first half of compound tenses and moods, semi-auxiliary verbs are used with another verb left in the present infinitive form to express an influence of their meaning, tense, mood, or aspect - some are the equivalent of modal verbs, others are simply verbs of perception. When not followed by an infinitive verb, those are not considered semi-auxiliary anymore.
Stative verbs (to be, to remain, to feel) express a state rather than an action. They usually relate to thoughts, emotions, relationships, senses, states of being and measurements and cannot be used as the introduction of a gerund (je rentre en marchant but je suis en marchant*).
Impersonal verbs can only be conjugated in the masculine form of the third person singular: il doesn't refer to a person (il pleut - it's raining).
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Movie: Les 400 coups - François Truffaut, 1959
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lisaalmeida · 2 months
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Vivre d'Amour,
C'est donner sans mesure
Sans réclamer de salaire ici-bas
Ah! sans compter je donne étant bien sûre
Que lorsqu'on aime, on ne calcule pas.
Au Cœur Divin, débordant de tendresse
J'ai tout donné, légèrement je cours
Je n'ai plus rien que ma seule richesse
Vivre d'Amour
Vivre d'Amour,
C'est bannir toute crainte
Tout souvenir des fautes du passé
De mes péchés je ne vois nulle empreinte,
En un instant l'amour a tout brûlé
Flamme divine, ô très douce Fournaise!
En ton foyer je fixe mon séjour
C'est en tes feux que je chante à mon aise
Je vis d'Amour
Vivre d'Amour, c'est garder en soi-même
Un grand trésor en un vase mortel
Mon Bien-Aimé, ma faiblesse est extrême
Ah je suis loin d'être un ange du ciel!
Mais si je tombe à chaque heure qui passe
Me relevant tu viens à mon secours,
A chaque instant tu me donnes ta grâce
Je vis d'Amour
Vivre d'Amour, c'est naviguer sans cesse
Semant la paix, la joie dans tous les cœurs
Pilote Aimé, la Charité me presse
Car je te vois dans les âmes mes soeurs
La Charité voilà ma seule étoile
A sa clarté je vogue sans détour
J'ai ma devise écrite sur ma voile:
Vivre d'Amour
Vivre d'Amour, quelle étrange folie!
Me dit le monde Ah! cessez de chanter,
Ne perdez pas vos parfums, votre vie,
Utilement sachez les employer!
A des amants, il faut la solitude
Un cœur à cœur qui dure nuit et jour
Ton seul regard fait ma béatitude
Je meurs d'Amour!
Mourir d'Amour, voilà mon espérance
Quand je verrai se briser mes liens
Mon Dieu sera ma Grande Récompense
Je ne veux point posséder d'autres biens
De son Amour je veux être embrasée
Je veux le voir, m'unir à lui toujours
Voilà mon Ciel, voilà ma destinée
Vivre d'Amour...
NATASHA ST-PIER
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perduedansmatete · 6 days
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deuil national le papy qui me fait des crêpes tous les étés depuis que je suis enfant dans sa petite cabane juste en face de l'océan vient de dire à ma mamie qu'il arrêtait cette année et qu'il redonnait la main à son neveu et même plus dans la petite cabane mais dans un préfabriqué... je savais que ça allait arriver un jour mais comment dire... c'est donc ça vieillir ? perdre tous les petits bonheurs qu'on croyait éternels ? j'étais déjà si triste quand il a perdu sa femme et j'ai peur de ne plus jamais le revoir, puis c'est lui qui faisait les meilleures crêpes de la cabane, fines, moelleuses, croustillantes juste comme il faut, beurrées et salées à la perfection, on s'attendait tout le temps avec mes amies pour prendre nos crêpes après la baignade, courant en serviette pieds nus sur les épines de pins, des algues coincées dans nos maillots de bain ou dans notre cou, il demandait toujours de nos nouvelles, espérait qu'on restait tout l'été, je me souviens aussi que quand mon papy est parti les parents de mes amies nous avaient emmené voir l'océan pour nous changer les idées, il y avait beaucoup de vent en ce jour d'août, il ne faisait vraiment pas beau mais lui il était dans sa cabane, il nous a mis la plus grosse dose de nutella qu'il ne nous avait jamais mis (on lui en demandait toujours beaucoup et il nous en mettait toujours plus qu'aux autres) bref je l'aime et mon cœur se brise un peu (beaucoup) de savoir que c'est fini (il a intérêt à passer nous faire coucou de temps en temps)
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gerceval · 6 months
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j'ai installé mon sapin = go Secret Santa Kaamelott 2023
bon les potes on va pas se mentir on est dans une période de creux en termes de nourriture, donc il va falloir se sustenter nous-mêmes, mais surtout les uns les autres grâce à un nouveau secret santa du fandom !!! ça fonctionne exactement comme les années précédentes (cette année je reprends la main sur l'orga car je suis moins en galère de taf hihi), voici les détails :
comment ça marche
tu remplis ce sondage pour t’inscrire
(tu vérifies que tes mp et ton inbox sont bien ouverts pls même juste en anon)
tu reçois dans tes mp sur tumblr l’url d'une personne qui t’es attribuée au hasard parmi les inscrits
tu lui concoctes secrètement un cadeau : fanfic, fanart, fanvid, chanson, montage photo, ou quoi que ce soye sur le thème de kaamelott (pour s’inscrire il faut donc être prêt à créer quelque chose à offrir à quelqu’un !) + si ça te fait envie tu peux lui envoyer des petits messages anonymes gentils qui font plaisir pendant le mois de décembre, à condition de ne pas révéler ton identité
dès que tu as fini tu m’envoies le cadeau que tu as préparé via l’adresse mail que je t’aurai communiquée
le 25 décembre, tout le monde trouve un cadeau dans sa boîte mail, et on révèle qui était le secret santa de qui !
les dates
jusqu’au 30 novembre minuit : inscriptions
1er décembre : attribution des secret santas
1er-23 décembre : confection des cadeaux dans tous les recoins
25 décembre : teuf et love
comment participer
juste en remplissant ce sondage avant le 30 novembre (attention après le 30 ce sera trop tard j’aurai déjà fait le tirage au sort pour répartir les santas !)
pour ma part je participerai encore pas cette année (je suis moins en galère de taf mais quand même pas à ce point là) je m'occuperai juste de la coordination, de l'organisation, et de lire/admirer/rebloguer vos magnifiques œuvres une fois que noël sera passé 😊
(je tague sous le read more quelques vieilleux de la vieille et/ou gens enthousiastes de l'année dernière pour que le post soit vu mais pas du tout besoin d'être tagué.e ici pour participer of course, d'autant que j'oublie très très probablement du monde !!)
@kaantt @kabbal @pigeonneaux @sloubs @dagss @miung-dreamer @hermie62 @shezzarus @enez-sun @thehappyegg @calimera62 @zialinart @jananabananawithnopeel @pia-writes-things @superiorkenshi
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valentine1994 · 2 months
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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orageusealizarine · 1 month
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Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 114
La nouvelle routine s'est mise en place. Mes clients sont ravis que j'ai pu augmenter le rythme de nos rendez vous. A 4 passes par semaine vu qu'ils sont maintenant 8 ils y ont droit deux fois par mois. Avec l'augmentation de ma " disponibilité ", j'ai pu contenter 4 nouveaux clients pris pour la moitié dans les amateurs de gang bang et l'autre moitié par relation, tous TBM. C'est la marque de ma petite entreprise, la satisfaction des " hors normes " !
Marc entre dans une phase de travail intense avec déplacements et travail à la maison. Nous en discutons ensemble, ce sont des opportunités à ne pas laisser passer. Sacrifice temporaire ! Contrairement à la fois précédente, il ne sera pas obligé de m'organiser mon emploi du temps. Entre mon boulot de paysagiste, la gestion de mes deux poulains, mon taf d'escort officiel d'Emma, il ne me restera pas beaucoup de temps libre. Et là il me laisse libre de baiser avec n'importe lequel de nos amis. Juste quand ses déplacements dépasseront la semaine. Sinon je l'attendrai avec impatience. Mais je ne crois pas que je le ferais.
Je vais me retrouver donc seul un WE sur deux ! C'est Emma qui est contente, elle récupère ainsi mes samedis soirs libres pour sortir.
Mercredi dernier j'ai emmené Ed chez le grand black. A l'aller, il était content car c'était la condition que j'avais posé pour qu'il puisse à l'avenir participer à nos touzes. Quand nous sommes arrivés, Ed a été impressionné par le client. Faut dire que 2m, costaud, noir Kiwi, monté plus de 27 cm x un bon 6,5 de diamètre, ça de quoi impressionner un gamin d'1,66m par 48kg, blanc ! Le client était content que je puisse lui fournir deux jeunes hommes si semblables (âge, format) ;tout en étant si différents (origine). Il l'a tout de suite entrepris. Comme toujours, je reste dans un coin pour veiller sur ma " marchandise ". Ed se trouva nu en un temps record. Profitant de sa force et de la légèreté d'Ed, le client l'a empoigné par les hanches et l'a basculé, tête vers son sexe. Ajustement de la hauteur et Ed se retrouva la gorge empalée sur la mégabite noire. Pour pouvoir respirer et maîtriser un peu l'envahissement de sa gorge il prit appui de ses mains sur les genoux de son pineur. Le client de son coté la bouche posée sur l'anus d'Ed lui bouffait l'oignon à grand coup de langue. C'est la première fois que je voyais cette position à la verticale. Le plus impressionnant c'est qu'ils l'ont tenu un bon moment. Lorsque notre black a pensé qu'Ed était prêt, il l'a posé sur le lit et, profitant de sa position horizontale, s'est enfoncé jusqu'aux couilles dans sa gorge. J'ai entendu que chaque pénétration étranglait Ed. Je me suis approché pour lui dire de se calmer. Il s'est excusé. J'en ai profité pour vérifier la dilatation anale de mon ptit mec. Je ne tiens pas à ce que cette brute le déchire. Il lui avait bien salivé la porte et Ed s'était ouvert à presque 4 doigts. Ça plus un peu de poppers et il pourra prendre le black. Je me retire et disant que c'est Ok et qu'il peut y aller. Pour se faire pardonner, il se couche sur le dos et demande à Ed de venir lui même s'empaler sur sa queue. Malgré la préparation, je vois le visage d'Ed se crisper alors qu'il pousse pour faire entrer le gland. Je m'approche d'eux et lui passe le flacon sous le nez. Chaleur, grosse chaleur et de lui même Ed descend d'une bonne dizaine de cm. Il me réclame une nouvelle dose. Je repasse le flacon et il se retrouve les fesses collées aux cuisses noires. Là, il ne bouge plus. Je lui demande si ça va, il me répond que c'est dur mais que c'est bon aussi. Je m'écarte.
Il reste bien 2/3 minutes sans bouger. Il remonte mais n'ose pas encore sortir toute la bite de son cul. Par contre je l'entends demander plus de gel. Le client se tartine à nouveau la kpote et Ed se rassoit. Le contraste entre les deux protagonistes est total, bien plus qu'avec Jimmy. Ed s'enhardi et entame un " pas " puis un " trot " appréciant sa nouvelle " selle ". Quand son anus s'est bien dilaté, il tourne la tête vers moi et me fait un clin d'oeil. Le black commence à le traiter de " ptite salope ", de " cul à baiser "... il le prend par les hanches et rythme lui même le mouvement d'Ed. Il (le black) se glisse vers le bord du lit et s'assoit en demandant à Ed de serrer ses cuisses contre ses hanches et de s'accrocher à son cou. Là il se lève. Il vient vers moi, me félicite de lui avoir trouvé deux jeunes aussi salopes puis s'écarte et plaque Ed contre un mur pour le fixer alors qu'il reprend le pilonnage anal. Le mec est résistant et je sais qu'il va limer un bon moment. Il bouge encore et vient poser Ed sur le plateau d'une commode, le cul juste au bord. Il n'oublie pas de graisser régulièrement sa tige. Ed est bien parti et même sans poppers donne tout ce qu'il a. Alors que le client l'écrase un peu, il s'empare d'un des gros tétons et l'aspire, le suce, en un mot le tète. Quand il le relâche pour attaquer le second, il découvre un téton raide d'un bon centimètre de longueur. Ses doigts remplacent sa bouche et le client gémis tout en continuant à limer le petit cul blanc d'Ed. Soudain, il se jette en arrière arrachant ses tétons aux bons soins de la bouche d'Ed et se bloque au fond de son cul. Il tressaute 4 à 5 fois avant de sortir. C'est seulement quand il s'est arraché qu'Ed a jute, bon point pour lui ! Comme toujours, le demi-verre de sperme qui distend la kpote est impressionnant. Nous envoyons Ed se doucher et le client me reprend l'enveloppe qu'il m'avait donné dès l'entrée pour refaire le chèque. Ce qu'il y a de bien chez mes clients c'est qu'ils sont suffisamment honnêtes pour reconnaître que parfois ça vaut plus que la passe de routine. Quand il me tend le nouveau papier, j'ai le plaisir d'y lire un montant augmenté de 50%. Pas mal !
Quand je ramène Ed chez lui, il n'y a personne, le ptit frère est au foot. J'en profite pour l'accompagner jusqu'à sa chambre. Grande, dans les 25m², posters d'équitation au mur !!! Aspect très comme il faut. Comme il n'a pas arrêté de me malaxer le paquet pendant le trajet en moto, je bande encore comme un taureau. Je le pousse sur son lit. Il a compris et défait ceinture et boutons de son 501. Je lui baisse le slip et tâte son anus. Malgré ce qu'il vient de se prendre, il s'est bien refermé et je dois saliver pour le rouvrir. J'ouvre ma combi par le bas, sors mes 20cm et les lui mets profond. Malgré ce qu'il vient de se prendre, son cul s'est bien resserré et je ne " nage " pas dedans. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'exerce à refermer son trou sur un crayon de bois. Il me demande comment et je lui explique les exercices de contractions annales qu'il va devoir faire si il ne veut pas que son anus ressemble à une chatte baveuse. Je reprends mon enculade sans douceur. Ed encaisse comme un pro. Son cul est trop bon. Je finis par éjaculer dedans, mes mains retenant ses hanches pour donner tout au fond de son cul. Il jute dans sa main pour ne pas en mettre partout. Je lui fais bouffer son sperme. Après m'être lavé la queue, je le quitte.
Quand je rentre, je suis seul pour encore un bon moment. Je vais à l'appart et y trouve Jimmy devant la télé. Il ne fait pas très chaud mais la piscine est chauffée et nous allons nous y délasser. Je pars pour 1h à contre courant pendant qu'il nage trankil à coté. Nous sommes interrompus par Marc qui est arrivé avec les peignoirs. Nous rentrons et Jimmy toujours " serviable " tombe à genoux aux pieds de Marc et avant qu'il ait eu le temps de réagir, entame un pipe. La bite mole prend très vite de l'épaisseur et défonce rapidement la gorge de mon petit protégé. Le mercredi, c'est le tour d'Ed et du coup il est en manque ! De mon coté je roule une pelle à mon mec. 10mn de ce régime, Jimmy exerçant des aspirations de plus en plus fortes, massant le gland derrière son larynx, Marc explose et il le gave de jus. J'en récupère une partie en roulant un patin à Jimmy.
Marc décide de garder Jimmy pour la soirée.
JARDINIER
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aeroplvne · 11 months
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TIPS : Optimisation de votre design
Je vois beaucoup de forums prometteurs ouvrir dernièrement, où la hype se build énormément jusqu’au jour du lancement. Malheureusement, les bases des designs ne sont souvent pas solides, ce qui impacte directement la communauté qu’ils auraient pu recevoir. Quelques tips de ma part pour qu’un design reste simple tout en étant efficace, et surtout fonctionnel ;
Harmonie des couleurs ; Difficile d’accrocher à un design lorsque les contrastes des couleurs font violence. Dans un premier temps, il est évident qu’il faut toujours prévoir les couleurs du design en fonction de son header (ou inversement). La palette de couleurs doit rester cohérente et harmonieuse, ce qui n’est souvent pas le plus simple à créer. Si vous ne sentez pas l’inspiration venir, vous pouvez tout à fait utiliser l’outil pipette de photoshop pour récupérer quelques couleurs du header à disposition, ou bien utiliser des plateformes comme Coolors, qui génèrent des palettes prédéfinies en fonction de vos attentes. Lors des dernières années, il a aussi été remarqué que les designs aux couleurs douces ont tendance à attirer plus de monde que les saturées. Concernant le choix de la couleur des paragraphes, veillez à ce que celle-ci soient assez contrastée, tout en ne jurant pas avec le design. Par exemple, si vous avez un fond blanc, ne mettez jamais un noir à 100%, cela pourrait alourdir le design. Un gris foncé fera parfaitement l’affaire, et adoucira le tout.
Lisibilité des textes et choix polices ; Beaucoup de designer vous diront une chose ; ne jamais mélanger différentes familles de polices, comme les Sherif (polices à empattement ; ex. Times) ou Sans Sherif (polices sans empattement ; ex. Arial). Cela dit, il y a évidemment quelques variables à prendre en considération. Si vous choisissez d’utiliser une police Sherif pour vos titres, les paragraphes devront toujours utiliser eux une police Sans Sherif : la raison est simple, ceux-ci sont souvent plus petits, et une police à empattement aura tendance à alourdir votre design. De plus, cela le rendra très certainement “vieillot” ou alors le tirera vers un univers légèrement plus fantastique.
Il est évident que les polices ne devront pas être trop petites de façon à privilégier l’accessibilité, je ne vais pas m’étendre sur le sujet, j’ai vu certains threads passer sur le sujet qui regroupent déjà beaucoup de ressources.
Optimisation des images ; C’est surtout ce point là qui m’a fait penser qu’il fallait que je fasse ces tips. Vous ne savez pas à quel point, pour les utilisateurs d’écrans rétina, il peut-être douloureux de tomber sur des designs prometteurs, mais dont les dimensions ne correspondent plus aux normes du web de nos jours. Forumactif est une plateforme vieillissante et dont les limitations se font de plus en plus ressentir, cependant il y a toujours des moyens simples de les contourner. Un écran rétina a ses pixels multiplié par deux, c’est pour cette raison que de nos jours les avatars sont passés du 200*320 au 400*640 de façon à ce que ceux-ci restent parfaitement nets pour tous les utilisateurs. Dans cette optique, les designs des forums doivent également être adaptés, et de ce fait, votre header devrait faire deux fois la taille de ce que vous aviez prévu pour votre forum. Si celui ci a un affichage de 800px de largeur, alors en développement sur Photoshop, vous devrez le créer en 1600px. Ensuite, un simple code dans le css pour le réduire à 800px lui permettra d’atteindre sa pleine qualité pour tous les utilisateurs. Dans le cas contraire, les utilisateurs d’écran rétina verront votre design flou et pixelisé, et ne seront donc logiquement pas invités à s’inscrire.
Optimisation du codage ; Là encore, certaines nouveautés échappent encore aux créateurs, ce qui les empêche malheureusement d’avoir un forum facilement adaptable, créant une perte de temps et de fonctionnalités. Le codage est une zone assez vaste qui est propre à chacun, je ne pense par exemple pas qu’il y est une bonne ou mauvaise façon de coder à partir du moment où le résultat obtenu est fonctionnel. Cependant, j’insisterai surtout au niveau des couleurs, sur le fait d’utiliser impérativement des variables ( var(--x) ) à la place des couleurs fixes (#000000 par exemple). Une variable vous permet lors des changements de design, de cibler toutes les parties utilisant la même couleur, en même temps. Par exemple, votre premier design avait un même bleu quelque part, noté à la variable "c1", le prochain design demande du rouge, eh bien vous aurez juste à changer une seule fois la couleur de cette variable "c1", plutôt que d’avoir à chercher le code du bleu dans chacune des parties où il est utilisé. Gain de temps incroyable ! J’appuie sur le fait qu’il est jamais trop tard pour coder de cette manière !!! Votre forum peut être créé depuis 10 ans et adopter aujourd’hui ce changement, ça ne vous demandera normalement pas énormément de temps à adapter le tout.
Certains forum manquent également de place dans leur CSS, il est alors tout à fait possible d’ajouter une seconde page (je dirais même fortement conseillé) hors forumactif. Vous pouvez utiliser des logiciels gratuits comme Brackets pour coder du css, puis l’enregistrer en xx.css ; suite à cela, l’héberger sur Google Drive ou bien DropBox, et l’ajouter en lien extérieur via la balise <link href=“nomdelapage.css" rel="stylesheet"> dans le template “Haut du Forum”. (Vous trouverez facilement d’autres balises link au début de cette page, mettez cette balise à la suite et hop.
Version sombre (please) ; Avec l’utilisation des variables, vous aurez également la possibilité d’installer très facilement une version sombre sur votre forum. Je ne répèterai jamais assez l’importance de celle-ci. Lorsqu’il est 23h, que les yeux sont fatigués mais que l’inspiration est là, passer le forum en version sombre est un réel bénéfice pour tout le monde. Petit tutoriel simple et efficace créé par bigbadwolf pour une installation réussie par ici ; https://comptoirdesrolistes.tumblr.com/post/650710791464583168/bigbadwxlf-tuto-dark-light-mode-pour-passer Voilà voilà, j’espère que ce message (plus long que prévu aha) saura guider ceux qui s’y connaissent parfois moins en la matière ! J’oublie probablement pas mal de choses à vrai dire, mais je crois que le principal concernant l’optimisation est là ! Bonne journée à tous !
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alexar60 · 9 months
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Vulgaire
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Trois vieilles dames partant à la messe, s’arrêtèrent devant une affiche du film « Emmanuelle ». Elles étaient éberluées par ce qu’elles découvrirent.
La première : C’est un film,
La seconde : Un film ? Mais pourquoi est-elle à poil ?
La troisième : C’est un film cochon. Ça c’est sûr, c’est un film cochon.
La seconde : Et ils vont le passer au cinéma ?
La première : Oui, c’est prévu dans quinze jours.
La seconde : C’est scandaleux ! Tous les hommes vont aller le voir. En plus, elle fait vulgaire assise comme ça, cette trainée.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une petite trainée. Oui, c’est vraiment une petite trainée.
La seconde : Une pute, oui ! Comment s’appelle-t-elle ?
La première lit l’affiche et répondit lentement: Sylvia Kristel.
La seconde : Avec un nom pareil, c’est une étrangère en plus !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une étrangère. Il n’y a pas de trainée par chez nous.
La seconde : A tous les coups, c’est une allemande. Il n’y a que les allemandes pour se foutre à poil comme ça en photo. On a bien fait d’avoir gagné la guerre. Ça ne m’aurait pas plu d’être à poil en photo.
La première : Ou de Paris. Ma sœur a visité Paris et m’a dit qu’il y avait beaucoup de femmes de mauvaise vie dans Paris.
La seconde : C’est pareil. C’est pas de chez nous !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est pas de chez nous.
Un homme passe derrière eux. Il les salue en baissant sa casquette et continue de marcher en les regardant.
La seconde : A tous les coups, il va revenir mater l’affiche.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est un cochon.
La première : C’est parce qu’il boit. Il ne va pas à l’église. Il va jouer au tiercé en face. Il va boire et va rentrer saoul comme une bourrique.
La seconde : Elle va être contente sa femme ! Et ce film parle de quoi ?
La première : Je ne sais pas.
La troisième : Ça ne peut être qu’un film grossier. Elle fait tellement vulgaire sur l’affiche. Ça c’est sûr, c’est un film grossier.
La seconde : C’est la faute à Giscard. Depuis qu’il est président, la France fout le camp. Ça ne se serait pas passé comme ça avec Pompidou ni avec le Général.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est la faute à Giscard. Je n’aurais pas dû voter pour lui. Et c’est aussi la faute aux beatniks, ces jeunes mal-habillés qui traversent le village avec leurs motos.
La première : Tu as voté Giscard ?
La troisième : Oui, mon mari m’a dit de voter pour lui.
La seconde observe encore l’affiche : Et elle est maquillée comme une poufiasse.
La troisième : Ça c’est sûr, il n’y a que les poufiasses qui se maquillent. Ca fait vraiment vulgaire !
La première : Et ses seins sont tout petits. Elle n’a pas d’enfants.
La seconde : Encore heureux ! A sa place, je n’en ferai pas. J’aurais trop honte qu’ils voient le film.
La troisième : Ça c’est sûr, j’aurais honte aussi.
La première et la seconde commençaient à partir lorsque la troisième demanda : On laisse l’affiche comme ça ?
La première : Oui, on le signalera au curé. Il saura faire quelque-chose contre ce genre de mauvais film.
La seconde : En tous cas, si mon Marcel va voir le film, il prendra un coup de sac à main sur la tête.
La troisième : Et je suis sûr qu’il n’y a pas Louis de Funès dans ce film. Ça c’est sûr, il n’y a pas Louis de Funès.
Elles s’entrèrent dans l’église sans voir les deux garçons qui s’arrêtèrent devant l’affiche. Ils rougirent en voyant l’actrice nue avant de se poser des questions sur la poitrine des filles.
Le mari de la seconde n’ira jamais voir ce film. En revanche, le curé ira le voir incognito. Je veux dire sans son costume de curé.
Alex@r60 – août 2023
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