Tumgik
#mécontent
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The level of denial about the green matchbook on reddit is hilarious to me.
"Yeah?? Sam gave one to her too and to everyone else, so what??"
Ma dudes... If the matchbook in Ted's hand meant nothing and wasn't important we wouldn't have seen it. Storytelling 101. Ya welcome.
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francepittoresque · 1 year
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ANECDOTE | Quand l’avertisseur sonore de bicyclette fait débat ➽ https://bit.ly/Avertisseur-Sonore-Bicyclette Tandis que les avertisseurs sonores de bicyclette viennent en 1897 de faire l’objet d’un arrêté ministériel mécontentant le public, « L’Auto-Vélo » soumet malicieusement l’idée d’un « orchestre avertisseur » à même de satisfaire le plus grand nombre
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insecateur · 1 year
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theres a song i like which has lyrics in french and while the translations ive seen appear fairly accurate, ive heard people argue over the meaning of this part
“en s’etant donne pleinement, sans gros mecontentement”
the video on it says it means “we are completely satisfied, we’ve given everything we’ve got” but a person in the comments was disagreeing, so i was curious on your stance if that makes sense?
i looked this up and this is a very peculiar song, i can dig it tho
"en s'étant donné pleinement" does mean "having given everything we've got" but the other part means more like... "without much dissatisfaction/discontentment"
"mécontent" means "unhappy" literally altho it's kind of an outdated way to say it that most people don't use anymore
i absolutely wouldn't translate "sans gros mécontentement" as "completely satisfied" — "sans gros X" phrased like this is more like how you'd say "not bad" in english, like you aren't too dissatified and it's fine but there's still room for improvement
judging by how the song is written in competent french with turns of phrase that are kind of unusual but not incorrect, i expect whoever came up with the lyrics would understand that nuance and have used it on purpose
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Panne Mondiale Paralyse les Plateformes de Meta : Facebook et Instagram Inaccessibles le 5 Mars 2024
Ce mardi 5 mars 2024, une perturbation d’envergure frappe les utilisateurs du monde entier alors que les différentes plateformes de Meta, incluant les réseaux sociaux Facebook et Instagram, se retrouvent inexplicablement hors service. Downdetector, le site spécialisé dans le suivi en temps réel de l’état de divers services, indique une multitude de plaintes d’utilisateurs qui se voient…
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C'est vrai que les professeurs donnaient beaucoup d'eux-mêmes pour nous apporter des connaissances. Ils venaient tous les jours, pour nous, pour nous apprendre des choses. Ils préparaient leurs cours à l'avance, ils expliquaient et réexpliquaient inlassablement ce qui n'était pas compris, ils corrigeaient les copies. C'était un travail énorme. Alors, pourquoi nous, élèves, ne donnions-nous pas toujours le meilleur de nous-mêmes pour apprendre ce qu'ils venaient nous enseigner ? Parce que l'école était obligatoire ! Les professeurs venaient à l'école parce qu'ils avaient fait le choix d'enseigner alors que les élèves étaient là parce que le règlement scolaire allait les chercher de force chez eux, s'ils ne voulaient pas venir. C'est de là que naissaient toutes les tensions qui pouvaient exister entre élèves et enseignants. Ce n'était pas la faute des professeurs, à la base, mais c'est en leurs mains que le règlement scolaire déposait les outils de sanctions destinés à soumettre les non-consentants ; et tous ces adultes usaient de ces outils pour imposer grossièrement leurs centres d'intérêt à des enfants qui ne les partageaient pas forcément. C'est choquant, quand on y pense mais eux, les profs, étaient toujours récompensés par un salaire ; ce qui apaisait leur conscience. De là, leur discernement était corrompu, ils croyaient bien faire et ne comprenaient même plus le manque d'assiduité aux études de certains élèves, dits mauvais. extrait de La guerre folle
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sabbathsermon · 2 years
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Du fantasme à l'espérance
Du fantasme à l’espérance
audio, citations As-tu pris une habitude de bâtir des châteaux imaginaires dans tes pensées, pour pallier aux difficultés de cette vie et arriver à traverser une autre journée apparemment trop amère ? As-tu réfléchi que tu avais un rocher dans ton cœur vers lequel tu te réfugiais systématiquement ? Si telle est et a été ton expérience, alors tu as aussi besoin de passer du fantasme à…
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code-lab · 2 months
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Je fais suite à mon message original et notamment à cette réponse (et j'arrive même à taguer la personne 😩). Je précise que j'ai un ton de discussion, même si mes formulations peuvent être ressenties comme accusatrices 🙏
Ce n'est pas le droit à la critique que je remet en question, mais le moyen.
Pourquoi ne pas formuler les critiques directement aux personnes visées ?
Pourquoi exprimer son mécontentement sur une plateforme sur laquelle les concernés ne sont peut-être pas (et par extension, n'ont pas le droit de réponse)
Pourquoi ne pas accompagner les critiques avec des ressources dont on a déjà connaissance ?
Pourquoi assumer que tout les cas rencontrés sont issus de la mauvaise foi des concernés ?
Et pourquoi faire d'un cas prouvé de mauvaise foi une généralité ?
Pourquoi assumer que tout le monde à accès/connaissance à toutes les ressources ?
Si mon message semble accusateur, comment se sentent les personnes qui se reconnaissent dans les critiques formulées avec une claire intention d'exprimer de l'indignation et du ras-le-bol ?
La façon dont on s'exprime provoque un cercle vicieux dans lequel ceux qui sont d'accord surenchérissent et ceux qui ne le sont pas entrent directement en conflit et/ou se braquent.
Plus d'apprentissage, plus d'échange.
On est une communauté qui doit se nourrir sur les bonnes intentions des un et des autres (tu rp -> je réponds, tu créés -> je partage). Manquer de temps et de connaissance peut être comblé par l'ouverture de discussion dans lequel on peut proposer des initiatives.
On est en train de perdre de l'activité (c'est un fait et c'est normal), mais si on ne veut ralentir cette pente descendante, on doit se rappeler qu'on doit s'investir. Il faut continuer à répéter et répéter, transmettre d'une plateforme à l'autre, le tout dans l'espoir que certaine notion devienne des normes.
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sissa-arrows · 3 months
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Petit message pour les Français… vous êtes probablement syndiqués du coup ce serai cool d’éviter la CFDT et si vous y êtes déjà faites leur part de votre mécontentement.
Suite à l’assassinat par “Israël” des 3 agents Palestiniens qui travaillaient pour le Quai d’Orsay, le Ministère des affaires étrangères refusent de leur rendre hommage. Les syndicats ont décidé de prendre les choses en main et d’organiser un hommage malgré tout le 27 février. Tout les syndicats soutiennent la démarche SAUF la CFDT.
Parce que bon des syndicats qui refusent de se positionner contre un genocide y’en a beaucoup trop et c’est clairement pas eux qui vont nous aider quand on sera dans la galère alors financez les bons syndicats.
Edit: En syndicat qui est assez important pour avoir du poids et qui a des bonnes bases concernant la Palestine (même si c’est pas parfait) y’a Solidaires.
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Vos clients les plus mécontents sont votre plus grande source d’apprentissage 
La gastronomie est l’art d’utiliser la nourriture pour créer du bonheur 
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La salle à manger est un théâtre dont la cuisine est la coulisse et la table la scène.
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zakariesworld · 7 months
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L’amour est un sentiment si profond qu’il nous conduit souvent à la confusion. L’amour n’a pas de modèle. Une recette à votre image. Cela n’est pas déterminé dans un manuel. Il y a un amour expressif, brûlant. Un autre calme et prudent. Ou timides et craintifs, car ils ne savent pas comment gérer ce sentiment souvent doux. Certaines personnes le ressentent intensément, mais le nient avec insistance. D'autres montrent qu'ils aiment dans leurs yeux, mais le cachent dans leur discours. Le fait est que celui qui le vit est heureux. Et triste est celui qui abandonne l'amour, par pure peur d'éprouver un contentement mécontent.
#musically
#amour
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cafes-et-friandises · 15 days
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┃ Retour dans le temps
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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Xiao
─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ One-Shot
─ ­ ­ 𝚁𝙴𝙰𝙳𝙴𝚁 ▹ ♀ Féminin
─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ ­ Little Xiao | ♥ Romance | ♥ Rougeur en excès | ♥ Tendresse | ☆ Happy Ending
─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S
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Note ­ ­ ▹ Ce One-shot est la seconde version du One-Shot : ❝ Retour dans le passé ❞, je me suis décidée à modifier ce One-shot, j'avais quelques petits problèmes avec le déroulement et la fin. Résultat, c'est un grow up de 1,6k de mots à 3.8k, j'espère que ce rework vous plaira. L'ancien one-shot sera toujours disponible. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ! ❞
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─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas réellement sûre de comprendre Verr Goldet... »
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Un sourire crispé s'était installé sur tes lèvres, alors que ton regard ne pouvait s'empêcher de disparaître sur la petite forme s'accrochant désespérément à sa jambe. Si la journée t'avait semblée classique, elle avait vite changée alors même que ses yeux lapis te regardaient avec tant de curiosité. Un sourire bienveillant naquit inconsciemment sur tes lèvres, visiblement attendrit par ce regard purement innocent. La jeune aubergiste prit son temps pour tout te répéter, essayant visiblement de comprendre, elle-même, ces mots rapportés par Souffle-Nuage.
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─ ­ ­ ­ « Il semblerait qu'avec de certaines circonstances, un adepte puisse reprendre l'apparence d'un enfant à cause de certains esprits, d'après Souffle-Nuage... » Verr Goldet ne pouvait pas l'expliquer autrement, Souffle-Nuage ne s'étant pas épanché sur le sujet. « Elle est restée assez évasive à ce sujet. (T/P), il y a bien trop de passage dans l'auberge et vous connaissez aussi bien que moi son caractère, je ne suis pas sûre qu'il soit sage de le laisser rester ici... »
─ ­ ­ ­ « Mais... »
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Ton regard glissa sur un Xiao aux joues légèrement plus rebondit, une bouille enfantine, dont de magnifiques grands yeux d'or liquide te regardait sans détour. C'était peu dire si ton cœur fondait devant cette vision plus qu'adorable du vigilant Yaksha, tu devenais complément prisonnière de ce petit être adorable. Une main passa dans tes (L/C) cheveux (C/C), remontant tes yeux vers la jeune femme qui attendait avec impatience la suite de tes mots.
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─ ­ ­ ­ « Je ferais de mon mieux... ? »
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Ce furent les seuls mots qui sortirent d'entre tes lèvres abdiquant devant les regard insistant du petit garçonnet froissant la robe de l'aubergiste. Allais-tu vraiment être à la hauteur ? Xiao t'avait de nombreuses fois répété que : " Tu étais trop maladroite pour te protéger ". Suite à sa déclaration, il s'était fait un point d'honneur à te protéger, comme si tu étais aussi fragile que du sucre. Celle-ci te remercia d'un sourire soulagé, passant une main douce dans les cheveux en bataille du petit Yaksha. Il la gratifia d'un coup sur la main, posant ses mains sur le haut de ses cheveux, alors qu'un air mécontent transformait ces traits enfantins, le rendant encore plus adorable. Tu ne pus retenir un doux gloussement attendri, une main couvrant rapidement ton rictus, peur de recevoir un regard noir du plus petit. Contre toute attente, celui-ci ne fit que te regarder, ses mains toujours placées sur le haut de sa tête, te dévisageant comme si tu étais devenue une créature étrange. Il te fixait de ses grands yeux, tu crus même y voir naître une certaine affection.
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─ ­ ­ ­ « Je vous le confis, (T/P). Faîtes attention, comme vous avez pu le voir, il a un certain caractère. »
─ ­ ­ ­ « Effectivement. » Un gloussement accompagna tes mots, alors que rapidement, tu te mettais à la hauteur du garçonnet tendant tes bras vers lui. « Et si nous allons manger du tofu aux amandes ensemble, Xiao ? »
─ ­ ­ ­ « Je ne suis pas sûre qu'il vo-... »
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Verr Goldet n'eut le temps de terminer sa phrase que timidement et calmement le petit garçon se décrocha de sa robe pour s'avancer vers tes bras tendus. Son regard ne quittait jamais tes yeux (C/Y), avant que ses petits doigts ne s'enroulent qu'autour de ta main. Une douce chaleur monta jusqu'aux joues rondelettes du garçonnet, les teintant doucement d'un petit rouge timide, tandis qu'il regardait le sol. Qui aurait pu penser que Xiao, le vigilant Yaksha, était en réalité un adorable petit garçon timide dans sa jeunesse. L'information montant au cerveau, tu posas délicatement tes lèvres sur sa joue, enroulant tes bras autour de lui. Léger comme une plume, pas plus haut que trois pommes, le petit Xiao se retrouva confortablement prit dans ton étreinte. Ses bras s'enroulèrent autour de ton cou, ses cheveux te chatouillant la joue, tandis qu'il se cachait contre toi, visiblement mort de gêne. Il te semblait si fragile et si mignon en cet instant, alors que quelques minutes plutôt il aurait pu mordre la main de Verr Goldet.
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─ ­ ­ ­ « Nous serons à l'étage, est-ce que Yanxiao pourra nous apporter des tofus ? »
─ ­ ­ ­ « Sans problème. » Hocha Verr Goldet, visiblement rassurée d'avoir trouvé une personne de confiance pour s'occuper de Mini-Xiao. « A tout à l'heure (T/P). »
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D'un signe de tête pour la jeune femme en guise de remerciement, tu quittas sans plus tarder le hall d'entée de l'auberge. Mal à l'aise à cause de cette foule de voyageurs aux yeux curieux, tu avais hâte de t'extirper de tout ça. Montant les escaliers avec hâte, le petit garçonnet dans les bras, tu sentais son regard d'or sur ton visage, étrangement curieux. Pourquoi mini-Xiao t'observait avec tant d'insistance ? C'était à peine si d'ordinaire, il t'épargnait ne serait qu'un coup d'œil. Même si son aura n'était pas aussi imposante que d'ordinaire, mini-Xiao te stressait légèrement à te détailler sans rien dire.
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─ ­ ­ ­ « (T/P). »
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Il avait marmonné ton prénom sans même s'en apercevoir, comme s'il cherchait à comprendre quelque chose. T'observer ne faisait que le rempli de plus en plus de questions sur ces sensations inconnues qui lui traversaient le corps. En entendant sa petite voix t'appeler, bien que très faiblement, un petit sursaut te traversa l'échine. Interrogative, la prunelle (C/Y) de tes yeux se posèrent sur l'enfant qui se gela sur place en les rencontrant. Sa petite tête semblait réfléchir à toute allure, ne s'attendant clairement pas à recevoir ton attention avec le tout petit murmure de rien du tout de ton prénom. N'ayant pas le courage, ou sans doute pas réponse à te donner, il se cacha timidement dans le creux de ton cou, fuyant l'interrogative de ton regard.
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─ ­ ­ ­ « Xiao, tout va bien ? Tu te sens mal quelque part ? »
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Même si sa timidité te paressait très claire, tu ne pouvais t'empêcher de t'inquiéter au vu de sa petite main fermement accrochée au-dessus de son cœur. Est-ce qu'il y avait un effet secondaire à sa situation ? Et si Souffle-nuage n'était pas au courant ? Légèrement stressée, tu terminas rapidement de monter les escaliers de la tour pour rejoindre la terrasse du bâtiment. À peine arrivée, tu posas doucement l'enfant sur une vieille table en bois, avant de t'accroupir l'instant d'après devant Xiao. Celui-ci semblait fuir ton regard, n'osant pas ouvrir la bouche. Il te semblait à la fois mal à l'aise et étrangement perdu, ce qui était plutôt normal si l'on prenait en compte ses tout juste quatre ans.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ? »
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Muré dans son mutisme, le jeune garçonnet ne t'épargna pas ne serait-ce qu'un regard. Tu avais cette douloureuse impression de revenir à votre première rencontre, mais cela n'allait pas te décourager pour autant. Tu l'avais fait une fois, tu l'avais déjà fait parler ou apparaître devant toi juste pour passer le temps ou juste pour discuter avec lui, enfin tu faisais plus un monologue et lui te prêtait une oreille attentive. Malgré toi, un sourire nostalgique se plaça inconsciemment sur tes lèvres tandis que tes doigts passèrent avec tendresse dans les cheveux du jeune garçon. Détournant rapidement le regard, pour le pas rencontrer le regard noir de Xiao, tu te contentas de calmement observer le magnifique paysage des plaines de Liyue que vous offrait la tour.
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─ ­ ­ ­ « C'est ici que nous nous sommes rencontrés pour la première fois. » Commenças-tu d'une voix tendre, te remémorant sans peine cette première rencontre, elle était gravée dans tes souvenirs. « Tu étais aussi froid que la glace et bien trop méfiant envers une simple vagabonde perdue dans cette immense auberge. Pourtant, à ce moment-là, même si j'avais l'impression que tu me jetterais par-dessus la rambarde si je n'avais pas une bonne excuse pour t'avoir dérangé, je t'ai trouvé magnifique. » Te remémoras-tu avec un petit rire, ayant facilement capté l'attention du petit garçon. « Je n'ai aucun instinct de survie, tu avais raison. Je t'ai trouvé vraiment mignon alors que tu aurais pu me tuer... »
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Ton regard était si doux, si amoureux que Beidou en aurait probablement vomi rien qu'en l'apercevant, avant de te taquiner pour quelques dizaines d'années. Perdue dans ton propre monologue, pendant que ton regard survolait le paysage roux en face de toi, tu ne remarquas pas les adorables petits joues rebondies du garçonnet se colorer tout doucement d'un petit rouge. Il ne comprenait pas pourquoi, mais tout son corps brûlait et lui criait de s'enfuir, de s'enterrer sous vingt kilomètres de terres avant d'exploser littéralement de gênes. Pourtant, le mini-Xiao ne bougea pas, comme pendu à tes lèvres écoutant sagement tes divagations.
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─ ­ ­ ­ « Ce jour-là, je ne regrette pas de t'avoir rencontré. » Racontas-tu avec une tendresse infinie, ton cœur battait rapidement, alors que tes joues se colorèrent très légèrement de rosé. « Mon sens sixième sens devait le savoir que je te rencontrerais et ne te lâcherais plus jamais. » Rien que de parler de tes sentiments, te rendait incroyablement timide, mais pourtant, tu n'arrivais pas à t'arrêter. « J'aime que tu fasses partie de ma vie. »
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À la fin de ta confession, bien que ce soit à mini-Xiao et non à l'adulte, le (C/Y) de ton regard se tourna de nouveau vers le petit garçon dont les joues brûlait de rouge. Il ne comprenait pas, à son âge, il ne comprenait pas tout, bien qu'il soit plutôt intelligent, il ne comprenait pas pourquoi son corps réagissait comme ça. Il sentait son visage brûler, son cœur battre dans ses tempes alors qu'il semblait à deux doigts de sortir de sa poitrine. Et pourtant, même si ça lui faisait mal, il se sentait bien et étrangement heureux qu'il aurait pu... Qu'est-ce qu'il pourrait faire ? Il n'en savait rien, il ignorait ce qu'étaient ces sentiments, il ne savait pas ce qui lui arrivait, une nouvelle fois, sa main s'accrocha une nouvelle fois à son haut. Son regard perdu sur le parquet en chêne de l'auberge, il ne remarqua pas l'état de panique dans lequel il t'avait plongé, trop assourdit par ses propres battements de cœur erratique, pas encore habituer à son ouïe de Yaksha.
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─ ­ ­ ­ « Xiao ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » L'appelas-tu en vain, le garçonnet ne semblait pas te donner la moindre attention. Tu n'eus pas le choix, tu attrapas ses deux joues entre tes mains, avant de redresser délicatement son visage dans ta direction. « Xiao, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »
─ ­ ­ ­ « J'ai chaud, (T/P). » Prononça-t-il alors qu'il semblait se calmer légèrement en rencontrant l'inquiétude présente dans tes billes (C/Y). « Il tape vite. Je veux partir. Mais, je me sens bien. Je suis content. Je suis trop content. Mais je comprends pas. »
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Tout aussi perdue que lui, tu semblas te calmer légèrement quand il exprima son bonheur. Tes mains glissèrent de ses joues, légèrement rassurée, pour atterrir sur ses cuisses observant plus attentivement son visage, cherchant le moindre signe de mal-être. Cependant, tout ce que tu rencontras : fut un réel bonheur. Son visage rayonnait, il était bien différent de son lui habituel composé voir indifférent, il était rayonnant de bonheur. Ses prunelles d'or liquide brillaient de joie et ses fines lèvres se courbaient très légèrement d'un sourire heureux. Comment Xiao pouvait-il être aussi adorable ? Est-ce que ton Xiao adulte pouvait, lui aussi, rayonner pareillement ? Rien qu'à l'imaginer, tu sentais ton cœur fondre devant ce petit être adorable. Rassurer, tu poussas un soupir de soulagement, t'effondrant la tête la première sur les genoux du mini-Xiao.
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─ ­ ­ ­ « Je suis soulagée. Ne me refais plus peur comme ça. » Bougonnas-tu faussement au petit Yaksha alors que ton visage ne put s'empêcher d'afficher un beau sourire. « Tu es si mignon. »
─ ­ ­ ­ « Désolée (T/P). » S'excusa-t-il d'un air sincère en détournant le regard de ton visage souriant. « Le sourire de (T/P) me donne chaud ici. » 
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Même s'il était bien différent de son lui adulte, il avait quelques mimiques ou réflexes similaires au Xiao adulte. Logique sachant qu'il est lui. C'était rafraîchissant d'avoir un Xiao un peu plus ouvert sur ses sentiments, ou tout du moins, un peu plus bavard. Quand celui-ci te montra son cœur tout en parlant, ton esprit ne put s'empêcher de s'emballer pour faire écho aux propres battements de ton palpitant. T'aimerait-il aussi ? Ou serait-ce juste toi et tes propres divagations amoureuses précédentes qui te répondaient à ton souhait. Même si tu essayais d'oublier l'idée, ça faisait sens avec tout ce que mini-Xiao avait dit. Tu avais besoin de te calmer et de t'étirer les jambes, qui devenaient douloureuses en restant trop longtemps accroupies, tu te redressas.
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─ ­ ­ ­ « Il te met mal à l'aise ? »
─ ­ ­ ­ « Non. J'aime que (T/P) me sourit. » Te corrigea-t-il avec une expression étrangement satisfaite de ses explications. « J'aime aussi que (T/P) me fasse des câlins ou me porte. J'aime aussi écouté (T/P) parler. »
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Ne devras-tu pas l'arrêter ? Ta conscience te criait qu'il le fallait, au cas où Xiao se souviendrait de ce moment et pour préserver ses pensées. Mais ton cœur lui te criait, t'implorait presque de le laisser continuer, bien trop contente d'enfin entendre les sentiments bien enfouis de l'homme que tu aimais. Même s'il était un enfant, ce qu'il ressentait en cet instant appartenait au Xiao plus âgé, il était impossible qu'un bambin puisse développer une confiance ou de l'affection en te rencontrant il y a à peine dix minutes. Le choix était compliqué, mais tu n'eus pas le temps de pousser plus loin que Yanxiao apportait une assiette bien garnie de tofus aux amandes.
D'un sourire chaleureux pour le cuisinier, tu ramassas l'assiette de ses mains avant de t'asseoir à ton tour sur la vieille table. Celle-ci grinça, alors que tu mettais la porcelaine entre les mains du plus jeune qui prit rapidement place sur tes cuisses. Adossée contre le mur extérieur de l'auberge, tu regardas d'un œil tendre le petit garçon manger, enfin dévorer, les sucreries moelleuses. Avait-il peur qu'on lui vole ? Ses joues gonflèrent comme celles des hamsters. Il était bien trop craquant pour ton pauvre petit cœur.
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─ ­ ­ ­ « Tu peux prendre ton temps, tu vas t'étouffer. Ne t'inquiète pas, je ne t'en volerais pas, personne ne t'en volera. »
─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grave si c'est (T/P) qui m'en prend. »
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À quel point pouvait-il être adorable ? N'y tenant plus, tes lèvres se posèrent sur sa joue, absolument conquise par le petit être innocent sur tes cuisses. Ses joues rougirent d'un seul coup, mais il ne fit aucun geste pour se défaire de ton emprise, appréciant, d'un plaisir coupable, sentir tes lèvres sur ses joues. Comment était-il arrivé à s'asseoir sur tes cuisses ? Pourquoi ses mains étaient-elles si petite ? Xiao s'adaptait tout doucement à sa situation, ses souvenirs remontant petit à petit à la surface. Pas encore noyé dans la gêne, pas réellement conscient de la quantité de baisers déposés sur ses petites joues, il se laissait faire.
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─ ­ ­ ­ « Si mignon. Ce n'est pas ton tofu que je vais dévorer, mais toi, mon adorable Xiao. »
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Tes bras l'entouraient, il sentait ta chaleur bercer son corps enfantin alors que ton rire résonnait au creux de son oreille. Tes paroles avaient du mal à s'imprimer, mais dès qu'elles le furent, tout son corps brûla de gêne, il s'était complètement raidi dans ton étreinte. Cet homme voulait disparaître. Il ne savait plus quoi faire. Il ne savait plus comment réagir. Il était mortifié. Il voulait partir et en même temps, il pouvait profiter encore plus longtemps de cette douce chaleur qui le câlinait. Pourrait-il en profiter une nouvelle fois quand il serait à nouveau dans son corps d'adulte ? Non. Il le savait déjà. Alors pour une fois, pouvait-il céder à son désir égoïste ? Avec son corps dans cet état, il ne pourrait pas remplir ces devoirs de Yaksha. Même si sa rigidité et sa loyauté au souverain de la roche l'appelaient à faire son devoir, son souhait, son désir, mortel d'être tenue entre tes bras prenaient le pas.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime tellement Xiao. »
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C'était une confession naïve et imprudente à faire à un Yaksha, c'était ce que pensait Xiao alors qu'il avait l'impression de sentir son cœur raisonné dans tout son corps. Même s'il se sentait légèrement coupable d'avoir entendu ta confession tandis que tu pensais sans doute qu'il ne s'en souviendrait pas, il se sentait rempli de bonheur. Tu t'adressais sûrement ces sentiments à son lui enfant, mais il en était quand même heureux. Il se sentait heureux, mais son esprit s'embuait petit à petit. Il se sentait étrangement lourd. Est-ce à cause de son physique d'enfant ? Il ne pouvait que s'en douter. Apaisé, par le sommeil et ton cœur battant contre son sommeil, il se laissa bâiller à s'en décrocher la mâchoire, ses yeux luttant contre le sommeil.
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─ ­ ­ ­ « Il faut croire, que tu sois en modèle réduit me fait parler plus facilement. » Te lamentas-tu ensuite d'un coup d'œil vers l'enfant qui sombrait tout doucement. « Je suppose que ce petit corps a besoin d'un peu de repos. Tu peux dormir, Xiao, je veille sur ton sommeil. »
─ ­ ­ ­ « Merci. Je t'aime. »
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C'était un murmure. Un murmure qui aurait dû être inaudible. Un murmure que tu avais entendu. Un murmure qui fit battre ton cœur comme un fou. Avais-tu rêvé ? Est-ce encore ton esprit qui s'emballait ? Mais tu ne pouvais pas lui demander. Il dormait si paisiblement. Déposant l'assiette de côté, tu t'étais résignée, déplaçant ton regard sur le côté pour s'égarer sur le paysage. Un brin d'air soufflait, caressant avec chaleur vos peaux, ondulant les cheveux désordonnés de l'enfant. Petit à petit Morphée t'entraîna avec elle au son doux des marchand et du brouhaha lointain des voyageurs de l'auberge.
Ta respiration était lente, toujours profondément dans les bras de Morphée, quand Xiao se réveilla. La lune était haute dans le ciel ancre de Liyue, et la température bien plus fraîche que des heures plutôt. Les souvenirs bien en mémoire, le Yaksha te couvrait d'un regard empli d'affection, d'une adoration nouvelle. Est-ce qu'un jour, il avait pu se sentir aussi débordant d'amour et de bonheur ? Sûrement pas. C'était nouveau, il lui faudrait du temps pour s'y habituer, mais ce n'était clairement pas désagréable. Il avait peur de te réveiller, mais il ne pouvait pas te laisser à l'extérieur. Aussi précautionneux qu'avec le plus précieux des trésors, Xiao te ramassa comme une mariée, avant de t'emmener dans une des chambres de l'auberge, la sienne, enfin du moins celle que Verr Goldet lui avait attribué dans l'espoir qu'il s'en serve.
Il t'allongea précautionneusement sur les draps, te recouvrant par la suite d'une couverture. Xiao prit un instant, un instant pour t'observer dormir. Il hésitait à caresser tendrement à ta joue. Il avait peur de te réveiller. Est-ce une erreur de t'avoir répondu ? Était-ce son erreur de t'aimer ? Les humains étaient éphémères... Alors qu'il y pensait, Xiao pouvait entendre sa voix, celle de Bonanus. Elle avait toujours été idéaliste, mais elle lui avait dit tant de fois de ne pas rejeter l'amour qu'il ressentait. Si pour lui, c'était une faiblesse, pour elle, il pouvait être la signification d'une force qui pouvait soulever des montagnes. Maintenant, qu'il commençait à en faire l'expérience, qu'on lui offrait cet amour, il ne pourrait plus la revoir et lui dire le contraire.
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─ ­ ­ ­ « Je t'aime, (T/P). »
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Ce besoin, il ressentait ce besoin de redire ces mots, même si dormait. Sa main gantée glissa tendrement sur ta joue, elle était hésitante, de peur de te réveiller. Pourtant, ça fait déjà quelques bonnes minutes que tu étais réveillée. Aussi délicat qu'il le voulait, il était impossible que tu ne te réveilles pas. Tes yeux (C/Y) s'ouvrirent accompagnés d'un délicat sourire. Ta main se posa sur la sienne, l'emprisonnant avec tendresse contre ta joue.
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─ ­ ­ ­ « Moi aussi, Xiao. » Lui répondis-tu, laissant son visage une nouvelle fois se colorer timidement par des teintes de rosées. « Tu repars ? »
─ ­ ­ ­ « Je... Oui. »
─ ­ ­ ­ « D'accord... J'attendrai. »
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Bonanus avait raison, et il avait bien fait d'y céder. Tu étais (T/P), son humaine, celle qui l'attendrait jusqu'à ce qu'il revienne. Celle qu'il aimerait. Celle qui chérirait à travers les âges. Celle qu'il attendrait à son tour. Celle qu'il voulait rendre heureuse. Celle qui lui offrait désormais un endroit où rentrer. Celle qu'il protégerait avec son foyer. Pris d'un courage nouveau, bien que timide, il posa avec tendresse ses lèvres sur les tiennes. Ce baiser fut simple, innocent et court, mais il était rempli de promesses. Il ne lui en fallut pas plus avant de disparaître dans la nuit profonde de Liyue, l'esprit léger, avec qu'un désir : rentrer.
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ruins-rising-rpg · 8 months
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Septième version
Un petit passage rapide par ici pour parler de notre dernière mise à jour qui est arrivée le weekend dernier ✨
Cette septième version est entièrement signée enfant sauvage, qui s'est inspirée de nos nouveaux events pour créer un sublime design et qui a agencé le codage pour un résultat tout en douceur avec quelques vibes automnales. Merci à @cavalierfou pour la colo de ouf 😇
tw: maladie, décès
L'été a été tranquille sur le forum, mais a quand même inclus un peu de mouvement pour la Cour de l'Hiver qui a enterré son Suprême suite à de longs mois de maladie. Un sujet commun entourant les obsèques d'Einar Asgeir se finalise et inclus quelques rebondissements de la part de sa progéniture qui est mécontente de ses dernières décisions.
Nous profitons de cette mise à jour pour lancer plusieurs sujets communs incluant :
Le tournoi annuel de la famille Monteserre au cours duquel celleux qui s'inscrivent pourront se mesurer à des adversaires dans des duels rythmés par des lancers de dés.
La fermeture de la saison sociale incluant un bal pour la haute noblesse et un festival pour le petit peuple. Ces sujets se veulent smooth et permettront à nos membres de faire un peu de ping pong en attendant l'annonce de l'identité de la prochaine cour régente le 30 septembre prochain.
Une mission organisée par l'une de nos guildes militant pour les droits des minorités et visant à voler l'une des reliques de la Mère pour causer un peu de chaos chez l'ennemi.
Nos membres sont déchaînés en rp depuis le début septembre et attendent encore beaucoup de liens 😈 Nous accueillons toujours les nouveaux membres avec beaucoup de joie ! N'hésitez pas à passer nous voir ! https://agameofpower.forumactif.com/
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kabbal · 5 months
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Arthur peut comprendre qu’on veuille se débarrasser de lui. Après tout il est – était – capitaine. Il prenait des décisions et ces décisions faisaient des mécontents. Mais qu’un simple marin, si insignifiant qu’il ne se rappelle même pas l’avoir vu sur le pont ces dernières semaines, à qui il n’a jamais un tant soit peu parlé, soit abandonné avec lui ? C’est d’une stupidité sans nom. Et la stupidité lui a toujours été incompréhensible. Ou : Arthur et Perceval, coincés sur une ile des Caraïbes.
Mon cadeau du Secret Santa Kaamelott 2023 pour @yumeka-chan
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josefavomjaaga · 4 months
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Napoleon's letter to Soult about the "roi Nicolas" affair
Another contemporary document related to Soult's behaviour in Portugal in spring 1809 and his alleged attempt to make himself king. Please see here for the rest of them.
This is Napoleon's first official reaction to everything that had happened in Oporto, several months earlier, and boy is he not happy. He had in the meantime received an abundance of reports, complaints, rumours, some generals had reported to Clarke, Ney had sent Jomini, and Soult had sent Brun de Villeret who, however, was only allowed into Napoleon's presence when the atmosphere was hopelessly poisoned already. (I plan to translate his interview with Napoleon at some point but it's awfully long.)
Translated from the "Correspondance Générale", Volume 9, No. 22204
To Marshal Soult, commander of the army of Portugal Schönbrunn, 26 September 1809 My cousin, I was dissatisfied with your conduct.
In French: I was "mécontent". That’s Napoleon’s phrase of ultimate disapproval. Just ask Eugène, he’s quite familar with that one.
My dissatisfaction is based on this sentence in your chief of staff's circular: "The Duke of Dalmatia would be asked to take over the reins of government, to represent the sovereign and to assume all the powers of supreme authority, with the people promising and swearing to be loyal to him, to support him and to defend him at the expense of their lives and fortunes against all opponents and even against the insurgents of the other provinces until the kingdom is completely subjugated."
That’s a point about which I would love to be able to check Junot’s proclamations and correspondence from the year before in Lisbon, just to compare and see the difference in how he worded them. Junot’s position during the first expedition into Portugal seems rather similar to Soult’s.
It would have been a crime which would have obliged me, no matter how attached I am to you, to consider you guilty of lèse-majesté and guilty of undermining my authority, if you had assumed supreme power on your own initiative.
You better be grateful to that Wellesley guy for kicking you out in time, man!
How could you have forgotten that the power you exercised over the Portuguese derived from the command I entrusted to you and not from the whims of passions and intrigue? How, with the talents you have, could you have thought that I would ever agree to let you exercise any authority without you receiving it from me?
Yes, yes. May I however briefly direct the illustrious attention of Your Imperial Irritatedness to the passage that clearly states Soult in his office would "represent the sovereign"? The sovereign kinda being you, you know?
There is in this a forgetfulness of principles, a misunderstanding of my character and of the feelings and pride of the nation, which I cannot reconcile with the opinion I have of you. It is with these false steps that discontent has grown, and that people have thought that you were working for yourself and not for me and for France. You have undermined the foundation of your authority, because it would be difficult to say whether, after the circular issued by you, a Frenchman who had ceased to obey you would have been guilty.
And like this, Napoleon passes on the buck to Soult. It was Soult’s conduct that had caused the discontent and (almost) revolt in the army, period. - This is, unfortunately, not the whole truth, and Napoleon must have known this. Argenton had not betrayed the army because of Soult but because of Napoleon. And if it is true that there was similar unrest in his own army in Austria at the time (an echo of which may be found in Austrian anecdotes), he may have had good reasons to insist on such a simplified explanation.
During your expedition, I was annoyed to see you go off without having destroyed La Romana, to see you stay so long in Oporto without covering your communications with Zamora, marching on Lisbon or taking any other action. I was sorry to see you allowed yourself to be surprised at Oporto, and that my army, without a fight, fled with almost no artillery and no baggage.
Here, once again, he puts all the blame on Soult, echoing Ney’s accusations that had been brought to Napoleon by Jomini. In this he contradicts completely his own earlier letters – at the time when Soult actually was in Portugal - to Jourdan and Joseph, whom he reproached in no uncertain terms for letting the communication with the army of Portugal be interrupted.
However, after having hesitated for a long time about the course I should take, the attachment I have for you and the memory of the services you rendered me at Austerlitz and in other circumstances have decided me; I forget the past, I hope that it will serve you as a guideline; and I entrust you with the post of major general of my army in Germany [sic].
Yes, His Imperial Majesty is so excited at this point He gets His illustrious geography a little mixed up.
As the King has no experience of war, [...]
Really? Joseph? What makes you think that?
[…] my intention is that, until I arrive, you should report to me on events. I myself want to enter Lisbon as soon as possible.
As much as he may have wanted that (if he did), he of course never would. As a matter of fact, he would never return to the peninsula at all, leaving all the responsibility and the endless discussions with brother dearest to one Jean-de-dieu Soult.
So, that’s the imperial dressing-down that Soult received for the second expedition into Portugal. And in case somebody thinks that some of this sounds rather close to how Saint-Chamans wrote about events, in particular in blaming Soult for the loss of communications – that’s not a coincidence. Saint-Chamans actually knew about this letter. As he writes in his memoirs:
Some time later, Marshal Mortier's corps having left Oropesa, Marshal Soult established himself there; it was there that the aide-de-camp Brun de Villeret, whom on his return from Portugal he had dispatched to the Emperor, joined him with letters from the latter, by which Marshal Soult was appointed major-general of the army of Spain, replacing Marshal Jourdan who had been recalled to France. The Marshal's place was now near Joseph Bonaparte in Madrid; we went there immediately. I did not doubt, given this new mark of confidence by the Emperor, that he had approved of the Marshal's conduct in Portugal; I did, however, find the Marshal's countenance worried, and the deep sighs he sometimes heaved in his moments of reverie gave me much food for thought on this subject. The Marshal had a private secretary, named Voidel, with whom I was closely connected; we had no secrets from each other: I told him of my doubts, and he confided in me that he had read the Emperor's letter to the Marshal, brought back by the aide-de-camp M. Brun; it was devastating, and I even think that Napoleon did not hide cleverly enough that he only forgave the Marshal because he needed him. In this letter, the Emperor harshly reproached Marshal Soult for having sought to be named King of Portugal, and for having thus betrayed the interests of France; for having, by his conduct at Oporto, demoralised his troops, and for thus being the cause of our shameful exit from this town and of the loss of all the army's equipment; he said that his first move had been to bring him before a high imperial court to make him suffer the punishment he had so well deserved; "however, I wanted," he added, "to show clemency towards you, in memory of the good services you rendered me, particularly at the battle of Austerlitz, and to put you in a position, by rendering me new services, to erase your fault, I appointed you major general of my armies in Spain. " He then ordered him to go to Madrid, to King Joseph, to direct the latter in the command of the army, which had devolved upon him; and he ended his letter by saying that as soon as he had finished the war in Germany, he himself would go and plant his eagles on the towers of Lisbon. I then understood where all the Marshal's sighs were coming from; but I had no doubt that he would soon have made his peace with the Emperor, for he was necessary, and was becoming more so every day.
Whereas I mostly enjoy this prime examply of army gossip: Napoleon writes to Soult, Soult’s secretary reads the letter, talks about it, already with some exaggerations and embellishments, to Soult’s aide, who in his memoirs quotes several lines of this letter that are utterly invented, and does anybody really think Saint-Chamans did not immediately gossip about it further? 😁 By the end of the week the army’s stable grooms and washerwomen were probably also informed.
However, this does answer the question if Soult at the time already understood what he later claimed was the reason for Napoleon’s action: He did not. To the contrary: He was very worried, very isolated, and felt that everybody around him mistrusted him.
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On connaissait d'avance la suite de l'argumentaire. Tenez ! je vous le fais : « Il ne faut pas noircir le tableau. On vient à l'école pour rencontrer des gens et il nous est donné d'y rencontrer des professeurs, c'est-à-dire des grandes personnes qui ont choisi de venir là pour apporter des connaissances aux enfants. C'est louable et il faut les respecter pour cela. » N'était-ce pas ce que monsieur Bébert voulait nous amener à dire, au final ? N'était-il pas dans le camp des professeurs, après tout ? En tout cas, s'il attendait que quelqu'un levât la main pour lui donner cette réponse de fayote, ça n'allait pas être moi parce que je n'étais pas d'accord avec ça. extrait de La guerre folle
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starmaniamania · 4 months
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hellooo je suis arrivée sur ton blog après avoir vu le show à la Seine Musicale il n'y a pas longtemps, et être tombée dans un rabbithole Starmania lmao merci de nourrir la fandom niche sur tumblr! J'ai lu ton post sur le fait que tu trouvais la version de 2022 la plus optimiste et je suis d'accord sur ce qui est de faire exploser Zero Janvier, mais je suis pas sûre d'avoir vu la même chose pour ce qui est de la relation Johnny/Cristal! (1)
Justement j'ai été hyper choquée de la scène après l'interview, j'ai vraiment eu l'impression de voir Cristal se faire agresser sexuellement par l'ensemble du gang qui se jette sur elle, puis se faire traîner par Johnny contre son gré, pour ensuite lui prendre la main et tomber amoureuse de lui?? J'avais pas du tout l'impression que c'était consensuel & cette séquence m'a mise super mal à l'aise et m'a un peu gâché tous les autres numéros avec eux après (2) Mais après en écoutant/regardant la version 1979/1988, j'ai beaucoup plus été touchée par leur rencontre/coup de foudre, surtout avec Un enfant de la pollution originellement chantée par Johnny & le passage à la fin où Cristal dit qu'elle le comprend et qu'ils sont pas si différents finalement, et je comprends bcp plus leur connexion! (et puis ils se tournent autour, y a de la tendresse c'est un peu mims koi) Je ne sais pas ce que tu en penses?? Mercii (3)
Hello hello, merci ! :D Bienvenue !
Alors, c'est une grosse question comme souvent avec Starmania et qui n'a pas de réponse simple :p
Pour moi, dans Starmania, personnage n'est censé être tout bon ou tout méchant. Tous les persos ont leur part d'ombre plus ou moins prononcée. A la base, le personnage de Cristal est basé sur l'enlèvement de Patricia Hearst, le fait divers des 70s qui a popularisé l'idée (maintenant debunked, mais bon) du Syndrome de Stockholm. Patty Hearst a vécu des trucs horribles aux mains de ses kidnappeurs avant de se "ranger de leur côté." Evidemment c'est une idée hyper problématique, mais très courante dans la fiction : la femme qui tombe amoureuse du méchant qui l'a violentée parce qu'en vrai elle était pas vraiment contre. (Après de manière générale l'oeuvre est traversée de trucs limites sur le thème du fantasme de viol en particulier, cf Stella. Venant de 2 créateurs homme ça me fait toujours un peu tiquer, c'est pour ça que je suis pas du tout mécontente qu'on ait évacué "Sex Shops," mais c'est une autre histoire.)
Donc l'origine de l'histoire de Cristal et Johnny, c'est ça - c'est pas censé être consensuel au début, et je comprends que ça puisse refroidir parce que de nos jours ça détonne vraiment.
(Ca va être long donc je coupe :p)
Après, les différentes versions de Starmania ont toutes interprété l'histoire un peu comme elles voulaient/pouvaient en accentuant certains aspects par rapport à d'autres.
En 79, Michel Berger était assez réticent aux idées les plus cash de Plamondon (comme le fait que Sadia puisse vraiment être un homme travesti), et France Gall refusait de "salir" son image familiale pour ne pas choquer son public (par exemple elle refusait de brandir une arme sur scène.) Du coup, est-ce que ce qu'ils ont fait en 79 est vraiment ce qu'ils voulaient, ou juste ce qui a été faisable vu les circonstances ? Comme on a pas la trace complète du spectacle, on ne sait pas vraiment comment ces séquences étaient mises en scène. En plus, j'ai l'impression que l'image positive et "good guys" de France Gall et Balavoine a un peu effacé les aspects les plus edgy du show (on voit bcp de gens qui disent qu'ils sont fans de Starmania depuis les 70s qui ont l'impression de découvrir le message politique ou la violence des actions des Etoiles Noires en 2022 et se demandent même si ça a été rajouté pour moderniser l'oeuvre - version positive - ou par "wokisme" - version débile.)
[AH OUI et j'ai oublié un truc: "Enfant de la pollution" chanté par Johnny, c'était censé être une réponse ironique à ses questions ! Faut le comprendre, hein... lol]
En 88, le but de Plamondon et Berger était de rendre l'histoire claire et simple à comprendre en 1h30, de faire quelque chose "qui se regarde comme un film" (citation directe de Plamondon). Et du coup, pour moi, ça se traduit par une (sur)simplification de l'intrigue, une (sur)explicitation des motivations des personnages, et le fait d'avoir mis "l'histoire d'amour" de Johnny et Cristal, un peu aseptisée, au centre de l'intrigue, comme dans un film hollywoodien. Par exemple, l'apparition (en tous cas en France, je sais pas si elle était dans les versions québecoises intermédiaires) de la reprise de "Monopolis" en duo. Confession : j'aime pas du tout ce moment 😅 Justement je trouve que ça donne un côté eau de rose qui ne va pas avec le contexte général de l'oeuvre, ça m'ennuie, enfin y'a rien qui va pour moi.
Dans les années 90/2000, ils sont partis dans l'autre sens. Lewis Furey a accentué l'aspect sexuel des relations entre les persos (dès la rencontre de Sadia et Johnny ils se foutent littéralement la main au paquet) et le côté hyper glauque de l'enlèvement. Cristal est littéralement attachée les jambes écartées pendant que Johnny la caresse en chantant "j'ai toujours rêvé de rencontrer un ange" et elle répond "on se ressemble bien plus..." à moitié en pleurant, genre elle lui dit ce qu'il veut entendre pour qu'il lui fasse pas + de mal... BEURK.
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Du coup, pour moi, 2022 c'est un peu la synthèse de tout ce passif. Ils ont fait le choix de rendre les Etoiles Noires menaçantes pour de vrai (et pas juste de laisser la possibilité au public de penser que toutes leurs exactions sont de la propagande des médias, bien que évidemment cet aspect là est présent aussi dans un show qui parle autant de manipulation médiatique.) Pour moi, "Quand on arrive en ville" avec Johnny qui bute des gens de manière aussi théâtrale, c'est le raccourci narratif qui évite d'avoir 15 JT qui énumèrent leurs actions comme en 79 (ils ont attaqué un péage, ils ont fait sauter une banque, ils ont fait ci et ça etc etc.) Ca nous rappelle bien, au cas où on avait gardé l'idée de Balavoine un peu nounours en tête, que Johnny c'est pas juste un gentil mec de gauche mais qui est rejeté par la méchante société sans aucune raison. Personne n'est gentil dans Starmania. C'est nécessaire d'appuyer cet aspect violent, parce que ça rend son évolution d'autant plus marquante.
Par contre, effectivement pour la rencontre, Cristal se fait bousculer en arrivant, et ça a parfois un aspect sexuel (une main glissée sous la jupe, en général, mais sinon ça reste + soft je crois, genre ils lui touchent les cheveux ou la reniflent.) Par contre le coup de foudre me semble réel. Au départ, le Johnny désabusé et nihiliste de "Quand on arrive" s'amuse clairement avec Cristal et laisse les Etoiles Noires la chahuter, mais rapidement il commence à vasciller entre jouer au dur avec elle et la protéger des Etoiles Noires. Pour moi, à partir du moment où ils quittent la scène, ils sont en fuite ensemble. Elle trébuche, il revient en arrière pour la relever, il lui ouvre la porte... Tous ces petits gestes d'attention me font penser qu'il a vraiment changé d'attitude.
Et toute la partie de la fuite qui est super stylisée (genre au début ils sont clairement dans les coulisses d'une salle de spectacle, ils utilisent les fly cases, ensuite la voiture part vers le ciel, à la fin ils sont "dans les étoiles" pendant la partie "Coup de foudre" etc.) pour moi c'est une ellipse narrative. La convention théâtrale nous fait avaler que 2 persos qui viennent de croiser le regard l'un de l'autre peuvent tomber fous amoureux en 2 secondes, mais ce passage là pour moi, il se déroule sur un temps plus long. C'est Johnny et Cristal qui s'enfuient ensemble et qui apprennent à se connaître, pas juste sur les 4 min de Banlieue Nord mais sur la période dont parle Marie-Jeanne dans son interlude suivant, quand elle dit que ça fait 1 mois qu'on a pas de nouvelles de Johnny et Cristal. A ce stade, je peux totalement croire que leur amour est sincère même si les débuts ont été chaotiques et pas toujours 100% réglo du point de vue du consentement.
BREF, tout ça pour dire que je comprends bien que ça puisse être gênant car c'est une intrigue qui cherche à nous faire nous poser des questions sur nos propres limites. Qui est-ce qu'on veut ou peut aimer dans cette histoire ? Pourquoi ? Qu'est ce qu'on est prêts à excuser ? Par exemple moi je suis 100% ok avec les meurtres au parpaing mais je suis intimement convaincue que Johnny n'est pas vraiment un violeur et que cette réplique LA en particulier est donc une exagération des médias 💁‍♀️ Mais c'est un arrangement que je fais avec l'histoire, ses origines douteuses, son arc narratif bizarre, incomplet et désorganisé, et ma propre conscience :p
Voilà, bon je sais pas si j'ai répondu à ta question au final 😅 mais n'hésite pas si tu as une vision différente des choses !
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