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#on est en 2022 putain
idereahellyeah · 2 years
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Quand aujourd'hui une jeune fille a dit deux fois à la femme en transition à la caisse "merci Monsieur".
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chifourmi · 1 year
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Bon décidément soit j'ai vraiment un TDA soit j'ai un Qi de -100. Aujourd'hui j'ai fait une faute professionnelle que je savais qu'il ne fallait pas faire mais wtf je l'ai faite et genre ça ne m'a pas traversé l'esprit sur le moment. Depuis, ça tourne en rond dans ma tête. J'ai encore perdu confiance en moi et ça arrive à chaque fois que je fais des conneries pas intentionnelles. C'est même pas de la maladresse ni de l'inconscience. En fait je sais même pas comment le décrire. Comme si sur le moment j'avais plus rien dans le cerveau, comme de l'alzheimer. Et pourtant je ne suis pas stressée donc ce n'est pas l'anxiété qui me fait perdre mes moyens. Est-ce que je suis complètement débile? Ça pourrait, mais je savais que je ne devais pas le faire alors pourquoi sur le moment j'ai pensé à tout sauf à ça? Qu'est-ce qui se passe dans mon cerveau quand ce genre de trucs arrive?
J'en ai marre de ne pas savoir ce que c'est mon putain de problème. C'est vraiment comme si c'était un dysfonctionnement dans mon cerveau, c'est ultra étrange. Et à cause de ça, je ne me fais pas du tout confiance en général. J'ai presque peur de moi parce que je sais que je ne peux pas être digne de confiance. C'est aussi pour ça que je note tout partout, parce que j'ai peur de ne pas penser aux choses.
J'en ai parlé à Ju' et elle a rigolé. En même temps elle a un esprit tellement logique, terre à terre, pratique. D'ailleurs elle doit me trouver bien conne, vu le nombre de fois où elle traite les gens de débiles. Et je pense que les gens qui ne vivent pas ça doivent juste se dire que c'est de la débilité en fait, c'est un raccourci facile. Après c'est peut être juste vraiment ça. Je suis peut être juste une meuf complètement conne et j'ai peut-être juste conscience de ma connerie. C'est un peu triste.
(09/12/2022)
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quemajoiedemeure · 2 years
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Je comprend pas on est en 2022 et personne n'a encore inventé un truc aussi portatif que les matelas gonflable mais qui soit CONFORTABLE ?? Faites un effort au lieu de nous faire chier avec les tesla putain
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alexispasalexis · 1 year
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Day 4/365 no zero days challenge
today, we did language learning ✨airplane edition✨. today was my flight back to montréal from seattle, and i am writing this post from the comfort of my appartment. everything is in balance. bon, the flight is 5 hours long, which means MOVIE TIME !! i wanted to do 2.5 hours of french content then 2.5 of spanish, but it turned out more 3:2.
voilá les films que j'ai regardés :
à quoi tu rêves léon ? (2022)
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Il n'y avait pas beaucoup de dialogue dans ce court-métrage, car le film est d'un point du vue d'un chien. C'est pas un court-métrage dont les animaux parlent ou peut-être sont les narrateurs. Pour dire la vérité, je suis pas une personne animale. Donc, je recommande ce court-métrage aux personne qui aiment des animaux, évidemment, surtout les chiens.
fanmi (2021)
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Le description de ce court-métrage m'intriguait parce qu'il propose un mère qui rend visite à sa fille et bien sûr il y a quelque chose que le mère cache. En fait, j'ai presque pleuré parce qu'il m'a fait penser à ma mère et le fait que, comme les personnages dans le court-métrage, on est loin l'un de l'autre. Ce que je déteste sur les courts-métrages, c'est que parfois, il n'y a pas une "vraie" fin. Bien sûr, c'est subjectif, qu'est-ce que c'est une fin ? Je vais revenir sur ce point plus tard.
lignes de fuite (2022)
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WAOUH CE FILM LÀ. okie je me souviens avoir vu des publicités partout à montréal pour ce film quand il est sorti, donc, quand j'ai vu qu'il était disponible dans la sélection des films d'Air Canada, j'ai su que j'allais le regarder, et c'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. je recommande FORTE ce film. les acteurs sont magnifiques et je me sentais comme je les connais. en fait, dans le film, l'une de personnages avait une copine qui n'était pas née en parlant français à la maison. elle comprend parfaitement le français, et elle parle les deux dans le film. je me voyais dans ce personnage parce qu'il était évident qu'elle avait du mal à s'identifier avec le Quebec : la culture, la cuisine, les gens., etc. cette répresentante des anglophone a une magnifique dialogue où elle insulte le Québec, et, franchement, je l'ai adoré. le film touche aussi les gens woke qui aiment évoquer toujours ce qui ne va pas dans la vie. l'un de personnages est un chargé de cours de philosophie et il est vraiment désagréable. REGARDE CE FILM LÀ
competencia oficial (2021)
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ce film… était intéressant. bien sûr, penelope cruz et antonio banderas sont déjà connus dans la presse occidentale, mais c'était le premier film où je les voyais jouer dans leur langue maternelle. en tout cas, ce film a confirmé que je ferais n'importe quoi pour penelope cruz.
le test (2021)
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j'ai vraiment adoré ce film. au début du film, un test de grossesse est trouvé dans la poubelle et la mère s'est mise à trouver à qui il appartient. le fils aîné commence à paniquer parce qu'il a apparement beaucoup de partenaires sexuels à 19 ans. donc, ce film m'a fait réfléchir : putain, les ados français sont actives ! cependant, en comparant les parents dans le films aux parents américains, il me semble que les parents français sont ouverts et n'arrétent pas forcement leurs enfants d'avoir des relations sexuelles. le film se déroule aussi à montpelier, et je trouve que les gens qui vivent dans les climats chauds sont plus détendues que ceux qui n'en vivent pas. les enfants ont dit à leur mère de fermer la gueule, et j'étais vraiment choqué. j'ai beaucoup ri dans le film et je l'ai trouvé tellement mignon.
alors oui
i hope y'all enjoyed that, my brain hurts, but it was good to challenge myself to write in french
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clemjolichose · 1 year
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Avant la Forme et la Matière
Fandom : Vilebrequin
Pairing : aucun
Nombre de mots : 3 453 mots
Avertissement : Cette partie contient du body horreur et est de la science-fiction horrifique en général.
Résumé :  Sylvain Levy et Pierre Chabrier étaient sur le point de tester une nouvelle voiture, plus originale que toutes celles qu'ils avaient essayées avant, pour leur chaîne YouTube Vilebrequin. Mais évidemment, rien ne devait se passer comme prévu...
Note d’auteurice : Ceci est ma première fanfiction sur Vilebrequin, publiée sur Wattpad et AO3 le 3 septembre 2022. Elle est la première fanfiction publiée dans ce fandom.
Partie : 1/?
Partie 2
Chanson : Ancient Dreams in a Modern Land de Marina and the Diamonds
               La voiture était là et tout comme Pierre, Sylvain n’en revenait pas. De profil, elle était très proche du sol, basse et aplatie au maximum, à se demander comment un adulte pouvait s’y installer confortablement.
« C’est quand même pas une bagnole pour gosse ? fut la première question de Sylvain. »
C’était Pierre qui avait conduit la voiture jusqu’au lieu d’essai, son ami se demandait donc comment il était entré avec sa grande taille.
Véhicule était un mot plus approprié et était le seul que les deux passionnés d’automobile pouvaient utiliser pour décrire l’engin, étant donné qu’il était unique et relevait plus du concept car qu’autre chose. Ou pas. Était-ce vraiment une voiture ? C’était un ORNI de l’automobile : un objet roulant non identifié, apparu sur les sites de revente en ligne comme par magie, à un prix si bas que Pierre et Sylvain s’attendaient à un enchaînement de calamités techniques. Ils l’avaient donc acheté, espérant au moins faire du bon contenu quitte à l’exploser à la première vidéo.
« Non, répondit Pierre. Elle n’est pas pour enfant et c’est même plutôt spacieux à l’intérieur. »
Il rit, parce que c’était absurde et parce que le visage de Sylvain ne montrait que l’étonnement.
« Tu veux me dire que t’es rentré dedans, toi, Pierre Chabrier ? J’te crois pas ! »
Il lui tapa amicalement le bras et s’approcha enfin du véhicule pour le regarder sous un autre angle, ce qui ne le rendit que plus perplexe.
               L’avant paraissait trop haut pour avoir une visibilité correcte et plongeait vers le sol dans une longue courbe à la manière des coccinelles, légèrement bombé. Le train arrière, dépassant de chaque côté de l’habitacle, avait une forme carrée et semblait avoir été rajouté. La couleur violette, différente du reste du véhicule orange, n’aidait pas à rendre le tout harmonieux. Le véhicule était étrangement peu large, lui donnant un véritable aspect de jouet.
               À cause du reflet du soleil sur les vitres particulièrement opaques, Sylvain ne pouvait pas voir l’intérieur, mais il n’avait pas hâte de s’y installer.
« C’est quoi, dedans ? demanda-t-il malgré tout à son collègue pour obtenir des informations supplémentaires, comme elles ne figuraient pas sur l’annonce.
-Le gars a pas su me dire, répliqua Pierre en s’approchant à son tour. Et elle est pas homologuée.
-Bah ouvrons le capot du coup. »
Sylvain plaça ses doigts dessous tandis que Pierre cherchait le levier d’ouverture sur le tableau de bord. Il ne trouva rien, haussant les épaules pour indiquer son insuccès à son collègue. Celui-ci tira donc de toutes ses forces, en vain. Pierre éclata de rire avant de lancer un très modeste :
« Attends, laisse-moi faire. »
Il poussa Sylvain doucement et prit sa place. Avec une prise ferme, il tira à son tour… sans succès.
« Putain, mais c’est scellé ou quoi ?
-Ah, tu vois que c’est pas la faute à mes petits bras cette fois ! se moqua l’autre homme. On a pris un pied de biche pour faire sauter ça ? »
Pierre secoua la tête, ne prenant pas la peine de répondre verbalement. Il observa le capot, les mains sur les hanches, essayant de trouver une solution.
« Attends, j’ai une idée, lança Sylvain. »
Et immédiatement, il se jeta aux pieds de Pierre qui était toujours debout devant le véhicule, afin de se glisser dessous.
               Pierre éclata d’un rire nerveux, parce qu’honnêtement cette acquisition s’enveloppait d’un mystère de plus en plus grand.
« Tu vas être plein de terre !
-Je préfère ça que mort. Si ça se trouve, il y a une bombe dedans. »
Pierre ne rit pas au trait d’humour. Ça ressemblait de plus en plus à cela en effet : une bombe à retardement entre les mains de deux idiots qui avaient trop peu de considération pour leur vie.
« On aurait dû ramener le reste de l’équipe, murmura Pierre nerveusement.
-T’as dit quoi ? »
Sylvain essaya de sortir la tête de là trop rapidement et se cogna avec une exclamation de douleur. Il sortit en un seul morceau et se remit debout, frottant ses vêtements souillés de la terre ocre du désert de Provence.
               Pierre répéta, d’une voix sûre, convaincu maintenant de leur erreur. Sylvain ne voyait pas le danger, mais il ne l’avait pas encore conduite, lui, cette voiture infernale.
« Oh, mais non, c’est juste un petit test, lança-t-il avec détente. On verra bien ce qu’il y a dedans quand on l’éclatera sur un arbre. Pourquoi on l’essaye au milieu de nulle part, au fait ? »
Il regarda autour de lui, mais à part la voiture avec laquelle il était venu et qui transportait du matériel, il n’y avait rien d’autre que de la végétation sèche et des dunes rocailleuses. Ce n’était certainement pas le terrain de prédilection pour l’essai d’une voiture si basse.
« L’ancien proprio avait recommandé ça dans nos échanges, répliqua Pierre.
-Et du coup tu l’as écouté ? questionna Sylvain de façon plutôt rhétorique, mais il attendit malgré tout le hochement de tête de son ami. T’es vraiment con en fait. »
Et il rit. Il sonnait faux, nerveux à son tour, avant d’ajouter :
« Bon, en tout cas j’ai rien vu là-dessous…
-Donc tu t’es éclaté le nez pour rien, se moqua Pierre.
-Oh t’exagères, il est pas si éclaté ! »
Son collègue grimaça en montrant son visage.
« Bah, tu saignes. »
Etonné car il n’avait rien senti, Sylvain se pencha par-dessus la carrosserie pour se regarder dedans. Comme pour lui répondre, une goutte de sang tomba sur son reflet et s’évapora rapidement.
               La météo était étouffante, ils n’avaient pas choisi le meilleur jour pour filmer. Le soleil brillait largement dans un ciel bleu sans nuage. Les rayons tapaient directement tout ce qui se trouvait sur la surface terrestre : eux, les voitures, la poussière qui en se soulevant venait se coller à leur peau… Ils transpiraient déjà avant même d’entrer dans l’habitacle. L’envie d’annuler ce tournage était de plus en plus grande.
               Et pourtant, aucun des deux hommes ne tira la sonnette d’alarme. Ils auraient dû, peut-être, afin de s’éviter les chaleurs et l’incertitude de l’engin qu’ils allaient conduire.
               Après avoir posé les caméras autour du véhicule et à l’intérieur, Pierre demanda tout de même à Sylvain de prendre le volant pour tester la conduite, en ne filmant qu’avec les GoPro au cas où un malheur arriverait – connaissant la chance de celui-ci.
               Sylvain fut ébahi en s’installant dans la voiture, qui était effectivement spacieuse à l’intérieur. Il était quasiment allongé sur son siège, la structure du véhicule l’obligeant, mais c’était confortable. Il se sentait bien, si bien qu’il reprit le sourire.
« C’est incroyable… Et c’est un gars dans son garage qui a construit ça ? J’y crois pas, on dirait une classe S ! »
Il éclata de rire alors que Pierre s’installait à la place du passager.
               Le véhicule n’avait que deux places et, le temps que Pierre explique à son ami tout ce qu’il y avait à savoir sur la conduite, une demi-heure s’était écoulée. L’excitation du conducteur prit le dessus et il démarra malgré les explications inabouties de l’autre homme qui se cramponna immédiatement à ce qu’il pouvait.
Il atteignit rapidement les cent kilomètres par heure, au grand désarroi de Pierre qui lui demandait répétitivement d’arrêter, avant de se stopper net. Les deux hommes furent projetés en avant, rouvrant la plaie de Sylvain dont le sang avait séché, mais il ne réagit pas. Pierre se tourna vers lui, inquiet.
« Mec, ça va ? »
Il ne reçut aucune réponse. Il regarda autour du véhicule, peut-être avait-il manqué un indice de danger, mais il ne vit rien et reporta donc son regard sur son ami qui clignait simplement des yeux, immobile.
« Lévy, tu me fais flipper là… T’as pris un coup de chaud ? »
Il le secoua, espérant lui tirer une réponse.
« Mais t’as pas vu le flash ? demanda enfin le conducteur sans détourner son regard du paysage s’étendant devant lui.
-Quel flash ? T’as été ébloui ? »
Ce n’était pas le cas de Pierre, mais peut-être de sa place Sylvain avait été gêné par le soleil. Son silence et son immobilisme restaient inquiétants. Quoiqu’il arrive, c’était bizarre.
               Alors que Pierre allait prononcer la fin du tournage – qui n’avait pourtant jamais commencé – son collègue le coupa. Il essayait désespérément d’ouvrir sa portière mais ne la regardait pas. Ses gestes étaient imprécis et son regard fixe. Il parla avec saccade :
« Je dois y aller. »
Quand la portière céda, il se détacha avec la même difficulté et tomba du véhicule – qui était pourtant bas. Il se releva rapidement, tituba puis marcha rapidement droit devant lui, la tête baissée.
               Pierre resta seul de longues secondes sur son siège, confortablement attaché, retournant dans son cerveau ce qui venait de se dérouler sous ses yeux. Il n’arrivait pas à l’assimiler. La situation était trop étrange, hors du temps, et pourtant il n’arrivait plus à ressentir cette alerte du danger qui l’avait fait crier sur Sylvain quelques minutes plus tôt. Il observait la silhouette blanche s’éloigner dans les vagues lointaines provoquées par l’air chaud. Là-bas, si petit et flou, il ressemblait à un mirage.
               Finalement, quelque chose dans son esprit émergea de la brume de confusion dans laquelle il s’était installé, perdu dans ses pensées. Il se détacha avec un geste précis, ouvrit la portière d’un mouvement ample et sauta sur ses pieds. Ses pensées étaient claires, tout à coup, et il se mit à courir en direction de Sylvain qui disparaissait déjà à l’horizon. Il évita quelques chutes sur le chemin par il-ne-savait-quel-miracle et rejoignit rapidement son ami qui marchait toujours vers l’immensité désertique.
               En voulant attraper l’épaule de Sylvain, l’agripper, le retenir et l’empêcher de l’effrayer d’autant plus, il ne contrôla pas sa vitesse et le percuta. Les deux tombèrent entre les pierres. La chute sembla durer une éternité, et pourtant la douleur se faisait déjà ressentir. Un caillou frappant la hanche de Pierre insensibilisa sa jambe mais diffusa une douleur sourde dans tout son bassin, et il grimaça les yeux fermés. D’une main, il chercha le corps chaud et amical de Sylvain, essayant de s’accrocher à lui. Il remarqua alors le froid qui l’entourait. La terre était brûlante pourtant et la chute ne devait pas être longue, mais il eut le temps de sentir ses os se glacer avant que son visage n’heurte enfin la poussière brûlante et lacérante.
               Sylvain ouvrit les yeux et se redressa en un seul mouvement, si rapide qu’il fut pris d’un vertige. La neige devant ses yeux, causée par le vertige, l’empêcha de voir son environnement, de le reconnaître, le désorientant. Il sentait un vent léger mais particulièrement frais geler son visage, ses bras nus et ses mollets. Enfin, les étoiles du vertige disparurent et il put enfin contempler ce qui l’entourait.
               Il remarqua Pierre, d’abord. Son ami était étendu à ses pieds, visiblement conscient mais immobile. Il jugea, malgré la lumière bleue ambiante, que la terre devait être blanche. Il la foula du bout du pied, s’approchant avec appréhension de Pierre. La végétation était ici inexistante, les deux hommes étaient encerclés par de hautes montagnes aux flancs escarpés et la vallée, entre deux crêtes, était recouverte d’éboulis.
               Sylvain s’agenouilla près du corps inerte et se baissa pour être au niveau du visage. Les yeux de Pierre étaient toujours fermés mais il respirait bel et bien, ce qui rassura son collègue. Ce dernier demanda finalement :
« Tu nous as amenés où, là ? »
Il se retint de rire nerveusement en voyant les sourcils de Pierre se froncer malgré les paupières closes. Pierre ouvrit enfin les yeux mais ne prit pas le temps de regarder Sylvain – peut-être aurait-il dû. Il préféra se redresser et tourner sur lui-même avec la confusion d’un animal encerclé. Son ami l’imita, ce qui lui permit de remarquer qu’il faisait complètement nuit. Pourtant, la lumière de la lune était particulièrement aveuglante… et bleue. Il n’y avait aucun nuage, seulement des constellations d’étoiles qui se voyaient trop bien pour être vraies.
« Je nous ai amenés nulle part, répondit enfin Pierre. »
Il déglutit et ses mains cherchèrent par réflexe ses poches. Il grimaça lorsqu’elles appuyèrent contre ses hanches et souffla :
« Bordel, je me suis bien niqué…
-Je confirme. »
Il se tourna vers Sylvain qui leva un doigt vers son visage. Pierre en toucha le côté droit et quelques cailloux jusqu’alors incrustés dans sa peau tombèrent. Sa pommette et son sourcil étaient éraflés, sa barbe ne laissant paraître aucune autre blessure éventuelle. Il usa de son langage fleuri usuel et paniqua de plus belle.
« Il est où le soleil, bordel ?! »
Sylvain explosa de rire, malgré ses efforts pour se contenir. La question était trop stupide, la situation trop décalée et Pierre trop lucide. Il ne pouvait avoir d’autres réactions que le rire hystérique, à en pleurer sans être sincère, à tirer les muscles du visage, le figeant dans une grimace gênante. C’était inarrêtable et fort peu communicatif, à en juger par l’expression circonspecte quoiqu’inquiète de Pierre. Il marmonna quelque chose que l’autre homme n’entendit pas.
               Le rire de Sylvain fut coupé par un bruit de moteur, un moteur puissant qui creva leurs tympans et les surprit tous les deux puisqu’ils se pensaient seuls. Des phares de voiture les éblouissaient déjà là-bas, au bout de la route qu’ils n’avaient même pas remarquée jusqu’ici. Elle n’était qu’en terre, après tout.
En voyant la lumière se rapprocher, ils eurent finalement la présence d’esprit de se décaler, un peu tard peut-être. Les roues les frôlèrent sans ralentir et trop rapidement, le véhicule disparut sans qu’aucun des deux passionnés ne puisse identifier quoique ce soit – le modèle, la forme, le conducteur… Et même après son passage, ils étaient trop sonnés d’avoir frôlé la mort pour y réfléchir.
« On a été drogué, c’est pas possible, lança Pierre. »
Sylvain, qui avait attrapé son bras par peur, le relâcha et se racla la gorge.
« Bon, on retourne aux caisses.
-On sait même pas où elles sont et surtout, où on est bordel de merde. »
Le ton monotone de Pierre ne fit pas rire son ami, qui fixait l’horizon où la voiture avait disparu – mais avait-elle eut le temps de l’atteindre, même ? Il commença à marcher dans la direction opposée, ajustant son regard droit devant lui après plusieurs secondes à regarder derrière lui.
« Suis-moi ! cria-t-il quand il remarqua qu’il avançait seul. »
Pierre sortit de ses pensées, confuses et embrumées par la succession sans queue ni tête des événements, pour lui emboiter le pas.
               Miraculeusement, le véhicule apparut devant eux. Le véhicule, seul, en revanche. Baigné d’une lumière vespérale mauve, le moteur était toujours en marche et les phares projetaient une lumière jaune-orangée devant eux.
« Pierre, il nous manque un truc, remarqua immédiatement Lévy.
-Quoi, on nous a piqué un enjoliveur ? »
La blague était de mauvais goût aux yeux de Sylvain, d’autant plus qu’il n’y avait pas d’enjoliveur sur le véhicule.
« Non, ma caisse putain, elle est où ? »
D’un pas rapide, il décrivit un grand cercle autour du véhicule qui jusqu’ici leur avait causé des problèmes d’un ordre tout à fait différent de ce qu’ils avaient imaginé. Il y avait des traces de roues, devant le véhicule et à côté de celui-ci.
               Tandis que Pierre faisait le tour du véhicule – pourquoi, son ami ne savait pas – il suivit les traces en commençant par celles au-devant de l’étrange voiture. Deux cents mètres à peine, elles disparaissaient brusquement dans un freinage d’urgence, ressemblant drôlement au trajet qu’il avait lui-même effectué quelques minutes plus tôt.
               Minutes ? Il faisait nuit noire maintenant. Enfin, nuit violette, après le bleu profond réfléchi par la lune. Elle brillait moins, maintenant, et le mauve venait donc des autres étoiles qui traçait une plaie béante dans le ciel, le scindant en deux parts presque égales. C’était une longue ligne composée de milliers de points colorés, qui s’achevait droit devant Sylvain. Il aurait pu l’atteindre avec le véhicule, s’il eût essayé. La réflexion le fit sourire alors qu’il observait le ciel dans une position décontractée, les mains sur les hanches et les pieds écartés. Il en oublia l’inédit de la situation…
               Pierre, lui, n’avait pas oublié. Si Sylvain se concentrait sur le problème de la voiture disparue, lui voulait essayer de comprendre ce qui leur était arrivé. Pourquoi faisait-il nuit ? Pourquoi la lune brillait-elle si étrangement, comme un projecteur tourné tour à tour sur différents objets ? Pourquoi et comment le désert ocre et plat était-il devenu si blanc et escarpé ? En vérité, il ne cherchait pas de solution ni de réponse, il paniquait, assis dans la voiture à la place du passager. Il revivait l’étrange moment qui avait précédé ce changement de scène, comme s’il pouvait y déceler quelque chose, ou plutôt comme une réponse traumatique. Et parmi toutes les alarmes qui sonnaient dans sa tête, il eut l’idée saugrenue qu’ils avaient réellement traversé l’espace et le temps.
               Sylvain revint après de longues minutes, tête baissée, le pas souple et détendu. Il avait les mains dans les poches et sifflotait, ce qui irritait malgré lui son ami. Mais Sylvain ne fit pas attention à lui, ne lui lança aucun regard et se mit à suivre les autres traces de roues. Elles furent plus courtes, ce qui était encore plus étrange, et disparaissait sans indiquer de changement conséquent. Comme si la voiture qui les avait tracées était apparue de nulle part. Avec la même nonchalance, il retourna au véhicule et se réinstalla au poste conducteur.
« Tu fous quoi ? Pierre interrogea sèchement, car son collègue sifflotait toujours – sans forcément de talent.
-Bah je règle les rétros. »
Il allait lui en coller une. Pierre sentait l’envie monter sans pouvoir la contrôler.
               Il lui lança à la place un regard désabusé, sans rien dire de plus, l’observant s’installer confortablement, ajuster son siège, son volant, ses rétroviseurs, sa ceinture… L’impression de revivre l’événement qui les avait menés jusqu’à cet instant – ce merdier – le dérangea fortement et le plongea dans une grande appréhension. Pourtant, il ne pouvait pas se résoudre à autre chose que laisser son collègue conduire, collé à son siège.
               La distance qu’ils parcoururent cette fois-ci fut plus importante, si bien que Pierre commençait à se détendre, juste un petit peu. Il ferma les yeux et essaya de repenser à sa vie, à la chaîne, à son quotidien, ses voitures, son chien, ses amis, bref, la normalité. Mais tout cela lui semblait étranger maintenant, comme si ces souvenirs, les images qui lui venaient à leur évocation, était ceux de quelqu’un d’autre, d’une lointaine vie.
               Il rouvrit les yeux quand l’homme au volant reprit la parole, après quelques minutes de conduite silencieuse :
« Tout va bien Chabrier ? »
Sa voix avait un son étrange, presque métallique sur les dernières notes. Son collègue voulut répondre et se tourna donc vers lui, uniquement pour sentir ses mots se bloquer dans sa gorge.
               Devant les yeux de Pierre, le globe oculaire de son ami disparut, devenant un trou noir béant s’ouvrant de plus en plus, fendant son visage comme un liquide coulant le long de sa joue. La vision dura une seconde. En un clin d’œil, elle n’était plus, au grand soulagement du passager qui préféra mettre ça sur le compte d’une hallucination – son cerveau l’abandonnait.
               Il ne put toujours pas répondre à la question de Sylvain, puisqu’un brusque sursaut de la voiture attira l’attention des deux hommes. Le conducteur tenta de freiner, sans succès. Le véhicule prenait même plus de vitesse, les secousses se multipliant tandis que l’environnement autour d’eux changeait à chaque fois. Il devint orangé, surligné de couleurs éclatantes comme un trait au feutre fluo tracé sur le paysage, puis sombre, presque entièrement noir, avec la lune seule les éclairant – comme un projecteur.
Ils ne comprenaient pas, se regardaient, impuissants, changer au rythme des secousses pour ressembler à leur environnement, couleurs éclatantes, fluos, étoiles, projecteur, formes et matières étranges.
Tout se mélangeait.
Tout fondait.
Eux, le reste du monde.
Seul le véhicule subsistait inchangé, machine infernale les emmenant à travers les univers, l’espace et le temps. Ils étaient effrayés, éblouis, confus, et se demandaient si la mort ressemblait à cela : un mélange étrange de la matière, de l’espace et du temps qu’ils traversaient dans une capsule incontrôlable, un piège qui les avaient happés dans les méandres quantiques d’un monde qui voulait les détruire.
               Soudain, la voiture s’arrêta.
               Soudain, un désert provençal apparut autour d’eux.
               Soudain, ils étaient libres.
               Ils ouvrirent leurs portières respectives en même temps et sortirent du véhicule d’un même pas chancelant, se sentant nauséeux et pris de vertiges. Pierre devint nerveux à cette idée à cause de son émétophobie, mais il tint bon tout comme son collègue.
Tous deux se retrouvèrent sans trop savoir comment dans la voiture de Sylvain, qui se trouvait quelques centaines de mètres plus loin, là où il l’avait laissée.
« Démarre, on se casse. »
Sylvain hocha la tête aux sages paroles de son ami et mit les gaz, laissant ce véhicule maudit et leur mésaventure à travers des univers angoissants derrière eux.
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THE END OF THE FUCKING WORLD
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Yo! Et bienvenue à tous.tes sur le tumblr officiel du forum THE END OF THE FUCKING WORLD.
Créé initialement en octobre 2020 par JΛCQUELYN. et proposé sur le forum d’entre-aide PUB RPG DESIGN, le projet a été repris en mai 2022 par M.C.MADS (avec l’accord de la fondatrice). Dérivé de l’univers des jeux TLOU (développés par la société de jeux vidéos Naughty Dog), le projet propose une suite logique et/ou alternative des deux premiers opus du jeu (avec spoilers*). L’action se déroulant en l’an 2039 (octobre) et prendra principalement place dans l’état du Wyoming, aux États-Unis.
FICHE DES DÉTAILS
classification : + 18. Les membres mineur.e.s ne seront pas autorisé.e.s.
inspiration(s) : The Last of Us (I & II), The Walking Dead, Black Summer, I Am Legend, The Road, Les Affamés, Feuilles Mortes, World War Z, etc.
type de forum :  forum rpg post-apocalyptique, survival-horror, action-aventure.
trigger warnings : univers post-apocalyptique, détérioration de la condition et des droits humain.e.s, pandémie, épidémie, maladie, mutation corporelle, violences implicites, sang, dégradation des biens publics, mutant.e.s, survivalisme, brutalisme, mort, langage vulgaire. 
(...) L’monde n’est plus qu’un putain d’champignon. Partout, y’a qu’ça qu’on voit, y’a qu’ça qu’on craint. Ça pue, c’est laid et ça schlingue d’spores infectieux qu’voudrait mieux pas qu’tu respires si tu veux pas d’vnir comme eulleux. La peur qui nous enserre les tripes tous les jours, on essaie d’survivre, de r’bâtir, d’reconstruire sans faire les mêmes erreurs. Mais les survivant.e.s, iels ont plus qu’ça à faire. Iels s’fourrent, iels s’mentent, iels s’fuck tous.tes. Qu’est-ce qu’on en a chié m’tnant du Monde? Il est plus à nous d’puis longtemps. Il est aux champignons et au monstres qui naissent avec.
Nous on fait qu’crever, en attendant.
Comment qu’j’le saurais si j’tais l’dernier.ière survivant.e d’la Terre?
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evaspleen · 2 years
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Date: 2022/09/20
Title: soumise à de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner à baiser à ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tête au sol et écarta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lèche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
Lèche là et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois à te baiser."
La main profite d'être trempée pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien écartées elle gémit il accélère et glisse deux doigts de plus dans le trou serré.
L'un d'eux viens àvec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivèrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maître s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulève la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il râle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derrière elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faîte pour ça.
Le troisième se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraît plus énorme encore qu'à l'écran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maître lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et écarte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obéi et s'assied sur le canapé jambes écartées le rustre se mets à genoux pour bien regarder le sexe trempé, il écarte les lèvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre àvec force dans le vagin de la fille qui commence à s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue à sucer , une queue trop longue à avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tête.
il fini par petit à petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pénètre le trou qu'il écarte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tête pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'après ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était très grand massif son sexe aussi . Il était très impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accès aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vînt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible écarte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux à queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir à ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maître se leva et revient àvec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maître se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pénétra la fente baveuse et serrée elle cria de plaisir et de douleur le sexe était énormeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'être si prise.
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flr-k · 1 year
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Humiliation et Abandons, se sont mes sentiments, ceux que je ressent pour les dernières minutes de cette putain d’année de merde qu’est 2022. Si je devrais faire le point, je dirais que j’ai tout perdu. Je dirais que j’ai beaucoup (trop.) pleuré et que la vie m’a beaucoup appris. J’ai appris qu’en un message, qu’en quelques mots, qu’en une seule secondes, toute, mais absolument toute ta vie peut basculer. Mais, j’ai aussi vécu de belles choses et rencontré de belles personnes. Des gens sont partis, et, d’autres sont arrivés ou bien revenus. J’ai découvert ce super métier qu’est celui d’enseignant, on aura beau critiquer cette nouvelle génération (moi le premier.), je la trouve tout de même géniale dans l’ensemble. Si on me demanderait mes "résolutions" pour cette nouvelle années alors je dirais simplement que je voudrais faire de moi une belle personne, mais avant toute chose, devenir une personne heureuse. Alors, même si je me retrouve seul (ça m’explose le coeur.) en cette fin d’année, je souhaite à tout Tumblr une magnifique et géniale année 2023, je vous souhaite à tous une belle et heureuse vie. Je ne vous l’ai jamais dit, mais je vous aime, vous et vos écrits.
31/12/2022 - 23:46 il est temps d’aller dormir avant d’être inondé de messages que je ne veux pas recevoir.
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belphegor1982 · 1 year
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#5
OH FUCK I HAVE NEVER BEEN HAPPIER TO SEE THIS ASSHOLE’S FACE
THE FASCISTS DIDN’T WIN
84 notes - Posted April 24, 2022
#4
Bon. D’autres l’ont dit mieux que moi, mais bordel, allez voter Macron dimanche. Pas parce qu’il a fait du bon boulot (il n’y a qu’à voir la casse sociale que lui et ses petits copains ont fait depuis 5 ans), pas parce qu’il est sympathique (je les exècre, lui et son arrogance, il a le mépris inné de celui qui n’a jamais rien raté de sa vie par pur hasard), mais parce que quoi qu’il fasse, Le Pen sera pire.
D’abord, c’est l’extrême droite. (L’EXTRÊME DROITE. Depuis quand c’est un détail !?) Une idéologie fondée sur les intolérances de tout poil. Un parti fondé par d’anciens Waffen-SS, collabos, et tortionnaires pendant la guerre d’Algérie. Contrairement à celleux qui brament qu’on “a essayé la gauche et la droite, pourquoi pas quelque chose de nouveau”, c’est exactement Vichy remis au goût du jour, avec l’islamophobie en prime. Si elle gagne tous les fachos et les néo-nazis de France ne se sentiront plus pisser. On a vu ce que ça donnait quand Trump est passé en 2016, et encore, c’était de l’autre côté de l’Atlantique.
(Vous voulez vraiment que la première présidente de la république française soit d’extrême droite !?? SÉRIEUX.)
Donc oui, j’irai voter pour l’autre connard au second tour, parce que NON, ce n’est PAS “la peste ou le choléra”, c’est l’ultralibéralisme de droite ou l’extrême-droite.
Et quel que soit le nombre de Français qui votent “blanc”, dimanche à 20h on aura une tête à la télé, et ce sera soit l’un, soit l’autre. Pas de deuxième chance, pas de “elle a gagné mais il avait plus de voix”, non - ce sera la présidente élue au suffrage universel. Pendant cinq ans. Imaginez tout ce qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. Tous celleux qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. La honte de savoir que la France est un pays de fachos aux yeux du monde (et aux nôtres).
On sait que ces enfoirés vont aller voter, eux, et on sait qu’un certain nombre de déçus de Macron ou des Mélanchonnistes déçus peuvent voter pour Le Pen par dépit.
DONC, VOTEZ MACRON.
(même si putain, ça me fait mal.)
Les révolutionnaires du passé sont morts pour que la révolution puisse passer par les urnes.
N’écoutez pas les sondages, ils se plantent régulièrement.
ALLEZ. VOTER. MACRON. DIMANCHE.
85 notes - Posted April 22, 2022
#3
The 2022 (French) elections have had a wholly different vibe from the 2017 ones. Few to none big business scandals (McKinsey n’a pas pesé tant que ça, finalement) and no big surprise - just a slow inescapable crawl towards the same results, which feel even worse now that we’ve had five years of Macron methodically trying to dismantle public services and make the rich even richer (and the poor even poorer). Every single candidate (all 12 of them) has either said or done something that made me recoil and think “NOPENOPENOPE”. The only ones with a minimum of social conscience made less than 5%.
And now we’ll vote for this clown again, because there is no way in hell we let a fascist-adjacent come to power again.
(there are plenty of Le Pen voters who argue that we’ve “tried the right, and the left, now it’s time to try something else for the first time”. They’re wrong. The ideas she defends have governed France before: from 1940 to 1944.)
So, yeah. I’ll go vote in two weeks to keep Le Pen from being elected. But fuck am I tired.
99 notes - Posted April 10, 2022
#2
There is not nearly enough dogs wearing bandanas around their necks. Just more dogs wearing bandanas, please, that'd be grand
160 notes - Posted March 25, 2022
My #1 post of 2022
If I see ONE POST like last time about how “waaah the French are sexist ‘cause they didn’t want to elect a woman for president” I will lose my entire shit. SHUT UP. Her party was founded by LITERAL NAZIS. She's racist, homophobic, sexist, she wants to re-establish the death penalty and undo the 2013 marriage equality law, she’s all kinds of awful and you do not get to make idiotic comments without any context.
180 notes - Posted April 24, 2022
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amedechiree · 4 months
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Pourquoi cette foutue maladie a pris la vie de mon frère. J’aurai tellement aimée prendre sa place , j’aurai été libérée et lui il aurai vécu sa vie , la vie qu’il aurai méritait.
Ah , Guillaume , tu me manques tellement , tu me manques a m’en arracher le cœur. J’ai envie d’hurler ma douleur parfois tellement que c’est douloureux. Je trouve injuste que tu sois partit si tôt , je regrette aussi tellement de ne pas avoir été assez là pour toi , chaque jour j’y pense et ça depuis le 18 octobre 2022. Le jour où toute la famille a basculé.
Je rêve souvent de toi , et dans mes rêves tu avais guéris ce putain de cancer. Mais à chaque fois que je me réveille , t’es plus là , c’était qu’un rêve , je n’oublierai jamais le son de ta voix et ton sourire. Ton magnifique sourire.
Depuis que t’es plus là , maman a plus de goût à la vie , tu le sais , elle en avait déjà pas beaucoup mais alors là … Y’a eu des hauts et des bas , maman a beaucoup bus , c’était horrible à gérer , elle a tenter de mettre fin à ses jours plusieurs fois mais on est tous là pour elle même mon père.
Matthieu … a eu une grosse dépression ça va mieux mais il dort dans sa voiture depuis un an maintenant. Il est malade aussi. A cause l’alcool , il a attraper une hépatite, les médecins lui ont dis qu’il ne dépasserait pas les 50ans… et il ne peut pas arrêter l’alcool sinon ça lui provoque des crises d’épilepsie. Il en a eu plusieurs dont deux en voiture qu’il lui a valu deux accidents. Mais ça va rien de trop grave. Heureusement.
Thibaut boit toujours mais j’ai l’impression que ça va un peu mieux qu’avant. Il ne travaille toujours pas.
Cassandra ça va , elle est au lycée maintenant , à l’internat sur Hazebrouck. Yannis toujours pareil…
Et moi j’ai eu mon appartement Guillaume , j’aurai tellement aimée que tu vois ca. J’ai adoptée un petit chat aussi. Elle s’appelle Yaîko. Elle me fait la misère et a détruit mon appartement , tu m’aurais dis « je t’avais dis de pas prendre de bête » mais ça fais du bien d’avoir une petite compagnie , je n’ai qu’elle.
J’ai toujours pas le permis a vrai dire j’ai arrêter les conduites , j’ai fais un petit accident et depuis je n’ose plus monter en voiture. Mais ça ira j’en suis sûre .
Guillaume , j’aimerais tellement te rejoindre tu sais. J’ai tenter moi aussi de mourir , je suis désolée. J’ai finis à l’hôpital plusieurs fois … j’ai faillis aller à lepsm. C’est d’ailleurs à cause de ça que je n’ai plus rien tenter , j’ai peur de me louper encore une fois et de me faire enfermer. J’essaie de lutter tu sais mais c’est pas facile. Je travaille toujours mais franchement menr c’est pas facile , je ne sais pas comment je trouve cette force , c’est peut être toi qui me l’a donne ?
Tu sais honnêtement j’ai envie de crever , j’ai toujours eu cette envie de mourir depuis mes 12 ans, Guillaume, je veux mourir. Je me souviens à mes 17 ans quand tu m’as engueuler quand j’ai fais ma première tentative de suicide. Thibaut aussi était venue en larmes me voir. Ça m’a fais mal. Là, personne n’a sus pour moi. Je l’ai dis à personne. Au moins j’ai causée de mal à personne et surtout pas à maman.
Je ne sais pas si tu me vois de là où tu es. Et honnêtement je ne l’espère pas. Tu verrai la salle fille que je suis devenue. Une clocharde comme tu dirais. Je fume des gros pets à longueur de journée, je sais que c’est mal , mais j’en ai besoin sans ca , ce serai pire je le sais. Ça m’aide à fuir la réalité , pour combien de temps ? Ça , je ne sais pas mais pour l’instant c’est comme ca. Mais je ne fume pas que. Je fais les ballons , trucs de ksos mais ça aussi ça m’aide. Parfois j’ai peur de les faire , je me dis Dieu va me punir et ça va me rendre paralysé mais je le fais quand même et je sais aussi que c’est mal. Mais c’est pas tout , quand j’en ai l’occasion , je prends de la c. Enft , je cherche juste à mourir , j’ai plus envie de vivre et si je travaille c’est pour le loyer. Je sais même pas comment je fais. Enfin bref j’espère que tu ne vois pas tout ca , je suis vraiment une clocharde.
Tu sais , je ressens vraiment cette envie de mourir , j’arrive pas à me projeter dans l’avenir en tout cas pas plus de 30 ans. Je t’aime de tout mon être ´. Tu me manques , pour moi tu es toujours là.
À bientôt , Guillomette L’omelette 🍳❤️
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chifourmi · 2 years
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J'en ai marre de voir des vidéos de papas trop cools qui vont se faire tatouer avec leur fille, qui ont les larmes aux yeux en entendant leur fille chanter, qui leur font des câlins, qui leur disent qu'ils les aiment, bref. J'ai trop la haine quand je vois ça et je me dis "mais pourquoi pas moi putain???". C'est trop injuste. Pourquoi ma si gentille mère a rencontré ce mec??? Un gars intelligent, vicieux, qui sait exactement quoi dire pour te détruire. Il est tellement narcissique et veut tellement avoir raison qu'il ne félicite jamais ses enfants. Si je lui apprends quelque chose, il va avoir la haine parce qu'il ne le savait pas. Il va toujours faire en sorte d'avoir le dessus.
Aujourd'hui, je me suis félicitée tout haut parce que je me suis souvenue d'un truc hyper lointain (en ce moment je me rends compte que j'ai une bête de mémoire mdr) et tout ce que mon père a trouvé à dire c'est : "T'as besoin qu'on te félicite hein" avec un ton moqueur. On se demande bien pourquoi j'ose rien faire seule après? J'ai jamais eu ne serait ce qu'une once de reconnaissance de la part de mon géniteur. Comment tu peux avoir confiance en toi dans ces conditions là stp?
Et le pire c'est que ça me bousille toujours autant, comme si j'avais encore des attentes envers lui, comme si je croyais encore un peu en lui. Depuis le temps, je devrais passer au dessus. Mais non, j'y arrive visiblement pas. Je le déteste tellement tellement fort.
(04/09/2022)
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radjengood · 5 months
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8/ Relation toxique 21/ Aimer sans retour
Extraits multiples
8 janvier 2020
« J'aime pas quand je pense que je t'aime
J'aime pas quand je pense que tu m'aimes pas »
27 février 2020
« Ton sourire
Tes cheveux
Ton rire
La façon dont tu parles
La façon dont tu me rassures
La façon dont tu me regardes quand on est seul
Je ne peux pas supporter le bleu de tes yeux
Je ne peux pas supporter mes émotions »
3 mars 2020
« Parfois je m'en fiche
Parfois je veux me tuer »
21 avril 2020
« Je devrais pas penser à toi
Pas autant
Pas tout le temps
Mais j'ai besoin de ce que tu m'apportais
Encore une fois
Me lâche pas comme ça
Tout est devenu sans intérêt »
8 juin 2020
« 3 mois – 7 jours que je sais que c'est trop tard »
17 juin 2020
« C'est fini »
9 août 2020
« J'ai pas oublié »
15 août 2020
« Je voulais pas de nous avant que tu dises que tu voulais pas de nous »
24 août 2020
« A chaque putain de fois »
5 septembre 2020
« Est-ce que je me sens juste seule »
9 septembre 2020
« Hier était la pire journée de 2020 »
12 septembre 2020
« Mais moi j'ai mal au cœur à en vomir »
15 septembre 2020
« C'est terminé cette fois »
7 novembre 2020
« ça m'arrive encore d'y penser »
13 novembre 2020
« Aujourd'hui j'ai tout archivé
Comme si je te mettais dans le fond d'un tiroir
J'aurai voulu te dire une fois combien je t'ai aimé
Comment tu m'as fais connaître le désespoir
Combien de temps j'ai pleuré dans le noir
Les plaies finiront par être pansées
Le passé finira par passer
Je commence à t'oublier »
7 janvier 2021
« Tu es revenu
Probablement la dernière fois
J'y ai brièvement cru
Une nouvelle fois »
22 septembre 2022
« bien sûr que j'y pense encore »
22 mai 2023
« Je t'ai recontacté c'était dur
J'aurai voulu que ça ne me fasse rien mais j'y pensais presque tout le temps
J'aurai tellement voulu que tu m'aimes que ce désir reprenait le dessus
Je n'ai personne à qui parler alors je n'arrive pas à sortir de mes pensées »
17 octobre 2023
« Quand tu m'as dis ce que tu pensais de moi
Je me suis rendue compte que je n'avais rien à dire de positif sur toi
Il y a dû en avoir des choses pourtant
Sûrement
Mais j'étais tellement triste, il y avait tellement d'angoisse
Que je ne m'en souviens plus
Parfois après qu'on ai fait l'amour, je pleurais
Parce que tu ne me prenais pas dans tes bras
Que je savais que je ne te retiendrais pas
Là encore maintenant le fait que tu ne m'aimes pas
C'est moi que ça dégrade
Un jour tu aimeras un autre fille mais ça ne sera jamais moi
Je ne suis pas assez bien pour ça
Alors tu dis que je mérite mieux
Mais moi c'est toi que je veux »
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mysteriis-moon666 · 5 months
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AUTOPSY - Ashes, Organs, Blood and Crypts
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D’une lenteur spectrale, né de la procession mortuaire Autopsy ressort des limbes avec un 10ème opus.
Autopsy est un groupe de death metal américain, originaire de Californie, fondé en 1987 par Chris Reifert, ancien batteur de Death (notamment sur Scream Bloody Gore), avec des pochettes et textes gores, dans la ligné de Cannibal Corpse, Aborted & co… Prolifique jusqu’au milieu des années 1990, jusqu'à ce que Chris Reifert décide d'arrêter l'aventure Autopsy dans le fossé rempli d'excréments suite à l’album « Shitfun » de 1993. Puis, ding dong, reprise de la discographie en 2011 avec « Macabre Eternal ».
Avec l’intensité d’un slasher le groupe découpe son ode bestiale avec barbarie. La recette est oldschool, dans sa crypte le groupe élabore sa brutalité juteuse en étant toujours aussi hors norme en comparaison avec tous les rétrogamer suiveurs.
Le très fécond "Morbidity Triumphant" en 2022 avait éviscéré, ce nouveau death gore maîtrise toute la charcuterie, et dépèce un riffing de gros blocs sanglants implacable, avec parfois le galop punk-thrash classique, un frissonnement death doom venu des abysses ténébreuses pour en ralentir la surdose, surmontées de frictions lourdes et rapides par des solos tout en éclaboussure.
Dans ce mausolée de folie et de plaisir dégoûtant l’on retrouve la froideur de Celtic Frost, le doom titanesque de Triptykon, la grosse injection des premières guitare d'Iron Maiden pour « Marrow Fiend » , et le canal historique des Dead Kennedys avec "Toxic Death Fuk", du Slayer avec « Bones to the Wolves », Dark Angel pour « Death is the Answer ». en 42 minutes serrées de groove irrésistiblement enflammé, purulent, débarquant comme une horde de morts-vivants affamés, ce seau de tripes abonde d’une bonne production pour un mordant accru.
Un chant guttural à découper des corps entiers de lyrics outrecuidants, rythmes explosifs renforçant les guitares à la tronçonneuse, c'est un rugissement primal de chair déchirée devant vos yeux éberlués et d’une funèbre saveur bestiale.
Pas de fermeture de la tombe, ni de crépuscule pour Autopsy, l’enquête n’est pas terminée et la bête rode, et elle a la faim, ohhhhhhhhhhh putain oui !!
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photos-car · 9 months
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Lexus NX 2022 - Un look plus agressif et un système d'infodivertissement révisé.
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Le Lexus NX 2022 redessiné propose une large gamme de groupes motopropulseurs.
Le Lexus NX est le deuxième modèle Lexus le plus vendu après le RX. Il n'est donc pas surprenant que l'entreprise mette tout en œuvre pour le nouveau 2022 NX. Le modèle de deuxième génération arrivera cet automne avec un nouveau design; un nouveau système d'infodivertissement et une gamme considérablement plus large d'options de groupe motopropulseur. Notamment un nouveau moteur à essence quatre cylindres turbo et un nouveau modèle hybride rechargeable. Galerie / Lexus NX 2022
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Qui y a t'il de nouveau a l'extérieur ? Le style extérieur a un look évolué par rapport au Lexus NX actuel. Il y a toujours la calandre fuselée familière mais avec des phares redessinés qui ont des feux de position pointus en forme de flèche. Les phares à LED à trois projecteurs sont une option. L'arrière se débarrasse du traditionnel emblème L de la marque. Au lieu de cela, il y a maintenant des lettres "LEXUS" en gras dans le dos. Les feux arrière s'étendent également sur toute la largeur du véhicule. Enfin, ce putain de pavé tactile est parti À l'intérieur, il y a la technologie d'infodivertissement révisée que la société appelle Lexus Interface. Il est livré en standard avec un écran de 9,8 pouces et un écran de 14 pouces est une option. Il existe des cadrans physiques pour contrôler des éléments tels que la climatisation et le volume audio. Les autres technologies de l'habitacle comprennent un écran haute définition de 7,0 pouces dans le groupe d'instruments et un affichage tête haute de 10 pouces en option. Les sièges avant chauffants sont désormais de série et il existe une option pour une banquette arrière chauffante. Le revêtement est disponible en noir, noir avec crème riche, palomino et rouge Rioja NuLuxe. Les options de finition incluent le bois à pores ouverts noir et le prisme noir avec un motif fractal en trois dimensions. Un toit ouvrant panoramique est disponible avec des ouvertures pour les passagers avant et arrière. Le premier hybride rechargeable de Lexus La Lexus NX 2022 propose quatre groupes motopropulseurs. La version de base est le NX 250 doté d'un quatre cylindres à aspiration naturelle de 2,5 litres. Il développe 203 chevaux (151 kilowatts) et 184 livres-pied (250 Newton-mètres)! et passe par une boîte automatique à huit vitesses. Il se décline en configurations à traction avant et à traction intégrale. La version FWD prend 8,2 secondes pour atteindre 100 km/h! et 8,6 secondes pour atteindre cette vitesse pour le modèle AWD. Il y a aussi le NX 350 qui est livré avec un quatre cylindres turbocompressé de 2,4 litres qui produit 275 ch (205 kW) et 317 lb-pi (430 Nm). Il utilise également une boîte automatique à 8 vitesses et atteint 100 km/h en 6,8 secondes. Si vous préférez un hybride, alors il y a le NX 350h avec un quatre cylindres de 2,5 litres et un moteur électrique sur chaque essieu. Il développe 239 ch (178 kW) et peut atteindre 100 km/h en 7,2 secondes. Technologie de sécurité Le nouveau NX est doté de la suite de technologies d'assistance Lexus Safety System+ 3.0. Cela a toutes les fonctionnalités de la version précédente ainsi que quelques nouveaux systèmes. Il s'agit notamment de l'assistance à la direction d'urgence permettant d'éviter les risques, qui peut effectuer des corrections de freinage et de direction en douceur pour éviter un accident. Il existe également une détection de véhicule de virage à gauche et une détection de piéton des deux côtés du véhicule qui peuvent automatiquement freiner pour les éviter. Le système de pré-collision peut désormais détecter un véhicule venant en sens inverse et activer le freinage d'urgence automatique. Le régulateur de vitesse radar amélioré dispose d'une gestion de la vitesse en courbe. Il maintient la vitesse et l'alignement avec le trafic tout en gérant les virages en toute sécurité. Site officiel Lexus Read the full article
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unjardinsecretpourines · 10 months
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1/3 : Chapitre 9 : A contrecoeur, dans lequel des gens se font lacérer la gueule dans les couloirs dans l'indifférence générale.
Le titre n'a RIEN à voir avec le chapitre. Je ne comprends pas ce titre.
10 octobre 2022, 18 heures 55, Couloirs de Poudlard, PDV Alexandre Lenoir.
 J'observe du coin de l'oeil ma collègue de divination corriger des copies. Même concentrée dans cette activité, elle semble dans un autre monde. Je regarde la lumière des chandeliers et braseros illuminer son visage, jouant avec les ombres. Lorsqu'elle commence à écrire sur la table, perdue dans ses pensées, je me retiens de rire. (Headcanon : l'ancienne version d'Amara se droguait)
- Amara ?
Son prénom est si beau... (C'est vrai, je flex)
- Hmm, oui ?
Elle écarquille ses yeux chocolats en réalisant qu'elle vient de ruiner la table. (Le truc des yeux de la couleur d'un truc de bouffe c'est tellement Manon.)
- Oh... Zut alors...
Elle utilise souvent des expressions moldues. (Zut c'est une expression moldue ?) J'aime son expression embêtée lorsqu'elle fait une gaffe, son expression rêveuse lorsqu'elle est dans la lune, j'aime son style légèrement hippie-chic, et ses cheveux toujours emmêlés. (C'est chiant que ce soit une copie conforme de Sibylle Trelawney.)
- Recurvite. Recurvite !
J'aime son expression contrariée lorsqu'elle rate un sortilège. J'aime la grâce avec laquelle elle tient sa baguette magique... (Oh marry her already)
- Viens, je vais le faire.
Je lance le sort en informulé. J'aime l'admiration que je lis dans son regard. Elle sourit. (Putain les profs de Poudlard sont pas censés ne pas savoir lancer des sorts informulés merde)
- Merci... Je suis vraiment dans la lune.
Un sourire vient chatouiller mes lèvres.
- Oui.
Je m'assis en face d'elle.
- C'est la copie de qui ?
- Quelle copie ? (Bon elle est chiante)
Je ris doucement.
- Peu importe.
Je me penche au-dessus de la table. J'aime son expression étonnée. Nos visages sont si proches. (J'ai la scène avec Ariel et Eric dans la Petite Sirène en tête... sur le bateau vous savez...)
- PROFESSEUR LENOIR !
Non ! NON ! (WHO INTERRUPTED THE PROCESS OF PROFESSOR LENOIR GETTING LAID)
C'est Kylie Morgan, une petite insolente de sixième année à Serpentard. J'ai beau avoir fait mes études dans cette maison, je déteste cette élève. (Je comprends pas trop, genre, il devrait l'aimer parce qu'elle est dans sa maison normalement ?) Je la déteste encore plus à présent. Elle payera cela le restant de sa scolarité. (J'ai voulu faire un Rogue ou quoi ?)
Amara se remet à sa correction. Je déteste son expression déçue. (Est-ce-que c'était bien la technique de répétition de « j'aime, j'aime, j'aime » puis « je déteste » ? C'était un effet de style que je voulais mais je sais pas si c'est nul ou si je suis trop dure avec moi-même mdr)
- Professeur Lenoir..! halète-t-elle.
- Puis-je savoir ce que vous faites ici à cette heure-là ?! Les nouvelles règles sont très claires : les élèves se doivent de rejoindre leurs dortoirs à 18 heures. (Et ils sont censés manger comment ? Bref) Pas 18 heures 01 et encore moins 19 heures. De par ce fait, j'enlève vingt points à Serpentard.
Elle n'a pas l'air de s'en soucier. Etrange, d'ordinaire, c'est sacrilège lorsque l'on ose toucher au sablier des points de sa maison, encore plus quand ça vient d'elle. Là, elle ne réagit pas, et je remarquai son teint pâle, livide, et ses yeux pleins de larmes. (Wow trop trop de suspense)
- Je sens de la tristesse, dit Amara. Une... catastrophe ! (Wow trop forte elle)
J'aime son côté exubérant.
- Expliquez-vous, Miss Morgan.
Elle éclate en sanglots. Mal à l'aise, je lance un regard à Amara.
- C'est... Kylie Haven... De Serdaigle...
Ah oui. La jeune Haven. Sa meilleure amie. Portant les deux mêmes prénoms, on les appelait souvent "les jumelles", aussi bien dans les couloirs qu'en salle des professeurs. Malgré tout, elles restaient diamétralement opposées. Kylie Haven était plus calme, sérieuse, réservée. Je l'appréciais plus. Mais peu tout de même. (Quel connard)
- Calmez-vous, cessez votre cinéma et expliquez-nous intelligiblement ce qui se passe, par Merlin ! cinglai-je. (Woah quel connard vraiment)
Kylie pleura de plus belle. Amara me jeta un regard tranchant et la prit dans ses bras.
- Alexandre, vous me décevez ! Même si vous êtes fidèle à vous-même, hélas ! Insupportable, sans once d'empathie, d'un égoïsme incroyable. Restez ici si ça vous chante. Moi, je pressens un grand danger... (BOUM ! Je préférais que ça reste un truc en mode Alexandre Lenoir a des sentiments pour Amara mais sans réciprocité. Elle est trop bien pour lui. Mais je crois que j'en ai fait un couple. Cringe.)
- Oui ! Suivez-moi ! Vite ! Je vous en prie !
Je les regardai s'éloigner. Je me laissai tomber sur la chaise d'Amara et regardai la copie qu'elle était en train de corriger. (MAIS IL S'EN BAT TELLEMENT LES COUILLES C'EST TROP) C'était celle de Mavis Thompson, une septième année à Serpentard. Celle-ci n'a rédigé qu'une ligne. Je lus une phrase de Mavis :
Je ne crois pas au destin. Vous êtes une illuminée. (Oof slay)
La colère monta en moi. Cette saleté de Mavis Thompson serait mon souffre-douleur de l'année. Je lui apprendrais l'humilité, à cette petite peste. En-dessous, Amara a dessiné un soleil en violet. La copie est surmontée d'un zéro. Je souris. Elle seule arrive à me faire sourire. Nous nous sommes rencontrés il y a quinze ans, nous étions tous les deux nouveaux, elle sortant de longues études de divination, et moi en projet de reconversion... J'étais un crétin arrogant, ancien chef du bureau des Aurors... J'étais au sommet de la pyramide et rien ne pouvait m'atteindre. Les autres étaient des sous-fifres amusants de par leur bêtise et leur insignifiance par rapport à moi. Dirais-je que j'ai changé ? Non, bien sûr que non. (Mais quel gros connard vraiment il est insupportable) Je me croyais au-dessus de tout et de tout le monde, j'ordonne et ils exécutent. Sauf deux femmes. La première était Anna Becker, une sorcière des plus puissantes (pour l'avoir affrontée en duel maintes et maites fois, nous avions plusieurs différends à l'époque) (mdr Anna de l'ancienne version se battait avec ses potes, je la reconnais plus), qui semblait ne plus rien avoir à perdre. Quand elle se battait, elle avait une rage indescriptible, et semblait penser, à juste titre, qu'elle n'avait plus d'ordres à recevoir de personne. La seconde s'appelait Amara Trelawney, une sorcière assez médiocre qui ne voyait pas l'intérêt de l'obéissance. Elle était empreinte d'une douceur simple et innocente, et dotée d'une maladresse évidente et irrésistible. N'importe qui m'aurait renversé de l'encre dessus, fait des croche-pieds involontaires, craché un chewing-gum à la figure en voulant faire une bulle, déchiré ma cape favorite et brûlé par erreur mon paquet de copies que j'avais mis plusieurs heures à corriger, aurait également été brûlé vif. (J'avoue que c'est plutôt drôle.) Mais quand j'ai croisé son regard pour la première fois, je me suis senti incapable de violence. Tout en elle était apaisant, calme et serein. En sa présence, je suis quelqu'un d'autre pour moi. Mais pas pour elle apparamment. (HAHAHAHAHA MISKINE)
Je vais avoir une petite conversation avec Mavis Thompson demain, à leur cours de botanique de 9 à 10 heures. (Il fait peur ce bâtard.)
Hésitant, je regardai la plume qu'Amara avait posée en équilibre sur l'encrier, puis me levai.
- MISS MORGAN !
Amara et Kylie avaient déjà disparu.
- Miss Morgan, arrêtez-vous immédiatement !
Je courus de plus belle et finis par les rattraper. J'adoptai aussitôt une démarche plus lente et mon habituel regard méprisant.
- Je suis curieux de voir ce pour quoi vous nous avez dérangés aussi tard, Miss Morgan. (Il est trop chiant... ça se voit qu'il y a un truc grave non ?)
Elle baissa les yeux.
- C'est... C'était là, entre les deux escaliers... Menant aux tours de Serdaigle et de Gryffondor.
Effectivement, un attroupement d'élèves se trouvait à l'endroit dit.
- Poussez-vous ! vociférai-je.
- S'il-vous-plaît, compléta Amara avec gentillesse, en me suivant.
Mon coeur s'arrêta. Par terre, inanimé, se trouvait le corps couvert de sang de la jeune Kylie Haven. (OMG)
PDV externe.
Amara lâcha un cri d'horreur. Kylie éclata à nouveau en sanglots. Lilybeth Ravenswood resta figée. (Faut arrêter d'inclure les réactions de personnages secondaires et même carrément tertiaires qui servent à rien...)
- Qu'est-ce-qui se passe, ici ?! Hey, les gens, j'aimerais bien pouvoir sortir de mon dortoir, si vous voulez bien, j'ai une retenue avec ce gros connard de Lenoir ! lança Aurélie Becker. (ça me fait trop rire désolée je peux pas dire du mal d'Aurélie elle est trop drôle)
Le concerné croisa les bras, et haussa un sourcil.
- Oh, vous êtes là, constata Aurélie, les joues brûlantes. Je...
- "Vous..." l'imita moqueusement le professeur de botanique. Vous venez de vous ajouter deux semaines de retenue.
- Ah. Mais en fait, je suis déjà prise. J'ai une retenue avec Crowley, heu le professeur Crowley, du sept... (ça me fait rire premier degré le fait qu'elle ait un emploi du temps de retenue) HEY WATCH ! (Je cesse de rire. Je. Pourquoi je mettais des mots anglais ??? Ils sont anglais !!) PUTAIN MAIS C'EST HAVEN ! s'écria-t-elle en découvrant le corps inanimé de Kylie.
Elle s'agenouilla à côté de la jeune fille et écarta une mèche brune collante de son visage ensanglanté, se désintéréssant aussitôt de ses mois de retenue et de l'infâme professeur Lenoir.
- Merde alors ! On dirait qu'elle a été attaquée par un Scoutt à pétard, steuplé. (Elle est trop détachée mdr c'est terrible. Mais en même temps je comprends, elle pense pouvoir la guérir aisément.)
Aurélie ferma les yeux et recueillit quelques larmes sur son pouce, qu'elle frotta contre une blessure de la jeune Kylie Haven. A sa grande surprise, rien ne se produisit. Elle réessaya avec plus de larmes, mais sans plus de succès.
- Ce... C'est impossible ! Aucune blessure... au monde... ne peut résister aux larmes de Phénix !
Elle se transforma avant de réessayer. Rien.
- C'EST IMPOSSIBLE ! hurla-t-elle, tétanisée, une fois redevenue humaine. C'EST ABSOLUMENT IMPOSSIBLE ! Aucune créature recensée dans tout le monde moldu ou sorcier ne peut faire de telles blessures, des blessures que les larmes d'un Phénix ne peuvent pas guérir ! Professeur Lenoir, bon sang ! (Hmmm... J'ai bien fait de modifier ça, c'était trop puissant. Les larmes de l'Animagus Phénix peuvent guérir les blessures superficielles ou agir comme un Doliprane, ce qui est déjà pas mal.)
Elle se pencha sur le visage de Kylie, fébrile, et toucha ses blessures fraîches.
- Aucune... recensée... Mais des créatures disparues... marmonna-t-elle. (AHHH C'EST LES ARDENTS DONC. AUCUN SUSPENSE.)
- Ecartez-vous de Miss Haven, à présent ! ordonna brutalement Lenoir et s'avançant et poussant la jeune fille à terre. (MAIS WESH QUOI ????)
- Il faut que je parle au professeur McGonagall ! cria Aurélie en se débattant. Allez la chercher ! Morgan, va la chercher ! lança-t-elle à l'intention de la Serpentard. Pour ton amie, allez ! Dis-lui que... C'est au sujet des Ardents.
- Morgan, je vous défends de bouger ! rugit Lenoir en attrapant Kylie Haven comme un vulgaire sac de patates. (C'est vraiment une sale merde.)
- Oh, la ferme ! s'écria Kylie Morgan. (Popopoooo)
Elle partit en courant avant d'attendre la réaction du professeur. (Elle a stressé) Les Gryffondor et les Serdaigle présents réagirent en pouffant ou en émettant quelques commentaires intelligents, du genre : "wooooo !".
Lenoir ordonna à tous les élèves présents de retourner à leurs dortoirs ("et en silence !" devina-t-il bon de préciser) et ramena Kylie Haven à l'infirmerie. Il s'assura que personne ne le suivait, mais quand elle voulait, Aurélie Becker pouvait être d'une discrétion redoutable. (Ah bon ?? Mdr) Elle se transforma et se percha sur le lustre en face de l'infirmerie et écouta. (Oh non j'adore) Heureusement, Lenoir était trop pressé pour refermer la porte.
- Lara ! appela-t-il, haletant et s'efforcant de le cacher. Nous avons un problème.
Sans blague, songea Aurélie avec ironie.
L'infirmière, qui avait déjà vu bien des choses en vingt ans à Poudlard, poussa un petit cri étouffé en découvrant le corps de Kylie.
- Alexandre.. ! s'alarma-t-elle. Qu'a-t-elle...
- Morgan l'a trouvée comme ça, à la jonction des escaliers menant aux dortoirs de Gryffondor et de Serdaigle, dit sèchement Lenoir, sans la moindre émotion.
- Allez me trouver la petite Becker. Vite ! Ses plaies sont déjà infectées. (Mais meuf... C'est pas ton job de soigner les plaies ?? Tu faisais comment avant Aurélie ?)
- Ella a déjà essayé.
- Mais alors.. ?
- Cela n'a pas fonctionné, la preuve que même cette petite insolente n'est pas infailible. (Oh le seum) Elle a aussi prétendu connaître la source de la blessure de Haven. Et Morgan s'est sauvée dans le château.
- Comment autant d'inconscience... commença Lara Pomfresh, si horifiée qu'elle ne parvenait plus à terminer ses phrases. Et vous êtes professeur... Je... C'est inadmissible ! parvint-elle enfin à prononcer. POUSSEZ-VOUS DE LA ! Et lâchez cette jeune fille.
Lenoir la posa avec délicatesse (non, je blague) (mais personne ne m'a dit que c'était pas drôle et surtout très bizarre de faire ce genre de parenthèse de l'autrice ?) sur le lit le plus proche et sortit sans un regard à Lara, qui commença immédiatement à préparer une potion anti-douleur. Aurélie se fit toute petite dans le lustre, en espérant que les flammes masqueront la lumière de ses plumes. (Elle s'assoit à côté des flammes des bougies du chandelier I could never) Le professeur dépassa sa cachette en hauteur et se dirigea vers les escaliers. Au dernier moment, alors qu'il allait tourner, il stoppa, revint sur ses pas et croisa les bras sous le lustre. Aurélie essaya de rester parfaitement stoïque. Enfin, Lenoir repartit, et lâcha juste avant de tourner une  nouvelle fois :
- Miss Becker, une énième qualité de Serdaigle que vous ne possédez pas : la discrétion. (MAIS STOP ! POURQUOI J'INVENTAIS DES QUALITES DE SERDAIGLE ? Discrétion, sérieux... Non ! Tu peux être absolument pas sérieux et un mauvais élève turbulent peut être à Serdaigle.)
Il disparut au détour d'un mur. (Il lui ordonne pas d'aller chez Pomfresh ? Mais wesh j'avais une mémoire de travail nullissime.)
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evaspleen · 2 years
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Date: 2022/09/20
Title: soumise à de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner à baiser à ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tête au sol et écarta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lèche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
Lèche là et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois à te baiser."
La main profite d'être trempée pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien écartées elle gémit il accélère et glisse deux doigts de plus dans le trou serré.
L'un d'eux viens àvec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivèrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maître s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulève la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il râle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derrière elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faîte pour ça.
Le troisième se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraît plus énorme encore qu'à l'écran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maître lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et écarte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obéi et s'assied sur le canapé jambes écartées le rustre se mets à genoux pour bien regarder le sexe trempé, il écarte les lèvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre àvec force dans le vagin de la fille qui commence à s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue à sucer , une queue trop longue à avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tête.
il fini par petit à petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pénètre le trou qu'il écarte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tête pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'après ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était très grand massif son sexe aussi . Il était très impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accès aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vînt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible écarte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux à queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir à ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maître se leva et revient àvec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maître se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pénétra la fente baveuse et serrée elle cria de plaisir et de douleur le sexe était énormeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'être si prise.
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