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#révolution femme
delamadeleinne · 2 years
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Soutien aux femmes iraniennes et aux libertés du peuple d’Iran
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francepittoresque · 6 months
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire ➽ http://bit.ly/Olympe-Gouges Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes
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rojinfo · 2 years
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KCK : Il est du devoir de chacun de défendre la révolution du Rojava contre l'occupation turque
KCK : Il est du devoir de chacun de défendre la révolution du Rojava contre l’occupation turque
La révolution du Rojava est celle de tous les peuples, des femmes, des opprimés et de l’humanité dans son ensemble, a déclaré la coprésidence du Conseil exécutif de la KCK, soulignant qu’il était du devoir de chacun de défendre le Rojava contre l’occupation turque. Besê Hozat, coprésidence du Conseil exécutif de l’Union des communautés du Kurdistan (KCK) a publié une déclaration écrite pour…
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ousontlesfemmes · 2 months
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Rosalie Lamorlière (1768-1848)
Ou celle dont on se souvient majoritairement parce qu’elle est un personnage de Lady Oscar.
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Riyoko Ikeda, l’autrice de Lady Oscar (Versailles no Bara au Japon), a fait un travail de dingue pour la réalisation de son manga et les préfaces et postfaces des mangas expliquent certains anachronismes que l’on pardonne aisément (Oscar portant un uniforme plutôt napoléonien, par exemple, parce qu’elle a eu la documentation trop tard). Cependant, elle a aussi pris de grandes libertés artistiques pour certains personnages historiques, ce qui est le cas de Rosalie : elle s’est inspirée de son destin initial, être la dernière servante de Marie-Antoinette, pour lui faire une saga épique, tragique aussi, et remplaçant avec un autre personnage les époux Desmoulins (Camille et Lucille), tous les deux guillotinés en 1794.
La vraie Rosalie Lamorlière est très différente de celle d’Ikeda et c’est d’elle dont j’ai envie de vous parler aujourd’hui.
Rosalie Lamorlière, de son nom complet Marie-Rosalie Lamorlière, est née le 19 mars 1768 à Breteuil, dans l’Oise. Son père est cordonnier. Elle est issue d’une fratrie de sept enfants et elle a le malheur de perdre sa mère à l’âge de douze ans.
Et si l’Histoire retient la modeste Rosalie qui est, à l’époque, Madame tout le monde, c’est parce qu’elle est la toute dernière servante de Marie-Antoinette.
Après les massacres qui ont eu lieu début septembre 1792 et qui ont vu des horreurs innommables, notamment la mort inique de la pauvre Princesse de Lamballe qui mériterait son propre article, Rosalie est engagée par le couple Richard qui est responsable de la Conciergerie, laquelle est une prison pour les personnes qui doivent être jugées avant d’être guillotinées.
Le 02 août 1793, un peu moins d’un mois après que son fils, Louis-Charles (1785-1795), lui ait été arraché pour être élevé en révolutionnaire, Marie-Antoinette (1755-1793), dite la Veuve Capet depuis le décès de Louis XVI (1754-1793), doit dire au revoir à sa belle-sœur Elisabeth (1764-1794) ainsi qu’à sa fille Marie-Thérèse Charlotte (1778-1851). On l’emmène en effet à la Conciergerie dans l’attente de son procès. Rosalie est affectée à son service et doit faire en sorte de « la tenir ». En effet, la reine déchue est très malade : elle a des pertes de sang utérines importantes. Aujourd’hui, on pense qu’elle aurait pu souffrir d’un cancer de l’utérus, d’un fibrome ou, dans une mesure moins dramatique, aurait subi une ménopause précoce causée par les traumatismes qu’elle a vécus, un peu à l’instar de Joséphine de Beauharnais, future Impératrice des Français.
Rosalie sera l’un des anges de Marie-Antoinette durant les soixante-seize jours la séparant de son exécution, essayant d’adoucir sa captivité par des petites attentions.
Elle rapportera également dans ses mémoires la vie de l’ancienne souveraine durant son enfermement, montrant l’extrême dénuement dans lequel elle était mais aussi la sympathie qu’elle a pu attirer :
« Sa coiffure, depuis son entrée à la Conciergerie, était des plus simples. Elle partageait ses cheveux sur le front, après y avoir mis un peu de poudre embaumée. Madame Harel, avec un bout de ruban blanc, les nouait avec force, et puis donnait les deux barbes de ce ruban à Madame, qui, les croisant elle-même, et les fixa sur le haut de sa tête, donnait à sa chevelure blonde la forme d’un chignon mouvant.
Le 2 août, pendant la nuit, quand la reine arriva du Temple, je remarquai qu’on n’avait amené avec elle aucune espèce de hardes, ni de vêtements. Le lendemain, et tous les jours suivants, cette malheureuse princesse demandait du linge, et Madame Richard, craignant de se compromettre, n’osait lui en prêter, ni lui en fournir. Enfin, le municipal Michonis, qui, dans le cœur, était honnête homme, se transporta au Temple, et le dixième jour, on apporta du donjon, un paquet, que la reine ouvrit promptement. C’étaient de belles chemises de batiste, des mouchoirs de poche, des fichus, des bas de soie ou de filoselle noirs, un déshabillé blanc pour le matin, quelques bonnets de nuit, et plusieurs bouts de ruban blanc, de largeurs inégales.
Le matin, en se levant, elle chaussait de petites pantoufles rabattues, et tous les deux jours, je brossais se jolis souliers noirs de prunelle, dont le talon, d’environ deux pouces, était à la Saint-Huberty. Madame Richard me permit de prêter ma petite glace à la reine. Je ne l’offris qu’en rougissant. Ce miroir, acheté sur les quais, ne m’avait coûté que 25 sous d’assignats ! Je crois le voir encore : sa bordure était rouge, et des manières de Chinois étaient peints sur les deux côtés. La reine agréa ce miroir comme une chose d’importance, et Sa Majesté s’en est servie jusqu’au dernier jour. »
C’est elle aussi qui nous rapporte les derniers instants de Marie-Antoinette avant de partir vers l’échafaud le 16 octobre 1793.
«En entrant dans le cachot, où brûlaient deux lumières, j’aperçus un officier de gendarmerie assis dans l’angle de gauche et, m’étant approchée de Madame, je la vis tout habillée de noir, étendue sur son lit.
Le visage tourné vers la fenêtre, elle appuyait sa tête sur sa main. Madame, lui dis-je en tremblant, vous n’avez rien pris hier au soir, et presque rien dans la journée. Que désirez-vous prendre ce matin  ? La reine versait des larmes en abondance. Elle me répondit : Ma fille, je n’ai plus besoin de rien, tout est fini pour moi. Je pris la liberté d’ajouter : Madame, j’ai conservé sur mes fourneaux un bouillon et un vermicelle ; vous avez besoin de vous soutenir, permettez-moi de vous apporter quelque chose. 
Les pleurs de la reine redoublèrent, et elle me dit : Rosalie, apportez-moi un bouillon. J’allai le chercher ; elle se mit sur son séant et ne put en avaler que quelques cuillerées ; j’atteste devant Dieu que son corps n’a pas reçu d’autre nourriture, et j’eus lieu de me convaincre qu’elle perdait tout son sang. 
Un peu avant le jour déclaré, un ecclésiastique autorisé par le gouvernement se présenta chez la reine et lui offrit de l’entendre en confession. Sa Majesté, apprenant de lui-même qu’il était un des curés de Paris en exercice, comprit qu’il avait prêté serment, et elle refusa son ministère. On parla de cette circonstance dans la maison. 
Lorsque le jour fut venu, c’est-à-dire à peu près vers les 8 heures du matin, je retournai chez Madame pour l’aider à s’habiller, ainsi qu’elle me l’avait indiqué lorsqu’elle prit le peu de bouillon sur son lit. Sa Majesté passa dans la petite ruelle que je laissais ordinairement entre son lit de sangle et la muraille. Elle déploya elle-même une chemise qu’on avait apportée, probablement en mon absence, et, m’ayant fait signe de me tenir devant son lit pour ôter la vue de son corps au gendarme, elle se baissa dans la ruelle et abattit sa robe afin de changer de linge pour la dernière fois. L’officier de gendarmerie s’approcha de nous à l’instant et, se tenant auprès du traversin, regarda changer la princesse. Sa Majesté aussitôt remit son fichu sur ses épaules et, avec une grande douceur, elle dit à ce jeune homme : Au nom de l’honnêteté, Monsieur, permettez que je change de linge sans témoin.
– Je ne saurais y consentir, répondit brusquement le gendarme : mes ordres portent que je dois avoir l’œil sur tous vos mouvements. 
La reine soupira, passa sa dernière chemise avec toutes les précautions et toute la modestie possibles, prit pour vêtement non pas sa longue robe de deuil qu’elle avait encore devant ses juges, mais le déshabillé blanc qui lui servait ordinairement de robe du matin et, déployant son grand fichu de mousseline, elle le croisa sous le menton. 
Le trouble que me causait la brutalité du gendarme ne me permit point de remarquer si la princesse avait encore le médaillon de Monsieur le dauphin, mais il fut aisé de voir qu’elle roulait soigneusement sa pauvre chemise ensanglantée. Elle la renferma dans une de ses manches comme dans un fourreau, puis elle serra ce linge dans un espace qu’elle aperçut entre l’ancienne toile à papier et la muraille. 
La veille, sachant qu’elle allait paraître devant le public et devant les juges, elle donna par bienséance un peu d’élévation à ses cheveux. Elle ajouta aussi à son bonnet de linon, bordé d’une petite garniture plissée, les deux barbes volantes qu’elle conservait dans le carton ; et sous ces barbes de deuil elle avait ajusté proprement un crêpe noir, qui lui faisait une jolie coiffure de veuve. 
Pour aller à la mort, elle ne garda que le simple bonnet de linon, sans barbes ni marques de deuil ; mais, n’ayant qu’une seule chaussure, elle conserva ses bas noirs et ses souliers de prunelle, qu’elle n’avait point déformés ni gâtés depuis soixante-seize jours qu’elle était avec nous.
Je la quittai sans oser lui faire des adieux, ni une seule révérence de peur de la compromettre et de l’affliger. Je m’en allai pleurer dans mon cabinet, et prier Dieu pour elle. »
Marie-Antoinette meurt guillotinée le 16 octobre 1793 à 12h15, place de la Révolution, l’actuelle place de la Concorde.
Rosalie redevient plus ou moins une anonyme.
En 1801, elle met au monde sa fille, Marie-Rosalie (1801-1895) dont le père, auquel elle n’est pas mariée, est inconnu.
En 1824, en remerciement de sa bonté pour sa mère, Marie-Thérèse Charlotte, alors duchesse d’Angoulême, lui verse une pension.
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Rosalie meurt le 02 février 1848, à quelques semaines de ses 80 ans.
Elle repose au cimetière du Père Lachaise et sa fille a fait graver cette épitaphe en hommage à sa chère maman :
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La véritable Rosalie est bien loin de celle dépeinte par Ikeda mais à dire vrai, elle m’est tout aussi attachante.
J’espère que vous l’aurez appréciée autant que moi !
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Rosalie, tu peux aller regarder ces sources :
La dernière prison de Marie-Antoinette par Rosalie Lamorlière
Rosalie Lamorlière, dernière servante de Marie-Antoinette, de Ludovic Miserole
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: La conjuration de l’oeillet
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la conciergerie: Un procès en infamie
image à la une : Marie-Antoinette le matin de son exécution, Tony Robert-Fleury, 1906 (détail)
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julia--blake · 6 months
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'Je ne vois pas la (femme) cachee dans la foret', illustration from 'La Revolution surrealiste', photographs by Man Ray (1890-1976), n. 12, December 1929 (b/w photo)
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Frida Kahlo, l'influenceuse
Frida Kahlo, l’influenceuse
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hcdahlem · 2 years
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Laissez-moi vous rejoindre
Dans un premier roman de bruit et de fureur, Amina Damerdji retrace les jours qui ont conduit Haydée Santamaria, une des rares femmes à mener la lutte, jusqu'à la révolution cubaine. Un récit documenté et émouvant.
  Prix l’impromptu du premier roman francophone En deux mots Dans le Cuba des années cinquante, Haydée Santamaria rejoint La Havane et découvre l’engagement politique, la misère sociale et la répression policière. Aux côtés de son frère et de son fiancé, elle lutte pour davantage de justice. Un combat qui va mener jusqu’à la révolution castriste. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique «La patrie ou…
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diana-andraste · 3 months
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Je ne vois pas la [femme] cachée dans la forêt La Révolution surréaliste, Paris no. 12, December 15, 1929
The Surrealist group around Magritte's I do not see the (Woman) hidden in the Forest
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I decided to try this but for the girlies instead.
Are you sure want to click on ”keep reading”?
For Pauline Léon marrying Claire Lacombe’s host, see Liberty: the lives of six women in Revolutionary France (2006) by Lucy Moore, page 230
For Pauline Léon throwing a bust of Lafayette through Fréron’s window and being friends with Constance Evrard, see Pauline Léon, une républicaine révolutionnaire (2006) by Claude Guillon.
For Françoise Duplay’s sister visiting Catherine Théot, see Points de vue sur l’affaire Catherine Théot (1969) by Michel Eude, page 627.
For Anne Félicité Colombe publishing the papers of Marat and Fréron, see The women of Paris and their French Revolution (1998) by Dominique Godineau, page 382-383.
For the relationship between Simonne Evrard and Albertine Marat, see this post.
For Albertine Marat dissing Charlotte Robespierre, see F.V Raspail chez Albertine Marat (1911) by Albert Mathiez, page 663.
For Lucile Desmoulins predicting Marie-Antoinette would mount the scaffold, see the former’s diary from 1789.
For Lucile being friends with madame Boyer, Brune, Dubois-Crancé, Robert and Danton, calling madame Ricord’s husband ”brusque, coarse, truly mad, giddy, insane,” visiting ”an old madwoman” with madame Duplay’s son and being hit on by Danton as well as Louise Robert saying she would stab Danton, see Lucile’s diary 1792-1793.
For the relationship between Lucile Desmoulins and Marie Hébert, see this post.
For the relationship between Lucile Desmoulins and Thérèse Jeanne Fréron de la Poype, and the one between Annette Duplessis and Marguerite Philippeaux, see letters cited in Camille Desmoulins and his wife: passages from the history of the dantonists (1876) page 463-464 and 464-469.
For Adèle Duplessis having been engaged to Robespierre, see this letter from Annette Duplessis to Robespierre, seemingly written April 13 1794.
For Claire Panis helping look after Horace Desmoulins, see Panis précepteur d’Horace Desmoulins (1912) by Charles Valley.
For Élisabeth Lebas being slandered by Guffroy, molested by Danton, treated like a daughter by Claire Panis, accusing Ricord of seducing her sister-in-law and being helped out in prison by Éléonore, see Le conventionnel Le Bas : d'après des documents inédits et les mémoires de sa veuve, page 108, 125-126, 139 and 140-142.
For Élisabeth Lebas being given an obscene book by Desmoulins, see this post.
For Charlotte Robespierre dissing Joséphine, Éléonore Duplay, madame Genlis, Roland and Ricord, see Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères (1834), page  76-77,  90-91, 96-97, 109-116 and 128-129.
For Charlotte Robespierre arriving two hours early to Rosalie Jullien’s dinner, see Journal d’une Bourgeoise pendant la Révolution 1791–1793, page 345.
For Charlotte Robespierre and Françoise Duplay’s relationship, see Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères (1834) page 85-92 and Le conventional Le Bas: d’après des documents inédits et les mémoires de sa veuve (1902) page 104-105
For the relationship between Charlotte Robespierre and Victoire and Élisabeth Lebas, see this post.
For Charlotte Robespierre visiting madame Guffroy, moving in with madame Laporte and Victoire Duplay being arrested by one of Charlotte’s friends, see Charlotte Robespierre et ses amis (1961)
For Louise de Kéralio calling Etta Palm a spy, see Appel aux Françoises sur la régénération des mœurs et nécessité de l’influence des femmes dans un gouvernement libre (1791) by the latter.
For the relationship between Manon Roland and Louise de Kéralio Robert, see Mémoires de Madame Roland, volume 2, page 198-207 
For the relationship between Madame Pétion and Manon Roland, see Mémoires de Madame Roland, volume 2, page 158 and 244-245 as well as Lettres de Madame Roland, volume 2, page 510.
For the relationship between Madame Roland and Madame Buzot, see Mémoires de Madame Roland (1793), volume 1, page 372, volume 2, page 167 as well as this letter from Manon to her husband dated September 9 1791. For the affair between Manon and Buzot, see this post.
For Manon Roland praising Condorcet, see Mémoires de Madame Roland, volume 2, page 14-15.
For the relationship between Manon Roland and Félicité Brissot, see Mémoires de Madame Roland, volume 1, page 360.
For the relationship between Helen Maria Williams and Manon Roland, see Memoirs of the Reign of Robespierre (1795), written by the former.
For the relationship between Mary Wollstonecraft and Helena Maria Williams, see Collected letters of Mary Wollstonecraft (1979), page 226.
For Constance Charpentier painting a portrait of Louise Sébastienne Danton, see Constance Charpentier: Peintre (1767-1849), page 74.
For Olympe de Gouges writing a play with fictional versions of the Fernig sisters, see L’Entrée de Dumourier à Bruxelles ou les Vivandiers (1793) page 94-97 and 105-110.
For Olympe de Gouges calling Charlotte Corday ”a monster who has shown an unusual courage,” see a letter from the former dated July 20 1793, cited on page 204 of Marie-Olympe de Gouges: une humaniste à la fin du XVIIIe siècle (2003) by Oliver Blanc.
For Olympe de Gouges adressing her declaration to Marie-Antoinette, see Les droits de la femme: à la reine (1791) written by the former.
For Germaine de Staël defending Marie-Antoinette, see Réflexions sur le procès de la Reine par une femme (1793) by the former.
For the friendship between Madame Royale and Pauline Tourzel, see Souvernirs de quarante ans: 1789-1830: récit d’une dame de Madame la Dauphine (1861) by the latter.
For Félicité Brissot possibly translating Mary Wollstonecraft, see Who translated into French and annotated Mary Wollstonecraft’s Vindication of the Rights of Woman? (2022) by Isabelle Bour.
For Félicité Brissot working as a maid for Louise Marie Adélaïde de Bourbon, see Mémoires inédites de Madame la comptesse de Genlis: sur le dix-huitième siècle et sur la révolution française, volume 4, page 106.
For Reine Audu, Claire Lacombe and Théroigne de Méricourt being given civic crowns together, see Gazette nationale ou le Moniteur universel, September 3, 1792.
For Reine Audu taking part in the women’s march on Versailles, see Reine Audu: les légendes des journées d’octobre (1917) by Marc de Villiers.
For Marie-Antoinette calling Lamballe ”my dear heart,” see Correspondance inédite de Marie Antoinette, page 197, 209 and 252.
For Marie-Antoinette disliking Madame du Barry, see https://plume-dhistoire.fr/marie-antoinette-contre-la-du-barry/
For Marie-Antoinette disliking Anne de Noailles, see Correspondance inédite de Marie Antoinette, page 30.
For Louise-Élisabeth Tourzel and Lamballe being friends, see Memoirs of the Duchess de Tourzel: Governess to the Children of France during the years 1789, 1790, 1791, 1792, 1793 and 1795 volume 2, page 257-258
For Félicité de Genlis being the mistress of Louise Marie Adélaïde de Bourbon’s husband, see La duchesse d’Orléans et Madame de Genlis (1913).
For Pétion escorting Madame Genlis out of France, see Mémoires inédites de Madame la comptesse de Genlis…, volume 4, page 99.
For the relationship between Félicité de Genlis and Louise de Kéralio Robert, see Mémoires de Madame de Genlis: en un volume, page 352-354
For the relationship between Félicité de Genlis and Germaine de Staël, see Mémoires inédits de Madame la comptesse de Genlis, volume 2, page 316-317
For the relationship between Félicité de Genlis and Théophile Fernig, see Mémoires inédits de Madame la comptesse de Genlis, volume 4, page 300-304
For the relationship between Félicité de Genlis and Félicité Brissot, see Mémoires inédites de Madame la comptesse de Genlis, volume 4, page 106-110, as well as this letter dated June 1783 from Félicité Brissot to Félicité Genlis.
For the relationship between Félicité de Genlis and Théresa Cabarrus, see Mémoires de Madame de Genlis: en un volume (1857) page 391.
For Félicité de Genlis inviting Lucile to dinner, see this letter from Sillery to Desmoulins dated March 3 1791.
For Marinette Bouquey hiding the husbands of madame Buzot, Pétion and Guadet, see Romances of the French Revolution (1909) by G. Lenotre, volume 2, page 304-323
Hey, don’t say I didn’t warn you!
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nesiacha · 1 month
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Propaganda mediatic around Tallien and french revolution
I fully understand that certain figures of the French Revolution are preferred over others who are less liked. It's a matter of preference. I myself have a very cultured friend who is a fan of certain royalists from this period like Olympe de Gouges, although I also admire the character in a certain way and deplore the sexism of that era which excluded her (such as the fact that she totally defends Louis XVI), but I've always enjoyed debating with this person, who is so respectful of others' opinions, very knowledgeable, and well-versed in the subject. Of course, the difficulty lies in not trying to defend the golden legend or the black legend.
It's another thing entirely to invent completely grotesque or even false facts to glorify one figure of the French Revolution and destroy another. In the grotesque episode of "Les Femmes de la Révolution Française" from "Secret d'Histoire," which was actually sexist (I" love" the fact that in this show, which claims to want to glorify women, they talked about the term "demi-mondaine" for women, when will there be an equivalent term for men, or the way paternalistic that someone call Olympe de Gouges the "little" Gouges ), there were also very serious errors or lies, take your pick.
To insinuate that Marat was a dictator when he was simply a deputy who was elected by universal suffrage, a journalist whose recommendations were not heeded, and who was arrested and brought before the Revolutionary Tribunal though acquitted according to the rules, what a funny dictator, I've never seen anything like that from a dictator before.
Furthermore, under what conditions would he have pulled off his coup d'état? The story continues in the next episode, I suppose, even though so far no historian has found any trace of Marat's coup d'état. I imagine the show will clarify that (or not). Under these conditions, I will address Tallien. They try to present him as heroic in the face of Thermidor when in reality everything was prepared for the theater of Thermidor, which was actually more anti-democratic than they let on and not out of the courage of this individual. They say it was Theresia's letter that motivated him to enact Thermidor when in reality it's because Fouché and his gang, of which he was a part, committed the worst atrocities during the French Revolution, and he wanted to escape the punishment that would rightly fall upon him and his friends and try to regain political "purity" by pinning everything on those who were to be executed (he later demanded the head of Billaud Varennes to further absolve himself). There are other motives regarding Thermidor that have nothing to do with the Convention wanting to get rid of a tyrant (Robespierre has faults but not those of a dictator or tyrant) or that they were fed up with the guillotine (the guillotine continued to function after Thermidor and the Convention had voted overwhelmingly for the creation of the Revolutionary Tribunal, arrests, the Law of Suspects). One day I'll write a more detailed piece on what I think because it's very complex, but you can watch "Robespierre: la Terreur et la Vertu" with English subtitles, it gives a better understanding of these events.
Tallien engaged in lucrative business, arresting the richest in Bordeaux so they would hand over all their money to him for personal use. Clearly not an upright man, but very serious. His lucrative business leads me to see two possibilities. Either he plundered honest people in difficult times under the pretext that they were rich and risked ending up with nothing for his personal profit, all while abusing his position, which is generalized extortion. Or he knowingly let suspicious individuals escape in exchange for money (should we recall that some suspicious Frenchmen betrayed France by handing it over to Toulon or Dumouriez), and imposed dechristianization not out of anger like Momoro, for example, but for his political career and to flatter himself, which is worse (sorry for comparing a man like Momoro to an individual like Tallien, they are truly incomparable). Later, he joined the muscadins, among other merry groups.
In any case, it's very serious, and whatever one might say about Robespierre, he had every right to be angry. Tallien is a political turncoat and bloody as Barras (I hate Ridley Scott's Napoleon for destroying the French Revolution and glorifying Barras, among others). The difference between Tallien, Barras, and Fouché is that Tallien completely failed, and an unpopular opinion perhaps, but I'm glad to see he suffered so much; it's well-deserved karma for all the wrong he did.
P.S: I love that the show "Secret d'Histoire" shows Thermidor as a great day for prisoners, as if they don't care about arbitrary arrests after this event (including the arrests of Albertine Marat, Simone Evard, Thuillier found mysteriously hanged, the fact that some political prisoners had to wait a few months after Thermidor to be released).
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delamadeleinne · 1 year
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Soutien aux femmes iraniennes et aux libertés du peuple d’Iran
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francepittoresque · 1 year
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3 novembre 1793 : Olympe de Gouges est guillotinée sur ordre du Tribunal révolutionnaire ➽ https://bit.ly/3337UgQ Célèbre auteur de la "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne" et considérée comme une des pionnières du féminisme français, elle se signale d'abord par des écrits royalistes, avant de se faire républicaine deux ans plus tard, après l’évasion de Louis XVI arrêté à Varennes
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orpheusmori · 9 months
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Saint-Just Resources
A culmination of the many articles and other resources I use in my own research as someone studying to be a historian on the revolution. Will be added to as I progress in my research; please let me know if any links don't work!
Historians on Saint-Just:
Biography from Association pour la sauvegarde de la Maison de Saint-Just
Histoire de Saint-Just député à la Convention nationale (Hamel, 1860)
Lenôtre on SJ's 1791-early 1792 life in rural France
Saint-Just (Cioti, 1991)
Saint-Just: Sohn, Denker und Protagonist der Revolution (Monar, 1993)
Saint-Just (Gignoux, 1947)
Saint-Just en mission la naissance d'un myth (J.P. Gross, 1967)
Saint-Just et les femmes (Quennedey, 2016)
Saint-Just: Apostle of the Terror by Geoffrey Bruun (my personal favorite English SJ bio)
The Man of Virtue: The Role of Antiquity in the Political Trajectory of L.A. Saint-Just (Linton, 2010)
Saint-Just: The French Revolution's "Angel of Death" (Linton, 2015)
Three Letters of Saint-Just (Bruun, 1934)
Saint-Just in modern Annales historiography (Vinot, Linton, Quennedey, etc., 2017)
Saint-Just : Une Constitution pour la République (on his role in the drafting of the 1793 Constitution) (Crucifix and Quennedey, 2018)
Saint-Just's Pre-Convention Life:
Monograph on the Château de Coucy (written in the 1780s as a school assignment) - see this blog post by Anne Quennedey for more info.
Arlequin-Diogene (SJ's play) -> I did an English translation
L’esprit de la révolution et de la constitution de la France (1791)
Convention Speeches:
All Convention Speeches Summarized (Anne Quennedey, 2020)
First Speech: 13 November 1792 on the debate of putting the King to trial.
19 vendémiaire an II (10 October 1793)
Ventôse Decrees Proposal Convention Speech (my complete English translation)
9 Thermidor an II (28 July 1794) Speech/Draft
My full English translation
"Praise the Victories and Forget Ourselves" Excerpt
"Tarpeian Rock" Analogy from 9 Thermidor Speech draft
Miscellaneous:
Why I study SJ
My Thoughts on SJ's Thoughts on the Terror
SJ's Last Paris Apartment ( w/ @/ vieillesmaisons)
SJ's various lodgings in Paris
Speech to Army of the Rhine excerpt
Alsace Mission Map
Saint-Just on Marat
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psalm22-6 · 9 months
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Okay so looking at the word frequency list for Les Miserables available on intratext dot com, here are some words that stood out to me (although everyone could look at this list and would find something different and interesting):
9589 il (he)
2556 elle (she)
2089 je (I)
1182 homme (man)
906 Marius (more than any other character but to be fair, other characters are frequently referred to by aliases)
727 Jean
685 Cosette
680 Valjean (There are 47 more Jeans than Valjeans!)
520 Père (Father, or in some cases, something like "old man")
508 Thénardier
454 Enfant (child) (plus there's 193 uses of children)
384 yeux (eyes) (157 instances of eye singluar)
364 femme (woman, wife)
349 mère (mother)
346 main (hand)
340 voix (voice)
338 dieu (god)
337 vieux (old, masc.) (194 old, fem.)
334 Paris
321 Hugo (actually this is a huge outlier. Hugo doesn't appear many times in the text at all, but it's in a lot of footnotes and the footnotes also get counted)
315 Javert
313 évêque (bishop)
283 Gavroche
270 maison (house)
267 Madeleine
251 mort (dead)
227 jardin (garden)
226 Fauchelevent
224 ombre (shadow)
221 Fantine
189 coeur (heart)
184 matin (morning)
176 lumière (light)
170 amour (love)
161 Courfeyrac
157 France
153 Napoléon
144 Révolution
133 Enjolras
129 eh
117 waterloo
116 barricade
83 dents (teeth)
81 Eponine (I was surprised there was more Courfeyrac and Montparnasse than Eponine!)
79 Grantaire
79 terrible (This is about where I got bored of scrolling but there were a couple words that I think of as quintessential Hugo that I had to look up also)
46 lugubre (lugubrious)
24 sépulcre (sepulchre)
20 lugubres (lugubrious make it plural)
19 spectre (Dumas complained that Hugo used "spectral" every ten pages, although spectral actually only appears twice but I see his point)
13 spectres
7 lugubrement (lugubriously)
4 sépulcral (sepulchral, plus three more instances but feminine)
3 spectrale
2 spectral
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cricxuss · 22 days
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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icariebzh · 2 months
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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