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#rentrée littéraire 2020
ccnountche · 1 year
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Ce prix, fondé en 2020 par Le Pari(s) littéraire en hommage à Marcel Proust et parrainé par la Fondation Daniel Iagolnitzer, récompense un roman de la rentrée littéraire qui dépeint, avec style et finesse, la complexité des relations humaines et les évolutions de la société. Le lauréat de cette année est un lieutenant-colonel dans l'armée de Terre.
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aforcedelire · 3 years
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Betty, Tiffany McDaniel
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Bon, comment parler de Betty sans trop te spoiler...?
Déjà, Betty, c’est l’histoire de Betty Carpenter, sixième enfant sur huit d’une mère blanche et d’un père Cherokee. Betty vit dans l’Ohio des années 60, dans la petite ville de Breathed. Avec ses frères et sœurs, Betty grandit bercée par la magie des histoires de son père. Mais bientôt, les plus noirs secrets de la famille se dévoilent. Pour affronter le monde des adultes, mais surtout pour affronter la cruauté de l’autre, Betty se plonge dans l’écriture. Au fil des années, elle enfouit ses pages dans la terre, pour qu’enfin un jour elle puisse tout révéler.
Betty est un phénomène de la rentrée littéraire. C’est un roman dense de 716 pages, une histoire à la fois magnifique et dure. On alterne entre la beauté des paysages de l’Ohio, avec cette nature reposante, les histoires envoûtantes de Landon, le père de Betty, mais aussi avec l’horreur du racisme et de la cruauté des autres. Le contraste est saisissant !
« Devenir femme, c’est affronter le couteau. C’est apprendre à supporter le tranchant de la lame et les blessures. Apprendre à saigner. Et malgré les cicatrices, faire en sorte de rester belle et d’avoir les genoux assez solides pour passer la serpillère dans la cuisine tous les samedis. Ou bien on se perd, ou bien on se trouve. »
Betty raconte aussi l’histoire de femmes malmenées par les hommes - les filles malmenées par leurs pères, les sœurs malmenées par leurs frères. Betty, c’est aussi l’histoire d’une petite fille qui grandit et devient femme. C’est un roman coup de poing, qui m’a complètement retournée. Les personnages sont attachants, l’histoire que nous raconte Tiffany McDaniel est prenante et saisissante. Tellement, à vrai dire, que j’ai parfois dû m’arrêter et faire une petite pause avant de reprendre ma lecture. Et sur les 300 dernières pages, j’ai tout dévoré avec plusieurs fois les larmes aux yeux.
C’est un énorme coup de cœur, une claque magistrale que je recommande chaudement !
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bastienbertine · 4 years
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6 de mes illustrations se trouvent dans la revue Focus Vif n°36, actuellement en kiosque. / 6 of my illustrations can be found in Focus Vif n ° 36, currently on newsstands.
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Fabrice Caro - Broadway
Fabrice Caro – Broadway
RENTRÉE LITTÉRAIRE 2020 Présentation Couverture Auteur de bandes dessinées et de romans, Fabrice Caro, surnommé Fabcaro, a publié pour la rentrée littéraire de septembre 2020 son dernier roman Broadway. Dès le début de la lecture, le rire est présent et même le fou rire. C’est drôle et ça fait du bien. Le point de départ de cette construction burlesque est la réception un matin de la superbe…
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demots · 4 years
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L'art et la science. La découverte, comme l'oeuvre, une fois concrétisée, échappe à son auteur.
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Ying Chen, Rayonnements
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2020 - Manque de bol
J’ai essayé de fermer tous mes dossiers mais avec trois semaines d’absence, il se devait d’en rester un. À contre-cœur de son porte-monnaie, Petit Patron a dû confier le travail à un mercenaire. Je vais faire semblant de ne pas comprendre ce qui peut pousser la blatte à clamer partout que cette couverture n’est pas de mes œuvres. Même sans ma présence, elle continue de nuire. Dommage que ça tombe sur le titre de la rentrée littéraire.
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pauline-lewis · 3 years
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Wherever I have played the blues have run the game
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L'image qui m'a le plus marquée ces deux dernières semaines, c'est le visage de Cameron à la fin de la saison 2 de l'excellente série Halt and Catch Fire. Cameron attend un homme qui ne viendra pas, assise dans l'avion. Elle n'est en général pas trop portée sur l'effusion de sentiments mais le visage expressif (et sublime, il faut bien le dire) de Mackenzie Davis raconte ce que ses mots ne disent pas. Dans ses grands yeux, dans cet avion, on peut lire la joie d'un nouveau départ et la tristesse de devoir couper certains liens. Cette scène retranscrit parfaitement ce qu'est un lieu de transition. J'ai repensé au trajet en train du retour de Brest, le 1er janvier, où tout se mélangeait : la violence de revenir à deux, la tristesse de ne pas savoir quand nous pourrions revenir, l'envie désormais pressante de ne plus avoir à retourner à Paris et puis le sentiment étrange de sentir son corps être projeté en avant quand son cerveau est, lui, complètement figé. Il y avait là une dissonance presque agressive. Dans Halt and Catch Fire, le corps de Cameron est contenu dans l'avion, mais le son voyage au rythme de Heaven de Talking Heads grâce à la voix, la guitare, la batterie. Son esprit est ailleurs. Et les larmes montent aux yeux, aux yeux de Cameron (et un peu aux miens aussi, parce que ce personnage me touche beaucoup).
Les sentiments sont exacerbés en ce moment et quand je n'aime pas un film je le déteste vraiment au plus profond de mon être (le jaune pisseux et les cadres de travers de Bagdad Café m'ont, en cela, rendue un peu trop furieuse for my own good) mais je tourne aussi en boucle sur tout ce qui "fait du bon" comme on dit chez la psy. Je brode sur mon canevas avec la certitude que quelque chose de magique se déroulera dès que j'aurai serré le dernier point sur la toile. J'ai parlé de pensée magique l'autre jour et pile à ce moment Molly en a parlé avec sa psy dans l'épisode d'Insecure que je regardais. Une coïncidence ! Ça, ça fait du bon. Revoir l'épisode de Seinfeld dans lequel Elaine trouve l'idée de son paragraphe sur les Himalayan Walking Shoes.
But my feet, my feet are resilient !
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En ce moment j'ai développé une nouvelle activité, que je pratique pour remplir les moments de rêverie au travail ou pendant que je tricote des pulls rouges qui ont pour vocation d'égayer mon quotidien. J'imagine que, dans ma future et hypothétique maison, j'installe une pièce pour moi. Dans mes moments de vide je la remplis. Plus je me sens sombrer, plus cette pièce déborde de tous les objets qui, ici, n'ont pas trop leur place. Une grosse fresque au mur dessinée par Aurore, des sérigraphies accrochées partout, une grande table pour mon puzzle, une machine à tricoter, une imprimante laser pour mes futurs zines, un panier pour mon tricot, des figurines des Moomin sur les étagères, des piles de livres par terre, ma machine à coudre avec tout le tissus qui déborde de partout, des tasses anglaises pour prendre le thé et le petit bric-à-brac qui m'accompagne partout. Aucun goût, aucune énergie de "catalogue ikea", ça je ne serai jamais dans les pages inspiration de Marie Claire maison : j'y mets seulement des choses qui prennent de la place et de la poussière. Et devant la fenêtre, il y a une toute petite table pour écrire un peu, parfois. Souvent mon chat fait son apparition dans ce rêve parce que je lui ai bien évidemment prévu un petit coussin cousu par mes soins, mais je dois lui dire qu'il ne sera pas de cette aventure-là. Cette pièce n'a aucune portée politique de la chambre à soi de Virginia Woolf. Elle n'a qu'un but : me faire tenir, encore un peu, jusqu'à demain, jusqu'à la semaine prochaine, jusqu'au mois prochain, jusqu'aux beaux jours.
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Pick-up on South Street de Samuel Fuller (1953)
Apparemment je me spécialise ces derniers temps dans les films d'espionnage, puisqu'après Ministry of fear de Fritz Lang, j'ai beaucoup aimé Pick-up on South Street de Samuel Fuller, un film qui commence par un vol dans le métro. Candy se fait dérober, sous le regard de la police, un microfilm qu'elle devait rapporter à son ancien petit ami. Tout le film déroulera ensuite la relation entre le voleur, la voleuse, la police et l'ancien amant. Dans ce film, tous les hommes sont violents, ce qui attire irrémédiablement les femmes qui y voient l'expression de leurs blessures profondes, un stéréotype du film noir qui me défrise toujours un peu, mais passons.
J'ai particulièrement aimé le personnage de l'indic/vendeuse de cravates, interprétée par Thelma Ritter. Elle trahit, elle vend des informations, elle met les autres en danger mais elle est aussi vraiment bouleversante puisqu'elle essaie comme elle peut de mettre de l'argent de côté pour se payer un enterrement digne de ce nom. Dans une scène particulièrement émouvante, elle monologue sur la difficulté de sa vie, sur ses conditions de vie indigentes et la fatigue qu'elle ressent dans ses os à force de devoir marcher toute la journée pour gagner assez d'argent. Je me disais qu'il était rare de voir une femme d'un certain âge, pauvre de surcroit, qui parle de son corps dans un film des années 50. La manière dont elle est filmée, son phrasé, puis le plan large qui fait comprendre au spectateur ce qui l'attend — tout est magistral dans cette scène. Et puis ce film date de l'époque où les films n'étaient jamais jaunes (parce qu'ils étaient en noir et blanc), c'était le bon temps non ?
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Je vois des antennes partout de Julie Delporte (éditions Pow Pow)
J'avais beaucoup de livres sur ma table de nuit avec la rentrée littéraire, et je m'étais gardé Je vois des antennes partout de Julie Delporte pour le moment où j'aurai fini ma pile de “lectures-boulot” (même si, bien sûr, la ligne entre lecture-boulot et lecture-plaisir est très très poreuse). Dimanche, j'ai donc lu ce récit autobiographique sous ma couette. Julie Delporte raconte un moment de sa vie où elle s'est mise à se sentir agressée physiquement par les ondes, et par l'illusion du confort moderne. Elle est atteinte de maux de têtes violents et elle devient sensible aux portables et aux antennes qui semblent se multiplier autour d'elle sans qu’elle ne puisse rien y faire. Comment pourrait-on se couper de ce qui nous est imposé ?
L'autrice accepte l'offre d'une de ses amies d'aller vivre quelques temps dans le chalet de son grand-père au nord du Québec, "loin des antennes de téléphone". Commence alors une méditation autour de la nature, des angoisses, de la nuit, des ruptures. "C'est trop tard pour faire reculer le monde" écrit Julie Delporte — et sous ma couette, en pleine pandémie, cette phrase m'a frappée en plein cœur.
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J'ai déjà parlé plus que de raison de l'effet à la fois immédiat et très profond qu'a l'œuvre de cette autrice sur moi, et ce livre l'a encore une fois confirmée. Sa manière de dessiner la nature, de rendre compte de ses angoisses, de trouver les couleurs, les mots et les traits pour raconter des sentiments sur lesquels je n'aurais jamais réussi à mettre de mots m'émerveille vraiment. Ses livres pourraient me rendre triste mais ils me donnent ce sentiment précieux d'être moins seule. Merci Olivier de l'avoir mis au pied du sapin <3
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Chercher du sens avec Moominland Midwinter de Tove Jansson
En 2020 je devais partir en Finlande sur les traces des Moomin, c'était un voyage que j'avais planifié rapidement mais qui avait l'air super sur le papier. Après l'avoir annulé j'ai souvent regardé les photos du logement que nous avions loué avec ses petites chaises près du lac. Ça ne me rendait pas triste, je fermais les yeux et je m'y installais tranquillement.
Ce week-end je m’y suis finalement rendue via les mots de Tove Jansson. Le conte Moominland Mindwinter m'est apparu comme étant étrangement de saison : Moomintroll se réveille de son hibernation prématurément, alors que l’hiver vient tout juste de commencer. Évidemment, tout le monde dort toujours. Il se retrouve donc obligé de découvrir l'hiver, et tout au long de son aventure il découvre la résilience, la manière dont le familier peut changer selon la saison,  le sens de la compagnie et des amitiés improbables. Il découvre aussi un peu d’où il vient. Bref, ce récit m'a fait beaucoup de bien parce qu’il raconte toutes les manières dont on peut s’habituer à des événements angoissants. Et parce qu’il parle d’aventure, et qu’on en manque un peu ces jours-ci.
He looked at the cupboard in the corner and thought of how nice it was to know that his own old bath-gown as hanging inside it. That something certain and cosy still remained in the middle of all the new and worrying things.
(à un moment, un événement triste intervient, et Tove Jansson nous encourage, dans une note de bas de page, à consulter une page de la fin du livre pour nous rassurer. Je me suis dit que c'est ce que j'aimerais bien faire en ce moment, aller voir à la fin du livre de cette année pour voir si cela peut me rassurer.)
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Les chansons que j’écoute en boucle
J'ai fait une playlist en janvier pour mettre dedans toutes les chansons que j'écoute, pour des raisons inconnues, en boucle en ce moment. Je la partage comme ça, si jamais votre mois de janvier n'a aucun sens et que vous voulez voir ce qui passe en random dans mon cerveau. 
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guenaelboutouillet · 4 years
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Sandra  Lucbert « Personne ne sort les fusils » (SEUIL, collection Fictions et Cie, août 2020)
« 22 Lombard et son équipe, ils ont imposé les N+2 : les responsables de département. Pour fluidifier les départs.
À ce moment-là, c’était l’ouverture à la concurrence Au service des techniciens internationaux, on était submergés de travail. On n’y suffisait pas. Mais enfin, voilà : il fallait-faire-les-départs.
Notre N+2, son N+1 lui avait donné un objectif : Moins 10. D’ici la fin de l’année. Moins 10, réparti dans chacun des 5 départements, ça donnait Moins 2.
C’est ce que nous explique notre N+1 : « Notre objectif, c’est Moins 2. » On demande : « Moins deux quoi ? » « Moins deux MUs. »
MUs : Moyens Utilisés. Mus : par le flow.
23 Parfois, Didier Lombard s’endort pendant le récit d’une pendaison, il digère. »
Parmi les romans de cette rentrée littéraire s'est glissé un essai foudroyant, d'une romancière remarquable – l'essai n'est pas une fiction, pas un roman, mais il traite avec les outils de la littérature (un usage et un rapport au langage, inventifs, questionnant) de ce qui se passe pour une fiction mais dont l'impact est bien réel – la liquidation des vies sous le joug du flux/ du flow économique. Sandra Lucbert a assisté au procès France Télécom, dont on a déjà oublié qu'il eut lieu, et dont les accusés, lestés d'un peu de leur argent de poche, coulent des jours tranquilles et travaillent à gagner plus – plus que toi, moi, nous, sans souci, fluides. Sandra Lucbert y a assisté et il lui faut la littérature pour le supporter et en faire un récit – tant ce qui y fut mis en question est l'impensable, cet impensable qui gouverne (et liquide, donc), nombre de nos vies. Il lui faut Rabelais, pour dégeler, et Kafka (« la colonie pénitentiaire ») et Melville (Bartleby, dont on oublie souvent le destin tragique) pour tenter d'approcher le phénomène qui se recouvre de langue (de cette langue technique, codée, déréalisatrice, qu'on sait trop : elle est celle de nos gouvernants, celle des managers qui nous gouvernent, elle régit donc une large part de nos vies). Elle s'affaire, Sandra Lucbert, à attaquer cette langue-là pour la percer à jour, ce que le procès s'échine péniblement à faire (elle le raconte très bien, aussi, ce à quoi les avocats doivent sans cesse s'adonner pour redire le vivant et les morts). C'est un livre qui paraît au Seuil, chez Fictions et Cie, et qui me renvoie d'autant au fameux « exploration du flux » de Marina Skalova (Seuil, fictions et Cie, mai 2018), dont il constitue une forme de pendant prosaïque et économique (quand Skalova tentait d'appréhender l'impossible flux des humains), les deux facettes d'une même machine – une machine qui d'un côté libère toujours plus le « flow » économique quand elle enserre d'autant les « flux » des humains – libre circulation des capitaux oui, des humains, non. Une machine qui d'un côté « liquide » les vies quand de l'autre elle les laisse couler (au fond de la méditerranée). Les deux livres, différents on l'a dit dans leur point d'énonciation, dans leur objet d'examen comme dans leur forme, ont ceci en commun : il s'agit, par la littérature, d'être, littéralement, d'attaque, face à ces entreprises de destruction de l'humain. Et ceci est, littéralement encore, vital. « Il s’agit de donner des yeux à la pensée, ou du moins meilleure vue, par des combinaisons de mots qui fassent projecteurs, lunettes ou loupes. »
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SAMEDI 15 AOUT 2020 – (Billet 4/4)
« LE TEMPS DES TEMPÊTES »
JM est en train de le lire… et il le trouve PASSIONNANT.
Mais vous pourriez vous dire que ce sont ses affinités avec l’ancien président qui influencent son jugement et que ne sont pas très nombreux les Français encore intéressés par lui. Et bien il faut croire que non car le bouche à oreille a l’air de fonctionner remarquablement bien. Lisez l’article de « France Info TV » ci-dessous, une chaîne globalement très marquée à Gauche qu’on ne peut pas soupçonner de favoritisme, du moins à son égard (alors que cette chaîne a été durant pratiquement 5 ans d’une mansuétude hallucinante à l’égard du « Lapin Crétin » !)
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France Info TV : culture
Avec "Le temps des tempêtes", Nicolas Sarkozy détrône les best-sellers de l'été de Joël Dicker et Guillaume Musso
Ce livre où l'ancien chef de l'Etat raconte les deux premières années de son quinquennat rencontre un succès similaire à son premier ouvrage autobiographique, "Passion", paru l'été dernier. 
L'ouvrage de Nicolas Sarkozy, “ Le temps des tempêtes” (aux éditions L'Observatoire) caracole en tête des ventes de livres pour la troisième semaine consécutive, selon le classement hebdomadaire GfK/Livres Hebdo paru vendredi 14 août.
Le livre de l'ancien président est en tête du Top 20, l'un des palmarès les plus sélectifs puisqu'il agrège tous les livres, quel que soit leur genre ou leur format. A une semaine de la rentrée littéraire d'automne qui va voir débarquer dans les librairies des centaines de nouveautés, le livre de l'ancien chef de l'État est loin devant les best-sellers de l'été emmenés par Joël Dicker (L'énigme de la chambre 622) et Guillaume Musso (La vie secrète des écrivains).
215 000 exemplaires vendus
L'ouvrage a été initialement tiré à 250 000 exemplaires mais a déjà bénéficié d'une réimpression de 20 000 exemplaires, a indiqué l'éditeur contacté par l'AFP. A ce jour, autour de 215 000 exemplaires ont été vendus. « Le temps des tempêtes », publié le 24 juillet, raconte les deux premières années du quinquennat (2007-2012) de Nicolas Sarkozy. L'ancien président évoque notamment les difficultés et la solitude liées à sa fonction, son mariage avec Carla Bruni, la formation de son gouvernement, la crise économique de 2008...
Le livre (528 pages, 23 euros) fait suite à « Passions », best-seller de l'été 2019 (11 semaines en première place des ventes Essai), dans lequel l'ancien locataire de l'Élysée se livrait sur son parcours, de son enfance jusqu'à son accession à la magistrature suprême.
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NB Et pour bien vous montrer que cette info n’est pas exagérée, ou une fake-news, nous vous mettons le lien de l’article « France Info TV » ci-dessous :
https://mobile.francetvinfo.fr/culture/livres/avec-le-temps-des-tempetes-nicolas-sarkozy-detrone-les-best-sellers-de-l-ete-de-joel-dicker-et-guillaume-musso_4074355.html#xtref=acc_dir
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dashbookediteur · 3 years
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800 exemplaires en moyenne pour un premier roman : pourquoi nous voulons révolutionner le monde de l’édition avec Dashbook! www.dashbook.fr
800 exemplaires, ce sont les ventes moyennes d’un 1er roman à la rentrée littéraire (source Les Echos https://tinyurl.com/598jfnct). Cette moyenne est même tirée à la hausse par les ventes de quelques best-sellers. Quand on sait qu’un auteur touche environ un euro par vente, on comprend mieux pourquoi seuls 8 000 auteurs sur 100 000 environ qu’on compte en France ont des revenus supérieurs au SMIC ! 
Pourtant Internet a ouvert des possibilités inédites pour faire se rencontrer auteurs et lecteurs. Le monde de l’édition est mûr pour une révolution. Dashbook sera un spécialiste de la publi-tech et améliorera toute la chaine de valeur : précommandes, recommandations, diffusion, rendus des comptes, gestion des droits. 
En révolutionnant l’exploitation des œuvres, Dashbook donnera à plus d’auteurs les moyens de vivre de leur plume et leur proposera un partage de droits plus équilibré. 
Notre 1ère œuvre est parue : Réflexions 2020 de Jon Ferguson, un essai rafraichissant sur la crise sanitaire et surtout médiatique que nous vivons depuis plus d’un an (+ à ce sujet dans un prochain post). https://tinyurl.com/3yxm6ukv 
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paulinelegall · 3 years
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Comme un empire dans un empire - Alice Zeniter
Avec "Comme un empire dans un empire" Alice Zeniter utilise la fiction pour questionner la façon dont sa génération s'implique pour changer le monde contemporain. En décrivant les contours, l'auteure fixe les limites de ces différentes militances. M'immerg
    Pour cette rentrée littéraire, Alice Zeniter offre avec Comme un empire dans un empire une analyse affutée des situations absurdes que rencontrent notre actualité contemporaine, à partir du récit de l’univers de trois trentenaires qui tentent d’agir sur le monde qu’ils habitent.
Antoine est attaché parlementaire auprès d’un député socialiste qui prône la sociale démocratie mais qui peine à…
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lebibliocosme · 4 years
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La Marche du Levant
La Marche du Levant
Titre : La Marche du Levant Auteur : Léafar Izen Éditeur : Albin Michel Date de publication : 2020 (septembre)
Synopsis : Trois cents ans. C’est le temps que met la Terre pour tourner sur elle-même. Dans le ciel du Long Jour, le soleil se traîne et accable continents et océans, plongés tantôt dans une nuit de glace, tantôt dans un jour de feu. Contraints à un nomadisme lent, les peuples du Levant…
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demots · 4 years
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Des gens que l'on croise dans sa vie, il y a ce que l'on sait, et ce qu'on imagine.
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Ying Chen, Rayonnements
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Des kilomètres à la ronde - Vinca Van Eecke - Seuil
Des kilomètres à la ronde – Vinca Van Eecke – Seuil
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Elle a 14 ans et depuis l’enfance elle vient passer tous ses étés au village de L dans le Morvan, d’où est originaire sa mère. Cet été là elle tombe amoureuse de Jimmy, un jeune du village et traîne avec ce groupe de jeune qui ont grandi ici. Elle devient la fille du groupe.
Sans jamais vraiment l’évoquer, en ne donnant pas de nom à la narratrice, Vinca Van Eecke nous parle d’adolescence bien…
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matatoune · 3 years
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(via Romain Puértolas - Sous le parapluie d'Adélaïde)
Pour la rentrée littéraire 2020, Romain Puértolas propose Sous le parapluie d’Adelaïde, une enquête particulière au dénouement imprévisible, loin des codes du roman policier. @AlbinMichel @RomainPuertolas #rentreelitteraire2020 https://vagabondageautourdesoi.com/2020/12/14/romain-puertolas/
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