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#étouffer
francoisege · 1 year
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Le point de non-retour
Le point de non-retour
Nous étions si fragiles…     Les fortes turbulences ne semblaient pas empêcher la France et le reste du monde de continuer leur course cahin-caha. Mais le choc monstrueux de l’attentat nucléaire de Boston déclencha une tempête hors norme. L’année 2040 marqua le point de non-retour de la dérive autoritaire amorcée depuis longtemps par les démocraties occidentales. Les populations tétanisées…
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Magnifique danse poétique sur l'enfant intérieur...
"Nous devons écouter l'enfant que nous étions autrefois, l'enfant qui existe toujours à l'intérieur de nous. Cet enfant comprend les moments magiques. Nous pouvons étouffer ses cris, mais nous ne pouvons pas faire taire sa voix."
Paulo Coelho
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microcosme11 · 7 months
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là. Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd’hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
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lisaalmeida · 2 months
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Laisse-moi t’emmener dans mon monde meilleur , j’y guiderai chacun de tes pas, j’apprendrai tes réveils, j’inventerai tes nuits, je resterai près de toi.
J’effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes tes blessures. Tes jours de colère, effacés , je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer ces cris et rien ne sera plus jamais pareil et si tu es seule, nous serons seuls à deux ♥️
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coolvieilledentelle · 4 months
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Nous devons écouter l'enfant que nous étions autrefois, l'enfant qui existe toujours à l'intérieur de nous. Cet enfant comprend les moments magiques. Nous pouvons étouffer ses cris, mais nous ne pouvons pas faire taire sa voix.
Paulo Coelho
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homomenhommes · 20 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 141
J'ai attendu le premier dimanche où Marc était là pour offrir le GSXR à Eric.
Nous l'avons invité pour déjeuner. Il est arrivé vers les 12h 30. Toujours le même, dans son cuir tanné par l'usage. Bisous d'accueil, il me pelote le cul. Au milieu de l'apéro, après avoir amené le besoin d'aller voir mon R1, nous avons traversé la cour. J'ouvre une des portes du garage en grand et il tombe sur l'énorme paquet cadeau rose vif. En souriant il se retourne vers nous et me demande si c'est ma dernière folie.
J'opine de la tête mais lui dis que c'est pour lui. Il met quelques instants à percuter. Je le pousse vers le colis. Il comprend alors que je suis sérieux. J'ajoute que c'est un petit remerciement pour tous les bons services qu'il m'a rendu. Il me dit n'avoir rien fait pour cela, de pouvoir me sauter était déjà un cadeau. Je le pousse encore, il s'aperçoit que l'emballage est juste posé sur le sol. Il le soulève et n'en croit pas ses yeux. La moto brille sous la lumière du jour. Il en fait le tour et me traite d'imbécile. Je lui dis qu'une fois préparée, elle remplacera sans problème son vieux GSXR qui commence à accuser un nombre respectable de Km. Il prend l'enveloppe que j'avais posée sur la selle. Dedans j'ai mis un mot sur les conditions de préparation de sa moto. Il se tourne vers nous et m'attrape, me serre dans ses bras à m'en étouffer avant de me rouler une méga pelle. Marc ajoute que j'y ai pensé tout seul. Il lit le mot contenu dans l'enveloppe et me dit que je suis fou. Nous discutons mécanique. Je lui confirme que ce qu'il a sous les yeux est la machine d'usine mais toutes les modifications qu'il voudra y apporter sont déjà prise en charge chez le concessionnaire et que c'est Daniel X qui se chargera de les faire faire, que je n'avais pas voulu moi même décider de changer telle ou telle pièce bien que je me doute qu'il veuille des freins Brembo entre autre.
Pendant le déjeuner, nous avons saoulé Marc de mécanique. Au café pareil ! Marc saturé a soudain demandé à Eric si cela ne me valait pas un petit coup dans le cul. Accord immédiat de sa part, et je me suis retrouvé à genoux entre leurs cuisses à pomper alternativement les bites au garde à vous. Détail peu plaisant, je me suis absenté quelques instant vider mon estomac, le pieu d'Eric dans ma gorge et la proximité de repas ne faisant pas bon ménage ! Cela fait j'ai retrouvé ma totale capacité de pompage. Je me suis vite retrouvé à poil l'un se chargeant de me dénuder quand l'autre me donnait sa queue à téter. Bientôt un puis deux doigts pleins de gel sont venus me préparer l'oignon. J'aime être la cible de toute l'attention. Quand je suçais Marc, Eric alternait travail de ma rondelle avec caresses de mes flancs, pinçage de tétons, tirage de couilles... Tout ce qu'il faut pour bien me chauffer. Quand l'inversion a eu lieu, j'ai supplié Marc de m'enculer. Ce salaud m'a encore fait patienter tout un moment, m'excitant le gland, écartant mon cul à trois doigts. Ça été un réel soulagement quand il m'a enculé, même si il m'a poussé encore plus sur le boa noir d'Eric. La bite de mon mec dans le cul plus l'étouffement du au gros gland dans ma gorge, j'ai failli jouir instantanément ! Après m'avoir bien préparé le trou avec sa queue, il a cédé la place à Eric. Délicatement ce dernier a logé ses 27cm x 7 dans mon anus. ;J'ai toujours du mal aux premières intromissions de tel calibre. Contrairement à Jimmy qui se détend quasiment instantanément, moi il me faut plus de temps. Il n'empêche que j'arrive quand même à tout prendre et à y prendre du plaisir. Marc après m'avoir laissé le temps de me faire au nouveau calibre qui élargissait mon trou, est venu se faire piper. Les secousses de mon enculage assurant le mouvement, j'ai concentré mon attention sur les pressions internes, l'agilité de ma langue au contact de son gland etc. J'ai finalement été récompensé par une bonne dose de foutre. Une partie m'a été livrée directement au fond de l'estomac mais j'ai réussit à garder les derniers jets dans ma bouche savourant le goût particulier de mon homme. A mon autre extrémité, Eric glissait de plus en plus aisément. Une puis deux, trois contractions anales lui ont rappelé que c'était parce que je le voulais bien et en même temps l'ont propulsé vars l'orgasme. Qu'il a traduit par un pilonnage intensif du fond de mon cul. Quand il s'est retiré, le passage du gland (plutôt de la couronne) contre ma prostate m'a fait à mon tour juter. J'en ai mis partout.
Samir est arrivé quelques secondes plus tard avec des serviettes chaudes pour que nous puissions nous essuyer avant d'aller nous doucher.
Un nouveau café avec pour moi une nouvelle part de dessert nous a remis d'équerre.
Marc et Eric m'ont lavé entre eux deux transformant le savonnage en massage. Leurs mains fortes me soutenant, pressant mes muscles, j'ai pris un autre type de plaisir dans leurs bras. Eric m'a même remonté (de la salle de muscu) dans ses bras. Les enculages gros calibres me fatiguent toujours beaucoup. Mini sieste puis tous trois équipé de nos cuirs, nous sommes partis pour l'essai du GSXR. Marc sur son VFR, moi sur mon R1, nous avons suivit Eric. Une heure après le verdict tombait sur les modifications à lui apporter hormis le réglage des platines supportant le frein et celle de l'embrayage. Fourche avant, amortisseur arrière, freins, durites aviation, pot d'échappement sans compter bien sûr sur le débridage de la bête.
Il est reparti sur son vieux GSXR comme je lui promettais de faire reprendre le nouveau par mon livreur pour qu'il puisse le faire modifier.
Le mardi matin qui a suivit, Daniel revenait chercher la moto. Après discussion sur l'effet de mon cadeau, les modifs à prévoir, il m'a demandé quand est ce qu'il pourrait rencontrer un " client ", mon style de vie lui ayant donnée des idées nouvelles sur ce que pouvait être la vie.
J'appelais alors le boss de Kev (nous sommes maintenant assez proches) pour lui demander s'il n'avait pas une connaissance qui chercherais ce type de service.
Il me demanda si je n'avais pas un don de voyance car lors d'un conseil d'administration d'une des sociétés auquel il siège, un des administrateurs lui avait demandé où il avait trouvé son " accompagnateur ". Je lui décrivais Daniel et son coté plutôt " basique ". Il me dit qu'il allait quand même lui en parler, il m'a donné son téléphone privé en me demandant d'attendre 1/4 d'heure avant de l'appeler.
Nous attendons sagement puis j'appelle. Je tombe direct sur le type. Je me présente et nous discutons quelques instants sur ce qu'il cherche exactement et ce que je lui propose. Il sait déjà que c'est moi qui ai fourni notre connaissance commune.
Il voudrait que nous nous déplacions aussitôt chez lui mais Daniel doit aller travailler. ;Je propose que nous passions le soir même et nous convenons de 19h30, le temps d'y aller (chez lui).
Nous passons la journée chacun de notre coté et je passe chercher Daniel à sa débauche. Je sens qu'il a pris une douche et il me suit sur sa propre moto (GSXR750).
Nous arrivons au portail d'une grande villa. Sonnette, j'ôte mon casque et présente mes papiers à la caméra. Le temps de le remettre et le portail s'ouvre. Une courbe d'une 50aine de mètres et nous calons nos motos au pied d'un perron en pierre. Nous arrivons devant la porte. Elle s'ouvre sans que nous ayons frappé. Un homme en tenue de laquais nous demande de le suivre. Daniel n'a pas assez d'yeux pour tout voir. Nous arrivons dans un salon de 80m² minimum et nous le traversons avant d'arriver devant notre hôte. Un homme de 50 / 55 ans, 1,75m 60 Kg, tête de mec sérieux. Je m'avance et lui serre la main me présentant comme étant l'intermédiaire. Le seul point où il m'agace c'est sa façon de parler de Daniel comme d'un produit. Je sais je ne suis pas logique, ça m'arrive aussi de parler de cette façon ! Comme Daniel est néophyte, je me charge de la contrepartie financière. Avant de finaliser, il veut voir Daniel nu. Ce dernier avait déjà descendu sa combi sur ses hanches. Il quitte tout et je vois avec plaisir qu'il bande ferme. Nous finissons la négociation et j'arrive à tirer de lui une somme rondelette pour chaque rendez vous. Daniel à entendre le chiffre en a loupé une respiration. Il se tourne vers Daniel et lui dit que puisqu'il est là ce soir autant finir le test. Je comprends et vais pour me retirer. Alors que je salut notre hôte, il tire de sa veste une enveloppe qu'il me tend " pour le dérangement ". Je les quitte non sans avoir glissé dans l'oreille de Daniel qu'il m'appelle dès qu'il en sort. Après être rentré, j'ai ouvert l'enveloppe, le montant était le même que celui que le boss de Kev m'avait versé.
Marc était amusé de me voir tourner en rond jusqu'au coup de téléphone de Daniel.
Il ne m'a appelé que vers les 23h30. Limite j'étais inquiet ! Sans entrer dans les détails, il m'a dit que cela s'était bien passé d'autant plus que le mec est actif et passif. Il avait décroché un nouveau rendez vous pour la fin de semaine. Par contre il n'avait jamais vu autant de luxe. Rapide calcul mental, je lui dis qu'il allait alors qu'il allait tripler son salaire actuel. Il n'avait pas fait le calcul et est resté muet quelques secondes.
Après que j'ai raccroché, Marc m'a demandé si ça s'était bien passé. Je le lui confirmais.
Rassuré nous avons pu passer un bon, très bon moment avant de nous endormir !
JARDINIER
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hellmouthheritage · 10 months
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HELLMOUTH RPG est à la recherche du personnage légendaire de FAITH LEHANE.
Sunnydale 2023 :
La nuit du 2 octobre 2001, Faith était en prison lorsqu'elle a senti son corps commencer à geler. La tueuse a crié de toutes ses forces, mais ayant la réputation qu'elle avait à l'époque, aucun policier n'a voulu s'approcher de sa cellule et lui venir en aide. Lorsque l'équipe tactique du matin arriva devant une cellule remplie de cristaux de sang au sol, ils déclenchèrent l'état d'alerte. En analysant le sang qui était dans les morceaux de glace, le médecin légiste déclara que la fugitive avait belle et bien été tuée par un froid glacial qui avait gelé son corps en entier. Les policiers de Los Angeles ont voulu étouffer l'affaire et n'ont rien déclaré aux médias au sujet de sa mort.
Le 1 juin 2023, le corps de Faith se reconstitua dans la cellule là où elle était morte il y a 22 années. La tueuse regarda autour d'elle complètement désemparée et traumatisée. Elle grelottait et n'avait pas encore conscience de ce qu'il lui arrivait. Elle frappa de toutes ses forces la prisonnière qui résidait maintenant dans son ancienne cage. La tueuse prit possession des vêtements de la femme qu'elle venait d'assommer sans aucune pitié, avec rage. Faith posa ses deux mains sur les barreaux et les écarta avec facilité comme si ce n'était que des cures-dents. Dans le couloir, son regard croisa celui d'un policier qu'elle avait connu autrefois. Le jeune homme commençait sa carrière à l'époque, l'officier ouvrit grand les yeux et reconnu la fugitive qui avait été tué il y a 22 années. Il fonça sur elle, mais malheureusement la tueuse avait toujours ses réflexes de tigresse. La brune haussa le bras dans les airs et fonça sur lui le faisant traverser une fenêtre pour entendre son corps tomber du troisième étage de l'établissement.
Faith en profita pour sauter par la fenêtre et courir rapidement pour escalader le grillage de la prison. Le bruit des voitures de police criait dans tous les sens, mais elle croyait fortement qu'elle allait réussir. La tueuse passa par dessus la grille et sauta dans une voiture en agressant le conducteur, le jetant dehors de son véhicule en pleine conduite. Elle savait très bien quelle direction prendre. La route vers Sunnydale était la seule destination envisageable. Elle regarda rapidement son reflet dans le rétroviseur et elle remarqua qu'elle avait une vingtaine d'années en plus. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle continua de se regarder quelques secondes sans remarquer que son véhicule était entrain de dévié de la route. Elle donna un coup de volant pour ramener sa voiture sur la bonne voie juste à temps pour ne pas heurter un autre véhicule qui venait de la klaxonner.
Quelques heures plus tard, elle débarqua à Sunnydale. Une ville hantée par les monstres et par les erreurs de son passé. Elle ressentait la présence de Buffy, mais aussi d'une nouvelle élue. Après 22 années passées dans la noirceur de la mort, elle savait très bien qu'il allait falloir qu'elle se trouve un refuge où habiter sans avoir à payer trop cher, mais la tueuse avait toujours su se débrouiller seule. Faith décida de se rendre dans un lieu qu'elle connaissait bien, elle y avait passé son adolescence. Le Bronze. N'ayant pas reprise complètement ses esprits, la brune défonça d'un coup pied la porte du propriétaire et le poignarda dans le ventre sans pitié utilisant le couteau ensuite pour ouvrir la serrure du coffre-fort de l'établissement où elle trouva quelques milliers de dollars en liquide. La tueuse décida de se débarrasser du corps et de prendre en charge la grande responsabilité de propriétaire du Bronze sachant qu'elle retrouverait rapidement ses anciennes connaissances.
Faith Lehane découvrira qu'à sa mort en 2001, elle était enceinte. Son fils créé par la magie des puissances supérieures Lukas Lehane. Apprenant que la tueuse est en route vers Sunnydale, il essaiera de la retrouver pour se présenter à elle et en connaitre un peu plus sur la véritable nature de sa mère.
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francoisege · 1 year
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22 Mars 2024
Nous étions si fragiles…     Au début de cette période de régression, la privation de liberté ne semblait pas toucher tout le monde et préservait les apparences d’une société démocratique, mais en réalité déjà très autoritaire et très inégalitaire. Des vagues de mécontentement populaire déferlaient continûment sur le pays depuis les premières atteintes au Code du Travail de la loi El Khomri en…
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lerefugedeluza · 2 months
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C’est fou comme les pensées peuvent s’emballer quand on les laisse faire. J’aimerais qu’elles se taisent car cette nuit elles me font mal. J’ai l’impression que je n’arriverai jamais à rien et que peu importe mes efforts je vais rester coincée dans cette situation pour toujours. J’aimerais dormir pour ne plus penser et me dire de mille et une façons que j’ai absolument tout raté et que ma vie n’est qu’une succession d’échecs. C’est fou à quel point le bonheur et la stabilité peuvent être détruits d’un coup par une simple pensée qui s’est mise à dévaler la pente de notre esprit et à grossir jusqu’à nous prendre à la gorge et nous étouffer. Je voudrais avoir la force de croire en moi quoi qu’il arrive et peu importe la fatigue accumulée.
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abridurif · 25 days
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Je me suis toujours demandé si mes livres n’étaient pas incompréhensibles. Illisibles. Écrits d’eux-mêmes. Le tout exactement comme je voulais. Comme si je ne remarquais que maintenant à quel point il avait fait étroit et sombre, en moi, pendant ce long hiver. Étroit et sombre, pas assez d’air. Comme enterré, comme sous terre. Chaque jour. À étouffer et en moi, un silence de mort. Hier encore. Long. Un long hiver. Qui devrait finir maintenant, te dis-tu. Après le repas, café. Italie. Corse. Provence. Une heure et demie seulement. Café, cigarettes, biscuits italiens à l’amande, et comme en début d’après-midi dans le Sud, lent, le temps. Et puis tous deux partis, devaient s’en aller vite. Et moi avec les nouvelles clés, me parlant à moi-même en montant l’escalier. Peter Kurzeck, En invité, traduit par Cécile Wajsbrot, L’extrême contemporain, 2023
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J'ai passé ma vie à ne rien faire que ce qu'on m'a dit, j'ai passé ma vie à étouffer mes rêves, mes envies
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morphinedoutretombe · 2 months
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Je ferais brûler mon coeur sur le buchet du désamour... Aucun sort ne pourra m' enfermer dans l' illusion d'un profond sentiment à mon égard... Les miroirs et leurs yeux ne me renvoient que du dégout... Je suis pourrie de l'intérieur et cela se voit sur mon visage... Seule la lame me touche encore... Le reste me fuit... Je ne m'attache ni à mon sort ni à qui que ce soit... Mon vécu m'a appris à étouffer mes cris de douleur... C'est la solitude qui m'a accepté, consolé et gardé en sécurité... Cependant je ne l'aime pas... Je la subis autant que je la désire... Je ne me sens jamais sereine où que je sois... J'ai banni l'espoir de ne pas crever oubliée au fond de mon trou... Un fardeau en moins à porter... Que d'admettre que je suis déjà morte... Un simple amas de chair qui se traîne jusqu'à la tombe... Un adieu inutile à prononcer...
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ernestinee · 2 months
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Je termine à l'instant "L'été de la sorcière" de Nashiki Kaho.
L'histoire commence par la mort de la grand-mère de Mai. Le livre raconte les souvenirs de Mai, alors qu'elle vivait dans une maison de la campagne japonaise, avec cette mamy, surnommée La sorcière de l'ouest, qui lui montre comment comprendre la nature et écouter les petites voix qui la guident. Mélange de plongée en enfance, développement personnel et acceptation de ce qu'on ne peut comprendre ni maîtriser.
La lecture est fluide, comme souvent lorsque le texte est traduit du japonais. Je suis d'ailleurs tentée de trouver la version originale, pour voir quels mots ont été employés dans les superbes descriptions de paysages et de sensations.
Évidemment avec l'enfance que j'aie eue, je me suis identifiée à Mai à 200%. J'ai gardé certains passages qui m'ont profondément touchée tant j'ai ce sentiment de les avoir vécus moi-même il y a bien longtemps.
La plupart de ces extraits sont des sensations dans des lieux, en particulier ceci :
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Percevoir la volonté d'un lieu, depuis toujours j'ai l'impression de personnifier la nature, parfois me sentir accueillie, parfois me sentir jugée, ou cette sensation d'oppression lorsqu'il neige et que le sol me semble étouffer sous l'épais manteau, j'ai des dizaines d'exemples dans lesquels les lieux me semblent vivants, avec leur propre volonté et leur langage, comme dans cet extrait :
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Et puis l'observation, la fascination pour le brouillard, découvrir son origine, son mouvement, sa sérénité et le confondre lui aussi avec des émotions :
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Et enfin cet extrait qui décrit parfaitement la douleur de l'absence, le creux brûlant de vide et coulant gluant dans tout le corps, en particulier quand des remords viennent s'ajouter à la peine.
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Je sens cette entaille tellement fort, tellement précisément.
Ce livre était trop rapide à lire, j'avais envie de passer davantage de temps avec Mai, la voir grandir et, j'espère, rester proche de la nature et utiliser les savoirs acquis lors des journées passées avec sa grand-mère. J'ai un petit goût de pas assez, de fin trop rapide. Est-ce parce que j'ai apprécié le livre ou est-ce plus objectif que ça ? On va dire que c'est la première option.
⭐⭐⭐⭐⭐
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L'État est partout où tous absorbent des poisons.
Les bons et les mauvais.
L'État, où tous se perdent eux-mêmes les bons et les mauvais.
L'État, où le long suicide de tous s'appelle la vie.
Voyez donc ces superflus !
Ils volent les œuvres des inventeurs et les trésors des sages.
Ils appellent leur vol civilisation, et tout leur devient maladie et revers.
Voyez donc ces superflus !
Ils sont toujours malades.
Ils rendent leur bile et appellent cela des journaux.
Ils se dévorent et ne peuvent pas même se digérer.
Voyez donc ces superflus !
Ils acquièrent des richesses et en deviennent plus pauvres.
Ils veulent la puissance, et avant tout, le levier de la puissance.
Beaucoup d'argent, ces impuissants.
Voyez les grimper ces singes agiles !
Ils grimpent les uns sur les autres et se poussent ainsi dans la boue et dans l'abîme.
Ils veulent tous s'approcher du trône.
C'est leur folie.
Comme si le bonheur était sur le trône.
Souvent la boue est sur le trône, et souvent aussi le trône est dans la boue.
Ils m'apparaissent tous comme des fous, ces singes grimpeurs et impétueux.
Leur idole sent mauvais, ce froid monstre.
Ils sentent tous mauvais ces idolâtres.
Mes frères, voulez-vous donc étouffer dans l'exhalaison de leurs gueules et de leurs appétits?
Cassez plutôt les vitres et sautez dehors !
Evitez donc la mauvaise odeur ...
Eloignez vous de l'idolâtrie des superflus.
Evitez donc la mauvaise odeur ...
Eloignez vous de cette fumée de ces sacrifices humains ...
Friedrich Nietzsche
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coolvieilledentelle · 4 months
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Magnifique danse poétique sur l'enfant intérieur...
"Nous devons écouter l'enfant que nous étions autrefois, l'enfant qui existe toujours à l'intérieur de nous. Cet enfant comprend les moments magiques. Nous pouvons étouffer ses cris, mais nous ne pouvons pas faire taire sa voix."
Paulo Coelho
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