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#belfond
mmepastel · 10 months
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Ah… là ça va mieux.
Très joli livre. Un trésor de délicatesse.
L’histoire se passe autour de trois personnages qui habitent dans la même rue (enfin, à peu près). Clara, sept ans, a précisément les yeux rivés sur la rue, car sa sœur chérie Rose a disparu, suite à une dispute avec leur mère ; elle la guette. Elle s’entend très bien avec Elizabeth Orchard, sa vieille voisine d’en face, et avec son chat. Celle-ci lui confie même la tâche de nourrir Moïse (le chat), lorsqu’elle doit s’absenter pour un séjour à l’hôpital…mais le séjour s’éternise, Rose ne revient pas non plus, et voilà qu’un étrange inconnu semble prendre possession de la maison de Mme Orchard. Le monde de Clara se fissure, et elle veut comprendre et tout réparer ; il faut dire que malgré son anxiété, elle a un sacré caractère, et une volonté de fer.
Il s’agit d’un roman choral dans lequel les chapitres s’enchaînent avec changement de narration avec ces trois personnages. On comprend peu à peu ce qui les lie, ou ce qui va les lier. C’est assez joli, subtil, nuancé et doux. Finement écrit, avec un humour discret mais efficace, on s’attache vite et bien aux personnages, et on se surprend à s’attendrir, vouloir qu’ils soient réconfortés, consolés, oui, comme l’annonce le titre.
Il est possible de faire de la bonne littérature avec de bons sentiments, j’ai enfin un exemple à citer. Ici des êtres blessés par la vie se retrouvent dans cette petite ville du Canada, enfin un peu dorlotés par le destin, enfin, apaisés dirons-nous (car l’autre mot est un peu déplacé pour Elizabeth) sans que l’ombre d’une mièvrerie vienne gêner le plaisir. C’est communicatif. Un beau livre qui fait du bien, c’est appréciable.
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angelitam · 6 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #35-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Sur tes traces d’Harlan Coben Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Aysuun de Ian Manook Aysuun de Ian Manook – Editions Albin Michel En lecture, La ronde des mensonges d’Elizabeth George La ronde des mensonges d’Elizabeth George – Editions Pocket Présentation de l’éditeur : Ian Cresswell, neveu et héritier du richissime Lord…
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youraufildespages · 11 months
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Petites filles perdues d'Angela Marsons
Les Timmins et les Hanson sont deux familles qui s’entendent à merveille et dont les petites filles de neuf ans sont inséparables. Jusqu’au jour où un SMS vient foudroyer leurs existences : ” Charlotte et Amy ne rentreront pas à la maison aujourd’hui. ”  Chargée de l’enquête, l’inspectrice Kim Stone, pourtant réputée pour ses nerfs d’acier, est saisie d’effroi quand arrive un deuxième message des…
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Jean-Michel Pedrazzani - Techniques et Pouvoir de l‘Occultisme - Pierre Belfond - 1978
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already-14 · 2 years
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Salvador DALI (Figuères,1904 -Figuères, 1989) Photographie dédicacée et collage de paquet de cigarettes Photomontage 1972. Tirage argentique d'époque (39 x 29 cm), dédicacé à l'encre dorée " Pour Pierre Belfond. Merci. Dalí ", avec boîte de cigarettes Gitanes collée en bas à gauche, signée " Dalí " à la mine de plomb. Sous un encadrement commandé par l'artiste. La photographie représente Salvador Dalí, les yeux exorbités, avec, à l'arrière-plan, Amanda Lear en manteau de fourrure. Pour remercier son éditeur du projet des Amours jaunes, Dalí colla le paquet de cigarettes dédicacé sur cette photo elle aussi dédicacée, à l'encre dorée, et fit encadrer le tout par son secrétaire, le Capitaine Moore.
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alapagedeslivres · 5 months
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Mon calendrier de l'Avent 2023 : numéro 23
JOUR 23Un prix littéraire lu cette année, en 2023 Je ne pouvais clore cette année 2023 sans revenir vers une belle découverte et une magnifique rencontre. Maggie O’FARRELL a dû faire preuve de patience pour me séduire mais au bout de quelques chapitres, le charme est bien là. Le portrait de mariage faisait partie des livres de la rentrée littéraire offerts par NetGalley : j’ai donc profité de…
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marthammasters · 2 years
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Lucie breaking into the house — and promptly dispatching the family that lives within it — is also deeply violent, though in many ways it pales against the rest of the film. The Belfonds are initially introduced as a familiarly tropey, nuclear, white heterosexual family. There’s a mom and dad, two kids, sibling squabbles, parents getting a little fed up with their willful elder son, etc.
It isn’t long before they’re thrown into dealing with the intrusion of an “outsider.” The presence of said outsider already begins to expose some of the fault lines in a family that, in another film, would be a “perfect ideal.” This is a familiar storyline from many a slasher and home invasion film — I’d be here all day if I talked about the implicit queerness of slasher villains — as it’s the entrance of the “other” that starts to expose the rot lying underneath the “perfect” family.
— Zoe Fortier, Women and Queerness in Horror: Martyrs (2008)
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inbredfawn · 1 year
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the 'intermission' with anna and sarah is so overlooked. anna's gentleness with sarah, it's as if she sees sarah as a part of lucie; only after lucie's death does she realise that lucie was right about the belfonds, and lucie died thinking anna didn't believe her. anna tries so hard to help sarah, to no avail, just as she did with lucie. however she seems to be more patient with sarah because with sarah, she knows the truth and is certain about her torture, whereas with lucie it was blind faith and love. anna spent fifteen years loving lucie, supporting her, even when she didn't believe her. the short time she had with sarah felt like her subtle way of apologising to lucie, being gentle and patient in a way she couldn't have been with lucie before. even with the bit of violence that we see with sarah, it's the same that it was with lucie. no matter how many times lucie lashed out at anna, she stayed. sarah lashed out at anna, hit her, scratched her, and each time anna got back up and ran after her.
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softestaura · 2 years
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Paco Rabanne ‘Nues’ photographed by Jean Clemmer, Paris, Pierre Belfond, 1969.
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filmreveries · 8 months
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so, what’s your opinion on martyrs(2008). Most people think that it’s the most disturbing movie of all time but for me I found the movie to be tragically beautiful! I love Lucie and Anna’s relationship, sort wish we could have seen more of them after they left the orphanage and before Lucie descended upon the Belfonds. Thoughts??
oh I really disliked it 😭 not because it was disturbing necessarily but because I feel it was basically just a male director’s excuse to show women getting beaten and tortured with an ‘explanation’ that literally made no sense… I think from what I post on here and my letterboxd it’s clear I do like violent/disturbing movies but when they have an actual purpose. The definition of “martyr” this film used was so clearly erroneous that it could only be a scapegoat for the director’s more sinister motives. If he did actually want to make a commentary on how people use false narratives in justification for their immoral actions, he could have done it in a much more articulate way than showing a woman get tortured for 2 hours idk. sorry for my rant lolol but I do think the two main actresses were wonderful and had great chemistry to go back to what you said!
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mmepastel · 24 days
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Rholala, quelle merveille.
Je n’aurais pas cru me passionner pour une histoire de mariage à la cour des Médicis au XVIe siècle, mais la magie de Maggie O’Farrell a encore frappé. Comme pour Hamnet, elle s’est emparé d’un personnage un peu oublié de l’histoire, ici Lucrèce de Médicis, et s’est intéressée à elle, aux silences de l’histoire. Elle est allée dans le sens des rumeurs qui entourent sa mort, un an après ses noces, et a vraiment réussi à faire revivre une époque, des mœurs, des lieux très éloignés de nous, le tout dans une prose éblouissante. Le texte est vraiment très beau, presque précieux, érudit, orné, tout autant que son héroïne est nue, seule, comme une bête sauvage en cage (une tigresse par exemple ?), qui doit pourtant s’efforcer de complaire à tous, et notamment à son ombrageux mari, le duc de Ferrare.
Imaginez, mariée à quinze ans, morte à seize. Ayant vécu certes parmi les privilégiés de son temps, mais entièrement soumise à sa fonction : étendre le pouvoir de ses parents, puis celui de son mari.
C’est drôle, parce qu’au fond, j’ai un peu eu l’impression de lire du Lola Lafon : la fillette, dont on scrute les menstrues avant de lui faire épouser le duc (puisque sa promise -la sœur de Lucrèce ! -est morte de tuberculose), la femme qui doit se taire, obéir à son époux même lorsqu’il se montre effrayant, l’utérus sur pattes qu’elle devient avec son mariage, sommée de donner naissance à un héritier, vite !
Le corps comprimé dans des habits, ou dans les rideaux du lit à baldaquin, sous le corps musculeux de son mari enfiévré, ou entre les murs d’un palais glacial, ou encore empêché, figé, pour permettre une peinture luxueuse, le fameux portrait qui donne le titre au livre.
Malgré toutes ces entraves, ces noeuds serrés autour d’elle, elle réussit, dans la souffrance mais avec un panache intérieur, à s’échapper artistiquement, à saisir la beauté, à comprendre les cœurs, à laisser le sien invincible. Sa force -que lui donne la fiction de l’autrice - est très émouvante. Son histoire devient un conte féministe anachronique, nié par les faits, mais auquel on croit, dur comme fer, même si ce n’est que littérature…
C’est aussi à ça que servent les histoires, réécrire, transformer la laideur en beauté… ce récit est son tombeau, aussi impressionnant que digne et lumineux.
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angelitam · 6 months
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Sur tes traces d'Harlan Coben
Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Sur tes traces d’Harlan Coben, présentation Depuis 5 ans, il est en prison. Il a pris perpétuité pour avoir tué son enfant de 3 ans, Matthew. Il clame son innocence. Mais perdre un enfant, c’est prendre perpétuité de toute façon. Il culpabilise car il n’a pas protégé Matthew. Il n’a jamais voulu de visites. Il reçoit celle de sa belle-soeur,…
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youraufildespages · 2 years
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Nous, les allemands d'Alexander Starritt
Nous, les allemands d’Alexander Starritt
Longtemps, les questions posées par Callum à son grand-père allemand sur la guerre sont restées sans réponse. Et puis, un jour, Meissner s’est décidé à raconter.  Sa vie de soldat sur le front de l’Est, les débuts triomphants, l’esprit de corps, l’ivresse des batailles, et puis le froid, la faim, la misère. Et surtout l’année 1944 quand lui et ses camarades ont compris que la guerre était perdue…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #258
Un livre bouleversant cette semaine et une semaine bien chargée en article et post divers. J'espère ne pas vous avoir trop spamé. Je vous laisse avec un avis éclair sur petit pays de Gaël Faye. Et vous, quel est votre dernière lecture percutante ?
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Un livre bouleversant cette semaine et une semaine bien chargée en article et post…
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bibliocroze · 14 days
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Une page au hasard (extrait 186)
"Chez nos voisins, elle minauda pendant tout le dîner. Elle semblait subjuguée par Samuel. Sa barbe de trois jours, ses yeux bleu clair d'acteur, son front solide, ses cheveux fous blonds et domptés, sa chemise ouverte sur un torse rassurant, tout, chez lui, appelait la séduction."
page 25
Seuls les fantômes / Cyrille Falisse. Belfond, 2024.
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already-14 · 2 years
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Hans BELLMER (Katowitz, 1902- Paris,1975) ETUDE POUR L'HOMMAGE AU MARQUIS DE SADE, 1949
Dessin à la mine de plomb sur papier signé en bas à droite "Bellmer"
Hauteur : 21 Largeur : 20 cm
Provenance : Collection Pierre et Franca Belfond
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