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#brasserie victor hugo
arcuda94 · 1 year
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Saint-Michel et la Goutte d’Or, même combat
                Des « quartiers d'habitats sociaux de fait ». C'est ainsi que que l'on a pu parfois qualifier Saint-Michel à Bordeaux ou la Goutte d'Or à Paris. « Sociaux » car accueillant des populations modestes voire précaires, souvent immigrées. « De fait », car il est initialement question de logements privés, anciens, insalubres, bien que progressivement rénovés ou remplacés par des logements sociaux conventionnés, « de droit ».
Ces quartiers singuliers se ressemblent, tout d'abord par leur situation géographique au sein de la ville. Relativement centraux, au contact du coeur touristique de leur métropole respective (Saint-Paul pour Bordeaux, Montmartre et le 10ème art pour Paris), bien que celui de la Goutte d'Or soit relativement excentré. Avec des prix de l’immobilier plus abordables que sur le reste du territoire, ils permettent depuis quelques décennies à des populations d'étudiants, de jeunes actifs primo-accédants et à une partie de la classe moyenne de se loger à quelques pas des zones les plus attractives. Un phénomène remarquable est alors la nette séparation avec le quartier voisin aisé, symbolisée par une importante voie de circulation : le Cour Victor Hugo à Bordeaux et le Boulevard Barbès à Paris. Sujets à la gentrification, ces quartiers sont souvent au coeur du débat public et politique sur la mixité sociale, des logements sociaux et la question de la requalification urbaine face à celle de la préservation d'un patrimoine urbain historique.
Des quartiers « bastions » : un rôle social et un symbole politique
Leur forte identité « populaire » et multi-ethnique en fait de plus des lieux de revendications incluant une idée de « défense », comme le prouve l'occupation de l'Eglise Saint-Bernard en 1994 ou les graffitis porteurs de messages forts contre la gentrification à Saint-Michel. Les marqueurs de contestation anti-gentrification sont ainsi visibles dans l'espace public mais aussi dans la presse et sur les réseaux sociaux, où s'expriment des personnes fustigeant les transformations brutales de ces lieux à l'image de la brasserie « Barbès », dont l'installation a été encouragée par la mairie. Depuis les années 1980, on compte de nombreuses manifestations des habitants, associations et habitués du quartier qui se sont mobilisés au moyen de pétitions, lors de concertations publiques ou dans la rue pour préserver au mieux le quartier face aux grands projets d'aménagement proposés. C'est notamment le cas pour le Lavoir Moderne Parisien, unique salle de théâtre de la Goutte d'Or qui a pu être conservée malgré l'intérêt menaçant et récurrent de promoteurs immobiliers, ou pour la deuxième grande opération de rénovation du quartier du côté de la rue Myrha à Château Rouge, où l'on note un effort de cohérence architecturale qui avait manqué à la première opération au sud du faubourg.
Des caractéristiques urbaines propres
Ils sont caractérisés par une morphologie urbaine de type faubourg, avec des rues étroites, des habitations relativement basses - entre deux et cinq étages pour la plupart des immeubles -, des petits appartements et une forte densité de population. Ils sont également voisins d'une grande gare (la Gare du Nord pour Paris, la Gare Saint-Jean pour Bordeaux), permettant à Paris et Bordeaux de faire voyager des millions de personnes chaque année, à l'intérieur et à l'extérieur de la région. C'est la raison historique au fait qu'ils soient avant tout des quartiers d'accueil de populations déracinées : arrivent d'abord des provinciaux au 19ème siècle, après les révolutions industrielles, puis une population espagnole et portugaise le siècle suivant, maghrébine à partir du milieu du 20ème, d'Afrique subsaharienne ou des Antilles françaises à partir des années 70 et plus récemment des populations d'Asie à la Goutte d'Or et d'Europe de l’Est et des Balkans aux Capucins.
Un tel pôle de mobilité implique une importante fréquentation et animation des environs, ainsi que la présence de nombreux commerces modestes. Le commerce ethnique, âme du quartier et frein à la gentrification L'offre commerciale singulière qui y est présente est marquée par les vagues migratoires successives qui ont bâti une part de l'identité et l'image de ces quartiers. Le marché africain de Château Rouge, un des plus importants existants d'Europe, se distingue notamment par la très riche variété de ses produits, constituant une offre unique en France. On retrouve à Bordeaux aux Capucins une proposition comparable, aux abords de la rue Élie Gintrac, petite centralité antillaise, tant pour les produits alimentaires que de cosmétique. En parallèle, le nord du quartier - autour de la Basilique Saint-Michel - est ce que le sud de Barbès représente dans le 18ème arrondissement : une centralité maghrébine.
Le phénomène de concentration de commerces dits « ethniques » est dans les deux cas synonyme de la présence de ceux qui « résident sans habiter » (Marie Chabrol) : des personnes qui habitent la métropole mais pas le quartier, qui en sont des usagers. Cela concerne les commerces mais aussi plus simplement l'espace public et l'atmosphère qui y règne, permettant à des primo-arrivants de trouver des contacts familiaux et professionnels notamment. Ces caractéristiques ont souvent été un premier frein à la gentrification, filtrant les nouveaux arrivants : restent ceux qui peuvent s'adapter à l'atmosphère du quartier, qui peut connaître, outre ses atouts des nuisances comme des problèmes de sécurité, la présence pérenne d'usagers de drogues dans les espaces publics et parties communes des immeubles ou plus simplement des nuisances sonores.
La présence pérenne d'usagers de drogue
Ceux-ci sont très présents depuis de nombreuses décennies sur les deux territoires. Le phénomène a parfois été décrié comme étant un véritable fléau, participant grandement à leur mauvaise réputation. Une particularité qui s'explique avec les points précédents : abritant des populations très précaires, Saint-Michel et la Goutte d'Or sont comme beaucoup de quartiers dits « populaires » concernés par la vente et la consommation de drogues dures et souvent peu chères : le crack, l'héroïne ou les médicaments de substitution aux opiacés comme le Subutex. La vente est particulièrement répandue dans ces lieux très vivants et fréquentés de nuit comme de jour, où se mêlent des activités commerciales diverses de rue, légales et illégales. La consommation elle, y était anciennement facilitée par la présence de nombreux squats, aujourd'hui largement réhabilités.
La cohabitation avec les toxicomanes et les sans-domiciles-fixes - bien que moins présents ces dernières années à Saint-Michel - constitue un enjeu important pour le quartier. Le fait qu'un lieu relativement central puisse abriter autant de personnes démunies, en plus de poches de pauvreté, a favorisé la construction d'une solidarité locale. On trouve en effet plusieurs associations d'information et d'accompagnement aux toxicomanes (CEID à Bordeaux, Aurore à Barbès notamment), d'activités et de soutien scolaire pour les jeunes (EGDO à la Goutte d'Or notamment), des cafés solidaires (Café social Dejean, Wanted Café Bordeaux), des distributions de produits de première nécessité, etc. Pour toutes ces raisons, ces quartiers présentent un caractère « populaire » et une identité attachante, que beaucoup tiennent à préserver face la pression immobilière et ce qui ronge depuis plusieurs décennies la plupart des centres-villes des métropoles européennes : la gentrification. Sujet de controverse, ce type d'évolution spatiale souvent décrié transforme les espaces, redore les façades et la réputation de ces lieux mais fait souvent perdre une partie de ce qui les rendait uniques.
On a souvent annoncé cette prophétie pour la Goutte d'Or et Saint-Michel, surtout à cause de leur proximité avec des zones aisées très, attractives et dynamiques. Toutefois, malgré de nombreuses politiques publiques mises en place localement depuis plus de quarante ans, les changements significatifs ont longtemps peiné à se faire remarquer.
La gentrification à la Goutte d'Or, une utopie médiatique plus qu'un phénomène avéré
Concernant la Goutte d'Or (on considérera comme limites du quartier le rectangle Ordener, voies de la Gare du Nord, Boulevard de la Chapelle et Barbès), il est bon de rappeler qu’il s’agissait d’un des quartiers les plus vétustes de France entre 1980 et 2000, comportant une très large proportion de logements insalubres, délabrés et des squats. Sa rénovation considérable a été accompagnée d’une politique de logements, de commerces d’aménagement de l’espace public parfois perçues comme encourageant le phénomène d’embourgeoisement déjà amorcé.
On peut alors citer la création de logements sociaux intermédiaires, parfois au sein d’immeubles avec PLUS/PLAI et l’implantation de commerces destinés à une clientèle plus aisée, qui cristallisent des débats houleux. Très récemment, des espaces publiques comme le passage Boris Vian ou la place Polonceau ont aussi été requalifiés aussi en ce sens. Bien qu’une partie du processus de gentrification soit clairement observable dans l'espace, il semble être voué à rester en l’état, pour plusieurs raisons. D'abord, la très forte proportion de logements sociaux – encore en légère augmentation car il reste des opérations immobilières programmées ainsi que des logements privés rachetés et conventionnés. On compte en effet près de 30% de logements PLAI/PLUS sur près de 11000 (source : documents APUR) résidences principales, qui ont elles augmenté avec la rénovation urbaine avec une certaine densification du nouveau bâti et la réhabilitation de parcelles d'immeubles alors détruites ou en ruine pendant de nombreuses années. De plus, on compte encore des logements sociaux « de fait », bien que récemment rénovés, car étant petits, sombres et proches de commerces ou rues générant beaucoup de nuisances, et quelques hôtels meublés restants. La situation d'évitement scolaire – radicale à partir du collège – et les appartements petits entraînent par ailleurs une importante mobilité résidentielle avec des « gentrifieurs » qui n'habitent la plupart du temps le quartier que quelques années avant que le ou les enfants n'atteignent un certain âge.
La gentrification partielle qui a déjà lieu à la Goutte d’Or entraîne, parmi ses effets pervers, une conséquence qui va paradoxalement à l’encontre du processus. Il s’agit du surpeuplement des populations précaires dans les logements sociaux de droit et de fait, du fait de la réduction de l’offre de logements dans la capitale qui leur était autrefois accessible. La très forte fréquentation du quartier par les « résidents sans habiter », due à l’extraordinaire offre de commerces constitue en outre une entrave importante à la gentrification, car les effets socio-économiques – en particulier le changement de population - de celle-ci en sont moins visibles dans l’espace public, et les nuisances associées ne cessent pas. Si l’on décompose les catégories de « gentrifieurs », on peut observer les « pionniers », attirés par l’atmosphère du quartier, et les autres, qui ont une sensibilité aux nuisances plus forte. Ainsi, ces derniers vont beaucoup plus difficilement s’installer durablement dans le quartier.
La présence de tels commerces lui assure donc une fonction « d’espace de déambulation populaire » (Dominique Chevalier, François Duchene et Thomas Zanetti, « Palimpsestes mémoriels, gentrification inachevée et voisinages migratoires : l’exemple de commerces de La Guillotière à Lyon ») et le « marché informel et les ventes illicites » associés gênent sa transformation. Le quartier reste donc un haut lieu d’accueil pour les populations primo-arrivantes et défavorisées, avec une très grande offre de logements sociaux, comparable aux plus grands ensembles d’île-de- France comme la cité des 3000 à Aulnay-sous-bois. A titre comparatif, la plus grande de Paris à Curial-Cambrai compte quant à elle 1800 logements sociaux sur un périmètre bien plus vaste. On note par ailleurs la présence notable de foyers de jeunes travailleurs ou des logements pour personnes en réinsertion avec un centre pour toxicomanes, et plus généralement une offre en habitat PLAI pour les plus précaires. Cette forte proportion maintenant en place la plupart des fonctions de la Goutte d’Or est le fruit de combats et de contestation solidaires de la part des habitants au fil des décennies, contre les décisions et expulsions hâtives de la mairie. D’après les documents de l’APUR, si le niveau de vie général a augmenté, les inégalités se sont creusées et les indicateurs numériques de précarité sont aujourd’hui encore très élevés dans ce quartier densément peuplé (d’environ 23500 habitants en 2014 sur le périmètre Ordener, APUR, recensement INSEE) qui a toujours accueilli des populations aux revenus significativement différents. Plus homogène dans les années 80, il accueillait tout de même une importante population d’ouvriers qualifiés, de commerçants et de professions intermédiaires constituant une classe moyenne. C’est celle-ci qui semblerait le plus avoir été renouvelée aujourd’hui, tandis ce que les populations précaires se sont pérennisées dans les nombreux logements qui leur sont demeurés accessibles après la principale phase de la rénovation dans les années 1990-2000.
D’après de nombreux anciens, une des choses les plus regrettables à toutes ces évolutions est la perte d’homogénéité et de cohésion entre les différentes populations qui « se côtoient sans se connaître ». La création de lieux culturels comme le FGO Barbara ou le 360 Paris Music Factory permet certes à toute une population d’avoir un accès aux loisirs et à la culture de proximité mais ne suffit pas à significativement augmenter la fréquentation du quartier par sa classe moyenne supérieure ou les habitants extérieurs. Une partie mène sa vie sociale à l’extérieur, l’autre y reste enclavée. On peut citer de nombreux points communs avec le développement du processus de gentrification à Saint-Michel, ainsi que sa manière de lutter contre. Toutefois, la politique de logements sociaux confiée au bailleur InCité semble être moins large qu’à la Goutte d’Or, à noter qu’elle est particulièrement respectueuse du patrimoine architectural, privilégiant le plus souvent la réhabilitation à la démolition. Il s’agit pourtant du meilleur moyen de lutter contre une arrivée trop soudaine de ses effets et de conserver ses fonctions de quartier populaire et cosmopolite central. Cela laisse supposer que ce territoire en sera plus touché, bien que son avenir soit très dépendant du projet Euratlantique, dont la fin est estimée à l’horizon 2027.
Les bastions populaires centraux européens, héritage des villes anciennes
Parmi les bastions populaires centraux des grandes métropoles européennes, certains montrent de nombreuses similitudes avec Saint-Michel et la Goutte d’Or. On peut noter le quartier de Ballaro à Palerme : la partie sud-ouest du centre historique. Proche de la gare Palermo Centrale, ce quartier très ancien et dégradé voit son quotidien rythmé par son marché abritant du commerce de rue. Il est fréquenté et peuplé par de nombreux immigrés d'Afrique de l'Ouest depuis quelques années. San Berillo à Catane, El Raval à Barcelone, La Guillotière à Lyon, Saint-Jacques à Perpignan, Il Prè à Gènes. Beaucoup de villes semblent disposer d'un quartier proposant de nombreuses fonctions communes et disposant de caractéristiques similaires. On peut également parler de Wazemmes à Lille, des Quartiers espagnols de Naples, ou de Noailles à Marseille. Tous ou presque sont des quartiers historiquement « populaires », qui ont souvent connu une ère de déclin au XXème siècle. Ils sont devenus au fil des décennies multi-ethniques et particulièrement disposés à loger les classes ouvrières. Leur densité, leur position centrale et leur accessibilité au sein de la ville en ont aussi fait des lieux de commerces où se concentrent divers artisans et vendeurs. Celle-ci est également responsable du phénomène de gentrification qui s'y généralise depuis quelques années – initié ou accompagné par des politiques de revalorisation des centres anciens - la frontière avec le quartier aisé voisin devenant de plus en plus floue. Bien que le nombre de villes et la zone géographique étudiées ici sont limitées, il semble que ces villes dites « romaines », ou « européennes » présente le plus souvent un bastion populaire central. Celles-ci peuvent être rassemblées comme étant des villes européennes anciennes, très denses, comprenant souvent un cours d'eau ou la mer et une concentration du patrimoine culturel historique en leur centre. Pour terminer, ces points communs peuvent s'expliquer par la structure des villes, étant construites autour de leur coeur historique qui concentre la plupart des aménités et surtout par leur âge. Leur ancienneté permet de mettre en évidence différente étapes de développement de leur morphologie urbaine. En premier lieu, la ville se résumait à son centre, et ces quartiers n'en étaient que la périphérie, permettant de loger les classes populaires. Vient souvent ensuite une périurbanisation, avec d'un côté les acquéreurs de maisons individuelles et de l'autre le développement des grands ensembles. Enfin, un phénomène de métropolisation et de retour au centre par sa revalorisation. Ainsi, chacun d'entre eux a plus ou moins été atteint par la gentrification, selon l'ampleur de ces facteurs et de celle du phénomène au sein de la ville, avec parfois en réponse des politiques de préservation comme celles de logements sociaux. A noter que tout cela n'est pas un constat homogène, et qu'il s'applique différemment selon chaque territoire : ainsi, l'hyper-centre de Palerme est très longtemps resté et est encore aujourd'hui très populaire, avec une partie importante des classes moyennes en périphérie. Il reste donc à observer les différentes trajectoires de ces bastions, amenés à subir ou résister à la pression immobilière due à l'attractivité des métropoles européennes. L'identité de ceux-ci semble souvent être en mesure de les préserver d'une gentrification totale, que peut connaître le reste du centre historique. Mais si les dynamiques de peuplement de ces villes venaient à se modifier, à l'image des conséquences de la pandémie de la COVID-19 sur les territoires urbains et ruraux, ces lieux centraux pourraient alors être amenés à se paupériser à nouveau.
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flourahl · 3 years
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darinagritsenko
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photodebiere · 4 years
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Gavroche Ambrée (brasserie de St Sylvestre - Flandre, vallée des 3 monts) -  Calendrier de l’avent “Une petite mousse” - Jour 15 -  (bières artisanales françaises) -
“La Gavroche est le fruit de nombreuses années de recherche : amorcée en 1989, sa recette ne sera validée et lancée qu’en 1997 ! Cette bière a été nommée en référence au célèbre personnage de Victor Hugo : une bière costaude, généreuse et de caractère qui ne manque jamais d’enchanter le quotidien !”
Gavroche dans “Les Misérables” (film de 2012) 
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mayowa20-blog · 5 years
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Click here to learn more about France
At the Hotel Les Rives de Notre Dame  in Paris. The atmosphere is Parisian, the charm and furnishings are Parisian, the affability of the personnel is Parisian, hosting guests with cordial professionalism, ensuring a pleasant stay in a hotel in Paris.
The roofs of the hotel, completely soundproof, are in an authentic historic Parisian residence, facing the Seine, with a view of Notre-Dame, a few steps from the Musée d'Orsay and from the Louvre. There is quiet in every room, from the reception to the breakfast room, from the hall to the rooms. the services and conveniences are the best among those offered by 4-star hotels in Paris
Ville lumiere (City of Lights), city of museums, city of love. Paris is everything you could desire. Hotel Les Rives de Notre Dame, Pariswelcomes you in an area with the most characteristic cafes and brasseries, with trendy new nightclubs; with the most important museums in the world, with the magnificent contemporary architecture, with shopping in the picturesque boutiques and high fashion show rooms.
Paris is there, just outside the exit of Hotel Les Rives de Notre Dame, to discover on foot, or on the metropolitan subway stopping three minutes from the hotel, or by boat on the Bateaux Parisiens along the Seine
Facing the Seine and with a view of Notre-Dame, the Hotel Les Rives de Notre Dame, is in the heart of the Paris of everyone’s dreams. In front of the hotel, the Île-de the Cité, the heart of Paris, in an atmosphere of art and history, with the marvelous Cathedral of Notre Dame with unequalled Gothic forms, and the Sainte-Chapelle. Here the immense windows, 15 meters tall, are a unique combination of colors and spirituality, while the historic Concergerie and Palais de Justice, a prison and court in Medieval times.
During the years of the French Revolution, it held in its cells and in its rooms Marie Antoinette, Danton and Robespierre, and it still has a disturbing atmosphere. Beautiful and sunny in every season, however, is the Marché aux Fleurs, the historic and picturesque flower market
The Latin Quarter is all around the hotel. This is the Paris of lively atmosphere, little cafes, shops and narrow streets. This is the quarter of art studios, here is the Sorbonne, the most famous university of Paris, and here at one time only Latin was spoken, which gave the quarter its name. Event today between Rue des Ecoles and Rue Saint Jacques, students and professors are seen, among university bookstores and cafés. You must see Saint-Séverin, the delightful gothic church of the quarter and the Panthéon, the large church holding in its crypt the tombs of famous Frenchmen, including Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo and Emile Zola.
There is also St-Germain-des-Prés, the elegant and intellectual area of Paris, the Marais, around the beautiful Place des Voges, authentic and lively, where craftsmen’s shops and antique stores are still seen, just a few metro stops from the Hotel Les Rives de Notre Dame.
Right in the heart of the city, the 5èth arrondissement, a neighborhood full of famous Parisian cafes like Cafè Flore, Les 3 Magots, Caveaux de la Huchette and Passage du Chat Noir, can be easily reached by public transportation. The Saint-Michel Notre-Dame subway station, where the RER B train stops, is accessible by the new elevator adjacent to the hotel and connects directly to the Paris-Charles de Gaulle (CDG) and Paris-Orly (ORY) airports
i will advise you to pay a visit to paris,a trial will convince you
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bbclesmis · 5 years
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Les Miserables filming locations: where the BBC series was filmed – and how to visit
The beautiful locations featured in the new BBC adaptation might surprise you
Belgium is the real star of Les Misérables. Not a single scene from the BBC’s epic adaptation of Victor Hugo’s classic novel was shot in Paris, and very little was filmed in France.
Dominic West, who plays Jean Valjean, and his co-stars spent six months touring Belgium’s historic towns and villages. “It’s a story on the move and of the people, so you want to film on the street as much as you possibly can, which is pretty challenging,” says producer Chris Carey.
“It’s a lot easier to shoot in a studio rather than to invade different parts of Belgium, but it was very important to our director that we were outside as much as possible.”
Brussels
Belgium’s French-speaking capital has several cameos. When Baron Pontmercy pays his father-in-law a visit in episode one, he is strolling down Rue du Peuplier in the shadow of the mighty Beguinage Church, a 17th century Baroque church in the heart of the city.
Look out for a grand arch looming over a square where a funeral procession takes place in a later episode. This arc de triomphe is in Cinquantenaire, a park dotted with museums in Brussels’ European quarter. “We needed somewhere monumental and massive for that moment. It’s more of a semi-circle actually, but come the revolution it’ll look like a square,” says Carey.
Monsieur Gillenormand’s apartment is an antiques shop called Costermans on Place du Grand Sablon 5. “We had to be extremely careful because they have a lot of very precious antiques that we’d have had to pay for if we’d broken them.”
Why go?
There’s more to Brussels than politics and bureaucracy. Admire the flamboyant Flemish guildhouses that line its Grand Place, visit the elegant home of the inventor of Art Nouveau, Victor Horta and explore the thriving contemporary art scene. Indulge in great beer, waffles, double-fried frites and Belgium’s famous chocolates.
Around Brussels
The production team spent three weeks at Enghien Castle, which doubled up as a police station, the convent and Valjean’s safehouse, among other things.
They also did some time in a former jail in Vilvoorde, a town north of the city. “It doesn’t look much from the outside, but inside there’s an 18th century prison. It’s horrible,” says Carey.
Why go?
Surprise your family by informing them you’ve spent a night in jail: The Lodge is a hotel with a spa located in part of Vilvoorde’s old prison. The rooms are stylish and spacious these days. Enghien’s beautiful landscaped gardens are open to the public and include a dahlia garden and one with over 800 varieties of roses.
Limbourg
“We spent an incredibly cold week there last February,” says Carey. “It’s a stunning place. We had to do almost nothing to it apart from take out some modern piping and electrical wires, and bring in some fake snow.
Why go?
You can choose from more than a hundred beers and tuck into a regional speciality like calf’s head at Brasserie St-Georges, an old-world bistro in the cobbled square. There’s an art gallery in the old town hall, Espace Arvo.
Ghent
Belgium’s best kept secret – the city of Ghent – stood in for Paris. In episode four, you’ll see civil unrest taking place under its bridges, although the buildings no longer have their distinctive stepped gables; the CGI team replaced them because they looked too Flemish.
Why go?
This medieval city has a 12th-century fortress with panoramic views, fantastic museums and the Holy Food Market – a chapel that’s now a temple to gastronomy.
Namur
The production crew owned a bridge for a night in the capital of Belgium’s French-speaking region, Wallonia, which is the setting for a dramatic scene involving Javert.
Namur is crowned by one of Europe’s largest fortresses, but its biggest claim to fame is being the birthplace of French fries. The story goes that the Namurois loved to eat fried fish. When the river froze during a harsh winter, they decided to cut up potato in the shape of fish and fry them instead.
Why go?
With its charming museums, snug restaurants and vintage shops, Namur’s old town is a lovely place to while away a couple of days. There are superb views from the citadel and you can take a boat trip down the River Meuse.
The French locations
Sedan
Most of the Paris scenes were filmed in Sedan, a town a few miles from the Belgian border in north-east France. “No one’s heard of Sedan, but it’s an unbelievably beautiful town with a massive old fort in the middle of it,” says Carey. “I’d really encourage people to visit.”
The fort doubled as Toulon, where Valjean serves the end of his sentence in episode one, while Sedan’s streets were transformed into the barricades in episodes five and six. “The people of Sedan were amazing. They let us caper about with hundreds of extras, shooting guns and firing cannons at all hours of the day and night.”
Why go?
This tranquil town has a colourful history thanks to its precarious location; Napoleon III and 100,000 of his troops were taken prisoner here during the Franco-Prussian War. Part of the vast fort – one of the largest in Europe – has been converted into luxury accommodation, Hotel Le Chateau Fort.
Marville
This Renaissance village stood in for Digne, where Valjean gets work hauling barrels in episode one and encounters a wise bishop. It’s only an hour’s drive from Sedan and six miles from the Belgian border.
Why go?
Marville has been voted one of France’s favourite villages. Admire the wealthy merchants’ houses from the 16th and 17th century, then stroll around their ornate tombs in its atmospheric cemetery Saint-Hilaire.
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Retrouvez-nous le Vendredi 26 Juin à "La Brasserie Le Victor" 30 av Victor Hugo 34200 SETE #sete #frontignan #marseillan #balaruclesbains (à Le Victor) https://www.instagram.com/p/CBxT9dkqj6z/?igshid=174ytqaxz6222
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Histoire de la violence
Je suis en train de gronder ma fille. Je suis en train de lui pourrir la tête, pour être plus précise, la plupart de mes potards sont dans le rouge et ma voix — cette voix que je maitrise si bien — fait vibrer l’air de la pièce comme s’il allait voler en éclats et s’effondrer en poussière de bruit sur le carrelage. Je hurle sur ma fille de 7 ou 8 ans qui a dû faire un truc de traviole, comme ne pas réussir à enfiler ses groles en moins d’un quart heure ou ne pas correctement tenir le couteau pour couper sa viande, va savoir. Il y a aussi pas mal de chances que je l’engueule pour prendre de vitesse son père qui, lui-même, ne supporte pas certains comportements qui ne m’émeuvent pas plus que cela, mais qui le font subitement sortir de ses gonds.
Ma fille se ramasse donc une avalanche de décibels en pleine poire et probablement la pluie de postillons qui va avec, et se met à sourire dans la tempête, ce qui a aussitôt le même effet intéressant sur moi qu’un pompier en a sur l’incendie en l’arrosant de kérosène. Avec ces conneries, je vais encore avoir du mal à parler pendant les prochaines heures et je sens les chevaux de la colère défoncer la porte de mon esprit avant de déferler avec l’implacabilité de la justice au galop sur la petite impertinente… quand j’accroche son regard, vide de tout et particulièrement de joie.
Il ne faut qu’une fraction de seconde à mon cerveau entrainé1 pour faire le tour des expressions non verbales de ma fille et pour comprendre qu’elle ne sourit pas du tout, mais que sidérée par la peur, elle a plaqué sur son visage la mimique de soumission typique des grands primates, un putain de réflexe atavique dont plusieurs millénaires de vernis civilisationnels ne sont manifestement pas venus à bout. Ma colère s’est instantanément solidifiée et m’a figée dans sa gangue de glace et tout ce que je parviens à voir pendant que mon champ de vision se rétrécit au diamètre d’un faisceau laser, c’est le reflet de mon visage dans la pupille dilatée de ma fille, c’est le masque du monstre que je suis devenue.
La place des enfants
Ce qui remonte juste après est une scène très lointaine exhumée de mon adolescence, un jour où j’observe mon prof d’allemand cheminer sur le trottoir d’en face avec son plus jeune enfant. Monsieur Garlet a passé quelques années à tenter d’inculquer à une maigre poignée de jeunes Gascons dont je faisais partie les rudiments de cette langue de Goethe qu’il affectionnait tant. Mais il fit bien plus que cela, nous initiant à la recette maternelle de la vraie choucroute qui embaumait ensuite pendant plusieurs semaines les couloirs autour de la classe de langue ou nous accompagnant dans d’inoubliables épopées bavaroises dont nous ramenions chacun immanquablement une caisse de vraie bière de brasserie, bébés compris.
Monsieur Garlet m’a toujours fait penser au Pierre Richard du Grand blond avec une chaussure noire, au détail près qu’il était particulièrement brun. Il avait un côté délicieusement lunaire, comme un E.T. humanoïde qui a cessé d’espérer que ses potes l’extraient un jour du dépotoir intergalactique où il avait échoué en notre compagnie. Il nous apprenait donc les déclinaisons, la réconciliation teutonique, et, ayant perçu mon oreille musicale, il m’avait même appris à écouter le moteur de sa guimbarde (une sorte de version familiale de celle de Colombo) jusqu’à reconnaitre lequel de ses 4 cylindres avait fini par rendre l’âme.
Monsieur Garlet descendait donc la longue rue Victor Hugo au milieu de laquelle il habitait la seule maison sans volets qui m’avait été donné de voir en dehors de mes pérégrinations germanisantes, mais il le faisait comme d’habitude, à sa manière unique. Tous les 3 pas environ, il s’arrêtait à la suite de son fils et il patientait, le temps que le bambin finisse son affaire du moment qui allait de sauter copieusement dans toutes les flaques du trottoir, y compris et surtout celles qui lui permettent d’éclabousser généreusement le velours côtelé des pantalons de son père, à tourner consciencieusement autour de chaque poteau de signalisation, comme dans un invisible manège intérieur. Il y avait aussi de grands silences contemplatifs autour de crottes de chien ou de feuilles d’arbres perdues, de mégots aplatis, voire de petits cailloux visibles de lui seul. J’ai regardé avec stupéfaction et envie ce chemin de croix à l’envers, comme peuvent le comprendre tous ceux qui, comme moi, ont grandi dans le sillage des pas toujours pressés de leurs parents, petites ombres sommées de trottiner vigoureusement pour tenter de ne pas se faire distancer. Il a fallu au moins une éternité et demie à monsieur Garlet pour arriver chez lui, à ce rythme qui aurait tué d’ennui un sénateur, son train et la voie ferrée entière avec et, à aucun moment, je ne l’ai vu marquer la moindre impatience. Pire que tout, il me semble bien — à travers le lorgnon du temps — qu’il prenait un intense et franc plaisir à marcher dans les pas de son fils.
Monsieur Garlet était ce que l’on appelait à l’époque un original, ce qui nous exonérait de toute nécessité d’analyser ou de comprendre son comportement et — quel soulagement ! — de seulement interroger nos habitudes et nos certitudes, comme de devoir toujours nous rendre du point A au point B avec la plus grande célérité. D’ailleurs, ses méthodes éducatives permissives et non fondées sur la contrainte étaient rapidement balayées d’un revers de la main, tant il était évident pour tous et frappé au coin du bon sens, que qui aime bien châtie bien et que gâter ses enfants (autrement dit, refuser le juste châtiment), c’était leur construire un sombre avenir de délinquants…
Histoire de ma colère
À quel moment de ma vie me faire hurler dessus m’a aidée à comprendre ou à faire mieux quoi que ce soit ? Est-ce que la punition ou même la menace de la punition nous a poussés à nous dépasser ou est-ce que cela nous a juste rendus plus enclins à la dissimulation et au mensonge, à la recherche de la moindre coercition ? En quoi la colère nous rend-elle plus efficients, plus justes, plus « quoi que ce soit », en dehors de la violence ?
J’avais déjà appris la stupidité de la violence physique le jour où j’avais vu une mère hors d’elle coller une mornifle à son très jeune enfant en lui beuglant dessus qu’il ne faut pas taper plus petit que soi. Mais comme tout bon parent — applaudi et encouragé par l’ensemble du corps social —, je continuais à exercer sans vergogne ma domination sur ma fille en usant avec toute la bonne conscience du monde de menaces, du chantage et de la violence verbale sur un être qui était par ailleurs totalement vulnérable et dépendant de nous, ses parents. Et le pire dans tout ça, c’est que je le faisais au nom de son bien. Pourtant, il m’aurait suffi de juste repenser à ma propre enfance pour comprendre que je ne faisais que perpétuer le cycle de la violence.
Mon plus ancien souvenir, c’est ma mère menaçant mon père avec un grand couteau de cuisine, lui se protégeant avec une chaise en bois dont l’assise aurait été un bouclier viking. Ce souvenir s’accompagne toujours de la sensation de mort imminente que j’ai ressentie à ce moment-là et qui a fait de moi une petite dormeuse inquiète jusqu’à ce que je referme un jour à clé la porte de mon premier appartement, de mon premier chez-moi. Si mon enfance devait avoir une saveur, ce serait un gout de cendres, un mélange poisseux et volatile de peur et de honte. Et au cœur de cette cendre, compressée en un petit diamant coupant, ma colère. Ma colère de mon enfance perdue, ma colère des fausses promesses des adultes, ma colère de la profonde injustice que cela peut être de grandir dans la peur.
Comme le cœur noir de la matière humaine, on peut aussi chérir cette colère. Cette colère qui m’a tenue debout des années, cette colère qui m’a protégée des malfaisants et des malintentionnés, cette colère qui soulève aussi des montagnes et refuse toute soumission et toute reddition en rase campagne. Oui, on peut aussi l’utiliser, s’appuyer dessus, comme sur une béquille, mais la vérité est encore plus crue quand elle se reflète dans le regard de ton enfant et que tu comprends que ta colère te possède, te manipule et t’aveugle depuis des années.
On ne se débarrasse pas d’une aussi vieille compagne comme d’un mauvais manteau ou d’un tas d’oripeaux que l’on abandonne sur le bas-côté. On doit tout d’abord accepter le fait qu’elle est là et qu’elle fait partie de soi, de son histoire. On doit aussi accepter de tout remettre à plat, tout remettre en question, torpiller les certitudes et tordre le cou au fameux bon sens. On doit accepter l’aide de ceux qui sont capables, qui ont déjà fait un bout de chemin. C’est plus ou moins à cette période que j’ai croisé Carole Fabre et sa pensée, particulièrement sur la domination parentale. C’est marrant quand on y pense : j’œuvrais contre la domination patriarcale, celle du capital, contre la violence de l’État et des institutions, contre les abus à l’encontre des plus faibles et paf !, je ne voyais pas la foutue poutre dans mon œil, je ne comprenais pas que je faisais aussi partie du problème, que j’approuvais le dressage des enfants et toute la violence dont nous faisons collectivement usage contre eux.
Admettre qu’on a merdé, c’est grandir un peu, travailler à réparer, c’est la moindre des choses.
Est-ce que ma colère m’a quittée ? Bien sûr que non ! Et pourtant, je tente de me tenir éloignée des saloperies crasses que ne cessent de nous infliger ceux qui prétendent nous gouverner, car à chaque fois que je suis confrontée à la profondeur abyssale de leur forfaiture, je suis un Etna de colère. Une bonne grosse et saine colère contre l’ordre injuste. Est-ce que j’ai cessé de pourrir ma fille ? À présent qu’elle fait une bonne tête de plus que moi, ce serait totalement ridicule, mais oui, il s’est passé quelque chose ce jour-là et rien que pour ça, je ne regretterai jamais mes études d’éthologie. Il a fallu du temps, de la patience (dont je suis assez cruellement dépourvue), des discussions, des échanges, des réflexions, des débats. Il a fallu aussi que j’explique les choses à ma fille et que je lui demande pardon pour tout cela. Il nous a fallu recommencer à inventer d’autres manières de fonctionner ensemble et aussi renoncer à trouver une recette et accepter de tâtonner dans l’ombre, de nous planter, de l’admettre et de nous adapter sans cesse. Il nous a fallu accepter notre immense perfectibilité et prendre notre part de responsabilité de l’origine du problème pour pouvoir espérer nous améliorer et surtout améliorer notre relation avec tous ceux qui comptent pour nous, à commencer par notre fille.
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zona-oeste-sp · 5 years
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Rua Oscar Freire SP
A rua Oscar Freire é uma via localizada nos bairros Cerqueira César (Jardins) e Pinheiros, ambos pertencentes a zona oeste da cidade de São Paulo, e é considerada um dos principais endereços de compras de lojas de rua na cidade.
Entre as ruas Melo Alves e Padre João Manoel, os postes foram retirados e os fios da rede elétrica transformados em um sistema subterrâneo, tornando o visual do local mais agradável.
A Avenida Rebouças cruza a rua separando os bairros acima citados.
A Oscar Freire tem extensão de 2.600 m com início da sua numeração na Alameda Casa Branca, e final na Avenida Doutor Arnaldo, e tem à sua disposição a estação de metrô Oscar Freire da Linha 4-Amarela, inaugurada em 4 de abril de 2018.
O nome da rua é uma homenagem ao médico legista baiano Oscar Freire de Carvalho, um dos principais discípulos do cientista maranhense Nina Rodrigues. Freire foi responsável pela introdução do ensino de medicina legal na Faculdade de Medicina da Universidade da Bahia e, posteriormente, em São Paulo.
Em 1918, foi convidado pelo professor Arnaldo Vieira de Carvalho para ser professor catedrático da antiga Faculdade de Medicina e Cirurgia (atual Faculdade de Medicina da USP). Foi ainda um dos fundadores do Instituto Médico Legal de São Paulo.
A rua é avaliada como um dos metros quadrados mais caros da América Latina, e reconhecida por ser um dos pontos de comércio mais elegantes e valorizados da cidade de São Paulo.
Geralmente essas lojas fazem um espaço conceito, ou seja, uma loja diferenciada das que elas têm em outros bairros e cidades. No ano de 2008, foi eleita pela pesquisa Excellence Mystery Shopping,a 8º região mais luxuosa do mundo. Atingiu o seu auge entre 2004 e 2006. Ao todo são 110 lojas associadas à Associação dos Lojistas dos Jardins (ALOJ).
Apesar de ser extensa (2600 metros), reúne, em poucos quarteirões, nas proximidades entre o cruzamento com a rua Augusta, algumas das grifes mais famosas e caras com atuação no país dentro ramo da moda e acessórios, como a Shoulder, Le Lis Blanc, Tommy Hilfiger, Forum, Osklen, Camper, H. Stern, Ellus, Animale, Canal, Rosa Chá, Spezzato, Track & Field, Montblanc, Pandora, entre outras.
De acordo com a Excellence Mystery Shopping International, uma organização internacional que reúne institutos de pesquisa de mercado, a rua Oscar Freire foi eleita uma das oito ruas mais luxuosas do mundo.
É a quarta rua mais luxuosa do continente americano depois da quinta avenida em iorque nova e o presidente de avenida masaryk e calle madero ambos localizaram na cidade de méxico.
Nas ruas transversais e paralelas à Oscar Freire, como a Haddock Lobo, a Bela Cintra, a Melo Alves e a Alameda Lorena, eram encontradas importantes boutiques internacionais, como a Christian Dior, Louis Vuitton, Salvatore Ferragamo, Bulgari e Cartier, que fecharam suas portas na região. No entanto, as grifes internacionais Roberto Cavalli e Versace, permanecem com lojas em funcionamento.
A Oscar Freire e suas ruas adjacentes também abrigam diversos restaurantes, bares, entre eles o Fasano, Piselli, Antiquarius, Almanara, Chez Oscar, Italy, Serafina, P.J. Clarke´s e recentemente foi aberta uma franquia da hamburgueria Burger Joint, de Nova York, na qual o dono é o ator Bruno Gagliasso,e docerias, entre elas a Ici Brasserie, Gero, Rodeio, A Bela Sintra, as sorveterias Baccio di Latte e Ben & Jerrys, a doceiras Dulca, Kopenhagen, Cristallo e recentemente a Carlo’s Bakery . As ruas também contam com obras de grafite do renomado artista Kobra.
Além disso, a rua é considerada um lugar onde várias celebridades podem ser vistas normalmente fazendo compras pelas lojas luxuosas.
Pracinha Oscar Freire
A Rua também conta com uma “Pracinha” nomeada com o próprio nome de sua localização, definida também como um pocket park.
Inaugurada em 21 de maio de 2014, foi instalada em uma rampa de acesso a um estacionamento particular e foi transformada em espaço de lazer e descanso nesta rua de comércio luxuoso, propondo novas relações com os espaços abertos ao público.
Além de poder receber eventos, workshops e food trucks, conta com uma parede de “lousa” em que pode ser escrita com giz e também paredes de grafite que virou local para fotos.
espaço foi criado pelo Instituto Mobilidade Verde em parceria com a incorporadora Reud. A idéia é inspirar e incentivar as pessoas a levarem seu trabalho ao ar livre, dentro deste conceito, estão convidados empresas e funcionários em geral, para passarem meio período trabalhando ao ar livre em mesas coletivas no meio urbano.
A Pracinha Oscar Freire tinha como projeto funcionar por um ano mas está ativa até os dias atuais.
Rua Oscar Freire SP Lojas
Osklen Oscar Freire
Arezzo
Flagship Chilli Beans
Havaianas
Fillity
Rua Oscar Freire SP Restaurantes
Urban Remedy
Varandinha Restaurante e Bar
Chez Oscar
Tanit Culinária Espanhola
Almanara
Rua Oscar Freire SP Hotéis
Comfort Suites Oscar Freire
Quality Suites Oscar Freire
WZ Hotel Jardins
Regent Park Suite Hotel
Rua Oscar Freire SP O que fazer
A Rua Oscar Freire é conhecida por ser reduto das lojas mais caras de São Paulo, de cafés e restaurantes chiques, carros importados e ser palco de um desfile frenético de endinheirados. Mas essa famosa rua paulistana é um lugar muito agradável para um passeio durante a tarde, mesmo para quem não tem o cartão de crédito sem limite.
Se você não mora na capital paulista, então, não pode deixar de visitar esse que é um dos símbolos da cidade.
Mas por que ir até lá mesmo quando não se pode comprar? A rua localizada no charmoso bairro dos Jardins tem um mobiliário público que convida a uma caminhada sem compromisso (como calçadas padronizadas, árvores, bancos de madeira e aço inox, mapas e fiação subterrânea), é cosmopolita e reúne gente bonita, além de abrigar as vitrines de rua mais bonitas de São Paulo. Nos quarteirões reurbanizados recentemente, estão mais de 200 lojas de marcas internacionais, como Emporio Armani, Calvin Klein, Nike, Lacoste, Montblanc Boutique e Victor Hugo. Pertinho dali, na Rua Haddock Lobo, ficam grifes como Cartier, Tiffany & Co., Christian Dior e Bvlgari. Reunimos então algumas dicas para você curtir a região sem precisar sair de lá com o saldo no vermelho.
RUA OSCAR FREIRE PARA OS MORTAIS
ESPAÇO HAVAIANAS
Já que o consumismo impera por ali, nós pobres mortais também merecemos umas comprinhas. E o Espaço Havaianas é uma ótima oportunidade. A loja-conceito é linda, moderna, colorida e – o melhor – com os mesmos preços praticados nas demais lojas da rede.
Cheio de estrangeiros alucinados pelas sandálias mais famosas do mundo, o Espaço Havaianas reúne toda a linha da marca, acessórios, além dos modelos que fazem sucesso lá fora (no lugar existe um container com sandálias tipo exportação).
HORA DA FOME
Quando bate aquela fominha e você está em pleno Jardins, mas não quer gastar fortunas em um dos restaurantes top da rua, também existem opções. Uma delas é o Suco Bagaço. Praticamente esquina da Haddock Lobo com a Oscar Freire, a lanchonete oferece sucos naturais e opções de sanduíches saudáveis
PARA REFRESCAR
Um programa que também vale muito a pena e é barato é visitar a Magnum Store. A loja-conceito da Kibon permite que os clientes personalizem a cobertura de seu Magnum.
Mapa de localização
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gagblemagnifique · 7 years
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Radio Paris Post-Mortem n°10: Enterrement
Radio paris Post-mortem n°10: Hop!on retourne dans la tombe! Le train fantôme s’arrête. On s'est fait bien peur, mais tout va bien parce qu'on savait que c’était pas pour de vrai. Elle nous a fait chier cette foire du trône. Heureusement le manège est fini, on a pas chopé la queue du mickey, ça tombe bien, qui avait envie d'un tour gratuit​? C'est le règne de la machine a sous dorénavant, nous ne serons plus que spectateurs d'une sinistre​ pièce. Au chaud dans la tombe, a l'ombre, nous regardons le grand cirque se poursuivre. Inconnue comme le soldat, ce n'est pas notre flamme qui fait lumière. Face au mépris et a l'ignorance dont nous toisent les princes et les banquiers, nous répondrons de la plus belle manière, comme le serveur d'une brasserie parisienne, révolté et hargneux de n'avoir face a ses revendications, que le silence d'une tombe. Les clowns sont à la fête, on est loin du parc Asterix, même si nous nous voulons irréductible. De loin, tout ça ressemble plus au puy du fou ou à une très mauvaise kermesse, pas un seul chamboule tout à portée, pas de cibles a fléchettes, aucuns moyens de catharsiser physiquement. Pas encore. Pas encore. Après la foire viendra le carnaval, le défilé des cons commence demain, le premier serviteur du roi en 1er, celui des vauriens bientôt. Notre drapeau est en berne, nous nous ré-enterrons. Blasé sans blasons, las d’être ici, notre tombe n'est pas gravée dans la pierre, tels des zombies nous pourrions revenir bouffer des cervelles en manque de nourriture. Faire chier les vivants est non pas notre lot, contrairement a Sisyphe, nous gravissons la montagne avec plaisir. Haut les cœurs! Nous remplacerons Lucifer par un soviet, pour donner tout son sens à la couleur rouge. Contre le libéralisme inhumain qui ne dit même pas bonjours, siamo tutti clandestini!!!! La trêve viendra t-elle? Verra t-on un drapeau blanc? Incertitude de juin. On finit sur une petite citation: “ constater c'est contester. Victor hugo.” Des bises
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huariqueje · 6 years
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Brasserie Victor Hugo, Paris   -   William Farley
American, b. 1895 - 1963
Gouache, 18 x 24 in.
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g9trip · 4 years
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A Guernsey Holiday: Everything You Need to Know
Thanks to the popularity of The New York Times bestseller, The Guernsey Literary & Potato Peel Pie Society and film by the same name, Guernsey is having a moment. Travelers are attracted to the Channel Island’s rugged windswept coastlines, rural landscapes and the fascinating history of the German occupation. But there’s even more to see and do on the British Channel island, located just 75 miles south of Britain, and easily accessible from Heathrow Airport.
Where to Stay 
The unassuming Old Government House Hotel & Spa was built in 1792 as the home of the governor and converted into a hotel in 1858. The 62-room hotel joined the Red Carnation Hotel Collection in 2008 and is the only five-star hotel on Guernsey. From the outside, it nearly disappears amid the town’s charming historic homes but, once inside, it’s a sprawling warren of historic rooms, meticulously maintained by Red Carnation in décor sympathetic to the period, yet with all the modern conveniences, and features several dining options and an impressive spa and gym.
Located on the hill over the main town of Saint Peter Port, the hotel surrounds the outdoor pool, offering stunning panoramic sea views, yet is only a short walk from the main shopping street, port and beaches.
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The outdoor swimming pool at the 62-room Old Government House Hotel & Spa.
Accommodations
The rooms ooze charm (think: rich upholstery, vivid patterns in jewel tones, deep sofas and chairs perfect for sinking into after a day of sightseeing or at the beach). We stayed in Room No. 103, a Queen Room, in a palate of soft gray with the clever use of mirrored furniture accents making the room feel larger than its 185 square feet; plus, it has a marble bathroom with separate shower and bath, and a view of the pool, town and the sea beyond. For a more spacious accommodation, we loved Room No. 326, a 335-square-foot Studio Suite, which has a large upholstered king bed, desk, sofa and easy chair, plus a grand bathroom. Note: This room has a pleasant view of the town but not the sea. For sea views, and space, the best choices are Sea View King Balcony rooms, Room Nos. 122 and 125, which offer 225 square feet of space and a terrace with table and chairs overlooking Saint Peter Port. For VIPs, top suites are the Herm, Room (No. 124) at just over 500 square feet, with a king bed and private terrace to enjoy the sea views, plus a seating area that can accommodate a bed for a child, and the slightly larger Sark Suite (No. 127) at nearly 540 square feet, with a separate lounge, ideal for entertaining and can also be used as a second bedroom for up to two children under 13 with a sofa bed, and a full-length enclosed balcony off the lounge, plus a second balcony off the bedroom with sea views stretching across the neighboring islands of Herm and Sark.
The Centenary Suite combines traditional style with modern comforts. It has floor-to-ceiling windows affording views of the hotel gardens, the town and the harbour. 
What we loved: The English period house vibe — original vintage artwork, antique ironmongery, walls upholstered in textured fabrics in the Red Carnation signature style, the deeply colored décor throughout — totally works here, cocooning guests in each space from the cozy bars and restaurants to every guestroom.  
General manager Andrew Chantrell, who’s been at the property for a decade, loves getting to know his guests. “Guernsey is a Crown Dependency, not governed by the United Kingdom; the island is known for having few taxes, and most of our visitors come for financial businesses,” explains Chantrell, “but the leisure market, particularly from the U.S. has picked up considerably since the release of the book and film, and we are expecting continued growth with the reopening of the Victor Hugo house and 75th anniversary of the end of WWII.” Very experienced in handling VIPs (the hotel hosted all the stars of Guernsey Literary & Potato Peel Pie Society for the premiere), Andrew ([email protected]) can be contacted by travel advisors directly. 
The hotel’s Olive Grove restaurant offers al fresco dining.
Dining
The Brasserie Restaurant is the hub of dining in the hotel; picture-perfect in shades of green with conservatory and outdoor seating and views over the pool, a glorious spot to enjoy the ample breakfast buffet, lunch, proper English tea or dinner. Guernsey is known for its seafood, dairy products and local vegetables, and executive head chef Robert Newall creates seasonal menus based on what’s available daily. The hotel has a signature Curry Room at The Governor’s, open for lunch and dinner Tuesday through Saturday, offering Indian specialties of comforting curries and tandoori seafood and meats, using all local ingredients except the spices. Top Tip: Intimate table 506 is for VIPs and has seen a few marriage proposals. The hotel has two cocktail lounges, the Centenary Bar and the Crown Club, both of which feature an impressive list of spirits, particularly gin, of which they offer a choice of 52. Fun Fact: There are three gin distilleries on Guernsey. 
Wellness
The gym is large and well-equipped and offers a full schedule of classes, all complimentary to hotel guests and open to a limited number of outside members. The spa has six treatment rooms, including one double for couples treatments, two pools and a steam room. Spa manager Cami Chira ([email protected]) explained the use of the Phytomer brand products, which use sea minerals from Saint Malo, the nearest part of France to Guernsey. The signature treatment is an 85-minute combination facial and back massage featuring anti-aging products from Phytomer and a heated local mud application on the spine, which bubbles to massage the nerve endings. Travel advisors can contact Cami for bookings and questions.  
The hotel has several dining options, which includes three restaurants and two cocktail lounges. 
Guernsey To-Do List 
Despite its size, Guernsey offers so much — from nature to history, plus an incredible food scene. The natural beauty of Guernsey is self-evident: Endless hiking and biking trails, miles of beaches and watersports (surfing, snorkeling, kayaking). Highlights include Lihou, a small island off the coast of Guernsey, only accessible by a causeway during low tide, two weeks out of every month, and a day trip to sister island, Sark, a 40-minute ferry ride. Roughly four square miles, Sark is home to just 500 families and one of the few places in the world where cars are banned, only tractors and horse-drawn carriages are allowed. Top Tip: Take a carriage ride around Sark to Elizabeth Perrée’s La Sablonnerie for the most incredible lobster lunch and finish with her homemade sloe gin.
For history buffs interested in the WWII occupation by German soldiers, the inspiration for The Guernsey Literary & Potato Peel Pie Society, hire knowledgeable local guide and third-generation Guernsey resident, Gill Girard ([email protected]; 011-447-781-104-094), who shares the history of Saint Peter Port, the German Occupation Museum and Underground Military Hospital, plus personal bits about her own family. For Francophiles, Victor Hugo’s historic Hauteville House just reopened after a $3 million renovation. Hugo spent 15 years (from 1856 to 1870) on Guernsey in exile from France and wrote such masterpieces as Les Misérables, Toilers of the Sea and The Man Who Laughs. Perched high in Saint Peter Port, France can be seen from Hauteville House. Most fascinating are the interiors, which Hugo designed himself, and the newly planted garden. 
Eat! Guernsey was into sustainability and eating locally long before it became trendy. The freshness and quality of the food are unparalleled, and the island’s proximity to French-trained chefs, make for a delicious combination. Top Spots: Octopus for seafood and epic views of Castle Cornet, in a Scandi setting; the legendary cooking of chef-proprietor, Günter Botzenhardt at Le Nautique; and the historic Norman-built hotel, Bella Luce. Don’t Miss: Sampling local cider at Rocquette Cider and local, small batch gin at Wheadon’s Gin.
When to Go / How to Get There 
The climate is fairly gentle year-round, but the high season is summer. Check Visit Guernsey (www.visitguernsey.com) for information on the many festivals, local attractions, food and lodging. Flybe, one of the U.K.’s largest domestic carriers just started a new, daily non-stop to and from London’s Heathrow Airport (LHR), the first direct flight to Guernsey from LHR in over 20 years. There are six flights daily from Gatwick (LGR) on Aurigny, plus service from other regional airports in England.
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May 24th Besancon, France
Besançon was our last place in France, and it probably was the worst. The day before there was a terrorist attack in Lyon, France which was only a short train ride away from Dijon. The French people seemed unfazed by it and carried on like usual. Ashtyn and I got to Besançon and walked towards our AirBnB looking for lunch along the way. Usually we would not be able to check into our AirBnBs until 3pm, so we would have to fill the time in with lunch because we did not want to have to walk around with our suitcases.
Ashtyn and I are walking down the road that our AirBnB was on and found a restaurant to go into. The owner of the restaurant was really nice, but when we opened the menu, we realized we could not afford this place. Ashtyn tried to explain to him in French that we did not want to eat here, and he said “there is something for everyone.” However, we really did not want to eat there. Ashtyn tried again in her French, and he just would not understand until I finally said in English that we don’t want to eat here and that we were going to leave. He understood some English and said “Have a good life” as we left. Ashtyn and I were terrified by this angry French man, but we found a good brasserie where we got sandwiches and pastries to calm things down.
It was finally time to go to our AirBnB which took us so long to find. It was right next to the brasserie, yet we just could not find it. Once we finally made our way around multiple sections of this building, we met our AirBnB host. He showed us around the place like they usually do and made fun of me for not being able to speak much French.
Ashtyn and I planned out our short day of sightseeing and got ready to go out until we realized we could not open the door. After thirty minutes of panicking about getting trapped inside our AirBnB and messaging our host, we finally got it to open with a large amount of force. Our host must have thought we were not smart at all.
Besançon was really nice. We went to Beaux de Arts, Maison Natale de Victor Hugo, and Musee de Temps. The archaeology museum had so many trinkets and pieces from the Gallic times.
We hiked up the hill to the citadel, and on the way, we saw a beautiful Roman archway. The citadel had beautiful views of the city, but we had just missed being able to go inside. The fortress has a rich history from the Gallo-Roman War and World War II, and it’s also a zoo. The lady at the front desk gave us some information and told us to come back sometime. I don’t think Ashtyn or I will ever be going back to Besançon.
We had Italian for dinner and made it back to our AirBnB before the sun set. It was not in the nicest part of town so that made me worry a little bit, yet I was still able to sleep.
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zonanortesaopaulo · 5 years
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A rua Oscar Freire é uma via localizada nos bairros Cerqueira César (Jardins) e Pinheiros, ambos pertencentes a zona oeste da cidade de São Paulo, e é considerada um dos principais endereços de compras de lojas de rua na cidade.
Entre as ruas Melo Alves e Padre João Manoel, os postes foram retirados e os fios da rede elétrica transformados em um sistema subterrâneo, tornando o visual do local mais agradável.
A Avenida Rebouças cruza a rua separando os bairros acima citados.
A Oscar Freire tem extensão de 2.600 m com início da sua numeração na Alameda Casa Branca, e final na Avenida Doutor Arnaldo, e tem à sua disposição a estação de metrô Oscar Freire da Linha 4-Amarela, inaugurada em 4 de abril de 2018.
O nome da rua é uma homenagem ao médico legista baiano Oscar Freire de Carvalho, um dos principais discípulos do cientista maranhense Nina Rodrigues. Freire foi responsável pela introdução do ensino de medicina legal na Faculdade de Medicina da Universidade da Bahia e, posteriormente, em São Paulo.
Em 1918, foi convidado pelo professor Arnaldo Vieira de Carvalho para ser professor catedrático da antiga Faculdade de Medicina e Cirurgia (atual Faculdade de Medicina da USP). Foi ainda um dos fundadores do Instituto Médico Legal de São Paulo.
A rua é avaliada como um dos metros quadrados mais caros da América Latina, e reconhecida por ser um dos pontos de comércio mais elegantes e valorizados da cidade de São Paulo.
Geralmente essas lojas fazem um espaço conceito, ou seja, uma loja diferenciada das que elas têm em outros bairros e cidades. No ano de 2008, foi eleita pela pesquisa Excellence Mystery Shopping,a 8º região mais luxuosa do mundo. Atingiu o seu auge entre 2004 e 2006. Ao todo são 110 lojas associadas à Associação dos Lojistas dos Jardins (ALOJ).
Apesar de ser extensa (2600 metros), reúne, em poucos quarteirões, nas proximidades entre o cruzamento com a rua Augusta, algumas das grifes mais famosas e caras com atuação no país dentro ramo da moda e acessórios, como a Shoulder, Le Lis Blanc, Tommy Hilfiger, Forum, Osklen, Camper, H. Stern, Ellus, Animale, Canal, Rosa Chá, Spezzato, Track & Field, Montblanc, Pandora, entre outras.
De acordo com a Excellence Mystery Shopping International, uma organização internacional que reúne institutos de pesquisa de mercado, a rua Oscar Freire foi eleita uma das oito ruas mais luxuosas do mundo.
É a quarta rua mais luxuosa do continente americano depois da quinta avenida em iorque nova e o presidente de avenida masaryk e calle madero ambos localizaram na cidade de méxico.
Nas ruas transversais e paralelas à Oscar Freire, como a Haddock Lobo, a Bela Cintra, a Melo Alves e a Alameda Lorena, eram encontradas importantes boutiques internacionais, como a Christian Dior, Louis Vuitton, Salvatore Ferragamo, Bulgari e Cartier, que fecharam suas portas na região. No entanto, as grifes internacionais Roberto Cavalli e Versace, permanecem com lojas em funcionamento.
A Oscar Freire e suas ruas adjacentes também abrigam diversos restaurantes, bares, entre eles o Fasano, Piselli, Antiquarius, Almanara, Chez Oscar, Italy, Serafina, P.J. Clarke´s e recentemente foi aberta uma franquia da hamburgueria Burger Joint, de Nova York, na qual o dono é o ator Bruno Gagliasso,e docerias, entre elas a Ici Brasserie, Gero, Rodeio, A Bela Sintra, as sorveterias Baccio di Latte e Ben & Jerrys, a doceiras Dulca, Kopenhagen, Cristallo e recentemente a Carlo’s Bakery . As ruas também contam com obras de grafite do renomado artista Kobra.
Além disso, a rua é considerada um lugar onde várias celebridades podem ser vistas normalmente fazendo compras pelas lojas luxuosas.
Pracinha Oscar Freire
A Rua também conta com uma “Pracinha” nomeada com o próprio nome de sua localização, definida também como um pocket park.
Inaugurada em 21 de maio de 2014, foi instalada em uma rampa de acesso a um estacionamento particular e foi transformada em espaço de lazer e descanso nesta rua de comércio luxuoso, propondo novas relações com os espaços abertos ao público.
Além de poder receber eventos, workshops e food trucks, conta com uma parede de “lousa” em que pode ser escrita com giz e também paredes de grafite que virou local para fotos.
espaço foi criado pelo Instituto Mobilidade Verde em parceria com a incorporadora Reud. A idéia é inspirar e incentivar as pessoas a levarem seu trabalho ao ar livre, dentro deste conceito, estão convidados empresas e funcionários em geral, para passarem meio período trabalhando ao ar livre em mesas coletivas no meio urbano.
A Pracinha Oscar Freire tinha como projeto funcionar por um ano mas está ativa até os dias atuais.
Rua Oscar Freire SP Lojas
Osklen Oscar Freire
Arezzo
Flagship Chilli Beans
Havaianas
Fillity
Rua Oscar Freire SP Restaurantes
Urban Remedy
Varandinha Restaurante e Bar
Chez Oscar
Tanit Culinária Espanhola
Almanara
Rua Oscar Freire SP Hotéis
Comfort Suites Oscar Freire
Quality Suites Oscar Freire
WZ Hotel Jardins
Regent Park Suite Hotel
Rua Oscar Freire SP O que fazer
A Rua Oscar Freire é conhecida por ser reduto das lojas mais caras de São Paulo, de cafés e restaurantes chiques, carros importados e ser palco de um desfile frenético de endinheirados. Mas essa famosa rua paulistana é um lugar muito agradável para um passeio durante a tarde, mesmo para quem não tem o cartão de crédito sem limite.
Se você não mora na capital paulista, então, não pode deixar de visitar esse que é um dos símbolos da cidade.
Mas por que ir até lá mesmo quando não se pode comprar? A rua localizada no charmoso bairro dos Jardins tem um mobiliário público que convida a uma caminhada sem compromisso (como calçadas padronizadas, árvores, bancos de madeira e aço inox, mapas e fiação subterrânea), é cosmopolita e reúne gente bonita, além de abrigar as vitrines de rua mais bonitas de São Paulo. Nos quarteirões reurbanizados recentemente, estão mais de 200 lojas de marcas internacionais, como Emporio Armani, Calvin Klein, Nike, Lacoste, Montblanc Boutique e Victor Hugo. Pertinho dali, na Rua Haddock Lobo, ficam grifes como Cartier, Tiffany & Co., Christian Dior e Bvlgari. Reunimos então algumas dicas para você curtir a região sem precisar sair de lá com o saldo no vermelho.
RUA OSCAR FREIRE PARA OS MORTAIS
ESPAÇO HAVAIANAS
Já que o consumismo impera por ali, nós pobres mortais também merecemos umas comprinhas. E o Espaço Havaianas é uma ótima oportunidade. A loja-conceito é linda, moderna, colorida e – o melhor – com os mesmos preços praticados nas demais lojas da rede.
Cheio de estrangeiros alucinados pelas sandálias mais famosas do mundo, o Espaço Havaianas reúne toda a linha da marca, acessórios, além dos modelos que fazem sucesso lá fora (no lugar existe um container com sandálias tipo exportação).
HORA DA FOME
Quando bate aquela fominha e você está em pleno Jardins, mas não quer gastar fortunas em um dos restaurantes top da rua, também existem opções. Uma delas é o Suco Bagaço. Praticamente esquina da Haddock Lobo com a Oscar Freire, a lanchonete oferece sucos naturais e opções de sanduíches saudáveis
PARA REFRESCAR
Um programa que também vale muito a pena e é barato é visitar a Magnum Store. A loja-conceito da Kibon permite que os clientes personalizem a cobertura de seu Magnum.
Mapa de localização
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dubalai · 6 years
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Vendredi 18 mai 2018, vers midi, au carrefour Marx Dormoy (Paris XVIIIe). Je me dirige vers la station de métro et passe devant l’arrêt de bus situé pas loin ; je m’aperçois soudain que le 65 ne va plus à ‘Mairie d’Aubervilliers’. Ça m’arrête [liminaire 1 : le 65, c’est le bus de ma jeunesse, celui qui traversait Paris depuis le sud, pour finir à Aubervilliers, chez les parents qui ont atterri leur carrière bistrotière sur la grande place de la mairie] et voilà qu’une très rapide lecture des indications digitales portées sous l’auvent des bus m’indique que c’est maintenant le 35 qui y va, depuis la gare de l’Est [liminaire 2 : les 3x partent de Gare de l’Est, suivant un des principes de numérotation des bus parisiens (les 7x de Louvre/Hôtel de Ville…)(les x5 finissent tous dans le secteur Porte de Pantin) et le 35 est donc conforme à ces principes, de la gare de Est vers le Nord Est)(les 6x partent des ‘points secondaires de la rive droite’)(ce qui donne, pour le 65 : anciennement Austerlitz-Aubervilliers, et maintenant : Gare de Lyon-Porte de La Chapelle, conforme au type dans les deux cas)]. Pas le temps de réfléchir tout ça, ou alors très vite, qu’en voilà un, de 35 : je saute dedans. Je partais pour la Concorde et le Grand Palais, peut-être pour une exposition Kupka, et me voilà en route pour Aubervilliers, encore une fois, toujours, pour une nouvelle visite souvenante. Me laisse charrier, le 35 coupe par le Canal de l’Ourq et les zones du nouveau textile chinois, pour arriver en ville par une rue Victor Hugo déglinguée, aux nombreuses devantures abandonnées, décrépie. La grande place de la mairie est secouée par un important chantier, percement d’une nouvelle ligne de métro ; le café des parents, c’était une des brasserie de la place, à l’enseigne ‘Le Victor Hugo’ ; il s’appelle maintenant le New Victor Hugo. Ça m’amuse parce que [liminaire 3 : le Victor Hugo, grand écrivain, c’était  le grand café des parents, à la fin de leur vie cafetière, de la grande place. Partis du Petit Maxime de Villejuif et passé par le Petit Landon derrière la Gare de l’est, ils avaient fini là, grandis et glorieux (les trente…) ; c’était bien pour eux, je trouvais ça bien, correct, tranquille, une grande brasserie de grand écrivain. Alors le New Victor Hugo, c’était tristement ironique, pour dire que le nouveau monde a bien pointé son sale museau, pour remplacer leur beau bistrot par quelque chose de new, new populaire, new prolo, new Côtes-du-Rhône…
Un café serré au New Victor Hugo, servi impeccable par barman feutré [liminaire 4 : la dernière fois, il y a quelque mois, au même endroit, le serveur m’avait dit, après le même serré au comptoir : ‘ça va comme ça, chef ? et j’ai dans mes carnets la liste de ces moments bistrotiers où on m’appelle ‘chef’, sans que j’aie trouvé d’explication ni systémisation probante] ; je me retourne vers la rue, pour siroter comme il se doit, l’air ailleurs, quand déboule en terrasse une femme qui vient de traverser la place ; elle est replète, fort popotin et seins d’évidence, vêtue d’un pantalon serré et d’un loup à franges roses qui lui masque largement le visage. Les franges sont longues et lestées de petites perles : leur mouvement animent sa silhouette et marquent son dandinement rapide. Elle s’assoit à une table qui commande l’entrée du bistrot et aussitôt, s’adresse aux passants par des mimiques (index et majeur qui forment un V approchés vivement de la bouche) qui signifient : ‘une clope ?’ Au barman qui s’approche, elle demande un café allongé ; ses cheveux sont serrés dans un foulard très coloré. Le barman revient derrière son comptoir en hochant la tête ; il ne dit rien ; je lui souris ; il repart en terrasse avec la commande, et revient. Je lui dis : ‘je ne comprends pas, le masque, qu’est ce que ça veut dire…’ ‘Je sais pas, me répond-il, sérieux et réfléchi’. ‘C’est religieux ?’ Le barman se tourne vers le patron, accoudé au comptoir près de moi, côté salle, et dit : ‘ i’m demande si c’est religieux…’ ‘Non (nan)(geste de se dévisser la tempe), elle est pas bien.’ ‘Vous la connaissez, comment vous savez qu’elle est pas bien ?’ ‘…ben, ça se voit, non ? Et puis y’en a beaucoup, à Aubervilliers, des…(geste)’. Court dialogue entre eux : ‘si si, ils sont là-bas derrière, plus bas, le marocain qui vient boire son café tout le temps, il les connaît bien ; ils sont installés dans un centre ou quelque chose, un asile, avant c’était une ancienne gendarmerie. Y’en a plein. Mais faut pas qu’elle reste là, juste à l’entrée, c’est pas bon pour les clients’. ‘Elle est pas méchante…’ ‘Non, c’est vrai elle est pas méchante, mais bon, ça fait drôle, quand même, le masque…’
Bonne conversation ensuite, avec le patron, à qui j’ai raconté le passé des parents, juste dans ce bar. Il approche une chaise haute, et on cause, au bar, de nos pères (le mien aussi, les poumons…), du passé qu’était mieux avant : c’est moi et avant c’était mon père, à moi aussi, mes frères, ils m’ont laissé le bar, on s’est arrangé.’ ‘Ça travaille bien, non ?’ ‘Oui, c’est une bonne affaire, ça tourne, mais c’est plus dur qu’avant’. ‘Z’êtes sûr ? Avant aussi c’était populaire’. ‘Oui, mais maintenant les Français sont partis, et c’est moi qui dit ça, moi dont le père venait d’Afrique, vous le croyez pas, mais les français sont partis, c’est plus dur.’ ‘Excusez-moi de vous demander ça, vous êtes kabyle ? (j’avais remarqué les photos de Matoub Lounès, il y a quelques temps). Oui, oui, c’est mon père qui avait mis les photos, elles sont derrière le calendrier, là. Oui on est kabyles.’ ‘Z’êtes forts, les kabyles, dans les bistrots.’ ‘Ah oui, là, on est balèzes, on met de la musique, on fait des jolis cafés, ça marche...’ Je remarque que le précédent cafés des parents, derrière la gare de l’Est, a été repris par des kabyles, avec Matoub Lounès sur les murs là aussi, et je me demande ce que ça veut dire. ‘Je sais pas, peut-être les quartiers populaires, votre père, et le mien, c’était des petits patrons, avec leurs clients…et puis nous les kabyles, on est très forts, je vous le dis’. ‘Et vous êtes très forts en politique, aussi, toujours en train de causer politique…’ ‘Ah oui, ça ba ba ba ba on cause politique, on aime ça, c’est comme ça, c’est la vie, la politique, la musique. Je vous paye un verre ? Si si ça me fait plaisir.’ ‘Non, faut que j’y aille ; courage à vous, la place va être refaite, ça va repartir, c’est une belle affaire’ ‘Oui, vous avez raison, c’est une belle affaire…’ A bientôt.’ En sortant, la cinoque au loup rose me salue : ‘bonjour, ça va ?...’ Je ne réponds pas, et file vers l’ancienne gendarmerie.
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"L'espoir est une mémoire qui désire." Victor Hugo ✨ Petit-déjeuner à La Cigale ✨ #lacigalenantes #photographie #photographerslife #brasserieluxe#nantes#tourisme#evasion#luxury#photographer#photography#architecture#artistique#paris #france#plusbellebrasseriedefrance #fineart #objectif #plaisir #brasserie #cigales #lacigale #philosophy #lifephilosophy #instagram #instaphoto #quotes #france (à La Cigale - Nantes)
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girlcoolhunting · 6 years
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Traditonal vs Trendy: Paris Eats by a girl hunting the cool and tasty
If you are not a first timer in Paris you can skip the long queues in Louvre, may not climb up on Eiffel Tower and of course swap the touristic brasseries with new and trendy places where real Parisiens eat. Or should you? This may have been my 6th or 7th visit to the city and still I am mesmerized with the variety of my food choices.  I would like to taste “the new thing” but I am also hooked up on my old favourites. So I decided to blend my options. Voi la! Here are my recommendations:
Dinner for two: le Relais Entrecote vs Manko
So, you are in Paris. Should you have your Parisien steak or go for the new and trendy Peruvian for dinner? My recommendation would be to swap dinner for lunch at Le Relais Entrecote. Get to have the delicious beef  and avoid the long queues during dinner and enjoy your food in a more relaxed way. I have to admit that I actually go there to dip french fries in their world famous sauce (I  think I am not allowed to say “french” fries in France though 🙂 Don’t wait anything from the interior design. This is your casual eating out. Manko on the other hand is a new and chic restaurant where you get to have great cocktails and tasty ceviches. Some call its food spectacular, I wouldn’t go that far. However, everything we ordered was beyond ordinary. I really cannot forget about the veggie burger. Yummy! And moreover, they have live music at some nights. I also liked its bar and thought next time we should sit there.
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Cafe Flore vs Taokan
Ok, go to Cafe Flore. Everyone still goes there and it is still good for any occasion. Breakfast, lunch, aperitifs or tea time. If it is good for Sartre and Victor Hugo, then it is good for you too. Sit outside in any weather condition like I do. This is how to do it in France. However, for dinner try something new. Try Taokan. This is a very good Chinese (and even with one Michelin star).  Enjoy dim sums. My benchmark place is always Yauatcha in London. Taokan passed the test! Tasty dim sum, attentive service and cosy atmosphere.
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Angelina vs Laduree vs Pierre Herme
Neither of these are new and trendy.  But they all are worth a visit. A million times. My to do list for these are: Drink Hot Chocolate in Angelina, eat macarons at Laduree (of course!) and get chocolates from Pierre Herme.  Tantalising, mouth watering desserts. Always a good idea.
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Traditonal vs Trendy: Paris Eats by a girl hunting the cool and tasty If you are not a first timer in Paris you can skip the long queues in Louvre, may not climb up on Eiffel Tower and of course swap the touristic brasseries with new and trendy places where real Parisiens eat.
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