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kaelula-sungwis · 1 year
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Grande salle en bas du puits de 36m du gouffre de Pourpevelle - Soye (25) - France by Romain VENOT Via Flickr: Arrivés en bas du puits de 36m, nous pouvons rejoindre cette belle salle, après un court passage sous des blocs rocheux.
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triumphandloss · 9 months
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la cavité des rêves ─ forum semi-privé.
" la cavité des rêves est un forum libre où vous avez la possibilité d'écrire dans tous les univers. la seule limite reste votre imagination. des univers larges vous sont proposés de base, c'est à dire, des univers sans contexte particulier. mais vous avez aussi la possibilité de créer votre univers et/ou de créer un lieu d'écriture libre en petite communauté."
pour ceux cherchant un endroit sans contraintes, libre et intimiste. n'hésitez pas si vous avez la moindre question.
DECOUVRIR LE FORUM
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information-2-0 · 7 months
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photosansapp · 8 months
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Les cils ressortent de la grotte de son regard.
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chic-a-gigot · 9 months
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La Mode illustrée, no. 29, 21 juillet 1912, Paris. Les nouvelles fleurs en tissu. Louise Villas. No. 1. — Rose en ruban. (Contour de la fleur: 40 centimètres.) No. 2. — Rose en taffetas. (Contour: 13 centimètres.) No. 3. — Rose pompon. (Contour: 6 centimètres.) No. 4. — Pavot. (Contour: 27 centimètres.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. — Rose en ruban.
Exécution. — Tailler une rondelle de mousseline à patron de 6 centimètres de diamètre. Se procurer du ruban de faille très souple de deux jolis tons de rose. Le plus foncé réservé pour le cœur de la fleur. Il faut 1 mètre 30 de chaque teinte sur une largeur de 6 centimètres. Froncer ensuite le bas du ruban en réduisant la longueur à 40 centimètres au plus.
Pour simuler les pétaies il suffit de "pincer" le ruban de distance en distance en fixant les plis par un point. Les premiers pétales sont formés à 10 centimètres de distance (prise à la lisière du ruban), puis on augmente progressivement jusqu'à 18 centimètres pour les plus grands pétales.
Ceci fait, on commence par coudre au centre de la rondelle l'extrémité froncée du ruban foncé, puis l'on tourne en colimaçon en cousant le ruban. La jonction des deux teintes est invisible, puisqu'elle s'opère sous un pétale. Une fois la fleur terminée on repousse intérieurement la rondelle de mousseline, afin de produire une cavité qui donne du relief à la fleur. Ajouter une tige avec feuillage artificiel.
Cut a round of patterned muslin 6 centimeters in diameter. Get some very flexible faille ribbon in two pretty shades of pink. The darkest reserved for the heart of the flower. It takes 1.3 meters of each shade over a width of 6 centimeters. Then gather the bottom of the ribbon, reducing the length to 40 centimeters at most.
To simulate the petals it is enough to "pinch" the ribbon from distance to distance by fixing the folds with a point. The first petals are formed 10 centimeters apart (taken from the edge of the ribbon), then gradually increase to 18 centimeters for the largest petals.
This done, we start by sewing the gathered end of the dark ribbon in the center of the washer, then we turn in a spiral by sewing the ribbon. The junction of the two shades is invisible, since it takes place under a petal. Once the flower is finished, the muslin disc is pushed back inside, in order to produce a cavity which gives relief to the flower. Add a stem with artificial foliage.
No. 2. — Rose en taffetas.
Ce genre de fleur est destiné aux garnitures de robes, employées en bouquets pour retenir les plis d'une draperie, ou rangées sur le devant des corsages en guise de boucle de ceinture.
Chaque rose se compose d'un cœur et de cinq pétales. Le cœur se fait avec un biais de tissu replié. Il a une longueur de 12 centimètres sur une largeur de 5, centimètres, ce qui donne 2 centimètres 1/2 une fois replié.
Commencer à fixer le fil à l'extrémité d'un des bords supérieurs mis en double, descendre en biais en comptant les points jusqu'au bord inférieur, remonter en formant le même nombre de points et continuer ces zigzags sur toute la longueur du biais. Tirer fortement le fil. Rouler cette petite ruche qui formera des pointes chiffonnées, la lier par le pied, et couper le surplus du tissu. Ses pétales sont des carrés de toile de soie ayant 10 centimètres de largeur pour les deux premiers, 12 centimètres pour les trois autres, cinq pétales étant nécessaires pour faire ces roses. Après les avoir taillés, on les ploie en "mouchoir" et l'on passe un fil allant d'un angle à un autre, en prononçant plus ou moins la courbe du côté de la pointe du milieu suivant le relief que l'on désire obtenir. La pointe qui reste au milieu doit être ensuite supprimée.
Tirer sur le fil sans trop serrer et arrêter solidement. Procéder de cette façon pour chaque pétale. Les monter ensuite autour du cœur en commençant par les plus petits.
Les feuilles s'obtiennent aussi avec avec un carré de tissu. On les reploie également en mouchoir. Mais ici on coupe l'étoffe de façon à former deux triangles, ce qui fait deux feuilles par carré.
Reployer ensuite le triangle. Faire une couture partant du sommet jusqu'au bas. Retourner ce cornet. Le côté pointu simule le haut de la feuille. Le bas froncé très serré forme des plis imitant les nervures. Chaque feuille se fixe ensuite sous la rose qui doit rester assez plate.
Each rose consists of a heart and five petals. The heart is made with a folded fabric bias. It is 12 centimeters long by 5 centimeters wide, which gives 2.5 centimeters when folded.
Begin to fasten the thread at the end of one of the upper edges doubled, go down on the bias by counting the stitches to the lower edge, go up by forming the same number of stitches and continue these zigzags over the entire length of the bias. Pull the thread strongly. Roll up this little ruffle which will form crumpled points, tie it by the foot, and cut off the excess fabric. Its petals are squares of silk canvas, 10 centimeters wide for the first two, 12 centimeters for the other three, five petals being necessary to make these roses. After having cut them, we fold them in a "handkerchief" and we pass a wire going from one angle to another, by pronouncing more or less the curve on the side of the point of the medium according to the relief which we desire. The tip that remains in the middle must then be removed.
Pull the thread without tightening too much and stop firmly. Proceed in this way for each petal. Then mount them around the heart, starting with the smallest ones.
The leaves are also obtained with a square of fabric. They are also folded into a handkerchief. But here we cut the fabric so as to form two triangles, which makes two sheets per square.
Then fold the triangle back. Sew a seam from top to bottom. Return this cone. The pointed side simulates the top of the leaf. The very tight gathered bottom forms pleats imitating the ribs. Each leaf then attaches under the rose which must remain fairly flat.
No. 3. — Roses pompon.
Destinées soit à un chapeau, soit comme bouquet de corsage.
Ces roses se font en toile de soie de deux tons avec feuillage artificiel. On procède pour les faire comme pour les précédentes, avec cette différence que les dimensions en sont très réduites. Le cœur est taillé sur une longueur de 12 centimètres sur 3 centimètres de largeur. Les zigzags sont beaucoup plus petits et on adapte ce cœur à une tige de laiton qui sert de monture à la fleur. Les pétales, au nombre de six, se cousent un à un. Les premiers carrés ont 4 centimètres 1/2 de largeur, les autres 5 centimètres 1/2. Procéder comme pour le précédent modèle, en enveloppant bien le cœur de façon à ce que la fleur ne soit pas trop épanouie. Enfiler les fils de laiton dans des tubes de caoutchouc et terminer par quelques feuillages.
Intended either for a hat or as a corsage.
These roses are made of two-tone silk canvas with artificial foliage. We proceed to make them as for the previous ones, with this difference that the dimensions are very small. The heart is cut over a length of 12 centimeters by 3 centimeters wide. The zigzags are much smaller and this heart is adapted to a brass rod which serves as a mount for the flower. The petals, six in number, are sewn together one by one. The first squares are 4.5 centimeters wide, the others 5.5 centimeters. Proceed as for the previous model, wrapping the heart well so that the flower does not bloom too much. Thread the brass wires into rubber tubes and finish with some foliage.
No. 4. — Pavot.
Pour faire cette jolie fleur on emploie du ruban à picots qui existe en de charmants coloris souvent ombrés, ce qui permet dans la largeur de trouver deux fleurs d'un ton différent. Il faut environ 75 centimètres de ruban sur une largeur de 12 centimètres pour faire deux fleurs, soit 6 centimètres de largeur pour chaque fleur.
Diviser en cinq parties ces 75 centimètres. Les séparer. Froncer le bas de chaque bande en partant du picot et en décrivant une courbe comme pour les roses. Abattre ensuite les pointes qui restent de chaque côté. Serrer fortement le fil et arrèter.
L'armature du cœur consiste en un bouton quelconque de 1 centimètre de diamètre ou d'une simple rondelle de carton rembourrée d'ouate, que l'on adapte à un fil de laiton. Recouvrir ensuite cette armature avec une sphère de toile de soie vert pâle en la fronçant autour de la tige.
Passer des fils noirs en les entrecroisant sur toute la surface du cœur. Adapter autour une petite ruchette ayant 1/2 centimètre de hauteur et faite comme il à été dit pour les cœurs des roses. Presser fortement les plis afin d'imiter les pistils et coudre autour du cœur. Employer du taffetas ou de la toile de soie noire, gros bleu, violet ou un ton changeant très foncé. Une fois le coin terminé, placer les pétales autour en les chevauchant l'un sur l'autre. Terminer par une branche de feuillage.
On peut tout aussi bien employer du ruban sans picots; et ces fluers, exécutées en rouge, imitent à s'y méprendre les coquelicots des champs.
To make this pretty flower we use spiked ribbon which exists in charming colors often shaded, which allows in the width to find two flowers of a different tone. It takes about 75 centimeters of ribbon over a width of 12 centimeters to make two flowers, or 6 centimeters in width for each flower.
Divide these 75 centimeters into five parts. Separate them. Gather the bottom of each strip starting from the picot and describing a curve as for the roses. Then cut down the remaining tips on each side. Tighten the thread strongly and stop.
The frame of the heart consists of any button 1 centimeter in diameter or a simple round piece of cardboard stuffed with wadding, which is fitted to a brass wire. Then cover this frame with a sphere of pale green silk fabric by gathering it around the stem.
Pass black threads criss-crossing them over the entire surface of the heart. Adapt around a small hive 1/2 centimeter high and made as it was said for the hearts of the roses. Firmly press the folds to imitate the pistils and sew around the heart. Use taffeta or silk black, deep blue, purple or a very dark changing tone. Once the corner is finished, place the petals around it, overlapping them one on top of the other. Finish with a branch of foliage.
You can just as well use ribbon without pins; and these flowers, executed in red, imitate field poppies unmistakably.
Louise Villas
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homomenhommes · 21 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 143
Marc étant absent une nouvelle fois, je passe la soirée chez Emma, je ne lui sers du " Maman " que quand j'ai envie de la faire enrager. Elle a su pour Daniel et le collègue de son ami et me dit que je devrais ouvrir une agence d'Escort boy. Je lui réponds que comme mes Escorts finissent tous dans le lit de leurs clients, je risquerais fort d'être assimilé à un proxénète (de façon officielle !).
Elle me demande qui est cette dernière recrue. Quand je lui explique le comment du pourquoi, elle est sciée par mon audace. Je me récrie en lui précisant que c'est le vendeur qui m'avait fait du rentre dedans (bon, c'est vrai qu'après c'est moi qui le lui en avait fait).
J'interromps ses questions en lui fourrant ma langue dans sa bouche. C'est assez efficace comme procédé. Elle se dégage pour me dire qu'elle est étonnée par le fait que je puisse passer d'un homme à elle avec autant de facilité. Je reprends mon baiser et ajoute à son excitation par un massage de son sein gauche. Nous ne sommes pas jeudi et elle craint que nous soyons dérangés par le service. Nous nous réfugions à la piscine après un ordre de ne nous déranger sous aucun prétexte.
En trois mouvements elle est nue et se colle contre moi. Ma combinaison une pièce étant accrochée dans le garage, il n'y a que l'épaisseur du shorty et de mon t-shirt pour nous séparer. Je bande aussitôt. Elle glisse à mes genoux et descend mon shorty alors que je passe mon t-shirt par dessus ma tête. J'en suis à l'avoir autour de mon visage que je l'entends s'étonner de mon cockring. Je sens sa bouche chaude envelopper mon gland. Elle s'y attarde sachant combien j'aime sentir une langue le découvrir. Elle la passe dessus, sous la couronne, dans le méat, aspire puis recommence. Je bande encore plus dur, aidé en cela par le cockring qui me serre bien la base du sexe. Elle a trop envie et se lève. Collée à moi elle passe une jambe autour de mes hanches et sur la pointe de son pied restant, positionne sa chatte au dessus de ma bite. Je l'aide un peu en pliant les jambes.
Je me redresse quand elle se laisse descendre, résultat, je la pénètre. Son autre jambe rejoint la première et je ne peux être planté plus profond. Mon gland butte au fond. Elle remonte, usant des ciseaux de ses jambes et je l'aide un peu en soulevant ses fesses puis elle retombe se plantant sur ma bite. C'est sympa comme mouvement mais assez fatiguant et au bout d'une 10aines de minutes mes jambes commencent à se tétaniser. ;Je la porte jusque dans l'eau et aussitôt me sens soulagé d'une bonne partie de son poids. Je m'allonge dans l'escalier les fesses en limite de l'eau et elle se place à cheval au dessus de moi. Je la laisse me " monter " et stimule ses seins de mes deux mains. De temps en temps elle baisse la tête et vient me rouler un patin. Elle accélère soudain puis stoppe et je sens son vagin se crisper sur ma queue. Elle jouit une première fois, je la laisse en finir avec ça puis je reprends l'initiative.
Je me redresse et colle mes pecs contre ses seins. Je lui prend la bouche et ma langue vient explorer sa cavité buccale. La sienne vient à ma rencontre et nous nous emmêlons. Je n'ai pas débandé n'ayant pas juté. Sa chatte n'a pas l'effet " constrictor " de son anus ! Je me redresse et avise le salon qui occupe la terrasse. Je la porte jusque là et la pose sur la table basse. Encore dans son vagin, je me plie sur elle et ma bouche reprend possession de la sienne. Puis lentement je fais descendre mes lèvres sur son corps. Ma langue trace une ligne passant sur sa jugulaire gauche, le téton gauche puis le droit sur lequel je m'attarde jusqu'à ce que j'entende une respiration saccadée. Je continu ma descente (ce qui me fait sortir de son vagin), vrille ma langue dans son nombril (pour rire car aucun effet sexuel avec ce petit trou !) et atteint le coin supérieur de ses lèvres. Mes mains entrent alors en action, écartant la barrière des grandes lèvres pour découvrir son clito. Je pointe ma langue dessus avant de l'utiliser comme un punching-ball. Bientôt je l'aspire entre mes lèvres et le fait vibrer contre mes dents. Je sens les mains d'Emma se poser sur ma tête pour écraser mon visage contre sa chatte. J'augmente alors la rudesse du traitement de son bourgeon neural et je suis récompensé par un écrasement latéral de mes oreilles par ses cuisses puissantes. Je profite du relâchement post orgasmique pour, mes mains sous ses genoux, lui relever les jambes sur sa poitrine et ainsi découvrir son anus. Ma langue sans attendre vient y étaler une bonne couche de salive. Je me redresse alors et plante sans atermoiements mon pieu dans son anus.
Divin !!
Mon gland déplisse sont trou et je pousse pour enfourner mon sexe en entier. L'excitation et ma salive me font glisser le tout jusqu'au fond. J'y stationne quelques instants avant d'entreprendre un labourage en règle. Je me penche en avant et ses genoux écrasant ses seins, j'atteins sa bouche. Roulage de pelle sans cesser mes va et vient dans son cul, trop bon ! Elle relâche ma langue le temps de me glisser un "tiroir " puis reprend notre échange de salive.
Je tends le bras et ouvre celui de la table basse, le seul à ma portée. A tâtons, je devine un gode et effectivement c'est bien cela, un bel engin noir brillant. Je sais où elle le désire. Sans lui demander plus de détails, je me redresse et sort jusqu'à ne laisser que mon gland en elle. Cela suffit pour que je puisse enfiler le bout de plastic dans son vagin. Je le tourne en elle pour placer les fausses couilles contre son clito et me renfonce dans son cul. A la fin de mon mouvement, la base du gode appui contre mon pubis et de ce fait l'enfonce dernier, écrasant les fausses couilles sur le clito. Moi j'adore sentir un autre sexe (même factice) de l'autre coté de la paroi. Avec la mère de Jean c'est comme ça que je préférais la baiser, à deux chacun dans son trou et même avec elle à deux dans le même trou. Ça par contre je le demande pas à Emma. Ça me fait penser qu'il va bientôt falloir que je passe la voir ( la mère de Jean). J'en ai de ses nouvelles de temps en temps par Jean qui me téléphone ou passe à la maison. Il l'a fait toujours baiser par les mêmes jeunes qui ne trouvent pas ailleurs meilleur salope et donc qui y reviennent régulièrement.
Bon, revenons à nos moutons. Je lime le cul d'Emma et c'est pas mauvais du tout. Je ne me permets de juter que quand elle prend son pied pour la troisième fois. Sans prendre de risques inconsidérés, nous n'utilisons plus de kpote entre nous (je suis hyper sérieux là dessus et elle ne baise qu'avec moi). Je jute abondamment au plus profond d'elle, ma queue prisonnière de son sphincter crispé alors qu'elle sursaute sous l'effet de son plaisir. Quand j'arrive à me libérer, c'est pour me coucher sur le dos à ses cotés. Encore sous l'effet de son orgasme, elle se couche sur mon coté, sa chatte vidée, collée contre ma cuisse. Une petite douche plus tard et nous rejoignons la civilisation en peignoirs. Sa cuisinière nous a préparé un repas gastronomique. Il faut dire que les gens du service (elle et le chauffeur) me sont reconnaissant d'avoir ramené la vie dans la maison et que j'ai une super cote auprès d'eux (à leur décharge, ils sont adorable avec moi).
Pour une fois je passe la nuit avec Emma dans son lit, un peu fatigué je la contente avant de dormir d'un simple broutage de minou qui la fait jouir quand même.
Le matin, c'est la première fois qu"elle me réveille par une pipe. Mon réveil est tellement progressif que quand je m'en aperçois, je continu à faire semblant. Elle s'améliore question fellation et plusieurs fois réussit à me prendre entier. je ne peux plus me retenir et simule mon réveil quand je jute dans sa bouche. les yeux grands ouverts, je la vois me boire complètement. Ration de protéines comme petit déjeuner ! Je la prend par les épaules et la tire sur moi. J'arrive à mettre ma langue dans sa bouche alors qu'il lui reste encore un peu de mon sperme dedans. Miam, elle est bonne ma production du matin. Elle me boxe et me traite de dégénéré, elle a bien perçu l'objet de mon baiser.
Douches puis vrai petit déjeuner, je passe la matinée avec elle. Nous discutons sérieux du minimum d'obligation que me procure mon état de " fils ", de mon élection au conseil d'administration de sa boite et divers autres détails. Je la quitte après un déjeuner léger.
Comme je repense à la mère de Jean et que c'est le mercredi, je file direct chez elle. Ses " clients " du mercredi ne devraient pas être encore arrivés. Elle m'ouvre et comme d'habitude me saute au cou. Je la repousse et lui montre mon entrejambe ou le cuir est repoussé par ma bite qui bande. Elle dé zippe ma combi et sort mon sexe et mes couilles avant de se jeter dessus comme une affamée. Direct mon gland plonge dans sa gorge. Massages par déglutition, elle excite mes terminaisons nerveuses comme une salope. Je la repousse et lui demande qui vient cet après midi. Réponse : le bourge et son pote. Tant mieux avec l'été décalé que j'ai eu nous n'avons pu leur faire signe pour revenir à la maison.
Je la laisse reprendre sa fellation. Je me contiens aidé en cela par mon cockring. Je lui sors une kpote. elle me la déroule avec sa bouche sur ma queue puis se tourne et se penche en avant. Je relève sa jupe et découvre sa chatte bavant et son anus frémissant. J'opte pour ce dernier, ça n'étonnera personne ! La lubrification de la kpote suffit et je m'enfonce, déplissant sa rosette. Elle gémit avec force. D'un dernier coup de rein je la colle à la commode contre laquelle je l'ai plaquée. Mes mains trouvent ses seins déjà sans soutient gorge et les malaxent. Elle commence à monter bruyamment. Je l'encule à grand coup qu'elle encaisse comme une pro. Elle me fait jouir par son propre orgasme qui me compresse le sexe.
Les jeunes n'allant pas tarder, je la laisse et file dans la chambre de Jean mettre en route l'enregistrement.
Je vois l'arrivé des deux jeunes, dirigés direct vers la piscine et le salon attenant. Dès la porte passée les caméras prennent le relais. Sur le PC de Jean, je mate les deux ptits mecs se dévêtir. Ils sont tout bronzé de leur été, sauf, comme moi, leurs fesses blanches. La mère de ;Jean est déjà sur le dos à poil. Le bourge se kpote et plante direct sa bite dans la chatte ruisselante (par ma faute). Pendant ce temps là son pote se fait sucer et essaye en même temps de téter un des seins. Ce qu'il n'arrive pas à faire ! du coup il allonge le cou et je le vois lécher le clito et la bite de son pote quand il sort tout en remplissant la bouche de la meuf. Le bourge ordonne soudain à la mère de Jean de bouffer le trou de son pote pour bien le préparer.
Je remarque qu'il apprécie encore les mecs et leurs culs. Il me fait bander ce ptit con. Je descends les rejoindre. Ils sont surpris mais pas étonnés. On se bisouille et ptit bourge me met sa langue bien profond dans ma bouche. ;Quand j'arrive à me défaire de son aspiration, je remplace ma langue par ma bite. Il a le souvenir de son passage dans notre donjon, ou bien il s'est entrainé pendant l'été mais toujours est il qu'il me bouffe en entier. Je le félicite et ma main dernière sa tête m'enfonce bien profond. Je lui demande s'il je ne lui ai pas manqué un peu. Il me dit que le sexe de son copain ne vaut pas le mien et que surtout son truc à lui (le copain) c'est d'avoir une bite dans le cul !
Je demande à son pote alors d'aller préparer le cul de ptit bourge. Exécution, mais pas trop longtemps. Je décide de la nouvelle configuration : j'encule ptit bourge qui encule lui-même son pote et ce dernier se perd dans l'anus de la meuf. Pas mal, surtout mon entrée dans ptit bourge. Son cul n'ayant pas servi depuis le donjon en juillet, il est resté bien serré. J'y suis allé doucement mais une fois en place, j'en profite un maximum et d'après ce que j'entends lui aussi prend son pied. Les deux autres sous nous ne servent que de réceptacle divers. Je change et décide de sentir le sexe de ptit bourge contre le mien dans l'anus de la mère de Jean.
Quand, Kpoté, ptit bourge sur le dos se fait chevaucher par la meuf et lui rempli le cul, je me place et ajoute mes 20 x 5 à ses 18 x 5. ;Il apprécie n'ayant essayé les double pénétrations avec son pote que dans le vagin. Le pote ne sachant que faire, je l'occupe à se faire sucer par madame puis, l'idée me venant de lui faire subir la même chose, j'ordonne à la mère de Jean de lui préparer le cul avec la langue. Rééquilibrage de l'ensemble : ptit bourge sur le dos, la mère de Jean assise sur sa bite, couchée dos sur son ventre, moi enfilé dans son anus face à elle et le pote jambe légèrement pliée qui lui présente son anus à manger. Sous mes yeux sa bite bande dur. Je tire sa tête vers la mienne et lui roule un patin. Il embrasse bien ce ptit con ! Il alterne bataille de langues et suçage. Il fait une pipe à ma langue, trop bon ! Je défais l'échafaudage et je me couche sur le dos en demandant au pote de venir s'enculer sur moi de face. Il m'enjambe, s'agenouille et je sens mon gland happé par les profondeurs de son anatomie. Il me chevauche quelques instant seul avant que je l'attire vers moi sous prétexte d'un palot.
Ptit bourge a compris, il se place et profitant d'un de mes retraits, pose son gland sous le mien et profite de ma pénétration pour entrer. Le pote accuse le coup. J'étouffe son indignation, sa douleur de ma langue lui interdisant de reculer sa tête avec mes mains. Cela ne dure pas et il apprécie la chose après trois ou quatre va et vient. Je lui relâche la tête. Il s'écarte et nous traite de salauds. Sans nous arrêter nous rions de sa réaction. Il tourne la tête pour recevoir la langue de ptit bourge dans sa bouche. moi, mes mains ont rejoint ses hanches et participent à l'approfondissement de la double sodo.
Son anneau, pas familiarisé à cette pratique nous étrangle bien et ptit bourg et moi sentons bien le contact de nos deux queues. Je désynchronise un peu histoire de frotter la bite qui colle à la mienne. Accidentellement il décule mais revient aussitôt. Effet garanti sur le pote. Au loin j'entend la douche fonctionner, la mère de Jean a compris qu'elle ne servirait plus et nous a quitté.
Dans cette configuration, le pote me jute sur les abdos et entraine notre jouissance. Moi je remplis ma kpote et ptit bourge en direct son boyau. Quand nous sortons, ma kpote est pleine de sperme dedans et dessus. Je dis à ptit bourge de venir me nettoyer le ventre. Il hésite puis sous mon regard insistant, vient lécher le sperme de son pote. Je ne lui fais grâce de la moindre goutte, et comme je lui demande, il me dit que finalement ce n'est pas mauvais. Nous convenons d'un rendez vous à la maison, ptit bourge ayant gardé un bon souvenir des 22cm de Marc.
JARDINIER
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour parce qu’il fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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coolvieilledentelle · 7 months
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Peut être est-ce à cause de la météo tristounette de cette après-midi mais j’ai une envie de douceurs sucrées et ces petits cannelés bordelais étaient parfait à l’heure du thé...
Hummm... L’extérieur est croustillant et l’intérieur moelleux et aérien.
Ingrédients
• 50 cl de lait
• 2 jaunes d’oeuf
• 2 oeufs
• 40 g de beurre
• 1 gousse de vanille (ou 2 cc d’extrait de vanille liquide)
• 1/4 cc de cannelle en poudre
• 100 g de farine T45
• 100 g de sucre en poudre
• 35 g de sucre cassonade
• 1 cs de rhum
1- Versez le lait, le rhum, les graines de la gousse de vanille (ainsi que la gousse), la cannelle et le beurre ensemble dans une casserole.
2- Portez à frémissement.
3- Pendant ce temps, versez les sucres, les jaunes et les oeufs dans un saladier. Fouettez-les jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
4- Versez la farine et mélangez au fouet.
5- Versez petit à petit le lait (débarrassé de la gousse) tout en fouettant pour éviter les grumeaux. Vous allez obtenir une pâte se rapprochant de la pâte à crêpe.
6- Filmez le saladier et réservez 24 heures au réfrigérateur.
7- Le lendemain, beurrez l’intérieur des cavités du moule à cannelés et versez la pâte en vous arrêtant à 5 mm du bord.
8- Faites préchauffer votre four à 250°C et enfournez pour 10 minutes.
9- Baissez le four à 180°C et poursuivez la cuisson pendant 1 h. Les cannelés doivent être dorés.
10- Laissez un peu tiédir avant de démouler et laissez complètement refroidir sur une grille.
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ivo-oz · 2 months
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🩸🩸🩸
ℌ𝖊𝖊𝖇𝖊𝖘 : 𝕲𝖊𝖓𝖊𝖘𝖊
〖chapitre 3 〗 Attention, ce texte sera peut-être modifié à l'avenir afin de le perfectionner
Dans un sursaut, mes yeux s'ouvrent dans une salle sombre au mur de pierre. Toujours à genoux, je constate que ma situation n'a nullement changé. Les mains clouées à la froideur de la pierre, le sang s'échappant lentement des plaies béantes, peignant ainsi la pierre en rouge.
C'est drôle, il m'a fallu deux jours pour ne plus y penser. Les premiers jours se sont remplis de cris et de pleur. Ridicule ! La futilité de cette douleur me rend tellement honteuse.
Les blessures que je porte en moi sont plus grandes que ses clous. Il est vrai que c'est la première fois que je suis confronté à de tels châtiments physiques, mais j'aurais dû me réjouir.
Je ne penserai pas que l'humilier devant les représentants du royaume le pousserait à me souhaiter autant de mal. J'aurais préféré garder la mobilité de mes mains. Mais bon, si c'est le prix à payer.
Non, ne crie pas, ce n'est pas de la douleur.
Quelle image de moi j'aurais si je me réabandonne à cette facilité ? J'ai subi plus grave, plus longtemps. Ce ne sont que des plaies, elles s'effaceront. Mes vraies blessures, elles n'ont pas cicatrisé et pourtant, je les supporte. Succomber à de telles frivolités serait juste dévalorisant. La vraie douleur n'aurait plus de sens.
Un grincement métallique interrompit ma somnolence. La porte est ouverte. J'ai beau être dos à elle, je peux quand même sentir le son des talons frapper la pierre dans ma direction. Un son grave, puis aigu, grave et encore aigu. Une paire de bottes désassorties. Ho, c'est Fides qui a été chargé de me libérer.
Vous êtes en retard. J'en pouvais plus de lutter contre le sommeil pour m'éviter de m'ouvrir la peau davantage.
Tout en entrant dans mon champ de vision, Fides arrache les clous qui bloquaient mes mains.
Je n'ai pas crié, j'ai pu me contenir haha, mon sourire partit immédiatement quand je découvris les énormes trous béants que contenaient mes mains dorénavant. On peut y voir à travers.
J'ai . . .
C'est répugnant mon dieu.
Mes mains
qu'es que . . . comment . . .
mon dieu.
—Mes excuses, Père Inhonoris a tardé à me donner les clés.
— Vous pouvez me soigner ?
— Je n'ai pas ces compétences, un médecin vous sera assigné dans deux jours.
— Vous vous moquez de moi, mes plaies vont rester ouvertes pendant cinq jours en tout. Je ne pourrai plus jamais écrire.
— Vous m'envoyez navrer, mademoiselle.
Un ange passe.
— Navrée ‽ Vraiment ‽ Ôte-moi ce mot de ta bouche quand tu me parles ! Mais quel genre de soutien hypocrite, tu penses me faire avaler ! Ça ne sert à rien de me mentir si mon état ne t'inspire que de l'apathie !
Le souvenir de mes mains perforées aurait presque pu être oublié si mon sang ne s'était pas mis à accélérer dans mes veines. Mon cœur hurle dans ma tête, m'obligeant à me taire.
—Avez-vous du temps à m'accorder ? J'aurais besoin de coudre mes plaies. Bien sûr, je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse. Vous pouvez déléguer le travail à un de vos collègues si c'est trop demandé. J'espère que je n'ai pas manqué de politesse, vous savez, trois jours sans pouvoir pleinement dormir me font perdre pas mal de notions. Comme la clémence par exemple.
— Pardonnez-moi Je m'exécute.
Toute pressée, elle s'engouffre dans l'ouverture de la porte. Elle ne m'aide même pas à monter... Haha, elle doit avoir peur de demander . . . Haaaa, j'en avais besoin tout de même.
Je sens l'air frais de la pièce effleurer les cavités de mes mains. Le sang a arrêté de couler et fait maintenant place au vertige et à la fatigue.
Ho, le temps, et puis qu'est-ce que c'est au final ? Tant pis si le soleil sera couché quand j'aurai atteint la fin des escaliers.
3 minutes après, Fides accourut pour m'éviter un malaise sur les marches et se mit à m'aider à atteindre ma chambre.
— N'ayez crainte, nous serons bientôt à vos appartements.
Mes yeux balaient le sol et les murs comme un pendule oscillant entre le conscient et l'inconscient. Un pendule se stoppant net lorsqu'une certaine odeur lui parvient. Odeur de café . . . de miel. Cela me sortit de mon vertige.
Hum
11h
Il est 11 heures, grand-père doit être dans son bureau.
— Que faites-vous ? Votre chambre se situe dans le couloir gauche.
— Ne me crois pas si bête. Je vais simplement dire bonjour à Papi.
— Vous entendez vous, c'est lui qui vous a châtié. Ne l'humiliez pas davantage, il risquerait de vous bannir.
— Tu n'es pas convaincante, cesse de mentir, bon sang.
Boitant en direction de la porte, je finis ma route en m'affalant sur la poignée de la porte. Haha, tant pis pour la surprise.
Je pousse la porte en m'aidant difficilement de mon épaule, mes mains étant inutilisables. Grand-père est juste derrière. L'encadré de la porte dévoile progressivement son visage et les émotions qui le parcourent quand il découvre le mien.
L'iris de ses yeux dilaté, la rigidité qu'adopte son corps. Toute cette attention pour moi. Il s'efforce d'être calme et ça m'est tellement jouissif.
Pourquoi est-il aussi surpris ? Pensait-il me soumettre ? Tu ne me connais pas assez. Que pense-t-il de moi ? Que penserait Inhonoris Cornecuus ? Toute sa vie et son existence ont servi à bâtir cet empire, à se hisser au rang de roi. Être à son niveau est la seule motivation qui me pousse à me faire violence dans mes études. Enfin, avec les blessures, ça va être plus compliqué. En marchant ou plutôt vacillant vers lui, le sang pulsant dans mes mains m'empêche de continuer. Aucun de mes muscles actifs ne m'épargne de douleur.
Finalement, je ne sais que dire, mon esprit m'échappe, des idées, des bribes me viennent, mais les paroles demeurent insaisissables.
Je lève faiblement ma main et avec un grand sourire, le plus beau que je puisse faire, je le salue avant qu'un voile noir ne mette fin à mon geste.
SUITE (un jour . . . ) PRECEDENT
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Des pleurs et des fous rires, des joies et des peines, des amitiés inattendues et des faux culs de première, des épreuves et des soulagements, Année 2023 je te dis au revoir en étant en paix avec moi même. Mes bonnes résolutions et mes choix m'appartiennent.
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Durant les mois d'automne et d’hiver, observez le "Grossmutterloch" ou "le trou de la grand-mère" à Jaun 🇨🇭. Selon l’angle de rayonnement, le soleil, à l’image d’une boule de feu, passe à travers une fissure créée par la nature. Le phénomène dure environ une demi heure, déroulant des reflets sur les champs de neige au flanc de la montagne. Le spectateur peut vivre ce phénomène plusieurs fois. Sitôt passé, la montagne se réfugie à nouveau dans l’ombre jusqu’au lendemain matin où le soleil vient à nouveau égratigner les sommets des Gastlosen. Selon la légende, cette cavité qui traverse les Gastlosen aurait été faite par le diable ; fâché contre sa grand-mère, il l’aurait jetée contre la paroi des Gastlosen. Les géologues y voient plutôt un phénomène naturel d’érosion lié à la présence de failles dans la roche. En hiver, venez admirer le spectacle de lumière du soleil clignotant à travers cette fenêtre du rocher, depuis la place panoramique non loin de la station amont du télésiège Gastlosen-express
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prosedumonde · 4 months
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Et puis, peut-être qu’il n’y a pas de visage, mais seulement des cartes en relief dont on suit les lignes, les cavités, les trous noirs, et qui rappellent un paysage, une montagne, une plage, un chemin. Ce n’est pas la matière qui importe, cette viande à orifices, mais ce qu’elle devient dans les yeux des autres. 
Olivier Bordaçarre, Accidents
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Lounès Darbois: Paris ce n’est pas une ville pour “investir”, où n’importe quel putois mondial aurait droit à son “pied-à-terre”. Paris c’est la concentration du génie pratique français de la construction et de l’art ornemental passés par de crucifiants essais et erreurs étalés sur des siècles, trouvant début 17ème son type classique fixé dans la pierre calcaire et le toit d’ardoise, pour enfin en obtenir fin 19ème-début 20ème siècle, une merveilleuse résurrection néo-classique. Paris c’est pour les Français seuls, c’est “pour nous, à nous, chez nous”. Les squatteurs étrangers qui y résident n’ont pas été une seule fois capable de créer un seul bâtiment qui ait le quart de la beauté du plus laid bâtiment érigé durant l’âge d’or 1880-1914. Ce ne sont pas des parisiens ce sont des squatteurs de cavités laissées vacantes par les morts à la guerre et il y a un terme pour les gens qui cherchent ce mode d’habitation: des troglodytes. Et pas plus que de génie pratique, quantifiable, mesurable, concret, ils n’ont de sens esthétique du mode de vie. En vêtement, en gastronomie, en choix de locomotion ils sont lourdingues et nuls. Ils foncent aux grossiers commerces crasseux, aux viandes mal saignées étalées sans bardage sous les présentoirs sans feuillage, à côté de cela comparons ce qu’est une boucherie française traditionnelle, une boulangerie, une cordonnerie bien tenue, avec travail en tablier. Et l’ambiance de frénésie gaie des samedi après-midi de Paris jusque vers 2010, avec ses familles françaises nombreuses, ses jeunes femmes habillées, coiffées, ses darons sans ventre en manteau longs et chaussures cirées qui passaient en coup de vent acheter la tarte aux poires du déjeuner, toute cette petite beauté gratuite de la rue, la vraie France organique, parquet et lambris, ascenseur à grillage et escalier à tapis serti de tiges de maintien, tout le savoir-faire d’hommes inconnus d’avant, qui avaient des vrais beaux noms de provinces francophones, pas ces noms trafiqués de tricheurs importés, de gougnafiers qui n’ont jamais rien embelli et qui se prétendent des droits sur nous. C’est le ressentiment? Mais le ressentiment contre une telle exploitation, un tel mensonge, une telle colonisation forcenée alors que nous n’avions rien fait, cela ne s’appelle pas ressentiment cela s’appelle du sang qui crie justice, un véhément redressement qui renverse la pensée contre soi-même, cela s’appelle la Grâce, et merde et cent fois merde aux catégories nietzschéennes et à leur engrenage mental incapacitant. La vie organique d’abord bordel! Et l’évidence, l’intuition, l’instinct d’abord. Nous disons ce que nous disons pas pour l’avoir “pensé” (penser la société...) mais pour l’avoir expérimenté, payé sur le terrain depuis 20 ans, depuis 50 ans même pour certains, et il faudrait s’inhiber l’évidence par respect d’un philologue allemand d’université qui n’a jamais vu venir l’invasion barbare contrairement aux grands Français Art Déco, les Céline, les Morand dès 1925 avec L’Europe galante, dès 1928 avec Magie Noire? Et Lapouge même avant. La vraie impulsion révolutionnaire c’est ça, et tout ce que ça induit.
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trente-haines · 4 months
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Mystère en cavité
cracher
dans bouche
dans cavité
Fluides,
morosité
Débris / Fragments
en [corps] fumants
Sucer peau
s
u
r
Échafaud
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alioversus · 1 month
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Between The Lines
Innocent But Guilty | Lotophagus Records | 2024
1. Tu parles d’une structure souterraine, c’est cheminées fumantes à tout bout de champ… C’est mécanique ou naturel, tu penses ? Aucune trace de vie extraterrestre. Et ces espèces de papillons ou de mites ? De là à envisager des créatures douées d’intelligence… Quelque chose suinte le long de la pierre, non ? Murmures soudains… Elle se fige, elle se retourne et elle voit les rouages — tandis que les pipes expulsent par petits jets un liquide visqueux et bouillant. Rapide coup d’œil sur le manomètre. La configuration demeure stable. Mais les murmures se poursuivent, implacables. Dans la cavité suivante, ils découvrent un tourne-disque relié à une grande génératrice dégueulant de câbles. Ça craint… Et au fur et à mesure qu’ils avancent, se répète la même courte séquence. À chaque itération, les parois semblent se mouvoir légèrement. Bientôt place à leur seul grondement… Une porte s’ouvre en contrebas, près d’une flaque… De pétrole ? Ou de métal en fusion ?
2. Derrière, une salle aux murs parfaitement rectilignes se déploie comme une cathédrale. Ils entrent prudemment. C’est très haut de plafond. La surface s’irise chaque fois qu’ils la regardent. Sanctuaire ? Il semblerait bien. Au centre de ce cube, un autre cube beaucoup plus petit, à dimension humaine… Magnétisme puissance deux, dit-elle. Elle s’en approche un peu. Une lumière trouble semble filtrer par le renfoncement léger des arêtes. Radioactivité ? Négligeable. Le silence s’est fait dans la salle précédente, sans même qu’ils s’en rendent compte. 
3. Puis la sirène retentit, mais ce n’est pas une alerte. Une brume rosâtre pénètre de chaque côté de la salle, elle recouvre bientôt toute la surface, s’élève jusqu’à leur taille… Ils s’apprêtent à rebrousser chemin quand soudain, sept danseuses émergent des vapeurs, paumes jointes sous le menton, la tête balançant gracieusement. J’ouvre les yeux à cet instant. Il est encore tôt le matin, il fait déjà très chaud. Je sors du lit, ouvre les rideaux. Je regarde couler le Gange, derrière l’improbable imbrication de maisons à demi croulantes.
4. Ça circule déjà dans les ruelles, ça bouchonne, ça bouge, ça se contredit, tranquillement. Au bord du fleuve, devant le temple minable, le vieux doit être encore là, à méditer, et à attendre mon argent. 
5. Ils me font bien rire avec la technologie occidentale. Le vieux sait autrement capter le signal. J’étais ivre et je voulais le photographier avec mon téléphone portable. Il a souri, j’ai cru qu’il posait. Puis j’ai vu des triangles tout autour de sa bouche édentée, des pétales de lotus formant comme une ronde autour de sa joie. J’ai renoncé à mon projet. Je lui ai donné cent roupies quand même. 
6. Les autres touristes ne se lassent pas de jouer leur rôle, de s’émerveiller, de s’agglutiner, de se faire arnaquer. Notamment là, quand on fait brûler un corps, quand on chante, quand on se réjouit si étrangement. J’ai déjà vu ça mille fois. Ça ne m’empêche pas de trouver ça fascinant, et de me faire harceler par des mendiants. Tiens, ces filles ressemblent aux danseuses de mon rêve. Pourquoi ne pas les suivre puisqu’elles me le demandent ?
7. Elles m’ont mené jusqu’à un bâtiment aux murs lézardés. Un cadavre de chien gisait devant la porte. Elles l’ont enjambé. J’aurais mieux fait de changer d'avis, j’aurais mieux fait de repartir. Maintenant je me trouve face à cette grand-mère, toute recroquevillée dans le silence et dans son sari. Grand esprit, grand esprit ! Qu’est-ce que c’est que ces conneries ? On me fait asseoir devant la vieille. Elle m’observe avec ses yeux blanchis. Elle ne marmonne même pas. Je veux m'en aller. C’est bon, j’ai compris, prenez toutes mes roupies… Mais je reste comme englué, je n’arrive pas à détourner mon regard. J’ai l’impression d’être visité. J’ai l’impression de me déporter — à l’intérieur de la vieillarde. 
8. Soudain, c’est la fête. Ils s’agitent et se dandinent autour de nous, joueurs de sitar, mères se déhanchant en portant leur bébé, chanteurs à moustache, enfants espiègles, fakirs et vaches (vraiment ?) et une grand mec à turban avec des lunettes de soleil et un goitre de bourgeois. C’est charmant, et pourtant je sens qu’ils se moquent tous de moi. 
9. Ils reprennent conscience par terre, dans leurs scaphandres. Quelque chose vibre en-dessous d’eux. Elle bascule sur son séant. Configuration ? Modérément instable. C’était quoi, ça ? Aucune idée. Tout s’est dissipé. Ils décident de rentrer à la base, puis ils remarquent, posé sur le cube, une sorte de bol en étain. Il contient une crème mousseuse d’une couleur verdâtre. Elle prélève un échantillon. Elle observe la bulle qui remonte le long du flacon. Qu'est-ce que c'est que cette substance ? Un champignon ? Les autres froncent les sourcils avec appréhension. Vous me mettrez en quarantaine, dit-elle, le temps que j'aie fait toutes les analyses. Si ce n'est pas innocent, j'en assumerai les pleines conséquences. Ils restent indécis et méfiants. Elle s'impatiente. Cessez de me rendre coupable de ma mission ! 
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o-link · 6 days
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L'œil (pl. yeux) est l'organe de la vision, sens qui permet à un être vivant de capter la lumière pour ensuite l'analyser et interagir avec son environnement.
Chez les animaux, il existe au moins quarante types d'organes visuels[réf. nécessaire] que l'on appelle « yeux ». Cette diversité pose la question de l'origine de la perception visuelle. Les yeux les plus simples sont tout juste capables de déceler la différence entre lumière et obscurité tandis que les yeux les plus complexes, comme l'œil humain, permettent de distinguer les formes et les couleurs.
Chez les Vertébrés, l'organe sphérique creux responsable de la vision est appelé bulbe oculaire (ou globe oculaire). Il est logé dans une cavité osseuse, la cavité orbitaire, ou orbite.
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jac-zap · 10 months
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jac-zap - L’œil caché - juin 2023
L'œil caché dans une cavité du candélabre jouit.
Il m’arrive souvent que je me cache entre les os, mon œil crevé ne m’autorise pas à placer mes deux yeux, une seule cavité me suffit pour me bruler l’esprit. J’ai atteint mon but, j’observe, dans la posture de l’insecte qui ment, une proie sans qu’elle soupçonne ma présence. Je suis le voyeur invisible dont le désir malsain ne peut être contrôlé par des halètements pathétiques. Traversé d’une flèche (dédoublement ?) je feins de dormir. J’attends que ta main s’empare ivre de ma liqueur empoisonnée versée dans le verre à pied qui n’a aucune excuse.  
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