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#dormir profondement
lospalatoredinuvole · 5 months
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Toglimi il sogno che di te mi resta.
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3 conseils pour se détendre dès le matin
Que faire le matin pour se sentir bien ? Voici 3 conseils pour se détendre dès le matin : Commencez par une bonne nuit de sommeil. Il est essentiel de dormir suffisamment pour que votre corps et votre esprit puissent se reposer et se recharger. Si vous vous sentez fatigué le matin, vous aurez plus de mal à vous détendre. Prenez le temps de vous réveiller en douceur. Ne sautez pas du lit dès que…
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HYPNOSE Dormir Facilement et Profondément par le bien etre, relachez le stress pour une bonne nuit
https://www.youtube.com/watch?v=K6jupGVbGDs
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#hypnose #dormir #bonnenuit #dormirbien #biendormir #antistress
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Certaines vidéos peuvent être vues comme une idée, un concept.
Je ne détiens pas la vérité en toutes choses.
Lors une hypnose vous devez prendre ce moment pour vous, et adapter, ajuster la séance à votre bien être, votre bonheur, ce qui est unique à vous et que vous aimez.
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Bienvenue dans cette séance d'hypnose pour dormir ou s'endormir facilement et tranquillement en vous relaxant et en profitant de l'instant présent.
Vous n'avez rien de particulier à faire, juste écouter l'audio et profiter pour vous endormir dans la simplicité.
Vous vous concentrerez sur toutes les bonnes choses et vous vous laisserez porter par le sommeil qui viendra se diffuser dans le corps.
Simplement relâcher le stress et les tensions de la journée et profiter de ce moment pour vous.
J'espère que vous apprécierez cette séance et qu'elle vous permettra de dormir calmement et paisiblement.
Alors je vous souhaite une bonne nuit.
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N'hésitez pas à commenter et vous abonner :)
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#hypnose #dormir #dormirfacilement #hypnosedormir
#dormirhypnose #hypnosepourdormir #spiritualité
#bienetre #bonnenuit #biendormir #dormirbien
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@MeditationHypnoseAuraNature
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HYPNOSE Dormir Facilement et Profondément par le bien etre, relâcher le stress pour une bonne nuit
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kachmedcom · 1 year
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Dormez-vous plus ou moins de 5h par nuit
Saviez-vous que dès l'âge de 50 ans, dormir moins de 5 heures par nuit dégrade fortement votre santé.
En effet, dormir moins de 5 heures par nuit vous expose à une dégradation de votre santé*. Les experts recommandent 7 à 8 heures de sommeil par nuit pour un adulte. Mais descendre sous la barre des 5 heures par nuit dès l'âge de 40 ans va favoriser le développement des maladies chroniques chez l'adulte.
Les personnes de 50 ans et plus qui dorment moins de 5 heures par nuit ont 30 % de chances supplémentaires de développer au moins 2 maladies chroniques par rapport à celles qui dorment entre 7 et 8 heures par nuit ! Ce risque augmente même à 40 % chez les plus de 70 ans.
Inversement, dormir plus de 8 heures par jour provoque le même effet, une augmentation du risque de maladies chroniques car votre sommeil est considéré comme de moins bonne qualité si vous dormez plus de 8 heures par jour.
Découvrez comment dormir mieux et avoir un bon sommeil
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coovieilledentelle · 5 days
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Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
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issialou · 2 months
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Les quelques headcanon que j'ai à propos de q!Aypierre.
1. Ce n'est pas ma propre headcanons à proprement parler mais le chat/communauté d'Aypierre, sont en fait des espèces de IA. Certaines sont spécialisée dans la création de musique, le photoshop, la programmation, le build, la programmatipn... Aussi elles aiment bien espionner ce qui se passe sur l'île lorsque q!Aypierre est en train de "dormir" pour ensuite gossip avec lui. C'est comme ça qu'il sait certaines choses qui sont arriver lors qu'il était absent. Q!Aypierre peut communiquer avec ses IAs avec ou sans ses lunettes.
2. Q!Aypierre a une forme très légère de prosopagnosie à cause de la première opération/Mind transfert de la Fédération. Ca qui explique pourquoi Q!Pierre a des difficultés de reconnaître les habitants de l'île et même lui-même sur les tableaux au musée.
3. Q!Aypierre est bi ou pansexuel (c'est surtout parce que je suis moi même bisexuelle et que j'aime lorsqu'il y a de la représentation bi et pan).
4. En fait, lorsque q!Aypierre va dormir c'est souvent un des moments où Ayrobot prend le contrôle du corps et peut en profiter pour grinder des ressources, créer des machines ou build des salles.
5. Q!Aypierre est l'un des rares mortels dont q!Etoiles est devenu ami avec. Q!Aypierre semble aussi être un espèce de magnets à cubitos humoïdes et plus ou moins mortels et il semble former plus facilements des amitiés plus profondes qu'avec des humains mortels (l'exemptipn notable étant Maximus).
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ernestinee · 2 months
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TW su*cide
Tu sais quand tu vois des gens dans la rue, parfois peut-être que tu leur imagines une vie rocambolesque. Là on est près d'une sortie de métro, en haut de l'escalier, on voit Daphné qui a raté deux fois sa ts et à côté d'elle c'est Martin. Elle l'a embauché pour la tuer et il l'a confondue avec une autre. Maintenant elle n'est plus sûre de vouloir mourir et Martin ne la tuera que si elle retrouve ses certitudes.
C'est le pitch d'"Accident de personne", ça parle de dépression, d'envies d'en finir, de maladie incurable, de masculinité toxique, de neuroatypie et de psychopathologie. Des sujets sérieux et profonds mais dans un style décontracté et piquant, qui rend la lecture fluide, j'ai lu ce livre en deux fois, je l'ai juste posé pour dormir.
C'est le premier livre de Florence Mendez, il y a des petits indices qui traduisent cet effet "premier livre", l'envie d'en dire beaucoup, l'envie de placer telle ou telle réflexion, et ça n'alourdit pas le style parce que c'est sa voix qui parle, la femme vengeresse, incisive et terriblement sensible qui souhaite passer un message. Ça ne conviendra pas à tous les lecteurs, et tant mieux.
⭐⭐⭐⭐⭐
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 133
Franck et les filles
Il est 13h quand j'émerge. Emma déjà prête me regarde dormir du fond d'un fauteuil du salon. Je m'étire langoureusement et lui fais signe de venir. Elle refuse de la tête. J'insiste. Elle me dit l'heure et me demande comment s'est passé la soirée. Je lui dit que nous avons fait un tour en voiture et fini à l'Indiana à se faire draguer par des minettes.
Douche, maillot, bermuda, polo et baskets et nous descendons au restaurant. Franck nous voit arriver et nous fait de grand signe pour que nous les joignons à lui et son grand père. Il salut Emma et me dit bonjour avec un grand sourire. Le grand père me remercie pour la bonne soirée que j'ai fait passer à son petit fils, il ne l'avait pas vu aussi gai depuis leur arrivée. Emma se tourne vers moi et je répond à sa question muette par un léger haussement des épaules doublé de mon sourire le plus innocent. Ça ne la trompe pas un instant. Récit de la soirée par Franck édulcoré du passage pipe et sodo. ;
Franck me dit au café qu'il avait appelé les filles et qu'elles nous attendaient vers 16h. Je vais négocier avec Emma (que je baise avec des mecs ne la dérange pas, avec des filles je ne sais pas encore). Je lui explique le topo, notre relation de la veille, Franck et moi et le fait que je veux qu'il s'essaye aussi aux femmes. Question très féminine, " elles sont jolies ? ". Je lui confirme que nous n'allions pas baiser des thons et j'ajoutai qu'elle (Emma) était de toute façon hors concours et d'ajouter " Maman ". Ce dernier mot m'a valu la claque que je méritais et que j'attendais. De son coté elle sait que je lui suis attaché et que c'est surtout pas une jeune meuf qui pourra me séparer d'elle. J'ai mon " autorisation ".
Dans une sacoche je fourre serviette de bain, kpote et gel. Je retrouve Franck dans le hall, il m'y attendait depuis un bon 1/4 d'heure. Nous allons à pieds chez les filles c'est à 10mn. Il profite de ce moment pour me demander des conseils vite fait. Je lui dis de ne pas s'inquiéter et de calquer son comportement sur moi.
Pas la peine de sonner, elles nous guettaient et viennent nous ouvrir quand on est encore à 5 m du portillon. Elles sont en bikini très petits. Elles nous entrainent dans la maison pour arriver à une piscine à moitié dehors. Franck et moi quittons nos quelques vêtements et nous exposons nos musculatures avantageuses. Les filles ne nous soupçonnaient pas aussi bien foutu ce matin en boite. Plongeons, courses poursuites, maillots qui glissent et nous voilà tous les 4 à poil dans le bassin. Franck ne peut s'empêcher de bander. Les filles se collent à nous cherchant baisers et caresses. La pelle, Franck y a mis un peu trop d'enthousiasme mais s'est rapidement adouci. La fille dans mes bras est mignonne mais c'est le corps de Franck qui me fait bander. Je sors la mienne de l'eau et la couche sur une des méridienne. Franck suit aussitôt. Nous passons une bonne heure et demi à les faire jouir avec la langue et la bite, échangeant nos partenaires. Pendant les échauffourées, j'ai mis plusieurs fois discrètement un doigt dans le cul de Franck et à ce que j'ai pu voir pour son plus grand plaisir. ;Nous laissons des filles fatiguées mais qui en redemandent. Sur le retour, je dis à Franck qu'il pourra se les faire toutes les deux jusqu'à la fin de son séjour vu comme elles sont chaudes. Il me dit qu'il réessayera mais qu'il avait préféré notre entrevue particulière.
Nous rejoignons Emma au bord de la piscine. Elle nous demande si le filles valaient le coup. Franck rougit, il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit au courant. Je lui dis que j'avais mis le pied de Franck à l'étrier et qu'à partir de maintenant il s'en occuperait tout seul. Je me penche et lui roule un patin si profond que j'en bandais presque. Quand j'ai fait tomber le short mon maillot était très avantageux. Avec Franck et Emma nous avons aligné les longueurs, repoussant les mémés sur le bord du bassin.
Ce soir là, Emma nous accompagna à la boite de nuit. Nous y avons retrouvé les deux blondes qui ne nous ont pas trop collées vu l'intimité que dégageait mon attitude avec Emma. ;Elles ont juste insisté auprès de Franck pour décrocher un nouveau rendez vous. ;J'ai dû de mon coté virer deux, trois bellâtres qui insistaient lourdement auprès d'Emma. Franck était tout content de sa soirée. Un passage aux toilettes lui a permis de me demander quand nous allions nous retrouver. Je l'ai calmé et lui ai dit que cette nuit était à Emma. Un moment déçu, il me dit avec un sourire que le lendemain il y aura muscu. Je lui fais rapidement un bisous sur les lèvres et nous retournons danser. Avec Emma nous avons fait l'amour avant de nous endormir.
Le matin suivant, muscu comme promis la veille. Réveillé tôt (enfin 10h) en short et marcel de sport, je tape à la porte de Franck et j'ai la surprise le la voir s'ouvrir sur un jeune dépeigné, en caleçon lâche, les yeux gonflés de sommeil. Je le pousse et avant qu'il n'en soit revenu, le place sous la douche et ouvre grand le robinet d'eau froide. Hurlements, il se débat mais je suis quand même plus fort que lui et je sors mouillé de l'histoire mais vainqueur. Pour aller à la salle, je lui emprunte un short et un t-shirt secs. Je les remplis plus que lui et je suis à la limite de l'indécence question short. Tant pis, mon coté exhibitionniste trouve cela très drôle. Nous trouvons quand nous entrons quelques mecs entre 30 et 50 ans en train de se donner bonne conscience sur les appareils de cardio. Notre arrivée provoque un découragement général. Pour les complexer encore plus, nous zappons l'échauffement et passons direct au développé couché. Raisonnable, je décide de séries en poids croissant et nous nous échauffons quand même sur les premières barres. Quand nous sommes sur les séries à plus de 80 Kg, ils nous laissent seuls. Pourquoi ?? Dégoutés peut être ?? ;Une bonne heure et quelques exercices plus tard, nous allons nous doucher les cabines ne sont pas communes mais très grandes chaque. Nous profitons que nous soyons seuls pour n'en partager qu'une. Juste rincés, je me suis fait violé par Franck. Sucé jusqu'à ce qu'il arrive à avaler mes 20cm (après une série d'étranglement juqu'à ce qu'il rythme sa respiration), il s'est préparé l'anus de ses doigts. Puis après m'avoir roulé une pelle et posé une kpote sur mon bout, il s'est empalé dessus. A parti de ce moment là, je n'ai pu résister et je l'ai enculé debout alors qu'il se tenait arque bouté contre le carrelage. Ses coups de rein me disait tout le bien que je lui faisait. Ses fesses ronde dans mes mains sont un bonheur de muscle. Franck se donne tellement que je doute qu'il ne devienne qu'un banal hétéro. Mes bras passés sous les siens, je le décollais du mur et le maintenais contre mon torse, mordillant son cou. J'ai joui dans son cul comme il explosait contre la porte vitrée. Nous avons continué par notre douche, parlant de choses et d'autres enfin surtout Franck qui me disait combien il avait apprécié cet assaut. A notre sortie, deux mecs nous ont regardés, étonnés. Avec naturel, j'ai attrapé Franck par le cou et lui ai roulé un patin avec la langue. Puis nous sommes passés dignement devant eux. La porte franchie nous avons éclatés de rire comme des sales gamins qui ont fait une blague. Nous en riions encore quand nous avons rejoint Emma auprès de la piscine où elle nous avait commandé un petit déjeuner reconstituant. J'ai été obligé de lui raconter. Comme elle me demandait si ce n'était pas les deux types qui arrivaient et que c'était bien eux, elle a attendu qu'ils la regarde pour m'attirer à elle et me m'embrasser sur la bouche. Une fois décollés, nous les avons regardé. Ils ne semblaient plus savoir où ils habitaient. Sans plus se préoccuper d'eux, nous avons Franck et moi fini notre petit déjeuner.
Avec Emma nous nous sommes promenés l'après midi sur Guérande et ses marais salants. Nous avons testé l'océan à notre retour. Trop froid ! retour à l'hôtel et à ses piscines.
Franck me cherchait pour me dire que les filles l'avaient appelé et nous avaient invité pour la soirée. Je refusais de l'accompagner et lui dit qu'il savait tout ce qu'il fallait savoir pour assurer maintenant. Ça l'a un peu refroidi mais comme j'insistais, il s'est finalement décidé à y aller seul.
Nous n'avons vu revenir Franck que le lendemain matin vers 11h. comme j'étais avec Emma au bord de la piscine, il nous y a rejoint. Après les salutations, il n'a pu se retenir et nous a raconté sa soirée et sa nuit. Nous avons mieux compris la tête de déterré qu'il arborait ce matin là. A elles deux, elles l'ont littéralement vidé de la moindre goutte de sperme. Il nous a même dit qu'il avait réussit à sodomiser la plus salope des deux. Comme je lui demandais si c'était meilleur que nous, il m'a répondu " différent ". Je l'ai poussé dans le bassin, nous nous sommes fait engueuler par le surveillant car il était tout habillé. Cela ne l'a pas empêché de mater Franck dans ses vêtements collés sur sa peau ! Je l'ai accompagné se changer. Dès que la porte de sa chambre s'est refermé, il m'a sauté dans les bras et nous avons échangé un baiser, de sa part plutôt passionné !
Comme je lui en demandais la raison, il m'a dit, pour rien, juste qu'il m'aimait. Douche glacée entre mes omoplates !! alors que lui se dévêtait devant moi avec un naturel déconcertant. Malgré ce que je venais d'entendre ou peut être à cause de cela, je bandais comme un âne. Cette fois c'est moi qui l'ai " violé " pour son plus grand plaisir. Son corps jeune et musclé me rend actif et surtout ne me laisse pas sur ma faim. Avec lui pas de désir d'être sodomisé, juste l'envie de le prendre, lui. Allongés sur le lit sa tête au creux de mon épaule, j'ai réfléchi à la façon de lui parler. Ok j'ai été le type qui l'a révélé au sexe, ça l'a impressionné, c'est normal mais il n'a pas encore vu tout ce que le monde lui réservait ... Après avoir écouté sagement mon discourt, il m'a sauté dessus ses jambes me bloquant le bassin, ses mains fixant mes poignets au matelas. il m'a regardé fixement dans les yeux et doucement a rapproché son visage jusqu'à poser ses lèvres sur les miennes. Ma queue s'est raidie direct et placé comme il était s'est enfoncée sans barrière dans son cul. Comme je voulais sortir de lui, il m'a dit qu'avant moi il était vierge et que moi j'était clean. Ça plus ce qu'il m'avait dit plus tôt, j'ai cédé. Il m'a fait l'amour avec brio. Alternant les assises brusques et profondes avec un travail du gland par son anneau, du grand art pour un néophyte. Ma bite était tout à son bonheur dans l'intimité de son boyau. Au chaud, suffisamment lubrifié pour que j'y glisse sans heurts mais avec un anneau encore bien nerveux, il m'a emmené tout droit vers la jouissance. J'ai quand même réussi à l'éjecter au moment ou j'explosais me répandant sur son dos plutôt que dans son cul. alors que mon sexe sortait de lui il a juter et m'en a mis partout. Je lui ai pris la tête et lui a dit de nettoyer avec sa langue. Chose faite 5mn plus tard. Il n'a pas détesté le goût de son sperme.
Nous avons rejoint la civilisation avec beaucoup de retard pour le déjeuner. Au café, son grand père m'a pris à part et ma demandé ce qu'il me devait pour m'être occupé de son petit fils, il ne l'avait jamais vu aussi bien dans sa peau. Il savait que j'étais Escort boy et savait que nos services étaient tarifés. J'ai eu beau lui dire que Franck était une distraction " hors contrat " et que cela m'avait fait plaisir aussi, il n'en démordait pas. seul le retour d'Emma et Franck a clos notre discussion. J'ai consacré notre dernière journée exclusivement à Emma. J'ai juste indiqué à Franck les " hommes de service " pouvant être éventuellement gay. Notamment l'un des surveillants de la piscine dont le slip avait tendance à gonfler quand Franck et moi étions dans le bassin. Plus tard dans la journée, c'est le grand père qui est venu me voir. Il m'a demandé si je pouvais continuer à être en relation avec son petit fils pour l'aider et le guider au besoin. Je l'ai regardé bien en face et lui ai dit que ce ne serait peut être pas dans le sens qu'il désirerait. Que je me l'étais déjà fait et que si je le revoyais ce serais de nouveau le cas. Très cool le papy m'a tendu une enveloppe en me disant que je ne lui apprenait pas la vie et que si cela rendait Franck heureux alors ce n'était pas un problème. J'aime c'est gens respectueux des désirs et des choix des autres. J'acceptai sans réfléchir plus.
Avant notre départ, nous avons échangé (avec Franck) nos n° de téléphone et une pelle bien vorace.
Pendant le retour, Emma s'est moqué gentiment de moi et de mon âme de saint Bernard. Comme je me rabaissais en dénonçant mon coté vénal, elle m'a dit que ce devait être pour cacher le coté hyper sensible de mon caractère. Venant d'une autre personne j'aurais pris cela pour de l'ironie.
Quand j'en ai parlé à Marc le soir même, j'ai eu droit au même couplet, avec en plus une demande de description complète de l'animal, on ne se refait pas !
Vers 22h appel de Franck pour me dire que oui le maitre nageur aimait les garçons. Je lui ai dit que OK il avait attendu 18 ans pour se décoincer mais que ce n'était pas une raison pour sauter sur tout ce qui bouge.
JARDINIER
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perduedansmatete · 2 months
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@wonderbandersnatch m'a taggué il y a mille ans pour répondre à un genre de questionnaire de proust donc je m'exécute enfin tant bien que mal:
ma vertu préférée
je copie mais l'empathie c'est une super vertu
le principal trait de mon caractère
dévouée je dirais
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
chez mes meilleurs amis je pense que ce que je préfère c'est leur désinvolture et leur capacité à faire n'importe quoi comme si on était encore adolescents
mon principal défaut
l'indécision
mon occupation préférée
le quatuor gagnant: être à un concert, dormir, baiser et faire des listes
Votre idée du bonheur
ne pas vivre dans l'angoisse d'absolument tout
Votre idée du malheur ?
mourir sans jamais avoir eu de chat à soi
Ce que je voudrais être
je n'en ai aucune idée actuellement mais petite j'ai voulu être chanteuse d'opéra pendant un temps pour les raisons suivantes: je pensais que j'avais du talent (ceci dit jusqu'à longtemps j'ai pu chanter l'air de la nuit de la flûte enchantée et j'adorais la réputation que ça me donnait), je me disais que je gagnerais plein d'argent, que je travaillerais dans de beaux décors et surtout que je serais pas hyper connue comme si j'étais une rockstar et ça je trouvais ça cool d'être tranquille mais riche voilà et je trouve encore que c'est un bon plan finalement donc allez chanteuse d'opéra
le pays où je désirerais vivre
je sais pas si j'aimerais y vivre mais je suis obsédée par l'islande, j'ai failli y aller il y a quelques années mais covid oblige ça a été annulé bref.
la couleur que je préfère
franchement je porte que du noir donc bon, mais j'aime les couleurs reposantes sinon comme les couleurs pastel et aussi j'adore le bordeaux bien profond (mais du coup noir quand même)
la fleur que j'aime
j'aime beaucoup les petites fleurs des champs et les boutons d'or!!!
l'oiseau que je préfère
les hirondelles <3
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
j'ai lu trop de sartre à cause de ma prof de philo de terminale dont j'étais amoureuse pour ne pas le nommer, sinon despentes, les sœurs brontë et après je ne sais pas trop car je lis rarement plus de deux ou trois ouvrages d'une même personne bouuuh la nullos
mes poètes préféré.e.s
rimbaud, baudelaire, éluard, plath et... lana del rey mouhahaha j'écris ce que je veux
mes héros favoris dans la fiction
bojack, perceval dans kaamelott mdr, le prêtre dans fleabag, scott pilgrim ce gros loser et j'ai pas trop d'autres d'idées car j'aime pas les hommes pardon (sauf les nuls et ceux qui font pitié)
mes héroïnes favorites dans la fiction
jane eyre, fleabag, amélie poulain, thelma ou louise? louise ou thelma? je sais pas donc les deux car l'une ne va pas sans l'autre, lou et reine amy dunne
mes compositeurices préféré.e.s
je sais pas si par compositeur c'est juste à l'ancienne ou compositeur de musique en général... si c'est à l'ancienne je dirais satie car je l'écoutais beaucoup fut un temps pour me calmer et j'ai pas d'autres noms car j'en écoute pas assez pour avoir des compositeurs où je me dis ouaaaa c'est mon préféré celui-là
mes peintres favori.te.s
munch, klimt, mucha, o'keeffe, schiele et pas mon père (bien qu'il adore peindre, il est plus doué avec son stylo bic qu'avec un pinceau)
le personnage historique qui me déplaît le plus
thatcher car j'ai déjà dit que j'aimais pas les hommes donc comme ça j'équilibre
ma nourriture et ma boisson préférées
j'adore manger coréen depuis toujours et je pourrais ne boire que des bloody mary (ou de l'eau, c'est très bon l'eau)
mes noms favoris
si seulement on ne m'avait pas volé mon téléphone avec ma fameuse liste de prénoms préférés parmi toutes mes listes... mais pour en donner un je vais dire anouck. je trouve ça classe.
ce que je déteste par-dessus tout
le capitalisme
le don de la nature que je voudrais avoir
là comme ça j'aimerais bien pouvoir voler ça m'éviterait de prendre le métro et tout ce que ça implique
comment j'aimerais mourir
version suicide: me balancer d'une falaise
version tout va bien dans ma vie: dans mon sommeil comme ça c'est tranquille je le vois pas venir, classique, pas de regret, tout est bien qui finit bien
mon état d'esprit actuel
frustrée, énervée, triste, j'aime pas cette journée alors je me suis dit que j'allais enfin répondre à ce questionnaire pour m'occuper l'esprit mais deux de mes caractéristiques premières étant l'indécision et l'incapacité à savoir quelles sont mes choses préférées c'est compliqué donc je suis d'autant plus frustrée!!!! mais j'arrive au bout donc je suis quand même contente...
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
franchement j'en ai aucune idée, je crois que je suis très indulgente en général avec les fautes des autres sauf si c'est des pures merdes
ma devise favorite
le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder il avait bien raison celui là si vous voulez mon avis
voilà fini!! et je tague personne car il faut être motivé pour y répondre mais si quelqu'un a envie go car c'était quand même sympa à faire alors merci @wonderbandersnatch <3
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alexar60 · 9 months
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Le musicien fantôme
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L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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La musique apaisante : Méditation et relaxation.
La musique apaisante pour la méditation et la relaxation profonde Imaginez un monde sans tensions, sans stress, juste un apaisement profond et une relaxation sereine. C’est possible grâce à la musique. Comment ? C’est ce qui sera profondément exploré dans cet article. D’abord, le rôle clé de la musique dans la méditation et la relaxation est discuté en détail. Ensuite, les avantages de la musique…
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HYPNOSE pour dormir, s'endormir et faire de beaux rêves, endormez vous, bien dormir, contre les insomnies #hypnose #dormir #sendormir #beauxreves
https://www.youtube.com/watch?v=9c-h_nxITek
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Certaines vidéos qui sont là peuvent êtres vues comme une idée, un concept.
Prenez ce temps pour vous, ce moment pour vous.
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Bienvenue sur cette hypnose pour dormir, s'endormir et faire de beaux rêves, endormez vous, bien dormir
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Dans cette hypnose, vous allez prendre ce moment pour vous endormir.
Vous n'avez rien de particulier à faire seulement vous laisser guider vers le repos.
Vous laisserez la relaxation, la détente et le sommeil vous envahir tout en douceur.
Il y aura de belles et agréables paroles pour vous laisser glisser vers le sommeil.
Ecoutez simplement cette voix et laissez le sommeil s'installer en vous.
Laissez vous emporter vers de beaux rêves en vous sentant bien et en oubliant le stress quotidien.
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J'espère que cette hypnose vous plaira.
N'hésitez pas à commenter.
Je vous souhaite une belle et agréable nuit, avec de beaux rêves.
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Je m’excuse de ne pas avoir écrit sur tes pages ces derniers jours. Nous avons été bien occupés ici.
Mardi matin, Julian et moi prenions notre petit-déjeuner. Il faisait du soleil cette semaine et c’était agréable de passer du temps dans la cuisine. J’ai développé une passion pour les crumpets[1], et Julian les prépare extrêmement bien. Nous les mangions avec du miel et du beurre quand quelqu’un a frappé à la porte.
Julian a sursauté. La veille, nous avions reçu une lettre de Ty dans laquelle il nous annonçait qu’il allait venir avec Ragnor à Blackthorn Hall. Il craignait beaucoup que ça énerve Julian, mais Julian n’était pas du tout énervé. Il était anxieux. Toute la journée, il avait l’air distrait et se cognait partout. Alors quand nous sommes allés nous coucher, je lui ai pris la main pour écrire dans sa paume, comme nous en avions l’habitude, une lettre à la fois. Q-U-E-S-T-C-E Q-U-I T-I-N-Q-U-I-E-T-E ?
Nous nous sommes enlacés sous les couvertures. Il m’a avoué qu’il s’inquiétait parce que c’était lui qui s’occupait de Ty avant, et maintenant plus d’un an avait passé, et Ty se débrouillait seul. Il a ajouté qu’il savait tout de Ty, l’heure à laquelle il se levait et allait se coucher, ce qu’il aimait faire, ce qu’il aimait manger. Et maintenant il a l’impression de l’avoir perdu de vue d’une certaine manière, comme s’ils étaient devenus des inconnus l’un pour l’autre.
Je l’ai rassuré : il ne perdrait jamais Ty de vue et leur relation sera toujours spéciale, elle allait simplement changer parce que Jules n’avait plus besoin de s’occuper de tout le monde en faisant semblant du contraire. Il n’avait plus à porter le poids de cet énorme secret, et s’occuper de quelqu’un est toujours un poids, peu importe l’amour que l’on a pour les personnes dont on s’occupe.
Et puis il m’a embrassée, et la suite, Bruce, ne te regarde pas. Punaise, comme tu es curieux !
Enfin bref, revenons au petit-déjeuner et à la personne à la porte. C’était Ragnor, qui avait un teint vert et fringuant, comme une prairie anglaise. Il a rapidement dépassé Julian pour aller examiner les tentures. En réalité, il examinait certainement quelque chose de magique, comme la malédiction, mais à mes yeux il semblait examiner les rideaux et le papier peint. Peut-être songe-t-il à refaire la décoration chez lui. Ou peut-être laissait-il un moment à Julian pour être seul avec Ty, qui était encore sur l’escalier, si adorable avec son air gêné et son sac sur l’épaule.
J’ai eu envie de courir vers lui pour le prendre dans mes bras, mais je ne suis retenue parce que je sentais au plus profond de moi que ce moment n’appartenait qu’à Ty et Jules. Jules se tenait dans l’encadrement de la porte et regardait Ty, les traits tirés, puis a fini par dire « Viens là » d’une voix rauque. Ty a laissé tomber son sac et a grimpé les escaliers en courant. Julian l’a serré dans ses bras si fort que j’étais certaine qu’il allait protester. Mais pas du tout. Il a simplement accepté le câlin. Julian a passé la main dans son dos en chuchotant « Ty-Ty », et je n’ai pas vu ce qu’il s’est passé ensuite parce que je faisais de mon mieux pour garder les yeux grands ouverts sans cligner. C’est le moyen le plus sûr que je connaisse pour éviter de pleurer.
Après ça, nous avons fait visiter le rez-de-chaussée à Ty et Ragnor, ce qui était un peu bizarre puisque Ty était déjà venu ici avec Livvy il y a deux ans. Je pense que nous avions tous conscience de ce chagrin lourd comme une chape de plomb. Julian n’arrêtait pas de lancer des regards inquiets à Ty, mais lui n’avait pas l’air triste, plutôt pensif. Au bout d’un moment, Julian lui a fait remarquer qu’il devrait aller à l’étage pour choisir sa chambre :
- N’importe quelle chambre ! Il y a du choix. Prends celle que tu veux, tu pourras la décorer comme tu le souhaites. Tout ce que tu veux.
- Et moi, je vais dormir comment ? a questionné Ragnor d’un ton bougon. Enfoncé dans la cheminée ?
Ty était déjà dans l’escalier avec Julian. J’ai dit à Ragnor qu’il pouvait dormir où il le souhaitait, mais je lui ai recommandé le canapé en bas, s’il voulait être au plus près du fantôme. Rupert a toujours tendance à apparaitre dans la salle à manger. Ne poursuivant pas sur ce sujet, Ragnor s’est simplement dirigé vers la cuisine pour préparer le thé. Je lui ai proposé un crumpet pour être hospitalière. Quand Julian est redescendu, Ragnor répandait du miel sur le plan de travail.
- Est-ce que je peux voir la carte des ley lines ? a demandé Jules. Ou bien tu es trop occupé à attirer les fourmis ?
- Il n’y a pas de fourmis, a objecté Ragnor, la bouche pleine de son crumpet. Ce n’est pas la saison.
Il s’est léché les doigts, a passé la main dans sa veste et en a sorti un immense parchemin roulé qui, soit dit en passant, ne pouvait pas rentrer dans cette veste sans un peu de magie. Qu’on ne dise jamais que Ragnor n’aime pas la théâtralité, même s’il prétend être au-dessus de tout cela. Il a déroulé la carte sur la grande table et a mis un bougeoir et des livres sur les côtés pour qu’elle ne bouge pas.
C’était une carte du centre de Londres – difficile de ne pas reconnaitre la forme particulière de la Tamise qui serpente au milieu. Elle était entièrement recouverte de lignes de différentes couleurs : rouge, bleu, vert, doré. Et le long de ces lignes se trouvaient des symboles astrologiques, des flèches, des nombres et quelques mots en grec. On distinguait à peine le nom des rues.
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- Ta carte de Londres est en grec ? s’est étonné Julian. Et tu ne vas pas répandre du miel dessus ?
- Le miel est bon pour le parchemin. C’est un conservateur. Et c’est du copte.
- Ta carte de Londres est en copte ? me suis-je exclamée.
Ragnor a posé un regard tendre dessus.
- Oui. Crois-le ou non, c’est l’une des cartes des ley lines de Londres les plus lisibles que j’ai trouvé. Certaines d’entre elles sont simplement invraisemblables. Celle-ci date du XVIIIe siècle, c’est écrit en copte juste pour compliquer les choses. Les sorciers sont comme ça.
« Je sais », ai-je eu envie de répliquer, mais je me suis tue, parce que Ragnor nous rendait service.
- Votre fantôme est-il présent ? s’est enquis Ragnor.
Il avait pris un large cristal grossissant à travers lequel il observait des sections de la carte.
- Je ne sais pas, ai-je déclaré. Rupert ? Nous avons un invité qui souhaite vous rencontrer.
Il ne s’est rien passé.
- Ses allées et venues sont donc aléatoires, a marmonné Ragnor, comme s’il parlait tout seul. Intéressant.
Il a sorti de sa poche un petit carnet en cuir qu’il a feuilleté.
- C’est intéressant ? a répété Julian. Peut-être qu’il est simplement timide face aux inconnus. Avant notre arrivée, il est resté seul ici pendant une cinquantaine d’années.
- Mon garçon, a lancé Ragnor en levant les yeux vers Julian, il y a des gens que je n’ai pas eu le temps de rappeler pendant cette période.
- Eh bien, tu devrais être un meilleur correspondant, a rétorqué Julian en croisant les bras. Vois-tu quelque chose sur la carte ?
Ragnor a émis un son hésitant avant de reporter son attention sur la carte. Au bout d’un moment il s’est redressé :
- Bien. Voulez-vous toutes les explications détaillées, ou dois-je passer directement à la conclusion ?
- La conclusion, s’il-te-plait, ai-je requis.
- C’est bien ce que je me disais.
Il avait l’air grincheux, pour une raison que j’ignorais. C’est bien Ragnor, ça !
- En prenant en considération les différents types de ley lines et les diverses intersections, nœuds et empreintes, a-t-il expliqué, et en supposant que les autres objets sont probablement dans le centre de Londres, puisque c’était le cas des premiers, et en supposant aussi que les objets sont certainement dans des lieux importants pour le Monde Obscur…
Il s’est interrompu et nous a regardé en haussant les sourcils.
- Nous te suivons pour l’instant, a affirmé Julian.
- Je pense que les prochains lieux à fouiller sont certainement là et là.
Il a sorti un crayon de je ne sais où et a entouré deux points sur la carte.
- Là, c’est l’église St. Mary Abchurch. Et là…
Il s’est tu.
Julian s’est penché sur la carte pour voir ce que Ragnor désignait.
- D’accord ? ça a juste l’air d’être une rue résidentielle à Soho.
- En fait, a repris Ragnor, à une époque, pendant longtemps, l’une de ces maisons était un notoire club de Créatures Obscures. Ça s’appelait The Hell Ruelle[2]. C’était très malin, ce nom, voyez-vous, parce qu’une « ruelle » désigne une sorte de réception que les dames de l’aristocratie française organisaient dans leur chambre, un peu comme un salon, et c’est aussi dans une petite rue, donc une ruelle, que se trouvait ce club.
- Et en plus, ai-je ajouté très sérieusement, ça rime.
- En effet, a continué Ragnor. Je ne sais pas ce qu’il est devenu. Les salons et clubs sont passés de mode depuis longtemps, mais les Créatures Obscures aiment faire les choses à l’ancienne. Je suppose que c’est toujours un club d’une manière ou d’une autre, certainement tout aussi scandaleux qu’à l’époque. J’ai cru comprendre que les scandales ne sont jamais passés de mode.
- Nous avons vu une affiche de ce club, est intervenu Julian. Elle était accrochée dans la maison des Herondale à Curzon Street.
Ragnor a haussé les sourcils.
- Vous êtes allés dans la maison de Curzon Street ? Comment est-elle maintenant ?
Julian a donc commencé à raconter notre visite à Ragnor, ce qui tombait bien parce que je voulais aller voir Ty. J’avais pensé qu’il descendrait pour aider ou du moins observer Ragnor, mais il fallait croire qu’il avait trouvé un endroit qui lui plaisait et y était resté. Ou bien une horrible tragédie était survenue. Mais c’était certainement la première hypothèse.
Je n’ai pas eu de mal à le trouver en tout cas : il y a beaucoup de chambres mais pas tant que ça. Et d’ailleurs, ces vieux murs n’atténuent aucunement le bruit, alors je l’entendais parler dans l’une d’elles. La « chambre grise », comme Julian et moi l’appelons. Elle a une belle vue sur la mare aux canards.
Je suppose qu’il était au téléphone, j’entendais les pauses pendant lesquelles il écoutait l’autre personne. J’ai cru saisir les mots « Eh bien je ne sais pas du tout pourquoi, mais ça ne fait pas très longtemps », en réponse à quelque chose. Puis la porte s’est ouverte et il est sorti de la chambre. Il a tout de suite sursauté en me voyant dans le couloir.
- Emma ?
- Je suis juste montée pour voir comment tu allais, lui ai-je signifié. Je pense que nous allons bientôt commander à manger. Est-ce que c’est la chambre qui te plait ?
- Oui, a-t-il répondu en tournant la tête vers les hautes fenêtres. Je trouve que c’est une belle chambre.
- Tu parlais avec ta sœur ?
Il n’a rien dit. Il a soudainement rougi, avant de pâlir. Je me suis demandé s’il avait prononcé quelque chose que je n’étais pas censée avoir entendu, mais je ne savais pas ce que ça aurait pu être.
- Je n’écoutais pas aux portes, l’ai-je rassuré. J’ai simplement supposé que c’était Dru.
- Ah ! s’est-il exclamé. Oui. Oui, je parlais avec Dru. Elle…
- Veut probablement savoir comment sont les chambres, ai-je complété, voulant le mettre à l’aise. Dru voudra sûrement la plus gothique.
- Absolument, a acquiescé Ty alors que nous descendions. Mais je ne suis pas vraiment qualifié pour définir ce qui est gothique.
- Je crois que l’idée, c’est « aussi effrayant que possible ».
Jules et Ragnor nous attendaient quand nous sommes arrivés dans la cuisine. Ty s’est détendu assez vite. En fait, tout ce dont il avait besoin, c’était 1- du thé et 2- poser des milliers de questions à Ragnor au sujet de la carte des ley lines jusqu’à ce que notre commande arrive et mette fin à la discussion. Je te jure, Bruce, qu’à un moment Ragnor a raconté une blague en copte et que Ty a ri. Ils ne font pas les choses à moitié à la Scholomance. C’est peut-être un peu trop intense pour moi. Mais ne te méprend pas, c’était très agréable de passer du temps avec eux. Ça m’a rappelé que cette maison pourra à nouveau être chaleureuse et accueillante une fois que les rénovations seront terminées et que tous les Blackthorn seront ici et s’approprieront les lieux. Même la malédiction n’était pas si pesante alors que nous nous étions installés devant la cheminée pour faire une partie de Cluedo (on appelle ça simplement Clue en Amérique) jusqu’à ce que Ty s’endorme.
Annexe : Dimanche soir. Ragnor et Ty sont partis cet après-midi. C’était chouette de les avoir à la maison, ça nous a fait du bien à Julian et moi de parler à d’autres personnes que les entrepreneurs. Ty et Julian ont passé un certain temps dans le jardin pour déterminer quelles statues anciennes étaient abîmées de manière artistique et élégante, et lesquelles étaient complétement fichues. Nous allons devoir acheter de nouvelles statues quand nous réaménagerons le jardin, ce qui a beaucoup intéressé Ty : il nous a conseillé une statue de Holmes tenant une loupe et une autre de Watson.
La seule chose étrange est que le fantôme de Rupert était absent pendant toute leur visite. Il n’est réapparu qu’une heure après leur départ. Nous lui avons montré la carte et répété que ce Ragnor nous avait expliqué. Il a simplement répondu que Ragnor avait sûrement raison. Et il s’avère qu’il a bel et bien parlé à Ty à un moment. Il nous a assuré que Ty était « gentil avec les fantômes ». Peut-être que Ty lui a fait un sandwich fantôme ou lui a lu une histoire de fantôme le soir, que sais-je. En tout cas, Ty n’en a pas parlé.
Voilà, c’est tout pour l’instant ! Je pense que nous irons à l’église St Mary Abchurch demain après-midi, et selon ce que nous y trouverons, nous irons voir si cette maison de Soho est toujours un club scandaleux. Mais ce que Ragnor considère comme scandaleux ne le sera peut-être pas tant que ça à nos yeux. Nous verrons bien ! Pour autant que nous en sachions, c’est juste la maison d’un type qui sera très étonné de nous voir arriver !
Bonne nuit, Bruce. C’est sympa de penser à ce que ce sera quand tous les Blackthorn seront là pour remplir la maison de bruit et d’animation. C’est la première fois depuis le début que j’arrive vraiment à imaginer ça, même avec la malédiction. En attendant, je place entre les pages un polaroid de nous tous qui jouons au Cluedo, au cas où tu voudrais avoir quelque chose à voir plus tard.
Emma.
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[1] Type de pain britannique
[2] Dans les romans publiés par PKJ, la traduction est « La Ruelle ». Il s’agit bien du même endroit.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustrations de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/683787176902868992/emma-to-bruce
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aurevoirmonty · 2 months
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"C’est seulement en des circonstances données que se déchire le voile d'une illusion, au fond, providentielle. Par exemple, déjà en tous moments d’un péril subit : lorsque l'on est sur le point d'être renversé par un véhicule, ou lorsque perd pied, à la suite de l'ouverture d'une crevasse, celui qui s'aventure sur un glacier, ou lorsque l'on touche inopinément un charbon ardent ou un objet électrisé, se manifeste alors une réaction instantanée qui ne procède, ni de la « volonté », ni de la conscience, ni du « Moi », celui-ci ne survenant qu'après, à geste accompli, ayant été supplanté à ce moment par quelque chose de plus profond, de plus rapide et de plus absolu. Dans la faim, dans la panique, dans la concupiscence sexuelle, dans le spasme, dans la terreur, se manifeste de nouveau la même force — et qui sait la saisir directement en ces moments se crée, en même temps, la faculté de la percevoir graduellement aussi, comme le substrat invisible de toute la vie à l'état de veille. Les racines souterraines des inclinations, des dogmes, des atavismes, des convictions invincibles et irrationnelles, les instincts, les habitudes, le caractère, tout ce qui vit en tant qu'animalité, en tant que race biologique, toute la volonté du corps — tout ceci reconduit au même principe. En face de lui, la « volonté du Moi », a, très souvent, une liberté semblable à celle d’un chien attaché à une chaîne assez longue, laquelle ne se fait sentir qu'au moment où se trouve dépassée une certaine limite. Si l'on va outre, la force profonde ne tarde pas à s'éveiller, pour supplanter le « Moi », ou pour le jouer, en lui faisant croire de vouloir ce qu’au contraire elle veut. La force sauvage de l'imagination et de la suggestion reconduit au même point : celle qui, selon la loi, dite de la « conversion de l'effort », se fait autant plus forte que l'on « veut » d'autant plus contre elle — comme dans le sommeil qui fuit d'autant plus que l'on « veut » dormir, ou comme dans la suggestion de tomber en marchant le long d’un abîme, laquelle conduit certainement le plus grand nombre à tomber, si l'on « veut » contre elle."
Julius Evola, La doctrine de l'éveil
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rideretremando · 8 days
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KANT
di Sebastiano Maffettone
Domani, 22 aprile, Immanuel Kant compie 300 anni (1724-2024). Ho usato il tempo presente non a caso. Perché, che lo si sappia o no, Kant vive ancora in mezzo a noi. Meglio, le sue idee e le sue teorie sono parte integrante del nostro patrimonio intellettuale. Lo si vede chiaramente dalla nostra comune ideologia, dalle più rilevanti ipotesi filosofiche che hanno popolato il secolo ventesimo e l’inizio del nostro, e in sostanza dal nostro modo di pensare nel suo complesso. Non è facile argomentare decentemente una tesi come questa. Certo, si può dire che Kant era un genio assoluto, si può sostenere che ha messo insieme profonde intuizioni sul suo tempo con una tecnicalità filosofica perfettamente compiuta, oppure ancora che egli ha incarnato come nessuno lo spirito della modernità di cui siamo ancora – volenti o nolenti – figli riluttanti. Tutto vero, beninteso.
Ma, non appena si cerca di sostenere qualcosa di simile alla luce dei suoi scritti, interpretazioni generali come questa mostrano la corda. E per varie ragioni. La prima è banale e ineliminabile: leggere Kant è complicato, quasi impossibile senza una guida. Non puoi, intendo, prendere i suoi testi più importanti e, pur armato di buona volontà, sperare da solo di capire ciò che il filosofo sostiene. Innanzitutto, perché il nostro tratta problema estremamente astratti e complessi, del tipo di come sia possibile la conoscenza e che cosa vuol dire essere liberi. In secondo luogo, perché Kant non aveva il dono di una scrittura persuasiva e gradevole, come per esempio lo sono quella di Rousseau e quella di Hume. Certo, la sua prosa è ardua perché, come detto, si arrampica su cime abissali, ma è difficile negare che l’autore ci metta del suo. Il tedesco di Kant è indubbiamente ostico, come del resto i suoi primi lettori non esitarono ad affermare.
Kant, diciamo la verità, era un tipo strano. Metodico fino all’esasperazione e prussiano nell’animo, così lontano non solo dalla mia immaginazione mediterranea ma anche dalle esperienze di vita degli altri filosofi della modernità. Cartesio, Hobbes, Spinoza, Locke e compagnia avevano avuto vite movimentate, ed erano stati costretti all’esilio per ragioni diciamo così ideologiche. Kant, invece, come molti sanno, non si era mai mosso dalla sua Königsberg, ai suoi tempi cittadina mercantile fiorente nella Prussia Orientale ora – con il nome sovietico di Kaliningrad (sic!) – centro di un exclave russo sul Baltico che rischia di essere un pericoloso corridoio bellico nel prossimo futuro. La sua vita era scandita da ritmi sempre uguali. Lo svegliava il fedele servitore Lampe prima delle 5, poi studiava e preparava le lezioni che avrebbe tenuto all’Università Albertina di Königsberg, dopo di che consumava l’unico pasto del giorno (talvolta in compagnia), e nel tardo pomeriggio faceva la famosa passeggiata quotidiana rigorosamente in solitario (quella su cui si dice i locali regolassero l’orologio). Al ritorno, leggeva fino a quando arrivava l’ora di andare a dormire. Era genericamente stimato dai suoi concittadini anche se la sua carriera accademica era stata lenta e faticosa, ed era finito a 80 anni nel 1804 dopo una vecchiaia fertile di studi e pubblicazioni.
Se si dovesse scegliere una frase tra le tante che Kant ha lasciato impresse nella nostra memoria, direi di partire da quella che ci invita a prendere in considerazione due fondamentali universi quello del «cielo stellato sopra di noi» e quello della «legge morale dentro di noi». Dal complesso rapporto tra di loro, discende il nucleo dell’opus kantiano. Quest’ultimo è senza dubbio costituito in primo luogo dalle tre Critiche, Critica della ragion pura (1781, seconda edizione rivista 1787), Critica della ragion pratica (1788), Critica del Giudizio (1790). Ciò, anche se Kant era un genio poliedrico, in grado di esprimersi ad alti livelli su temi di fisica, matematica, diritto, astronomia, antropologia, geografia, teologia e via di seguito. E anche se –oltre alle Critiche – Kant ha scritto molti altri lavori di enorme importanza filosofica, tra cui quelli dedicati alla politica e alla religione.
Nelle sue opere, emerge – come mai altrove – lo spirito dell’Illuminismo, con la sua fede nel progresso e la fiducia nella scienza (a cominciare dalla fisica di Newton), ma col passare del tempo anche la pacata consapevolezza dei suoi limiti e un’apertura al clima culturale che sarebbe seguito. Se, in tutto ciò, un concetto dovesse farci da guida direi che è quello di «autonomia». L’autonomia kantiana riguarda sia la conoscenza teoretica che la vita pratica ed è il vero faro che illumina il percorso della modernità.
Nella Critica della ragion pura si trova l’essenziale della filosofia teoretica di Kant, che riguarda il mondo come è. Nella Critica della ragion pratica – ma anche nella tarda Metafisica della morale (1797) - il nucleo della filosofia pratica di Kant che riguarda il mondo come dovrebbe essere. In entrambi i casi, sia pure in maniera diversa, il soggetto dà leggi a sé stesso, cosa che poi corrisponde al concetto di autonomia di cui si diceva. Nella Ragion pura il nucleo del ragionamento kantiano coincide con la cosiddetta «rivoluzione copernicana», che fornisce la riposta alla fondamentale domanda sul come possiamo conoscere a priori la struttura del mondo sensibile. La risposta suggerisce che il mondo sensibile, o mondo delle apparenze, è in fin dei conti costruito dalla mente umana tramite una complessa interazione di materia che riceviamo dall’esterno e di forme apriori che derivano dalle nostre capacità cognitive innate. Si tratta di una nuova visione costruttivista dell’esperienza, che costituisce davvero una rivoluzione nel campo del pensiero (come quella di Copernico a suo tempo). Lo strumento analitico principale in questo tour de force è costituito dall’idealismo trascendentale, che all’osso è la dottrina secondo cui noi facciamo esperienza solo delle apparenze attraverso le forme a priori di spazio e tempo, mentre le cose in sé restano inconoscibili. In questo modo, Kant toglieva certamente autorità alla metafisica, ma – come ebbe a dire lui che aveva avuto una profonda educazione religiosa ispirata al pietismo – lasciava al tempo stesso più spazio alla fede.
Se la filosofia teoretica di Kant concepisce l’autonomia come capacità squisitamente umana di fornire l’apparato a priori che consente l’esperienza, la stessa autonomia gioca un ruolo ancora più centrale nella filosofia morale di Kant. La legge morale è – come ci hanno raccontato a scuola – basata sull’imperativo categorico, ed è fondata sul lavoro della ragione là dove la conoscenza poggia sull’intelletto. Anche qui, sullo sfondo c’è l’idealismo trascendentale, ma in questo caso non ci accontentiamo delle apparenze ma entriamo nell’ambito delle cose in sé. Se non altro perché la natura è altro da noi, mentre la moralità è squisitamente umana. La ragion pratica così concepita aiuta a comprendere la fondamentale libertà che abbiamo avuto in sorte. Naturalmente, di ciò non possiamo avere una pura consapevolezza teoretica, ma dobbiamo partire da un profondo sentire che consente a ognuno di noi di avvertire la legge morale, secondo la dottrina detta del «fatto della ragione».
A questo punto, il disegno complessivo della critica sembra essere inevitabilmente condannato a un dualismo, che non può che stridere con la mentalità sistematica di Kant. Da un lato c’è il determinismo della natura, dall’altro la libertà dell’essere umano. Scopo della Critica del Giudizio, è proprio il tentativo di superare questo dualismo tra teoria della conoscenza e il dominio della pratica. L’unità del progetto viene raggiunta, in quest’opera, introducendo una terza opzione cognitiva, che fa capo alla capacità riflessiva del giudizio. Tramite tale capacità noi concepiamo la natura nel suo complesso come dotata di scopo. Il giudizio estetico, la scoperta cioè del bello e del sublime nell’arte e nella natura, rivela un’armonia ultima tra il gioco dell’immaginazione e il creato. Consentendo, così, di pensare la natura come frutto di un disegno intelligente e come coerente con i nostri scopi. Soprattutto, sono gli organismi viventi che suggeriscono una finalità intrinseca all’esistenza e alla realtà.
Tutto ciò, oltre a essere complicato per chi non sa e semplicistico per chi sa, ha l’ovvio difetto di apparire scolastico. Kant può risultare, letto in questo modo, come un continuatore particolarmente sofisticato del razionalismo illuministico dei Leibniz e dei Wolff, capace di temperarlo con il lascito dell’empirismo britannico di Locke e Hume. Per capire che non è così, basta guardare alla differenza tra la filosofia che lo precede e quella che lo segue, a cominciare da Hegel e Marx. Per non parlare dell’eredità enorme lasciata da Kant nella filosofia del secolo ventesimo, un secolo in cui tutte le grandi scuole di pensiero – dalla fenomenologia all’esistenzialismo e al positivismo logico – sono in fin dei conti derive dell’opus kantiano. Ma non basta, perché la filosofia del linguaggio dopo Wittgenstein, la filosofia sociale e politica di Habermas e Rawls e la riflessione sul postmoderno non sarebbero neppure immaginabili senza partire dalla rivoluzione del pensiero apportata dal genio di Königsberg.
Dirò di più, credo sia impossibile per noi eredi del progetto incompleto della modernità trovare il bandolo delle nostre idee senza tornare a Kant. Con il compito, direi ovvio, di doverci confrontare con un mondo sociale mutato in cui certi passaggi razzisti, sessisti e classisti di Kant che pure ci sono, non hanno (o non dovrebbero avere?) più cittadinanza. E con una realtà ontologicamente trasformata dalla condizione digitale in cui siamo immersi, dalle guerre (da rileggere ora il saggio kantiano del 1795 su La pace perpetua) e con un pianeta in cui l’Occidente, di cui il nostro era chiara espressione, non rappresenta più l’avanguardia della civiltà. Ma anche per questo compito futuro il lascito di Kant resta fondamentale, un punto di partenza filosofico senza il quale sarebbe impossibile capire il nostro essere nel mondo.
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