Tumgik
#mon homme ça faisait longtemps
grainedesesame · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
18 notes · View notes
voluxpa · 1 year
Text
tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés. 
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer. 
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile. 
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est. 
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.  
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment. 
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg. 
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir. 
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum. 
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
203 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 124
Nous sommes descendus à La Palmyre en moto. Trajet que nous commençons à bien connaître, surtout les aires de repos où l'on peut s'isoler pour que Marc m'encule discrètement. Bagages minimum, mais de toute façon nous passons le plus clair de notre temps à poil ou en maillot de bain. Cette année ayant fait les frais de maillots Aussiebum, nous n'auront que les serviettes à acquérir à la boutique de Jérôme.
Quand nous arrivons, nous tombons direct sur Manu et Théo les serveurs que nous connaissons bien ! Une bise vite fait et il assure passer nous voir dès ce soir à la fin de leur service. Miam, cela faisait longtemps que nous les avions vu.
Motos au parking vidéo-surveillé, bagages défaits, nous descendons direct à la piscine. Nous sommes déjà tout bronzés et ne nous attirons pas de regard de commisération (pov blanchets) mais nous en attirons quand même. J'avais insisté pour acheter les maillots wonderjock. Ça a l'effet escompté, bien que nous soyons déjà correctement équipés, nous paraissons avoir deux Kg de bite en plus !! Nous visons un espace libre et plongeons de concert. Longueur sous l'eau, nous remontons auprès d'un groupe de jambes légèrement velues. Trois ados châtain clair en train de causer sexe accoudés à la margelle. Notre arrivée doit les gêner car ils changent de sujet. ;Je les mates direct, ils s'en aperçoivent et deux d'entre eux rougissent. Je leur fais un grand sourire et m'éloigne avec Marc en crawl lent. Il va falloir mettre Manu sur le coup pour en savoir plus ! Nous sortons de l'eau et allons à la terrasse du bar. Manu vient nous servir et je lui demande aussitôt qui est ces trois jeunes gens. Il rigole car il les avait déjà remarqué et pensait bien que je flasherai dessus. Il me dit que son enquête donne que : ce sont 3 cousins de 18ans tout juste, qui sont en vacances seuls en récompense de BAC réussit. D'après ce qu'il a pu voir, ils sont dans la même résidence que nous mais restent entre eux. Manu n'est pas sur mais il a cru voir quelques gestes tendre entre eux. Sous toutes réserves ! Quand on cherche on finit par trouver le sens que l'on veut au moindre geste !
Le trajet en moto + la piscine dès l'arrivé, j'ai faim. Il nous sert en carte brasserie. Je ne quitte pas des yeux le trio. Soit je les intéresse et intrigue soit mon regard est si lourd qu'il pèse sur leurs épaules. Toujours est-il que régulièrement l'un d'eux vérifie que je les mate toujours. Marc n'est pas contre, après tout les vacances c'est pour changer de la routine (quoi que chez nous il n'y en a pas). De plus je connais mon homme ce type de ptit mec ça lui va bien !
Je décide d'attaquer vite avant qu'on me les prenne. Je laisse Marc remonter à l'appart et plonge dans la piscine. J'émerge entre eux non sans avoir regarder les maillots en passant. Excuses, présentations, de près ils sont pas mal du tout, deux cheveux courts et un longueur à la mode, musclés correct mais pas énorme sauf un plus " physique ", imberbes hors une ligne de poil qui sort de maillot pour remonter au nombril.
Le courant passe tout de suite, ils pensent que j'ai le même âge qu'eux. Quand l'un d'eux me demande si le type avec qui j'étais tout à l'heure c'était mon père, un des autres lui donne un coup de coude et rectifie en mon grand frère. Je ne les détrompe pas, après tout, cela pourra peut être nous servir plus tard. Je leur demande où ils crèchent et précise que nous sommes de l'immeuble. Ils me disent tous ensemble qu'eux aussi sont dans l'immeuble. Je leur demande comment est la mer cette année, car nous venons d'arriver. A ma stupéfaction, j'apprends qu'ils sont là depuis 15 jours mais qu'ils sont restés près de la piscine tout le temps. Je leur parle de la plage au dessus de La Palmyre où on peut bronzer comme on veut. Cela les intéresse, il me demande comment y aller. Je leur dit que nous irons demain et qu'ils n'auront qu'à nous suivre en voiture. Rendez vous pris pour 15h dans le hall.
Ce soir comme d'habitude, nous nous faisons monter le diner à la fin du service par Manu et Théo. Nous les gardons avec nous pour le reste de la nuit ! Nous les avons retrouvés comme nous les avions quittés, chauds, avides de sexe. Malgré la route, ils ont su nous redonner une vigueur qui nous a entrainé jusque tard dans la nuit. Leurs langues se sont attaquées à nos bites pendant que les nôtres mouillaient leurs trous, les enduisant de salive pour la phase suivante. Avant que leurs gorges aient eu raison de notre résistance et qu'elles aient tiré nos jus, nous les avons retournés et enculés l'un à coté de l'autre. Je me suis fait Théo pendant que Marc enculait assez virilement Manu. Marc a attiré ma tête pour que nous nous roulions un patin, nos petits amis faisaient de même plus bas. Pour plus de pratique, et pour changer un peu, Marc les a mis en 69 et nous avons repris nos enculades. Du coup c'était beaucoup plus pratique pour se rouler une pelle. On leur a rempli grave leurs culs de salopes (enfin la kpote au fond de leur culs !).
Dès le lendemain matin, j'étais en mode drague auprès de mes trois cibles. Avec Marc, nous avions défini un mode opératoire destiné à les faire tomber sous trois jours. Ils m'ont retrouvé vers 10 heures à la piscine. Cela faisait déjà une bonne demi-heure que j'alignais les longueurs avec un mec d'une quarantaine d'année. Ils se sont installés de mon coté, les jambes dans l'eau. Je les ai sciemment ignorés, continuant mon entrainement. Deux minutes plus tard le plus musclé des trois glissait dans l'eau et me rejoignait. Quand il m'eut cogné deux trois fois, je cessais mes allers et retour pour m'occuper d'eux. " Ha ! Bonjour ", les civilités plus tard, ils me demandaient si nous allions à la plage dont je leur avais parlé la veille. Ils m'ont l'air bien impatient de venir sur cette plage ! Je leur confirme l'heure de rendez vous dans le hall.
A 15 h nous descendons en tenu moto légère serviettes et huiles. Manu que nous croisons nous informe que les trois jeunes mecs nous attendent depuis au moins 1/2 heure déjà. Contact, description de la route et nous allons au parking. Sifflements devant nos motos, ils ont des scooters 125cm3 et casqués nous suivent. Arrivés au parking nous mettons nos engins nez à nez et cadenassons le tout ensemble (c'est Marc qui garde la clef !). Serviettes sur l'épaule et casque en main, nous crapahutons les presque 2km qui nous séparent de l'océan. Discussion à bâtons rompus sur ce que chacun fait, nous apprenons ainsi que ce sont bien trois copains, et non trois cousins, qu'ils viennent de décrocher le BAC avec mention bien et que du coup un des parents leur avait laissé la jouissance du T2 qu'il avait dans la résidence pour tout le reste du mois. Je tilte, T2 = 1 séjour + 1 chambre ! Innocemment je fais " oui nous aussi nous avons un T2, ça me fait coucher avec Marc mais étant donné la largeur du lit, ça ne pose pas de problème " et celui avec qui je discute me répond qu'il est tellement grand que eux y couchent à trois. Nous escaladons la dune qui sépare la forêt de la plage. Heureusement nous n'avons pas rencontré de mecs un peu chauds ! Du haut de la dune, nous apercevons quelques mecs nus étalés sur leurs draps de bains et quelques mecs dans l'eau. Marc prend sur la droite pour trouver un coin éloignés des autres. Les fringues volent, Marc se met nus et je reste en maillot (pour garder mes fesses blanches). Un des mecs me demande si la plage est naturiste ou non. Je lui explique que cette année je voulais rester le cul blanc car je trouvais cela hyper sexy. Les autres ont maté Marc et les commentaires élogieux sont sortis. Belle musculature, au fait t'as quel âge ? ... Yen a surtout un qui n'arrivait pas à quitter la bite de Marc des yeux. Sans bander ce dernier l'avait quand même un peu excité et elle avait pris une taille molle déjà conséquente au dessus de ses grosses couilles glabres. Après hésitation, les trois ont décidé de tenter le nudisme. Là derrière mes lunettes de soleil, j'ai pu voir distinctement leurs matériels. Correct, couilles rasées pour le plus balaise, les deux autres couilles rasées et les poils au dessus de la bite coupés courts. J'entraine tout le monde à l'eau. Plongeons, éclaboussures, les trois mecs ont vite fait de se bagarrer entre eux. Je les rejoints, passant sous l'eau et les faisant chuter sous les vagues. Marc nous rejoint et nous nous bousculons tous ensemble.
Essoufflés, nous revenons vers la plage. Quand l'eau nous arrive sous les fesses, je remarque que nous bandons tous. Les deux plus frêles hésitent à sortir de l'eau contrairement au plus balaise qui arbore fièrement ses 19/20 cm raides. Je comprends mieux quand je vois qu'ils ne développent qu'un simple 16 x 4 environ. Nous courons à nos draps de plage et les deux " coincés " se mettent sur le ventre. Leurs petits culs blancs sont à croquer ! Je me propose de les enduire de protection solaire pour leur éviter les coups de soleil. Sans attendre la réponse je leur étale la crème. Epaules, dos, mollets, cuisses et je termine par les fesses. Là je masse et n'oublie aucun cm². Je passe même entre les fesses, un doigt négligent glisse sur la rosette qui ne me semble plus vierge. Le balaise ayant fait pareil à son autre copain, je me mettais debout et lui proposais mes services. Il les accepta avec empressement et me dit qu'il commencerait par bronzer devant. J'étalais consciencieusement la crème sur ses pecs, ses abdos et jambes puis d'une main négligente enduisait ses couilles et la hampe de sa bite. Cette dernière repris aussitôt de la raideur. Avec un sourire, le me tourne et lui passe le tube. Il me couvre le dos de protection. Ses gestes sont doux caressants, très d=caressants même ! Il s'accroupi et badigeonne mes jambes. Marc sur le dos réclame son du et le balaise m'aide spontanément à le couvrir d'huile. Je traine volontairement sur sa jambe pour que l'autre finisse la sienne plus tôt que moi et qu'il lui reste els couilles et la bite. Sans se démonter, il recouvre le tout branlant deux / trois fois la queue de Marc. Comme il se met à bander, il lui demande si elle sert pour les meufs. Direct le ptit jeune ! Marc en profite et lui dit que non, chez nous nos queues ne servent que pour les mecs. Il se rembrunit et désignant ses deux compères, nous annonce que c'est comme cela qu'il utilise la sienne sur ces deux culs. Au moins maintenant les choses sont claires. Marc lui demande si ce soir ils avaient prévus quelque chose et à la réponse négative lui propose de venir prendre l'apéro chez nous.
Nous passons l'après midi à bronzer. Je commence à avoir une belle démarcation entre la peau protégée et le reste. Même si je suis le seul habillé sur la plage je vais le rester tout le séjour. Retour en début de soirée et nos nouveaux amis sont arrivés aussitôt après leurs douches. J'avais laissé Marc passer en premier et je sortais juste de la salle de bain comme ils passaient la porte. Nu, je passais devant eu sentant leur regards rivés sur mon anatomie (enfin celle qui jusque là leur avait échappée). Passé dans la chambre j'enfilais vite un Aussiebum wonder jock sous vêtement et dans ce simple appareil les ai rejoint. Marc en short flottant sans slip, laissait apparaitre son sexe au travers du tissu fin. Nos trois invités nous ont vite semblés à l'étroit dans leur short de surf. Le temps que je serve les apéros (fortement dosés), Marc les avait enjoints à se mettre à l'aise délaçant les cordelettes de celui qui était à sa droite. Celui de gauche s'est alors levé pour le faire lui-même. Debout il m'a rejoint pour voir de près mon slip. Je lui proposais de toucher le tissus et ses doigts sont venus le pincer sur ma hanche tout en reluquant mon sexe qui donne l'air d'être à l'étroit grâce au système wonder jock. Je profite qu'il soit " hypnotisé " pour appuyer sur sa nuque et lui mettre le visage à la bonne hauteur. Je n'attends pas et fais glisser mon sexe hors du slip. Comme je bande, mon gland se propulse sur sa joue. Il ouvre la bouche pour dire quelque chose mais mon gland la pénètre et d'instinct il se met à téter. Je regarde les autres et je vois que Marc se trouve avec les deux autres à ses pieds en train de lui bouffer couilles et bite. Le miens est tellement docile que je ne peux m'empêcher de lui prendre la tête et de lui saillir la gorge. Il ne bronche pas et accepte ma domination. Je me penche et pousse son short sous les fesses. Du coté du trio, Marc a déjà les doigts dans la raie du costaud. Ce dernier laisse faire. Telle que je connais mon Marc, il va sauter le plus mâle en premier histoire de poser dés le début l'ordre hiérarchique.
Je mouille deux doigts et les enfonce dans le fondement de mon suceur. Il gigote un peu, pas pour m'écarter mais plutôt pour les faire entrer plus facilement, belle salope ! Marc en est au même point avec le musclé, l'autre suce consciencieusement les 22cm qui ne vont pas tarder à envahir celui qui d'habitude les encule.
Le musclé semble subjugué par Marc et le laisse faire. Marc demande alors à son suceur d'aller bouffer le cul de son pote, laissant ce dernier reprendre son taf sur sa bite. Je me kpote et graisse ma teub et le cul de ma salope. Je le plaque sur la table basse et l'encule. Ça rentre facile, c'est vrai que la bite du balise est du même diamètre que la mienne ! C'est chaud, doux, glissant. Je lui demande de serrer l'anus. Il s'exécute et c'est meilleur ! Marc lui a mis son mec dans la même position mais sur le canapé la tête enfoui dans les coussins. Quand il pousse sur l'anus, un gémissement sort du canapé, il a l'air de morfler un peu le gus ! Marc ne cesse pas, de toute façon faut bien que ça rentre ! Quand ses couilles butent à la porte il reste un moment sans bouger puis commence lentement un va et vient. Les gémissements de douleur laissent place à ceux de plaisir. Faut dire que son pote inutilisé a pris l'initiative de pousser sa tête dessous et de lui bouffer la tige. De mon coté mon petit mec se tortille pour se rappeler à mon bon souvenir, j'avais cessé mes mouvements à mater mon Marc entreprendre le Mâle du trio. Je le laisse s'enculer tout seul un moment sur ma bite puis le prend par les hanches et impose mon rythme. J'active un peu mais pas trop, le spectacle est trop bandant et je risquerais de jouir trop vite. Mon enculé mate aussi son pote se faire saillir. Le troisième cesse de téter son pote et vient bouffer les couilles de Marc. Je connais mon mec, ça va accélérer sa montée de jus. Ça ne manque pas et bientôt la cadence augmente et il se cale au fond du trou, jutanat dans sa kpote. Le pote du dessous a juste le temps d'emboucher l'enculé et de recevoir sa semence. De mon coté je remplis aussi ma kpote et recueille je jus de mon enculé dans ma main pour le lui faire laper. Nous nous déboitons et je les accuse d'être de vraies salopes ! Ils se récrient en nous disant que ces la première fois qu'ils font cela avec d'autres qu'eux trois. Marc dit qu'il les croit mais que ce sont quand même de bonnes salopes. Le balaise rit et admet que pour sa première fois (comme enculé), il avait décroché le pompon avec nous.
Nous leur proposons de rester diner avec nous et commandons au restau du rez de chaussée. Nous passerons le reste de la soirée à discuter, surtout d'eux et de leurs expériences sexuelles à trois. Comme ce n'est ni Manu, ni Théo qui nous sert, nous ne partouzerons pas plus ce soir là.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
13 notes · View notes
profenscene · 8 months
Text
Vendredi 15 septembre
Tumblr media
Je me glisse dans le métro rennais quelques secondes avant la fermeture des portes. Ça n'est pas recommandé, et un peu idiot. Mais je suis en retard, et de toutes façons, personne ne me connaît dans le coin alors
"Monsieur Samovar ?"
Éééééévidemment.
Je cligne des yeux, un peu ébloui par la course et le sourire ultra-bright que me lance un grand jeune homme, qu'il me faut, comme toujours, du temps pour reconnaître. J'ai brièvement enseigné à Vlad en seconde, lors de mon premier passage au lycée. Il faisait partie d'une classe remarquable, une classe composée d'élève d'une bienveillance en titane, qui m'ont accueilli, prof maladroit et débutant en seconde, avec patience et gentillesse. Et on fait énormément pour ma confiance en moi.
Ironique que ce soit aujourd'hui que je rencontre Vlad, en cette année d'enseignement au lycée.
On n'a pas longtemps, une poignée d'arrêts. Alors on fait défiler les mots et les souvenirs : ce qu'il fait actuellement, quelques images de nos cours en commun, deux ou trois blagues. Il parle avec aisance et audace. Il a l'âge d'être un protagoniste : celui où tout le potentiel intellectuel et physique qui s'est tissé, des années durant, est prêt à se dévoiler. La promesse d'un espoir, toujours renouvelé.
Ça n'est pas grand-chose, ça a duré quelques minutes.
Mais j'en ressors rasséréné. Ça vaut le coup. Croiser la route de ces êtres et leur donner tout ce qu'il est possible de donner, ça vaut le coup.
24 notes · View notes
palafoxiana · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
C’était la première fois que je voyais sa bite. J’ai été surprise de voir un énorme sexe en érection, muni d’un beau gland, que j’avais envie de prendre dans ma bouche.
Je n’ai pas eu le temps de l’admirer longtemps car son membre a disparu brusquement dans ma petite touffe. Je me suis ouverte d’un seul coup et sa bite est entrée en moi comme dans du beurre – c’était si fort que j’en avais les tympans qui vibraient῀! Il m’écartait et me baisait à toute vitesse, en respirant de plus en plus vite. Je sentais une chaleur incroyable dans tout mon corps alors que son terrible engin me perforait par à-coups, me faisait gémir. Il se retira soudainement, se mit à genoux sur le lit, me tira par les chevilles tout en me maintenant les cuisses très écartées. Mes seins se sont mis à frôler les draps, ma jupe s’est complètement collée à ma poitrine. Il m’a maintenue en levrette et s’est remis à me baiser de plus belle. Mon corps entier se retrouvait secoué comme un prunier mais je gémissais de bonheur, et au moment où j’en réclamais le plus, Pierre s’est mis à jouir longuement en moi. Je me suis réveillée une bonne demi-heure plus tard, mais Pierre n’était plus là. C’était comme si j’avais tout rêvé cela, seules les traces de sperme me rappelaient que tout ça était bien réel.
C’est à partir de ce jour que j’ai admis l’idée que j’avais besoin de la queue d’un homme.
5 notes · View notes
perduedansmatete · 6 months
Text
vendredi j'ai pris des anxios pour dormir sinon j'allais juste passer une mauvaise soirée et j'ai bien fait c'était une de mes premières vraies nuits depuis bien des semaines.
samedi j'ai tout fait sauf travailler, puis je devais sortir le soir mais finalement j'ai suivi mes grands-parents chez ma sœur parce que son mec m'avait invité et c'était super. j'ai beaucoup de chance de pouvoir passer ce genre de moments avec eux, on a encore parlé d'alsace et on a vendu la mèche à ma grand-mère en lui disant qu'on voulait lui faire une surprise et l'emmener visiter notre strasbourg avant d'aller dans son bled, elle a râlé en en disant que ça avait trop changé et que c'était n'importe quoi et blablabla tout en voulant y retourner va chercher à comprendre. au détour de nos discussions généalogie on a parlé de sa mère et de ses mémoires (puis surtout de la partie manquante, celle où elle parlait de son mari et qui commençait à peu près comme ça "je pensais pouvoir vivre le vrai amour, découvrir celui que je n'ai jamais pu recevoir de ma mère") elle a été très émue comme souvent avant de nous dire qu'elle était trop dure en pleurant alors qu'elle est tout l'inverse, pour la rassurer on a eu toute une discussion sur mon absence de cœur présumée et ça les a beaucoup faire rire elle et mon grand-père.
puis ils sont partis et ne restait plus que nous trois, après avoir vidé plusieurs bouteilles de vin pendant le repas, ils m'ont sorti du grand marnier, pour moi c'était simplement quelque chose qu'on mettait sur les crêpes mais ils m'ont fait un cocktail puis deux puis... et on s'est posés devant tom sawyer en alsace et je crois que je n'avais pas ri comme ça devant quelque chose depuis longtemps. dans nos pérégrinations on s'est retrouvés devant black sheep de scott pilgrim en découvrant avec affront que ma sœur ne l'avait jamais vu. puis par je ne sais quel chemin on s'est mis à écouter le groupe d'un assassin (noir désir) et c'est dur parce que j'ai grandi en écoutant même si le mal était déjà fait et c'est rattaché à tellement de choses. j'en parlais il n'y a pas longtemps avec ma mère car il passait à la radio et que ça m'énervait et elle me disait que c'était quand même vachement dur pour elle de ne pas écouter avec nostalgie parce que ça faisait partie des premiers groupes qu'elle avait vu avec mon père. bref on en a écouté plein ma sœur et son mec chantaient à pleins poumons et moi j'étais là non je refuse mais... ahhhh... c'est vrai que c'était bien purée. on a discuté religion aussi et malgré le fait que l'environnement familial dans lequel j'ai grandi n'est pas le plus pieux pour ne pas dire qu'il exècre la religion (coucou papa) et bien quand même ça me fascine assez cette rigueur qu'on peut s'imposer, ces principes à respecter, quelque chose dont je serais incapable et je sais plus trop comment ça c'était conclu mais c'était assez intéressant de parler de tout ça en sirotant mon délicieux bloody mary.
puis après on est revenu au sujet des hommes violents des agressions sexuelles et de l'horreur des hommes gentils qui se croient tout permis ou qui croient que tout leur est du. on s'est encore plus éloignés du quart d'heure de folie devant tom sawyer en alsace parce qu'on a discuté du fait de détester être un homme ou une femme puis du simple fait d'être et avant de partir le mec de ma sœur m'a dit mais tu sais les antidépresseurs ça change vraiment la vie je peux t'en donner si tu veux (je lui avais répondu quelques heures plus tôt un truc du style "tu sais je crois que je n'ai pas été heureuse depuis mes onze/douze ans, c'est un truc de fille je crois" (mdr) quand il m'avait demandé si j'étais dépressive et qu'il m'avait parlé de sa dépression avant que ma sœur ne sorte des toilettes). sinon on a découvert qu'on avait les mêmes limites en terme de cul à savoir qu'on en avait pas (enfin si mais très peu et la même ce qui nous a bien fait rire) on s'est d'ailleurs fait une giga déclaration d'amitié en buvant nos je sais pas combientièmes verres de quetsche ça m'a fait trop de bien on était vraiment trop mignons puis en parlant d'amis j'ai parlé de vous en disant que j'avais des copains sur tumblr en plus de ceux dans ma tête ce qui m'a permis d'avouer à ma sœur que je l'avais bloqué dessus il y a des siècles et évidemment elle était absolument scandalisée.
mais du coup avec tout ça je suis rentrée au petit matin et je me suis réveillée en sursaut à quatorze heures avec une gueule de bois atroce et l'angoisse de devoir être très rapidement là où on s'était donné rendez-vous avec mes amies que je n'avais pas vu depuis trop longtemps à mon goût, au final j'étais presque à l'heure mais le café qu'on voulait tester était imaginaire (fermé) donc on a bu des chocolats chauds dans un autre en se racontant nos vies et en rigolant beaucoup avant de se balader dans tout paris et la conclusion de tout ça c'est qu'elles aussi j'ai de la chance de les avoir dans ma vie (et qu'on devrait toutes consulter aussi).
9 notes · View notes
ldngwkshsbnd · 4 months
Text
commentaires de l’épisode 12 de Only Friends part 5 : (-18) (eh bah alors ça faisait longtemps ça. ça m’avais manqué mais j’ai tellement de choses à faire que je panique et que du coup je prend pas le temps de faire ça. j’ai même du réduire mon temps à regarder mes séries, j’ai cru mourir les gars) (joyeux Noël et du coup je vous offre ce petit cadeau, j’espère que ça vous plaît)
.
.
.
Tumblr media
yyeeeeehhhh c’est bien ça mon chou, c’est ton homme et tu le garde.
.
.
Tumblr media
J’AI LA MÊME BAGUE AHAHAHHAHA. mdr je la mets h24 à mon cou maintenant. je vous jure ça m’a stressé c’est exactement la même.
.
.
Tumblr media
AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH JSJDJDHDJDBDBDJFVDJDJJDJDKFB c’était y’a presque deux mois et je crie encore. il l’a embrassé en public, mon Dieu je vais faire un infarctus.
.
.
Tumblr media
oohhh c’est trop mignon. moi aussi je veux embrasser quelqu’un. il me reste encore très peu de jour pour kidnapper DongWook, faut que je me dépêche la.
.
.
Tumblr media
TU TOUCHES PAS CONNARD. C’EST UNE PROPRIÉTÉ PRIVÉ! DÉGAGE SALIPIOT!
.
.
Tumblr media
bah suicide toi alors.
.
.
Tumblr media
AH MAIS BEURK! MAIS BOSTON TU FOUS QUOI? IL A RIEN FAIT ET TOI TU SAUTE DESSUS! T’AS UN MEC EN PLUS ET IL EST LA. Boston je te défends depuis le début et là tu fais que de la merde, j’ai l’air crédible moi maintenant quand je te défend, nan je crois pas nan (*mime monsieur Salmon et sont zigzague*)
.
.
Tumblr media
oh nan c’est horrible, ils veulent me déchirer le cœur là? ton mec est en train de baiser l’ex du mec que t’as enregistré en train de le baiser aussi (tout le monde se ken entre eux c’est un nid à MST).
.
.
Tumblr media
MAIS NAN VOUS AVEZ RIEN DÉCIDÉ. tu crois qu’il a l’aire au courant notre petit Nick? nan je crois pas nan (*monsieur Salmon same*).
.
.
Tumblr media
MAIS C’EST HORRIBLE! (j’ai une ref dans la tête mais je sais pas d’où elle vient, des résumés foireux de snk je crois, bref) nan pauvre Nick, il lui a pardonner les pires merde et le con ça fait même pas une semaine vous êtes ensemble et sa bouche est déjà dans une autre. BOSTON TU ARRÊTES TES CONNERIES!
.
.
.
to be continued ->
.
j’espère que vous êtes contents, prochain épisode très rapidement ;)
2 notes · View notes
fantasy-mask · 1 year
Text
Il y a des relations fugaces qui changent une vie.
Nous nous sommes rencontrés alors que nous avions besoin l’un de l’autre. Mon cœur d’artichaut venait encore une fois de sévèrement morfler. Le sien également. Nous avons fait connaissance banalement, via un site de rencontre, car parfois on pense que c’est un moyen comme un autre de panser les plaies. La rencontre autour d’un café a été très rapide et tout a été immédiatement fluide. Les sourires se succédaient, nous savions que nous allions nous revoir et que nous allions rapidement devenir amants.
Chacune de nos rencontres étaient à chaque fois plus intense. La différence d’âge de dix ans a rapidement été balayée d’un revers de main. On parlait. On riait. On se découvrait. Toujours avec le même bonheur. Jusqu’à se rendre compte que nous avions le même anniversaire. Tout collait parfaitement. Elle me susurra alors à l’oreille : «Tu me ressembles, j’ai l’impression de me voir à ton âge».
Nous marchions ensuite lentement jusque chez elle. J’adorais ces moments. Nous formions un couple atypique. J’avais l’impression que les gens nous observaient et j’adorais ça. Elle en jouait et adorais cette situation. Une splendide femme fatale s’agrippait à mon bras. Le jeune homme que j’étais avait l’impression de sortir avec Pam Grier.
Tumblr media
La tension montait petit à petit. Je savais que notre entente parfaite allait bientôt s’exprimer différemment, que nos corps allaient se déchaîner. Nous rentrions toujours sagement chez elle. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui se faisait autant désirer. Pourtant mon énorme bosse au pantalon se devinait aisément et elle se contentait de me sourire avant de s’excuser poliment pour aller se préparer. J’attendais. Parfois longtemps. Je sais qu’elle prenait un malin plaisir à me faire languir. Et puis une apparition. Sensuelle. Voluptueuse. Flamboyante. Tout était enivrant, son parfum, ses formes magnifiquement mises en valeur dans une tenue qui s’avérait parfaite pour la suite des événements.
Elle venait alors m’embrasser tendrement en me caressant l’entre-jambe. Puis elle me regardait intensément dans les yeux. L’attente était terminée. Elle avait tout prévu, l’excitation était à son comble, je sais qu’elle n’attendait plus qu’une seule chose : que je libère cette fougue en moi qu’elle avait créé. Elle allait avoir ce qu’elle voulait. L’envie de posséder ses fesses désirables était irrésistible. Je libérais enfin ma queue turgescente et mouillée de désir. Rapidement sa robe était soulevée, sa culotte arrachée et le feu qui irradiait mes reins allait être assouvit par une baise sauvage. Ayant toujours été attiré par les femmes en rondeurs, je venais de trouver ma reine. Chaque coups de queue qui rebondissait sur ses fesses proéminentes m’excitait toujours davantage. Chaque position était un nouvel Eden. Pour me récompenser de ma fougue, elle me faisait une fellation experte. Ses grands yeux noirs et les traits fins de son visage conjugués à sa gourmandise me procuraient une jouissance divine. Épuisés, nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre. La douceur de sa peau ébène est toujours présente dans mon esprit. Sa sensualité débordante me possédait et me faisait perdre la raison. Elle me réveillait toujours en plein milieu de la nuit pour assouvir son péché mignon : Elle adorait s’empaler sur ma queue qui renaissait plus dure que jamais. La vision de ses énormes seins qui se balançaient sur moi allait m'envahir et générer bon nombre d’excitations pendant des années.
Nous ne nous sommes jamais revus. Nos chemins se sont séparés. Douze années se sont écoulées et pourtant nous sommes toujours en contact. Parfois il m’arrive de repenser à elle et je lui fait savoir. Et de temps en temps je lis avec plaisir un tendre message de sa part. Je me dis qu’un jour nous allons forcément nous recroiser. Peut-être que nos vies en seront à nouveau bouleversées.
8 notes · View notes
miung-dreamer · 1 year
Text
"J'attends votre retour"
Voici une fic Pendranievre que j'ai commencé y a longtemps. Pas super satisfaite mais bon... Cela appellera peut être une suite.
J'espère qu'elle vous plaira quand même.
*************
Enfin Carohaise! C'était pas trop tôt. Arthur en avait plein le dos de son voyage qui l'avait amené sur l'île de Thanet. Reprendre les habits de souverain était déjà dur pour lui après dix années de retraite bienvenue. Parlementer avec des Saxons pour finalement les accepter à la Table Ronde, un sacerdoce. Mais là, sur le chemin du retour, Perceval n'avait rien trouvé de mieux que d'expliquer en détail des jeux gallois. Dont le Robrobol. Les soupirs, les coups de sang et les menaces d'avoine lancés par le Roi n'avaient pas convaincu le chevalier de fermer sa mouille.
Bon Arthur le savait. Perceval agissait comme ça parce qu'il était très content de le retrouver. Mais là, le souverain ne rêvait que d'une chose : se mettre au pageot avec une bonne tisane. Et près de Guenièvre si possible.
A peine entrés dans la forteresse, les deux hommes furent accueillis par une Seli agacée et impatiente.
- Ah bah c'est pas dommage !
- Bonsoir à vous aussi, grommela Arthur. Ça fait bien plaisir, l'accueil.
- Oui et bien, figurez vous que ça fait deux jours que je guette votre retour. Vous croyez peut être que ça m'amuse de faire le pet ?
Arthur et Perceval se regardèrent, sans rien dire.
- Du coup, qu'est ce qu'on fait, belle-mère ? On reste là à s'envoyer des amabilités ou on peut se piauter ? Je vous cacherais pas que Perceval et moi, on en a plein les pattes.
- Ouais, carrément, acquiesça le gallois. J'ai mes yeux qui ont sommeil. Ils arrêtent pas de se fermer tout seul.
- Très bien, soupira-t-elle agacée. Suivez moi les héros.
Après avoir montré la chambre prévue pour Perceval, la Picte emmena sans attendre Arthur à la sienne, située au même étage mais à la toute fin d'un couloir.
- La voici. Vous verrez, y a déjà tout ce qu'il faut, expliqua Seli. Bon je vais demander à une bonniche de vous apporter un peu de bectance. Je suppose que vous avez faim à cette heure-ci ?
Arthur regarda sa belle-mère, puis la porte de la chambre, les murs du couloir et de nouveau sa belle-mère, les yeux froncés.
- Un problème, mon gendre ?
- Euuuuuuuuh... Ouais. On est où là ?
- Comment ça ? Vous voyez bien qu'on est dans un couloir.
- Non mais merci. Ça va, je ne suis pas complètement débile, râla-t-il. Sauf que là... Là ! On n'est pas à l'étage habituel des chambres ?
- Ah non, là c'est l'étage pour les invités.
- C'est ça ! Et pourquoi je suis logé ici alors ?
Seli haussa ses sourcils puis souffla bruyamment du nez.
- Vous n'êtes pas un hôte, peut être ? Vous avez une chambre rien que pour vous, vous devriez être content...
- Mais, comment dire... Je dors à cet étage juste pour ce soir ?, demanda Arthur, confus.
- Ce n'est pas prévu comme ça. C'est votre chambre attitrée, rétorqua Seli en pointant du doigt la porte close.
Après une longue pause, elle ajouta :
- Ne me regardez pas comme ça ! C'est une idée de ma fille. C'est elle qui m'a demandé, figurez vous. Moi, j'étais contre mais faut croire qu'en dix ans, elle a gagné en assurance. Du coup, vous êtes là et elle, à l'étage du dessus.
Arthur fixa quelques instants sa belle-mère, la mine renfrognée. Puis, ni une, ni deux, Arthur entra dans la chambre brusquement pour jeter ses affaires sur le lit. "Et bonne nuit !!" entenda-t-il Seli crier à travers la porte.
Une chambre d'invité ? Une chambre à l'étage du dessous ? Mais qu'est ce que cela voulait dire !?!
Arthur faisait les cent pas. Elle en avait déjà marre de lui ? Pourtant ils s'étaient retrouvés et les choses s'étaient plutôt bien passées.
Elle lui avait même préparé elle-même un petit frischti pour le voyage. Non là, y avait un truc qui tournait pas rond ! Il avait du se passer quelque chose durant son absence. Ou alors elle s'est aperçue qu'elle ne voulait plus...
Non non non ! Certes, ils n'avaient pas eu le temps de bien se causer après la bataille de Kaamelott. Des festivités avec les Burgondes avaient duré plusieurs jours pour célébrer leur victoire et la chute du tyran Lancelot. Festivités durant lesquelles Calogrenant et Leodagan avaient ensemble suggéré à Arthur qu'il fallait mettre les choses au claire de toute urgence avec les Saxons. Ils étaient une menace et ça ne datait pas d'hier...
Le voyage avec Perceval avait été préparé dans la foulée. Le jour du départ, Guenievre avait accompagné les deux hommes à l'entrée de château et avait simplement murmuré à Arthur : "J'attends votre retour". Son regard était rempli de douceur et de confiance. Le roi avait seulement hoché la tête sans un mot. Cependant il s'était retourné à plusieurs reprises en chemin pour la contempler encore une fois, dans sa robe épaisse d'un bleu pâle et ses cheveux léchés par le vent. Cette vision ne l'avait pas quitté jusqu'à Thanet.
Arthur devait en avoir le cœur net. Si tout avait changé, il avait besoin de le savoir. Après s'être mis un peu plus à l'aise, il se saisit d'une bougie et s'enfonça dans le château pour trouver la chambre de Guenièvre.
Arrivé à l'étage de la famille royale, ses pas ralentirent. De nombreuses années s'étaient écoulées depuis sa dernière venue à Cahoraise et il n'était plus sûr où elle dormait. Il passa devant plusieurs portes. Il reconnut de suite celle de ses beaux-parents avec un Leodagan s'exclamant d'un ton vif à travers la porte : "Comment c'est ma faute ? Guenievre est à moitié picte, je vous ferai dire !?!"
Arthur leva les yeux au ciel. Le temps n'avait vraiment pas eu d'emprise sur certains...
Il arriva devant une autre porte et entendit des voix féminines :
- Nessa, je vais m'en occuper. Ne vous inquiétez pas. Vous pouvez aller vous coucher maintenant.
- Madame, vous ne voulez pas quand même une petite tisane pour la nuit ?
- Vous êtes adorable mais non. Pas ce soir.
- Bon... Alors bonne nuit, madame.
Arthur alla se réfugier derrière le tournant du couloir. Il priait que Nessa ne vienne pas dans cette direction. Aucune envie de taper la discute avec elle ou trouver une excuse vaseuse sur sa présence là en pleine nuit.
Fort heureusement, la servante sembla prendre la direction opposée. Après avoir attendu que le silence soit revenu dans le couloir, il se dirigea à nouveau devant la chambre et frappa.
Arthur ne savait pas trop ce qu'il préférait. Qu'elle ouvre cette porte. Qu'elle ne l'ouvre pas. Pas sûr non plus de ce qu'il devait lui demander. De ce qu'elle pourrait lui répondre.
Eux deux, ce n'est jamais simple. Cela ne la jamais été. Mais si elle ne voulait plus...
- Nessa, c'est gentil mais je vous ai dit, pas de tisane, dit Guenièvre en ouvrant doucement sa porte. Arthur ?
Elle était déjà en chemise de nuit mais ses cheveux arboraient encore quelques tresses, pas encore défaites. Son regard était légèrement troublé. 
- Ah ! Vous êtes enfin rentré avec le seigneur Perceval ?
- Oui... Oui, on est arrivé y a peu, répondit Arthur un peu gêné. Je suis désolé de vous déranger à cette heure. C'est possible que je rentre vous parler un peu ?
Guenièvre ne cacha pas sa surprise mais se reprit vite : "Bien sûr, venez." Elle le laissa passer puis ferma doucement la porte. Seuls les crépitements d'un feu réconfortant se faisaient entendre. Arthur regardait un peu partout, la pièce plus familière qu'il ne l'aurait pensé. Cette commode basse en chêne n'avait pas changé de place en vingt cinquante ans. Dans son souvenir, ce petit meuble servait de rangement aux foulards et autres accessoires de coiffure de la Reine. Il eût envie d'ouvrir le tiroir pour vérifier si sa mémoire était bonne.
- Que me vaut le plaisir de votre visite ? Vous n'avez pas sommeil après toute cette route ?, demanda la Reine, s'asseyant devant la cheminée pour continuer à défaire sa coiffure.
- Bien sûr que si !, s'emporta son époux. C'est ce que j'avais prévu de faire, figurez-vous, mais j'ai eu une très mauvaise surprise à mon retour... Très mauvaise, oui.
- Ah ? Laquelle ?
Elle ne le regardait même pas. Elle semblait plus intéressée par le feu dans l'âtre, ses doigts démêlant toujours des boucles châtains aux reflets dorés. Il la trouverait terriblement belle s'il n'était pas aussi énervé.
- C'est quoi cette histoire de chambre d'invité ? Comment se fait il que je dorme à l'étage du dessous ?, finit par demander Arthur. Vous en avez déjà marre de ma tronche ? Pourtant vous avez été peinarde pendant mon absence.
- Mais qu'est ce que vous racontez ?
- Laissez moi deviner : vous regrettez d'être redevenue ma femme et la reine ?
- Quoi ?
- Oui oui... Pendant que j'étais pas là, j'imagine que vous avez cogité ? Vous y avez trouvé plus d'inconvénients que d'avantages ? Vous n'avez plus envie ?
- Mais vous avez picolé ou quoi ?, commença à s'agacer Guenièvre. Elle s'était levée de son fauteuil et le regardait avec incrédulité.
- Non mais ça va ! Je ne suis pas complètement idiot non plus. Vous aviez juste à me le dire, Guenièvre. J'aurais pu comprendre ! Hein, si je vous rebute tant que...
- Mais taisez vous enfin !!
Un silence s'abattit entre eux, seul le crépitement du bois dans la cheminée se faisait entendre dans la pièce.
Guenièvre avait la respiration haletante, ses yeux remplis de colère. Elle semblait si royale là dans sa chemise de nuit blanche, le corps droit et le regard assuré. Arthur se dit qu'il aurait peut être du mettre les formes et ne pas laisser sa déception prendre le dessus.
- Je ne vous comprends pas, commença la Reine en secouant la tête. Je fais en sorte que vous ayez un endroit juste pour vous. Pour que vous soyez tranquille. Et ça ne va pas ?
Elle ne laissa pas son mari prendre la parole et poursuivit, plus agacée encore :
- Non s'il vous plaît ! Je sais bien que vous n'êtes pas ravi d'être revenu en Bretagne. Que vous avez repris Excalibur à contrecœur. Vous croyez que je l'ai pas compris ?
Le roi resta silencieux, un peu gêné. Il baissa les yeux car il ne trouva rien à répondre.
- J'aurais cru que vous seriez ravi de ne pas dormir à mes côtés, ironisa la Reine. Avant, vous auriez sauté sur l'occasion !
- Oui mais non, lâcha le roi.
- Qu'est ce que ça veut dire ça ?
Celui-ci leva son regard vers la Reine. Il allait devoir jouer cartes sur table. Pas de réponse évasive, pas de pirouette pour fuir cette discussion. Simplement la vérité. Il s'approcha d'elle à pas lents puis lui avoua :
- Vous n'avez pas tort. Avant, j'aurais carrément sauté de joie. Mais ça, c'était avant... Aujourd'hui, les choses ont changé.
Les deux époux laissèrent un silence étrange s'installer à nouveau dans la pièce. Arthur se demanda s'il avait bien fait de venir lui rendre visite ce soir. Peut être aurait-il du se coucher avec sa frustration sans se poser de question. Et attendre demain pour avoir une discussion plus posée. Ses yeux se posèrent sur le visage fermé de la Reine et il comprit que ça aurait été une bien meilleure idée. Définitivement.
- Et qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas le regretter ?, finit par lâcher Guenièvre.
Elle se tenait très droite devant le feu. Trop droite même. Comme si elle voulait se contenir devant lui et ne pas laisser échapper ses émotions. Mais ses mains nerveuses qui pincaient sa robe la trahissaient.
- Pourquoi vous...
- Qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas me repousser comme avant ?
La Reine se tourna lentement vers le feu et son regard voilé ne quitta plus l'âtre ardente. Puis des larmes sourdes écorchèrent ses joues, trahissant ses peurs et sa déception. Arthur comprit qu'il était allé trop loin. Il paniqua car il détestait voir une femme pleurer, encore plus par sa faute. Cela lui faisait perdre ses moyens. Mais il n'eut pas le temps de réagir car dans un murmure, elle ajouta :
- Qu'est ce qui me dit que vous ne repartirez pas un jour ?
Guenièvre porta une main sous ses yeux pour chasser ses pleurs et se tourna à nouveau vers lui. Avec tristesse et colère, sa voix reprit :
- J'avais hâte que vous reveniez de votre voyage... J'ai beaucoup pensé à vous. J'ai simplement demandé une chambre pour que vous soyez au calme. Au moins la nuit. J'ai du batailler avec ma mère pendant des jours et des jours !! Et tout ça pour vous entendre me faire des reproches !?!
Le roi resta tut, gêné. Il n'avait pas le droit de se comporter de la sorte, lui qui l'avait abandonné dix ans plus tôt. Une décennie sans donner de nouvelles, sans en chercher non plus. Guenièvre avait été obligée de combattre, seule, les fantômes et les silences. Son cœur avait patienté plus de vingt ans pour enfin recevoir l'affection dont il avait toujours eu besoin. Qui était-il pour la sermonner ? Il devait déjà s'estimer heureux qu'elle veuille encore de lui en dépit de tout. Arthur savait qu'il devait s'excuser là tout de suite mais son épouse ne lui laissa pas l'occasion quand elle ajouta dans un souffle :
- Sortez.
Le roi leva d'un coup sa tête et fut déstabilisé car il vit quelque chose de terrible sur les traits doux de sa femme. Quelque chose qu'il n'avait aperçu qu'une seule fois durant leur mariage. Il eut l'impression d'être ramené dans les cuisines de Kaamelott, cette fameuse nuit où tout avait basculé. Une étreinte interdite. Une porte qui s'ouvre, révélant ainsi une idylle secrète. Une voix guillerette qui se tut en découvrant la trahison et l'adultère.
Oui, Arthur croisait là dans cette chambre, ce même regard fermé et brisé que Guenièvre leur avait lancé, à lui et Mevanwi. La déception et le chagrin.
Il était comme cloué sur place et aucun mot ne put franchir ses lèvres. Il l'avait trahi, repoussé tellement de fois, trouvé tous les subterfuges pour ne pas l'aimer. Autrefois il ne prêtait pas trop attention à toutes les conséquences. Aujourd'hui elles venaient griffer son cœur, lui rappeler toutes les injustices qu'il avait commises. Les yeux durs de Guenièvre étaient son fait à lui et à lui seul. Par ses mots et ses actes ce soir, il avait éteint la douceur qu'ils offraient pourtant toujours.
Guenièvre quitta la chaleur de l'âtre réconfortante et se dirigea silencieusement vers la porte de sa chambre. Avec des gestes lents, elle l'ouvrit puis sans même regarder son mari, ordonna :
- Il est temps d'aller vous coucher, Arthur.
Le souverain, le cœur lourd, avait envie de hurler. Mais il n'avait aucun droit ici et il avait tout gâché, encore. Arrivé à la hauteur de Guenièvre, il la regarda quelques instants. Elle préférerait fixer le couloir mais il vit des larmes traîtresses cherchant à s'échapper.
Il préféra n'émettre aucune remarque et quand ses pas l'amenèrent dans le couloir, il mumura simplement :
- Bonne nuit.
La lourde porte claqua, comme seule réponse.
29 notes · View notes
akaiuchiha · 5 months
Text
Chapter 4 (French): Far away from land, intrusive thoughts and important crisis
Zeff regardait le ciel d'un air penseur. Tout jusqu'ici se déroulait à merveille : le temps était clément, les 4 nouveaux passagers respectaient les règles et ils devraient atteindre Alabasta dans quelques jours. Tout se déroulait pour le mieux et c'était ce qui le rendait nerveux. Après avoir passé des années en mer, Zeff savait parfaitement que cela signifiait le calme avant la tempête et il n'avait pas vraiment hâte.
Normalement ils ne devraient pas manquer de nourriture pour les jours à venir. À part si une catastrophe se produit et que soudainement la moitié du stock devenait non comestible, il ne s'inquiétait pas pour leurs réserves.
Depuis qu'ils avaient quitté Whiskey Peak il y a quasiment une semaine (plus précisement 5 jours), d'après Tara, ils atteindraient les côtes d'Alabasta dans deux ou trois jours. Dans ces moments là, Zeff aurait aimé que son bateau soit équipé pour la navigation comme les caravelles. Or, le Baratie était un bateau spécialement créé pour rester sur place ou effectuer de simples voyages et non pas entreprendre une véritable escapade sur Grand Line.
Le journal n'était prêt d'arriver, ce qui ne faisait que rajouter du stresse au chef. À ce rythme, l'équipage au chapeau de paille parviendraient à Laugh Tale avant même qu'ils n'aient traversé la première partie de Grand Line.
Zeff essayait tant bien que mal de se rassurer en se disant que son fils n'était pas faible, qu'il était bien capable de se défendre. Mais Zeff l'avait aussi vu grandir. Il avait vu les réactions excessives de Sanji face à ses erreurs, comment il gardait un oeil alerte sur tout ce qui se passait autour de lui et comment il évitait les endroits fermés et sans lumière.
D'ailleurs, Zeff se doutait que le père biologique de Sanji devait posséder quelque chose que le jeune homme aimait entre ses mains, sinon il n'y aurait aucune raison pour Sanji d'accepter de rejoindre sa famille de sang.
Honnêtement, cela l'effrayait un peu. Si Sanji avait abandonné ses rêves et sa liberté pour le sauver, Zeff n'était sûr qu'il puisse rester calme plus longtemps.
Il fut tiré de ses pensées par Carne qui s'approchait rapidement de lui.
"Chef, on a un problème.
-Développe.
-Yan a fait une réaction allergique mais on ne sait pas à quoi mais maintenant les trois autres sont hostiles. Ils pensent que nous avons tenté de les empoisonnés."
À ces mots, Zeff décida que les âneries de son équipage et du petit groupe avaient assez durées.
Une réaction allergique...s'il y avait bien une chose que tout le monde était capable de traité sur ce navire, c'était une réaction allergique.
Et voici Carne qui venait le voir en courant comme un enfant se réfugiant dans les jupons de sa mère.
Sans un mot, Zeff se rendit dans la chambre qu'il avait prêté aux quatre. Devant la porte, Eri faisait la garde.
Son expression était orageuse et quand elle vit Zeff, elle se mit à hausser la voix d'un ton accusateur.
"Tout ça c'est de votre faute ! Je savais qu'il ne fallait pas vous faire confiance, vous êtes un pirate ! Vous nous avez menti et maintenant Yan est malade !
-Gamine, une réaction allergique ça se soigne mais pour ça je dois aller le voir.
-Non ! Ne vous approchez pas ! Qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas l'achever hein ?!"
D'un soupire, il poussa Eri sur le côté puis entra dans la chambre. Elle le suivit rapidement et attrapa son bras pour le tenir de toutes ses forces.
Dans la pièce, Kehos était en train de paniquer devant Yan qui toussait violemment. Depuis son emplacement, Zeff parvenait à voir les plaques rouge qui parsemaient sa peau. Tara s'était tournée vers lui et semblait l'analyser tandis qu'Eri tirait toujours sur son bras pour le faire reculer.
"SORTE DE LÀ.
-De 1 c'est encore mon bateau, de 2 votre ami a du mal à respirer et vous restez là à ne rien faire alors que j'ai ce qu'il faut. Mais bon si vous voulez qu'il s'étouffe allez y."
Tara réfléchit face à sa proposition. Zeff devait bien lui donner ce compliment, parmi eux, elle était la plus posée et la plus réfléchit.
Quand elle eu prit une décision, elle soupira et fit signe à Eri de le lâcher.
"Mais Tara ! C'est un pirate il va forcément l'achever !
-Dois je te rappeler que ce sont des pirates qui ont sauvé notre pays ? Lâche le, on va rester dans la pièce pendant qu'il le soigne.
-Je ne lui fais pas confiance.
-Moi aussi mais il est notre seul solution donc lâche le et viens soutenir Kehos, il va finir par faire une crise d'angoisse à ce rythme."
Eri finit par laisser le bras de Zeff et se rendit auprès de Kehos. Tara croisa les bras sans jamais détourner le regard.
"Eh bien faites donc !"
Zeff, qui était complètement désespéré par la situation, se dirigea vers la salle de bain où étaient entreposés tout le nécessaire médical qu'ils avaient.
Il pris les stylo à adrénaline puis fit demi tour.
Stylos en main, il rentra dans la chambre sans toquer et se dirigea directement auprès de Yan dont la respiration ne s'améliorait pas.
"Écartez vous."
À contre coeur, Kehos s'éloigna avec Eri qui n'avait pas lâché Zeff du regard depuis son retour. Son bras était autour des épaules de Kehos dont les tremblements ne semblaient vouloir s'arrêter mais qui pourtant était encore totalement lucide.
Le chef soupira, prépare le stylo et l'enfonca d'un geste rapide et précis dans la cuisse de Yan.
Une fois fait, il attendit quelques secondes avant de retirer le stylo tout en suivant les réactions de l'homme.
Au fur et à mesure sa respiration se calma et il parvint à mieux respirer. Toutefois, le contre choc arriva tout aussi vite et il perdit connaissance. Sa tête n'eut pas le temps de toucher le sol que Zeff l'avait attrapé et l'installa plus confortablement.
Puis il reporta son attention sur les trois restant.
"Si jamais ça repart, vous lui administrez une autre piqûre. Dans la cuisse je vous préviens. Il devra voir un médecin une fois à Alabasta mais pour le moment ça fera l'affaire."
Honnêtement il avait l'impression d'être sous le regard d'un prédateur. Les trois ne le lachaient plus des yeux même si les choses étaient différentes désormais. Kehos s'était calmé, Eri ressemblait à un chat enragé tandis que Tara toujours la plus calme pesair ses options.
"Est ce de votre faute ? Finit elle par demander.
-Parce que tu crois que ça m'amuse de presque tuer quelqu'un avec de la nourriture ?
-Il n'a jamais eu de réaction allergique auparavant ! Vous avez forcément mis quelque chose ! Renchérit Eri qui semblait prête à lui sauter dessus.
-Ça se contrôle pas les réactions. Il a probablement mangé quelque chose de nouveau ce qui a déclenché la réaction. Maintenant si tu continues à vouloir m'égorger alors que je viens de sauver ton ami, libre à toi d'essayer."
Cela calma Eri rapidement qui préféra recentrer son attention sur Yan.
Kehos se releva bien que des jambes semblaient être faites de coton et marcha vers Zeff. Une fois à sa hauteur, il lui prit la main et la serra avec force.
"Merci."
Mal à l'aise, le chef grogna un "les jeunes je vous jure" avant de se décider à quitter la chambre.
"Prenez le log pose éternel. On va rester ici."
Tara lui tendit l'objet en question.
"Dès que nous arrivons nous quitteront ce navire."
Il n'attendit pas plus longtemps et quitta la pièce. Une fois éloigné et son équipage rassuré, une nouvelle tension prit place sur épaules. Maintenant que le petit groupe était encore plus hostile qu'auparavant, les choses allaient être plus fatiguantes à gérer.
Il avait hâte d'arriver à Alabasta.
2 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 134
Dans la semaine qui a suivi mon retour de La Baule, j'avais tous les soir vers 20h un coup de fil de Franck pour me raconter ses dernières aventures.
Il n'avait rien fait jusqu'à ses 18 ans mais alors maintenant, c'était tout azimut ! après le maître nageur où il était encore passif, il s'est fait draguer par l'un des deux mecs qui nous avaient surpris au sortir de la douche à la salle de muscu. Là, il a oeuvré pour la première fois comme actif avec un mec. D'après son récit enthousiaste, il a aimé ça aussi. Depuis la sodomie de la meuf, il rêvait de trouver un mec à qui le faire. Il a revu aussi les deux filles. La deuxième s'est faite aussi enculer, trop intriguée par le plaisir qu'en retirait la première. Et Franck de conclure qu'il préférait mettre sa queue dans un cul que dans une chatte. Même s'il ne dédaignait pas de passer du temps à bouffer du clitoris ou du téton. De la même façon, il préférait la bouche d'un homme à celle d'une meuf, question rapport de force dans le jeu de langue et de profondeur pour les pipes.
J'ai eu aussi une fois son grand père. Il voulait voir avec moi comment compter les heures que son petit fils me bloquait par son bavardage. J'étais gêné (un peu) pour lui répondre. Du coup il m'a d'office proposé des honoraires de psy et pour le total des heures comme c'est lui qui payait son téléphone portable il saurait à la minute près. En y réfléchissant bien, c'est un peu ce que je fais sans la limite du " pas de rapports personnels ". Pour conclure il me dit qu'il m'enverrait un chèque mensuel. Je n'ai plus qu'à accepter !
Jimmy suit ses cours de code et de conduite en accéléré (merci Eric). Il doit passer son code la semaine prochaine et en est déjà à 10h de conduite. D'ici une quinzaine de jours, il devrait passer son permis. Je l'accompagne encore pour ses passes mais l'excitation n'est plus là. Par contre avec Ed, je m'amuse encore bien. Peut être parce qu'il est moins " naturel ".
Xavier m'a téléphoné que Laure et lui aimerais bien que je passe un peu de temps avec eux. Je les aime beaucoup ces deux là. lui est un de mes premiers clients pour Jean et elle j'ai adoré lui faire prendre goût à la bite de son mari (lire E_soum 11). Je me débrouille pour dégager un après midi. Celui où je laisse Jimmy entre les mains du père de Ric, j'ai toute confiance en lui.
Cela faisait longtemps que nous ne nous étions vus tous les trois. Ils sont toujours aussi beau. Elle est de plus en plus à l'aise avec la sexualité que son mec développe. En prévision d'y passer aussi, je me suis bien préparé le trou (lavements, graissage en profondeur, plug dans le cul). Quand j'arrive, Xavier vient m'ouvrir. Il est pieds nu, torse nu et son short flottant est déformé par ses 26cm gonflés de sang. Il m'entraine vers sa mini salle de sport et quand je rentre, je m'aperçois qu'ils avaient déjà commencé le taf. Elle est couchée sur un sling les jambes attachées en l'air, très écartées dévoilant une chatte rasée, aux lèvres violettes, gonflées de désir et à l'anus encore bien serré. Xavier me dit de me presser. Je suis nu en 30 secondes. Mes 20cm sont ridicules auprès de la bite de Xavier mais je complexe pas. c'est quand même grâce à eux (mes 20cm) que son mec peut maintenant la baiser ! Je continu à la bouche le travail qu'il avait commencé sur la chatte de sa femme, léchant, mordillant lèvres et clito. Lui, pendant se temps, " sodomisait " la gorge de sa meuf. Elle, la tête complètement en arrière avalait sans s'étrangler le morceau de son mari. Quels progrès par rapport à la femme qui se détournait, par peur d'avoir mal, du sexe de son homme. Je me kpotais et redressé enfilait, pour le plus grand plaisir de Xavier, sa meuf. Pénétrée des deux cotés, chauffé par le travail conjugué de son mari et du mien qui l'avait déjà fait jouir plus d'une fois, j'ai senti son vagin me comprimer par orgasme peu de temps après mon introduction et quelques va et vient. J'ai continué, la gardant chaude pour la queue de son mec. Echange de place, je profite d'une gorge élargie prenant sans aucun haut le coeur mes 20cm, tout en admirant l'assaut en règle de sa chatte. C'est toujours impressionnant de voir un morceau de 26cm disparaître dans un corps, que ce soit dans une gorge, une chatte et surtout dans un cul. Comme il se rase les couilles et tient sa toison pubienne courte, la vue est bien dégagée pour admirer le pompage de vagin. Laure gémi par dessus ma bite. mais c'est de plaisir ! je me penche et avançant le bras pince son clitoris. Convulsions immédiates, encore plus efficace que le travail des tétons. Je la laisse reprendre le rythme et recommence. Mêmes causes, mêmes effets, Xavier me dit d'arrêter sinon il va lui juter dedans alors qu'il se réserve pour moi. ;Je lui dis que je me ferais bien le cul de sa meuf avant qu'il ne la distende. Il me cède sa place et la queue kpotée, bien graissée, je m'enfile dans son anus. Laure apprécie l'assaut d'autant plus que mes mains ne sont pas inactives et j'enfonce un pouce dans son vagin avant que Xavier me passe un gode de bonne taille que je lui enfile. Les fausses couilles sur le clito, je le fais pénétrer complètement en fin d'enculade. C'est super bon sentir même une queue en plastique dans un vagin alors qu'on ramone de l'autre coté de la paroi. C'est trop trop bon. Xavier, j'en étais sûr, s'est accroupi derrière moi et après m'avoir écarté les fesses, m'a trouvé déjà occupé (le plug). Alors que je sodomise sa meuf, il joue avec, le faisant coulisser d'abord sur sa partie fine puis sur une plus grande longueur jusqu'à le tirer pour que mon anneau s'écarte à son plus gros diamètre avant de le relâcher et que je l'aspire à nouveau. Mon trou s'assouplit de plus en plus. Il se redresse contre mon dos et ses mains sur mes pecs me collent à son torse. Son bassin pousse mes fesses et rythme mes pénétrations dans sa femme. Il se décolle 2 secondes pour revenir me mettre sous le nez son poppers de compétition. Je sniffe et part de suite. Il m'arrache le plug et j'y prend du plaisir, il me pénètre de sa bite de cheval et je bande encore plus dur ! La petite pièce sent le stupre, la sueur et dans pas longtemps le sperme.
Xavier m'encule avec art. Je ressens les moindres veines de son dard planté en moi. Ses coups de rein sont d'une efficacité telle que je ne peux plus tenir et que j'explose planté au fond du cul de Laure. Elle ne jouit pas là mais comme est en est au moins à son 4ème orgasme, elle est plutôt contente que la pression retombe. Xavier m'encule par sursaut, ne pouvant bouger quand l'orgasme me fait me contracter. Cela l'achève aussi et d'un dernier coup de rein, s'enfonce au maxi et jute dans sa kpote.
Nous les hommes tombons au sol les jambes coupées. Il faut que Laure insiste pour que Xavier se lève et la détache. Elle se coule entre nous, retirant les kpotes pleines de nos sexes en phase de réduction de volume. Assis dos au mur, Xavier et Laure me remercient d'être passé. Nous papotons quelques instants. Xavier me demande d'ou me vient le diamant que je porte à l'oreille. Je leur dis que c'est le cadeau d'une cliente très satisfaite (c'est un peu le cas pour Emma je crois !). Du coup Laure me demande ce qui me ferait plaisir. ;Je leur dis -rien car mon tarif est déjà suffisamment élevé. Xavier me répond qu'un cadeaux, ce n'est pas du même ordre. Je leur répète que je n'ai besoin de rien, j'ai déjà voiture, motos et équipements, montres, pendants d'oreille, I-phone et un homme qui m'aime à la maison. Je suis déjà comblé et ne manque de rien. Ils me disent qu'ils vont quand même réfléchir à la chose. Je leur souhaite du courage pour trouver et après une bonne douche rentre à la maison avec mes honoraires (avec Laure c'était quasiment du médical au départ).
Je passe chez André, mon banquier et père de Ric chercher Jimmy qui comme d'habitude a donné entière satisfaction, discute 10mn le temps qu'il finisse de se rhabiller. André est très content de Ric. Depuis qu'il s'éclate (et qu'il l'éclate) sexuellement, ses résultats de partiels et de fin d'années sont toujours très bon. Il me dit aussi qu'il à fait l'achat à Paris d'une installation complète de stimulation électrique et qu'il va bientôt m'inviter pour l'essayer sur Ric. Je suis partant c'est sûr !
Retour à la maison. Jimmy file à l'appart et moi je rentre à la maison attendre mon Marc.
Je suis encore très chaud de mon après midi. Je file vite me mettre en jock et jeans coupé (surtout au cul) et descend à la salle de muscu. Il ne faut pas se négliger ! Je passe une bonne heure avant que Marc ne rentre.
Ok il gagne deux fois plus qu'avant, mais il est absent la moitié du temps et quand il est là, il ne rentre pas de bonne heure pour autant !!
Il me rejoint et j'entame avec lui une deuxième séance de muscu. Malgré ses déplacement, il est presque toujours dans des hôtels internationaux équipés de salle de sport. Heureusement sinon il perdrait beaucoup ! De plus il me dit que c'est de bons lieux de drague. Plus sûr que les coins off de ces pays, les salles de gym des grands hôtels permettent de se rencontrer entre occidentaux et les quelques " indigènes " qui y pénètrent sont triés sur le volet.
En attendant j'ai remarqué un infime relâchement de sa sangle abdominale. Nous finissons donc par 3/4 heures d'abdos divers. Relevés de buste, levées de jambes, ciseaux, pédalage, travail des obliques, toute la panoplie y passe. Il m'avoue qu'en déplacement c'est ce qu'il bâcle le plus souvent.
Nos exercices changent bientôt de nature. Imperceptiblement le massage que je lui fait pour détendre ses muscles vire à l'excitation sexuelle. ;Il bande tellement fort que je suis obligé de le sucer pour le calmer. Que sa bite est bonne. Comme il est sur le dos, c'est moi qui dirige. Je peux savourer doucement chaque millimètre carré de la peau fragile de son gland, en glissant ma langue, en faire le tour sous sa couronne, doucement enfoncer sa bite dans ma bouche, collant mes joues à sa peau. Arrivé au fond de ma bouche, je me penche plus et d'un coup sec m'enfonce son gland dans la gorge. Dans cette position, c'est un peu violent pour la glotte mais cela fait longtemps que j'ai perdu le reflexe de vomir à sa moindre sollicitation. Je déglutis plusieurs fois pour compresser son gland avant de le faire sortir et de respirer. Je fait cela jusqu'à ce qu'il me dise qu'il risque de m'envoyer " l'apéritif ". cela ne me freine pas et j'obtiens enfin son nectar. Premières giclées direct dans l'estomac, je recule pour en avoir en bouche. J'adore le goût de son sperme et je veux lui faire un bisou avec. En général ça le maintient bandé. Dernière salve, coup de langue pour laisser le gland propre et je me coule contre lui pour atteindre sa bouche. Baiser passionné, sa langue cherche à me voler les dernières gouttes de son sperme. Comme je m'y attendais il ne débande pas. Je l'enjambe, couché sur son torse, mon " jeans " s'ouvre et en deux, trois mouvements de cul, je place sa bite devant ma rondelle. Je me décolle de sa bouche le temps de saliver sur ma main et recommence notre pelle pendant que je me badigeonne l'anus. Ça, plus la sueur, mon trou est glissant comme une patinoire. Je me recule et je sens son gland écarter mes chairs. Ma queue bande sans pouvoir sortir de sa prison de toile, c'est bon et cela ajoute encore à mon excitation. Je recule lentement jusqu'à ce que ses 22cm soient en moi (enfin pour les avoir je doit me redresser mes mains en appuis sur ses pecs). Il me tient par les hanches pour m'empêcher se bouger. Malgré mon après midi, je sens bien sa présence en moi. Comme il vient de jouir, je sais que je vais y avoir droit un bon moment, miam ! ;Je " trotte " quelques instants avant qu'il me bascule sur le coté et ne vienne me prendre par derrière, moi couché sur le ventre, la bite et les couilles écrasées au sol. Cela me rappelle la fois ou il m'avait tiré de dessous d"un des bosquets du jardin (à l'époque du défrichage et juste fait sortir mon cul) et qu'il m'avait enculé direct. Les effets de sa sodo plus le souvenir je prend un plaisir fou. Il me plante bien. Il me finit sur le dos mes jambes relevées écartées sur ses hanches, il se couche sur moi pour me rouler un patin, écrasant mes couilles de ses abdos que nous venions de renforcer. Ses coups de rein et sa langue impérieuse me font jouir sans que je me touche et je sens mon sperme s'étaler autour de mon gland, retenu par le tissu serré du jeans. Marc l'a senti. Il se redresse, accroche ses mains à mes cuisses et dans une dernière accélération, explose en moi pour la deuxième fois. Il se couche sur moi et nous reprenons notre pelle. Nous somnolons un peu fatigués de nos deux séances (muscu + baise). C'est Samir qui nous réveille, pour nous dire que le diner est prêt. Nous prenons quand même le temps de nous laver avant de remonter.
A la fin du repas, Samir nous demande si il pourrait disposer du donjon quand il est de repos avec Ammed et que nous ne l'utilisons pas bien sûr. Marc lui en demande la raison et il nous avoue qu'Ammed est maintenant bien branché soumission et que les seules contraintes psychologiques ne lui suffisent plus. Marc est d'accord mais sous condition que nous enregistrions leurs séances et peut être d'une redéfinition de leur conditions de travail. Samir ne dit pas non pour les enregistrement nous demandant juste qu'ils ne soient pas mis sur internet ni commercialisés. Pour les conditions, il demande à les connaître. Marc improvise et il lui demande si, puisque Ammed est en train de devenir un bon soumis maso, on ne pourrait pas en profiter en petit comité ? Samir nous demande un délais de réflexion. Il n'avait pas songé à cela et nous savons qu'entre eux deux il y a de l'amour en plus.
Marc ajoute avant qu'il ne finisse le service qu'un refus de sa part n'aura aucune incidence sur le contrat de base.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
12 notes · View notes
sous-le-saule · 8 months
Text
Whisky
(Le musicien fantôme, épisode 5 – parce que l’occasion fait le larron)
Ca, c’est ce qui s’appelle une gueule de bois.
La lumière qui se faufile par le hublot est proprement insupportable et ma tête se joint à mon estomac pour maudire l’imbécile qui a trouvé judicieux de leur infliger trois (quatre ?) verres de whisky après une demi-bouteille de rhum, c’est-à-dire moi.
La couchette tangue un peu et pas seulement à cause de mon état. Manifestement, le vent s’est enfin levé et nous nous sommes remis en route, après trois jours de calme plat. Je devrais m’en réjouir mais, moi qui n’ai pas eu à me plaindre du mal de mer jusqu’à présent, je redoute le moment où je devrai me mettre debout.
Il est donc plutôt opportun que je ne puisse bouger, du moins sans réveiller l’homme à moitié couché sur moi. Je dois dire que le capitaine Álvarez – Esteban – est nettement moins intimidant endormi. J’irais presque jusqu’à le déclarer adorable, avec ses longs cils sombres et ses cheveux libérés de son habituel catogan, si l’effet n’était quelque peu gâché par ses ronflements.
Un long grognement les remplace lorsqu’il ouvre un œil. Il pousse un juron monumental en me voyant et bondit presque hors de sa couchette. Ce n’est pas exactement la réaction que j’espérais.
Mais alors…Oh, mon Dieu ! Je croyais que… Enfin, il m’avait semblé…
Je passe en revue mes souvenirs de la nuit précédente, pour comprendre comment j’ai pu commettre une telle erreur de jugement. La fête pour tromper l’ennui et la nervosité des marins, que l’absence de vent mettait à cran. Le succès – escompté – de mon nouveau répertoire festif auprès de l’équipage, qui m’a tapé dans le dos et abreuvé de rhum. L’étonnement non dissimulé du capitaine. Je ne me rappelle pas ses mots exacts, parce que j’étais déjà un peu ivre, et lui aussi, mais si je résume ses propos :  j’étais un homme plein de surprises, toutefois il était plus intéressé par mes compositions personnelles et il m’invitait à lui en jouer quelques-unes dans sa cabine où il me promettait une bouteille d’excellent whisky. Je ne prétends pas être coutumier du fait mais, tout de même, quelques invitations de gentlemen à venir « admirer leur collection d’art » m’ont appris à reconnaitre un sous-entendu !
Du moins je le pensais. A la façon hâtive dont Álvarez se rhabille en évitant soigneusement mon regard, il est évident que je me suis trompé. Et que j’ai vu dans nos longues conversations de ces derniers jours un attrait pour ma personne là où il n’y avait qu’un intérêt sincère pour la musique.
Après le deuxième verre de whisky, mes souvenirs sont flous, bien que plaisants – ce dont j’ai honte à présent que je comprends qu’il était trop saoul pour savoir ce qu’il faisait.
« Je ne savais pas… ça n’aurait pas dû arriver… ». A ma tentative d’explication, ses doigts se crispent encore davantage sur le ceinturon qu’il est en train de boucler. La plus élémentaire décence me semble de ne pas lui imposer ma présence plus longtemps. Je me rhabille le plus vite possible, luttant contre une nausée qui n’est pas due qu’à l’excès d’alcool.
Il ne me reste plus qu’à me terrer dans ma cabine jusqu’à la fin du voyage, si toutefois il accepte de le mener à terme.
La main sur la poignée de la porte, je murmure : « Je suis désolé ».
« Quoi ? »
Je me retourne et il me regarde enfin, l’air abasourdi. « Comment ça, tu es désolé ? C’est moi qui ai abusé de la situation. Tu avais clairement trop bu et… »
Nul doute que, plus tard, je trouverai le quiproquo amusant. Pour l’instant, je ressens surtout un immense soulagement.
« Tu n’étais pas exactement sobre non plus. »
« Jusqu’au whisky, ça allait. Je veux dire : je savais ce que je faisais quand je t’ai invité dans ma cabine. »
« Et je savais ce que je faisais quand j’ai accepté. »
« Oh. Bon. Bon. Je… Tant mieux. J’ai cru que, peut-être… »
Il est encore plus adorable embarrassé qu’endormi. Je ne résiste pas à l’envie de le taquiner :
« Que j’étais aussi naïf que j’en ai l’air ? Tu n’étais pas particulièrement subtil. »
Il hausse les épaules. « Je ne savais pas trop comment m’y prendre. Je ne fais pas dans le gentilhomme, d’habitude. »
Un peu cavalier, mais je ne peux décidément pas en tenir rigueur à un homme qui parvient à rester séduisant malgré les signes d’une gueule de bois qui doit valoir la mienne.
« Et tu comptes réitérer l’expérience ? » Puisque la subtilité est depuis longtemps passée par-dessus bord, autant y aller franchement.
Il a un sourire en coin. « De ce que je me souviens, ça mériterait une deuxième audition, à jeun. »
Et il se croit spirituel, en plus.
3 notes · View notes
t-marveland · 2 years
Text
𝐅𝐚𝐢𝐫𝐲 𝐓𝐚𝐢𝐥 | Sting Eucliffe
Tumblr media Tumblr media
ᵈʳᵃʷⁱⁿᵍ ᵐᵃᵈᵉ ᵇʸ ʰⁱʳᵒ ᵐᵃˢʰⁱᵐᵃ
𝐀𝐑𝐑𝐎𝐆𝐀𝐍𝐂𝐄
Sting Eucliffe x Reader
Warnings : Spoil Fairy Tail
Mots : 1777
Masterlist
Tumblr media
❝ yoku yatta...❞
PDV (T/P)
    J'AVAIS ÉTÉ SÉLECTIONNÉ pour représenter ma guilde lors des Grands Jeux Magiques. C'était donc ainsi que je m'étais retrouvée dans la capitale de Fiore. La seule consigne qu'on avait eue pour le moment était d'être rentré avant minuit au dortoir. Alors Nastu, Lucy et moi, nous baladions dans la ville de Crocus.
    Natsu et Happy étaient comme des enfants et voulaient entrer dans presque toutes les boutiques. 
    ❝━ S'il vous plaît les filles, je vais juste jeter un coup d'œil. Supplia-t-il.❞
    On se regarda et on acquiesça, après tout, c'était son argent et il en faisait ce qu'il voulait.
    On décida de s'asseoir sur un banc à proximité ayant encore mal un peu partout à cause du déverrouillage de la Seconde Origine. Cependant, on ne resta pas calme très longtemps puisqu'on entendit des cris. On se regarda, intriguée et on décida de s'approcher.
    Au centre, il y avait deux jeunes hommes. Le premier avait les cheveux courts blonds avec une cicatrice au-dessus de l'œil droit. Alors que le second avait les cheveux noirs ébouriffés recouvrant la majeure partie de son visage et les yeux rouges. Des dizaines d'hommes étaient étalés sur le sol et semblaient agoniser. 
    ❝━ Quelqu'un d'autre ?❞
    En nous voyant arriver, leurs yeux se posèrent directement sur la main de Lucy. 
    ❝━ Regardez qui est là, des membres de Fairy Tail. Vous êtes encore venu vous faire massacrer ? Railla le blond avec un air supérieur.❞
    Je le toisai du regard, Lucy semblait vouloir l'ignorer, mais ce n'était pas mon cas. J'avançai et me retrouvai en face de lui, il était bien plus grand que moi, mais ce n'était pas ça qui allait me faire peur.
    ❝━ C'est quoi ton problème ? Sifflai-je méchamment.
━ Du calme, chérie. Ce n'est pas encore le moment pour montrer les crocs. Répondit-il avec un sourire narquois.❞
    J'étais prête à le remettre à sa place, mais Lucy me prit le bras.
    ❝━ Calme-toi. On va pas se donner en spectacle. Chuchota-t-elle voyant que tout le monde nous regardait.
━ Tu ferais mieux d'écouter ta copine. Ajouta-t-il.❞
    Je haussai un sourcil. Il faisait exprès de m'énerver, et je le savais, mais je ne pouvais pas m'empêcher de vouloir écraser sa tête contre un mur.
    ❝━ Sinon quoi ? Le provoquai-je.❞
    Je plantai mes yeux dans les siens bien décidée à ne pas les baisser face à son regard perçant. Je n'allais pas abandonner.
    ❝━ Il se passe quoi ici ? Dit Natsu arrivant avec Happy.❞
    Le blond brisa notre duel de regard et se tourna vers lui. Ses yeux s'écarquillèrent.
    ❝━ Toi ?
━ Nastu Dragneel ! S'exclama le ténébreux.
━ Vous êtes qui ?
━ N'as-tu jamais entendu parler des dragons jumeaux, Sting et Rogue ? Intervenu un spectateur.
━ Alors ces deux-là sont de... Commença Lucy.
━ Sabertooth ? Termina Nastu.❞
    Sting rigola et s'approcha de Nastu. 
    ❝━ Je t'attendais !
━ Tu me connais ?
━ Acnologia. Dit simplement Sting.❞
    Je me tendis, le sujet sensible venait d'être mis sur le tapis.
    ❝━ Tu es le Dragon Slayer qui n'a pas pu chasser un dragon, non ? Es-tu certain que tu devrais continuer de te dire Dragon Slayer ?❞
    Je vis que Nastu serra les poings et les dents.
    ❝━ Tu sais, je t'ai déjà admiré.❞
    Il montra son ami.
    ❝━ Ce gars était fasciné par Gajeel.
━ J'étais juste intéressé en tant que Dragon Slayer comme lui. Précisa Rogue.
━ Dragon Slayer ? Vous deux ? Ricanai-je.
━ Tu devrais nous appeler 'Vrais Dragons Slayer'. Nous aurions battu Acnologia.
━ Facile à dire quand on a jamais posé les yeux sur Acnologia. Se défendit Lucy.
━ Ça ne change rien qu'on l'ait vu ou non. On parle de différence dans les compétences de Dragon Slayer.
━ Nous sommes les plus puissants Dragons Slayers. Informa Rogue.
━ Ça va les chevilles ? Commentai-je.❞
    Ils me lancèrent un regard noir.
    ❝━ Vos dragons ont-ils aussi disparu pendant l'année 777 ?! Demanda Natsu.
━ Et bien d'une certaine façon...
━ Je vais te le dire directement. Les dragons qui nous ont appris la magie de Dragon Slayer ont été tués de nos propres mains pour que nous devenions de véritables Dragon Slayer. Dit Rogue.
━ Vous avez tué des dragons... Dit Lucy, la voix tremblante.
━ Vous avez assassiné vos propres parents ? S'exclama Natsu, la colère commençant à monter.❞
    Je m'approchai de lui et mis ma main sur son épaule pour le calmer. Même si moi aussi, je voulais les remettre à leur place, il fallait qu'on garde nos forces pour le lendemain. 
    Leurs regards se dirigèrent vers moi avec surprise. Ils ne s'attendaient sûrement pas à ce que je tente d'apaiser Natsu, moi qui quelques minutes plus tôt voulais me battre avec eux.
    Finalement, après un long silence et de nombreux regards noirs, ils décidèrent de partir.
    ❝━ Si nous avons la chance de nous combattre pendant les jeux, je te montrerai la force qui peut tuer un vrai dragon.❞
    Ils commencèrent à partir, mais Sting se tourna vers moi et planta ses yeux dans les miens.
    ❝━ On se verra bientôt mais si tu t'ennuies, tu peux m'appeler. Ajouta-t-il en me faisait un clin d'œil.❞
    On arriva en retard au dortoir et Erza nous gronda fortement mais la seule chose que j'avais en tête était ces Dragons Slayers. Je n'avais qu'une envie : les revoir et les faire redescendre sur terre, surtout le blondinet.
    Plusieurs épreuves passèrent et je tentais de garder la face mais au fond de moi je n'avais qu'une envie, montrer ce que je valais. En effet, je n'avais encore fait aucune épreuve, je m'étais simplement contenté d'encourager mes camarades et à fêter leurs quelques victoires. Je voulais me battre et faire gagner des points à mon équipe.
    Finalement, mon tour arriva le troisième jour. Je devais me battre contre Yukino de Sabertooth.
    Sting avait les yeux rivés sur moi, pas que ça me déplaise au contraire, je pouvais lui montrer que Fairy Tail n'était pas aussi faible qu'il le prétendait. Ses yeux avaient une lueur d'excitation et son éternel sourire narquois était plaqué sur le visage.
    Yukino était trop confiante et allait jusqu'à parier sa propre vie. Moi aussi, j'étais confiante et j'avais accepté à la grande surprise de mes camarades. Cependant, il ne me fallut que quelques minutes pour la vaincre au grand désarroi de toute sa guilde.
    ❝━ Ta vie m'appartient maintenant.❞
    Je tournai la tête vers Sting et vis ses yeux meurtriers. 
    ❝━ On ne perdra jamais contre vous. Chuchotai-je sachant qu'il m'entendait.❞
    Je lui lançai un sourire narquois et lui fis un clin d'œil ce qui sembla l'énerver encore plus.
    Cependant, plus tard dans la soirée Yukino nous attendait devant notre hôtel. Elle semblait mal à l'aise en ma présence, probablement à cause de ce qu'il s'était passé plus tôt dans la journée alors quand la conversation fut terminée, je décidai d'aller la voir en privé. 
    ❝━ Salut. Dis-je.❞
    Elle se tourna vers moi et écarquilla les yeux.
    ❝━ Oublions ce qu'il s'est passé, ce parie était vraiment stupide. Tu as l'aire d'être d'une bonne personne en plus.❞
    Je l'entendis sangloter et elle s'effondra sur le sol, des larmes coulant sur ses joues. Je m'abaissai et posai une main rassurante sur son épaule.
    ❝━ Que se passe-t-il ? Si j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas sache que je suis vraiment désolé.
━ Non. Ce n'est pas toi. C'est juste que personne ne m'a traité comme cela depuis longtemps.❞
    Je fronçai les sourcils et elle commença à m'expliquer la situation avec sa guilde.
    Elle me faisait de la peine et je me sentais coupable de ce qui lui arrivait. Je la pris dans mes bras et on resta comme ça jusqu'à ce qu'Happy arrive en courant vers nous.
    ❝━ (T/P) !! On a un problème.❞
    Je commençai à m'inquiéter.
    ❝━ C'est Natsu, il est parti à Sabertooth. Il a entendu votre conversation.❞
    J'écarquillai les yeux.
    ❝━ Tu m'excuses, il faut vraiment que j'y aille. Si tu as un problème ou juste envie de parler, n'hésites pas à venir me voir.❞
    Finalement, j'arrivai devant les logements de Sabertooth sans Happy, l'ayant perdu de vue. Nastu avait déjà tout détruit et il était au centre de la guilde furieux entouré par de nombreux corps.
    ❝━ Natsu ! Lui criai-je.❞
    Tous les regards se tournèrent vers moi dont Sting et Rogue. Je m'approchai de Natsu et lui pris le bras malgré les flammes qui me brûlaient.
    ❝━ Il faut que tu te calmes sinon on va avoir des ennuis.❞
    Le maître de Sabertooth rigola attirant notre attention. 
    ❝━ C'est trop tard, maintenant. Les ennuis ont déjà commencé.❞
    Il lança une attaque et Natsu commença à se battre avec lui. Finalement, une femme apparut stoppant l'attaque. Elle avait pris Happy en otage et le menaçait, ce qui nous obligea à partir.
    Plusieurs jours passèrent durant lesquels Natsu battu Sting et Rogue ainsi que Fairy Tail qui gagna le tournoi.
    Je me baladai dans les couloirs pour rejoindre les camarades à l'infirmerie quand je croisai Sting. Je ne comptais pas m'arrêter lui parler mais lui si.
    ❝━ Je suis désolé. Dit-il.❞
    Je le regardai et fronçai les sourcils, surprise. Peut-être que j'avais mal entendu.
    ❝━ Quoi ?
    ━ Ne m'oblige pas à le redire.❞
    Je croisai les bras et plantai mes yeux dans les siens.
    ❝━ J'ai été un peu arrogant et un peu méchant...❞
    Je rigolai légèrement le faisant lever les yeux vers moi, surpris.
    ❝━ À peine.❞
    Il sourit, faisant ressortir ses canines pointues et se gratta l'arrière de la tête, gêné.
    ❝━ Je ne pense pas que je sois la mieux placé pour recevoir tes excuses. Avouai-je.❞
    Il fronça les sourcils.
    ❝━ Lucy et Yukino les méritent plus que moi. Expliquai-je.
━ Et tu es humble en plus. As-tu des défauts ? Plaisanta-t-il.
━ En y réfléchissant bien, je ne pense pas.❞
    Il sourit, montrant ses dents incroyablement blanches.
    ❝━ Je pense la même chose. Avoua-t-il.❞
    Bizarrement je ressenti une chaleur au creux de mon ventre et mon sourire s'élargit.
    ❝━ Félicitation pour votre victoire. Ajouta-il.
━ Merci.
━ D'ailleurs, je me disais...❞
    Il marqua une pause, semblant hésiter.
    ❝━ Oui ?
━ J'aimerai bien te revoir après tout ça et seulement toi.❞
     Mes joues se réchauffèrent.
    ❝━ Avec plaisir. Répondis-je.❞
Tumblr media
42 notes · View notes
perduedansmatete · 9 months
Text
du coup hier sur le trajet, vers minuit mon ami platonique me dit qu'il vient juste de se réveiller (tout est normal) et m'engueule à moitié quand je lui dis où je vais avec entre autre ma cousine qui ne le supporte pas, en mode t'aurais du me dire blablabla je serais pas venu, il me soûlait trop. je ne pouvais pas savoir que la première chose qu'il ferait en se réveillant serait de sortir avec tous ses potes au même endroit que moi. bref je suis un peu en stress mais ça a le mérite de nous réveiller avec mon amie et surtout ça la fait rire. on arrive et je rencontre des cousins inconnus au bataillon de ma cousine sortis de je ne sais où (enfin si, de suisse) je vois aussi directement tous les potes de mon ami platonique qui veulent me parler mais qui peuvent pas trop, son meilleur ami me dit ouin je croyais que tu m'avais pas reconnu mais j'étais juste en panique. enfin bon c'est très cool on s'amuse bien, je vais voir l'ami platonique quand ma cousine regarde ailleurs (d'ailleurs j'adore ses cousins), on se fait des sourires et on rigole de loin. puis à un moment je parle à un gars, pour une fois qu'ils me soûlent pas ici, franchement sympa je l'aime bien on danse un peu quand passe baccara parce qu'il adore comme moi... après un looong moment je vois que l'ami platonique nous regarde en mode un peu vener mais bon on parlait juste sauf que d'un coup il m'embrasse et vraiment à ce moment je me dit: merde, encore une fois et je me dis: re merde, du coup j'essaie de me barrer diplomatiquement mais je me sens trop mal j'ai vu son regard et je sais que c'est la merde, il m'envoie "ça va tu t'amuses bien" suivi de "me parle plus" ou un truc comme ça et je m'amuse plus du tout après j'ai plus toute la chronologie mais je me souviens que son meilleur ami m'a dit qu'il était trop hypocrite que je faisais ce que je voulais et que je pouvais lui dire d'aller se faire foutre de sa part mais bon je l'ai pas fait je ne suis pas suicidaire. entre temps ma cousine et ses cousins qui nous ont payé des tournées de shots toutes les heures étaient partis donc la voie était libre on pouvait traîner comme on voulait avec tout le monde. on a discuté de mes bisous, il me regardait trop mal donc j'ai chouiné deux fois la première dans les toilettes avec lui qui toquait comme un malade pour que je sorte et la deuxième fois c'était devant lui je fixais un point sur le sol pour m'arrêter mais ça marchait pas trop donc il a fini par essuyer mes larmes en me disant de m'amuser et que ça allait. ensuite son ami le garçon de café a pris de la coke il voulait m'en filer j'ai dit non ou alors c'était peut-être avant car j'ai aussi un peu pleuré avec lui, il était trop mignon il voulait me rassurer sauf que déjà quand il parle français je comprends que la moitié de ce qu'il dit mais là c'était incompréhensible. ensuite comme les hommes ont des doubles standards l'ami platonique me dit que sa pote avec qui j'avais dansé me voulait donc ni une ni deux je suis tombée dans ses bras, j'embrassais l'une j'embrassais l'autre j'étais au max il me faisait plus du tout la gueule et on est restées collées très longtemps avec jeanne. j'ai fini par gueuler à un mec d'aller se faire foutre et de dégager parce qu'il passait son temps à nous mater à nous coller et à nous applaudir avec un sourire de gros con en plus il m'avait déjà grave touché alors que j'essayais d'aider une meuf à retrouver ses amis parce qu'elle était toute seule et vraiment trop bourrée (et défoncée, je suspecte le garçon de café pour ça) entre temps je danse avec le centaure, je tourne dans tous les sens (il ressemblait un peu à un triton aussi) puis c'est passé vite en fait: engueulade + sauvetage meuf + centaure + jeanne + danser avec le garçon de café aussi obligatoirement. quand c'était fini je vois un gars qui me fixe et en fait ça faisait mille ans qu'il me fixait déjà, je croyais que c'était celui que j'avais embrassé mais non, il me demande mon nom et il me dit "merveilleuse mathilde..." il m'a fait trop peur mais voilà belle conclusion je suis merveilleuse même quand je fais de la merde
7 notes · View notes
pauline-lewis · 1 year
Text
Basically I’m a happy person
Tumblr media
Il y a longtemps, il y a presque vingt ans maintenant que j’y pense, j’enregistrais des reprises dans ma chambre. J’aimais bien ajouter des extraits de films pour les glisser entre deux paroles et comme je n’y connaissais rien je tendais juste le micro à l’enceinte de mon ordinateur. J’avais vu le film Things I Never Told You d’Isabel Coixtet dans lequel une jeune femme (Lili Taylor – dont j’aimais la voix un peu cassée) appelle un numéro d’urgence, une sorte d’équivalent américain de SOS amitié, parce qu’elle a des pensées suicidaires (ou parce qu’elle est juste vraiment très triste, je ne saurais plus dire précisément). Un jeune homme lui répond et elle lui raconte des fragments de son humeur, de sa tristesse, et moi ce que j’aimais le plus c’était quand elle disait Basically I’m a happy person
Je ne sais pas pourquoi mais cette phrase sonnait juste à mes oreilles.
J’y repensais sous le soleil parisien le long des quais, je repensais à cette phrase alors que je me retenais si fort de pleurer que j’avais mal au coin des yeux. Mais — Basically I’m a happy person Il faut réconcilier parfois le pitre en nous et celle qui a des spasmes d’angoisse, qui veut hurler dans un coussin, qui pleure encore et sans cesse et espère qu’un peu d’eau versée dans le lavabo suffira à tout faire disparaître. Basically, dit cette femme qui a pourtant des pensées suicidaires (ou qui est juste très triste, je ne m’en souviens pas bien), I’m a happy person
Je crois toujours que je vais lire un livre et que je me souviendrai de quelque chose de très vrai en moi, et que ça suffira à me réparer. Je crois toujours que je vais lire un livre et que je saurai et que tous les morceaux seront recollés. On ne sait pas quand un beau jour on décide de mettre autant de pression sur des mots écrits sur des feuilles de papier.
J’avais déjà essayé de lire Checkout 19 de Claire-Louise Bennett, je l’avais acheté en ebook sur ma liseuse et je l’avais abandonné au bout de quelques pages seulement. Trois, ou quatre peut-être. Je me disais que, peut-être, ce n’était pas le moment.
Quand j’ai émergé des quais j’ai vu Notre-Dame avec sa ferraille, qui venait casser toute l’illusion du Paris de carte postale et je suis allée à Shakespeare and co en espérant que toutes celles que j’avais été en passant les portes de cette librairie se retrouveraient — l’étudiante fauchée en visite à Paris, l’étudiante toujours fauchée venue par le RER A puis B, la journaliste déprimée venue écouter Zadie Smith sous le soleil d’été — toujours des poses plus que des réalités mais c’est aussi de ça que nous sommes faits.
I went back to it, because I had the need, as anyone does when they feel they’ve lost their way, to get right back to the beginning of myself. (Checkout 19)
Maintenant il y a un vigile à l’entrée alors il faut faire la queue, je me grattais le coin des pouces et j’écoutais, parce que j’ai toujours le sens de l’à-propos, Painful de Yo La Tengo
Je m’étais dit que je n’allais rien acheter mais voilà acheter des livres est peut-être ma pose préférée.
Il était là sur les étagères au milieu de la foule — Checkout 19 avec sa couverture blanche noire et rouge et sa peinture de Gill Button, une femme qui me regardait. Alors je me suis dit que j’allais de nouveau essayer. J’ai payé un chai latte six euros cinquante, six euros de thé et cinquante centimes de supplément pour de l’avoine mixée. Je me suis assise dehors sur les tables en bois à côté d’un homme sérieux qui travaillait et j’avais si froid dans ce matin d’avril piquant que ça me faisait monter les larmes au creux des yeux ( — je faisais comme si elles n’étaient pas là avant).
Et puis là d’un coup j’ai compris ce livre, tout de suite je l’ai aimé, comme on sait tout de suite qu’on va aimer un livre et qu’on va en parler, qu’on va écrire ce texte, pendant qu’on le lit on se dit je ferai ce lien avec le film d’Isabel Coixtet et ça enlèvera absolument toute réalité à la tristesse, elle ne sera plus que des mots sur une page de blog qui racontent les mots d’une autre. La tristesse se sera cognée sur les pages du livre et elle sera partie loin, très loin, se loger au coin des yeux d’une autre fille qui se dira à son tour Basically, I’m a happy person
Checkout 19 est, de premier abord, un livre sur la lecture, sur la littérature, sur le langage. Il commence par un texte sur l’acte physique de lire qui est à la fois drôle et révélateur, presque comme dans un spectacle de stand up quand on se dit tiens c’est drôle parce que c’est vrai.
Ensuite on tourne les pages et puis ce roman-essai-récit, peu importe ce qu’il est, ressemble de plus en plus à L’histoire sans fin ou à une sorte de livre dont on serait le héros, on a l’impression d’être dedans. On navigue dans ses phrases comme dans une forêt et parfois Claire-Louise Bennett sort la machette et elle déblaie complètement le paysage. Elle offre ça — une phrase magnifique, une phrase sublime, une phrase vraie. Et on ne sait pas pourquoi, c’est exactement ce qu’on avait besoin de lire. Même en fermant le livre on ne saura pas pourquoi c’était exactement ce qu’on avait besoin de lire.
Checkout 19 n’est pas : une lettre d’amour à la fiction, un hommage à la littérature, un édifice à la gloire Grands Auteurs Ce n’est pas : une manière de raconter que la littérature guérit ou répare — mais quelque part ça le raconte quand même, sinon pourquoi on aurait payé six euros cinquante pour le lire en buvant un chai latte (et pourquoi on l’aurait posté sur instagram si ce n’est pour dire – regardez comme j’aime lire et pas pleurer, j’aime mieux lire que pleurer et voilà la preuve, tout va bien, je n’ai pas menti)
C’est un livre incroyablement dynamique et prenant sur l’acte de lire, sur ce que les livres font en nous, de bon et de moins bon, sur les livres que l’on prête, qui restent sur l’étagère, qui déménagent ou non avec nous. Sur les livres qu’on prend trop au sérieux. Sur ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas et sur la vie qui s’accumule autour d’eux. Sur l’identité qu’on construit autour et sur la manière si profonde dont on VEUT dont on VOUDRAIT si fort que les livres nous définissent.
C’est un livre plein d’énumérations (le langage est à son centre, l’amour profond des mots, de leurs sonorités, de la manière imprévue dont ils se répondent), c’est un livre drôle, un peu absurde, un livre sur les personnages qu’on invente et sur les histoires qu’on griffonne sur des cahiers. Et parfois quand on croit que Claire-Louise Bennett a oublié que quelqu’un la lisait elle nous donne tout, elle trace les contours de l’intérieur de nous.
Malgré nous, même si le livre dit le contraire, elle nous répare un peu peut-être (et on sourit de penser à un tel cliché).
We confused life with literature and made the mistake of believing that everything going on around us was telling us something, something about our own little existences, our own undeveloped hearts, and, most crucially of all, about what to come. What was to come ? What was to come? We wanted to know, we wanted to know what lay ahead of us very very much, it was all we could think about and it was so unclear — yet at the same time it was all too clear. (Chekout 19)
C’est un livre sur ce que je suis en train de faire, sur cette propension qui m’agace de devoir faire des histoires, raconter des faits. C’est sur moi, en train de faire sens d’un moment qui n’en avait pas, c’est sur ce mouvement qui nous pousse à croire qu’on est le personnage d’une histoire qui vaut la peine d’être racontée. Et le livre résiste à ça et en y résistant il nous ouvre des portes fabuleuses. Mais ce livre est aussi très drôle et de ce fait, il ne nous juge jamais. Il nous comprend et c’est la moindre des politesses que de le comprendre en retour.
C’est aussi un livre sur les classes sociales, sur l’université, sur le confort matériel, sur le fait de ne pas vouloir lire des autrices qui se sont suicidées au cas où on aurait envie de garder ça pour nous si on a une pulsion un jour (basically, I’m a happy person).
C’est un livre sur les hommes décevants, les hommes qui donnent des livres mais ont l’impression de donner des grenades, un livre sur la lecture comme acte collectif mais sur l’expérience humaine qui est si fondamentalement si incroyablement si impossiblement solitaire qu’on est obligées d’écrire encore et encore et encore en espérant en dire ne serait-ce qu’un pourcent.
C’est un livre sur mille choses à la fois, je finis tout ça en me disant qu’il y a peu de chances que vous ayez envie de le lire (ou même que vous ayez fini ce texte jusqu’au bout). Un livre pour toutes les fois où on est des gens fondamentalement heureux mais quand même, il faut bien le dire, méga tristes.
Un livre pour maintenant. 
[Le livre est disponible en français sous le titre Caisse 19, traduit par Thierry Decottignies aux éditions Scribes/Gallimard]
5 notes · View notes
hellmouthheritage · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
HELLMOUTH
Mais qu'est-ce que je fou là ? Quelle bande de nuls... Pensa Grace tout en continuant de rendre Jeremy fou de rage. Elle se délectait de chaque petite seconde à le torturer un peu plus encore. Ce n'était pas la plus sadique des méthodes de tortures qu'elle avait en tête pour lui régler son cas, mais c'était suffisant pour qu'un sourire de satisfaction apparaisse sur son visage. Grace rigola en remarquant que Ciara passait sa main dans ses cheveux à cause de son commentaire. Bah quoi ? C'était vrai. C'est quoi ces tresses ? La seule chose de positif dans cette coiffure, c'était qu'elle n'allait pas avoir besoin de s'onduler les cheveux demain. La capitaine tourna les yeux vers le plafond en soupirant. Jeremy retira sa main de son cou en la poussant à l'aide de son épaule. Ce qu'il lui dit ne la blessa pas au contraire, Grace était prête à le détruire. Sur un ton sarcastique, elle lui répondit : Fou toi s'en tant que tu veux Jeremy. Le Monde ne tourne pas autour de toi. Si tu savais, ce que je viens de faire avant d'arriver à cette réunion Jeremy... Ça m'amuse seulement de jouer. avec tes nerfs. J'en tire une jouissance non mesurable. Elle ricana subtilement avant de concentrer son regard sur Aube qui venait de rentrer dans la bibliothèque. Tu sais bien ma chérie que je ne pardonne jamais ce genre de priorités. Je vois que tout le monde s'est passé le mot pour ressembler à des déchets... Et Aube. Ton boxer de mec dépasse un peu. Range-moi ça, ça gâche la vue.
Grace arqua son sourcil si soigneusement brossé en regardant Aube. La défiant du regard pour lui faire comprendre qu'il fallait qu'elle se la ferme. C'est pourtant une magnifique femme. Qu'est-ce qu'il lui prend de s'habiller comme ça ? Pensa Grace avant d'entendre à nouveau quelqu'un entrer. Cette bibliothèque, c'était la fourmilière du bien, des gens n'arrêtaient plus d'arriver. Elle se demandait encore qu'est-ce qu'elle faisait là d'ailleurs. Pourquoi je ne suis pas rentré avec ce professeur après avoir abusé de son corps ? J'aurais bien aimé voir dans quelle genre de place il habite... Une villa ? Un palace ? Un royaume... Tu t'emportes là Grace. Concentre-toi plutôt à dévisager ce sadomasochiste qui se croit être un personnage de Gotham City. Grace regarda monsieur eau de javel en personne s'adosser contre une étagère et faire part à tout le monde de ses commentaires. C'est qui ce stupide blond !? Il sort d'un congélateur ? On dirait qu'il y a passé des heures... Je n'aime pas vraiment les mecs qui travaillent en cuisine. Pas assez riche. Les mecs qui ont des luxueux hôtels incluants des cuisines qui servent du tartare et du sauvignon blanc, ça c'est plutôt mon style. Grace le dévisagea de la tête aux pieds ignorant le fait qu'il venait de l'insulter elle et ses amis. Et bien le niveau n'a pas l'air de vouloir monter. Elle ignora complètement son existence, les vieux moches gothiques qui se donnent des airs BDSM pour se prouver qu'ils ont une quelconque valeur dans la société c'est pas vraiment sa tasse de thé.
En entendant ce que son amie Frankie dit à Spike, la capitaine tourna les yeux au ciel. NON, mais c'est pas vrai ? Je vous l'ai dit les filles. Moins de mecs, plus d'entraînements! Ça semble si difficile à capter ? s'exclama Grace. On ne gagnera pas les championnats en s'agenouillant devant des hommes encore plus ridés que nos grands-pères. Mais voyons! Grace fusilla le blond du regard. Oui c'est de toi que je parle l'ancêtre. Je faisais comme si tu n'existais pas jusqu'à maintenant et crois-moi j'aurais préféré continuer quand je te vois. Mais maintenant que je sais que tu tournes autour des filles de mon équipe, ça va pas le faire! Grace se tourna vers Jeremy et cogna sur son épaule de son poing fermé. Bon... Ça ne devait pas faire beaucoup de mal vu ses muscles, mais elle avait volontairement cogner avec sa main qui portait une bague pour lui faire ressentir sa colère. Vous les mecs, vous êtes tous des nuls. Ça fait longtemps que les femmes auraient dû prendre le pouvoir et c'est sans doute pourquoi c'est toujours une fille la tueuse. Le vieux bonhomme là haut n'aurait jamais donné le pouvoir à un connard.
Lukas, Nathan et Valentin entrèrent dans la pièce. Il ne manquait plus que ces trois gays pour venir animer la soirée. Deux bons à rien, drogués qui passent leur temps à baiser en se disant que personne ne s'en rend compte. Et lui. La seule et unique source de ma soif de vengeance. Je veux te tuer toi. Valentin Duport. Je vais t'anéantir, tu n'as même pas idée.Tous ces problèmes étranges qui étaient arrivés et bien ils étaient arrivés en même temps que la valise de Valentin à Sunnydale et Grace le savait. Elle doutait fortement que tout ça c'était de sa faute. En tout cas, c'est ce qu'elle croyait et qu'elle allait vouloir faire croire aux autres dans un avenir très proche. Grace garda ses lèvres fermées. Elle se les pinçait pour être certaine de ne pas parler, car tout ce qu'elle avait à dire c'était d'autres grossièretés. Surtout quand elle pensait à ce sorcier, le voir de ses yeux ne faisait qu'alimenter sa rage. La brune croisa les bras en attendant que la porte s'ouvre à nouveau.
Une femme entra dans la pièce, les fixant tous comme si elle était entrain de les étudier. Ça doit être elle la vieille bonne femme dont parlait Ciara. Au moins elle, elle a des jolies cheveux. Ça c'est une femme qui sait s'entretenir. Mes amis me font honte avec leurs accoutrements minables. Pensa Grace avant de se redresser dans sa chaise pour se tenir bien droite, en replaçant ses longs cheveux qui étaient presque séchés à présent à l'aide de ses doigts. Elle avait une hache dont le fer était recouvert de sang. Grace ouvra grand les yeux pour la regarder la déposer devant elle sur la table. Non mais ça va pas de déposer ça devant moi !? Buffy commença à parler et Grace se tut immédiatement en entendant son ton de voix. Elle écouta le discours de la tueuse et sentait son coeur commencer à se serrer dans sa poitrine jusqu'à ce que la tueuse s'arrête ne sachant plus quoi dire rendu à son nom à elle. Un appât ? Grace défia la tueuse du regard. Non, mais elle se prend pour qui celle-là ? Pensa-t-elle avant de continuer à l'écouter jusqu'à la grande finale. Le visage de la capitaine se tourna vers Ciara qui se levait à présenter pour rajouter une couche d'entrain et de motivation. Grace resta figée quand elle prononça, c'est la guerre.
Ça lui prit deux bonnes minutes avant de se lever et d'interrompre quelqu'un qui avait pris la parole... Grace regarda Buffy de haut en bas en la dévisageant. Excuse-moi ma belle, nous entraîner à quoi ? Car je ne sais pas si tu es au courant, mais les meilleures membres de mon équipe sont ici. Il est absolument hors de question qu'elles manquent un entraînement. Le lundi, le mercredi, le jeudi et le vendredi entre 19h00 et 22h00, elles m'appartiennent. Si tu acceptes ces conditions, on est partante ! Mais oubliez cette affaire d'appât, c'est hors de question. Allez tous vous faire voir. C'est tout. Merci!
Grace s'assit de nouveau sur sa chaise et prit un petit miroir dans son sac pour regarder si ses lèvres étaient encore belles. Après autant de paroles, ça gâche un peu le baume à lèvre. Elle prit un petit pot de crème, l'ouvrant afin de venir en déposer sur ses lèvres, qu'elle colla l'une contre l'autre en émettant un petit son. MOUAH. Elle se fichait bien de ce que les autres autour allaient répondre. Elle serait là avec eux malgré tout. À la vie, à la mort.
4 notes · View notes