Tumgik
#plus beau que moi tu meurs
thesonofdio · 9 months
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The Gentleman from the bar - part 2
#theoriginals #klausmikaelsonxreader
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Tu étais donc chez les Mikaelson pour passer la nuit. Klaus était en train de te faire visiter la demeure. Sûrement l'un des plus beau bâtiment de la Nouvelle Orléans à ton avis. Tu trouvais chaque pièce plus magnifique que la précédente.
Klaus t'emmena ensuite dans ta chambre pour la nuit. Elle était ravissante, toute ornée d'or, pour une petite étudiante tu étais époustouflée.
"- Si as le souffle coupé pour cette chambre tu devrais venir voir mon bureau, se moqua t-il gentiment.
- Oh non je ne vais pas déranger plus que nécessaire, souris-tu
- Mais tu ne me dérange absolument pas luv, repondit Klaus d'un air sérieux.
- Tu habite seul ici ?
- Non mes frères et ma sœur reviennent demain. Tu les rencontreras peut être avant de nous quitter."
Tu hocha doucement la tête. Tu avait à la fois hâte de rencontrer sa famille et en même temps tu étais stressée, après tout ils étaient riches, élégants et tu n'étais qu'une étudiante qui boss comme serveuse et qu'il c'est incrustée chez eux.
Comme si Klaus pouvait entendre tes inquiétude il posa doucement une main dans ton dos et caressa légèrement avec son pouce.
"- Alors tu veux le voir ce bureau, ou pas ? Tu sais il sert de bibliothèque aussi, tes yeux s'illuminèrent.
- Avec joie !"
Klaus rit légèrement et te dirigea vers la pièce somptueuse. Tu en avais le souffle coupé, tous ces livres anciens magnifiques. Ton regard se posa sur le bureau au centre de la salle.
Tu t'approcha de l'imposant bureau en bois. Passa délicatement le bout de tes doigts sur ses rénures. Tu sentis Klaus dans ton dos. Il était si près que tu pouvais sentir la chaleur qui émanait de son corps irriguer me tien.
Son souffle s'avança vers ton oreille et il chuchota, "Je peut te sentir frissonner"
Tu ferma les yeux quand ses lèvres se posèrent dans ton cou. Tu pouvais sentir le suçon qu'il creusait dans ta peau.
Tu te retourna vivement vers lui et il s'avança encore plus dans ta direction. Tu te retrouva collée au bureau, les mains sur le bois pour te maintenir.
"- Avoue que tu en meurs d'envie luv. Dit que tu me veux...
- Klaus, je te veux. Je te veux en moi, gemis-tu."
Il saisit brutalement tes lèvres et t'embrassa. A bout de souffle vous vous séparairent. Tu le fixa quelques instants et le réembrassa enfin. Il posa sa main sur ta nuque et approfondit le baiser, il passa sa langue sur ta lèvre inférieure. Tu ouvris un peu la bouche pour le laisser entrer dans ce qu'il prit joyeusement, il enroula ses bras autour de ta taille et t'attira incroyablement près de lui. Il a ensuite déplacé sa main du bas de votre taille pour serrer vos fesses, vous avez gémi dans sa bouche à ses actions. Il s'écarta légèrement de ta bouche, « saute », te ​​dit-il et tu suivis ses ordres.
" Klaus et si quelqu'un entre ?"
Tu n'obtiens pas de réponse, à la place sa bouche est dos à la tienne et il te tient contre lui avec tes jambes autour de sa taille. Il vous a ensuite assis sur le bureau et s'est complètement éloigné de vous, il a apprécié à quel point votre visage était rouge et à quel point vous étiez à bout de souffle juste après qu'il vous ait embrassé. Il sourit en déboutonnant ton pantalon et le glissa lentement le long de tes jambes.
"- Klaus c'est ma première fois.
- Je vais prendre soin de toi luv."
Il glissa un doigt sur tes plis mouillés.
"- Tu est tellement mouillée pour moi luv.
- Mmmh... Continue s'il te plaît.
- C'est ce que je pensais, te sourit-il à nouveau avant de tomber à genoux pour te dévorer."
Klaus avait sa main sur le bas de votre ventre pour vous maintenir en place alors qu'il léchait un long stipe jusqu'à vos plis. Il a sucé votre clitoris pendant une seconde, puis a retiré et léché ses doigts avant de frotter des cercles sur votre clitoris avant de les frotter et de les insérer à l'intérieur et à l'extérieur de sa bouche sur vous. Vous avez jeté votre tête en arrière et mis votre main sur votre bouche pour réduire vos bruits. Tu cambrais le dos et t'agrippais aux cheveux de Klaus. Il le faisait si bien et c'était si nouveau, ça t'excitait honnêtement plus que tu ne l'as jamais été auparavant quand tu es toute seule. La combinaison de ses doigts entrant et sortant de vous à un rythme si rapide et sa langue travaillant si bien votre clitoris, vous avez joui.
"Je n'ai pas l'intention d'arrêter l'amour."
Vous avez souri, "Je n'en demande pas moin."
Klaus avait débouclé son pantalon qui commençait sérieusement à le serrer et en sorti sa verge. Il voulait presque se moquer de toi, ton visage vira au pourpre et il pouvait sentir l'inquiétude dans tes yeux ; c'est vrai qu'il était plutôt gros rt assez long. Quoi qu'il en soit, Klaus s'est caressé plusieurs fois et tu as écarté tes jambes autant que possible et enroulé tes cuisses autour de sa taille, Klaus a ensuite poussé à l'intérieur. Tu rejetas la tête en arrière à cette sensation et Klaus t'inspira, tu n'avais jamais ressenti ça avant et tu ne voulais pas que ça s'arrête. Klaus s'était agrippé à tes hanches assez brutalement et t'avait baisé impitoyablement, tu étais au point d'avoir les larmes aux yeux à cause du plaisir. Klaus avait mis sa main entre vous deux et frotté votre clitoris, vous vous tortilliez encore plus maintenant.
"Tu corp est si sensible a mon touché luv."
Vous avez juste hoché la tête à son commentaire et agrippé plus fort ses bras alors que vous vous rapprochiez de plus en plus de l'éjaculation. Klaus est venu et il vous a rapidement amené à votre orgasme peu de temps après, vous avez de nouveau cambré le dos et vous vous êtes accroché à lui pour ne pas basculer du bureau.
"- Oh luv ce qui est sur c'est que tu es faite pour le sexe, dit-il avec un sourire en coin."
Il posa son front contre le tien. Tu étais en sueur, souriante et lez cheveux en bataille quand tu pris la joue de Klaus dans tes mains et déposa un petit baisé sur ses lèvres.
"- C'était fantastique."
Klaus sourit, satisfait et se retira de toi. Vous vous rhabillèrent et allèrent vous coucher, épuisés. Bientôt évidemment tu dormis avec Klaus dans sa chambre.
Here is the second part of the story on Klaus Mikaelson. Would you like a part 3 ?
Tell me what you have thinking about this chapter pls.
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marie-swriting · 6 months
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Déclaration D'amour | Réel Et Sincère - Bradley "Rooster" Bradshaw [2/2]
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Masterlist
Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Après ta relation avec Jake, tu penses avoir enfin trouvé la personne qui te traitera comme il faut.
Warnings : Jake est toujours un connard, mention d'anciennes relations qui étaient nulles, un peu d'angst, fin heureuse, peur de se faire tromper, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 4.2k
Chanson qui m'a inspiré : Daylight par Taylor Swift
Le soleil se couchant doucement, ton rire et celui de Bradley remplissent l’air alors que vous marchez vers ta porte d’entrée. Une fois devant, vous restez face à face, tentant de retrouver votre calme. Un sourire au visage, Bradley te regarde reprendre ta respiration avec tendresse.
Bradley et toi êtes amis depuis votre rencontre il y a deux ans. Il t’a aidé à te remettre de ta rupture avec Jake et il t’a soutenu dans tes autres relations, plus ou moins courtes. Rapidement, il est devenu ton meilleur ami, ton confident. Tes sentiments pour lui ont fini par changer au fur et à mesure, c’est pourquoi tu lui as proposé un rendez-vous quand tu t’étais sentie prête à sauter le pas. Pendant une seconde, tu craignais que votre moment à deux soit embarrassant, mais tout s’est fait naturellement. Toutefois, connaissant ta chance en amour, tu as peur du revers de la médaille. Peu importe si Bradley a l’air d’être un homme bien, tu es terrifiée à l’idée que ça se finisse dans les larmes. Tu as beau t’y préparer, tu sais que tu en souffrirais si tu devais le perdre. 
Quand tu as enfin arrêté de rigoler, tu poses tes yeux sur Bradley et tu fais de ton mieux pour cacher ton anxiété naissante. Tout se joue au moment des aurevoirs et tu espères que tu n’as pas trop lu entre les lignes. 
-J’ai passé un bon moment avec toi, affirme Bradley en prenant ta main gauche.
-Moi aussi. Je crois que je peux même dire que, commences-tu en évitant rapidement son regard, et ça va sembler cucul, mais c’est le meilleur rendez-vous que j’ai eu.
-Je partage ton avis.
-Je suis surtout rassurée de voir que je ne t’ai pas ennuyé en parlant trop de livres, blagues-tu, tentant de cacher ton embarras.
-Tu ne pourrais jamais m’ennuyer. J’adore quand tu parles de ta passion. Et puis, c’est grâce à toi que j’ai pu me remettre à lire. Ça serait très ingrat de ma part de ne pas t’écouter.
-Quand j’aurais fini de le lire, dis-tu en montrant le livre qu’il t’a offert, peut-être qu’on pourra en parler autour d’un café ?
-J’adorerais ça. 
Pensant que votre rendez-vous est fini, tu fais un dernier sourire à Bradley puis tu prends tes clés pour ouvrir ta porte. Avant que tu puisses tourner la clé dans la serrure, Bradley attire ton attention, la nervosité lisible sur son visage. 
-Y/N, est-ce… est-ce que ça te dérangerait si je t’embrassais ? Je sais que c’est notre premier rendez-vous, mais j’en meurs d’envie, bégaye-t-il et tu hoches la tête.
-J’en meurs d’envie aussi. 
La main droite de Bradley se pose sur ta joue alors que son autre main se place sur ta hanche, t’amenant doucement vers lui. Vous fermez les yeux avant que les lèvres de Bradley se posent sur les tiennes. 
Tu t’attendais à un baiser plein de passion, presque pressé, mais il est lent et rempli de tendresse, ce qui est mieux. Bradley prend son temps, bougeant ses lèvres délicatement alors que tu lui réponds. Le baiser n’est pas long, mais il te faut quelques secondes pour t’en remettre. 
Quand tu rouvres les yeux, Bradley te regarde amoureusement, sa main droite caressant ta joue pendant qu’un sourire niais prend place sur ton visage. Il te salue avant d’embrasser chastement tes lèvres. Toujours surprise par votre premier baiser, tu peux seulement balbutier un au revoir avant qu’il te laisse au pas de ta porte. Quand tu vois sa voiture quitter ta rue alors que la nuit s’installe dans le ciel, tu arrives enfin à reprendre tes esprits et à rentrer chez toi.
Ton sourire niais devient plus grand en repensant à ton après-midi avec Bradley. Tout a été parfait. Il a été un vrai gentleman avec toi - tu n’en avais pas douté une seule seconde. Tu n’a pas menti quand tu as dit que c’était ton meilleur rendez-vous. Jamais un ancien partenaire ne t’avait traité de cette façon. Être ami avec Bradley depuis deux ans y est peut-être pour quelque chose. Peu importe la raison, tu es contente d’avoir passé le pas avec Bradley. Cependant, tu ne peux t’empêcher de te demander si ta relation avec Bradley est faite pour durer.
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Tu es en couple avec Bradley depuis officiellement quatre mois et tout va pour le mieux. Enfin presque.
Tes anciennes relations arrivent encore à hanter ce que tu as avec Bradley. Tu sais qu’il est réellement quelqu’un de bien, mais il y a toujours cette voix dans ta tête qui te dit de faire attention, que tu n’as jamais été l’exception avant et que ça pourrait ne pas être différent cette fois. 
Bradley te connaissant et t’ayant vu dans tes précédentes relations sait que tu as tendance à anticiper le pire. Quand il le remarque, il te prouve que tu peux lui faire confiance, qu’il est différent de tes exs. Il arrive à calmer tes peurs pendant un certain temps. C’est un combat de tous les jours et il s’assure de gagner chaque bataille. Malheureusement, il suffit d’un élément, aussi petit soit-il, pour te faire surnalyser ta relation avec Bradley. 
Ce soir-là, au Hard Deck avec les collègues de Bradley, c’est la présence de Jake le déclencheur. 
Depuis votre rupture, tu l’évites autant que tu le peux. Malheureusement, comme ce soir, tu dois être confrontrée à sa présence. Logiquement, Jake ne devait pas être là. En le voyant arriver, Bradley s’est tout de suite tourné vers toi, voulant savoir si tu voulais partir. Tu l’as embrassé avant de lui assurer que ce n’est pas grave. Après tout, rien ne t’oblige à parler avec Jake. 
Pour l’instant, tu as réussi à ne pas échanger un mot avec ton ex, restant avec Bradley, Phoenix et Bob. Vous jouez au billard et comme à chaque fois, Bradley t’aide. Tu es plus douée qu’au début de votre amitié, mais tu as parfois besoin des conseils de ton petit ami - il aime également être proche de toi en te montrant comment jouer. Tu arrives à passer une bonne soirée jusqu’au moment où tu vas aux toilettes. Sans surprise, les toilettes des filles sont occupées donc tu dois attendre une quinzaine de minutes avant de pouvoir y aller. En ressortant, tu vas te laver les mains. Pendant que tu les rinces, la porte s’ouvre sur Jake. Tu lui lances un rapide coup d'œil avant de l’ignorer.
-Alors, toi et Bradley. Ça fait longtemps ? demande-t-il alors que tu t’essuies les mains. 
-Qu’est-ce qui te fait croire que tu as le droit de savoir cette information ?
-Range les griffes, dit Jake sarcastiquement. Je suis juste curieux. Il y a déjà eu un truc avant ou c’est vraiment tout récent ?
À sa question, tu ne peux t’empêcher d’ouvrir grand les yeux, choquée par ses propos. 
-Est-ce que tu es réellement en train d’insinuer que je t’aurais trompé ? Contrairement à toi, je sais être fidèle et heureusement, j’ai enfin trouvé un homme qui sait l’être aussi.
-Ouais, parce qu’il est différent de moi et de tes autres exs, c’est ça ? rétorque-t-il en te regardant droit dans les yeux.
-Qu’est-ce que c’est censé vouloir dire ?
-Je dis juste qu’à chaque fois que tu penses trouver un mec différent des autres, il finit par être comme les autres. Je dis pas ça pour être méchant. J’expose juste un fait, déclare Jake, cherchant un moyen de t’atteindre. Est-ce qu’il t’a déjà dit qu’il t’aime ?
Tu restes silencieuse pendant une seconde, réalisant que Jake pourrait ne pas avoir tout à fait tort. Peut-être que Bradley partage plus de similitudes avec Jake que tu ne le voudrais. Après tout, Bradley et Jake s’entendent assez bien et il ne t’a jamais dit qu’il t’aimait. Tu aimerais que Bradley te dise ces trois petits mots comme toi tu rêves de les lui dire depuis un moment, mais tu veux qu’il fasse le premier pas. 
-Je ne sais même pas pourquoi je continue à t’écouter, lâches-tu, ne voulant pas lui donner satisfaction.
-Y/N, essaye-t-il de te retenir.
-Non ! Je t’ai déjà dit de ne plus me parler, c’était valable il y a deux ans et c’est valable encore pour aujourd’hui. Laisse-moi tranquille, Seresin. 
Tu quittes les toilettes avant que Jake puisse ajouter quelque chose. La porte refermée derrière toi, tu prends une profonde inspiration puis, tu retrouves tes amis. En te voyant, Bradley t’embrasse la joue et te tend une queue de billard. Tu secoues la tête en informant que tu ne veux pas jouer cette partie. Bradley fronce les sourcils en remarquant une légère différence dans ta voix. Tu le rassures en disant que tu es juste un peu fatiguée, mais qu’il peut jouer. Bradley accepte ton explication, même s’il n’est pas convaincu. 
Les mots de Jake résonnent dans ta tête. Tu n’aimes pas savoir qu’il a encore du pouvoir sur toi, mais il a su dire les mots juste pour te faire douter. 
Le reste de la soirée, tu regardes Bradley et Jake intéragir avant de les comparer. Tu te trouves ridicule en le faisant, mais c’est plus fort que toi. Ils ont beau être différents sur de nombreux points, ton cerveau arrive à faire des connexions. 
Au moment où tu arrives enfin à faire taire tes inquiétudes, une femme vient aborder Bradley alors qu’il commande une boisson au bar. Tu regardes la scène, une terrible sensation de déjà-vu en tête, pendant que Bradley récupère son verre et lui répond, sans lui prêter plus d’attention. En revenant vers toi, il passe son bras autour de tes épaules et embrasse ton front. Contrairement à il y a deux ans, tu restes silencieuse. Tu n’oses pas poser une question, craignant un potentiel mensonge. Ton cerveau ajoute ce moment aux raisons pour lesquelles Bradley ne serait pas si différent. Tu soupires avant de changer de position sur le tabouret. Bradley prend ce mouvement et ton mutisme comme un signe que tu es réellement fatiguée, il annonce alors que vous allez rentrer. Vos amis vous saluent puis vous montez dans le Bronco de Bradley.
Pendant le chemin, tu ne dis rien. Bradley s’attendait à ce que tu dises quelque chose ou au moins que tu demandes à mettre de la musique - il sait que tu n’aimes pas un trajet silencieux. Ta tête est contre la vitre alors que tu regardes le paysage défiler. Tu ne vois pas grand-chose dans la nuit noire, mais tu es trop perdue dans tes pensées pour que ça te dérange. À ce moment-là, Bradley sait que quelque chose te tracasse et qu’il va devoir te faire parler. Tu as encore du mal lorsqu’il s’agit de communiquer, donc, même s’il déteste le faire, Bradley te force à dire ce qui ne va pas. Il veut juste s’assurer que tu ne te perds pas complètement dans tes peurs au point de t’éloigner, comme tu as déjà pu le faire dans le passé. 
En arrivant chez Bradley, tu enlèves tes chaussures et t’apprêtes à monter dans sa chambre quand il te retient. Tu te retournes et le regardes, les sourcils froncés. 
-Qu’est-ce que tu as en tête ? questionne Bradley.
-De quoi tu parles ?
-Il y a quelque chose qui ne va pas. Tu as été silencieuse.
-Je suis juste fatiguée, mens-tu en t’apprêtant à aller dans la chambre à nouveau. 
-Y/N, je te connais. 
-On peut faire ça demain ? J’aimerais aller me coucher.
-Non, dit-il, d’un ton ferme. Quelque chose te tracasse et on ne peut pas éviter la conversation. Est-ce que j’ai fait ou dit quelque chose ? Quelque chose s’est passé au bar ? demande Bradley, mais tu ne réponds pas. Ne m’ignore pas. On doit en parler. 
-Parce que la communication est importante, c’est ça ? rétorques-tu.
-Oui, ça l’est.
-Pourquoi tu ne vas pas parler à l’autre femme alors ? propose-tu, cinglante alors qu’il fronce les sourcils, perdue. 
-De quoi tu parles ?
-La femme qui est venue te parler au Hard Deck. 
Bradley doit réfléchir plusieurs secondes avant de comprendre à qui tu fais référence. 
-Je ne vois pas le rapport. Elle m’a juste demandé où étaient les toilettes. Rien de plus. Je ne la connais pas. 
“Je ne la connais pas”. La même phrase que Jake t’avait dite en parlant de la femme qu’il voyait dans ton dos. À ce moment-là, tu passes à la défensive, voulant protéger ton cœur d’une potentielle souffrance, connaissance la chanson que trop bien. 
-C’est ce qu’ils disent tous. 
-Est-ce que ça a un rapport avec Jake ? demande Bradley, commençant à comprendre la situation. 
-Je sais pas, dis-moi. C’est lui ton ami. Tu sais, jusqu’à ce soir, je n’avais pas remarqué à quel point vous aviez des points communs, remarques-tu, mesquine. 
-Je ne suis pas comme lui et tu le sais. 
-Il est ton ami donc vous devez bien être d’accord sur certains points.
-Pas sur la façon dont il t’a traité. Il a agi comme un connard et tu peux demander à Phoenix, elle te dira que je lui en ai fait baver quand j’avais appris ce qu’il t’avait fait. Y/N, je n’ai aucune intention de te blesser, te promet-il en faisant un pas vers toi et tu recules. 
-Qu’est-ce qui me prouve que je peux te faire confiance ? Tu es trop beau pour être vrai, il y a forcément un piège.
-Pas forcément. Ecoute, je sais que tu as beaucoup souffert en amour et je comprends que tu puisses avoir des doutes, mais je ne suis pas comme Jake ou tes exs, déclare Bradley d’une voix douce mais ferme. 
-Peut-être, mais tu finiras par te lasser, comme tous les autres.
-Ça n’arrivera jamais. Peu importe à quel point tu essayes de me repousser car tu as peur d’avoir le cœur brisé, je continuerai à te prouver que tu peux me faire confiance, que tout se passera bien. Tu en vaux la peine. Je t’aime et je serai prêt à tout pour toi, avoue-t-il en se raprochant de toi et cette fois, tu ne bouges pas, surprise par ses mots. Alors tu peux continuer à me balancer des accusations, mais je resterai là à te prouver que ce qu’on a est réel et sincère. 
-Tu m’aimes ?
-Depuis le jour où je t’ai rencontrée. 
À sa phrase, tu as des sentiments conflictuels. Tu es heureuse de voir qu’il partage tes sentiments et tu te sens coupable de l’avoir autant blâmé. Bradley est sincère dans ce qu’il dit, tu le sens. Pour une fois que tu tombes sur quelqu’un de bien, tu le traites comme s’il allait te planter un couteau dans le dos à n’importe quel moment. 
-Je suis désolée, Bradley. Je n’aurais pas dû te dire tout ça. Je ne sais pas pourquoi je n’arrive pas à différencier les bonnes personnes des mauvaises. Tu es un homme bien, je ne devrais pas te traiter comme si tu étais un connard. Je ruine toujours tout, murmures-tu en sentant les larmes monter.
-Tu ne ruines rien.
-Si, rétorques-tu. C’était cruel de ma part de te comparer à Jake alors que tu fais toujours tout pour moi. C’est juste que Jake a réussi à rentrer dans ma tête et j’ai laissé mes peurs parler. J’aurais dû te faire plus confiance. Je dois te faire plus confiance.
-Hey, c’est pas grave, t’assure Bradley en caressant ta joue. Au moins, maintenant, on en a parlé et tout est réglé.
-Parce que tu m’as forcé et ça n’aurait pas dû être le cas. Je suis désolée pour ça aussi. Je te jure que j’essaye de faire des efforts, même si on dirait pas. C’est juste encore compliqué, confesses-tu, une larme coulant sur ta joue et Bradley l’essuie, un sourire compatissant sur le visage.
-Je sais et je ne m’attends pas à ce que ça devienne simple en une nuit. Et puis, tu t’es améliorée. Avant, il me fallait deux jours pour savoir ce qu’il se passait dans ta tête. Maintenant, c’est seulement quelques heures. 
-Avoir un bon petit ami aide à s’ouvrir. Merci d’être aussi patient avec moi, dis-tu en le serrant contre toi. Je t’aime aussi, Brad’. 
-Tu n’as pas à le dire juste parce que je l’ai dit en premier.
-Je veux le dire. Ça fait quelques semaines que je veux te le dire, mais… j’avais peur de me porter l'œil en le disant en premier. Je t’aime tellement, Bradley, répètes-tu en le regardant dans les yeux.
-Je t’aime aussi, Y/N.
À sa phrase, un grand sourire prend place sur tes lèvres puis, tu les poses sur celles de Bradley. Votre baiser est autant rempli de passion que d’amour. Tes mains se perdent dans les cheveux de Bradley alors que sa main droite est sur ta nuque et son autre main est sur ta hanche. Vous vous embrassez jusqu’à ce que vous manquiez d’air. Quand vous vous séparez, tu poses ta tête sur le torse de Bradley alors qu’il te serre contre lui. Tu écoutes son cœur, un air paisible sur ton visage. Tes peurs quittent ton esprit temporairement, mais c’est le cadet de tes soucis. Tu as trouvé celui qui se battra pour te garder auprès de lui, celui qui saura te dire les mots justes pour te rassurer ou bien pour te déclarer ses sentiments. Tu arrives enfin à voir la lumière. Cette relation pourrait être la bonne.
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Message de Bradley, 10h40 : 
Hey, je suis désolé, je ne vais pas pouvoir manger avec toi à midi. Ils vont me faire finir plus tard. Je me rattraperai, je te le promets. Je t’aime ❤️ 
En lisant le message de Bradley, tu lâches un soupir. Tu lui réponds rapidement que ce n’est pas grave et que tu l’aimes avant de ranger ton téléphone dans ta poche. Sentant les larmes monter, tu te concentres sur les livres que tu dois enlever des rayons. Tu ne vas quand même pas pleurer car il a annulé un rendez-vous ! Ça ne veut pas dire qu’il ne t’aime pas. Il n’est pas Jake. Bradley n’a pas annulé pour te briser le cœur. 
Tu continues de travailler alors qu’une partie de ton cerveau imagine tous les pires scénarios quand ta collègue Cora t’appelle. Il faut qu’elle répète ton prénom quatre fois avant que tu tournes ta tête vers elle.
-Tout va bien ? te demande-t-elle, inquiète.
-Oui.
-Problèmes de couple ?
-Non pas vraiment, réponds-tu avant de soupirer. Avec Bradley, on était censés manger ensemble à midi dans un diner à mi-chemin de Top Gun et de la librairie, mais il a dû annuler à la dernière minute à cause du boulot. Ce n’est rien. 
-Il n’est pas Jake, affirme Cora, devinant ton anxiété.
-Je sais.
-T’as pas l’air convaincue. Y/N, Bradley est vraiment différent et il t’aime. C’est un bon gars. Autrement, je ne serais pas là à le défendre.
-Je sais.
-C’est la première fois qu’il annule un rendez-vous ?
-Oui, c’est la première fois. 
-En presque six mois de relation, c’est plutôt une bonne statistique, observe-t-elle avec un ton positif. Tu n’as pas à t’inquiéter. Bradley est complètement épris de toi. Oublie pas toutes les fois où il est venu commander des livres et où il est revenu le lendemain ou surlendemain pour savoir s’ils étaient arrivés, te rappelle Cora, te faisant lâcher un rire. Est-ce qu’il a lu tous ces livres au moins ?
-Si c’est un vrai lecteur, probablement pas. 
-C’est vrai. Le fait est qu’il faisait tout pour te voir tout en respectant tes limites, reprend-elle d’un air plus sérieux. Il ferait tout pour toi. Tu es tombée sur quelqu’un de bien. Tu peux lui faire confiance. 
-Je lui fais confiance. Parfois, j’imagine encore le pire, mais je lui fais confiance. 
-Tant mieux. Mais si jamais j’avais tort, ce qui n’arrivera pas, j’étais avec toi de 23h à une heure du matin. 
-Ça marche, rigoles-tu avant de la prendre dans tes bras pour la remercier. 
Quand Cora est sûre que tu vas mieux, elle te laisse retourner à ton travail alors qu’elle va aider un client. Tu continues à vider les rayons, faisant des aller-retours entre les étagères, l’ordinateur et les boîtes à côté jusqu’à ta pause déjeuner. 
Lorsque tu reprends le travail, tu ranges les caisses remplis de livres dans l’arrière-boutique une par une, te détruisant le dos en passant. Alors que tu es sur le point de récupérer la troisième boîte, tu entends la porte de la librairie s’ouvrir. Tu te retournes pour saluer le client, mais tu découvres Bradley avec un sourire et sa main droite dans son dos. 
-Qu’est-ce que tu fais ici ? Je croyais qu’on ne se voyait pas aujourd’hui, questionnes-tu, perdue.
-Ma pause du midi a peut-être été décalée à maintenant, mais ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas se voir, explique Bradley en t’embrassant chastement. 
-Mais tu as seulement une heure, tu n’aurais pas dû faire tout ce chemin. 
-Je voulais te voir, même si c’est pour cinq minutes et je voulais aussi t’offrir ça pour m’excuser. Je me suis dit que ça changerait des livres, sourit-il en te tendant le bouquet de tulipes roses qu’il tenait derrière son dos. 
-Ce sont mes préférées ! Comment tu as su ?
-Tu me l’as dit.
-Non, je ne te l’ai jamais dit, contredis-tu en fronçant les sourcils. 
-Si, tu me l’as dit. On s’était retrouvé pour parler du troisième livre que tu m’avais recommandé, c’était un Stephen King, si je ne dis pas de bêtise, informe Bradley, te surprenant.
-Mais c’était il y a longtemps ! Et je ne me rappelle pas avoir parlé de mes fleurs préférées.
-Je ne sais plus de quoi on parlait, mais tu avais rapidement évoqué que les tulipes, les roses plus précisément, étaient tes préférées.
-Et tu t’en es souvenu ? demandes-tu, à la fois choquée et attendrie. 
-Bien sûr. Je me rappelle de chaque détail qui te concerne.
Submergée par l’amour que te donne Bradley, tu ne sais pas quoi lui répondre alors tu te jettes sur lui pour l’embrasser. Quand tu te sépares de lui, tu regardes Bradley, les yeux remplis d’amour, admirant son visage illuminé par la lumière du jour. 
Pour Bradley, les tulipes ne sont qu’un détail par rapport à toi, mais pour toi, c’est bien plus. Jamais un de tes exs n’avait autant fait attention à toi. Bradley te connaît mieux que n’importe qui et il est honnête avec toi. Il a même pris du temps sur sa pause pour venir te voir. Avant, tu étais toujours celle qui prenait le temps pour voir tes exs, plus maintenant. Peu importe si c’est dix minutes ou une heure, Bradley s’assure toujours de trouver du temps pour te voir. 
Ce moment te prouve un peu plus que Bradley est parfait pour toi. Il a beau te rassurer quand tu exprimes tes inquiétudes, ce sont les moments innocents comme celui-ci qui te prouvent que tu peux lui faire confiance, qu’il est honnête quand il te dit qu’il sera toujours là pour toi et qu’il t’aime. Avec Bradley, tu es plus que l’exception, il te fait sentir unique et à ses yeux, tu l’es. Il ne voit que toi et tu ne vois que lui. Tes peurs peuvent officiellement quitter ton esprit, votre couple est fait pour durer. Bradley est le bon. Et pour la première fois de ta vie, tu as hâte de voir comment votre relation va évoluer. 
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Tu te tournes dans le lit de Bradley et avec ta main, tu cherches le corps de ton petit ami. Sentant une place vide, tu ouvres les yeux et découvres qu’il n’est plus à tes côtés. Tu t’étires et frottes tes yeux avant de quitter la chaleur de la couverture. 
En quittant la chambre, tu entends du bruit dans la cuisine. Tu t’y rends en continuant à te réveiller doucement. Une fois dans la cuisine, tu découvres Bradley, torse nu, dos à toi en train de faire des pancakes. La lumière du matin le rend encore plus beau, illuminant chaque centimètre de sa peau bronzée. C’est une vue que tu pourrais admirer toute ta vie. Tu te rapproches de Bradley et l’enlaces par derrière en posant ta tête contre son dos alors que tes mains touchent son torse. Bradley sursaute en te sentant puis il te salue tout en éteignant la plaque.
-Désolé, je faisais trop de bruit ? te demande-t-il en plaçant des pancakes dans deux assiettes. 
-Non, tu n’étais plus dans le lit, je te cherchais.
-Je voulais t’amener le petit-déjeuner au lit, explique Bradley en se tournant vers toi et en t’embrassant chastement. Qu’est-ce que tu en dis ? 
-Qu’est-ce que j’en dis ? répètes-tu en souriant. Rooster, amène moi au lit ou perds moi pour toujours.
-Montre moi le chemin, chérie.
Sans dire un mot, tu recules en tirant Bradley vers toi. Impatient, il pose ses mains sur tes hanches et te soulève. Tu pousses un petit cri avant d’enrouler tes jambes autour de sa taille. Les pancakes abandonnés, Bradley te ramène dans le lit alors que vous vous embrassez tout en rigolant.
Tu es sereine dans ses bras. Pour une fois, ça ne se finit pas dans les larmes, mais dans les rires et l’amour dans sa forme la plus pure. Tu as réussi à trouver l’amour que tu pensais réel que dans les romans. Tu as enfin trouvé l’homme que tu mérites. Être amoureuse de Bradley est facile et paisible. Bradley t’apporte tellement plus que les déclarations d’amour que tu rêvais tellement d’entendre.
Masterlist
Partie une
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claudehenrion · 6 months
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Approximations pontificales (et autres)
Pendant les trois mois qu'a duré mon absence sur les écrans, les performances réalisées par le Saint Siège ont été, à mon sens –qui n'est que ce qu'il est : éminemment faillible et sujet à caution –en tout cas, très loin de toute infaillibilité pontificale-- parmi les plus inattendues dans leur être et dans leurs conséquences. C'est au point que je suis dans l'obligation de demander à tous les pratiquants qui ont transféré sur le Pape François le respect sans limite dû au Trône de Pierre, de ne pas aller plus loin dans la lecture de cet ''édito'' : ils pourraient me prendre en grippe ! Merci d'avance aux uns pour cet abandon de lecture, et, plus encore, aux autres, pour leur persévérance.
Tout à commencé avec un cours de géographie plus -graphique que géo- , d'où il ressortait que Marseille n'était plus en France –ce que beaucoup d'entre nous avaient déjà remarqué depuis un bout de temps : cette ville me fait penser au Tanger de mon enfance : sur des terres marocaines, mais ayant un statut ''hors sol'' qui était dit, in illo tempore, ''international''. Marseille, notre ex-belle ville de la Bonne Mère, est devenue, pour son bien très incertain mais pour notre mal certain, un appendice-réservoir maghrébo-subsaharien posé là, comme une excroissance en croissance qui génère de la décroissance, sous le signe du Croissant ! Marseille, pour le Pape François comme pour beaucoup d'autres, n'est donc plus en France, mais il est le seul à oser dire.
Ce subtile distinguo n'a pas empêché le président Macron (mais dans ce cas, est-il Président de la France ou de la seule Marseille ?) d'aller lui serrer la paluche : on raconte qu'il aurait dit : 'Marseille vaut bien une messe'' (NDLR : je crois cette citation apocryphe), ce qui a mis le ridicule microcosme germanopratin en émoi, en pétard, en ébullition, en crise de foie : ''Quoi ? Un chef d'Etat (NB : le Vatican) serait accueilli avec les honneurs dus à son rang, alors qu'il se dit ostensiblement catholique ? Et puis quoi, encore ? Et le laïcité anti-chrétienne, vous en faites quoi ?''. Et tout ce beau monde tellement laid, petit, étriqué et riquiqui de se donner en spectacle dans un solo à plusieurs : ''Plus con que moi, tu meurs !''.
Oui, mais voilà, le Pape a beau être réputé catho --ce qui est impardonnable et incompréhensible, pour un esprit (dé) formé à gauche-- c'est surtout un progressiste affirmé qui ne cache pas (et de moins en moins) toutes les mauvaises idées dont ce mouvement de pensée mortifère peut être la source. Et comme pour s'excuser de ce défaut, le voilà parti dans une défense effrénée de toute migration pourvu qu'elle soit excessive, incontrôlée, pas du tout justifiée, intrinsèquement létale pour tous les pays-cible et leurs populations, privées de leur ancienne ''souveraineté nationale''... et ayant la mort du catholicisme puis du christianisme comme principales motivations.
Et voilà aussitôt toute notre gauche moribonde qui devient ''papophile'' en un clin d’œil : plus catho qu'un gaucho, tu meurs ! On a atteint des sommets... au point que le dit Pape a dû allumer un contre-feu : ''D'accord, tous les migrants sont les bienvenus chez ceux qui n'en veulent à aucun prix, instruits par l'expérience... Mais on refuse la PMA pour tous et l'assassinat des grands malades et des vieillards au dessus d'un certain âge'' (NB : ce plaidoyer Pro domo se comprend, venant du Pape !). Et dans son désir de préciser la diversité ondoyante de son macronisme relatif (cf le ''et en même temps''...) ''François'' a même été jusqu'à ajouter que, pour lui, le mot ''mariage'' ne peut s'appliquer qu'à l'union d'un homme et d'une femme, ce que tous les amateurs de bon sens répètent en boucle depuis des années ''même si on peut imaginer d'autres formes de bénédiction pour des gens de même sexe qui s'aiment''... ce qui est plein de sagesse, une fois n'est pas coutume. Les moins vieux des plus anciens ont en mémoire la célèbre exhortation de Philippe le Hardi à son père, le roi de France Jean Le Bon, lors de la bataille de Poitiers, en 1356 : ''Père, gardez-vous à droite. Père, gardez-vous à gauche !'' Notre Saint père penche nettement des deux côtés, ''en même temps''...
Pour se casser la gueule auprès des progressouillards, ''y a pas mieux'' que de s'opposer à tout et n'importe quel changement-pour-le-changement : le soi-disant mariage pour tous et l'immigration sont deux marqueurs ''sociétaux'' de rêve pour semer la zizanie entre les faux zécolos, les vrais nostalgiques de Staline, ceux de Mitterrand, et les insoumis à toute intelligence. A propos du Pape, la gauche, déjà éclatée en autant de chapelles qu'elle compte de survivants, se re-déchire en deux : les fanas de l'invasion en cours, dite immigration pour faire avaler la pilule, vont se dire pour le '' Pape'', et les amateurs d'une solution finale pour tous ceux qui ne sont pas eux-mêmes et leurs proches vont se ranger derrière le ''pape'', la cohérence et l'unité doctrinales dussent-elles en pâtir : on n'est plus à ça près, depuis un bout de temps !
Heureusement que, dans ce désastre politico-doctrinal, l'écologie a pu amener un peu de baume au cœur des thuriféraires de ''Laudato si'' (= Loué sois-tu) : Laudate Deum ( = Louez Dieu) va replanter le décor : entre les versets de la Genèse'', si poétiques et si beaux qu'on les relit pour le plaisir et les élucucubrations sinistres, partisanes et mensongères du Giec et de Greta Thunberg (''santa subito'' ?), le choix semble être fait, au Vatican : ce n'est plus la Bible qui doit servir de référence : elle est totalement démodée... et les ''climato-sceptques'' adversaires du progressisme (comme toujours non définis) sont condamnables en tant que tels, juste ''parce que...'', quelles que soient leurs vraies raisons d'avoir raison !) : ils doivent aller en enfer vite fait, sans procès... (''damnati subito ?''), c'est le Pape qui le dit !
Car entre la véritable révolution qu'annonce une soi-disant ''démarche synodale'' (en réalité un moyen de faire progresser ce qui n'en avait nul besoin et de mettre du ''changement'' là où on aurait toléré du ''progrès'')... la nomination d'armées de cardinaux-électeurs systématiquement progressistes pour interdire tout retour en arrière... et l'enchaînement d'Encycliques de la même couleur politique... heureux seront ceux qui arriveront à retrouver leurs petits dans l'église qui s'annonce (ou, au contraire, ils seront vraiment très malheureux !).
Je ne serai plus là, je l'espère bien, mais je regrette d'avance un monde qui était largement plus doux et plus amical à l'Homme que toutes les fausses promesses intenables qui camouflent des évolutions qui (on peut le regretter, le déplorer, mais pas s'en étonner), vont tous dans le pire des ''mauvais sens''. Nous aurons l'occasion d'en reparler, hélas...
H-Cl.
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rewindthetimee · 1 year
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ÉCHEC ET MAT—L’Hymne du Tueur chapitre 3
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Façade de l'hôpital
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Tsumugi: Um… Qui est-ce ? Il porte le même uniforme que nous, alors il doit être de la même école… Pourtant, je ne me souviens pas l’avoir déjà vu avant.
Leo: Hua ha ha ! Bien sûr que tu ne m’as jamais vu avant, je suis le genre de génie qui vient rarement en cours !
Izumi: Ne sois pas fier d’un truc pareil. C’est toi qui m’a supplié de rejoindre ton délire au sein de l’école, et t’es même pas capable de venir tous les jours ! C’est quoi ton problème ?
Si tu détestes tant l’école, alors pourquoi tu restes ?
Leo: Maiiis... Mes parents paient pour mes frais de scolarité, alors j’me sentirais coupable si j’abandonnais maintenant !
La musique c’est tout ce que j’ai. Je suis nul pour ce qui est des études, alors une école normale n’aurait pas marché non plus !
Izumi: Alors botte-toi le cul et force-toi à venir ! Montre-toi en classe, fais ton boulot d’idole… et fais-le proprement. Je sais que tu en es capable si tu t’y mets vraiment.
Leo: Mh... Tu dis ça, Sena, mais à chaque fois que je viens quelque chose de déplaisant arrive !
Tsumugi: Ha ha. J’ai beau ne pas bien vous connaître, j’ai l’impression que vous vous entendez bien tous les deux ! Je m’en réjouis~ Je ne pensais pas que tu avais des amis, Sena-kun.
Tu es toujours assis dans ton coin en classe, ça m’inquiétait.
Izumi: C’est pas tes affaires. Et puis, c'est pas comme si on était amis.
Leo: Hein ?? C’est méchant de dire ça ! On est amis, totalement amis ! Et je t’aime beaucoup, Sena~☆
Izumi: Hé ! Arrête de t’accrocher à moi comme une sangsue, c’est super emmerdant ! Comment ça se fait que tu sois aussi énergique avec un bras cassé ?!
Lieu : Hôpital, espace commun
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Eichi: (... Il y a de l’agitation là-dehors.)
(Mh, ça a piqué ma curiosité. Je vais aller jeter un coup d'œil.)
(Ha ha, ça doit être cela qu’ils appellent : “être attiré par une force invisible”... non pas que l’occulte m’intéresse, loin de là.)
(Hein ? Ces personnes qui font du bruit devant l'hôpital, ce sont Tsumugi et... Sena-kun de ma classe, je crois ?)
(Hm ? Il y en a un troisième beaucoup plus chétif, qui est-ce donc ?)
(Je l’ai déjà vu avant. Hm... Ah, ça y est, ça me revient.)
(Il était sur une photo d’un des tournois de tir à l’arc de Keito, lors d’une finale.)
(Keito avait eu toutes ses chances de gagner, mais il a perdu le championnat face à un élève talentueux du même âge que lui, quelque chose comme ça.)
(Il avait été immensément frustré après sa défaite, si bien qu’il donna un coup de pieds dans une statue de Bouddha dans un excès de rage. Son grand frère lui a frappé le haut de la tête en retour… Leur famille est étonnement assez violente.)
(Ha ha. Tout ça me rappelle bien des souvenirs, nous étions encore en école primaire… c’était il y a longtemps, Keito était encore adorable à l’époque.)
(Il était mon meilleur ami et je lui faisais aveuglément confiance, nous étions plus proches qu’avec ma propre famille… Désormais, je ne sais même plus à quoi il pense.)
(Ah, ça me rend nostalgique... Il faut que j’arrête de regarder vers le passé. Je ne suis pas encore assez vieux et sénile pour me morfondre de ce qui était et de ce qui n’est plus.)
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Leo: Idiot ! Crétin de Sena ! Crétiiin, crétiiin ! Meurs !
Eichi: (...Hé, quoi !?)
Leo: Comment oses-tu m’abandonner tout seul dans cet enfer ! Ogre ! Démon ! Et moi qui croyais que beauté rimait avec gentillesse… En fait, c’est qu’un mensonge propagé par les manga shoujo ![1]
Ahhh, Sena, espèce d’abruti ! Comment oses-tu m’ignorer en te bouchant les oreilles et en essayant de prendre la fuite !
Je te vois, je te vois depuis la fenêtre sale voleur ! T’en vas pas, me laisse-pas seul ici ! Stupide, crétin ! Je te déteste !
Eichi: Um...?
Leo: Hein ? Ah, désolé ! C’est vrai qu’il y a d’autres patients ici, je dois faire moins de bruit ! Compris ! Je vais être un bon garçon !
Eichi: Uh...?
Leo: Hé, toi ! Tu as quelque chose de la taille d’une pomme ?
Eichi: Hm ? Tu veux quelque chose à manger c’est ça ? Tsumugi a déposé un panier contenant un assortiment de fruits avant de partir. Tu en veux un ?
Leo: Oui, donne ! Mon ventre gargouille et gronde comme le tonnerre !
Eichi: … Fais-toi plaisir. Tu peux prendre le panier entier si tu veux, je n’ai pas le droit de manger quoi que ce soit tant que mon docteur et nutritionniste ne m’en donnent l’autorisation.
Même si je reçois tous ces fruits mûrs et juteux, ils finiront probablement par pourrir.
Alors mange-les, ça m’oterait une épine du pieds.
Leo: Je vois ! Du coup je fais une bonne action, hein ? Tant mieux, alors je vais en prendre la moitié, et jeter le reste sur Sena !
Sena~! Mange-moi ça~! Bouffe-toi cette pomme ! Commotion cérébrale et mort assurées~!
Eichi: Hé, fais attention avec ça ! Ce n’est pas bien de jouer avec la nourriture, tu sais ? N’as-tu aucune considération pour les pauvres agriculteurs qui ont dédié corps et âme à la production de ces fruits ?
Leo: Si, si ! Ouaaah, j’ai fait quelque chose de vraiment horrible ! Je suis désolé, pauvres agriculteurs !
Mais dans ce cas, qu’est-ce que j’en fais de ma tristesse ? Je suis toujours triste à cause de la disparition de Sena !
Mon bras est cassé et je n’ai pas apporté d’instrument, alors je ne peux pas faire de musique~ Pas le choix, je vais pousser la chansonette !
Oyez oyez ! Écoutez ma chanson ! Je l’ai intitulé : “J’espère que de la Moisissure Recouvre le Corps de Sena le Mécréant et le Conduise à une Mort Agonisante et Certaine” ! Paroles et chant réalisés par Léo Tsukinaga !
♪~♪~♪
Eichi: (Léo Tsukinaga... Hm, alors c’est ça, son nom.)
(Je n’arrive pas vraiment à le comprendre. C’est quoi son problème ? Il lui manque une case…)
Correction FR : Yunaël
Traduction anglaise : royalquintet
Un manga shoujo, c’est l’inverse d’un manga shounen, donc “pour les filles”. Généralement rempli de trucs niais distillés à l’eau de rose.
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christophe76460 · 1 month
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Je vous aime de l'amour de Yeshua HaMashiah ❤⚘️
LE FILS PRODIGUE
{ Luc 15:11-32}
"Jésus dit encore : " Un homme a deux fils. Le plus jeune dit à son père : "Père, donne-moi ma part d'héritage." Alors le père partage ses richesses entre ses deux fils. Quelques jours après, le plus jeune fils vend tout ce qu'il a reçu et il part avec l'argent dans un pays éloigné. Là, il se conduit très mal et il dépense tout son argent. Quand il a tout dépensé, une grande famine arrive dans le pays, et le fils commence à manquer de tout. Il va travailler pour un habitant de ce pays. Cet homme l'envoie dans les champs garder les cochons. Le fils a envie de manger la nourriture des cochons, mais personne ne lui en donne. Alors il se met à réfléchir. Il se dit : "Chez mon père, tous les ouvriers ont assez à manger, et même ils en ont trop ! Et moi, ici, je meurs de faim ! Je vais partir pour retourner chez mon père et je vais lui dire : Père, j'ai péché contre Dieu et contre toi. Je ne mérite plus d’être appelé ton fils. Fais comme si j'étais l'un de tes ouvriers." Il part pour retourner chez son père." Le fils est encore loin. Mais son père le voit et il est plein de pitié pour lui. Il court à sa rencontre, il le serre contre lui et l'embrasse. Alors le fils dit à son père : "Père, j'ai péché contre Dieu et contre toi, je ne mérite plus d'être appelé ton fils." Mais le père dit à ses serviteurs : "Vite ! Apportez le plus beau vêtement et habillez mon fils. Mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds. Amenez le veau qu'on a fait grossir et tuez-le. Mangeons et faisons la fête. Oui, mon fils qui est là était mort et il est revenu à la vie. Il était perdu et il est retrouvé !" Ils commencent à faire la fête. "Pendant ce temps, le fils aîné travaillait dans les champs. Quand il revient et s'approche de la maison, il entend de la musique et des danses. Il appelle un des serviteurs et il lui demande ce qui se passe. Le serviteur lui répond : "C'est ton frère qui est arrivé. Et ton père a fait tuer le gros veau, parce qu'il a retrouvé son fils en bonne santé." Alors le fils aîné se met en colère et il ne veut pas entrer dans la maison. Le père sort pour lui demander d'entrer, mais le fils aîné répond à son père : "Écoute ! Depuis de nombreuses années, je travaille pour toi. Je n'ai jamais refusé d'obéir à tes ordres. Pourtant, tu ne m'as jamais donné une petite chèvre pour faire la fête avec mes amis. Ton fils qui est là a mangé tout ton argent avec des filles, mais quand il arrive, tu fais tuer le gros veau pour lui !" Le père lui répond : "Mon enfant, toi, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Mais il fallait faire la fête et nous réjouir. En effet, ton frère qui est là était mort et il est revenu à la vie. Il était perdu et il est retrouvé." ".
Après son départ, il n'est pas allé chercher son fils... mais il a attendu patiemment son retour, parce qu'il ne voulait pas l'obliger à revenir ou à l'aimer aussi. Votre Père céleste, tout comme dans cette parabole, attend que vous reveniez à lui de tout votre cœur.
Dieu vous aimait avant votre naissance, il vous aime lorsque vous êtes proche de lui, il vous aimera même quand vous vous éloignerez.
Si le père avait obligé son fils, certes, il aurait ramené son "corps" mais pas forcément son "cœur...". Pareillement, Dieu attend tous les jours, que ses enfants viennent de tout leur cœur vers lui.
Oui , Dieu veux que nous revenons à Lui par amour et de tout notre cœur. Il ne veux pas des robots obéissant , mais Il veux qu'on viennent à Lui par amour et de tout notre cœur, Il n'oblige personne. Il nous donne un choix : soit la vie sur cette terre qui conduit à la mort. Soit la vie avec Yeshua HaMashiah pour la Vie éternelle au Royaume de Dieu. Dieu suscitera en vous de revenir à lui, mais le choix nous revient. Faites comme ce fils perdu , rentrez en vous même et choisissez la Vie , revenez vers notre Père . Renoncer et mourrez à la vie dans le monde (vieil homme). Et revenez (renaître du nouvel hommes par le Saint-Esprit )vers votre Père Celeste , Il vous attend les bras ouvert.
En Christ pour toujours ❤⚘️
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edlim-sims · 1 year
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Éloi: J'y ai pensé et… je ne suis plus sûr de vouloir me marier avec toi.
Anaïs: Attends, mais pourquoi? C’est à cause de ce que j'ai dit hier?
Éloi: Non, c'est plutôt ma réaction que je n'ai pas aimée… Tu ne mérites pas ça…
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Anaïs: J’étais à moitié endormie quand tu es venu dormir, mais je t’ai entendu parler. Tes excuses sont sincères et je les accepte. Je veux m'excuser aussi, car mon commentaire était blessant. Je comprends ta réaction.
Éloi: Mais, comme d'habitude, j'ai réagi de façon excessive! Tu n’as pas à subir mon caractère… Je sais que ça te blesse…
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Anaïs: D’un autre côté, ça nous arrive tous de blesser les autres sans le vouloir. La preuve, mes paroles t’ont contrarié. Communiquer, c'est tout un défi! On ne va pas arrêter de se parler pour autant!
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Éloi: Mais moi, je suis pire que les autres… Je réagis plus souvent et plus intensément.
Anaïs: Je sais, ça fait partie de ta personnalité. Mes paroles t’ont atteint et tu as réagi pour te défendre.
Éloi: C’est difficile à gérer…
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Anaïs: Pourtant, tu gères bien ta colère d’habitude.
Éloi: Hier, j’ai échoué…
Anaïs: Parce que j’ai été trop loin et j’en suis consciente. J’ai voulu faire un commentaire pour être drôle. La ligne est mince entre l’humour et la méchanceté. Tu m'as remise à ma place, avec raison.
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Anaïs: Écoute, je t’aime et je veux me marier. C’était vrai au début, c’était vrai quand je t’ai demandé en mariage et c’est toujours vrai aujourd’hui. L’événement d’hier ne change rien à mes yeux.
Éloi: Je me fâche facilement et tu fais de mauvaises blagues. On fait un beau duo!
Anaïs: Personne n’est parfait…
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Éloi: Tu sais quoi? Je meurs de faim!
Anaïs: Moi aussi…
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Éloi: Pour me faire pardonner, je vais te faire un bon déjeuner. Deal?
Anaïs: Deal!
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Anaïs: C’est la meilleure omelette que j’ai mangée de toute ma vie!
Éloi: Je parie que c’est aussi pour ça que tu veux me marier.
Anaïs: Bien sûr! Qui dirait non à un excellent chef privé?
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oracledekokuto · 8 months
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Episode.G - Requiem - Chapitre 1
Retour
Page 1
Iga : Écoute-moi bien, petite… Iga : Pour moi… Iga : … la route s’arrête ici. Iga : Tu dois continuer toute seule désormais. Iga : Le temps presse… Tu tiens toujours debout, pas vrai ? Iga : Alors, tu devrais être capable de courir. Allez, arrête de pleurer. Iga : Et cours !
Pages 2-3
Iga : Tu n’as plus rien à faire ici. Iga : Ce lieu… n’est plus une terre sacrée. Iga : Les humains ne peuvent plus vivre au Sanctuaire. Iga : Il est devenu un véritable enfer. Iga : Ça va aller… Je couvre tes arrières. Iga : Contente-toi de courir en regardant droit devant toi. Iga : Tu finiras par trouver… Iga : l’espoir. Iga : Allez, aie confiance.
Page 4
Iga : C’est en regardant droit devant soi qu’on obtient la force de construire l’avenir. Iga : Tu sais, les enfants sont forts. Iga : Et même un simple soldat comme moi… Iga : … peut devenir assez fort pour te protéger jusqu’au bout.
Page 5
Iga : Je n’ai pas pu devenir un Saint… Iga : … ni servir dans une Maison. Iga : Je ne suis qu’un garde dont personne ne connaît le nom au Sanctuaire. Iga : Un simple soldat tout juste bon à recevoir des ordres. Rien de plus. Iga : Mais… je n’ai jamais renié cette façon de vivre.
Page 6
Iga : Je ne suis rien de plus qu'un garde. Iga : J'ai beau être lamentable... et pitoyable... Iga : ... ça ne m'a jamais arrêté. Iga : J'ai beau n'être qu'un simple soldat, je verserai mon sang et je deviendrai le bouclier... Iga : ... des Saints, d'Athéna et d'autrui... quitte à y perdre la vie. Iga : Pour moi qui suis né pour combattre... Iga : ... ainsi que pour tous les autres soldats... Iga : ... il s'agit du plus grand honneur !!!
Page 7
Iga : Personne n'entendra parler de moi, personne ne me considérera comme un héros... Iga : Mais même si je meurs en protégeant cette seule enfant qui ne connaît pas mon nom... Iga : ... ma vie n'aura pas été inutile. Iga : Je remercie du fond du cœur Athéna pour ce miracle qui me permet de devenir dans mes derniers instants le bouclier de cette petite. Iga : !! Iga : Je n'arrive plus à bouger mes jambes... mais au moins...
Page 8
Iga : Au moins, je peux sourire. Iga : Cette petite... Iga : ... ne doit pas avoir peur. Iga : Elle doit courir vers son futur. Iga : Je dois lui donner du courage.
Page 9
Iga : Brûle, mon Cosmos. Iga : Pourfends l'ennemi... Iga : ... qui se trouve devant moi. Iga : Ça ne sert à rien. Iga : Ma vie... Mon Cosmos... Iga : n'ont pas pu provoquer un miracle.
Pages 10-11
FLASH MORTEL
Pages 12-13
Iga : Ah... Ah... Iga : Vous êtes... Iga : ... venu...!!
Page 14
Iga : Nous n'avons pas pu protéger le Sanctuaire en votre absence. Iga : Je suis désolé... Iga : Mais... maintenant que vous êtes de retour... je peux mourir en paix. Iga : Ça va aller maintenant, petite. Iga : Il est revenu... notre héros. Iga : Tu peux être sûre qu'il protégera... le Sanctuaire et le monde. Seiya : Tu te trompes. Seiya : Iga Zen. Iga : Comment... Iga : ... connaissez-vous le nom d'un simple soldat comme moi ?
Page 15
Seiya : Il n'y a pas de rang qui vaille dans les liens qui unissent ceux qui protègent le Sanctuaire. Seiya : Tu combats pour le même idéal que moi, il est donc naturel que je connaisse ton nom. Seiya : Je te remercie d'avoir protégé cette enfant... Iga Zen. Seiya : C'est toi le véritable héros. Iga : Vos mots de remerciement... Iga : ... resteront gravés à jamais dans mon âme. Seiya : L'heure de ta mort n'est pas venue... Les renforts arrivent. Seiya : C'est ensemble que nous ramènerons l'espoir au Sanctuaire.
Page 16
Seiya : À partir de maintenant... nous combattrons et nous vivrons ensemble. Tu es désormais mon assistant, Iga. Seiya : Je suis Seiya, le Gold Saint du Sagittaire, gardien de la Maison du Sagittaire. Seiya : Nous récupérerons ensemble le Sanctuaire.
Page 17
Seiya : Repose-toi tranquillement, Iga. Seiya : Je pars devant. Seiya : Je vais y arriver, tu vas voir. Seiya : Je n'ai qu'un seul endroit à atteindre. Seiya : La statue d'Athéna. Seiya : Elle nous y attend, elle croit en nous.
Pages 18-19
FLAMMES DU PURGATOIRE
Page 20
Saori : Seiya. Seiya : Saori... Seiya : Tu n'as plus à souffrir. Seiya : Je suis là maintenant, j'arrive. Seiya : C'est mon dernier combat... Seiya : ... en tant que Saint.
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saut3relle · 9 months
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09.08.23, 11h02
Au bureau. Période calme, temps dégueulasse, ennui mortel.
Je pense à toi. Dernier message de toi samedi dernier, nous sommes mercredi. 4 jours sans nouvelles .... Je compte tout. Par contre tes dessins sur IG, ça n'arrête pas. Jusqu'à 4 par jour. Tu m'as dis qu'on se reverrait mi-août, quand tu rentres de Bretagne. Je me demande si tu vas tenir parole. Je fais mes propres déductions : tu vas certainement rentrer ce week-end. Une reprise du travail, plus la rentrée de ton fils qui approche à préparer, je ne m'attends pas à ce que l'on se voie la semaine prochaine. Ni même peut-être celle d'après. Je m'y prépare. J'espère que tu reviendras m'écrire, me signifier que tu es rentré. J'espère que tu m'écriras de nouveau un peu plus à ce moment-là, car depuis tes vacances, nos échanges n'ont jamais été aussi courts et pauvres. C'est un tel contraste avec notre contact lors de nos deux premiers rendez-vous.
J'essaie de m'occuper, mais j'ai du mal. J'ai proposé mes services de bénévolat à la SPA, je voulais faire cela depuis longtemps. On verra si ça me plaît. Le temps est long, j'ai conscience que je gâche une partie de ma vie à attendre de tes nouvelles en permanence, mais je ne sais plus faire autrement désormais. Et aussi bien, quoi que je fasse, peu importe la manière dont j'occupe ou je vide mon temps, il passe, négligemment, sans se soucier de rien. Alors je contemple ta dernière photo de ton beau visage que tu m'avais envoyée dans le métro le 22 juin dernier. C'est celle où tu es le plus ressemblant avec ton vrai visage. Tu es tel que je t'ai vu la dernière fois, avec ta jolie chemise en lin blanche dont je t'avais aidé à retrousser les manches avant de te quitter, sur ce trottoir de Paris. Sur cette photo ton regard est droit, franc, fragile, sensible, désireux. Tu sembles me fixer avec la même intensité que lorsque j'étais en face de toi. Figé, envoûté, séduit. Tes yeux qui se posent sur moi me dépossèdent de moi-même. Plus rien n'existe autour, je suis dans une bulle, dans notre bulle. Tous les jours j'imagine de quelle façon nous ferions l'amour. J'espère vraiment de tout mon coeur qu'un jour (la prochaine fois, en vrai, je me dois d'écrire la vérité), nous ferons l'amour ensemble pour la première fois. Je meurs d'envie de tout découvrir de toi, de savoir comment tu mènerais cela. Et j'ai envie de tout avec toi. De sentir ta bouche et ta langue sur ma poitrine, mon corps tout entier. De me refléter dans l'intensité de ton regard. De sentir tes bras m'enserrer à nouveau et plaquer mon corps contre ton désir flamboyant. Je meurs de tout ça. Et je sais que si cela se produit, ce sera pire après. Bien pire. Mais j’ai un projet. Il faut que ça colle, il faut la charnière pour y parvenir. La charnière, c’est toi. Tu es mon lien. Tu es celui que j’attendais depuis longtemps, bien trop longtemps. Celui qui pourra m’aider à aller là où je souhaite être, là où j’ai toujours rêvé d’être. Et si tu me fais l’amour de temps en temps avec, alors j’aurai atteint mon paradis. Car j’aurai besoin de ta présence pour me sentir en sécurité.
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suis-nous · 10 months
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douceconstellation · 1 year
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Pensées Brouillées ¹.
✫✫✫✫✫
J'ai un bleu au cœur
Qui même avec un peu d'liqueur
Ne se soignera pas
Tant qu'tu seras loin d'moi
Alors jt'en prie
Viens
Retire ma mélancolie
✫✫✫✫✫
Et parfois, j'ai du mal à comprendre le bonheur.
✫✫✫✫✫
Parfois, les mots sont trop faux et trop vrai, également trop lourds mais aussi trop légers et insignifiants. Trop tout, face à ce que l'on peut ressentir.
✫✫✫✫✫
As-tu la moindre idée d'à quel point je suis amoureuse de toi ?
Une quelconque pensée d'avec quelle passion j'aime chaque parcelle de ton être, de ce que tu es ?
✫✫✫✫✫
Probablement qu'on est foutu
Qu'on est impossible
Ou alors que c'est peut-être juste moi, qui le suis, foutu.
✫✫✫✫✫
La vie n'est pas juste.
Elle ne l'a jamais été.
Regarde où nous en sommes.
Elle se fout de moi, de toi, de nous,
et de tous les autres.
Elle se fout de tout le monde.
✫✫✫✫✫
Et c'est dingue à quel point le silence peut hurler, tu ne trouves pas ?
✫✫✫✫✫
Être avec toi était extraordinairement beau. Et aujourd'hui sans toi, ma vie n'est plus qu'un chaos.
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Tu es ma réalité.
Ma seule et unique réalité.
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Le sexe est une drogue qui a emporté toute ma cohérence.
✫✫✫✫✫
Et peut-être que pour l'être humain, souffrir, est synonyme de respirer.
✫✫✫✫✫
Si tu meurs, je n'aurai qu'à mourir avec toi.
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Tu as forcé mon cœur à apprendre à battre seul. Mais il commence à être lassé, de ne plus t'avoir à ses côtés.
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2017
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deshortensias · 1 year
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Cher Dieu, 
Je n’arrive plus à prier ni à te parler en ce moment. Tu es encore tout ornée des fleurs de Pâques dans ton Église. Les chrétiens sont dans la joie et je m’éloigne de toi comme tu en as l’habitude. 
Ce n’est pas de ma faute si les gens sont méchants. Ce n’est pas de ma faute si certains l’ont été avec moi. Ce n’est pas non plus de ma faute si la plupart des gens ne me comprennent pas, ou alors, ne veulent pas comprendre ou ne prennent pas le temps. Ce n’est pas de ma faute si ils ont déjà leurs souffrances. Ce n’est pas de ma faute si je ne suis pas en capacité présentement d’être là pour les autres. Ce n’est pas de ma faute si je ne corresponds pas aux standards de beauté occidentaux, ce n’est pas de leur faute si je me déteste, et ce n’est pas de ta faute Seigneur car toi tu m’as fait et m’aime comme ça.  Tu sais à quel point je souffre de mon apparence alors qu’elle n’est qu’éphémère et superficielle. Ce n’est pas de ma faute si je n’arrive plus à sortir, à oser affronter le monde. Les mêmes rues, les mêmes gens, les mêmes habitudes. C’est justement parce que rien ne change et que tout change à la fois que je suis si effrayée. Le temps passe. Ce n’est pas de ma faute non plus. Quand après tout mes efforts, je retombe si violemment, je me dis que ça ne sert plus à rien de continuer car je ne veux pas repasser par tous ces efforts et même davantage. Personne à part toi ne sait ce que j’endure. Personne à part toi ne sait ce que chacun endure. 
Ce n’est pas de ma faute si je souffre et que les autres ne le voient pas, ça n’enlève pourtant en rien la véracité de ce qu’il en est. Pardonne moi, mais attends moi comme à ton habitude quand je serai prête. S’il te plaît ne permets pas que ma chute soit trop dure à remonter. Je ne vois déjà plus la lumière. Je vis au jour le jour en attendant qu’un miracle se produise. Pourtant, il n’en sera rien. Car il ne s’agit pas de miracle pour m’en sortir mais d’effort continu et de persévérance. Je n’en ai plus la force. Je me sens prisonnière de moi même. Tout est là pour que je sois bien mais je ne l’accepte pas. Comment je peux aller bien? Parce que dans mon quotidien tout est acceptable, correct? Mais comment dormir paisiblement quand il n’y a qu’à changer de pays ou de région pour y voir la guerre? Mon coeur ne s’apaise pas. Je suis un fardeau pour moi même et les autres. Je sais, les dépressifs ça casse l’ambiance. Vaut mieux s’entourer de gens qui se changent les idées à tout va pour oublier eux aussi. J’y arrive aussi, parfois seulement. 
Regarde mes larmes et mon égoïsme. Regarde comme j’ai besoin de toi. Je sais que tu te montres à moi quand je t’ouvre réellement mon coeur et que je suis désespérée. Tu comprends que je ne veux plus l’être? Je ne veux plus toucher le désespoir pour t’approcher. Mais j’ai beau ne pas vouloir ressentir ce que je ressens, le refoulement ne fait qu’amplifier les choses et je finis par exploser. Mon coeur est une bombe à retardement. J’ai trop peur. J’ai trop mal. Je répète sans arrêt les mêmes choses. Les gens qui me réconfortent sont lassés. Mon psy m’a presque engueulé parce que je ne le laissais pas avoir son avis encore une fois (sur moi), je lui ai dit que je m’en fichais qu’il ait un avis sur les choses mais je ne veux pas qu’il en ait sur moi.  
Si je ne meurs pas par ma propre volonté, je vais mourir de stress, ma boule au ventre ne me quitte pas. Aide moi s’il te plaît à me déculpabiliser réellement. Aide moi à chasser ce besoin d’arrêter la souffrance en me faisant souffrir moi même. Aide moi à voir le mal et le bien distinctement et à avoir du discernement pour l’affronter et arrêter de me comporter en victime. Aide moi en me prêtant un peu de ta force. Tu es mon seul espoir. Apprends moi à t’aimer. Apprends moi à aimer l’amour. Apprends moi à ne pas avoir peur du bonheur même éphémère. Apprends moi à ne plus avoir peur de la souffrance. Apprends moi qui je suis à travers toi. 
Ton enfant. 
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franckdoutrery · 1 year
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Les dernières paroles
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Quelles seront nos dernières paroles ? Pour les gens taiseux, ce n’est pas un problème. Comme ils n’ont par définition jamais été bavards, ils n’attendront pas la fin pour le devenir. Mais pour les autres, pour celles et ceux qui n’arrêtent pas de cancaner, de jacasser, de mettre leur grain de sel à tort et surtout à travers, les dernières paroles sont parfois un must qui se prépare de longue main. La meilleure méthode est de suivre les exemples illustres de l’Antiquité. Car l’Antiquité est une période où les gens étaient tous et toutes célèbres. Au point que, si je vous demande d’en citer un ou une qui ne l’était pas, vous serez réduit à quia. Et la raison en est simple : ils l’étaient tous parce qu’ils parlaient beaucoup. Et bien. Devant la boulè sur l’Agora, dans un tonneau comme Diogène ou dans les jardins des péripatéticiens comme Platon, Aristote et Épicure, tout le monde formulait des pensées profondes et définitives. Tantôt ils disaient à un monarque : « Ôte-toi de mon soleil ! », tantôt ils enseignaient à la jeunesse : « Connais-toi toi-même ! » Ce n’étaient que formules bien senties, propos lapidaires et répliques historiques. 
Les Romains de l’Antiquité, tous célèbres eux aussi, n’entendaient pas être en reste sur le plan de la rhétorique. Comme Cicéron, ils défendaient la république contre le comploteur Catilina en lui lançant : « Quousque tandem ! Jusques à quand vas-tu abuser de notre patience ? ». Ou bien, comme Horace, ils portaient un toast en disant : « Nunc est bibendum ! C’est l’heure de lever le coude ! » Mais ils ne se bornaient pas à fournir des exemples édifiants pour les grammaires de sixième latine. C’est tout au long de leur vie qu’ils peaufinaient les paroles à prononcer juste avant de partir ad patres. Or la dernière heure, sauf dans le cas du suicide, ne sonne pas au moment prévu ou voulu. Le meilleur exemple est sans doute celui de Jules César. Il avait lancé son alea jacta est pour franchir le Rubicon. Avec son best-seller De bello gallico il avait préparé la voie romaine à Astérix de Goscinny et Uderzo. Pour avoir vaincu le roi du Pont, il avait trouvé la phrase laconique avec les trois parfaits si parfaits : Veni, vidi, vici. Enfin, depuis sa jeunesse il avait fignolé ses dernières paroles, avec un jeu de mots sur lex et rex, loi et roi. Mais il avait surtout réformé le calendrier, si bien que les ides de mars de l’année moins 44 tombaient plus tard que prévu. Et quand sur la voie du Sénat un groupe de comploteurs fondèrent sur lui toutes dagues dehors, il eut tout juste le temps d’interpeler son fils adoptif Brutus, qui faisait partie de la bande, en lui lançant : « Tu quoque … toi aussi, fiston ? » Et ce furent ses dernières paroles. Sans la tournure euphonique sur lex et rex.
Plus tard Néron ne fit d’ailleurs pas mieux. Célèbre pour avoir une dent contre les chrétiens, il se fit aussi connaître comme poète, dramaturge et musicien. Comme dernières paroles il avait préparé quelques vers en hexamètres dactyliques qu’il débiterait sur son lit de mort en s’accompagnant de la lyre. Mais quand en 68 le Sénat le déclara ennemi public et qu’il dut s’enfuir de Rome, il chercha son salut dans le suicide. Sauf que, sur le point d’être capturé et n’ayant pas le courage de se faire lui-même harakiri, il ordonna à son esclave de lui donner le coup de grâce. Or au lieu des vers dûment préparés, il s’exclama : « Qualis artifex … quel artiste vous perdez en moi ! »
À l’âge moderne et même de nos jours, où les gens sont notoirement moins célèbres, la tradition des dernières paroles est aussi moins respectée. Ou bien elles sont fabriquées par des amis post mortem. Ainsi Balzac, qui se serait exclamé : « Appelez-moi Brianchon ! Seul Brianchon peut me sauver ! », le médecin Brianchon étant un des personnages fictifs de La comédie humaine. Et Oscar Wilde, en découvrant la note de son médecin, aurait gémi : « Je meurs au-dessus de mes moyens ! » Mais le plus beau, c’est tout de même les dernières paroles du bandit de grand chemin Ravachol, qui fut condamné à l’échafaud en 1892. Il avait bien préparé l’apostrophe qu’il lancerait au monde après avoir mis sa tête dans le trou de la guillotine. Ce serait « Vive la … ». Vive la quoi ? Car il n’eut même pas le temps de crier ces trois mots, vu que le couperet tomba après la syllabe initiale du troisième : « Vive la ré- ! ». Si bien qu’aujourd’hui, on ne sait toujours pas, et on ne saura jamais, ce qu’il a voulu dire. Et comme le dictionnaire contient nombre de mot féminins qui commencent par ré- (réforme, république, résistance, révolution, etc.) il nous a laissés dans l’embarras du choix. 
On voit par là que rien ne sert de préparer ses dernières paroles. On ne sait d’ailleurs pas si on aura la présence d’esprit ou la mémoire suffisante pour se les rappeler. Tout compte fait, ne vaut-il pas mieux suivre l’exemple de cette dame de la haute qui, sentant sa fin venir après un repas délicieux, s’écria, sans avoir jamais préparé ses dernières paroles : « Je me meurs ! Vite, le dessert ! »
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Elle a fait son choix
Tu es venue au monde sans te pressée Déjà tu te sentais mal oppressée Ton premier crie fut une plainte Le dernier sera ta complainte L'enfance passe le mal trépasse Ta joie de vivre te donne des ailes Ton visage d'enfant illumine le ciel Protéger et aider. conseiller et consoler Tu es la quand les autres tournent le dos Et tu ne fais que voir le plus beau . Dans chaque être se meurs une âme Toutes les âmes méritent d'être sauvé C'était sa mission de sauvegarder et délivrer Et elle essuyait,tous les blâment Quand ils allaient mal, tu étais là Mais tout t'es amis n'ont pas compris Que tu allais mettre fin à ta vie toi qui semble rayonner et bien voila Tu te retrouves sur ce chemin. Ou tu ne voie plus les lendemains Chere amie ne renonce pas à la vie Son prénom signifier lumière, Lucie Mais un jour , elle cessa de briller Ces envies, ces joies se sont grillées Ces yeux s'éteignaient. elle ne pouvait gagner Lucie se confia à un ami. qui l'écouta et blêmi, frémi Un dernier adieux un dernier aveux Après un dernier message Lucie brisera sa cage Elle a fait son choix finir avec sa croix Un dernier regard sur ce monde immonde sur son visage des larmes inondent Elle a fait son choix Lucie mais pourquoi Son meilleur ami dés qu'il le senti. se mit à courir apeuré encore consciente, elle lui sourit Son cœur se sentait serre. Mourir en voyant un visage ami Son âme s'apaisa qu'elle chance ell' a pour l'apaiser, il caressa ces cheveux doré. Elle a réussie à se libéré de sa prison doré Il c'est parjurer et veux se faire pardonner de l'avoir aussi abandonner maintenant plus rien en peux la sauver Qu'elle gâchis, sa vie était finie Elle a fait son choix c'était oui sa croix Mourir en se suicidant et surtout en pardonnant de Moi Sanchopanza47
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blogdimanche · 2 years
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(Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut) Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 15,1-32
1 « Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour  l’écouter.
2 Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :  « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec  eux ! »
3 Alors Jésus leur dit cette parabole :
4 « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,  n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour  aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
5 Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
6 et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour  leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis,  celle qui était perdue !”
7 Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le  ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour  quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion.
8 Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,  ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin  jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
9 Quand elle l’a retrouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines  pour leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce  d’argent que j’avais perdue !”
10 Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de  Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »
11 Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils.
12 Le plus jeune dit à son père : “Père, donne-moi la part de  fortune qui me revient.” Et le père leur partagea ses biens.
13 Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et  partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de  désordre.
14 Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays,  et il commença à se trouver dans le besoin.
15 Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans  ses champs garder les porcs.
16 Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que  mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
17 Alors il rentra en lui-même et se dit : “Combien d’ouvriers de  mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
18 Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père,  j’ai péché contre le ciel et envers toi.
19 Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un  de tes ouvriers.”
20 Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin,  son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son  cou et le couvrit de baisers.
21 Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.  Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.”
22 Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau  vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux  pieds,
23 allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons,
24 car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ;  il était perdu, et il est retrouvé.” Et ils commencèrent à festoyer.
25 Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses.
26 Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait.
27 Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.”
28 Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier.
29 Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis.
30 Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !”
31 Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi.
32 Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique— AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Lc 15,2
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » (Lc
15,2) Ces paroles dans la bouche des scribes et des Pharisiens, c’est un reproche ; au contraire, pour l’évangéliste et pour nous-mêmes, comme pour Paul dans la lettre à Timothée (notre deuxième lecture), c’est, bien sûr, un sujet d’émerveillement ! Pourquoi ? Parce que nous n’aurions pas l’audace, ni les uns ni les autres, de nous compter parmi les quatre-vingt-dix-neuf justes de la première parabole. Chacun de nous est ce pécheur invité à donner de la joie au ciel par sa conversion. Entendons-nous bien : le mot « conversion » ne signifie pas changement de religion, mais un changement de direction, un véritable demi-tour : nous tournions le dos à Dieu, et nous nous retournons vers lui. Eh bien, nous pouvons nous dire que chaque fois que nous avons pris la décision de faire demi-tour, nous avons donné de la joie au ciel. La joie est bien la tonalité majeure de ces trois paraboles : la joie de Dieu s’entend. Une fois encore, on est dans la droite ligne de l’Ancien Testament ; là où nous entendions Sophonie parler de « l’exultation » de Dieu : « Le SEIGNEUR ton Dieu est en toi… Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera par son amour ; il exultera pour toi et se réjouira, comme aux jours de fête. » (So 3,17-18). Pourquoi une telle joie quand nous prenons le chemin de la réconciliation ? Parce que Dieu tient à nous comme à la prunelle de ses yeux. Et l’expression n’est pas trop forte, elle aussi nous vient tout droit de l’Ancien Testament, plus précisément du livre du Deutéronome : « Le SEIGNEUR trouve son peuple au pays du désert… Il l’entoure, il l’élève, il le garde comme la prunelle de son œil. » (Dt 32,10). Il veille, en effet, au point de partir lui-même à la recherche de la brebis perdue, car il sait bien qu’elle ne reviendra pas toute seule ; il veille au point de mettre la maison sens dessus dessous pour retrouver la pièce ; et s’il ne part pas lui-même à la recherche du prodigue, c’est pour respecter sa liberté ; mais il veille, là encore, au point d’attendre sur le pas de la porte l’ingrat qui est parti au loin et de l’accueillir par une fête sans s’interroger sur les véritables sentiments de son fils : car on peut quand même se demander si la contrition du garçon est vraiment parfaite ? Et, plus tard, il supplie le fils aîné parce que, pour lui, la fête n’est pas complète s’il en manque un. Dernière remarque : Jésus fait appel à notre expérience : ‘Lequel d’entre vous n’irait pas chercher sa brebis perdue...?’ Ce qui veut dire que, quelque part, nous lui ressemblons, ce qui n’est pas étonnant. Ne peut-on pas en déduire que chaque fois que nous avons fait la fête pour l’enfant qui revient, chaque fois que nous avons pardonné à l’ami, à l’époux, à l’épouse, (à l’ennemi aussi !), chaque fois que nous avons remué ciel et terre pour essayer d’empêcher quelqu’un de sombrer, physiquement ou moralement, nous avons ressemblé à Dieu ; nous avons été son image : ce qui est, après tout, notre vocation, n’est-il pas vrai ?
(Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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ochoislas · 2 years
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EMBLEMA DE LA TETA
Teta cabal, más que huevo blanca, teta de raso cándido y fresco, teta que a la rosa abochornas, teta de belleza señera. Teta dura, o sea, ni teta, sino ebúrneo orbe menudo, sobre cuyo cénit se asienta, dijera yo, fresa o cereza, pues nadie la ve ni la toca, mas yo a aventurar me atrevo. Teta, pues, de punta encarnada, teta que jamás se conmueve, por mucho trajín que la pongan, ya con danzaderas o trotes. Teta gentil, teta siniestra, teta de tu hermana apartada, teta que acreditas del resto: viéndote nos viene a las manos un deseo loco a raudales de agarrarte y darte buen tiento; mas es menester reportarse, me guarde buen Dios de tal cosa, pues luego otra gana siguiera. Ay teta ni chica ni grande, teta en su sazón y gustosa, teta que continuo reclamas: ¡ay cásenme ya! ¡que me casen! Teta que repujas y abombas dos buenas pulgadas tu escote, con razón se llame contento quien de blanca leche te colme, teta de doncella tornando teta de cabal dueña hermosa.
*
BLASON DU TETIN
Tetin refect, plus blanc, qu’ung oeuf, Tetin de satin blanc tout neuf, Tetin, qui fays honte à la Rose, Tetin plus beau, que nulle chose, Tetin dur, non pas tetin voyre, Mais petite boule d’Ivoyre, Au milieu duquel est assise Une Fraize, ou une Cerise, Que nul ne voit, ne touche aussi, Mais je gage, qu’il est ainsi: Tetin doncq au petit bout rouge, Tetin, qui jamais ne se bouge, Soit pour venir, soit pour aller, Soit pour courir, soit pour baller: Tetin gauche, Tetin mignon, Tousjours loing de son compaignon, Tetin, qui porte tesmoignage Du demeurant du personnage, Quand on te voit, il vient à maints Une envie dedans les mains De te taster, de te tenir: Mais il se fault bien contenir D’en approcher, bon gré ma vie, Car il viendroit une autre envie. O Tetin ne grand, ne petit, Tetin meur, Tetin d’appetit, Tetin, qui nuict, & jour criez, Mariez moy tost, mariez, Tetin, qui t’enfles, & repoulses Ton gorgerin de deux bons poulses, A bon droict heureux on dira Celluy, qui de laict t’emplira, Faisant d’ung Tetin de pucelle Tetin de femme entiere, & belle.
Clément Marot
di-versión©ochoislas
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christophe76460 · 1 year
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Je vous aime de l'amour de Jésus-Christ ❤⚘️
{ Luc 15:11-32}
"Jésus dit encore : " Un homme a deux fils. Le plus jeune dit à son père : "Père, donne-moi ma part d'héritage." Alors le père partage ses richesses entre ses deux fils.
Quelques jours après, le plus jeune fils vend tout ce qu'il a reçu et il part avec l'argent dans un pays éloigné. Là, il se conduit très mal et il dépense tout son argent. Quand il a tout dépensé, une grande famine arrive dans le pays, et le fils commence à manquer de tout. Il va travailler pour un habitant de ce pays. Cet homme l'envoie dans les champs garder les cochons. Le fils a envie de manger la nourriture des cochons, mais personne ne lui en donne. Alors il se met à réfléchir. Il se dit : "Chez mon père, tous les ouvriers ont assez à manger, et même ils en ont trop ! Et moi, ici, je meurs de faim ! Je vais partir pour retourner chez mon père et je vais lui dire : Père, j’ai péché contre Dieu et contre toi.
Je ne mérite plus d'être appelé ton fils. Fais comme si j'étais l'un de tes ouvriers." Il part pour retourner chez son père. "Le fils est encore loin. Mais son père le voit et il est plein de pitié pour lui. Il court à sa rencontre, il le serre contre lui et l'embrasse. Alors le fils dit à son père : "Père, j'ai péché contre Dieu et contre toi, je ne mérite plus d'être appelé ton fils." Mais le père dit à ses serviteurs : "Vite ! Apportez le plus beau vêtement et habillez mon fils. Mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds. Amenez le veau qu'on a fait grossir et tuez-le. Mangeons et faisons la fête. Oui, mon fils qui est là était mort et il est revenu à la vie. Il était perdu et il est retrouvé !" Ils commencent à faire la fête. "Pendant ce temps, le fils aîné travaillait dans les champs. Quand il revient et s'approche de la maison, il entend de la musique et des danses. Il appelle un des serviteurs et il lui demande ce qui se passe. Le serviteur lui répond : "C'est ton frère qui est arrivé. Et ton père a fait tuer le gros veau, parce qu'il a retrouvé son fils en bonne santé." Alors le fils aîné se met en colère et il ne veut pas entrer dans la maison. Le père sort pour lui demander d’entrer, mais le fils aîné répond à son père : "Écoute ! Depuis de nombreuses années, je travaille pour toi. Je n'ai jamais refusé d'obéir à tes ordres. Pourtant, tu ne m'as jamais donné une petite chèvre pour faire la fête avec mes amis. Ton fils qui est là a mangé tout ton argent avec des filles, mais quand il arrive, tu fais tuer le gros veau pour lui !" Le père lui répond : "Mon enfant, toi, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi.
Mais il fallait faire la fête et nous réjouir. En effet, ton frère qui est là était mort et il est revenu à la vie. Il était perdu et il est retrouvé." ".
Après son départ, il n'est pas allé chercher son fils... mais il a attendu patiemment son retour, parce qu’il ne voulait pas l'obliger à revenir ou à l'aimer aussi. Votre Père céleste, tout comme dans cette parabole, attend que vous reveniez à lui de tout votre cœur.
Dieu vous :
Aimait avant votre naissance,
Aime lorsque vous êtes proche de lui,
Aimera même quand vous vous éloignerez.
Si le père avait obligé son fils, certes, il aurait ramené son "corps" mais pas forcément son cœur... Pareillement, Dieu attend tous les jours, que ses enfants viennent de tout leur cœur vers lui.
Oui , Dieu veux que nous revenons à Lui par amour et de tout notre cœur. Il ne veux pas des robots obéissant , mais Il veux qu'on viennent à Lui par amour et de tout notre cœur, Il n'oblige personne . Il nous donne un choix : soit la vie sur cette terre qui conduit à la mort. Soit la vie avec Jésus-Christ pour la Vie éternelle au Royaume de Dieu. Ce choix nous revient. Faites comme ce fils perdu , rentrez en vous même et choisissez la Vie , revenez vers notre Père . Renoncer et mourrez à la vie dans le monde (vieil homme). Et revenez (renaître du nouvel hommes par le Saint-Esprit )vers votre Père Celeste , Il vous attend les bras ouvert.
Au nom de Jésus-Christ En Christ pour toujours ❤⚘️
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