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A Barbieland, tout est parfait. Les Barbies et les Kens vivent tous les jours des journées extraordinaires. Jusqu’à ce que Barbie commence à penser à la mort, ne soit plus parfaite et aie les pieds plats. Elle doit alors s’aventurer dans le monde réel pour retrouver sa perfection.
J’ai eu un peu de mal à rentrer dans le film. La présentation de Barbieland est bien réalisée mais un peu longue. Il faut aussi accepter certains postulats sans explication : l’existence de Barbieland, la manière de passer dans un sens et dans l’autre entre les deux mondes et d’autres éléments un peu fantastiques.
L’histoire est légère et amusante. Certaines situations comiques et certaines blagues sont bien trouvées. Le monde réel est parfois aussi policé et absurde que le monde imaginaire de Barbie.
Margot Robbie et Ryan Gosling sont très bons dans leur rôle de Barbie et Ken. Ils arrivent à rendre crédibles ces deux héros décalés et à côté de la plaque. Ils sont parfois un peu trop cringe.
J’ai aimé le message féministe, la place de Barbie dans ce féminisme. Tout n’est pas tout blanc ou tout noir et le film arrive à trouver de la nuance. Parfois, cela fait cependant un peu trop forcé.
J’ai aussi aimé le message de tolérance et d’acceptation de soit véhiculé à la fin du film.
Par contre, le final m’a un peu laissée perplexe. Pour le coup, je n’ai pas trop compris ce qu’on voulait me dire.
En conclusion, j’ai passé un bon moment devant ce film malgré quelques passages où je me suis ennuyée. C’est pour ça que ce n’est pas non plus vraiment un coup de cœur.
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1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l'estimé docteur Jones, professeur d'archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles.
Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d'un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d'Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n'a d'autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée… (résumé Allociné)
Le quatrième volet des aventures d’Indiana Jones avait été une grosse déception pour les fans. Son histoire très confuse n’avait pas séduit. Par conséquent, il est balayé dans le cinquième film. On y fait à peine référence. Et on revient aux basiques : des méchants nazis, une relique aux pouvoirs mystérieux… Et on retrouve aussi des références aux anciens volets, notamment à travers la mise en scène.
La vieillesse d’Harisson Ford est assez bien exploité. Le professeur Jones ne peut plus tout faire comme à vingt ans. Même si on espère tous être aussi en forme que lui à quatre-vingts ans, Indiana nous fait savoir que ça tire quand même…
Sa successeur en titre, Helena, est sympathique. Elle est jeune, belle et ingénieuse. Elle est pleine de répartie. Même si sa moralité fait débat, surtout dans la première partie du film. Je l’ai appréciée et ça me ferait plaisir de la revoir.
En elle-même, l’histoire ne réserve pas de surprise. Il y a quelques scènes tirées par les cheveux et quelques raccourcis, voir quelques éléments qui ne sont pas du tout crédibles. Mais le récit est bien rythmé et je ne me suis pas ennuyée.
Les effets spéciaux sont mitigés. Si le rajeunissement de Harrisson Ford dans la scène d’introduction du film est crédible, j’ai trouvé que certaines scènes avec fonds verts étaient très visible.
Au final, je m’attendais à un film mauvais mais ce n’était pas une mauvaise surprise. Certes, il n’est pas aussi bon que les premiers volets mais il se laisse néanmoins regarder avec plaisir. Sans être un grand film, il reste néanmoins divertissant.
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Marinette et Adrien deviennent les super-héros Ladybug et Chat Noir et luttent contre le Papillon et sa horde de victimes akumatisées.
L’histoire est sympathique et reprend l’origine des deux héros, mais sur un plan différent de l’histoire racontée dans la saison 1. Marinette est plus timide et anxieuse. Adrien plus distant. Malgré tout, j’ai trouvé que le film restait assez fidèle à l’histoire d’origine. Le Love Square est bien mené, avec des rapprochements parallèles entre Ladybug et Chat Noir ainsi que Marinette et Adrien. Si Marinette tombe assez vite amoureuse d’Adrien, c’est beaucoup mieux amené que dans l’épisode Origines.
Par contre, j’ai trouvé dommage que son rôle soit si secondaire. Dans le combat final entre les héros et le Papillon, elle est vite mise hors d’état de nuire et n’apporte finalement pas grand-chose à la résolution de l’intrigue.
J’ai aussi beaucoup aimé les discussions parallèles que Marinette et Adrien ont avec leurs kwamis respectifs mais qui se recoupent.
Par contre, il y a un peu trop de chansons. C’est un film Disney et ça s’entend. On se croirait dans un film Disney Princess…
L’animation est bien rendue. J’ai surtout aimé l’ambiance romantique de Paris. Même si la ville est toujours aussi vide, rien à voir avec la réalité…
Je ne m’attendais pas grand-chose de ce film, surtout que je me suis lassée de la série et n’ai pas regardé les dernières saisons. Pour autant, j’ai passé un moment agréable et j’ai apprécié retourner dans cet univers et aux origines de cette histoire. Le film laisse se laisse regarder seul et offre une conclusion. Pour autant, il ouvre sur la possibilité d’un deuxième film.
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Buster Moon est un élégant koala qui dirige un grand théâtre, jadis illustre, mais aujourd’hui tombé en désuétude. Buster est un éternel optimiste, un peu bougon, qui aime son précieux théâtre au-delà de tout et serait prêt à tout pour le sauver. C’est alors qu’il trouve une chance en or pour redorer son blason tout en évitant la destruction de ses rêves et de toutes ses ambitions: une compétition mondiale de chant. Cinq candidats sont retenus pour ce défi: Une souris aussi séduisante que malhonnête, un jeune éléphant timide dévoré par le trac, une truie mère de famille débordée par ses 25 marcassins, un jeune gorille délinquant qui ne cherche qu’à échapper à sa famille, et une porc épic punk qui peine à se débarrasser de son petit ami à l’égo surdimensionné pour faire une carrière solo. Tout ce petit monde va venir chercher sur la scène de Buster l’opportunité qui pourra changer leur vie à jamais. (Résumé Allociné)
Les ficelles sont grosses mais le film est sympathique et se laisse regarder. C’est amusant de voir Buster accumuler les bourdes pour essayer de s’en sortir. J’ai beaucoup aimé Rosita, qui se sent invisible dans sa propre famille.
Le film est plein de bons sentiments et on sait où l’intrigue veut nous mener. Ca reste un film pour enfant.
La bande son est pas mal. Elle est rythmée et correspond aux personnages. L’animation propose quelques moments de féeries.
Même si ce n’est pas un coup de coeur, c’est un film divertissement qui fait passer un bon moment.
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Du mystère, du surnaturel, de l'aventure, une histoire de fraternité : le nouveau Hiromu Arakawa est un manga inclassable qui réserve bien des surprises !?
Chasseur aguerri, le jeune Yuru mène une vie paisible dans un village reculé au sein des montagnes, au contact de la nature. Il prend grand soin de sa jeune sœur jumelle, Asa, recluse depuis sa naissance afin de satisfaire un rituel divin. Quand de mystérieux oiseaux de métal attaquent la cité ancestrale, les rouages du destin se mettent en marche…
J’aime qu’aucun des deux camps ne soient tout blanc ou tout noir.
Les deux jumeaux ne sont pas forcément en conflit mais ils ne sont pas proches non plus et il semble peu probable qu’il le devienne.
J’ai hâte de voir où va l’histoire et quels mystères vont être révélés.
La scène de la cave, avec le fils mangaka m’a beaucoup fait rire. Elle est très bien menée.
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Ils redoutaient leur union, elle sera la clé de leur bonheur…
Miyo Saimori descend d'une longue lignée de nobles dotés de pouvoirs surnaturels dont elle n'a elle-même pas hérité. Elle est envoyée dans la famille kudô pour épouser leur chef Kiyoka, réputé cruel et sans cœur. Mais en constatant que Miyo n'a rien d'une jeune noble élevée dans l'opulence, Kiyoka est intrigué et se prend d'affection pour elle. Notre jeune couple est désormais fiancé.
N'ayant reçu aucune éducation digne de ce nom, Miyo craint de ne pas être une épouse à la hauteur de son mari. Elle recommence alors son apprentissage avec Hazuki, la grande sœur de Kiyoka. Alors que nos deux amoureux subissent tous deux des journées éprouvantes, un homme mystérieux du nom d'Arata Tsuruki fait son apparition…
Miyo et Kiyoka apprendront le bonheur d'aimer et d'être aimé, mais aussi la souffrance qui accompagne ce bonheur…
Le manga est toujours aussi beau. J’aime beaucoup l’histoire, surtout les interactions entre Miyo et Kiyoka. Par contre, je préférais la partie précédente, avec la famille de la jeune fille. A voir sur quoi va déboucher le tome suivant.
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Il ne faut pas se mettre entre Marinette et son café du matin ;
L’écriture de Nobody’s famous est toujours aussi bonne mais ce genre de fic humoristique n’est pas ma tasse de thé. Je n’ai pas vraiment accroché.
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Pour voler au secours des enfants semi-humains, Naofumi et ses compères s'inscrivent incognito à un tournoi clandestin !
"On est chez nous… c'est notre village, ici ! Et on le défendra quoi qu'il en coûte !" Naofumi et le reste de sa compagnie se rendent à Zeltoble, où ils obtiennent la preuve irréfutable que des enfants semi-humains originaires du village de Lurolona sont vendus comme esclaves au cours d'enchères clandestines. Bien décidés à les arracher à cet effroyable destin, ils décident de gagner la plus grosse somme d'argent possible en participant à un tournoi, clandestin lui aussi ! Mais pendant leur absence, le village, laissé sous la garde de Keel, est attaqué par d'anciens adeptes de la religion des trois héros…
Naofumi et son équipe se rendent dans la ville où tout est permis pour retrouver les Sang-Mêlé du village de Raphtalia réduit en esclavage. Je me suis ennuyée. J’avais aimé retrouver un Naofumi bougon dans le tome précédent mais ici, ça m’a assez ennuyée. On voit tout de suite que le nouveau personnage que Naofumi rencontre, Nadia, n’est pas fiable et va lui apporter des problèmes.
Je veux qu’on revienne au base de l’histoire, avec les trois autres héros et les vagues de monstres à combattre. J’ai l’impression que l’histoire se perd depuis plusieurs tomes et je n’arrive pas à raccrocher.
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La joie occasionnée par le succès de Coco durant le défilé de la Nuit d'argent aura été de courte durée… Les festivités sont soudain interrompues par l'irruption de monstres géants dans la cité d'Esrest. Tandis que les habitants de l'île sont emportés dans un tourbillon chaotique, la milice magique, le roi insulaire et les sages luttent de concert pour limiter les dégâts !
L’histoire suit son cours. Kieffrey et Coco affrontent le grand sage qui fait partie de la Confrérie du Capuchon. L’autre jeune fille de la Confrérie fait face à sa victime qui a perdu la mémoire.
J’aime que l’histoire nous montre des personnages complexes qui doivent faire face aux conséquences de leurs actions et qui doivent composer avec leur environnement.
L’intrigue avance lentement mais reste très intéressante et j’ai hâte de voir la suite.
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Les Sang-Purs essaient de faire prendre sa place à Harry parmi les 28 Sacrés, qui regroupent les 28 familles les plus anciennes de Grande Bretagne.
La fanfic est amusante, surtout la manière dont Harry se fiche complètement de son héritage et sa frustration face à la persistance de ses camarades de classe.
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Tout le monde croit que le frère de Harry est le Survivant et Harry est envoyé à Azkaban sans raison. Les choses se compliquent quand l’Ordre du Phénix comprend son erreur.
Fanfic amusante à lire qui reprend quasiment tous les clichés du genre. C'est un petit plaisir coupable mais qui ne reste pas vraiment dans les mémoires
#hp fanfic#harry potter#wrong boy who lived#harry in azkaban#framed Harry#manipulative dumbledore#James Potter lives#Lily Potter lives#good Petunia Dursley#Good Vernon Dursley#Good Dudley Dursley#Severus Snape#dumbledore bashing#Hermione bashing#Ron bashing#James Potter bashing#Lily Potter bashing#good Voldemort#lu en 2023
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The Table
Pour que Sasuke puisse rester à Konoha, Naruto prétend qu’ils sont en couple.
Fanfic sans prétention, sympathique à lire.
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Depuis que Ginny et Harry se sont séparés, Mme Weasley exclut ce dernier. Mais Ron trouve que ça suffit et se range du côté de son ami.
Fanfic très intéressante qui analyse les dynamiques de la famille Weasley, bien au-delà de leurs seules relation avec Harry.
Je regrette un peu que la fic s’arrête au moment où Ron met les points sur les i avec sa mère. J’aurais bien aimé voir les suites de cette confrontation.
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Dead Man Walking
Kreacher a réussi à sauver Regulus de la grotte aux Inféris mais ce dernier tombe dans le coma. Il se réveille au bout de quatorze ans pour découvrir que les espoirs de détruire Voldemort reposent sur un jeune garçon qui mis à l’écart dans sa famille moldue.
J’ai vite été happée par cette fic. Les raisons de Regulus ne sont pas vraiment les plus solides mais la relation qui se noue entre lui et Harry est intéressante. Regulus n’est pas tout blanc, il n’a pas tant de remords et reste encore très Sang-Pur, même s’il n’attache pas d’importance à la supériorité du Sang.
Dommage que la fic ait été abandonnée. J’aurais beaucoup aimé voir la réaction de Sirius face à son frère, surtout que Harry lui est très attaché.
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Après la disparition de sa mère dans un incendie, Mahito, un jeune garçon de 11 ans, doit quitter Tokyo pour partir vivre à la campagne dans le village où elle a grandi. Il s’installe avec son père dans un vieux manoir situé sur un immense domaine où il rencontre un héron cendré qui devient petit à petit son guide et l’aide au fil de ses découvertes et questionnements à comprendre le monde qui l'entoure et percer les mystères de la vie.
A la sortie du cinéma, ma première impression a été « pourquoi ? » Pourquoi ce film, pourquoi cette histoire sans queue ni tête ? Qu'est-ce ce que l'auteur veut raconter ? Je n'ai pas compris le sens de ce récit.
Les motivations et buts des personnages sont restés obscurs pour moi, même Mahito qui veut absolument sauver Natsuko alors qu'il ne semblait pas l'apprécier au début.
Le monde dans lequel plonge Mahito est un univers onirique où tout n'a pas forcément de sens.
La situation de départ est un peu glauque : le héros perd sa mère et son père se remarie avec la soeur de celle-ci et la met enceinte en moins d'un an. Je ne sais pas s’il y a un aspect culturel que je n’ai pas compris mais j’ai trouvé ça trop bizarre.
Néanmoins, j’ai trouvé le début intéressant avec le mystère autours de cet oiseau et de cette tour. J’ai eu envie de voir la suite même si je me suis vite perdue ensuite.
Au final, j’ai un avis très mitigé sur ce film. Ce n’est pas le type de récit que j’aime. C’est beaucoup trop abstrait pour moi.
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Afin d’élucider le mystère du pilier des ténèbres, Akira et Chikage font route vers l’université où tout a commencé. Mais leur véhicule est subitement attaqué par deux tueurs sortis de nulle part.
De son côté, l’exorciste Suzu chargée d’appuyer Akira est suivie par un autre assassin jusque dans sa planque. Comment ces hommes ont-ils eu connaissance de l’itinéraire emprunté par Akira et de la cachette de Suzu ? Peu à peu, le plan terrible d’un ennemi encore invisible se met en œuvre.
Finalement parvenus jusqu’à l’université, Akira et son équipe sont contraints de rester sur la défensive face à une armada d’assassins qui fond sur eux. C’est à ce moment-là que le doute s’empare d’Akira. “Et si l’ennemi était au courant de nos faits et gestes ?”
Il décide alors de passer seul à l’offensive afin de déjouer la vigilance de l’ennemi, sans imaginer un seul instant qu’un adversaire encore plus puissant est sur le point d’entrer en scène.
Afin de mettre un terme à une longue relation passée, Tomori provoque en duel “Vieux Dragon”, le plus puissant des assassins. Quelle sera sa stratégie pour battre un homme contre lequel même Akira n'a rien pu faire ?
Le récit déjà mouvementé atteint son apogée avec l'apparition de l'homme à l'origine de cette mise en scène. Jusque-là, tout se déroule exactement comme il l'avait prévu…
On reste sur un manga très gore et où on a des filles à poils à toutes les occasions. Mais l’histoire est sympa. Akira se retrouve en difficultés dans ces tomes. On en apprend plus sur le passé des personnes et l’impact de ce passé sur le présent. J’ai hâte d’en apprendre plus sur Chikage et les raisons pour lesquelles elle ne serait pas digne de confiance. Je veux aussi en apprendre plus sur le maître d’Akira et ses liens avec son ancien employeur.
J’ai parfois eu un peu de mal avec le tome 7. J’aurais eu besoin de relire les tomes précédents pour bien tout remettre en place.
Ca reste une très bonne série qui arrive à me captiver et me donner envie de lire la suite.
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En pleine représentation de la pièce "Alice au pays de l'horloge" , Sakura disparaît de la scène et se retrouve plongée dans un monde mystérieux. Chaque personne qu'elle rencontre, chaque parole qu'elle entend la rapprochent de la vérité. Akiho est la Reine Rouge, Shaolan est le chat qui la guide… Tous les rôles sont distribués, l'histoire va pouvoir entamer son acte final !
Tome qui reste toujours un peu long. L’histoire avance mais vraiment lentement.
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