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#Années folles
trente-haines · 5 months
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/ Autoportrait /
Mon Socle. Roc.
C’est ainsi que je te nomme.
Toi, l’Abrupt. Le Puissant.
Empêcheur de tourner en r
d O
n
Garde du corps,
des
/ cœurs à cœurs /
pour
/ corps à corps /
Tu vises la Nuque. Ou l’Âme.
Ton Mantra incarné pour que Jamais
Je
ne réclame. ne réclamera.
Tu guettes la chimère, et sa voix de Sirène.
Interpeller les alouettes.
C’est ton Flair qui se drape,
Entre Elles ~ é.m.o.i
Ami de longue date,
Tu guides aux confins des Vérités.
Tu n’amoindris rien. Non,
Toi Tu Dis.
Tu réClames.
Ni chuchotements, ni niaiseries.
À. l’ é
q
u e r r e
Rétablir le désordonné.
Je te substitue ma Hauteur. Ma Teneur.
Je te vois, me refuser l’Espoir.
Moqueur - Fureur
Ô Guerrier sans Peur,
Qui.
Garde à l’œil.
au coeur.
Toi,
[ Orgueil ]
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culturefrancaise · 4 months
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Paris des années 20 en couleur (remasterisé) avec son ajouté.
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fidjiefidjie · 10 months
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🏖Un jour à la plage 🌊
Images des années folles restaurées 📽 Floride, Hollande, Vancouver, Alantic city, Biarritz, Odessa
Bel après-midi 👋
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raphlecia · 10 months
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Alice Prin (Kiki de Montparnasse), c. 1920, painted by Gustaw Gwozdecki (1880–1935)
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philoursmars · 6 months
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Je vais poursuivre dans les vieilles photos. Ici, des vestiges du siècle précédent... Des Années Folles aux années 30 en Auvergne !
1925 - Vichel. Les dames sont de sortie
1926 - Ceyrat : ma grand-mère maternelle (à droite) et , je pense, sa cousine
1932 - Château-sur-Cher. Ma grand-mère et ma mère, encore toute petite.
1933 - Clermont-Ferrand (Les Bughes). Peut-être une des usines Michelin en arrière-plan ?
1934 - Domérat. Coupe à la garçonne.
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suzujoon · 1 year
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MARVAL, Jacqueline. L'étrange Femme, 1920. Huile sur toile, 134 x 170 cm, collection particulière.
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focusmonumentum · 2 years
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Le Théâtre des Champs-Élysées
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Le Théâtre des Champs-Elysées ne se situe pas à proprement parlement sur le célèbre axe éponyme, mais sur la non distante avenue Montaigne, proche de la place de l’Alma. Construit en 1913 dans un style sobre et rigoureux, le bâtiment est considéré comme l’un des premiers représentants du style Art déco en architecture. Il abrite actuellement trois salles de spectacle et un restaurant au sommet, aligné sur les immeubles voisins.
Il était initialement prévu que la structure soit en acier, ce qui avait poussé son premier directeur, Gabriel Astruc, à choisir les architectes Henry Fivaz et Roger Bouvard. En 1910, Henry Van de Velde est « appuyé » à Bouvard. Van de Velde fait la connaissance d'Auguste Perret un an après ; c'est alors que la structure est envisagée en béton. Ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, Van de Velde est finalement évincé du projet. Auguste Perret transige un peu avec ses principes : s'il affirme ultérieurement que le « béton se suffit à lui-même », il habille ici la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l'Allier, où sont intégrés plusieurs bas-reliefs en partie basse de l’édifice, de gauche à droite, cinq allégories des arts : La Sculpture et l’Architecture, La Musique, La Tragédie, La Comédie et La Danse, en marbre blanc sculpté par Antoine Bourdelle. Les quatre groupes de poteaux intérieurs sont quant à eux laissés visibles.
Il fut inauguré le 31 mars 1913 par un concert de musique française avec la participation de Camille Saint-Saëns : La Mer de Claude Debussy, L'Apprenti Sorcier de Paul Dukas et le Prélude de Fervaal de Vincent d'Indy (toutes les œuvres étant dirigées par les compositeurs eux-mêmes), ainsi que la création de l’Ode à la musique d’Emmanuel Chabrier. À cette occasion, le faisceau de la tour Eiffel éclaire exceptionnellement la façade du théâtre. C'est dans cette salle qu'eurent lieu en particulier deux créations mondiales qui firent scandale : la première fut la création du Sacré du Printemps d'Igor Stravinsky le 29 mai 1913 (sous la direction de Pierre Monteux), qui suscita un formidable tollé où détracteurs et adjuvants en vinrent aux mains ; la deuxième, le 2 décembre 1954, fut la création de la véritable première œuvre musicale « mixte » (à savoir une œuvre pour instruments de musique et dispositif électroacoustique): Déserts d'Edgar Varèse, avec Pierre Henry à la bande magnétique et Hermann Scherchen à la baguette. Le choc inspiré par les interpolations provoqua huées, rires et quolibets. Le scandale qui en résulta fut comparable à celui du Sacre quelques 40 années plus tôt. À la suite de problèmes financiers, le directeur Jacques Hébertot se brouille avec son associé Rolf de Maré (également impresario des ballets suédois) et quitte le théâtre en 1925, abandonnant la direction de la Comédie à Louis Jouvet, et celle du Studio à Gaston Baty. De Maré fait de la grande salle un music-hall et programme une nouvelle attraction : les Black Birds et les danseurs de la Revue nègre. Parmi eux, une jeune femme noire, à peine couverte d’une jupette de plumes verte, les cheveux courts plaqués sur la tête, fait sensation. Il s’agit de la danseuse Joséphine Baker. Sa façon de se mouvoir dans l’espace, d’emprunter des gestes animaliers ou de faire des grands écarts désarticulés bouscule tous les canons de la danse, dans ces "années folles" empruntes de Charleston. Pour certains, cette impudeur est un scandale. Le journaliste Robert de Flers écrit même : « Nous sommes en train de remonter au singe plus vite que nous en étions descendus. » [...] Mais Baker a ses fans. Parmi eux, les peintres Pablo Picasso (qui la fait connaître dans toute l’Europe), Fernand Léger et Kees Van Dongen, les écrivains René Crevel (qui revient chaque soir pendant un mois), Colette ou encore Jean Cocteau. Née à Saint-Louis, dans le Missouri, d’une mère blanche et d’un père noir, Joséphine Baker échappe par la danse à sa condition. Avec la Revue nègre, elle débarque à Paris, qui deviendra sa terre d’accueil, son fameux « deuxième amour », avec son pays. Elle triomphera aux Folies Bergère quelques années plus tard, mais nous y reviendrons à l’occasion. 
De 1949 à 1978, le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli les Musigrains, des cycles de concerts-conférences pédagogiques, axés sur la musique classique, avec des incursions dans la musique contemporaine, la danse classique ou moderne, le folk et le jazz. En 1986, à l’initiative de Georges Francois Hirsch, alors directeur général, une rénovation intégrale de la cage de scène de la grande salle est opérée, remettant en valeur les dorures de l'écran de fond de scène en acier, conçu à l'origine comme un monumental coupe-feu en cas d'incendie, leçon tirée des tragiques incendies de l'Opéra Comique et du Bazar de la Charité à la fin du XIXème siècle. 
Le bâtiment comporte de nos jours trois salles de spectacle, ordonnées comme suit : une grande salle à l'italienne de 1 905 places, destinée à l'opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre. Haut lieu de la musique classique à Paris (avec la salle Pleyel, la Cité de la Musique et la salle Gaveau), le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli de nombreux orchestres symphoniques tels les orchestres philharmoniques de Vienne, de Munich, de New York, l'orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise ou l'orchestre royal du Concertgebouw d'Amsterdam. L’Orchestre national de France y est actuellement en résidence.
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Le toit-terrasse du théâtre accueillit en 1924 le tournage d’Entr’acte, le moyen-métrage expérimental de René Clair, à l'occasion de l'entracte du ballet bien nommé Relâche, orchestré par Francis Picabia. Représentant la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse, Entr'acte est aujourd'hui considéré comme le film précurseur du mouvement surréaliste au cinéma.
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carbone14 · 2 years
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Fashion study - Vienne - Environ 1920
Photo de Madame d’Ora
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tv-moments · 1 year
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Westworld
Season 4, “Années Folles”
Director: Hanelle M. Culpepper
DoP: John Conroy
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page-a-pages · 2 months
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Les orphelins héros
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Voici quatre romans - deux pour adultes, deux pour enfants - qui ont pour héros des orphelins.
Convoi pour Samarcande - Gouzel Iakhina
Au début des années 1920, une terrible famine se déclare en Russie. La région de la Volga est particulièrement touchée. En 1923, le gouvernement met en place un programme d’évacuation des enfants, la plupart orphelins, de Kazan, la capitale du Tatarstan, à Samarcande, ville du Turkestan, épargnée par les désastres de la révolution et de la guerre civile. Le voyage se poursuit sur quatre mille kilomètres à travers forêts, steppes et déserts. Deïev, un jeune officier de l’Armée rouge, se voit attribuer la responsabilité d’un train qui accueille à son bord pas moins de cinq cents enfants, tous très atteints dans leur santé physique et parfois mentale. Les accompagnent également la commissaire Blanche, l’infirmer Bourg, un chauffeur, des femmes chargées de s’occuper des enfants et, j’allais oublier, le lecteur pris dans ce périple souvent cauchemardesque dès les premières pages.
Les chapitres s’enchaînent tels les wagons du convoi. Le lecteur ne repose le livre que pour faire des pauses tant la situation est dramatique, mais il le reprend vite, attaché qu’il est aux personnages, aux enfants, incarnés, qui se sont donné mutuellement des surnoms; au gré de petites victoires, par exemple, quand il y a à manger. Mais ce n’est pas tout: même si ces gamins portent sur leurs corps et leurs visages les traces d’un vécu qui les fait ressembler à des petits vieux, ils conservent au fond d’eux des étincelles d’enfance, et les accompagnants en sont bouleversés. Les adultes ne sont pas en reste. On devine chez eux des blessures, en particulier chez Deïev qui, ayant pris part à la guerre civile, cherche à tout prix à expier ses horreurs, au risque de devenir fou. Mais quel héros magnifique, en particulier dans ses bras de fer contre les périls que sont la maladie, la famine, les conflits et dangers qui surgissent en route!
Gouzel Iakhina nous offre un des plus beaux romans parus en 2023 et dont on se souviendra longtemps. Son travail de documentation est à saluer. A la fin du livre, elle a pris soin de faire figurer un lexique avec les noms des enfants et leur signification. Elle les a inventés sur le modèle de sobriquets réels en se basant sur différentes sources. Son humanité leur donne une existence.
Le Verger de poires - Nana Ekvtimishvili
Autre lieu, autre époque. Nous sommes à Tbilissi, capitale de la Géorgie, au début des années 1990. Dans la proche banlieue, et plus particulièrement dans la rue de Kertch, nous faisons la connaissance de Lela, une jeune fille qui a été élevée à l’ « école des idiots ». Cette institution, héritée du passé soviétique, accueille des handicapés mentaux et des enfants orphelins. Agée de 18 ans, Lela y demeure encore - faisant partie des meubles - et y travaille. Elle protège comme elle peut les enfants, les pousse à étudier, malgré la médiocrité des cours, pour qu’ils puissent un jour tenter de voler de leurs propres ailes. Parmi eux, il y a Irakli, un garçon obnubilé par l’idée que sa mère vienne le chercher, ce qu’elle ne fera bien sûr jamais. Un jour, c’est l’effervescence dans l’internat: un couple d’Américains se présente qui cherche à adopter un enfant. Et si c’était Irakli ?
Le roman s’ouvre alors que Lela prend une douche dans le vieux bâtiment des bains. Sous le jet d’eau chaude, elle répète inlassablement : « Je vais tuer Vano… Il faut que je tue Vano. » Vano est le professeur des enfants dont il abuse, comme il a abusé de Lela. Et ce n’est pas le seul. Le ton est donné. Mais reprenons le récit. Voici justement Irakli qui vient chercher Lela. Dali, la surveillante, a besoin d’elle. Nous traversons la cour et découvrons par la même occasion le bâtiment et ses habitants. L’institution fait partie du quartier et sa vie y est imbriquée. Par exemple, les mariages se font dans le grand réfectoire. Les enfants y participent, de loin certes, mais ils assistent aux préparatifs, à la fête - une grande table est dressée pour eux un peu à l’écart. C’est l’occasion de se remplir la panse et de tout observer. Une bien maigre ouverture sur un monde où l’horizon se ferme, pour ses habitants comme pour les orphelins, au-delà de la rue de Kertch.
Malgré tout, Lela, comme d’autres, lutte pour que ses protégés en réchappent. Et une fois qu’elle aura tué Vano, elle partira elle aussi. Ce récit qui décrit bien l’atmosphère post-soviétique n’est pas dénué d’humour, voire d’une certaine naïveté, celle du regard de Lela, héroïne attachante à qui l’on souhaite, ainsi qu’à tous ces enfants grandis trop vite, un avenir un peu moins sombre.
Le Corbeau de nuit - Johan Rundberg
Place à des romans pour la jeunesse. Le premier se déroule à Stockholm en1880. Mika a 11 ans. Elle ignore tout de sa naissance et vit dans un orphelinat. Trop âgée pour aller à l’école, elle y travaille, quand elle ne sert pas à « La Chapelle », une taverne peu recommandable. A l’orphelinat, elle a un oeil sur les enfants qu’elle tente de protéger. C’est l’hiver, la nourriture manque et le froid est glacial. Des gamins des rues tentent régulièrement d’être admis dans l’établissement. En vain. Une nuit, un adolescent s’y présente. Mika lui ouvre la porte et se retrouve avec un paquet dans les bras qui contient un nouveau-né. Le jeune, terrorisé, confie à Mika que L’Ange noir est au courant de l’enlèvement du bébé. Puis, il s’enfuit.
Le lendemain, à la demande de la directrice, un agent de police se présente pour procéder à l'enregistrement du bébé et poser des questions à Mika sur les circonstances de l’abandon. Cette dernière décrit l’adolescent et mentionne l’Ange noir. Cela attise la curiosité d’un de ses collègues, l’inspecteur Valdemar Hoff, qui convoque à son tour Mika. Un crime a été commis la nuit où le bébé a été déposé à l'orphelinat. L’Ange noir en est-il l’auteur ? Le mode opératoire rappelle celui du Corbeau de nuit, un assassin en série qui a été exécuté quelques mois auparavant. Hoff ne met pas long à réaliser que la gamine est futée et ferait une excellente enquêtrice, habituée qu’elle est à tout observer afin d’échapper à de potentiels dangers. Le géant bourru aux méthodes peu conventionnelles et la fine mouche vont s’associer pour élucider une affaire de crimes en série, tous plus horribles les uns que les autres. Pour Mika, ce sera aussi l’occasion de tenter de percer le secret qui plane autour de ses origines; surtout quand elle découvre que, comme le bébé abandonné, elle portait à la naissance un bracelet de cuir orné de petites fleurs…
De ce roman, on aime tout: les personnages hauts en couleur et très attachants - dont le duo improbable de héros -, l’atmosphère sombre et glaciale, les descriptions des lieux, l’enquête palpitante, les moments de douceur entre Mika et le bébé. Le mystère autour de la naissance de Mika ne sera pas résolu, mais quelques indices sont avancés. Et comme, il s’agit d’une série, on a hâte d’en savoir plus et de participer à une nouvelle enquête.
Elisabeth sous les toits - Vincent Cuvellier
A l’âge de 10 ans, Elisabeth s’est enfuie de son orphelinat en Bretagne pour rejoindre Paris où elle pense mener une vie meilleure et obtenir des informations sur ses parents. Arrivée dans la capitale, deux clochards l’adoptent et la conduisent à l’immeuble de la rue Marbeuf où ses parents ont vécu et où elle s’installe dans la clandestinité, se cachant le jour et sortant la nuit. La capitale se répartit en plusieurs territoires: dont, à l’est, celui des apaches, voyous et truands en tout genre, et, côté Opéra, celui les riches. Voyous et bourgeois se côtoient à la Bastille où les Auvergnats ont ouvert des restaurants et des commerces de charbon. Rue de Lappe, les bals musette fleurissent et l’on danse la java. La gamine, qui n’a pas froid aux yeux, n’hésite pas à franchir la porte du Balajo où elle fait la connaissance de Blaise Cendrars qui la prend sous son aile et lui présente ses amis : Picasso, Foujita, Max Jacob, entre autres. Et même un « nègre » danseur de charleston. On se prend d’amitié pour cette gamine débrouillarde et courageuse qui ne craint ni les Schmolls, petits êtres fantastiques et malfaisants dont son immeuble est envahi, ni les fantômes. Elle nous fait découvrir des personnages et des lieux emblématiques du Paris d’après-guerre et l’atmosphère des années folles. Vincent Cuvellier signe ce bon roman d’aventure lié à l’Histoire. A l’instar de ses personnages, son écriture est vivante, émaillée de mots d’argot, en particulier dans les dialogues. A la fin du livre figure un bonus avec les paroles de la chanson « Les Goélands », un quizz sur les années 1920 à Paris et trois femmes qui ont fait bouger les Années folles: Coco Chanel, Joséphine Baker et Louise Brooks.
Alexandre sur les flots, suite des aventures d'Elisabeth, sortira au mois de mai. On s'en réjouit!
Convoi pour Samarcande, Gouzel Iakhina, trad. Maud Mabillard, Noir sur Blanc, 2023
Le Verger de poires, Nana Ekvtimishvili, trad. Maïa Varsimashvili-Raphael et Isabelle Ribadeau Dumas, Noir sur Blanc, 2023
Le Corbeau de nuit, Johan Rundberg, trad. Marina Heide, Thierry Magnier, 2023
Elisabeth sous les toits, Vincent Cuvellier, ill. Guillaume Bianco, Little Urban, 2023
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culturefrancaise · 1 year
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Allez lui donner du love, elle n’a pas beaucoup de vues et elle est chouette <3
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fidjiefidjie · 2 years
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🇨🇵 "Le 14 juillet à Montparnasse, le bal Bullier" 🇨🇵
Huile sur toile 🎨 de ©️ Adrienne Jouclard
Bon après-midi 🙋‍♀️
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teleclub · 7 months
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Natalia GONCHAROVA - Grand Bal de Nuit Le 23 Fevrier Salle Bullier
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philoursmars · 9 months
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Marseille. Au MuCEM, une très intéressante expo : "Fashion-Folklore".Le titre parle de lui-même.
Franck Sorbier - robe "Larantuka"
mannequin de couturière - France, XXe s.
Jeanne Lanvin - robe de jour "Toutankhamon" 1923
Paul Poiret - robe 1912 faite d'une nappe russe
Jeanne Lanvin - chapeaux 1920
Jeanne Lanvin - album de dessins "Toutankhamon" 1923
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restonscalmes · 1 year
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La danseuse
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songedunenuitdete · 1 year
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A Dark Inheritance de H.F. Askwith
⭐J'ai lu A Dark Inheritance de H.F. Askwith / @BragelonneFR 🌸J’ai apprécié la plume simple, mais néanmoins efficace de H.F. Askwith.
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