#Ferrari 412 T2
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I found a really interesting F1 Japanese game called SD F-1 Grand Prix that is inspired on the 1995 F1 season with animal characters that are based on real 90s drivers. Anyways, I found it cute so I wanted to share it with you guys.
Every driver's performance based on 4 stats: Speed, Torque, Grip and Weight. The highest rating is 5 and the lowest 0. (Blank = 0)
Speed: Self explanatory that refers to the driver's top speed he can reach in a straight line.
Torque: That shows how fast a driver reaches his top speed.
Grip: Higher grip means you can turn with faster speed without sliding.
Weight: Weight only matters when two drivers hit each other. Drivers with higher weight rating tends to push aside lighter drivers, plus the heavier drivers cause more damage on collision than the lighter one.
https://gamefaqs.gamespot.com/snes/571373-sd-f-1-grand-prix/faqs/69920
TEAM MCLAREN (MP 4/10)
Name: Mika Bower (Dog)
Based on: Mika Häkkinen
Speed: ✰✰✰
Torque: ✰✰✰
Grip: ✰✰✰
Weight: ✰
TEAM BENETTON (B 195)
Name: Wolf Schwarz (Wolf)
Based on: Michael Schumacher
Speed: ✰✰✰✰
Torque: ✰✰✰✰✰
Grip: ✰
Weight: ✰✰
Name: J.J. Bitt (Squirrel)
Based on: J.J. Lehto
Speed:
Torque: ✰✰✰✰✰
Grip: ✰✰✰✰✰
Weight:
TEAM FERRARI (412 T2)
Name: Jean Gallop (Horse)
Based on: Jean Alesi
Speed: ✰✰✰✰✰
Torque:
Grip:
Weight: ✰✰✰
Name: Gertie Bunny (Rabbit)
Based on: Gerhard Berger
Speed: ✰✰✰✰✰
Torque:
Grip: ✰
Weight: ✰
TEAM WILLIAMS (FW 17)
Name: Debbie Birdie (Bird)
Based on: Damon Hill
Speed: ✰✰✰
Torque: ✰✰✰✰
Grip: ✰✰
Weight: ✰✰
TEAM TYRRELL (T 023)
Name: Chu Kamikaze (Mouse)
Based on: Ukyo Katayama
Speed: ✰
Torque: ✰✰
Grip: ✰✰✰✰✰
Weight:
TEAM JORDAN (J 195)
Name: Barry Leppard (Leopard)
Based on: Rubens Barrichello
Speed: ✰
Torque: ✰✰
Grip: ✰✰✰
Weight: ✰✰
Name: Ed Alban (Chicken)
Based on: Eddie Irvine
Speed: ✰
Torque: ✰
Grip: ✰✰✰✰
Weight:
TEAM SAUBER (C13)
Name: Andy Bear (Bear)
Based on: Andrea de Cesaris
Speed:
Torque:
Grip: ✰✰✰✰✰
Weight: ✰✰✰✰✰
SECRET DRIVERS
After beating the 4 basic rounds in Crash Race, in the World Round you have to face 3 new drivers based on legendary ex-pilots and if you win against them too, a final challenger awaits you...
TEAM WILLIAMS (FW 14/15)
Name: Professor Alan (Hawk)
Based on: Alain Prost
Speed: ✰✰✰✰
Torque: ✰✰✰✰
Grip: ✰✰✰✰✰
Weight:
Name: King Lion (Lion)
Based on: Nigel Mansell
Speed: ✰✰✰
Torque: ✰✰✰
Grip:
Weight: ✰✰✰
TEAM LOTUS (L 99T)
Name: Sir Nakazee (Owl)
Based on: Satoru Nakajima
Speed: ✰✰
Torque: ✰
Grip: ✰✰
Weight:
FINAL CHALLENGER
TEAM MCLAREN (MP 4/6)
Name: Prince Phoenix (Phoenix)
Based on: Ayrton Senna
Speed: ✰✰✰✰✰
Torque: ✰✰✰✰✰
Grip: ✰✰✰✰
Weight: ✰
Here is a longplay if you are interested some more.
youtube
#mika häkkinen#michael schumacher#jean alesi#gerhard berger#damon hill#alain prost#nigel mansell#ayrton senna#f1#classic f1#formula 1
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#gerhard berger#formula 1#1995#ferrari#grand prix#racing#Ferrari 412 T2#3.0 litre#V12#f1#argentina#buenos aires
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Jean Alesi 1995 Ferrari 412 T2
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Ferrari 412 T2 cockpit (1995). - source F History & Legends.
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1995 Ferrari 412 T2 3.0L V12
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For Sale: 1995 Ferrari 412 T2 Formula 1 Monocoque – Ex-Gerhard Berger
1995 Ferrari 412 T2 Formula 1 Monocoque – Ex-Gerhard Berger
#f1 #formula1 #ferrari #racing #carbonfiber #engineering #monocoque #racecar #GerhardBerger
This is the monocoque of a Ferrari 412 T2 Formula 1 car driven by Gerhard Berger in 1995. Modern Formula 1 cars all use a similar structure that centers around a carbon fibre monocoque, first pioneered by the McLaren MP4/1 all the way back in 1981.
The carbon fibre monocoque is essentially an ultra-lightweight, rigid carbon tub. The front suspension and wing is bolted to the front, and the…
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9- Nouveaux horizons (Le Tyrolien de la Formule 1)
Tous les membres de Ferrari prononcent la même phrase lors de la présentation de la nouvelle monoplace, début février 1995 : “Ce sera quitte ou double”. Si la 412 T2 reprend les lignes de sa devancière, John Barnard a abandonné le système de suspension à flexibilité et a succombé à la mode des deux pédales, l’embrayage étant désormais manuel. Dès le premier Grand Prix, à Interlagos, Berger et Alesi doivent déchanter. S’ils sauvent les meubles aux essais, ils se font larguer par la concurrence en course. Les V10 Renault des Benetton et des Williams - passés comme tous les moteurs de 3,5 à 3 litres de cylindrée pour répondre aux exigences de la nouvelle réglementation - ont pris un tour aux V12 Ferrari. L’Autrichien gagne sur le tapis vert cette première manche, mais la FIA reviendra sur sa décision de mettre or course les monoplaces utilisant le carburant Elf. Berger récupère donc sa logique troisième place.
Pour huit millièmes de seconde, Gerhard Berger loupe la pole position du Grand Prix de Saint-Marin. Auteur d’un bon début de course, il cale son moteur lors de son arrêt au stand. Berger finira troisième, comme en Espagne, à Monaco, en Allemagne et en Hongrie. Une période faste, pleine de régularité qui laisse entrevoir une formidable fin de saison. Hélas, plus la fin du Championnat se rapproche, plus les Ferrari perdent de leur fiabilité. Les bolides rouges sont victimes de maux qui secouent toute l’équipe italienne. Le moral n’est plus là. Architecture du V12, problèmes d’adaptation des suspensions aux pneumatiques... les critiques fusent et la concurrence rit. A l’image de Flavio Briatore et de son poulain, Michaël Schumacher. Le Champion du monde en titre éblouit par ses performances et sa stratégie adaptée sur mesure par toute l’équipe Benetton. Seul le Grand Prix du Canada, où Alesi décroche sa première victoire, échappe à la filière Renault. A Montréal, la Ferrari de Berger tombe en panne sèche juste avant le ravitaillement. A Magny-Cours, le tuyau de remplissage refuse de fonctionner lors de son arrêt au stand. Enfin, à Silverstone, il repart des stands mais est contraint à l’abandon suite à une roue mal fixée.
En s’imposant dans son jardin d’Hockenheim, Michaël Schumacher prend sa revanche sur 1994. Mais l’Allemand voit déjà la vie en rouge. Ferrari ne cache en effet pas son intention de recruter la jeune star à coups de millions de dollars pour 1996. La moitié du Championnat est tout juste atteinte que la saison des transferts est déjà ouverte. Troisième dès le feu vert, Berger est quant à lui pénalisé de dix secondes pour départ anticipé. Il plonge à la 14e place et livre une course à l’attaque, “comme pour des tours de qualif”, pour ramasser les quatre points de la troisième place.
Comme cadeau d’anniversaire, Gerhard Berger s’offre une pole position à Spa-Francorchamps où Schumacher officialise son union avec Ferrari. Au fait, cela vous fait quel âge M. Berger ? “Vous n’avez qu’à dire que j’ai trente deux ans, je ne veux même pas savoir que j’en ai trente six. Quand on me souhaite, “bon anniversaire” je ne sais jamais quoi répondre, j’ai l’air d’un idiot. C’est la raison pour laquelle je n’aime pas ça”. Comme chaque année, les essais belges sont perturbés par la pluie et l’Autrichien a juste eu le temps d’effectuer un tour sur le sec avant que la piste ardennaise ne se transforme en patinoire. “Il pleuvait déjà pendant mon premier tour” tonnera-t-il. Un problème électronique, comme au Nürburgring et à Suzuka, mettra un terme à la course du pilote Ferrari.
Dimanche 10 septembre 1995, autodrome de Monza, 14e tour. Tous les tifosi voient un doublé Ferrari se profiler. Debouts, ils ovationnent “leurs” pilotes qui mènent le Grand Prix d’Italie. Gerhard Berger devant Jean Alesi, puis, après l’arrêt au stand, le Français devant l’Autrichien. Première alerte au 33e passage. Berger abandonne dans un nuage de fumée, suspension avant gauche cassée par la caméra d’Alesi qui s’est détachée de l’aileron arrière. “C’est terrifiant, j’ai vu la caméra voler vers moi. Si elle m’avait touché à la tête, les conséquences auraient pu être terribles. C’est dommage car la voiture fonctionnait bien ” confie l’auteur du meilleur tour en course. A six tours de l’arrivée, toute l’Italie connaît une nouvelle désillusion avec l’abandon d’Alesi, suspension cassée. Après l’accrochage Hill-Schumacher, Johnny Herbert peut assurer sa deuxième victoire en Grand Prix.
Vendredi matin, surprise dans le paddock d’Estoril. Personne ne reconnaît le casque du pilote qui se glisse dans la Ferrari numéro 28. Il s’agit pourtant de Berger qui porte l'œuvre du vainqueur d’un concours réalisé par un quotidien italien. Décoration inédite faite de drapeaux de plusieurs pays et de quelques mots bien visibles : No war in the world.
A Ti Aïda, Michaël Schumacher remporte le Grand Prix du Pacifique et devient Champion du monde pour la deuxième année consécutive. Berger est arrivé au village d’Aïda jeudi soir. Aux commandes de son Cessna Citation - en provenance du continent européen via entre autres la Sibérie et Pékin - il a atterri à Okayama vers 15h10 et n’a aucune envie de se reposer. A quelqu’un qui lui conseille de dormir, Berger répond en riant : “Plus on vieillit, moins on dort...”
Libérée de toute pression, la caravane de la Formule 1 s’apprête à célébrer joyeusement la fin du Championnat 1995. Ce devait être la fête. Adélaïde voulait marquer ce dernier Grand Prix couru dans ses rues avant le déménagement à Melbourne où sera ouverte la saison 1996. Dix minutes après la première séance d’essais officielle, la joie fait place à l’inquiétude suite à une violente sortie de Mika Häkkinen. L’incident est survenu dans une courbe rapide, à près de 200 km/h. La Mac Laren Mercedes est devenue incontrôlable après une crevaison. Elle a décollé de l'arrière, pivoté pour terminer sa course folle dans une rangée de pneumatiques protégeant un mur. Samedi, le Finlandais quitte l’unité de soins intensifs du Royal Hospital d'Adélaïde. Mika sera miraculé, au même titre que Karl Wendlinger. Le retour à la compétition de ce dernier a cependant soulevé beaucoup d’inquiétudes et il est désormais acquis que l’Autrichien ne retrouvera pas la compétitivité d’avant son accident monégasque. Pour Berger, la course australienne se termine en fumée et dans une grosse colère. Il aurait aimé conclure son dernier Grand Prix pour Ferrari par une bonne note, mais son moteur en a décidé autrement.
Schumacher chez Ferrari, Alesi chez Benetton, Villeneuve confirmé aux côtés de Hill chez Williams, Berger navigue dans le flou en août 1995. Juste avant le Grand Prix de Monaco, Luca di Montezemolo lui confie un projet de contrat pour 1996. Mais Berger a découvert l’opération Schumacher-Ferrari. A Spa-Francorchamps, Ron Dennis prend Berger par le bras pour l’emmener sous l'auvent Mercedes. Flavio Briatore les observe depuis son mobil-home Benetton. L’Italien dialogue avec l’Autrichien depuis trois semaines. De son côté, Jean Todt veut garder Gerhard Berger, “figure emblématique de Maranello”. En quittant les Ardennes belges, ce 27 août 1995, Berger ne donne toujours pas son accord formel à Todt. Pas plus qu’à Dennis ou à Briatore. Ce dernier rejoint le pilote autrichien sur son bateau, en Méditerranée, le 28 août. Le temps presse plus pour Briatore que pour Berger. Les 29 et 30 août, Berger reste impassible durant les essais privés Ferrari à Fiorano. Jean Todt se montre un peu plus pressant. Le Tyrolien est alerté par des échos selon lesquels ses services seraient trop chers pour Fiat. Pour ne pas voir sa cote chuter, Berger réagit au plus vite. Dans la matinée du 31 août, il promet à Briatore - qui a reçu de Renault tout mandat pour une offensive sur le pilote Ferrari - une réponse définitive sous peu. “C’est OK... ” lui annonce-t-il. Briatore fonce à Monaco auprès de Berger, en pleins préparatifs de mariage avec sa compagne portugaise Ana Maria Laranjeiro-Corvo. Fort correct, l’Autrichien avertit Luca di Montezemolo par téléphone. La consternation tombe sur la Scuderia où certains espéraient que Berger refuserait de partir. Le lendemain, alors que Gerhard et Ana-Maria se rendent à la mairie de Monaco, un communiqué de presse Benetton Renault révèle la signature d’un contrat de deux ans avec Gerhard Berger. Le 2 avril au matin, Flavio Briatore parcourt tous les quotidiens européens et apprend les tenants et aboutissants de ce transfert.
Le duo aux volants des Ferrari sera donc reconstitué au sein de l’équipe championne du monde en titre. Ce transfert est un retour aux sources pour Berger qui a remporté son premier Grand Prix sur une Benetton, en 1986. “Je m’attends à trouver cette ambiance agréable qui plaît tant chez Benetton et je vais continuer à faire équipe avec mon ami Jean...” a commenté le dernier survivant des paddocks de la génération des pilotes ayant marqué les années 80. La naissance de sa deuxième fille, Sarah Maria, en octobre, l’a transformé de joie ; “ce ne sera certainement pas mon dernier enfant.” Gerhard Berger n’a pas perdu son sens de l’humour. En révélant qu’il était père pour la deuxième fois il a déclaré au sujet de l’usage du préservatif : “C’est comme la ceinture de sécurité en voiture. Ce n’est pas confortable, mais on s’y habitue”. Aujourd’hui, il ne veut rien perdre de ce bonheur de la famille qu’il a refusé 15 ans plus tôt pour se consacrer à la compétition automobile. L’avenir dira si ce vœu est compatible avec son nouvel investissement chez Benetton Renault.
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In 1992 FIA modified the regulations both to slow the cars down and to make them safer. Displacement was reduced to 3 litres. Ferrari was already prepared for the change and the 412 T2 was quick and reliable from the start. It was the last V12 engined Ferrari F1 car. #formula1 #ferrari #formulaone #scuderiaferrari #mclaren #f1 #michaelschumacher #lamborghini #porsche #bmw #supercars #luxury #youtuber #video #carstagram #instagram #drivetastefully #bugatti #carporn #cars #audi #supercar #car #carswithoutlimits #mercedes #rollsroyce #bentley #amazingcars247 #carporn #madwhips https://www.instagram.com/p/CAgXnb7l11J/?igshid=vgapfydhvoku
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When Schumacher was shocked by the power of the V12 Ferrari . . . . In 1996 on the Paul Ricard circuit, before becoming official as a Ferrari driver, Scumacher did a test with the 412 T2 of the previous season, from 1995. In fact, during that test he still wore a white suit without sponsors, since the various commercial agreements were still missing. On that day Michael tested a 412 T2 with a V12 engine from 1995 and a version of the 412 T2 with a V10 engine that would accompany him during the 1996 season. During the test of the model with V12 engine, the German driver was shocked by the extreme power of that engine and amazed by the fact that Ferrari had not managed to win the world championship with all that power the previous season. Scumacher also tried to maintain that engine for the 1996 season, but being the new car already in an advanced stage of development, Ferrari technicians preferred the V10 engine. . . #schumacher #ferrari #1996 #paulricard #v12 #testing #f1 #f170 #keepfightingmichael #essereferrari🔴 #power https://www.instagram.com/p/CAfnhNpAlMK/?igshid=1e3kkkhvcmup8
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Jean Alesi (Ferrari 412 T2 Ferrari 044/1 3.0 V12) Grand Prix d'Argentine - Buenos Aires 1995. - source F1 Old and New.
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2020 Retromobile In Photos
Held for the 45th time this year, the annual Retromobile is the leading classic car fair in the world. Spread over three halls of the Paris Expo Porte de Versailles, the event attracts exhibitors and vendors from around the globe. Among the special features of this year’s show were displays for Bertone show cars and Tatras, while Swiss dealer Lukas Hüni dedicated his massive stand to Alfa Romeo’s 110th anniversary. We strapped on our walking shoes to explore the 2020 Retromobile to capture all the stars, which we’ve gathered in this list of eleven highlights.
Nissan R390 GT1
Very lenient regulations prompted a very brief run of purpose-built yet road-legal GT1 racers during the late 1990s. Among them was the Nissan R390, which was produced by TWR and featured an engine derived from a Group C car. While a road-legal example was produced, no R390 was ever sold to a private collector—that is until very recently, when one of the competition cars left the Nissan Museum. It made its first public appearance here, on the stand of the Ascott Collection.
Ferrari 412 T2
Many successful partnerships start quite inconspicuously. That was also the case when Michael Schumacher joined Ferrari at the end of the 1995 season. He kicked off what would eventually turn out to be an all-conquering run at the legendary Italian marque. This 412 T2 was raced by Jean Alesi, and was used by Schumacher only in testing. Interestingly, this is the only V-12 Grand Prix Ferrari driven by Schumacher during his career.
Porsche 935/81 ‘Moby Dick’
The equivalent of the late 1990s GT1 class during the late 1970s and early 1980s was Group 5. This class resulted in some wild silhouette racers, none more extreme than Porsche’s 935/78 ‘Moby Dick’, which reached a staggering 227 mph at Le Mans. This car is one of two built by Joest Racing ahead of the 1981 season using Porsche’s drawings. Amazingly, somewhere inside this 760-hp machine lies a Porsche 911 Turbo shell, all but hidden. The only bits of the donor car that are visible are the roof and the doors. Raced extensively in its period, this car has just been restored by French specialists Equipe Europe, before being displayed at Retromobile.
Alfa Romeo 8C 2300
One of the all-time great cars, and the personal favorite of your author, it is an absolute treat to see one of the just 188 Alfa Romeo 8C 2300s in the flesh, let alone the half dozen that formed part of Lukas Hüni’s Alfa Romeo celebration. Designed by the legendary Vittorio Jano, the eight-cylinder machine is a mechanical work of art to look at, and was also hugely successful in racing during the first half of the 1930s. The versatile machine was dominant in the Mille Miglia, scored Grand Prix victories, and also won Le Mans four years in a row. The 8C 2300 could also just as easily be used on the road, and many were fitted with superb custom coach work.
McLaren F1
Built in the same spirit as the 8C 2300 and designed by Gordon Murray, the McLaren F1 is still considered by many as the ultimate supercar. Powered by a high-reviving BMW V-12, it was intended as a relatively practical road car. Nevertheless, it managed to also win Le Mans outright in 1995 with limited modifications. Swiss watch manufacturer and great enthusiast Richard Mille really brought his A-game by bringing together four F1s at Retromobile this year. Among them was the actual Le Mans winner and a road car that has recently been restored by McLaren Special Operations.
Tatra
As mentioned earlier, one of the featured marques this year was Tatra from the Czech Republic. The company is best known for its rear-engine luxury cars that were built well into the 1990s. Many great examples of these quirky machines were on display, but we were particularly taken by the slightly earlier Tatra 11 on show. Built between 1923 and 1927, Tatra built these cars using a single-tube chassis that connected the engine with the rear axle. The front suspension mounted directly on the flat four, making the engine a fully stressed member of the chassis.
Bertone
One of the longest surviving of the Italian carrozzeria was Bertone (the brand lives on as a design firm). Among the many legendary cars produced by Bertone were the Lamborghini Miura and the Lancia Stratos. Bertone also built many one-off show cars, some of which were brought out for Retromobile this year. Despite the often very wild designs, all but one of the cars on display are fully functioning. This included the 1988 Genesis MPV, which is based on Lamborghini underpinnings and features a V-12 engine mounted under the dashboard.
Pegaso Z102B Saoutchik
There have been few companies in history that produced cars as elegant as Pegaso’s or coachwork as refined as that of Saoutchik. When they collaborated, the results were often spectacular, and this example shown by Hamann Classic Cars is clearly no exception. Finished in a truly striking color combination, this is one of five built in this configuration and was actually shown at the Paris Motor Show in 1954. Underneath the wild bodywork sits a fabulous twin-cam V-8 engine that is crammed so tightly in the chassis that it needs to be pulled out even for simple maintenance such as a valve adjustment.
Ferrari 330 P4
With just three built, the Ferrari 330 P4 of 1967 is rare, but what really sets it apart are the achingly beautiful lines of the Drogo built bodywork. Following its contemporary racing career, the car had a somewhat colorful history, as it was owned for many years by American collector Walter Medlin. Medlin often forgot to pay his taxes, so his precious 330 P4 was under threat of confiscation by the IRS several times over the years.
Bugatti EB 110 SS
The Bugatti marque was revived for the first time during the 1990s when the quad-turbo EB 110 was built in very small numbers in Italy. The top-of-the-line model was the SS, of which two were converted for racing by French publisher Michel Hommell. One of these was raced at Le Mans and ran as high as sixth before a blown turbocharger ended its bid early. Now, nearly 26 years later, the two competition Bugattis were lined up nose to tail on a single display. A third EB 110 SS was also on display on Bugatti’s own stand. It was shown together with a Bugatti Type 35 and matching Veyron that are part of the same collection.
Passion of a Lifetime
California-based auctioneer Gooding & Co. were at Retromobile for the first time, showing vehicles as a preview for its April 1st ‘Passion of a Lifetime’ sale. Offered from a single Belgian collection, the 16-lot auction includes some truly staggering machines. On display here were three cars, including an original Aston Martin DB4 GT Zagato and an equally well preserved Bugatti Type 59 sports car that was once owned by King Leopold of Belgium.
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