Tumgik
#Premier coup de pied
chic-a-gigot · 9 months
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La Mode illustrée, no. 29, 21 juillet 1912, Paris. Les nouvelles fleurs en tissu. Louise Villas. No. 1. — Rose en ruban. (Contour de la fleur: 40 centimètres.) No. 2. — Rose en taffetas. (Contour: 13 centimètres.) No. 3. — Rose pompon. (Contour: 6 centimètres.) No. 4. — Pavot. (Contour: 27 centimètres.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. — Rose en ruban.
Exécution. — Tailler une rondelle de mousseline à patron de 6 centimètres de diamètre. Se procurer du ruban de faille très souple de deux jolis tons de rose. Le plus foncé réservé pour le cœur de la fleur. Il faut 1 mètre 30 de chaque teinte sur une largeur de 6 centimètres. Froncer ensuite le bas du ruban en réduisant la longueur à 40 centimètres au plus.
Pour simuler les pétaies il suffit de "pincer" le ruban de distance en distance en fixant les plis par un point. Les premiers pétales sont formés à 10 centimètres de distance (prise à la lisière du ruban), puis on augmente progressivement jusqu'à 18 centimètres pour les plus grands pétales.
Ceci fait, on commence par coudre au centre de la rondelle l'extrémité froncée du ruban foncé, puis l'on tourne en colimaçon en cousant le ruban. La jonction des deux teintes est invisible, puisqu'elle s'opère sous un pétale. Une fois la fleur terminée on repousse intérieurement la rondelle de mousseline, afin de produire une cavité qui donne du relief à la fleur. Ajouter une tige avec feuillage artificiel.
Cut a round of patterned muslin 6 centimeters in diameter. Get some very flexible faille ribbon in two pretty shades of pink. The darkest reserved for the heart of the flower. It takes 1.3 meters of each shade over a width of 6 centimeters. Then gather the bottom of the ribbon, reducing the length to 40 centimeters at most.
To simulate the petals it is enough to "pinch" the ribbon from distance to distance by fixing the folds with a point. The first petals are formed 10 centimeters apart (taken from the edge of the ribbon), then gradually increase to 18 centimeters for the largest petals.
This done, we start by sewing the gathered end of the dark ribbon in the center of the washer, then we turn in a spiral by sewing the ribbon. The junction of the two shades is invisible, since it takes place under a petal. Once the flower is finished, the muslin disc is pushed back inside, in order to produce a cavity which gives relief to the flower. Add a stem with artificial foliage.
No. 2. — Rose en taffetas.
Ce genre de fleur est destiné aux garnitures de robes, employées en bouquets pour retenir les plis d'une draperie, ou rangées sur le devant des corsages en guise de boucle de ceinture.
Chaque rose se compose d'un cœur et de cinq pétales. Le cœur se fait avec un biais de tissu replié. Il a une longueur de 12 centimètres sur une largeur de 5, centimètres, ce qui donne 2 centimètres 1/2 une fois replié.
Commencer à fixer le fil à l'extrémité d'un des bords supérieurs mis en double, descendre en biais en comptant les points jusqu'au bord inférieur, remonter en formant le même nombre de points et continuer ces zigzags sur toute la longueur du biais. Tirer fortement le fil. Rouler cette petite ruche qui formera des pointes chiffonnées, la lier par le pied, et couper le surplus du tissu. Ses pétales sont des carrés de toile de soie ayant 10 centimètres de largeur pour les deux premiers, 12 centimètres pour les trois autres, cinq pétales étant nécessaires pour faire ces roses. Après les avoir taillés, on les ploie en "mouchoir" et l'on passe un fil allant d'un angle à un autre, en prononçant plus ou moins la courbe du côté de la pointe du milieu suivant le relief que l'on désire obtenir. La pointe qui reste au milieu doit être ensuite supprimée.
Tirer sur le fil sans trop serrer et arrêter solidement. Procéder de cette façon pour chaque pétale. Les monter ensuite autour du cœur en commençant par les plus petits.
Les feuilles s'obtiennent aussi avec avec un carré de tissu. On les reploie également en mouchoir. Mais ici on coupe l'étoffe de façon à former deux triangles, ce qui fait deux feuilles par carré.
Reployer ensuite le triangle. Faire une couture partant du sommet jusqu'au bas. Retourner ce cornet. Le côté pointu simule le haut de la feuille. Le bas froncé très serré forme des plis imitant les nervures. Chaque feuille se fixe ensuite sous la rose qui doit rester assez plate.
Each rose consists of a heart and five petals. The heart is made with a folded fabric bias. It is 12 centimeters long by 5 centimeters wide, which gives 2.5 centimeters when folded.
Begin to fasten the thread at the end of one of the upper edges doubled, go down on the bias by counting the stitches to the lower edge, go up by forming the same number of stitches and continue these zigzags over the entire length of the bias. Pull the thread strongly. Roll up this little ruffle which will form crumpled points, tie it by the foot, and cut off the excess fabric. Its petals are squares of silk canvas, 10 centimeters wide for the first two, 12 centimeters for the other three, five petals being necessary to make these roses. After having cut them, we fold them in a "handkerchief" and we pass a wire going from one angle to another, by pronouncing more or less the curve on the side of the point of the medium according to the relief which we desire. The tip that remains in the middle must then be removed.
Pull the thread without tightening too much and stop firmly. Proceed in this way for each petal. Then mount them around the heart, starting with the smallest ones.
The leaves are also obtained with a square of fabric. They are also folded into a handkerchief. But here we cut the fabric so as to form two triangles, which makes two sheets per square.
Then fold the triangle back. Sew a seam from top to bottom. Return this cone. The pointed side simulates the top of the leaf. The very tight gathered bottom forms pleats imitating the ribs. Each leaf then attaches under the rose which must remain fairly flat.
No. 3. — Roses pompon.
Destinées soit à un chapeau, soit comme bouquet de corsage.
Ces roses se font en toile de soie de deux tons avec feuillage artificiel. On procède pour les faire comme pour les précédentes, avec cette différence que les dimensions en sont très réduites. Le cœur est taillé sur une longueur de 12 centimètres sur 3 centimètres de largeur. Les zigzags sont beaucoup plus petits et on adapte ce cœur à une tige de laiton qui sert de monture à la fleur. Les pétales, au nombre de six, se cousent un à un. Les premiers carrés ont 4 centimètres 1/2 de largeur, les autres 5 centimètres 1/2. Procéder comme pour le précédent modèle, en enveloppant bien le cœur de façon à ce que la fleur ne soit pas trop épanouie. Enfiler les fils de laiton dans des tubes de caoutchouc et terminer par quelques feuillages.
Intended either for a hat or as a corsage.
These roses are made of two-tone silk canvas with artificial foliage. We proceed to make them as for the previous ones, with this difference that the dimensions are very small. The heart is cut over a length of 12 centimeters by 3 centimeters wide. The zigzags are much smaller and this heart is adapted to a brass rod which serves as a mount for the flower. The petals, six in number, are sewn together one by one. The first squares are 4.5 centimeters wide, the others 5.5 centimeters. Proceed as for the previous model, wrapping the heart well so that the flower does not bloom too much. Thread the brass wires into rubber tubes and finish with some foliage.
No. 4. — Pavot.
Pour faire cette jolie fleur on emploie du ruban à picots qui existe en de charmants coloris souvent ombrés, ce qui permet dans la largeur de trouver deux fleurs d'un ton différent. Il faut environ 75 centimètres de ruban sur une largeur de 12 centimètres pour faire deux fleurs, soit 6 centimètres de largeur pour chaque fleur.
Diviser en cinq parties ces 75 centimètres. Les séparer. Froncer le bas de chaque bande en partant du picot et en décrivant une courbe comme pour les roses. Abattre ensuite les pointes qui restent de chaque côté. Serrer fortement le fil et arrèter.
L'armature du cœur consiste en un bouton quelconque de 1 centimètre de diamètre ou d'une simple rondelle de carton rembourrée d'ouate, que l'on adapte à un fil de laiton. Recouvrir ensuite cette armature avec une sphère de toile de soie vert pâle en la fronçant autour de la tige.
Passer des fils noirs en les entrecroisant sur toute la surface du cœur. Adapter autour une petite ruchette ayant 1/2 centimètre de hauteur et faite comme il à été dit pour les cœurs des roses. Presser fortement les plis afin d'imiter les pistils et coudre autour du cœur. Employer du taffetas ou de la toile de soie noire, gros bleu, violet ou un ton changeant très foncé. Une fois le coin terminé, placer les pétales autour en les chevauchant l'un sur l'autre. Terminer par une branche de feuillage.
On peut tout aussi bien employer du ruban sans picots; et ces fluers, exécutées en rouge, imitent à s'y méprendre les coquelicots des champs.
To make this pretty flower we use spiked ribbon which exists in charming colors often shaded, which allows in the width to find two flowers of a different tone. It takes about 75 centimeters of ribbon over a width of 12 centimeters to make two flowers, or 6 centimeters in width for each flower.
Divide these 75 centimeters into five parts. Separate them. Gather the bottom of each strip starting from the picot and describing a curve as for the roses. Then cut down the remaining tips on each side. Tighten the thread strongly and stop.
The frame of the heart consists of any button 1 centimeter in diameter or a simple round piece of cardboard stuffed with wadding, which is fitted to a brass wire. Then cover this frame with a sphere of pale green silk fabric by gathering it around the stem.
Pass black threads criss-crossing them over the entire surface of the heart. Adapt around a small hive 1/2 centimeter high and made as it was said for the hearts of the roses. Firmly press the folds to imitate the pistils and sew around the heart. Use taffeta or silk black, deep blue, purple or a very dark changing tone. Once the corner is finished, place the petals around it, overlapping them one on top of the other. Finish with a branch of foliage.
You can just as well use ribbon without pins; and these flowers, executed in red, imitate field poppies unmistakably.
Louise Villas
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 117
Mardi, Marc à sa journée.
Nous passons la matinée au lit entre caresses, mamours et somnolence. Trop bon !!
Au déjeuner, nous discutons du comportement d'Emma. Je lui dis que j'ai l'impression d'être un mélange d'amant, escort-boy et du fils qu'elle n'a pas eu. Il est d'accord avec moi et ajoute que je ne me suis pas trompé vu la fortune de ma nouvelle " mère ". Je ne me vexe pas car je n'ai pas été la chercher et puis il n'est pas dit que cela dure des années ;encore. Je serais peu être un jour remplacé.
Jimmy débarque tout prêt à 14h. Je lui fais confiance et nous partons aussitôt pour sa prestation. Heureusement le mec chez qui on va est plutôt du genre expéditif. Nous serons de retour dans 2 heures trajets compris. Quand il s'est déshabillé, j'ai pu constater qu'effectivement il s'était bien préparé, son trou arborant le pied d'un plug. Pas de fioriture avec ce client. On arrive, il bande dès que Jimmy est nu. Ce dernier s'installe la tête au fond du canapé, à genoux sur le bord, les fesses en l'air. Le mec le dé-plug et s'enfonce direct dans son cul. 1/4 d'heure à 1/2 heure après, le mec a rempli sa kpote et j'attends Jimmy qui a quand même droit à une douche. Avec ce mec, la séance dure maxi 3/4 d'heure. Heureusement que nous sommes au forfait et pas à l'heure !
Retour à la maison en milieu d'après midi.
Comme j'ai installé mon bureau dans le sien, nous travaillons ensemble, Marc et moi, chacun de son coté, jusqu'en début de soirée.
Nous descendons à la salle de muscu nous détendre. Une heure et demie après, nous sommes fatigués. Sous les douches, après nous être lavés, ;nous nous massons, caressons respectivement nos muscles rebondis par les exercices. Après nous être séchés, nous nous hydratons la peau. A la fin, nous bandons tous les deux. Nous glissons sur les tatamis pour nous embrasser et continuer nos caresses. Doucement, je le pousse sur le dos. A genoux à ses cotés, j'explore son corps avec ma bouche. De son visage, je glisse sur son torse, embrasse ses épaules, lèche ses pecs puis suce ses tétons. Ils gonflent sous ma langue. Je les quitte pour descendre plus bas. Le nombril me distrait quelques minutes mais pas plus, pas très érogène comme zone ! De plus son gland gène son accès dès qu'il bande un tant soit peu, ce qui est le cas. Donc pas de déplacement pour attaquer le morceau. La joue posée sur ses abdos, je travaille son gland et uniquement lui. Léchages, mordillements, succions, je ne cesse de l'exciter que lorsque Marc est sur le point de jouir. Puis je recommence dès que la pression est retombée. Il finit par ne plus tenir et poussant sur ma tête, enfonce sa bite dans ma gorge jusqu'à ce que mes dents entourent sa base. Il m'étouffe mais je crois que j'aime ça ! Il me relâche avant que réellement je manque d'oxygène mais c'est pour se mettre à " m'enculer " la bouche à grands coups de reins. Je laisse faire, je sais qu'il va bientôt s'arrêter de lui même avant de juter. Enfin la pause, mais uniquement pour ma gorge, mon cul, lui, prend la relève et, les épaules au sol, le cul relevé, je me fais saillir comme une chienne. J'aime ses coups de reins possessifs, sa façon qu'il a de me démonter la rondelle (façon qui m'excite autant que de me faire défoncer par une bite de 25cm !). Il le sait parfaitement. Il a su dès la première fois me faire jouir dix fois plus fort qu'avec une meuf. Il s'arrête soudain pour de dire d'aller sur le sling et reprend son enculage alors que les pieds coincés dans les supports j'écarte mon cul comme une salope. Ses mains sur mes pecs, triturent mes tétons. Quand il se couche pour me rouler une pelle, il m'écrase les couilles et la bite, renforçant l'excitation. C'est moi qui le premier cède et j'explose entre nos deux corps. Mon sperme tartine nos abdos. Il se redresse, empoigne mes cuisses et augmente la cadence jusqu'à me juter dedans puis ajoute ses dernières giclées aux miennes avant de revenir les étaler en se recouchant sur moi. Un patin d'1/4 d'heure plus tard, nous sommes retournés nous doucher !
Vraiment trop bon mon mec ! Juste un jock sur le sexe nous sommes remontés diner. Pendant que Marc cuisine, je passe voir Jimmy. Il me demande si nos retrouvailles se sont bien passées. Je lui demande si il a diné et de me faire voir son travail. Il me demande si nous avons besoin de lui ce soir. Sa main sur mon jock me fait bander. Du coup je le ramène à la maison. Marc m'interroge du regard, je lui dis que Jimmy avait envie de nous faire plaisir ce soir. Marc lui demande comment. Aussitôt Jimmy se place à genoux devant lui et suce son paquet. Marc, rapidement bande. Jimmy détrempe les mailles de la poche à faire durcir Marc. Sa bite distend le tissus élastique alors seulement, Jimmy écarte le bord pour libérer la " bête ". Je remarque que Jimmy utilise tout son savoir faire et pipe Marc comme un pro. Va falloir que je surveille ça de près, faudrait pas qu'il pique mon homme !! Du coup je m'approche d'eux et roule un patin à Marc. Sa langue me transmet toute l'excitation que lui procure Jimmy. Il finit par ne plus tenir et Jimmy en travers de la table se fait enculer par les 22cm de Marc quand moi je lui cloue le bec en enfonçant bien mon gland dans sa gorge. Au dessus de lui nous continuons notre pelle. J'adore faire l'amour à Marc par ptit mec interposé. Moi aussi j'ai envie d'une queue dans le cul ! Je me détourne de la bouche de Jimmy et demande à Marc de m'intercaler. Il décule et je m'engouffre dans la place libérée. Jimmy serre son anus et moule ma bite au plus près. Bien éduqué ce petit ! (lol) Marc ne met pas longtemps avant de me sodomiser. Je me détends un maximum et il m'enfile jusqu'aux couilles. Je suis le seul en mouvement, ma bascule alternant entrée dans Jimmy / sortie de Marc de mon cul avec l'inverse. Trop bon, c'est moi qui gère l'excitation du trio. Si j'accélère ou si je serre mon cul, j'augmente le pression.
Nous finissons dans cette position, je me fais doser par Marc et je jute au fond de Jimmy. Lui se répand sur son ventre.
Une fois ce dernier reparti à l'appart, j'ai de nouveau mon Marc pour moi tout seul. Les absences répétées pour son taf, nous font apprécier encore plus les moments que nous avons ensemble (même si chacun de notre coté nous ne nous ennuyons pas). Du coup nous ne nous attardons pas et rejoignons notre chambre pour nous câliner.
Mercredi,
Je vais chercher Ed, quand je sonne à la porte, ça s'ouvre aussitôt sur son jeune frère. Je reste dehors, Ed me rejoint rapidement. Nous allons chez un des nouveaux clients.
Le mec est petit, rondouillard mais arbore une bite de plus de 25cm x 6 qu'il sait très bien utiliser à 100%. C'est un doux avec qui tout se passe calmement, délicatement. Ce qui ne veut pas dire que mon poulain a le choix. Le mec sait ce qu'il veut et il l'obtient (d'autant plus qu'il paye pour cela !). Il se fait sucer pour bien bander et n'oublie pas d'aller vérifier la gorge d'Ed en s'enfonçant jusqu'aux couilles. Et comme il aime bien la sensation, il vérifie plusieurs fois. Ed est maintenant rodé et sait parfaitement régler sa respiration pour ne pas s'étouffer. Il maitrise aussi ses réflexes et n'essaye plus de régurgiter involontairement le gland qui l'envahi. Je le vois même aller de lui même ingurgiter le gros gland du mec. Bon petit ! Pendant la pipe il s'occupe du trou d'Ed. C'est un perfectionniste et il passe pas mal de temps à le préparer. Gel, doigt, gel, doigts, jusqu'à réussir à lui en mettre 4 de sa petite main droite. Il fait cela si bien qu'Ed vient tous seul se tortiller le cul dessus. Il commence à bien prendre le pli et devient accro à la bite de mec. D'accord, il m'a avoué avoir phantasmé sur les bites des étalons de son club d'équitation, et de celle non moins grosse qui déformait le jeans d'un certain Lad. Je n'ai fait que mettre à jour sa face pute/soumis qui sommeillait au fond de lui. Quand notre client le sent prêt, il lui demande de se mettre à 4 pattes. Avec son ventre proéminent, c'est la seule position qui lui permet d'enfoncer totalement sa queue au fond de son cul. Avec Jimmy, ce dernier étant beaucoup plus souple qu'Ed, il peu le prendre de face, Jimmy écartant les jambes quasi en grand écart.
Quand il est dans un cul, il aime prendre son temps. Il s'enfonce tout doucement, si lentement que parfois Ed ou Jimmy donnent des coups de cul pour que ça rentre plus vite ! Mais il maitrise et encule sa pute à la vitesse qu'il désire. Avec lui nous en avons pour l'après midi entière. Ce qu'il aime aussi c'est après un moment, déculer et revenir masser le trou examinant les parois internes en écartant l'anus avec ses deux mains. Les premières fois cela fait bizarre de le voir mater pendant 1/4 à 1/2 heure le trou qu'il vient d'élargir, mais après tout c'est son trip ! et au moins celui là est sans danger. Après cela il le ré-encule jusqu'à la jouissance. Pendant la douche de mon toy boy, nous discutons toujours un peu. C'est comme cela que j'ai deviné qu'il était avocat. Au retour, j'arrête la moto dans un chemin pour enculer Ed à mon tour. Pendant les séances de toute façon je bande continuellement. Si je ne veux pas avoir mal aux couilles pendant des heures, il faut bien que je les vide ! Et c'est meilleur dans un cul ou une bouche que dans ma main ! Sans même retirer nos casques, je baisse son jeans et ouvre ma combi juste le nécessaire pour sortir mon service trois pièces et l'enculer plié en travers de la selle. En général c'est rapide, un peu brusque mais trop bon ! En plus le risque d'être surpris renforce l'excitation. Et nous prenons tous les deux un grand plaisir à cette situation. Je le lâche devant chez lui et rentre direct à la maison.
JARDINIER
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lisaalmeida · 10 months
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Certaines personnes peuvent parler, élever votre humeur, vous donner un beau coup de pied dans l'âme, vous donner le sourire, le bien, le temps. D'autres peuvent vous sortir de l'équilibre, vous rendre fou, vous conduire en enfer, aspirer votre énergie, et foutre en l'air l'humeur. Prenons soin des premiers.
Kaja Kowalewska
Gentleman Polska ❤️
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alexar60 · 6 months
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La rencontre
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Le mercredi 11 mai 1983, Arthur Dias de Almeida est appelé pour intervenir près de la ville de Sinop dans le Mato Grosso. En effet, d’étranges lumières ont été aperçues au-dessus de la campagne et de constructions neuves. Le policier ne fut pas le seul à avoir été sollicité. Deux avions de chasse brésiliens décolèrent, après le survol de l’Amazonie par un engin inconnu, et toujours à côté de la ville de Sinop.
Au début, Arthur pensait avoir à faire à des braconniers ou des trafiquants d’or. Il pensait aux phares de leur jeep vus de loin par quelques fermiers. D’ailleurs, il s’attendait à les croiser au détour d’un carrefour. Mais après une dizaine de minutes à scruter les environs, il découvrit avec stupeur que l’origine de cette luminosité, venait du ciel. En effet, il aperçut au loin ce qui ressemblait à un cigare volant dont les bords rayonnaient.
Après un moment de stupéfaction, il appela le commissariat afin d’obtenir de l’aide. Puis, il profita du déplacement extrêmement lent du véhicule, pour le suivre. Arthur demeurait fasciné par cette chose. Il se demanda si l’engin était habité. Peut-être était-ce une sorte de ballon sonde ou d’une expérience militaire ? La base n’était pas très loin. D’ailleurs, il entendit les deux avions de chasse passer à toute vitesse.
L’OVNI continua de se déplacer lentement. Il ne faisait pas de bruit, et se limitait à avancer au-dessus des bords de l’Amazonie. Enfin de ce qui en restait, car tout avait été rasé pour construire des fermes et des quartiers résidentiels. Un appel provenant de la radio avertit Arthur de l’arrivée de renfort. En attendant, il ne devait rien faire.
Le policier s’arrêtait de temps en temps pour rassurer des habitants sortis regarder le vaisseau volant. Il parlait calmement, prévenant que tout était sous contrôle et qu’ils pouvaient retourner chez eux. Puis, il repartait en direction des lumières visibles de la machine volante. Les avions militaires continuaient de tourner autour d’elle sans pour autant la gêner.
Cela dura un bon quart d’heure lorsqu’Arthur réalisa quitter l’agglomération. L’objet non identifié continua de voler puis s’arrêta brusquement au-dessus d’un enclos. Dès lors, l’agent descendit de sa voiture, continuant à pieds, la main posée sur son arme vers le champ, qui ne présentait rien de particulier.
C’est alors qu’une lumière jaune sortit de l’engin jusque sur le chemin. Arthur n’en croyait pas ses yeux, une forme vivante semblait descendre en glissant par le rayon. Aussitôt, le policier courut pour mieux voir l’individu. Il voulait être le premier homme à entrer en contact avec ce qui paraissait être évident, un extra-terrestre. Soudain, une réflexion envahit son esprit : « Et s’il était dangereux ? »
Plus il avançait, plus la raison poussait le policier à fuir. Malgré la peur au ventre, il continua d’approcher du point de chute de la lumière jaune. Il n’était plus très loin. Arthur remarqua une étable, les portes grandes ouvertes. Il n’y avait rien dans l’enclos. Il entendit le meuglement de quelques vaches. Celles-ci ne semblaient pas paniquer. Il approcha furtivement lorsqu’il vit quelque-chose sortir du bâtiment.
Ça portait une combinaison de cosmonaute. Son casque empêchait de voir sa tête. Il sortit calmement de l’étable puis s’arrêta, tout-à-coup, au milieu du chemin. Il ne remarqua pas l’agent Dias de Almeida, préférant observer les arbres de l’autre côté de l’enclos. Dans le ciel, on ne remarquait plus l’OVNI qui pourtant, continuait de stagner, sans faire de bruit, au-dessus de l’Alien.
Ne bougez-pas ! cria Arthur.
L’extra-terrestre tourna la tête. Il fit un mouvement de recul quand il découvrit le policier en train de pointer son arme. Il ne prononça aucun mot et attendit sagement pendant quelques secondes. Arthur ne savait que faire. Il braquait la chose en réalisant que personne ne savait où les trouver. Tout-à-coup, le visiteur posa brutalement sa main sur son ceinturon. Arthur comprit qu’il cherchait une arme et sans hésiter, il tira vers l’extra-terrestre.
Mais qu’ai-je fait ?
Il réalisa avoir oublié les sommations d’usage. Touché à l’épaule, l’ET entra précipitamment dans l’étable, immédiatement suivi par Arthur Dias de Almeida. Ce dernier tendait son arme et ciblait toutes les vaches qui se présentaient. Il marchait en tournant sur lui-même. Il chercha partout, dans tous les recoins de la grange. Lorsqu’il entendit un grincement, il aperçut le cosmonaute qui sortait en courant. Le policier tira une seconde fois avant de pourchasser le fuyard.
Mais en sortant, il n’y avait plus personne. Il leva les yeux. L’OVNI éclairait le ciel comme un feu d’artifice. Il s’éloignait d’abord lentement. Puis d’un claquement de doigt, il disparut totalement, ne laissant d’une petite trainée blanche à la place. Au même moment, les deux avions de chasse annoncèrent avoir perdu de vue le vaisseau inconnu en forme de cigare.
Hector Baumann quitta l’hôpital tout de suite après l’opération. Il gardait cependant son bras en écharpe afin d’immobiliser l’épaule blessée. La portière d’une voiture attendant sur le parvis s’ouvrit, l’invitant à entrer. Un homme attendait patiemment en lisant une tablette. Il ne regarda pas Hector s’assoir. La voiture démarra aussitôt dans un silence incroyable. Elle n’avait pas de roue, elle flottait sur l’air
Alors, le XXe siècle est comment ? demanda-t-il.
J’étais au XXe siècle ? s’esclaffa Hector.
L’homme tendit la tablette et continua de parler.
D’après le rapport sur la balle, oui. Elle vaut une fortune maintenant pour les collectionneurs et les musées. Ensuite, d’après un rapport retrouvé dans les archives du ministère de la défense Brésilienne.
Hector n’en croyait pas ses yeux. Il lisait le fameux document qui relatait son contact avec un autochtone. Celui-ci racontait avoir blessé un extra-terrestre. Dehors, un paysage urbain et gris dévalait le long des vitres. L’homme sourit en regardant un groupe d’écoliers attendre sur le trottoir.
Pourquoi avoir ramené une fiole de sang de bœuf ? Votre mission était de récupérer des graines d’arbres et de plantes disparues.
Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas d’arbre. J’ai pris ce qui me tombait sous la main. Il y avait des vaches. Alors, j’ai fait un prélèvement. Par contre, j’étais censé débarquer au milieu de l’Amazonie bien avant l’arrivée de Christophe Colomb.
Il y a eu un bug, répondit l’homme. Ce doit être corrigé pour la prochaine expédition.
Le jeune cosmonaute spatio-temporel continuait de lire le rapport datant de 1983. Il trouva rigolo d’être décrit comme un monstre de trois mètres avec des tentacules et de gros yeux ronds. Il rit en lisant avoir été aperçu plusieurs fois durant la nuit, alors qu’il n’était sorti qu’une seule fois. Il comprit pourquoi le dossier n’avait pas été pris au sérieux. Du coup, la hiérarchie ne l’avait pas retenu dans leurs paramètres de probabilité d’incidents possibles. De plus, l’erreur de date  fut à l’origine de cette rencontre avec le policier Arthur Dias de Almeida.
J’ai fait retarder le prochain vol pour dans six mois. Je veux trouver la raison de ce bug de date. Je suppose que vous en serez ?
Je n’hésiterai pas. Les risques en valent la peine, réagit Hector.
Ce n’était pas son premier vol dans le temps. Il aimait visiter le passé de la terre et découvrir ce que l’homme a perdu…ou plutôt détruit. Son seul regret était de garder une combinaison afin d’éviter tout contact avec des maladies disparus, ou d’apporter de nouvelles maladies. Il aurait voulu plonger dans une mer dépolluée ou juste sentir une fleur.
La voiture s’arrêta devant une porte de garage. Elle attendit son ouverture avant de s’engouffrer dans un bâtiment connu pour être abandonné, mais classé « secret défense ».
Alex@r60 – novembre 2023
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sarahaubel · 6 months
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Concombre et fentanyl.
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En route pour Paris. Encore. Et quelle impatience. Toujours. Je suis partie en lui disant « je suis sûre d’avoir oublié quelque chose ». Et maintenant là sur le quai je sais. Mes chaussettes. Par contre j’ai pris 3 livres. Au cas où. 3 livres pour une nuit mais aucune paire de chaussettes. Je devine mon sens des priorités. M’évader en puant des pieds. Quelle vie de bohème je mène. / Voiture 15 place 48. Je le note là pour pas oublier. / Le chien des douanes ne s’arrête jamais sur moi. Non pas que je transporte 3kg de fentanyl mais j’aimerais tout de même qu’il me témoigne de l’intérêt. Sa truffe humide me méprise. Il me dépasse sans un regard. Ça me vexe à tous les coups. Il n’a pas vu la hors-la-loi qui sommeille en moi. / À chaque voyage, témoin de cette scène, je m’interroge : « je suis voiture 15 place 22 » « moi aussi » elle souffle « c’est de pire en pire ». Et l’un l’autre se mènent un duel sans merci à qui a raison, à qui sortira son billet le premier, mais si regardez c’est écrit là je vous dit, et l’autre de vérifier à son tour parce qu’il doute soudain. Ils se font monter la moutarde au nez alors que le wagon est presque vide. Ce n’est plus une histoire de sièges mais de faiblesse et d’autorité. L’être humain dans toute sa splendeur. / Sinon cette nuit j’ai rêvé qu’une ancienne copine de lycée, devenue actrice depuis me présentait son nouveau-né. Il s’appelle Concombre me disait-elle les yeux pleins d’amour. Entre nous je peux feinter devant une Clitorine ou un Robert mais la garce, elle m’avait coincée avec son Concombre.
Bref voilà. Je suis dans le train pour Paris. Je vous embrasse.
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perduedansmatete · 29 days
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comme une envie de quitter mon master mais pas envie de refaire un M1 et de toute façon trop tard car la date pour postuler est dépassée et pas envie de travailler un an car j'aurai plus envie de refaire un master après quel qu'il soit et pour faire un autre M2 il faudrait que je finisse cette année de merde mais j'arrive plus ça me casse la tête j'en ai marre puis je commencerai jamais vraiment mon mémoire mais il le faut mais j'ai pas envie bref j'ai un exposé à faire pour mercredi mais ça m'intéresse pas un mail à envoyer car j'ai toujours pas réglé un truc administrativement et ils vont me dire mais mdr on est déjà à la fin du semestre et mon directeur de mémoire n'a jamais donné la note de mon rendu de mi-mémoire du premier semestre du coup je suis AJ et j'ai bientôt le partiel d'un cours où j'ai mis seulement deux fois les pieds (bourrée) et j'ai besoin de vacances blablabla heureusement qu'ils font de bon chocolats liégeois à la cafet j'y vais que pour ça
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nvminnd · 10 months
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Je classe les chevaliers du moins aro-ace au plus aro-ace
Parce que mine de rien la plupart des persos ont de grosses vibes aro-ace je trouve, donc voilà
ARTHUR
La plupart des merdes qui se passent à Kaamelott, on les doit au fait que not' bon roi pense 83% du temps avec son coeur (et son épée). Bi-king, peut-être. Mais clairement pas aro ou ace.
CALOGRENANT
De tous ceux qui ont une femme, c'est le seul que j'arrive à imaginer vraiment aimer consommer son mariage. Pis bon le coup de la ceinture de chasteté, ça fait très hétéro je trouve.
BOHORT
Bohort est si gay. En tous cas, il est pas aro. Ace, je pourrais le voir quelque part sur le spectre. Mais je l'imagine plus à réfréner son attirance pour les mecs qu'à ne pas (ou peu) ressentir d'attirance. (On sait toutes et tous ce qu'il pense de Léodagan hein)
LÉODAGAN
Bon là on commence déjà à aborder les persos que je pourrais voir sur le spectre aroace. Oui Léo est marrié. Oui il a 2 enfants. Mais pour un gars qui est censé être le stéréotype du chevalier bourrin, il est quand même pas hyper porté sur la chose. Il est à priori fidèle à Séli alors qu'il ne doivent pas s'éclater souvent au lit, et il le dit lui-même, les gonzesses qui dansent à moitié à poil, c'est pas son truc.
YVAIN
Yvain aime Gauvain. Que Gauvain. Ça fait très demiromanrique. Je le mets avant Gauvain parce qu'il a quand même tenu à avoir une maîtresse, même si je pense que c'est plus pour faire genre que parce qu'il est attiré par Démétra.
GAUVAIN
Gauvain aime Yvain. Que Yvain. Personne d'autre. Demi demi demi.
GALESSIN
Galessin, lui, n'aime personne. L'amour ça l'interesse pas des masses, le sexe non plus, mais bon il dit pas non à l'occasion s'il rencontre la bonne personne, peu importe son genre. Sûrement quelque part sur le spectre aroace, lui-même ne sait pas exactement où.
LANCELOT
Bon là c'est canon que Lancelot n'aime et n'a aimé QUE Guenièvre. Mais il avait pas l'air hyper demandant niveau joyeusetés quand il l'a eue que pour lui. Demiromantique, ace.
HERVÉ
???? Pour tomber amoureux ou plus si affinités, faudrait déjà qu'il ait conscience un minimum de son environnement, et c'est pas gagné. Il a déjà dû se retrouver dans une ou deux situations comprométantes suite à des malentendus, mais jamais de sa propre volonté. Après, il dit pas non. Il s'en fout, en fait.
KARADOC
Là encore c'est assez canon qu'il voit pas l'interêt de faire des cochonneries sous les draps. 100% ace, peut-être demi romantique...et encore la bouffe passera toujours au premier plan. Cake Ace.
PERCEVAL
Notre aro-ace king par excellence. L'amour platonique est le plus important, et pour lui, la meilleure éclate qu'on peut avoir au lit c'est une discussion philosophique sur les étoiles avec ses amis les plus proches. Space Ace.
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equipe · 8 months
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Sur le Web, vous pouvez dès à présent vous laisser tenter par le badge Mécène Tumblr. Symbole vibrant de votre soutien financier direct à notre plateforme, ce dernier évolue au fil du temps et de votre fidélité. Vous en apprendrez davantage dans un billet détaillé à venir.
La fonction "Mettre en veille Tumblr Live sur le TdB" continue à masquer Tumblr Live du tableau de bord, mais conserve désormais son icône dans la barre de navigation, évitant ainsi d'avoir à désactiver la mise en veille pour assister à un live. La période de mise en veille a également été rallongée, passant de 7 à 30 jours.
En ce qui concerne la phase expérimentale introduisant des changements dans les en-têtes de billets sur le Web, nous avons décidé de suivre vos nombreux retours et de réintroduire l'avatar de l'auteur du billet. Nous vous remercions d'avoir ainsi partagé vos impressions avec nos équipes !
Une nouvelle version majeure du client JavaScript "tumblr.js" de notre API a été déployée. Ce client permet d'accéder au contenu Tumblr via notre API publique. Vous pouvez en apprendre plus à son sujet par ici (en anglais).
Tumblr Live est maintenant disponible dans davantage de pays de l'Union européenne.
🛠️ Correctifs
Les recommandations "D'après vos coups de cœur" et "Aimé par…" ont été ajustées afin de ne plus proposer des billets que vous auriez déjà reblogués.
Pour les utilisateurs germanophones expérimentant le nouveau design des en-têtes de billets, divers couacs visuels ont été corrigés dans le texte de la section "reblogué par".
Correction dans la version Web mobile d'un bug qui pouvait bloquer les utilisateurs sur la page Messagerie lorsqu'elle était ouverte à partir de certains endroits (telle que la vue intégrée des blogs, par exemple).
Pour les utilisateurs sur le Web qui voient toujours s'afficher les avatars flottants sur le côté des billets, nous avons corrigé un bug qui pouvait faire recouvrir une partie des avatars par la barre d'onglets du tableau de bord. Nous avons également corrigé une anomalie qui ne respectait pas l'ordre des billets lorsque les raccourcis clavier "J" et "K" étaient utilisés pour naviguer.
Pour les utilisateurs ayant accès au nouveau bouton de configuration des onglets du tableau de bord sur le Web, nous avons ajouté un peu d'espace sur la gauche de ce dernier afin que les onglets soient moins susceptibles de déborder dessus. De plus, les onglets proposant du contenu sponsorisé sont maintenant ornés d'une étiquette "Sponsorisé" dans l'écran de configuration des onglets.
🚧 En cours
Si vous avez franchi le pas et décidé de nous soutenir à partir du Web (MERCI !), sachez que les différentes versions du badge Mécène Tumblr ne sont pas encore visibles dans l'application. Les prochaines mises à jour pour Android et iOS corrigeront très vite cela !
Certains utilisateurs voient apparaître un indicateur "Nouveau" mettant en avant l'icône Tumblr Live dans la barre de navigation alors que cette fonctionnalité ne leur est pourtant pas étrangère. Un correctif sera prochainement déployé.
Nos équipes expérimentent toujours des solutions améliorant considérablement l'affichage du contenu sur le Web. Le revers de la médaille ? Utiliser la fonction CMD/CTRL + F pour rechercher un texte sur la page ne permet plus l'accès au contenu rendu invisible par le défilement de l'écran. Nos équipes ont travaillé d'arrache-pied pour améliorer cette situation et ont même d'ores et déjà mis en place un premier correctif. Vous pouvez retenter votre recherche, si vous aviez rencontré le problème !
🌱 Prochainement
Rien de particulier à signaler.
Vous rencontrez un problème ? Écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible !
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté !
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profenscene · 8 months
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Samedi 2 septembre
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Je m'appelle Monsieur Samovar, ou quelque chose d'approchant. Il y a seize ans à peu près, j'ai passé le concours du CAPES n'importe comment. N'importe comment, ça veut dire que je ne savais pas si j'avais envie d'être prof. Que j'y suis venu le premier jour, pour voir. Quand j'ai terminé l'épreuve, je me suis baladé dans les rues de Brest. Il y avait un magasin de jeux vidéos. Le vendeur était très beau et très gentil, j'ai eu envie de retourner le voir. Ça a duré trois jours, le temps des épreuves.
On avait déjà, à l'époque, un cruel besoin d'enseignants. J'ai été reçu. J'étais arrivé comme un voleur dans la profession, les premières années me l'ont bien fait comprendre. J'ai dû faire partie du top 5 des pires professeurs de français du pays. Ça a duré quelques années et, durant mes errances en région parisienne - évidemment que j'étais en région parisienne - quelques collègues d'une gentillesse époustouflante m'ont pris sous leur aile. Et m'ont tout aussi gentiment mis un coup de pied aux fesses, en me faisant comprendre qu'il allait falloir que je me consacre un poil plus à ce que je faisais si je voulais arrêter de perdre du temps, d'en faire perdre aux élèves, et de ressortir de chaque journée en ayant envie de mettre le feu à des parpaings. Ou alors je pouvais aussi tenter une autre voix professionnelle.
Les loyers étaient très chers en Essonne, j'ai persévéré. Et puis, au bout d'un moment, j'ai commencé à tenir un journal de ce qu'il m'arrivait, jour après jour, dans ce boulot. Journal extime, miroir public.
Ellipse. Tout ceci nous amène à aujourd'hui. Changement de décor : la Bretagne. Je suis - toujours - prof itinérant, je me balade d'établissement en établissement. Je suis - toujours - débutant. Impression permanente que je commence à peine, qu'il y a tout à apprendre. Les élèves, les salles de classe se sont succédées. À chaque fois c'est une toute nouvelle aventure. Cette année particulièrement. Pour la première fois, je vais enseigner en lycée pour toute une année scolaire. Pour la première fois, dans ce que l'on nomme des "CSP +", catégories socio professionnelles aisées. Pour la première fois, je commence cette année scolaire en faisant un bilan.
Neuvième saison pour ce journal. Première sous mon crâne.
Bienvenue, que vous soyiez nouvel arrivé ou vétéran de ces pages. On remet une pièce de la machine, on repart pour un tour.
Et on voit ce qu'il se passe si vous voulez.
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from-derry · 3 months
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Heeey, je suis absolument fan de ce contexte et l'ambiance qui s'en dégage! Je ne connaissais pas du tout la série From et je viens tout juste de finir le premier épisode : c'est une PÉ-PI-TE!! (Merci pour cette belle découverte, je cherchais une nouvelle série à regarder en plus) Hâte de voir le projet évoluer et de découvrir encore plus votre univers. Et puis bon : Silent Hill + Stephen King ça ne peut QUE être prometteur :) Bonne journée :D
coucou ! ❤️ Merci pour ton message, il nous fait très plaisir ! Contentes d’avoir pu te faire découvrir la série, c’est aussi un énorme coup de cœur de notre côté ! On espère vivement que la suite te plaira autant que ce qu’on a présenté jusqu’ici.
Et je profite de ce message pour annoncer qu’on avance à un très bon rythme. La majorité de nos écrits sont terminés et en cours de relecture et correction. On s’est aussi attaquées au design du forum. Ça avance doucement mais sûrement de ce côté. Tout ça pour dire que le projet prend forme de plus en plus concrètement !
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halebop-c-est-moi · 6 months
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- Dites, docteur, vous savez pourquoi l'autre il m'a chouré mon pull ? demanda Raph en entrant dans la piece.
Il s'assis à la table et passa une main dans ses cheveux; Il accrocha ses chausettes derriere les pieds de chaise. Il posa ses joues mal reveillées dans ses mains et regarda Henry, au dessus de l'evier, en train de nettoyer une de ses tasses à thé.
- Tu veux dire mon pull ? demanda-t-il en se retournant, torchon a la main.
- Ouais, ça, dit Raph se grattant la joue. Il l'a pris et il s'est enfermé dans sa chambre, elle est fermée et tout. Chuis presque sur qu'il a chourave ma couette de rechange.
- Oh c'est très probable, c'est une des couvertures les plus confortables.
- Mais pourquoi il me la prend, là ?
Henry s'intrrompis dans son geste et se retourna, sourcils froncé l'air de se demander si Raph se payait sa tete. Le jeune homme en fut un poil vexé.
- ...Eh bien pour son nid, annonça-t-il comme si c'était l'évidence même.
- Son nid?
- Eh bien oui.
Henry posa doucement son torchon sur son épaule.
-Mais euh... C'est un Renard, pas un oiseau hein, tenta Raph avec un sourire.
Henry semblait commencer à réaliser qu'il ne se foutait pas de sa gueule.
- Tiens, nous ne t'avons jamais parlé des mutations de troisième millénaire ? demanda-t-il.
Il se caressa la moustache et s'assis doucement à la table, en face de Raph. Celui-ci se redressa legerement.
- Le troisième millénaire c'est à partir de trois-mille, non ?
- Non, à partir de deux-mille, soupira Henry.
- Et il s'est passé quoi, du coup ?
Henry plissa les yeux, et se gratta le menton. Raph s'appuya contre le dossier de son siege et tendit la main vers le paquet de pretzel de petit dejeuner : Ca, c'était sa tete de quand le docteur se préparait à se lancer dans des grandes explications, et Raph ferait mieux mettre d'etre confortable. Il enfourna un gateau dans sa bouche tandis que Henry posait ses mains sur la table.
- Alors. Dans le courant du troisieme millenaire, une mutation fut découverte chez les humains. Il est difficile de poser une date précise, car bien évidement, la science est un actes communautaire.
- Ouais, dit Raph qui ne savais pas ce que ça voulait dire.
- Elle se caractérise, vois-tu, par des facteurs d'un coté, disons, génériques, innés, et de l'autre coté comportomentals. Il existe trois classifications caractéristiques possibles, qui peuvent atteindre les humains. Les scientifiques, mes collègues, en ont bien évidement nommé au fur et à mesure qu'ils les ont identifié. Tu suis jusqu'ici ?
- Ouais, les humains peuvent etre séparés en trois groupe, répondit Raph en hochant la tete.
- Tout à fait. Le premier groupe, qui fut bien évidement nommé Alpha. Le second, Beta, et le troisième ...
- Gamma ? sourit Raph qui avait fait grec LV3.
- Non, Omega. C'était le dernier groupe, Raph.
- Ah d'accord.
- Ces mutations ammènent des... disons, des mutation physique, dit Henry en se caressant la moustache. Qui furent détaillées, et quelque peu inquiétantes quand elles ont commencé à s'exprimer dans lapopulation.
- Ah ouais ? Genre quoi, des troisieme bras ?
- Non, le coupa Henry avec une mine de daron. Encore que... Mais non. Ces mutations... disons....
- Y a vos ventilateurs qui se mettent en route, docteur.
- Je sais, Raph ! Ces mutations sont... euh... Ah, tiens : une de ces mutations a a voir avec l'emission d'odeur particulieres. L'apparition d'une glande à parfum, entre le cou et l'épaule, vois-tu. Et les odeurs sont différentes entre les trois groupes, et evidement avec ça s'est développé une sensibilité particuliere pour pouvoir identifier les odeur émises par les autres humains, ne serait-ce que pour pouvoir savoir dans quels groupe l'interlocuteur se place.
- Ouais c'est cool, mais y a quoi d'autre comme différence entre les groupes ? genre des odeurs, ça va c'est pas mega chelou, si ?
- Bon. Une des mutations les plus importantes fut la création d'une maniere alternative de se reproduire. Notamment, les individus appartenant au groupe Omega, qu'ils soient homme ou femme...
- Ou autre, fit Raph en hochant la tete.
- Ou autre, tres juste, eh bien ils peuvent tomber enceint. Par une voix alternative, parallele à la classique mais complémentaire.
Raph se releva sur son siege et ouvrit des yeux ronds.
- Ah ouais ?
- Oui. Mais , fait interessant, les Omega ne peuvent etre... euh... parents que avec des Alphas.
- Mais c'est ouf !
- Tout à fait, sourit Henry en s'appuyant contre son dossier. Après, des différences comportementales ont été mises à jour : les individus alpha avaient plus tendance à deveopper des problemes de gestion des émotions, d'impulsivité, et les omega des sur-empathie. Bien sur, ce ne sont que des tendances, soyons clairs.
Raph hocha la tete, préssé d'entendre Henry continuer tout ça.
- Les individu Beta - appellation qui a fait débat en France, comme tu peux t'en douter- ont des capacité de resolutions de conflit, et de cohesion de groupe. Voilà, ce sont les différences majeurs entre les trois
- C'est ouf !
- Je ne te le fais pas dire, sourit Henry avec un sourire satisfait. Ce fut une révolution scientifique, à l'époque.
Il hocha la tete d'un air philosophe, et Raph se passa la main dans les cheveux.
- Mais du coup tout le monde dans le futur a ça ?
- Mais tout à fait ! A des degrès différents selon l'époque, soyons réaliste : notre ami Mattéo viens d'une époque ou ces mutations commençaient juste à se répendre dans la population, elles n'etaient pas... elles n'etaient pas puissament exprimée, dirons-nous. Alors que en 2550, tu peux etre sur que tout le monde fait parti d'un de ces groupe, sans probleme. Il est meme probable que toi- meme tu ais des tendances d'appartenance dans ton ADN.
- Wow... Mais du coup, vous vous l'etes pas ?
- Eh bien figure toi que c'est fascinant, sourit HEnry en se penchant vers lui. Je le suis, car mon créateur, mon Daddy, comme tu connais...
- Ouais je connais ouais.
- ...eh bien il était très au fait des découvertes scientifiques. Il a fait des tests et s'est découvert omega. Il ne pouvait pas rendre ses créations oméga, evidement, et il a préféré, peut-etre par sentimatalise, nous donner des caractéristiques physique des alphas. Donc, malgrès le fait que je sois un robot, j'appartient à un de ces groupes d'humain.
- Ouais, genre un Alpha synthétique ? sourit Raph en recommencant à manger son pretzel.
- Tres exactememnt, approuva Henry avec bonhommie. Je suis affublé de chemo-senseur d'une précision atomique, par exemple.
Il s'inclina contre le dossier de sa chaise, alors que Raph machouillait son pretzel. Mains dans les cheveux, il essayait de realiser tout ce que ca voulait dire pour cette epoque deja incroyable. Puis il releva la tete d'un coup.
- Mais pourquoi il m'a piqué mon pull, du coup?
- Bah pour son nid, dit Henry comme si ca devait tout expliquer.
- Mais quoi, "son nid" ?
- Mais parce que il oublie la moitié du temps les bloqueurs que je me casse le cul à lui faire, donc apres oui, faut pas s'ettonner qu'il doivent se faire chier à construire un nid une fois tous les deux mois ! gromela Henry en indiquant la chambre de leur ami de la main.
- Des bloqueurs, mais des bloqueurs de quoi ?
- Des bloqueurs de chaleur, Raph.
Son habitude à dire des choses comme si elles étaient evidentes commencait à bien taper sur les nerfs du jeune homme.
- Mais ca veut dire quoi , ses chaleurs ? Des chaleurs comme des chats et des chien ?! s'ecria-t-il en sortant le truc le plus con auquel il pouvait penser.
- Eh bien oui.
Le ton direct d'Henry le coupa dans son elan d'energie.
- Euh... Pardon ?
- Eh bien oui, comme les animaux. Les humains sont des animaux, Raph.
- Non mais du coup ça veut dire que là... dans sa chambre... il est...
Il savait pas trop quoi dire, alors il fit un vague geste d'aller-retours de la main. Un geste tout de meme assez facile à comprendre. Henry leva les yeux au ciel.
- Oh mais qu'est ce que j'en sais, moi, oui, probablement !
- Mais mon pull !
- C'est mon pull, Raph.
- Pourquoi il le veut dans sa chambre ?!
- Parce que que c'est mon pull, il est confortable, et vu l'etat dans lequel notre ami est actuellement, il a bien le droit d'etre entouré de choses comfort.
- Mais quoi, son etat ?
- Quoi, Raph, tu penses que c'est facile de vivre des chaleurs ? D'avoir une hypersensibilité tactile pendant une semaine par moi, qui fait que la moindre texture désagréable peut l'envoyer en crise se spasme ? La physiologie de son cerveau change, Raph, ses hormones - et sa glande à odeur- font n'importe quoi, et combiné à sa fatigue extreme, car oui son corps prend l'energie de quelque part pour la transformer en chaleur, eh bien il est completement à fleur de peau ! paranoia, comportement d'auto apaisement, il est dans un état sauvage qui est extenuant ! Alors il merite bien la converture confortable de la cave, Raph.
- Ah merde... je... je savais pas...
- Oui, hein. Voilà.
Henry attrappa un pretzel d'un mouvement un peu trop brusque et le fourra dans sa bouche. Raph regarda ses mains. Il ne savait pas si il avait le droit de parler.
- Mais euh... y a rien pour lempecher ca ?
- Ah bah si, evidement, y a des bloqueurs ! des pillules simples, il a qu'a en prendre une par semaine ! Mais non, ce con il oublie ! Et a cause de lui, la cave est inondéee d'odeur d'Omega, et moi gmpf mpf...
La fin de sa phrase se fini en en gromellement autour d'un nouveau pretzel.
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raisongardee · 4 months
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"Cet homme est en colère contre toi ? Provoque-le en lui faisant du bien. Une brouille s’écroule immédiatement si l’un des deux camps ne joue plus : seuls les semblables s’opposent. Et la colère des deux côtés, c’est la bagarre, le choc ! Le meilleur, c’est celui qui lâche pied le premier. Le vainqueur perd. Il te frappe ? Laisse tomber. Si tu lui rends son coup, tu lui donneras l’occasion de t’agresser encore, plus une excuse. Tu ne pourras plus quitter le jeu quand tu voudras."
Sénèque, La colère, trad. Paul Chemla, 41 apr. J.-C.
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homomenhommes · 12 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 148
Dans le donjon, avec Daniel, je mets Cédric à nu. Direction les douches. Nous le lavons. Je vérifie qu'il est nickel coté pilosité et à l'aide de quelques bandes de cire enlève les quelques poils en trop. Pour le reste (aisselles, couilles) le travail est déjà bien fait. Il est surpris quand je lui enfile la canule de lavement dans le cul. C'est une première pour lui. Comme je viens de l'enculer, elle rentre facile et j'ouvre l'eau. Je lui explique le principe. Je coupe l'eau quand il se tortille et Daniel le pose sur les WC. Il expulse et nous recommençons. A la troisième fois, l'eau sort nickel. Séchage, inspection, il est tout beau. Avec Daniel, je le pousse jusqu'à l'un des slings. Nous le positionnons dessus. Ajustement des attaches et le voilà pieds et poings liés. Un peu paniqué (mais bientôt...niqué) il nous questionne. Daniel le rassure et lui dit que l'on ne lui fera rien qu'il n'aime déjà. A l'aide des chaines de suspension, nous remontons le sling jusqu'à pouvoir travailler son trou sans se pencher. Avec nos doigts et à 4 mains, nous ouvrons gentiment sa rondelle. Durant la prépa, nous avons du nous arrêter plusieurs fois, notre sujet d'étude arrivant au bord de l'éjaculation. Après nos doigts, nous sommes passés aux godes. Taille progressive jusqu'au 22 x 4,5 afin qu'il reste un peu de travail à la bite de Marc. Cela fait, je lui ai mis un plug taille moyenne pour le faire patienter et nous l'avons descendu à hauteur de bite.
Juste comme nous finissions, la porte s'est ouverte sur Marc. Sacoche à la main, il arrivait directement du taf. J'ai embarqué Daniel pour m'occuper de lui après avoir glissé dans l'oreille de Cédric de ne pas dire un mot.
En quelques instants, nous l'avons dévêtu puis douché. Daniel n'a pu résister à l'appel de sa bite qui prenait doucement du volume et à genoux, a commencé à lui sucer la queue. Bientôt il a du engouffrer les 22cm en pleines formes. Pendant ce temps là je roulais un patin à mon homme. Ainsi mis en forme, il nous a repoussé et s'est déplacé vers le centre du donjon et le sling. Devant Cédric en position, il nous a félicité de notre choix. Sa main a parcouru le corps mis à sa disposition, provoquant quelques frissonnements et apparition locale de " chair de poule ". Il s'est finalement positionné à sa tête et poussant le front vers le bas a dit à Cédric d'ouvrir la bouche. En avançant le bassin, il a entré son gland puis sa bite entière. L'entrée dans la gorge a fait sursauté le corps allongé mais pas plus. A la suite, il s'est offert à Marc sans recul. Comme Cédric, encore novice en gorge profonde, était obligé de déglutir fréquemment, Marc nous a dit son plaisir à se faire un néophyte.
Pendant ce temps là Daniel et moi nous bandions comme des fous. Marc nous demande alors d'enculer Cédric pour le roder. Aussitôt demandé aussitôt réalisé. Je passe en premier. Retrait du plug avec sursaut de son hébergeur lors du passage renflé et je pousse mon gland au fond de son trou. Avec Marc nous ajustons nos mouvements pour les synchroniser. Avec régularité, nous nous enfonçons en léger décalé ensemble dans le jeune corps à notre disposition. Quand je suis au fond du cul, Marc est au fond de la gorge. Cédric gémit de plaisir sous l'envahissement de nos bites. Daniel se presse contre mon dos et je sens sa queue entre mes fesses. Comme je ne veux pas sortir de Cédric, je lui dis de mettre une kpote. Il comprend de suite et, encapuchonné, il revient se coller à moi. Je me bloque au fond de Cédric le temps que Daniel m'entube. C'est trop bon ! Lentement il me met ses 20 cm. Quand je sens ses couilles contre les miennes, je sais qu'il est entré entièrement. Je me recule pour le placer à la bonne distance et m'active. Seul en mouvement, je coulisse sur la bite de Daniel tout en limant l'anneau de Cédric. J'y prends un grand plaisir ! Marc nous demande de lui laisser la place. Je me recule et sors de Cédric sans me décoller de Daniel. Nous nous déplaçons à l'autre extrémité du sling et kpote retirée, je remplace Marc dans la bouche accueillante de Cédric pendant que Marc l'enfile à l'autre extrémité. Malgré mes passages dans son cul, Cédric reste encore serré pour Marc. Je me penche sur Cédric pour mieux voir le travail de la queue de Marc. Son petit sexe tout droit m'attire et je fini par le prendre en bouche. avec un peu de persévérance, j'arrive à y faire entrer aussi ses deux petites boules. Sous mes yeux, la bite de Marc entre et sort de l'anus de Cédric qui commence à se boursoufler un peu. Ce n'est que gémissements et cris de plaisir. sous ma langue je sens monter la pression dans les couilles de Cédric et me relève juste à temps pour voir jaillir son sperme. Ses premiers jets atteignent mon menton puis mes pecs pour finir à 5cm de son gland sur ses abdos. Cela ne l'a pas arrêté dans sa pipe et je sens que ça va bientôt être à mon tour. J'ai juste le temps de reculer et je jute 6 grosses giclées sur Cédric. Mes contractions annales achèvent Daniel qui n'a pas le temps de sortir et jute dans sa kpote, accroché à mes épaules. Marc, lui, a profité du resserrement de l'anus de Cédric (dû à l'après éjaculation) pour continuer à le limer avec augmentation de frottement. Cela l'emmène à jouir à son tour. Il décule et dkpote dans le même mouvement et ajoute son sperme au mélange du mien et de celui de Cédric. J'ai juste la force de détacher Cédric, d'enlever le bandeau de ses yeux et de le faire descendre du sling, puis nous nous étalons sur les tatamis. Cédric choisit de se coucher sur Daniel (y aurait il plus que du sexe entre eux ?). Un 1/4 d'heure plus tard, sous une sensation de froid, nous filons tous les 4 aux douches que nous prenons brulantes.
Ammed nous attend avec peignoirs et manteaux pour nous dire que le diner est prêt. Samir nous attend à la maison. Apéritif, Daniel commence par refuser, c'est lui qui pilote. Marc lui dit qu'il peut se lâcher et rester dormir ici, la maison est grande. Il refuse devant ramener Cédric chez ses parents. Ce dernier confirme mais ajoute aussitôt que si on veut, il s'arrangerait pour pouvoir rester en WE. Il nous dit en rougissant, avoir vu des trucs dans le donjon qu'il aimerait bien essayer. Nous rions tous puis dinons avec appétit. ; Comme Daniel et Cédric nous ont quittés, Marc et moi discutons un peu. De son taf, il sera absent environ une semaine sur deux, des miens, où il est d'accord avec moi que je dois continuer à encadrer Jimmy et surtout Ed.
Nous convenons de nouveau du fait qu'en voyage il baise qui il veut (en général il n'a pas de difficulté à se trouver un cul parmi le personnel de service, c'est l'avantage de l'hôtellerie haut de gamme) et moi idem de mon coté le tout sous protection maximale. Pour moi, ses semaines d'absence seront principalement occupées par Emma, avec surement un peu d'André (mon banquier) et parfois de Xavier et Laure, cela sans compter bien sur les rencontres furtives possibles (aires de repos...).
Le soir même dans notre grand lit nous avons fait l'amour comme des perdus. Après m'être occupé de son corps des pieds à la tête, il m'a pris le cul comme lui seul sait le faire, me faisant monter très doucement jusqu'à la jouissance complète, celle qui fait oublier qui on est, où l'on est.
Ma langue a commencé par parcourir la surface de sa peau en commençant du gros orteil droit, remontant sur le tibia, la cuisse et hanche droite, le flanc, passage sur le téton, descente du bras, remontée sur l'épaule, le cou et l'oreille. Roulage de pelle puis descente à gauche. La stimulation de ses sens l'a fait bander et je peux m'attaquer à son sexe. Boule droite en bouche puis la gauche et enfin les deux ensemble me distendent les joues. Je les relâche pour lécher les 20cm de hampe dressés. Une fois ce cylindre brillant de ma salive je chapeaute le gland le prenant seul dans ma bouche. Il est brulant. Ma langue lèche toute sa surface, glisse sous la couronne. Marc laisse échapper un gémissement de plaisir. Je continu encore quelques instants avant de me pencher un peu plus et d'en prendre plus en bouche, jusqu'à ce que mes lèvres soient collées à son pubis (et donc son gland locataire de ma gorge). Je pompe cette bite un bon moment, déglutissant quand elle est dans ma gorge pour masser le gland, le recrachant en limite de ma capacité respiratoire. Quand je suis parti comme cela, je m'en étoufferais presque ! De temps à autre je récupère l'excédent de salive et en tartine mon anus. Ça plus mon excitation, ça devrait le faire. Après une bonne demi heure de pipe, je remonte lui rouler une pelle. Naturellement, mes genoux encadrent ses hanche et je sens son gland tapoter mes reins. Je relève le cul doucement pour que ce dernier se pose sur mon anneau. Et quand il y est, je m'assois d'un petit coup sec qui le fait entrer en moi. Un grognement d'approbation nait sous ma langue. je ne quitte pas sa bouche tout pendant que je descend sur sa queue. J'avais raison, ma salive plus l'excitation m'ont ouvert juste comme il fallait ! Vers la fin, je me redresse et enfonce le dernier cm dans mon cul, trop bon ! Marc me tient les hanches pour que je ne bouge pas tout de suite. Il se régale d'être au fond de moi. Quand il relâche la pression, je sais que je peux y aller et " trotter " sur sa bite. Je varie le rythme, mes mains en appui sur ses pecs, je monte et descend mon cul pour le limer sur son pieu. Par deux fois je dois me calmer sous peine de juter prématurément. Je me couche alors sur lui et nous nous roulon un patin. J'aime sa langue venir impérieusement occuper ma cavité buccale. Quand je sens que lui aussi est sur le point d'exploser, je passe au galop jusqu'à ce qu'il se cabre et soulève son bassin pour m'en mettre encore un peu plus si c'était possible et me tapisse le boyau de son jus. Ce n'est que qu'and il a expulsé sa dernière giclée comme nous retombons sur le lit qu'à mon tour de jute la pression envoyant mon sperme jusqu'à son visage. Le retour au calme se fait, comme couché sur lui je nettoie sa face à coups de langue et que son sexe glisse doucement hors de moi.
JARDINIER
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e642 · 9 months
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exemple d’un truc qui pour le coup me met hors de moi Le mec que je vois a des symptômes sans réelle gravité pour le moment depuis une semaine (mal de ventre, de tête, fatigue extrême, ect). Depuis le premier jour, je lui dis de prendre rdv chez le médecin histoire d’être prévoyant et annuler si ça venait à aller mieux dans les jours qui arrivent. Il me répond que ça va passer tout seul, que pour un petit mal de ventre il ne va pas aller chez le médecin, qu’il a surtout trop d’égo pour y aller (??). En parallèle de ça, il a zéro médicament chez lui et refuse d’aller à la pharmacie parce que “j’ai la flemme”, soit. Ça va faire une semaine qu’il a toujours les mêmes symptômes et qu’il s’en plaint TOUS LES JOURS. Et tous les jours je lui dis de prendre rdv, passer à la pharmacie, ect. Ce matin, il m’envoie un vocal de bébé où il se plaint que ça ne passe pas, qu’il est plié en deux ect ect ect. Mais moi la seule chose que ça m’inspire ce n’est pas de l’empathie, c’est surtout un immense mépris. T’as quel âge en fait ? 20 piges et t’es pas capable de prendre rdv et faire les choses à temps. Tu refuses toutes les solutions qu’on te propose pour attendre de craquer sous la douleur. Littéralement pourquoi aller chez le médecin quand tu peux aller aux urgences hein. Je trouve ça profondément bête et immature de sa part et ça me crée de la colère. De la colère parce que tu fais rien pour améliorer la situation et que tu me fais m’inquiéter pour rien. Ce n’est pas comme si on était en France avec un super système de santé, noooon. A partir de là, il n’y a plus rien à dire, moi ça me braque que tu te permettes d’inquiéter la France entière et rien faire pour autant à côté. J’ai été très cinglante et il l’a mal pris, mais pourtant je le pense toujours autant. Arrête de te plaindre, tu n’en as fait qu’à ta tête pour au final te rabattre sur ce que je suggère depuis une semaine, bah tant pis pour toi. Ne viens pas polluer mes messages avec ça, tu ne peux t’en prendre qu’à toi même. Pompon sur la Garonne, le mec me dit “j’attends que ma maman prenne rdv pour moi”. Oh mais fr réveille toi non ? T’es grand, bouge. C’est très grave la gestion de la maladie par les hommes, vraiment. Et ça me dégoûte un peu en fait. Je sais pas pourquoi il y a certaines personnes assez débile pour penser qu'aller chez 'e médecin et prendre des médicaments ça touche leur ego. Encore si les raisons étaient louables mais même pas. Ma foi, attends de crever pour consulter si ça te rend heureux. Putain que ça m'énerve. Ça m'a toujours énormément énervée ça, je ne sais pas bien pourquoi, sûrement parce que je suis égoïste. Je supporte mal l’inquiétude surtout lorsqu’elle est inutile ou qu’on ne fait rien pour la soulager.
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tournevole · 9 days
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Monsieur Jourdain. Photo Leonard de Selva / Bridgeman Images
Monsieur Jourdain: […] Au reste, il faut que je vous fasse une confidence. Je suis amoureux d'une personne de grande qualité, et je souhaiterais que vous m'aidassiez à lui écrire quelque chose dans un petit billet que je veux laisser tomber à ses pieds.
Maître de philosophie: Fort bien.
Monsieur Jourdain: Cela sera galant, oui.
Maître de philosophie: Sans doute. Sont-ce des vers que vous lui voulez écrire?
Monsieur Jourdain: Non, non, point de vers.
Maître de philosophie: Vous ne voulez que de la prose?
Monsieur Jourdain: Non, je ne veux ni prose ni vers.
Maître de philosophie: Il faut bien que ce soit l'un, ou l'autre.
Monsieur Jourdain: Pourquoi?
Maître de philosophie: Par la raison, Monsieur, qu'il n'y a pour s'exprimer que la prose, ou les vers.
Monsieur Jourdain: Il n'y a que la prose ou les vers?
Maître de philosophie: Non, Monsieur: tout ce qui n'est point prose est vers; et tout ce qui n'est point vers est prose.
Monsieur Jourdain: Et comme l'on parle qu'est-ce que c'est donc que cela?
Maître de philosophie: De la prose.
Monsieur Jourdain: Quoi! quand je dis: «Nicole, apportez-moi mes pantoufles, et me donnez mon bonnet de nuit», c'est de la prose?
Maître de philosophie: Oui, Monsieur.
Monsieur Jourdain: Par ma foi ! il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela. Je voudrais donc lui mettre dans un billet: «Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour»; mais je voudrais que cela fût mis d'une manière galante, que cela fût tourné gentiment.
Maître de philosophie: Mettre que les feux de ses yeux réduisent votre cœur en cendres ; que vous souffrez nuit et jour pour elle les violences d'un…
Monsieur Jourdain: Non, non, non, je ne veux point tout cela ; je ne veux que ce que je vous ai dit: «Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour».
Maître de philosophie: Il faut bien étendre un peu la chose.
Monsieur Jourdain: Non, vous dis-je, je ne veux que ces seules paroles-là dans le billet; mais tournées à la mode; bien arrangées comme il faut. Je vous prie de me dire un peu, pour voir, les diverses manières dont on les peut mettre.
Maître de philosophie: On les peut mettre premièrement comme vous avez dit: «Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour». Ou bien: «D'amour mourir me font, belle Marquise, vos beaux yeux». Ou bien: «Vos yeux beaux d'amour me font, belle Marquise, mourir». Ou bien: «Mourir vos beaux yeux, belle Marquise, d'amour me font». Ou bien: «Me font vos yeux beaux mourir, belle Marquise, d'amour».
Monsieur Jourdain: Mais de toutes ces façons-là, laquelle est la meilleure ?
Maître de philosophie: Celle que vous avez dite : «Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour».
Monsieur Jourdain: Cependant je n'ai point étudié, et j'ai fait cela tout du premier coup. Je vous remercie de tout mon cœur, et vous prie de venir demain de bonne heure.
Maître de philosophie: Je n'y manquerai pas.
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little-fan-stories · 1 year
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im so glad someone else is also hyperfixating on jack horner, i would LOVE to see any headcanons/fic/art/memes/etc you have!!
OMG!! It's the first time someone send me something in my ask box!! Thank you for that! Also well i think you won’t mind me using your message to post some headcanons ^^
And it's my first headcanons post so hope it'll be ok
(Same headcanons but in french below)
SFW
He get bored really easily
As a child, he was the type of cute kid with an adorable face but temperamentable and who can be insufferable
In general his parents gave him everything he wanted
He always been interested in his parents pie factory but he dreamt to head off on an adventure
He often helped his parents to bake the pies and liked to eat some of the fruits meant for it
To this day he hardly ever bake
If he had to take over the family business, he wanted to keep growing it as much as possible
In a way he thought it would make people respect and admire him
Now he don't care that people usually don't like him
Not because it doesn't matter for him but because he got used to it
His parents offered him his first magic artefact because since the "Pinnochio accident" he wouldn't stop to throw a fit about it
They thought he would be happy with it and move on (but we all know he didn't)
He've put it in a small chest like a treasure
When he took over family business that's when he also started hiring thiefs to go find him others magic artefacts 
NSFW (I guess?) 
Either he is virgin or he do one-night stands one after the others (but he doesn't have time for a relationship nor he's not even willing to try)
Also get bored easily in bed
[French version]
SFW
Il s'ennuie très facilement
Quand il était petit, c'était le genre de gamin mignon avec une bouille adorable mais capricieux et qui peut se montrer insupportable
Ses parents lui donnaient tout ce qu'il voulait en général
Il s'est toujours intéressé à l'entreprise de tartes de ses parents mais il rêvait de partir à l'aventure
Il lui arrivait souvent d'aider à faire les tartes et il aimait grignoter les fruits qui y était destiné
À aujourd'hui il ne pâtisse que rarement
Quitte à devoir reprendre l'entreprise de ses parents, il voulait continuer de la développer autant que possible
Dans un sens il pensait que les gens le respecterait et l'admirerait pour ça 
Maintenant il se fiche que les gens ne l'apprécie habituellement pas
Pas que ça n'importe pas pour lui mais parce qu'il s'y est habitué
Ses parents lui ont offert son premier artefact magique car depuis "l'incident avec Pinnochio" il n'arrêtait pas de piquer des crises sur ce sujet
Ils pensaient qu'il en serait heureux et passerait à autre chose (mais on sait tous que ce n'est pas le cas) 
Il l'a placé dans un petit coffre comme un trésor
Quand il a repris l'entreprise familiale c'est là qu'il a commencé à engager des voleurs pour lui récupérer d'autres artefacts magiques
NSFW (Je suppose ?) 
Soit il est vierge soit il enchaîne les coups d'un soir les unes après les autres (mais il n'a pas le temps pour une relation ou même l'envie d'essayer)
Il s'ennuie aussi facilement au lit
Thank you again and stay tuned for more content about him ^^
And a little bonus sketch of my favorite big boy cause why not :
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I also have relationship headcanons for him so i will post it in a few days!
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