#Simone Prouvé

[thatsbutterbaby]

Simone Prouvé(1931, France) - Sans titre, 1954.  x

#Simone Prouvé #textile

[mankoen]

„simone prouvé, tisser la lumiere“, new book, the beautiful weaves of simone prouvé

#simone prouvé #Instagram #tissage #inox

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Jean Prouvé “Compass” desk 1953-1965

Manufactured by Les Ateliers Jean Prouvé and issued by Galerie Steph Simon, Paris, France.

[matthias-songbook]

Aimerais-je encore les Arctic Monkeys si ce n'étaient pas les Arctic Monkeys ?

Autant que ce soit clair : il ne s'agira pas ici de donner un avis ampoulé sur le septième album des Arctic Monkeys, The Car, qui servira plus ici de prétexte à une observation de mes goûts (douteux) et leur expansion.

Si les Arctic Monkeys nous avaient habitué à changer de peau régulièrement, difficile de prévoir le grand écart opéré en 2018 avec Tranquility Base Hotel + Casino, un concept-album qui propulsait Alex Turner en gérant d'un luxuriant hôtel lunaire. On a beau avoir entendu les rumeurs soupçonnant le disque d'être un projet solo de Turner repackagé pour des raisons marketing, la claque était immense, que l'on aime ou non : arrangement en longueur à la frontière du jazz, paroles déclamées façon Leonard Cohen, guitares et batterie au diapason sans dépasser ; qu'elle paraissait loin l'époque des tronches juvéniles, des cardigans et des guitares portées au niveau du torse. Une leçon à deux morales : l'une pour les amateurs, à qui leur était prouvé l'épanouissement d'une plume, l'autre pour les fans trop rigoristes, laissés sur le bord de la route sans ménagement.

Cette mue, bien plus radicale qu'auparavant, a apporté une surcouche à l'amour et la relation particulière que j'entretiens avec le groupe depuis mon adolescence, cette époque où l'on s'approprie les choses pour la première fois. Les Arctic Monkeys sont de celles-ci, transfiguratives, déterminantes, des reflets de vérité, des échos de ressenti quand les ressemblances (largement imaginées) entre ce groupe de potes qui joue de la musique et le nôtre renforcent l'attachement.

C'est un fait, j'ai les Arctic Monkeys dans la peau, et ce simple fait retire 83,9% d'intérêt à ce papier. Et j'aime The Car, ce retour sur Terre anachronique, cet OVNI des années 70 période cool funk et cinéma romantique. Alex Turner n'a semble-t-il jamais été aussi proche de réaliser un film. Il aurait dû : c'est sa BO que lui et les autres ont enregistré. Qui les aurait imaginés, au pic de leur gloire à la fin des années 2000, se lancer dans un funk à wah-wah ("I Ain't Quite Where I Think I am"), une soul hyper sexuelle ("Jet Skis on the Moat") ou un blues fantomatique à la Nick Cave ("Sculptures of Anything Goes") ? D'autant plus dur de deviner cette quasi-face B volée à Simon & Garfunkel ("Mr Schwartz", probablement le morceau le moins Arctic Monkeys de toute leur carrière, et y a pourtant du monde en compétition). À ce titre The Car en devient presque schizophrène, l'album étant clairement séparé entre une première moitié plus pop, plus chanson, quand la seconde (dès le morceau-titre, en fait) s'aventure de plain-pied dans la BO de film (le point d'orgue de cette partie, "Big Ideas", que l'on imagine automatiquement en générique de James Bond).

Si TBH+C était un échappatoire, une fuite en avant maquillée en délire science-fiction et plein de grandes manières, The Car est un disque plus terre-à-terre, presque plus sincère puisqu'il confirme la mue toujours brutale du groupe sans l'habiller d'un concept narratif qui aurait pu faire penser à un simple écart temporaire. C'est donc ça, les Arctic Monkeys en 2022 : ils n'ont pas vraiment tué les anciens, ni les sales gosses, ni les ados boutonneux sous influence des narcotiques du désert californien, ni les grandes rockstars désuètes coiffées à la gomina. Ils cohabitent, mais au profit d'autre chose, d'une cause peut-être plus noble, peut-être plus chiante. Une belle cause, ça il n'y a aucun doute.

Ces grands changements apportent leurs lots de questions sans réponse : si j'aime encore ce qu'ils font, est-ce un signe de changement ? un bon, ou un mauvais ? Mais celle qui met le plus le ravioli en ébullition, c'est celle qui consiste à se demander si j'aimerais autant les Arctic Monkeys, s'ils n'étaient pas les Arctic Monkeys. "Le sont-ils encore ?" demanderont certainement, coquins, les plus sceptiques face à cette nouvelle phase de leur carrière délicieusement pantouflarde. On pourrait considérer que la richesse d'un groupe, d'un artiste fondateur à titre personnel, est une porte d'entrée vers ses influences, ses richesses, et qu'au fond c'est comme ça qu'on découvre sa musique idéale, en suivant cet espèce de fil d'Ariane tissé par ses musiciens favoris, et qu'on détricote à l'envie. Mais quand le groupe en question se transforme, change de peau, quelle valeur conserve cet amour d'adolescent (et donc un peu trop passionné) pour quelque chose qui n'a presque plus rien à voir avec ce qui nous avait séduit au départ ? Est-ce que j'aurais eu quelque chose à cirer de The Car s'il n'avait pas été signé par Alex Turner et sa bande ? En aurais-je ne serait-ce qu'entendu parler ? L'aurais-je écouté avec la même attention ? Et surtout, l'aurais-je autant apprécié si ses géniteurs m'avaient été inconnus au bataillon ? Est-ce qu'aimer un groupe, c'est lui faire confiance quoiqu'il se passe - sans parler de la latitude de notre appréciation propre ?

D'autant plus difficile à dire aujourd'hui, quelques semaines après sa sortie et n'ayant rien écouté d'autre, toujours très sensible à la force d'attraction que leur musique continue d'exercer sur moi. Pour quelles raisons ? Là est toute la question. Un des lieux communs les plus rincés de la musique consiste à dire qu'on grandit avec celle qu'on a, un jour, aimé. Certaines études récentes affirment carrément que c'est la musique de notre adolescence qui conserve la plus grande influence sur notre cerveau. Un peu comme un surfeur marqué par sa première vague, qu'il aura vécu comme un tsunami, pour finir par chevaucher des monstres trois fois plus gros sans s'en rendre compte. Mais quelle confiance accorder quand ces premiers amours transgressent le souvenir, et deviennent tout-à-fait autre chose ?

On en revient à la question initiale, que je vais peut-être arrêter de poser ici. J'aime ce disque peut-être plus que son prédécesseur, pour ses thématiques plus en phase avec les émotions souhaitées. Pas mal de chroniques évoquent des textes particulièrement abscons, quand je les trouve (sans prétendre capter l'intégralité du sens) très justes et très poétiques. Musicalement on m'a dit que ça ressemblait à Burt Bacharach un peu trop copié (d'après une bonne amie). N'y connaissant rien ça m'a juste semblé très beau, kitsch, élégant, et difficile pour moi de détourner le regard de cette transformation - un peu comme ce vieil ami d'enfance que vous retrouvez par hasard sur Instagram, constatant à quel point sa vie est différente de la vôtre. Vous l'aimez encore ce con, c'est comme si vous connaissiez sa petite poésie interne, celle qui faisait que vous étiez amis sans jamais vous l'expliquer concrètement. La différence, c'est que vous ne le croiserez plus jamais. Mais les Arctic Monkeys, eux, semblent encore vouloir me montrer quelque chose. De différent, encore une fois, comme toujours pourrait-on dire. Une surprise qui n'en est plus une, puisque derrière ces sonorités de crooner endimanché et ces batteries dont on se serait moqué à l'époque de "Brianstorm", c'est bien d'une certaine familiarité dont il s'agit. De vieux copains qu'on recroise et à qui on a envie de ne rien refuser, qu'on parvient encore à comprendre malgré la distance. Une certaine nostalgie, enrobée dans ce qui reste (quand même, et selon mon petit avis) de la très belle musique.

Prétendre grandir avec un groupe qu’on aime, sous couvert qu’il évolue lui-même, ça peut aussi ressembler à une petite mascarade personnelle, une tentative un peu triste et désespérée de retenir une jeunesse qui s'éloigne inexorablement. C'est un peu ironique, voire même complètement con. Qui suis-je bordel ? Qu’est-ce que l’audace ? Vous avez 4h.

#arctic monkeys #the car #alex turner #jamie cook #matt helders #nick o'malley #alternative #alternative rock #Youtube

[toutmontbeliard-com]

Marie-Noëlle Biguinet : "La campagne des prochaines élections municipales par le groupe écolo-socialiste a-t-elle déjà commencé ? "

Marie-Noëlle Biguinet, Maire de Montbéliard, communique : "Alors que l’opposition de gauche a été particulièrement silencieuse depuis les élections municipales de 2020, elle se fend aujourd’hui dénonçant notre prétendu immobilisme, absence de cap et de vision (notre info "Retour sur le Conseil municipal de Montbéliard : opposition « Conseil du Château"). Des mots, toujours les mêmes mots vides de sens et qui en fait, ne veulent pas dire grand-chose. Car après avoir redressé dès 2014 les finances municipales qu’ils nous avaient laissées en mauvais état, nous avons investi partout activement tout en étant offensifs en matière d’obtention de subventions, dans tous les quartiers de la ville : Petite-Hollande avec la rénovation urbaine et la piscine, le centre-ville avec action cœur de ville et le Centre Simone Veil, la Chiffogne et le Centre Lou Blazer, la Citadelle et Jules Grosjean avec les écoles, les Batteries du Parc et l’Ecole Louis Souvet… La liste est longue, preuve s’il en fallait, d’une véritable stratégie et ambition de développement. Et cela en continuant à soutenir activement les associations et les plus fragiles d’entre nous. Il reste encore de nombreux projets à réaliser : le Château, projet phare de la ville et du territoire, capital pour notre développement touristique, la transformation des places et des rues, la construction de nouveaux logements aux Blancheries, les barrages hydroélectriques (pourquoi ne les ont- ils pas réalisés avant ?) et le photovoltaïque, la rénovation thermique de nos bâtiments… Pour tout cela, il faut une vision : elle est là. Il faut un cap: il est donné depuis longtemps. Il faut des finances saines : nous avons prouvé notre efficacité à gérer la ville, ce que d’ailleurs l’opposition reconnait ! Et la cohérence de notre vision s’étend même bien au delà de 2026 !". Read the full article

[ensemblecyclism]

Le Tour de France de cette année est l'un des meilleurs

Alors que le mois d'août arrive officiellement, tout ce qui s'est passé en juillet s'est parfaitement terminé. Les fans regardent toujours en arrière sur le Tour de France et les pros se préparent pour le Tour d'Espagne. Jonas Vingaard a défendu avec succès le titre, et le Maillot Cyclisme Tour de France représente son dernier honneur.

Tout le temps était réservé au Tour de France en juillet, un mois qui a vu 21 victoires d'étape. Alors qu'Adam Yates et Simon Yates se sont affrontés lors de l'étape 1, ils ont partagé la même scène que des frères dans la plus grande course du monde. Le Tour de France est une histoire impliquant de nombreuses personnes, pas seulement des pilotes professionnels, des équipes, des organisateurs de courses et d'innombrables fans. Lorsqu'un pilote professionnel est dans l'équipe, n'importe qui sera inspiré pour avoir une forte capacité offensive. Ils ne peuvent franchir la limite qu'en avançant constamment, et ils affrontent leurs adversaires étape après étape. Il n'y a qu'un seul vainqueur de l'étape du Tour de France, et c'est un honneur pour lequel tous les participants se disputent activement. L'objectif des concurrents est de continuer à sprinter, et ils rivalisent avec la technologie et la capacité pures.

Le Tour de France n'a jamais manqué de professionnels courageux qui ont besoin d'attaquer dans les grands groupes et de remporter des victoires d'étape. Le Maillot Cyclisme vert est revenu à Jasper Philipsen, qui a prouvé en plusieurs étapes qu'il était un shocker nouvelle génération. Les pilotes d'évasion accorderont plus d'attention au champion d'étape, tandis que le pilote avec le score global présentera les 21 étapes entières. Avec le temps global de Tadej Pogacar à plus d'une minute de retard sur Jonas Vingaard, le suspense du titre du Tour de France était terminé. Cependant, le point culminant du Tour de France est le déroulement de la course, et le résultat final est aussi l'exploit de tous les pilotes.

[jefrozyul]

Dénigrer des confrères et consœurs car oppressant

En entrevue à Ici Radio-Canada Première, le directeur général de Fierté Montréal, Simon Gamache, a prouvé sa haine envers la police en présence de Fady Dagher soit le chef du Service de police de Montréal (SPVM).

Le message semble clair, les policiers et policières LGBTQ+ ne défileront pas en uniforme le 13 août prochain à cause que certains individus n'ont toujours pas atteint un degré de confiance envers la police en raison de... l'oppression.

Mais pour Dagher s'est plus facile de rien faire que défendre l'honneur de ses collègues LGBTQ+.

Vous avez le choix entre deux phrases: "Tout le monde déteste la police" ou "Définancez la police".

Sectarisme inquiétant

De plus en plus, la communauté LGBTQ+ adhère aux pratiques sectaires qui lui vaut une réputation malsaine et parmi ces pratiques on y retrouve les heures du conte animés par des drags.

Dans une parade organisé cette année à New York, on pouvait entendre des personnes scander "Nous sommes queer nous venons pour vos enfants." et ça passait crème aux oreilles des autorités américaines.

Selon Gamache, la communauté montréalaise LGBTQ+ doit adhérer de force au mouvement anti-police alors qu'on auront bien besoin de la présence policière en ces temps difficiles.

Simon Gamelin est-il un de ses individus qui veulent définancer la police? Est-il un de ses bobos qui hurlent "Tout le monde détestent la police"? À moins qu'il soit de ceux qui croient en la mixité sociale de la mairesse Valérie Plante?

La gauche ou encore le progressisme qui se veut tant la bienveillance et le bon chemin devient le symbole d'une anarchie, déconnection de la réalité ou même de toilettage. Mais ça, personne ne le voit car ils sont trop endormi pour en être conscient et dès qu'on le dénonce... Oh là là qu'on dérange et on nous traite de fou.

Réveillez-vous!!!

Faut-il rappeler que Le Village est un quartier civilisé qui perd de son lustre d'autrefois et plus en plus avec l'arrivée de toxicomanes qui exaspèrent les commerçants et les clients.

Pour être mieux compris, je dis exactement la raison pourquoi la police est essentielle et pourquoi les polices issues de la communauté LGBTQ+ méritent de défiler en uniforme que ça dérange ou pas. Si vous dérange tant que la police soit présente pour le défilé, n'assistez pas simplement à l'événement et faites autre chose au lieu de vous plaindre sur un détail.

Entre l'arbre et l'écorce

Que se soit la radicalisation de Simon Gamache ou la mauvaise défense de Fady Dagher, on peut qualifier ceci de match nul.

Les progressistes nous lance la même phrase soit de définancer la police pour financer des groupes communautaires sans poursuivre leur argument.

Gamache cite: On a 140 groupes communautaires qui font de l'intervention. Ces groupes font de l'intervention toute l'année, mais il y a un sous-financement de ces ressources extrêmement précieuses, hyper qualifiées, mais qui sont à bout de souffle. Le financement n'est pas récurrent.

Je me demande si les progressistes ne connaissent pas leurs groupes communautaires et en font un fond de commerce car ils sont de doux agneaux face à la méchante police? Désormais tout ce règle par grâce aux "groupes communautaires", c'est comme les indépendantistes québécois qui croient que l'indépendance de la province du Québec va régler les nombreuses misères actuelles.

Que l'on soit d'accord ou pas, c'est du dénigrement gratuit envers des membres de la communauté LGBTQ+ qui ont choisi ce métier pour protéger la population et veiller sur sa sécurité.

#lgbtq #montreal #montréal #quebec #québec #canada #fierté montréal #police

[freelance-informatique]

CDM 2022 Espagne : Le 11 type des joueurs écartés du Mondial !

Voici le 11 type sensationnel des joueurs écartés de l'Équipe d'Espagne pour la CDM 2022. L'absence de certains noms soulève des questions dans l'effectif de Luis Enrique. L'Espagne n'est pas le favori de beaucoup de gens pour la victoire finale. Mais, compte tenu de la force de cette équipe et de ces débuts face au Costa Rica, elle devrait peut-être l'être. L'entraîneur Luis Enrique a fait des choix importants dans son équipe, en sélectionnant de jeunes joueurs. Il a laissé de côté des joueurs expérimentés. Gardien de but : David De Gea De Gea n'est plus tout à fait le joueur qu'il était, mais il reste un gardien de classe mondiale. Il l'a prouvé régulièrement avec Manchester United ces dernières saisons. Malgré des débuts solides sous la direction d'Erik ten Hag, il n'était pas trop surprenant de voir Enrique préférer d'autres choix. Unai Simon, Robert Sanchez et David Raya sont ses trois gardiens pour la Coupe du monde. Lire aussi : Liste Espagne : Ramos snobbé une nouvelle fois par Luis Enrique ! CDM 2022 Espagne : De grandes absences en défense Défenseur Central : Sergio Ramos Il a été exclu de l'équipe d'Espagne pour le deuxième tournoi majeur consécutif. L'absence de Ramos de la sélection de l'Euro 2020 a été une surprise. Peu d'experts du football espagnol ne prédisaient son inclusion cette fois-ci. "La Coupe du monde ? Bien sûr, c'était l'un de ces grands rêves que je devais réaliser", a déclaré Ramos sur les médias sociaux. "Cela aurait été ma cinquième, mais malheureusement, je vais devoir la regarder à la maison". Et maintenant, le défenseur du PSG semble peu susceptible d'ajouter à ses 180 sélections pour l'Espagne. Défenseur Central : Inigo Martinez Un autre défenseur expérimenté qui suivra l'Espagne depuis le confort d'un fauteuil. Il semble injuste qu'un joueur de la qualité incontestable de Martinez n'ait que 13 sélections internationales. Il n'a jamais joué un tournoi majeur. Mais Enrique a décidé que le défenseur de l'Athletic Bilbao ne méritait pas de figurer dans sa liste de 26 joueurs. Lire aussi : Espagne Coupe du Monde : Qui seront les titulaires potentiels ? Latéral Droit : Pedro Porro Le défenseur du Sporting Lisbonne a été impressionnant contre Tottenham en Ligue des champions le mois dernier. Mais il a été négligé par l'Espagne pour la CDM 2022. Avec quatre passes décisives et un but dans le championnat portugais cette année, Porro espère pouvoir figurer dans les futures équipes. Il a été associé à un transfert à Barcelone, vous imaginez que cela aiderait sa cause. Latéral Gauche : Alex Grimaldo Alex Grimaldo est en excellente forme avec Benfica, notamment lors de la campagne de Ligue des champions. Mais il n'a jamais été appelé en équipe d'Espagne. Compte tenu de son conflit avec Enrique, une convocation pour Qatar 2022 a toujours été improbable. "Il ne m'a jamais rien dit", a déclaré Grimaldo en tant que joueur du FC Barcelone en 2015. "Je n'ai eu aucun contact avec lui, et je n'ai rien à lui dire". Un vrai dommage, compte tenu de ses prouesses balle au pied… Lire aussi : Organisateur Coupe du monde 2030 : L'Espagne et le Portugal favoris ! Les recalés au milieu de terrain Milieu Défensif : Martin Zubimendi Il est considéré par beaucoup comme l'héritier de Sergio Busquets. Enrique a donné au Barcelonais le feu vert pour une dernière participation à un grand tournoi. Le milieu de terrain de la Real Sociedad a réalisé une série de performances de grande classe cette saison. Zubimendi aura sa chance un jour, car il est tout simplement trop bon pour être ignoré. Relayeur : Fabian Ruiz Signé par le PSG cet été, Ruiz aurait gardé l'espoir d'une place dans l'avion pour le Qatar jusqu'à ce qu'une malheureuse blessure mette fin à ses chances. Il n'a pas été appelé par Enrique en équipe nationale depuis l'Euro. L'ancien joueur de Naples ne s'est pas non plus imposé dans le onze du PSG, Ruiz reste un joueur de grande qualité et espère revenir plus fort de sa blessure. Relayeur : Thiago Alcantara L'opérateur de classe de Liverpool n'a été qu'un petit joueur à l'Euro 2020. Il a été écarté de la liste pour le Qatar malgré un certain nombre de bonnes performances en Premier League. Enrique a défendu sa décision en disant : "S'il s'agissait d'une Coupe du monde normale, nous intégrerions les besoins physiques dans l'entraînement, mais à la moitié de la saison, nous n'allons pas travailler sur le niveau physique d'un joueur." Pourtant, il ne doit pas y avoir beaucoup de joueurs dans le football mondial qui peuvent frapper un ballon aussi délicatement que le joueur de 31 ans. Lire aussi : Qui va gagner la Coupe du monde 2022 au Qatar ? Notre prono ! CDM 2022 Espagne : Les oublis en attaque Ailier Droit : Gerard Moreno Bien que Moreno ait souffert de blessures cette saison, ce fut une véritable surprise de le voir absent de la sélection espagnole. L'attaquant de Villarreal, qui a joué à plusieurs reprises à l'Euro 2020. Il a marqué 13 buts et en a assisté six autres en 27 matchs en club l'année dernière. Attaquant : Borja Iglesias Malheureusement, l'excellent Real Betis n'a pas été suffisant pour déloger Alvaro Morata de la sélection espagnole. Mais, avec le Betis en quête d'une qualification pour la Ligue des champions, Iglesias aura beaucoup d'autres occasions de s'imposer dans la pensée d'Enrique. "Je vais travailler pour que mon équipe reste au top, pour marquer des buts et pour que l'équipe gagne, et à partir de là, on verra ce qui se passe. Avec un peu de chance, je pense que j'ai une chance, je dois en profiter" Lire aussi : Zidane prendra la place de Deschamps après le Mondial ! Ailier Gauche : Iago Aspas Aspas a atteint le nombre de buts à deux chiffres lors de chaque saison complète de La Liga depuis 2015-16 pour le Celta Vigo. Mais ce n'est pas suffisant pour qu'Enrique le choisisse dans la sélection pour la Coupe du monde. Cela dit, le joueur de 35 ans est peut-être un peu trop vieux pour être considéré sérieusement, mais il reste l'un des meilleurs attaquants du football espagnol. Read the full article

[garadinervi]

Simone Prouvé, Echantillon, 1992-2018 [Centre Pompidou, Paris. © Simone Prouvé / Adagp, Paris. Photo: © Audrey Laurans/Centre Pompidou]

#design #art #textile #pattern #simone prouvé #audrey laurans #centre pompidou #1990s #2010s

[thatsbutterbaby]

Simone Prouvé (née en 1931) Sans titre (01.10.91) Tapisserie en coton, laine et acrylique Bolduc signé au dos 154 x 156 cm

https://www.simoneprouve.fr

#Simone Prouvé #textile

[scandinaviancollectors]

Galerie Steph Simon, Paris, c.1960, featuring furniture by Charlotte Perriand, Jean Prouvé and Verner Panton, Akari light sculptures by Isamu Noguchi (c.1950s) and other showroom lights by Serge Mouille. Photography by Jean Biaugeaud. / Artcurial

#galerie steph simon #steph simon #isamu noguchi #akari #light sculpture #sculpture #art #modern art #design #design icon #charlotte perriand #jean prouvé #modernism #1960s #mid-century modern #french modern #verner panton #interior #interior design #decoration #showroom #black and white #scandinavian collectors #artcurial

[simichiamano]

Jean Prouvé Pavillon Démontable', 1944

#Jean Prouvé Pavilion Demontable #Gagosian Gallery #Raf Simons #Alexander Calder

[dearorpheus]

I'm currently trying to read up on the subject of female hunger and hunger as a metaphor for desire for a novel. Can you show me some good essays/articles about this?

excellent subject, anon!! i’d love to read whatever you come up with

- first! “Love of the Wolf” from Stigmata: Escaping Texts by Hélène Cixous

- then, an excerpt of Cixous’ The Laugh of Medusa

from there, read some Susan Sontag—the hunger artist- excerpts from the article

- excerpt from The Soul Knows Its Hunger, Simone Weil

my loves from antiquity:

- excerpt from Agamemnon, by Aeschylus; this is Clytemnestra speaking

- excerpt from Medea, in her titular play by Euripides

- the maenads from Bakkhai (all absolute queens)

- excerpt from Oscar Wilde’s Salomé

- excerpt from Margaret Atwood’s Circe/Mud Poems

furthermore, in poetry:- “Hunger corrupts, and absolute hunger / corrupts absolutely, / or almost. Of course there are mothers, / squeezing their breasts / dry, pawning their bodies, / shedding teeth for their children, / or that’s our fond belief. / But remember—Hansel / and Gretel were dumped in the forest / because their parents were starving. / Sauve qui peut. To survive / we’d all turn thief / and rascal, or so says the fox, / with her coat of an elegant scoundrel, / her white knife of a smile, / who knows just where she’s going: / to steal something / that doesn’t belong to her—some chicken, or one more chance, / or other life.” (Red Fox, Margaret Atwood) - “it is our custom / to consume / the person we love.” (The Cannibal’s Canción, Gloria Anzaldúa) - Decreation, Anne Carson

in prose:- “Having once seen the world naked, the engine which drove Marya Morevna through the long, thin streets of Petrograd was a terrible hunger for knowing things, for knowing everything.” (Deathless, Catherynne M. Valente) - “She rises when the sun sets and goes immediately to her table where she plays her game of patience until she grows hungry, until she becomes ravenous.” (“The Lady of the House of Love” from The Bloody Chamber and Other Stories by Angela Carter) - Rosemary’s Baby, Ira Levin

probably also some Carmen Maria Machado, Maria Tatar, Joan Didion, Marina Tsvetaeva…

to watch: Raw dir. Julia DucournauThelma dir. Joaquim Trier Phantom Thread dir. Paul Thomas AndersonThe Company of Wolves dir. Neil JordanThe Lure dir. Agnieszka SmoczynskaA Girl Walks Home Alone at Night dir. Ana Lily AmirpourGinger Snaps dir. John FawcettJennifer’s Body dir. Karyn Kusama Fascination dir. Jean RollinImmoral Tales dir. Walerian BorowczykTale of Tales dir. Matteo GarroneThe Handmaiden dir. Park Chan-wookThe Addiction dir. Abel Ferrara

articles/book (chapters):Nevertheless, She Feasted: Why Girls Get Hungry in Horror Movies, Francesca FauWhy Female Cannibals Frighten and Fascinate, Kate Robertson“Women as Vampires: The Hunger” from The Monstrous Feminine, Barbara Creed (I can email you this if you ask me)Eat Me: Dissecting Cinema’s Coming-of-Age Female Cannibals, Billie BrandWhy Is Your Writing So Violent?, Joyce Carol OatesHunger Makes Me, Jess ZimmermanWhen Desire Goes Dark, Charlotte Shaneperhaps also The Sadeian Woman by Angela Carter

- Edvard Munch’s The Vampire, 1894

- Les Voluptueux, Victor Prouvé, 1889

- from Oscar Wilde’s Salomé, by Gabrielle Kari

#appetites #asks

[sdaweek]

VEN 26 mars 2021

EntomologieS/5  Sergemouilla luminas luminae (collage & encre de Chine)

https://www.serge-mouille.com/

Serge Mouille est né à Paris en 1922. Il développe très tôt un talent pour le dessin. Ses modèles, il les trouve au Jardin des Plantes où il  passe des heures entières à dessiner plantes et animaux. Sur les conseils de son professeur de dessin, il s’inscrit au concours d’entrée des Arts Appliqués où il est reçu à l'âge de 13 ans, plus jeune élève de son temps. Son mentor Gabriel Lacroix fera de lui un Maitre dans l’Art de modeler le métal au marteau. Il entre chez Hénin Orfèvre Paris où il ne tarde pas à s’imposer au milieu d’ouvriers chevronnés, tous plus âgés que lui.Après la guerre, Serge Mouille se met à son compte et travaille pour diverses Maisons d'Orfèvrerie. C’est un artisan reconnu par tous. Il travaille en parallèle comme enseignant à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et métiers d'Art ayant succédé à Gabriel Lacroix à la tête de l'atelier d'orfèvrerie. Il dévoua toute sa vie au métier d'enseignant mais également à celui de chercheur car il ne faut pas l'oublier, Serge Mouille c'est aussi et surtout 44 ans de recherches, de dessins et de monogravures. C’est sa rencontre avec Jacques Adnet, directeur de la Compagnie des Arts Français, en 1951 qui marquera un tournant dans sa vie. En effet, celui-ci lui demande de concevoir un ‘’grand luminaire’’ pour sa clientèle Sud-Américaine. Serge se met au travail et créé le Lampadaire trois bras, passant progressivement du statut de maitre-artisan à celui d’artiste créateur en développant la désormais célèbre série des Formes Noires. Le lampadaire trois bras, le lampadaire droit en seront les premiers modèles. Fer de lance de la modernité et du mouvement de l'intégration fonctionnelle pour l'aménagement intérieur, la galerie Steph Simon est emblématique du développement de la Rive gauche dans le commerce du meuble d'avant-garde. Agent commercial de l'Aluminium Français, Steph Simon rencontre Jean Prouvé qui l'engage en 1949 pour diffuser son mobilier. En mars 1956, il inaugure au 145 Boulevard Saint-Germain la galerie Steph Simon. Charlotte Perriand s'occupe de l'aménagement du lieu. Pour Steph Simon, cette galerie doit avoir "un caractère de choc" et proposer périodiquement des expositions. Il présente des modèles exclusifs de Jean Prouvé et Charlotte Perriand, des luminaires de Serge Mouille, des céramiques de Georges Jouve et Norbert Pierlot. Plus tard, il diffuse les pièces d'Isamu Noguchi, Sori Yanagi, Tecno ... La galerie ferme en 1974.1962 : le monde a changé. Serge Mouille, depuis dix ans, mène de front sa carrière d’enseignant et celle de concepteur de luminaires. Il décide alors de se démarquer radicalement de tout ce qu’il a fait jusque-là en créant la série des colonnes lumineuses utilisant le tube fluorescent, nouveau à l’époque. Les deux séries sont si différentes que l’on peut penser qu’elles ont été créées par des artistes différents. C’est l’incompréhension et un succès mitigé. Il décida d'arrêter sa production de luminaires en 1963 et se consacra entièrement à l'enseignement. Serge est décédé en Décembre 1988

"Avec l'aimable participation de Pierre-Emile Pralus auteur du livre '' Serge Mouille un classique Français'' paru aux Editions du Mont Thou à Saint-Cyr au Mont d'Or"

https://podcasts.audiomeans.fr/.../-103-l-histoire-du...                         Catalogue: http://catalogue.leseditionssergemouille.fr/catalogue.pdf

[ohkryan]

Ch.Perriand ‘Kasumi-dana’ wall-mounted shelf circa 1958 Manufactured by Négroni and Métal Mueble for Galerie Steph Simon, Paris, France. Jean Prouvé 'Tout bois' chairs circa 1942 Manufactured by Les Etablissements Vauconsant, Saint-Nicolas-de-Port, France, for Les Ateliers Jean Prouvé, Nancy, France. Pierre Jeanneret Zinc-Covered Square Dinning table, model no. PJ-TA-04-A, designed for the cafeterias and administrative buildings, Chandigarh circa 1959

[wmud]

jean prouvé - renault dauphine - galerie steph simon, blvd saint michel, paris, 1958

#architecture #cars #prouvé #france