Re-Blog : gestion des données et sécurité : l’exemple de Mexico.
Voici 3 semaines, Nous vous parlions de la gestion de la sécurité, des villes intelligentes et de Charleroi. Aujourd'hui, parlons de l'exemple de Mexico.
Temps de lecture : 6 minutesmots-clés : Data, sécurité, villes, gouvernance, citoyenneté, Mexico, exemple, Charleroi
Chers lecteurs,
Voici quelques semaines et entamant l’année, je proposais de prendre à bras le corps le problème de sentiment/réalité d’insécurité à Charleroi. Pour y arriver, je proposais de changer de modèle et d’implémenter une approche de gouvernance dataïfiée. Aujourd’hui,…
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Nous, libéraux, ne défendons pas quelque fantasme cosmopolite de citoyens décontextualisés et d’« internetoyens » désincarnés, mais nous devons défendre le droit des individus à s’enraciner de plus d’une manière et dans plus d’un lieu.
Timothy Garton Ash - L’avenir du libéralisme
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Déjouons le rôle des réseaux sociaux vers une école numérique
Longtemps, nous avons cru à un faible accès à l’internet au Tchad, mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas, car toute une génération qui est devenue addictive aux réseaux sociaux notamment le tiktok, Facebook, WhatsApp.
Certains utilisent les réseaux sociaux pour de fin de s’informer, de s’exprimer, de se faire remarquer et d’autres utilisations très abusives à des fins échappatoires des cours,…
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Semaine nationale de la citoyenneté : une montée des couleurs pour lancer les activités
Semaine nationale de la citoyenneté : une montée des couleurs pour lancer les activités
Le ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions organise du 24 au 27 octobre 2022 la 19e édition de la Semaine nationale de la citoyenneté (SENAC) sous le thème « L’expression du patriotisme dans le contexte sécuritaire actuel : moteur de la résilience des populations ». Le lancement de l’édition est intervenu, le lundi 24 octobre 2022 à Ouagadougou à…
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Première semaine à Lahage !
Voici les blogs des participants de YAMA sur leur première semaine dans l'éco-village.
Moi c’est Mehdi, j’ai 27 ans et je suis un lauréat de YAMA 2022. Ça fait quelques mois que je suis venu en France pour fuir la guerre dans mon pays, en Afghanistan. A travers le projet YAMA, j’aimerai raconter mon histoire et en découvrir d’autres. J’aimerai apprendre les coutumes européennes pour m’aider à m’intégrer en France. De plus, vivre pendant trois semaines dans ce milieu naturel me rappelle mon enfance dans les montagnes de Behsud. Cette première semaine a été riche en découverte pour moi, j’ai appris de nombreuses choses à travers les ateliers et j’ai particulièrement aimé les travaux artisanaux avec du bois. Peut-être que je travaillerai dans ce domaine plus tard. Partager ces moments chaleureux en groupe au cœur de la nature m’aide à me ressourcer. Et j’ai appris de nouvelles manières de communiquer pour mettre fin au barrage de la langue ! J’ai hâte des deux autres semaines à venir.
Je suis Yara, lauréate du projet YAMA 2022, j’ai 22 ans et je suis étudiante. J’ai souhaité participer à ce projet car l’écologie est une thématique très importante pour moi. Cependant, j’appréhendais de vivre en pleine nature, notamment le fait de dormir dans des tentes. Et durant cette première semaine, c’est ce qui a été le plus compliqué pour moi : les nuits sont fraîches et la météo n’est pas vraiment estivale. Heureusement, on passe de très bons moments avec les autres participants, où l’on rit et s’amuse beaucoup. Les activités sont très attrayantes et j’apprécie particulièrement les jeux de groupe car ils nous permettent de faire plus ample connaissance. De plus, en une semaine, j’ai déjà appris énormément de choses sur l’écologie mais aussi sur la vie aux quatre coins du monde grâce aux participants de toute origine. J’ai hâte de faire de nouvelles découvertes dans les deux semaines à venir !
Je suis Yusuf, un Allemand lauréat de YAMA 2022. J’ai trouvé lors de cette première semaine de YAMA des manières de s’amuser sans la barrière de la langue. En effet, mon moment préféré jusque-là a été lorsque j’ai pu faire découvrir la cuisine de mon pays aux autres participants et qu’ils m’ont tous complimenté. Je vis avec joie et plaisir l’immersion dans la nature. Et j’ai surtout découvert l’importance de la protection de notre planète. On a vu de nouvelles technologies écologiques pour lutter contre le réchauffement climatique, ça m’a vraiment beaucoup intéressé. De plus, j’apprécie tellement les moments en groupe où l’on s’amuse tous ensemble ! Je suis plus que satisfait de ce séjour.
Je suis Ahad, j'ai 29 ans, et participe à YAMA 2022 pour partager mon expérience et entendre celle des autres. Venant d’un pays en guerre, l’Afghanistan, je reconstruis une nouvelle vie ici et je souhaite écouter les histoires d’autres personnes pour trouver des idées de ce que je pourrai faire à l’avenir. Malgré la pluie, cette semaine m’a déjà beaucoup appris à travers les ateliers, la vie en pleine nature et la rencontre avec les autres participants. D’ailleurs, l’atelier qui m’a le plus marqué, c’est celui intitulé « Draw your country ». Cela m’a donné des responsabilités différentes : j’ai dû apprendre comment prendre les bonnes décisions en étant à la tête d’un pays mais aussi comme constituer et former ce pays. Et l’atelier qui m’a le plus intéressé fut celui de la fabrication de papier. Mais ma plus grande découverte durant cette première semaine à YAMA fut le fait de vivre en pleine nature et de s’adapter aux conditions environnementales au sein d’un groupe de personnes. J’ai apprécié dormir dans une tente et le fait de se trouver dans un environnement naturel m’apaise et m’aide à m’endormir plus vite qu’habituellement.
Je suis Enayatullah, un lauréat de YAMA 2022. J’ai trouvé cette première semaine super, je me suis beaucoup amusé ! J’apprécie ces moments au sein de la nature. Mais j’ai aussi aimé les différents ateliers qui ont enrichi ma culture. Par exemple, mon atelier préféré fut celui de la fabrication de papiers mais j’ai été aussi très intéressé par la méthode de préparation de la bière. Enfin, j’ai pu apprendre plus en détails les règles de citoyenneté à travers des jeux. J’ai découvert tellement de choses en une semaine, j’ai tellement hâte des deux prochaines qui arrivent !
Je suis Amin, lauréat de YAMA 2022. J’ai réellement bien profité de cette première semaine qui a été instructive pour moi mais qui m’a aussi permis de rencontrer de nouvelles personnes. J’ai passé de très bons moments où j’ai dansé avec les autres participants ou encore jouer au ping-pong. Mon atelier préféré a été la création du bar sans alcool pour le festival. Cet atelier m’a permis de laisser exprimer ma créativité. Mais ce qui m’a le plus marqué, c’est la question du réchauffement climatique, je me suis rendu compte qu’il était important de sensibiliser tout le monde sur ce sujet. J’ai beaucoup appris aussi sur la citoyenneté à travers le jeu « Draw your country » notamment lors des débats. Enfin, ce que j’ai le plus aimé, c’est l’immersion car j’apprécie énormément la nature et je m’y sens à ma place. D’ailleurs, ça me plairait de vivre à Lahage toute ma vie !
Je suis Alexiane, j’ai 22 ans et je suis lauréate YAMA 2022. J’ai voulu participer à ce projet pour vivre un échange et un partage de cultures en rencontrant de nouvelles personnes de toute horizon. Ce qui m’intéressait particulièrement, c’était les activités écologiques et artisanales. Et en une semaine, mes attentes ont toutes été comblées ! Je n’apprends que des choses utiles, dorénavant je sais construire un bar par exemple ou encore préparer le festival AgitaTerre. Étant une amoureuse des animaux, j’ai été contente d’en trouver ici et de pouvoir les nourrir et passer un moment avec eux. Les ateliers ont beaucoup enrichi mon savoir notamment sur les thématiques écologiques et d’interculturalité. J’ai acquis de nombreuses connaissances variées grâce aux ateliers comme fabriquer un bar, de la bière, des toilettes sèches, etc. Mais j’ai aussi amélioré ma maîtrise de l’anglais et de l’allemand. Enfin, j’apprécie être en pleine nature, c’est ressourçant.
Je suis Mahmoud, âgé de 29 ans et lauréat de YAMA provenant d’Allemagne. Ce que je recherche dans ce programme c’est principalement de nouvelles connaissances et expériences. Et j’ai été plus que satisfait ! Cette première semaine s’est super bien déroulée dans un cadre magnifique. J’ai beaucoup apprécié l’atelier avec les animaux. Mais ce qui m’a le plus intéressé, c’est la fresque du climat. Aujourd’hui le climat est un sujet important, et il faut tous agir à notre niveau. En tout cas, j’ai passé de super moments jusque là et j’ai hâte des prochains jours.
Je suis Zanele et j’ai 31 ans et je suis lauréate de YAMA 2022. Je me suis inscrite à ce projet car je porte un grand intérêt au concept d'une économie circulaire dans le secteur de l'alimentation et de l'agriculture pour éradiquer les problèmes environnementaux. YAMA est donc apparu pour moi comme une occasion d’échanger des idées avec d'autres jeunes et d’améliorer mes connaissances. Cette première semaine a été difficile pour moi car souffrant d’une anxiété sociale, ça a été compliqué pour moi de m’adapter à cette vie collective. Ça a été pour moi une première de dormir dans une tente mais aussi de découvrir des personnes de cultures si différentes. J’ai donc été très nerveuse mais au fur et à mesure j’ai réussi à me sociabiliser et maintenant je me sens beaucoup plus à l’aise. D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé les ateliers de laser avec Lucas et de peinture avec Anthony ! Les ateliers de réutilisation de bois et zéro déchet m’ont particulièrement intéressé car ils sont en lien avec mes études. De plus, ces activités ont lien avec l’écologie m’ont poussé à réfléchir à ce que je pouvais faire et mettre en place dans ma vie de tous les jours pour le bien de notre planète. Néanmoins, vivre en pleine nature était familier pour moi, ça m’a rappelé mon pays, l’Eswatini. Et ça me fait du bien, je sens que j’en avais besoin.
Je suis Fatim-Zahra, âgée de 30 ans et lauréate de YAMA 2022. Ce qui m’a intéressée dans ce projet, c’est la soif d’apprentissage et l’expérience humaine mais surtout ce côté aventure et le fait de pouvoir sortir de ma zone de confort. C’est pour moi un moyen de me recentrer sur la nature, la solidarité et le partage. Le premier jour, j’avais beaucoup d’appréhension mais ça s’est très bien passé ! J’ai apprécié les moments de cohésion et l'atelier sur la migration était très intéressant parce que des personnes nous parlent de leurs expériences. J'aime aussi énormément le côté interculturel, c'est très enrichissant. Je suis devenue très proche de Zanele, qui ne parle pas anglais. Ça m'oblige à m'améliorer en anglais, et elle en français. J’apprécie particulièrement les ateliers sur les thématiques de l’écologie et de la migration, on découvre l’importance de prendre soin de notre planète mais aussi les vécus de chacun qui sont tellement différents et passionnants. Tous les jours, on apprend énormément de choses comme le fonctionnement des composites ou encore le processus de fabrication de toilettes sèches. Enfin, pour moi, ce séjour était nécessaire. Cela fait tellement d’années que je n’étais pas sortie de la ville ! Me couper du monde me procure tellement de bien et je n’ai vraiment pas envie de rentrer !
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Des Britanniques travaillant à Bruxelles poursuivent la Commission pour "discrimination" liée au Brexit – POLITICO
Des Britanniques travaillant à Bruxelles poursuivent la Commission pour “discrimination” liée au Brexit – POLITICO
LONDRES – Un groupe de fonctionnaires britanniques travaillant pour l’UE à Bruxelles poursuit la Commission européenne pour discrimination après que les patrons aient cessé de couvrir leurs frais de voyage.
En vertu des règles de longue date de la Commission, l’exécutif rembourse les frais de voyage de tous les fonctionnaires basés à Bruxelles lorsqu’ils rentrent dans leur pays d’origine – mais…
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Où va-t-on ? Une réalité alarmante
Face à ces incivismes que subit la société, le recours à l’éducation civique et morale est d’une priorité absolue
D’une manière générale, la crise sociopolitique, économique et sécuritaire que notre pays traverse depuis quelques années jusqu’ aujourd’hui vient sans doute de la crise de l’ignorance, d’irresponsabilité, la non prise de conscience, du manque d’esprit collectif, de l’analphabétisme,…
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