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#devoir d'exister
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ce qui file n’a pas d’arme pour s’arrêter, flâner ni même regarder ; ce qui file est mon corps qui ne peut résister à l’avancée, est mon esprit qui essaye d’ouvrir la voie d’une pensée et de la suivre, à cette urgence implacable d’être là, à la seconde près, devant le travail d’exister
© Pierre Cressant
(vendredi 1 octobre 2022)
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aurevoirmonty · 2 months
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"Volontairement, la prussianité a renoncé à tou­tes les forces allemande qui reposaient sur l'imagination, et non sur le sens du réel, sur le goût de l'aventure et non sur la conscience du devoir. Ces forces abandonnées par la prussianité avaient jusqu'alors constitué nos règles d'existence ; elles mettaient surtout l'accent sur les passions, jamais sur l'esprit constructif."
Arthur Moeller van den Bruck, Der preussische Stil (1922)
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mrlafont · 9 months
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Quand des envies de meurtre me prennent. Des heures de travail souillées en quelques secondes par des "artistes". Derrière l'enduit, le travail des maçons, sous la chaleur, sur un échafaudage inconfortable, étriqués entre deux souches de cheminées, à peine de quoi jeter le mortier. Sur la corniche, que j'ai moi-même posée, moi qui apprends le métier, avec passion, souffrance donc, cette corniche, avec en bout de piste cette dernière pierre posée, dernière d'une longue série (la façade doit faire une vingtaine de mètres) symbolique, comme la fleur au bout de la tige, comme arrachée par ce tag affreux en une fraction de seconde. Les ardoises des couvreurs, taguées elles aussi. Obligé de revenir sur le travail accompli, car tout cela va devoir être effacé, mais avec quel résultat ? D'un côté, le long, dur, patient, anonyme travail de l'ouvrier, en quête de noblesse, qui apprend l'humilité, la supériorité de la matière, du réel, de l'autre, le caca égoïste d'un individualisme forcené. Mon travail contre le leur. Lequel mérite d'exister, de sauter aux yeux ? Peut-on attribuer, objectivement, une valeur aux choses ? Oui, c'est la noblesse, mère de la moral, qui doit trancher. Ou alors on dit oui à la destruction, oui à la laideur, oui à la défaite.
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frzngrapes · 2 years
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27/06
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Chère Keycie,
Cette nuit j'ai rêvé que je fumais. La nuit d'avant aussi. La nuit d'avant aussi. Ça fait deux semaines que j'ai pas fumé, je n'avais pas réalisé l'emprise que ça a pris sur moi, sur mon cerveau.
N'empêche, je déteste ça. Quand mes rêves sont prévisibles. Si je suis en train de jeûner, je rêve que je mange ou que j'achète à manger. Après je me réveille triste ou paniquée et j'ai beaucoup de mal à savoir ce qui était réel ou pas. Si je joue à Genshin Impact avant de me coucher, je vais continuer de tuer des slimes une fois endormie (ce que je trouve très peu intéressant). Alors que ce que j'aime dans les rêves, c'est le fait qu'ils sont aléatoires !
Avoir envie de fumer, et chercher désespérément quelqu'un qui a du tabac ou des indus, jusque dans mes rêves, c'est franchement injuste. Dormir c'est ma chose préférée, parce que ça me fait une pause. pendant deux ou quinze heures, je n'ai pas besoin d'exister, d'être consciente, d'avoir les petits soucis que j'ai quand je suis réveillée.
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quand je dors Je veux découvrir un trésor au pied d'un arc-en-ciel, passer dans une autre réalité grâce à une machine à laver magique, tuer un.e de mes meilleures potes de sang froid, faire partie des totally spies, regarder des gosses faire de la capoeira en compagnie de kim taehyung, vivre une idylle avec ma crush du moment, me rendre compte que les membres de blackpink sont des androïde, être poursuivi par des monstres humanoïdes en compagnie de saiki kusuo... devoir rêver que je veux fumer chaque soir pendant trois jours c'est du vol! on me vole ma chose préférée au monde, on me vole mon moment de paix
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Bon j'exagère énormément Et puis, j'ai de la chance : je fais quasiment jamais de cauchemars!
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passe une bonne nuit Keycie, et fait de beaux rêves. bisous, Cannelle
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lazoneestlibre · 6 months
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1442 " Celui qui s'attache à son plaisir souffrira de déplaisir" 'Guy RO...
Le désarroi de devoir quitter ce que l'on aime est le grand dilemme de la vie, car la tendance est de s'attacher au réconfort que cela pourvoit, et cela s'avère être de la  sécurité éphémère  qui donne le sentiment d'exister à travers ce à quoi on s'identifie.
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smob-pointdevente · 7 months
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Caisse automatique vs caisse enregistreuse tactile : quelle est la meilleure option pour votre magasin
SMOB | Caisse automatique vs caisse enregistreuse tactile : quelle est la meilleure option pour votre magasin
Caisse automatique vs caisse enregistreuse tactile : quelle est la meilleure option pour votre magasin
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christophe76460 · 7 months
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UN CHRÉTIEN PEUT-IL FAIRE DE LA POLITIQUE ?
#_Un_chrétien_peut_il_faire_de_la_politique ? #Serge_Rossi Qc_0647
En grec le mot "polis" signifie tout simplement la ville, mais, derrière chaque ville il y avait dans l'antiquité un mini État. Les habitants de ces cités étaient des citoyens (de citis, la ville en latin) et participaient aux affaires publiques.
Cela tranchait avec les royaumes et les empires dont les habitants n'étaient que des sujets et devaient obéissance à un monarque. Les Athéniens pratiquaient ainsi la démocratie, expression qui désigne un gouvernement par le peuple.
C'est ce modèle qui s'est imposé à toute l'Europe et dans une grande partie du monde. Il n'est cependant pas nécessaire de faire partie d'une démocratie pour faire de la politique puisque toute action de participation ou d'opposition à la gouvernante d'un pays consiste à faire de la politique.
Mais, est-ce la place d'un chrétien qui est citoyen du ciel » qui est « étranger et voyageur sur la terre » et qui attend la « cité céleste » ?
LE CHRÉTIEN EST D’ABORD UN CITOYEN DU CIEL
Le fait d'être chrétien nous confère un statut nouveau, mais ce statut est spirituel et n'est pas reconnu pour l'heure aussi nous restons participants de la communauté des citoyens de notre pays et, de ce fait, nous avons des droits et des devoirs.
Nous faisons de la politique par le seul fait d'exister et si nous refusons d'en faire nous en faisons quand même. Bref, nous sommes tombés dans la marmite dès la naissance.
Ainsi Paul qui était citoyen romain s'est servi de ce titre pour sortir de prison, pour en appeler à César et aller à Rome afin d'être jugé par lui. En devenant chrétiens des grecs et des romains ont été mêlés à la politique par le seul fait de se constituer en "ecclésia " , (assemblée). Leurs prises de position, par rapport à l'idolâtrie, au culte de l'empereur leur ont valu une persécution populaire, (Cf Démétrius l'orfèvre) puis celle de l'État.
Notre soumission aux autorités, notre crainte des juges et de la police sont directement prescrits par l’Écriture. Notre constitution en association, l'exercice que nous faisons ou pas du droit de vote, notre lecture des journaux, nos publications, la rédaction de cet article sont des actes politiques.
Le fait de vivre sur terre comme citoyens des cieux fait de nous les ambassadeurs d'un Royaume étranger et nous confère donc une fonction politique. C'est ce que constatait un auteur inconnu de la fin du IIe siècle dans sa "lettre à Diogène".
"Les chrétiens ne se distinguent des autres hommes ni par le pays ni par le langage ni par les vêtements. Ils n'habitent pas de villes qui leur soient propres, ils ne se servent pas de quelque dialecte extraordinaire, leur genre de vie n'a rien de singulier. (...)
Ils se répartissent dans les cités et se conforment aux usages locaux pour les vêtements, la nourriture et la manière de vivre, tout en manifestant les lois extraordinaires et vraiment paradoxales de leur république spirituelle. (...)
Toute terre étrangère leur est une patrie et toute patrie une terre étrangère. Ils se marient comme tout le monde, ils ont des enfants, mais ils n'abandonnent pas leurs nouveaux nés. Ils partagent tous la même table mais non la même couche.
Ils sont dans la chair, mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur terre, mais sont citoyens du ciel. Ils obéissent aux lois établies et leur manière de vivre l'emporte en perfection sur les lois".
LE CHRÉTIEN PEUT-IL PRENDRE PARTI ?
Paul nous met en garde contre l'esprit de parti dans l’Église qui nous pousse à nous réclamer d'une appartenance et donc, inévitablement à critiquer ceux qui ne sont pas du même bord. (I Corinthiens 2.9-12 et 4.6, 7). Il conclut en disant : « Qu'aucun de vous ne se gonfle d'orgueil en prenant parti pour l'un contre l'autre. »
Si c'est vrai sur le plan religieux, ce le sera à plus forte raison sur le plan politique : Le monde politique est partagé en partis très divers hostiles les uns aux autres. Nous pouvons le constater, la rébellion de l’homme envers Dieu empêche de trouver un homme providentiel, un parti providentiel ou une politique providentielle.
Tous ces différents partis politiques rendront peut-être les choses moins pires mais jamais absolument et définitivement meilleures. Les Écrits et les prophètes de l’Ancien Testament nous montrent la difficulté des rois d’Israël à suivre la Parole de Dieu.
Militer activement dans un parti conduit à dénigrer ce que font les autres partis, à se considérer comme "le meilleur parti pour diriger le pays ou la cité", il suffit pour cela d'entendre la réaction des partis d'opposition aux projets gouvernementaux : "Mesures inadéquates, superficielles, dangereuses"...
Nous ne sommes plus sur le terrain de la Vérité révélée par le Seigneur, mais du jeu politique, qui enferme les militants dans une idéologie seulement humaine. Et nous voyons bien que la plupart des promesses reposent sur la recherche des choses matérielles ...
Promettre plus et mieux que les autres partis politiques. Celui qui s'y engage s’éloigne de la Parole de vérité, car quelle marchandise offre-t-il, l'Évangile ou un programme politique ?
Quelle sera l'écoute de quelqu'un qui se sait de l'autre bord sur le plan politique ? De plus, le chrétien se trouve dans l’Église de Jésus Christ, que l’on pourrait qualifier de "parti d’en haut ou du ciel" .
Les choses d’en haut n’ont rien à voir avec celles de la terre, comme le dit l’apôtre Paul : « Cherchez les choses d’en haut où Christ est assis à la droite de Dieu, Affectionnez-vous aux choses d’en haut et non aux choses de la terre. [...] » Colossiens 3.1-11
Le chrétien n’est ni de gauche, ni de droite, il est d’en haut ! Ce qui permet de distinguer les oeuvres de Dieu et celles des fils de la rébellion.
LE CHRÉTIEN ET LES AUTORITÉS
Vis à vis des autorités, le chrétien se signale par son respect de celles qui sont en place, car la fonction d'autorité sur terre est une fonction instituée de Dieu pour éviter le chaos.
Paul, qui a, lui-même, beaucoup souffert de la part des autorités, mais qui parfois a été protégé par elles, nous invite dans Romains 13.1-7 à les respecter dans la soumission : « Rendez à tous ce qui leur est dû, l'impôt à qui vous devez l'impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l'honneur à qui vous devez l'honneur. » Romains 13.7
Or, ce message a de la peine à passer, même chez les chrétiens. Par nature, l'homme est révolté contre Dieu ; c'est pour cela que notre tempérament humain nous incline à dire du mal des autorités, à les tromper et à se révolter contre elles.
Quand une révolte aboutit, des chrétiens se sont parfois joints à elle, et quand les nouvelles autorités se sont imposées que font-elles d’extraordinaire ? Ce problème ne se serait pas posé si la révolte avait été celle des bons contre les méchants, mais ce n'est jamais cela qui se passe, même si c'est ainsi présenté.
Les Bolcheviks en URSS, la terreur de la révolution française, les Maoïstes en Chine, les Khmers rouges au Cambodge, les Talibans en Afghanistan ont tous pris le pouvoir par la force ou le meurtre. Étaient-ils des gens meilleurs et ont-ils amené la Justice de Dieu sur leur territoire parmi ces peuples-là ?
LA DÉSOBEISSANCE
« Mon fils, crains l'Éternel et le roi; ne te mêle pas avec les hommes remuants ; car soudain leur ruine surgira, et qui connaît les châtiments des uns et des autres ? » Proverbes 24.21, 22
La désobéissance est concevable quand les autorités nous enjoignent de faire ce que notre conscience condamne, de remettre en cause notre foi dans la Parole de Dieu. « Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là ? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet homme ! Pierre et les apôtres répondirent, Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. » Actes 5.28, 29
La protestation peut être exercée ainsi que les recours légaux quand les autorités abusent ou quand elles n'exercent pas leur mission de protection du citoyen, c'est ce qu'a fait Paul quand il a été mis en prison.
Le tribun commanda de faire entrer Paul dans la forteresse, et de lui donner la question par le fouet, afin de savoir pour quel motif ils criaient ainsi contre lui. « Lorsqu'on l'eut exposé au fouet, Paul dit au centenier qui était présent, Vous est-il permis de battre de verges un citoyen romain, qui n'est pas même condamné ? » Actes 22.24 et 25.12 « Alors Festus, après avoir délibéré avec le conseil, répondit : Tu en as appelé à César ; tu iras devant César. »
LE CHRÉTIEN ET LES SERVICES DE L’ÉTAT
Des chrétiens peuvent tout à fait se trouver à des postes hauts placés administratifs, judiciaires et même militaires qu'ils occuperaient du fait de leurs compétences. C'est ce qu'ont fait Joseph en Egypte, Daniel à Babylone, Naaman en Syrie, tandis que Paul connaissait des chrétiens dans l'entourage proche de l'empereur César, (Philippiens 4.22).
De nombreux serviteurs de l'État, du ministre aux fonctionnaires sont à leur poste sans avoir dû passer par le jeu politique. Qu'il y ait des chrétiens parmi eux est une possibilité souvent profitable au pays.
LE CHRÉTIEN ET LE SYNDICALYSME
La question peut se poser : Un chrétien peut-il faire grève ? Peut-il se syndiquer ? Il n’y a rien dans les Écritures qui l’interdit. D’ailleurs, se syndiquer et faire grève sont des droits légaux et même constitutionnels dans certains pays du monde. Les pratiquer n'est pas forcément une rébellion contre l'autorité, car ce qui compte c’est le comportement du gréviste et l’influence de son entourage qu’il a sur lui.
En effet, même si le droit autorise les syndicats à être des contre-pouvoirs au gouvernement ou au patronat, le chrétien doit prendre garde à sa conduite, car comme il est écrit : « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger ? […] Quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et marcherai au milieu d’eux, je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. » II Corinthiens 6.14-18
En d’autres termes, avant de s’associer à un quelconque mouvement de contestation, à un syndicat qui n’a pas des intentions chrétiennes, mais qui obéi à des arrière-pensées politiques, à des peurs de perdre des acquis sociaux, à des mots d'ordre et des pratiques qui déforment la véritable justice et le respect des personnes notamment quand ils crient ou affichent des propos irrespectueux, quand ils prennent des citoyens en otage ou contraignent les non grévistes à ne pas travailler, le chrétien doit considérer la justice entre les hommes, mais il doit surtout se contenter de son sort et s’adapter à la situation présente.
Trop souvent les paroles et les actes des syndicats et des grévistes sont excessifs, voir même illégaux, et on entend de leur part : "Notre but justifie les moyens", alors que le chrétien doit d’abord faire confiance en Dieu dans la prière.
Il est écrit : « Ne vous inquiétez pas du lendemain. » Il est aussi écrit d’apprendre à supporter les patrons qui ont mauvais caractère et à endurer des injustices. (cf. I Pierre 2.18 et I Corinthiens 6.7).
L'EXEMPLE DE JÉSUS ET SES DISCIPLES
Déjà sa naissance est apparue comme perturbatrice de l'ordre politique : Hérode a fait mourir des enfants pour tuer un rival potentiel. Quand Jésus est entré dans son ministère il a parlé contre les autorités politiques et religieuses de l'époque, il a attiré leur hostilité. (Luc 22.25 ; Luc 22. 31, 32).
Il a exprimé qu'il était plus important de considérer sa personne et le salut de Dieu, que d'aider les pauvres en faisant des oeuvres de bienfaisance et de ne pas être l'arbitre des partages terrestres. (Lire Luc 12.13-15).
Il a refusé de participer à la révolte contre les romains et il a même accueilli des romains et des publicains juifs. Il a été accusé d'être contre César bien qu'il ait dit auparavant qu'il fallait rendre à César ce qui est César.
Il s'est vu appliquer une peine légale et infamante sous prétexte qu'il se considérait comme « le roi des juifs » Enfin son tombeau a été gardé par les autorités romaines pour prévenir toute manipulation de ses disciples.
Jésus et ses disciples nous donnent une juste attitude sur le plan politique et cela ne peut pas être remis en cause pour celui qui a la foi. Nous pouvons nous en inspirer pour déduire ce que peut être ou ne pas être l'implication politique d'un chrétien à notre époque.
D'abord le chrétien ne devrait pas être un passionné de la politique, ni se faire beaucoup d'illusions sur elle, puisque qu'il est exhorté à rechercher et à s'attacher aux choses d'en haut car il possède une patrie céleste. Il doit travailler, non pas pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle. (Hébreux 11.14-16 ; Jean 6.27 ;Colossiens 3.1-4).
Le psaume 146.3-12 incite à ne pas se confier dans les hommes, et surtout dans les grands de la terre, ainsi à mettre sa confiance dans l'intervention de Dieu, et cela même dans des domaines qui peuvent paraître du recours d'une politique sociale : « Ne vous confiez pas aux grands, aux fils de l'homme, qui ne peuvent sauver. Leur souffle s'en va, ils rentrent dans la terre, et ce même jour leurs desseins périssent. Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob, qui met son espoir en l'Éternel, son Dieu !
Il a fait les cieux et la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve. Il garde la fidélité à toujours. Il fait droit aux opprimés ; il donne du pain aux affamés ; l'Éternel délivre les captifs ; L'Éternel ouvre les yeux des aveugles ; l'Éternel redresse ceux qui sont courbés ; L'Éternel aime les justes. L'Éternel protège les étrangers, il soutient l'orphelin et la veuve, mais il renverse la voie des méchants. »
Même si le chrétien peut user de sa liberté d'action que confère l'exhortation de Paul : « Tout est permis, mais tout n'est pas utile ; tout est permis, mais tout n'édifie pas », le chrétien mène son action selon Dieu. Pour lui, il y a les oeuvres de Dieu et celles des hommes qui ne cherchent pas la Volonté de Dieu. (I Corinthiens 6.12 ; II Corinthiens 6. 14-18).
En réalité, le chrétien a un programme politique qui vient de Dieu ! Et il ne doit pas oublier sa première vocation ou son premier amour, qui est de chercher le Royaume et la Justice de Dieu, qui se trouve dans l’annonce ou le témoignage de l’Évangile, la pratique de la sainteté et de la piété et dans l’édification et la fraternité envers ses frères et ses soeurs en Christ.
Le chrétien travaille pour les choses d’en haut, il travaille pour son salut en cherchant la sainteté, il oeuvre pour l’édification dans son assemblée, il rend témoignage à la vérité de Jésus-Christ dans le monde qui a dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » Matthieu 22.21
Serge Rossi
Groupe privé : MARCHONS PAR LA FOI
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Groupe public : Chantez à Dieu de tout votre coeur : Index d'études bibliques
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corinneecrivaine · 11 months
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STOP HARCELEMENT SCOLAIRE
STOP SCHOOL BULLYING
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Il y a des blessures dont on ne guérira jamais. Des blessures qui resteront ancrées dans notre âme et notre cœur. Des blessures qui nous marqueront à vie.
La vie, parfois, est un lourd fardeau à porter. Une souffrance tellement forte que l’on marche le dos courbé, la tête baissée pour ne pas voir et ne pas être vu.
Lorsque l’on grandit dans un monde de douleur et de rejet, il est très difficile d’avancer la tête haute avec une belle estime de soi. Plus le gouffre vous engloutit et plus vous vous perdez dans les méandres de la souffrance. L’espoir s’éteint un peu plus chaque jour.
Si l’adolescence est un passage plus ou moins douloureux suivant les expériences de chacun, pour certains c’est la traversée de l’enfer.
Nous commençons à apprendre sur soi, sur la vie, sur les relations humaines. Les 1res blessures de l’âme et du cœur surviennent.
Le collège, le lycée de belles époques, de beaux souvenirs mais aussi des cauchemars, la souffrance.
Se réveiller tous les matins, en ayant passé la nuit à pleurer, la boule au ventre, les vomissements, les tremblements, le désir d’être loin de tout, de disparaître. Si seulement.
Disparaître pour ne plus devoir aller dans l’Antre du Diable. Et se retrouver quotidiennement jetée dans la fosse aux démons.
Etre la proie du mal chaque jour. Se demander pourquoi ? Est-ce parce que nous sommes différents ? Est-ce parce que les personnes mauvaises s'attaquent aux plus faibles par lâcheté ? Pour se donner de l'importance vis-à-vis de leurs camarades ? Est-ce une raison pour eux d'exister ? Prisonniers de leur jalousie et de leur méchanceté, ils ne peuvent agir autrement que de se nourrir de la souffrance qu'ils ensemencent ? Il leur faut donc, pour exister, une âme à détruire.
Comment choisissent-ils leur victime ? Je l'ignore. Mais j'ai ressenti dans ma chair le venin de la méchanceté humaine.
Se lever chaque jour sachant qu'on allait être la cible des moqueries faciles, de l'ignominie gratuite d'une catégorie d'individus.
Des journées, retranchée dans un mutisme, isolée, dans la détresse et la solitude. Les larmes oui ces larmes qui ne cessaient de couler.
Tous les matins, assise dans le bus, le visage tourné contre la vitre afin que personne ne puisse voir mes larmes. Le ventre se nouait au fur et à mesure que le bus approchait de l’Antre du Diable.
Le plus douloureux était-ce le harcèlement que je subissais au quotidien ou le faite que mon frère, mon cousin qui je côtoyais dans le même lycée agissaient comme s’ils me connaissaient pas ?
Il n’y avait aucun répit que ce fut pendant les cours, les profs qui faisaient semblant de ne rien voir et rien entendre. Dans le bus pendant le trajet aller/retour, ceux qui simulaient des actes sexuels dans le dos et durant la récréation qui passaient des mains… Il y avait toujours un moment, une situation… La seule accalmie demeurait pendant les heures de pauses entre chaque cours, seule adossée à un mur le regard face à la vitre au loin, pour seule compagnie, les larmes.
Ce harcèlement quotidien, tellement habituel, qu’il finissait par devenir « normal » et on acceptait, on se résignait. Après tout c’était une journée ordinaire.
Rentrée à la maison, on cache notre détresse, on sourit, on raconte que tout va bien et la nuit tombée on s’endort en pleurant. 
L’on se demande « pourquoi ». L’on voudrait disparaitre. Ne pas se réveiller. Pour ne plus y aller. On essaie de comprendre mais il n’y a rien à comprendre.
L’on se dit que c’est ainsi. Que nous devons accepter tout cela et se taire.
Mais non, en aucun cas il ne faut ni accepter ni se taire.
Il faut en parler car personne n’a le droit d’être rabaisser, de subir la méchanceté d’autrui, de souffrir de la sorte par la faute d’un autre individu. Ce n’est pas normal. Dites vous que vous êtes une belle personne, d’une grandeur d’âme et de cœur et qu’en aucun cas vous devez vous résigner à accepter et subir tout cela. Il faut en parler à ses proches, à ses parents car nous ne sommes pas la « cause » de ces agissements monstrueux. Nous ne sommes que des victimes. Et nous devons nous interdire de sacrifier notre vie à cause d’actes malveillants et odieux envers notre personne. Nous avons le droit de vivre et non de subir.
  - Corinne Écrivaine – 14-12-2017
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darkchaton444 · 1 year
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Link ou BEN ? x Reader - Ch.1 "Le Grenier"
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[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : Toi <3]
/Bip bip bip bip/
"- Gnh... Non..." Maugréai-je encore à moitié inconsciente.
Je retournai ma tête pour fourrer mon nez dans mon oreiller.
Ainsi me fis-je réveiller par un ami que tout le monde connait. Monsieur le Réveil-Matin !
Je l'ai placé hier à l'autre bout de la pièce.
Pourquoi ? 
Car ça m'oblige à aller éteindre ce son strident de l'enfer qui joue en boucle pour mes douces oreilles. Je pris donc mon courage à deux mains, à deux bras et à deux jambes avant de me lever, encore à moitié endormie.
Encore une fois, j'avais commis une insomnie.
Oui oui, commis.
Le fait que cette immondice existe devrait être illégal.
Hélas, j'en fais maintenant tous les jours depuis... Eh bien, avant notre déménagement et maintenant que nous vivons dans cette nouvelle maison.
(F/p) croit que le fait de déménager me stresse énormément et que c'est à cause du nouveau -ainsi de ce que ça génère- que mon esprit refuse de se détendre. Et franchement, j'y crois.
((F/P) = Forme Parentale. Donc votre mère, votre père ou bien votre tuteur légal. J'emploierai des pronoms masculins à son égard (Comme c'est le masculin qui l'emporte sur le neutre, en français.) mais soyez libre de le mettre au féminin dans votre tête.)
Bon, maintenant que ce son agressant s'est tût, je vais... me recoucher ? 
Ah, j'aimerais bien mais cette fois ce sera (F/P) qui viendra biper à mes oreilles. Je vais donc devoir m'habiller et bien évidemment prendre mon petit déjeuner. Quoique je n'ai pas très faim...
Bon, commençons cette journée, on verra bien ce qui se passe après.
{Ellipse}
Ah que c'est long... Même le soleil semblait prendre plus de temps que d'habitude à voyager dans le ciel. Je me dirigea vers la cuisine, là où se trouve l'autre forme de vie de cette demeure, prête à me plaindre comme une pré-adolescente.
"- Je m'ennuie..." Commençai-je d'un ton las.
(F/p) était entrain de lire un journal..... Électronique, bien évidemment. On est en 2023 et il est temps d'arrêter d'utiliser du papier recyclé inutile. Mon interlocuteur sirota son café et me regarda d'une façon qui se trouve entre la détresse et l'inquiétude extrême, tremblant, avant de me dire de façon tellement sincère :
"- Et ?"
"- Je n'ai rien à faire." Répondis-je, cette fois un peu plus blasée.
"- Bien sûr, c'est vrai que tu n'as pas des devoirs à terminer." Je râla au dernier mot de sa phrase et pourtant il poursuivit. "Tu n'as pas de pelouse à tondre, des boîtes à défaire, un voisinage à visiter."
"- ... D'accord pour la première chose et la troisième, mais on ne fait plus les autres depuis 1980 au moins."
"- La pelouse n'a pas cessé d'exister en même temps que ta naissance, (T/p)." Argumenta (F/p), le sourire moqueur aux lèvres.
Je grimaçai à son ton ironique et me laissa accoter au mur derrière moi, toujours lasse. Quelques secondes plus tard, (F/p) renchérissa :
"- Bon alors Coraline, et si t'allais compter tout ce qu'il a de bleu dans cette maison ? Et pourquoi pas aller explorer le grenier ?"
Au mot <<grenier>>, sembla-t-il que je repris vie car je ressentis un gain d'énergie ! 
Le grenier ! La place parfaite pour trouver des babioles hantées !
"- Je vais aller trouver la poupée Annabelle !" M'écriais-je avant de laisser (F/p) comme ça.
Effectivement, il y avait deux étages, dans cette maison. Le hall d'entrée se situait au red-de-chaussée, avec la cuisine, une petite salle de bain et le salon, au premier étage se situait les chambres et une salle de bain, puis au deuxième se situait une salle de... repos ? De jeux ? Et enfin, le grenier. 
Je suis impatiente !
"- Je vais mourir aujourd'hui !" Chantonnai-je sarcastiquement.
"- On n'a pas l'argent pour ça." Cria (F/p) de la cuisine, alors que j'étais rendue au premier étage, m'ayant entendu.
Très bien.
Je me rendis vite fait à la salle de repos puis inspectait soigneusement le plafond. Une petite corde blanche pendait à une porte discrète au coin de la salle. Je voulu bien sauter pour l'atteindre, mais il me manquait au moins 20cm. Après m'être consentie à utiliser une chaise, la porte du grenier céda pour faire place à de petites marches qui furent vite employées.
Cependant, ma si grande joie fut remplacée par une déception pointue. Après avoir actionné la lumière, je découvrai que rien ne semblait poussiéreux. Comme si les objets laissés par les anciens propriétaires n'étaient en fait pas si vieux. Je n'avais pas réellement assisté à la vente de la maison et (F/p) ne m'a rien dit au sujet de ces anciens habitants. Ainsi, je ne connaissais pas leur histoire, tout ce que j'ai entendu, c'est qu'ils sont partis dans une autre ville.
Quoiqu'il en soit, je ne redescendis pas tout de suite. Tant qu'à y être, j'allais fouiner un peu. Je voulais découvrir la raison de ces abandons. Il y avait quelques commodes bien banales, une chaise berçante... Qui ne grince même pas ! 
"- Donc, je ne mourrai pas aujourd'hui." Déclarai-je pour moi-même en posant mes mains sur mes hanches.
Dans l'un des tiroirs des commodes, se trouvait une large robe usée de couleur rose et aux motifs de fleurs blanches. 
"- Ah.. Ça, je comprends qu'ils aient voulu s'en débarrasser." 
J'allais remettre le vêtement en place, lorsque j'aperçu une petite boîte qui se voulu dissimulée derrière tous ces meubles. Aaah ?
J'y parvins et la souleva... Tiens, elle fait quand même un certain poids. Je la déposa sur la surface d'une commode et l'ouvrit, tout naturellement. La première chose qui me sauta dessus fut un long papier. Chouette, voilà les notes qui y sont écrites :
<< Avis à tous ceux qui tombent sur cette note.
Cette boîte contient une console de jeux vidéos qui appartenait à notre fils. Nous l'avons trouvée à ses côtés lorsqu'il fut décédé.
Comme elle nous rappelait trop notre enfant, nous avons essayé de nous en débarrasser. Mais une personne cruelle se croyant drôle trouvait toujours le moyen de nous la ramener. Ainsi, nous la laisserons derrière nous et vous la léguons.
Prenez-en soin. >>
Étrangement, je sentis de multiples frissons me parcourir l'échine. Ce n'est finalement pas aussi chouette que je l'aurai pensé. Et je ne sais pas quel détail est le plus morbide entre le fait que la console soit à côté d'un corps ou bien le fait que quelqu'un ait fait une blague là-dessus à ces pauvres personnes. Et si c'était pour ça qu'ils ont déménagés ? Cela voudrait-il dire que maintenant, c'est nous qui avons ce problème sur les épaules ? Je vais en parler à (F/p).
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fairybucky · 1 year
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Bilan de la semaine.
J'ai dû écouter mon amie me parler de toi, renforçant toutes mes inquiétudes sur la façon dont tu te sentais puis sur ta capacité à te tourner vers moi dans des moments de doutes. Je t'ai vu arriver fanfaronnant et exaltant vers les autres, espérant que tu choisirais juste la discretion et la sobriété pour me féliciter. J'ai dû t'entendre chercher à lancer un joyeux anniversaire collectif pour quelqu'un, me rappelant que tu n'avais fait aucun effort pour me faire plaisir quand c'était le mien. Puis je t'ai entendu parler d'une grande empathie face à la souffrance d'une autre personne, que si tu pouvais tu y mettrais fin, alors que tu as, visiblement, la capacité de me savoir et de me voir souffrir tous les jours sans une once de volonté d'agir. Tu m'as forcé à devoir te dire "merci" alors que tu ne m'as accordé aucune parole. J'ai senti, parfois, ton regard sur moi, sauf qu'il n'a pas de raison d'exister puisque la façon dont je me sens t'es complétement égal. T'as encore fait ce putain de truc où tu écoutes quand tu sais que je parle, quand ça ne s'adresse pas à toi, alors que tu n'avais aucune envie de travailler avec moi, me forçant à travailler avec une autre personne qui ne voulait surement pas plus de moi. Mais c'était certainement plus stable pour moi que de te voir complice avec Elle. J'ai du, encore une fois, te sentir passer à côté de moi, ce moment où tu pourrais, loin des autres, faire ce putain de pas, et comprendre que tu marches indifférent. J'ai subit une nuit quasiment blanche à culpabiliser de ne pas te féliciter pour qu'au final, quand je le fasse, tu ne sois même pas assez poli avec moi pour me les rendre. Je les attendrais certainement toujours. Comme j'attendrais toujours ce moment où tu feras enfin un peu vers moi parce que tu sais que je suis loin d'être la personne que je te renvoie depuis des mois et que de toutes ces personnes à qui tu donnes de l'attention, personne n'a jamais été aussi sincère et prête à t'accepter comme tu es que je ne l'ai été. Tout ça n'arrivera pas, parce que tu l'as décidé. Je reste avec l'idée que ta passivité est une grande erreur, parce qu'elle n'amoindrit pas mes sentiments ou toute la beauté que je vois en toi, elle me fait juste sentir à quel point je peux être rejetée par une personne dénuée de méchanceté et de mauvaises intentions.
Je crois que le problème, c'est que je tiens bien trop à toi pour t'obliger à sortir de ta passivité où tu restes parce qu'elle est confortable. Mais je pense que tu le sais, que tu le sens, que ça n'est pas la bonne solution, que ça ne m'aide pas. Il reste si peu de temps que ça te semble probablement facile. Mais tu n'es pas celui qui se retient de pleurer toute la journée et qui tremble de nervosité. Sans avoir une personne dans cette classe qui comprend ce que tu ressens. Tu ne devrais pas avoir peur de me faire du mal, tu as déjà brisé mon coeur, tu m'as déjà vu pleurer pour toi, tu sais que je suis blessée. Tu te confrontes au pire tous les jours, si tu me faisais un peu confiance pour accueillir tes pensées et permettre de donner un sens à toute cette situation, tu verrais que ce serait bien plus supportable. Ou juste, simplement, si tu me montrais que tu t'inquiètes, que ça te travaille aussi, que je te blesse même parfois. Mais enfin, peut-être que je n'ai pas toute cette importance après tout et que véritablement, rien ne t'affecte et tu ne vois pas ce qu'il y a à arranger, que tu penses vraiment que je le vis mieux.
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auda-isarn · 2 years
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L'importance du mythe dans l'histoire de la pensée européenne n'est plus à prouver. Il s'agit d'un mode d'accès au réel, et en même temps une tentative permettant de le traverser pour viser un univers de significations, de valeurs, de règles servant de ciment à une communauté. Plus on étudie nos religions antiques, mieux on comprend qu'elles sont, au même titre que les outils et le langage, inscrites dans l'appareil de la pensée symbolique. Si diverses qu'elles soient, elles répondent toujours à cette double et solidaire vocation: par-delà les choses. atteindre un sens qui leur donne une plénitude dont elles apparaissent, en elles mêmes, privées; arracher chaque être humain à son isolement en l'enracinant dans une communauté qui le conforte et le dépasse.
Le panthéon païen est un système de classification des puissances, des pouvoirs, des modalités d'action qui sont à l'oeuvre dans l'univers. Or ces puissances se combinent - sinon le monde serait un chaos - mais, aussi, elles se combattent - sinon le monde serait immobile. Ce système classificatoire et cette façon de penser le monde impliquent, pour chaque individu, un rapport au divin original et spécifique. En effet, ce n'est pas en tant qu'individu que le païen respecte ou craint un dieu, mais en tant que chef de famille, membre d'un genos, d'une phratrie, d'un dème, d'une cité. ZEUS lui-même n'existe que par GAIA, OURANOS ET CHRONOS. Il est lui-même l'élément d'une lignée, tout comme les hommes. Hésiode dit: "une, commune, est la race des hommes et des dieux". Les dieux immanents à l'univers sont à l'intérieur du monde et font partie du même système que les hommes. C'est pourquoi il faut bien comprendre que les dieux antiques n'ont rien d'universel, ils sont liés à une cité, à une socialité communautaire précise et localisée: "il n'y a culture que parce qu'il y a demeure" (1). On ne peut donc être "protestant païen", avoir ses dieux et sa foi pour soi. Les dieux sont toujours natifs d'un site, d'un lieu qui leur est générique. Dans le Paganisme, l'homme et les dieux, l'individu et la cité, la subjectivité et le social n'existent respectivement qu'à partir de leur intime connexion. D'où cette impossibilité d'une coupure, d'une fêlure antagoniste entre le Sacré et le Profane. Ceci explique que le Sacré, dans les traditions indo-européennes, soit synonyme d'existence prise dans le fondement de son essence intime. Exprimant la présence intérieure de la vie sous sa forme de plénitude la plus intense. "le Sacré c'est l'existant réel, la structure fondamentale des choses." (2) La méditation sur nos mythes ne cesse de renvoyer, de manière discrète mais perceptible, à une source secrète d'où ils tirent élan et mouvement. Source dont ils tentent d'exprimer l'inexprimable d'une expérience fondamentale et fondatrice.
L'expérience en question est aussi le devoir d'une pensée authentique, révélant une présence faite indissolublement de vie et de mort, d'éclosion et de déclin, d'avancée et de retrait. A travers génération et destruction, cette pensée centre son attention sur ce qui est au coeur de la vie concrète, qui trouve son repos dans la perpétuité du mouvement qu'il produit: immanence solaire d'un essentiel auquel les Grecs donnèrent le nom d'ETRE.
Tout l'Esprit du Paganisme est incarné dans cet impensé qu'est l'Etre; l'Etre dont tout dérive, tout découle, l'essence même du sacré dans sa vérité ultime. L'Etre qui est l'essence de ce qui est "supérieur à la vie au sein même de la vie". (3)
L'Etre est notre sol originel, la terre natale que l'on n'a jamais fini de découvrir, le fondement à fouiller. L'Etre comme tel, l'Etre comme question, l'Etre comme la simplicité primordiale toujours oubliée, mais qui ne cesse de proposer sa présence et son avènement à la pensée méditante.
Pensée aurorale qui, dans sa clarté matinale, illumine l'histoire du Paganisme sur notre terre d'Europe. Première lumière jetée au sein du monde grec, et qui poursuit encore sa course dans notre sombre présent. Lumière qu'il nous faut préserver, entretenir et développer. Car, "ce n'est qu'à partir de la vérité de l'Etre que se laisse penser l'essence du Sacré. Ce n'est qu'à partir de l'essence du Sacré qu'est à penser l'essence de la divinité." (4)
Cette vérité de l'Etre est comme la condition d'un Paganisme réel; c'est à partir de là seulement qu'il devient possible de décider "si le Dieu ou les Dieux se refusent, si et comment la nuit demeure, si et comment se lève le jour du Sacré, si et comment dans cette aube du Sacré un apparaître des Dieux peut à nouveau commencer." (5)
Toutefois, il faut savoir que l'accès à cette vérité de l'Etre, qui est l'Esprit du Paganisme, est le fruit d'une démarche, d'un engagement. La chouette d'ATHENA, avec vigilance et impassibilité, interdit toute approche non véritable. Des deux soleils jaune d'or de ses yeux, elle veille sur l'expérience du Sacré. Ainsi nous comprenons pourquoi les instaurateurs des mystères, comme les philosophes initiés aux degrés les plus avancés de la vérité de l'Etre, expriment leurs doctrines à travers un langage symbolique, mythique et hermétique. Par ce moyen, ils protègent le Sacré. Le motif et le secret des mystères comme des systèmes de la philosophie païenne se justifient par le fait que l'Etre (la Nature) aime à se cacher, ainsi que le disait HERACLITE. La vérité est atteinte au prix d'efforts et de participation à une Quête.
C'est à la recherche de cette Quête que doivent s'attacher ceux qui, dans ce monde, espèrent voir renaître l'espoir d'un nouveau destin pour un Sacré en attente d'un Futur. Cette Quête, en tant qu'expérience, ouvre sur une totalité impressionnante. C'est l'ordre réel, la diversité et la hiérarchie, la force, l'énergie sensible de la vie, les contradictions, les antagonismes et l'harmonie, la présence invisible du Vrai, c'est tout cela qu'on appelle l'Etre, en qui réside de manière latente tout l'Esprit du Paganisme, du Sacré et des Dieux.
Si l'espérance est encore vivante en nous, si nous ne perdons pas foi en notre combat, c'est à l'horizon de l'Etre que nous le devons, un horizon qui n'est pas clos, et que nous devons nous donner pour tâche de faire réapparaître dans la perspective du ciel d'Europe.
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devoirat · 2 years
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Devoir de Contrôle 2 Français 2ème Lettres
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Lycée Zarat Devoir de contrôle n°2 Etude de texte Prof : Lamloumi . Salem Matière : Français Durée : 2h Nom : ……………………………. Classe : 2èm Lettres Note................. /20     On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat qu'on qualifie de féminin. . En vérité, l'influence de l'éducation et de l'entourage est ici immense. ;                                                           Ainsi, la passivité qui caractérisera essentiellement la femme « féminine » est un trait qui se développe en elle dès ses premières années. Mais il est faux de prétendre que c'est là une donnée biologique ; en vérité, c'est un destin qui lui est imposé par ses éducateurs et par la société. L'immense chance du garçon, c'est que sa manière d'exister pour autrui l'encourage à se poser pour soi. Il fait l'apprentissage de son existence comme libre mouvement vers le monde ; il rivalise1 de dureté et d'indépendance avec les autres garçons, il méprise les filles. Grimpant aux arbres, se battant avec des camarades, les affrontant dans des jeux violents, il saisit son corps comme un moyen de dominer la nature et un instrument de combat ; il s'enorgueillit2 de ses muscles comme de son sexe ; à travers jeux, sports, luttes, défis, épreuves, il trouve un emploi équilibré de ses forces ; en même temps, il connaît les leçons sévères de la violence ; il apprend à encaisser les coups, à mépriser la douleur, à refuser les larmes du premier âge. Il entreprend, il invente, il ose3. Certes, il s'éprouve aussi comme « pour autrui », il met en question sa virilité et il s'ensuit par rapport aux adultes et aux camarades bien des problèmes. Mais ce qui est très important, c'est qu'il n'y a pas d'opposition fondamentale entre le souci de cette figure objective qui est sienne et sa volonté de s'affirmer dans des projets concrets. C'est en faisant qu'il se fait être, d'un seul mouvement. Au contraire, chez la femme il y a, au départ, un confit entre son existence autonome et son « être-autre » ; on lui apprend que pour plaire il faut chercher à plaire, il faut se faire objet ; elle doit donc renoncer à son autonomie. On la traite comme une poupée vivante et on lui refuse la liberté ; ainsi se noue un cercle vicieux4 ; car moins elle exercera sa liberté pour comprendre, saisir et découvrir le monde qui l'entoure, moins elle trouvera en lui de ressources, moins elle osera s'affirmer comme sujet .     Simone de Beauvoir, Le Deuxième sexe, 1949 1- concourir ; concurrencer 2- se glorifier ; se flatter 3-entamer                   4- horrible   I-      Questions de compréhension (10pts) - Simone de Beauvoir commence son texte ainsi «On ne naît pas femme : on le devient » Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? Et quel message voulait- elle transmettre ? ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………….. - D’après l’auteur, l’inégalité entre la femme et l’homme est faite par la société et non par Dieu. Montre comment en t’appuyant sur des indices textuels(3) ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………….. - Comment la société fait-elle de l’homme un sujet et de la femme un objet à travers l’éducation ? (2) …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………   …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… - Pour montrer que la femme est vue en tant qu’un objet de plaisir dépourvu de sa liberté, l’auteur fait recours à un procédé d’écriture précis. Lequel ? Relève et étudie-le. (2) …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………… II-          Questions de langue - Le mot souligné est-il un verbe introducteur ou un verbe d’opinion ?(1) ………………………………………………………………………………………………………………………….. - Remplace-le par un autre verbe de manière à exprimer a- Une opinion(1) …………………………………………………………………………………………………………………………. b- Une déclaration(1) ………………………………………………………………………………………………………………………… - L’homme demande à la femme de faire plaire, de se faire objet et de renoncer à sa liberté pour lui a- Transpose ce discours indirect en direct de trois manières différentes - En employant l’impératif(1) ………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………… - En employant le semi-auxiliaire devoir(1) ………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………. - En employant l’expression d’obligation il faut que(1)   ………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………     - Rapporte cette parole d’une manière indirecte en mettant le verbe introducteur au passé composé (4) Simone de Beauvoir déclare : «On la traite comme une poupée vivante et on lui refuse la liberté ; ainsi se noue un cercle vicieux ; car moins elle exercera sa liberté pour comprendre, saisir et découvrir le monde qui l'entoure, moins elle trouvera en lui de ressources, moins elle osera s'affirmer comme sujet . » …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………… Read the full article
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etlaculturebordel · 3 years
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Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer !
C'est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Arrête d'avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.
Arrête d'apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta présence.
Arrête d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t'entourent, mais c'est aussi l'impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle...
Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pur sincérité...
Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es.
Ça veut dire que tu dois arrêter d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.
La vérité, c'est que tu n'es pas tout le monde...
Et que tout le monde n'est pas pour Toi...
C'est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique...
Tu sauras à quel point c'est précieux...
Parce que tu as expérimenté ce qui ne l'est pas...
Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu'un qui n'en est pas capable...
Plus tu perds de temps à te priver de cette même connexion...
Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d'entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de là où elles en sont...
Mais ...
Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l'intimité des gens qui t'utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle...
Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires.
Peut-être que si tu arrêtes d'apparaître, tu seras moins recherché(e)...
Peut-être que si tu arrêtes d'essayer, la relation cessera...
Peut-être que si tu arrêtes d'envoyer des textos, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines...
Peut-être que si tu arrêtes d'aimer quelqu'un, l'amour entre vous va se dissoudre...
Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation !
Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l'énergie que TOI et TOI SEUL(E) engageais pour la maintenir à flots.
Ce n'est pas de l'amour.
C'est de l'attachement.
C'est vouloir donner une chance à qui n'en veut pas !
La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c'est ton énergie.
Ce n'est pas que ton temps puisqu'il est limité...
C'est ton énergie !
Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie.
C'est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.
Quand tu te rends compte de ça, tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.
Tu commenceras à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c'est protéger ton énergie plus farouchement que n'importe quoi d'autre.
Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes "compatibles" avec toi sont autorisées.
Tu n'es pas responsable de sauver les gens.
Tu n'es pas responsable de les convaincre qu'ils doivent être sauvés.
Ce n'est pas ton travail d'exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l'instant !
Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu'ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées...
Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l'aimé(e) de ton destin, et d'accepter l'amour que tu penses mériter.
Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable, et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères.
Puis attends... juste pour un moment...
Et regarde à quel point tout commence à changer...
Anthony Hopkins
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xjoyce66 · 3 years
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"Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer !
C'est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Arrête d'avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.
Arrête d'apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta présence.
Arrête d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t'entourent, mais c'est aussi l'impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle...
Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pur sincérité...
Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es.
Ça veut dire que tu dois arrêter d'aimer les gens qui ne sont pas prêts à t'aimer.
Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.
La vérité, c'est que tu n'es pas tout le monde...
Et que tout le monde n'est pas pour Toi...
C'est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique...
Tu sauras à quel point c'est précieux...
Parce que tu as expérimenté ce qui ne l'est pas...
Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu'un qui n'en est pas capable...
Plus tu perds de temps à te priver de cette même connexion...
Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d'entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de là où elles en sont...
Mais ...
Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l'intimité des gens qui t'utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle...
Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires.
Peut-être que si tu arrêtes d'apparaître, tu seras moins recherché(e)...
Peut-être que si tu arrêtes d'essayer, la relation cessera...
Peut-être que si tu arrêtes d'envoyer des textos, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines...
Peut-être que si tu arrêtes d'aimer quelqu'un, l'amour entre vous va se dissoudre...
Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation !
Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l'énergie que TOI et TOI SEUL(E) engageais pour la maintenir à flots.
Ce n'est pas de l'amour.
C'est de l'attachement.
C'est vouloir donner une chance à qui n'en veut pas !
La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c'est ton énergie.
Ce n'est pas que ton temps puisqu'il est limité...
C'est ton énergie !
Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie.
C'est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.
Quand tu te rends compte de ça, tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.
Tu commenceras à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c'est protéger ton énergie plus farouchement que n'importe quoi d'autre.
Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes "compatibles" avec toi sont autorisées.
Tu n'es pas responsable de sauver les gens.
Tu n'es pas responsable de les convaincre qu'ils doivent être sauvés.
Ce n'est pas ton travail d'exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l'instant !
Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu'ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées...
Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l'aimé(e) de ton destin, et d'accepter l'amour que tu penses mériter.
Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable, et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères.
Puis attends... juste pour un moment...
Et regarde à quel point tout commence à changer..."
— Anthony Hopkins
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smob-pointdevente · 1 year
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10 astuces pour fluidifier l'encaissement de votre magasin
SMOB | 10 astuces pour fluidifier l'encaissement de votre magasin
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En tant que client, il est évident que vous n’aimez pas attendre trop longtemps à la caisse. Pour vos acheteurs, c’est la même chose. Personne n’aime devoir patienter de longues minutes pour régler ses achats. Pourtant, il existe des astuces efficaces pour fluidifier l’encaissement, réduire le temps d’attente et augmenter, de fait, la satisfaction des clients. Voici 10 astuces pourRead more - SMOB | Encaissement & Gestion | Agencement magasin | Sécurité magasin | Ingénierie réseaux
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christophe76460 · 2 years
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En général, quand on dit de quelqu'un qu'il est double, ce n'est pas un compliment. Que croire quand il dit quelque chose ? Il est l'ami de tout le monde, mais personne ne peut s'y fier.
Cependant, dans mon message aujourd'hui, je vais encourager les chrétiens à pratiquer une double loyauté ! J'espère être clair dans ce que je veux dire et s'il fallait le résumer en une phrase, ce pourrait être celle-ci : Dieu – qui nous demande d'être soumis à toute autorité établie parmi les hommes – nous demande d'être soumis PREMIEREMENT à Lui.
LECTURES :
Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles. Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Dis-nous donc ce qu'il t'en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César ? Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit : “Pourquoi me tentez-vous, hypocrites? Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut”. Et ils lui présentèrent un denier. Il leur demanda : “De qui sont cette effigie et cette inscription ?” “De César, lui répondirent-ils”. Alors il leur dit : “Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu”. Étonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent, et s'en allèrent.
Matthieu 22.15-22
Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu'on y ajoute vient du malin.
Mat 5.37
Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes.
Romains 13.1-2
Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu'en faisant le mal
1 Pierre 3.17
Le double regard de Dieu
Le Psaume 33 nous permet de découvrir que Dieu lui-même a un double regard. Pourtant, il n'y a en lui aucune duplicité, aucune hypocrisie, aucun mensonge ! Ecoutons ce que dit ce Psaume :
L'Eternel regarde du haut des cieux, il voit tous les fils de l'homme ; du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, lui qui forme leur cœur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions (v. 13-15).
Voici, l'œil de l'Eternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui espèrent en sa bonté, afin d'arracher leur âme à la mort et de les faire vivre au milieu de la famine (v. 18-19).
Qu'apprenons-nous ? Que Dieu voit (et même observe) tous les hommes sur la terre, qu'ils le veuillent ou pas, qu'ils en soit conscients ou pas. Il n'y a donc pas de domaine sans Dieu. Mais nous voyons aussi que le regard de Dieu s'attache, d'une manière différente, à son peuple qu'il aime, au troupeau de son pâturage :
Voici, l'oeil de L'Eternel est sur ceux qui le craignent et qui espèrent en sa bonté.
Ce n'est pas tout le monde...
Il y a donc bien "deux regards" de Dieu, qui correspondent à deux alliances :
- une alliance avec Noé et sa descendance (Gn 8-9) qui concerne tous les hommes et même tous les êtres vivants ;
- une alliance avec Abraham et sa descendance (c'est à dire Christ et ceux qui lui appartiennent) avec des promesses différentes, beaucoup plus grandes.
Ainsi, il y a bien une seule réalité dans le monde – et il n'y a donc pas de sphère sans Dieu - mais il y a plusieurs sphères d'existence qui ne sont pas d'importance égale, qui n'ont pas un fondement ni une vocation identiques. Par exemple, le couple, la famille, l'église, l'entreprise, la ville... constituent des sphères d'existences distinctes, qui sont toutes importantes, qui ne s'excluent pas, mais qui impliquent des devoirs différents. Par exemple, si je suis marié et si j'ai des enfants, mes devoirs envers mon épouse et mes enfants sont différents des devoirs que j'ai envers les autres femmes et les autres enfants. Autrement dit, il y a un discernement à exercer, de manière constante.
Cela apparaît par exemple dans cette exhortation de l'apôtre
: Honorez tout le monde, aimez les frères, craignez Dieu, honorez le roi
(1 Pi 2.17).
Les conséquences sont importantes et concrètes : alors qu'il déclare qu'on ne peut pas servir Dieu et Mammon (le dieu de l'argent), Jésus dit qu'on peut (et même qu'on doit) servir Dieu et César.
C'est donc bien les deux ; seulement, ils ne se situent pas au même niveau !
César et Dieu
Examinons ensemble la rencontre rapportée par Matthieu (mais aussi Marc et Luc).
Des pharisiens viennent rencontrer Jésus pour le surprendre, lui tendre un piège. Ces hommes s'approchent de Jésus avec toutes les apparences de la piété, de l'honnêteté et du bon sens. Maître, nous savons que tu es vrai et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Quelle belle attitude ! Écoutez ce qu'ils disent : Nous savons que tu n'as pas égard aux personnes, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Que c'est bien dit ! Mais Jésus, connaissant leur méchanceté (leur endurcissement), répondit : « Pourquoi me tentez-vous, hypocrites ? »
Jésus était humble et doux, mais il n'était pas naïf.
Jamais la Bible ne recommande d'être naïf. Bien que religieux et bien éduqués, ces hommes étaient de faux amis. L'importance du discernement !
"Dis-nous ce qui te semble, disent les Pharisiens. Est-il permis de payer l'impôt à César ?" C'était bien enrobé, mais c'était un piège redoutable. La réponse de Jésus est magnifique : "Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie l'impôt. De qui sont cette effigie et cette inscription ?" "De César", lui répondirent-ils. Alors il leur dit : "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu".
Cela pourrait ressembler à une fuite, une sorte de non-réponse. Mais ce n'est pas le cas. Jésus remet chacun à sa place. César (comme Pilate...) a l'autorité que Dieu lui a donnée, mais il n'a que l'autorité que Dieu lui a donnée et un jour il rendra des comptes à Dieu qui seul a une autorité absolue.
Ainsi, Jésus invite bien ses interlocuteurs à une double loyauté
:
envers César, comme chef d'empire et serviteur de Dieu (bon ou mauvais serviteur, mais serviteur avec une autorité déléguée)
et envers Dieu comme souverain Maître de l'univers, source de toute grâce et juste juge de toutes choses.
Ils ont bien une autorité tous les deux (et elle est liée), mais pas au même niveau. Une des deux est au-dessous de l'autre !
Cette capacité à relier les choses entre elles – car tout est lié – tout en établissant les justes distinctions, les justes rapports, les justes hiérarchies, c'est ce que la Bible appelle l'intelligence (cf. Lc 7.9). C'est l'aptitude à regarder l'ensemble sans perdre de vue ce qui est premier ; et ce qui est premier, c'est Dieu.
Ainsi, ce n'est pas César ou Dieu. C'est César et Dieu. Mais pas au même niveau ! Combien cela doit être rappelé, aujourd'hui !
Savoir dire oui, savoir dire non
Certains vont peut-être penser que cela est très théorique.
Dans la Bible, il n'y a pas la théorie et la pratique, comme chez nous. Il y a ce que Dieu approuve et ce que Dieu désapprouve, tant pour les pensées que pour les actes. Pour notre sujet, cela se traduit par deux verbes en apparence contradictoires :
la soumission et la résistance.
Pour l'illustrer, je vais donner quelques exemples concrets, en commençant par des exemples bibliques connus
:
a. Il y a Daniel, bien sûr, choisi pour vivre auprès du roi Nébucadnetsar, en exil à Babylone. Il est soumis au roi, mais il résolut de ne pas se souiller avec les mets du roi et il pria le chef des serviteurs de ne pas l'obliger à se souiller (Dan 1.8. À cause de sa conscience. À cause de Dieu.
Plus tard, ce même roi élèvera une statue d'or et commandera que tout le monde s'incline et l'adore. "Quiconque ne se prosternera pas et n'adorera pas périra à l'instant même". Les compagnons e Daniel, pourtant proches et estimés du roi, répondront : "Sache, ô roi, que nous ne servirons pas tes dieux et que nous n'adorerons pas la statue d'or que tu as élevée".
Ce qui me frappe ici, c'est l'absence d'hésitation. Rien ne laisse penser que Daniel et ses compagnons étaient des fanatiques ou étroits d’esprit. Il sont en présence du roi et manifestent de la révérence à son égard. Mais leur résolution est sans faille. Comment est-ce possible ? Sur le tableau de bord de leur coeur, une lumière rouge se met à clignoter quand il y a un risque d'offenser Dieu. Trois fois par jour, Daniel se retire pour prier, afin de rester sensible à ce signal. Adorer une statue est totalement exclu – au risque même de perdre la vie. Dieu compte en premier.
Jésus, alors qu'il avait 12 ans, donne de cela une très belle application. Ses parents le cherchent partout. Il est dans le temple, s'entretenant avec les docteurs de la loi, les étonnant par ses réponses. « Mon enfant, lui dit sa mère, pourquoi as-tu agi de la sorte ? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse ». Il leur dit : « Pourquoi me cherchez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon père ? » Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait (C'était Marie et Joseph, pourtant). Puis, il descendit avec eux pour aller à Nazareth et il leur était soumis (Luc 2.48-51). Il leur était soumis. Mais Dieu passait d'abord.
Dans le livres des Actes, nous retrouvons une circonstance semblable, à deux reprises. Là, ce sont des dignitaires religieux qui se font menaçants : les chefs du peuple, les anciens et les scribes qui défendent absolument de parler et d'enseigner au nom de Jésus. Pierre et Jean répondent : "Jugez s'il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu'à Dieu ;
car nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu" (Ac 4.18-19).
Un peu plus tard, les mêmes autorités les surprennent encore :
"Ne vous avons-nous pas défendu expressément d'enseigner en ce nom-là ? Pierre et Jean répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes" (5.28-29).
C'est ce que Martin Luther a répondu aux dignitaires de l'Église de Rome, à Worms, quand on l'a sommé de se rétracter. Pierre et Jean étaient-ils des insoumis, des rebelles ? Non. Ils étaient des soumis. Mais dans la hiérarchie des autorités, Dieu était pour eux au-dessus des autorités humaines, d'une manière incontestable.
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Pour conclure
. Un enfant doit être soumis à ses parents, mais ses parents doivent lui apprendre à être soumis à Dieu d'abord – et ils doivent donner l'exemple.
Une épouse doit être soumise à son mari, comme au Seigneur. Mais elle doit être soumise au Seigneur d'abord. Et elle sera parfois une aide pour son mari (puisque c'est sa vocation dans le couple) en lui disant non si Dieu le lui demande. Non par esprit d'insoumission mais par soumission à Quelqu'un de plus grand. Et le mari chrétien qui cherche à plaire à sa femme doit chercher d'abord à plaire à Dieu. Ce n'est pas l'un ou l'autre, c'est les deux ; mais ils ne sont pas au même niveau.
Les serviteurs doivent obéir à leur maître, dit Paul, même à ceux qui ont un caractère difficile, y compris en leur absence. Pareil avec les professeurs, avec les autorités civiles et politiques. Mais dans chacune de ces situations, il y a un moment où on peut – où on doit – dire non. Pas par esprit de rébellion, mais par soumission à quelqu'un de plus grand.
C'est là le modèle à développer, dans l'Église et dans le monde. Vous me direz : C'est difficile ! Qui a dit que la vie chrétienne était facile ? Mais nous avons un conseiller, l'Esprit de vérité, auquel nous devons être sensibles.
Qui sera capable de dire aujourd'hui à quelqu'un d'important :
Je voudrais bien faire ce que vous me demandez, mais je ne le peux pas car Dieu ne me le permet pas. Et accepter ce principe permanent écrit par l'apôtre Pierre : "Mieux vaut souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu'en faisant le mal".
Que Dieu nous rende sensibles à sa voix.
Charles NICOLAS
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