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#et cette fille est maintenant maman
maviedeneuneu · 1 year
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Toujours dans la lancée de mes anciens élèves, y a quelques mois j'ai découvert aussi que l'une d'elles était devenu maman à 15 ans
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swedesinstockholm · 2 months
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20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
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Quelques trucs bien. Décembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Commencer à formuler des vœux 
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement 
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante 
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir 
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance 
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie 
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude 
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux 
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière 
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase 
Plus ou moins, tout m’est égal 
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme 
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là 
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ? 
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement 
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste 
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre 
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser 
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop 
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël 
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison 
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer 
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour 
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur 
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches 
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion 
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine ! 
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique 
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens 
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre 
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
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rewindthetimee · 11 months
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À LA CROISÉE DES CHEMINS—Chaos chapitre 5
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Centre-ville
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Kuro: Ouaip’, ouaip’. D’acc, tu vas manger chez ta pote aujourd’hui.
… T’es sûre que c’est “une” pote, et pas “un” pote, hein ?
Tu veux que je vienne te chercher quand vous aurez fini ? Pas besoin ? Ah ouais ? Ils te ramèneront à la maison… Ok, ça marche.
Enfin, j’suppose que ton amie prendrait peur si elle voyait un mec comme moi débarquer pour te récupérer. Appelle-moi si t’as besoin de quoi que ce soit, d’acc ?
À toute, fais en sorte de rentrer avant qu’il fasse nuit.
(Mhh… Ma soeurette est assez distante en ce moment. C’est donc ça, la phase rebelle ?)
(Au moins, elle arrive déjà mieux à s’exprimer que quand maman est morte.)
(Elle a sa propre vie désormais, faudrait pas que je m’y immisce de trop.)
(Haha. “Pourquoi tu vas pas t’amuser avec tes amis, Aniki ?” qu’elle m’a dit. Mais y’a personne avec qui je suis assez proche pour appeler comme ça, sans prévenir.)
(Si y’a bien quelqu’un que je considère comme un ami, c’est Morisawa. Mais si des gens nous voyaient ensemble, ça lui causerait un tas de problèmes.)
(Bordel. Je commence sérieusement à me demander si c’était vraiment une bonne idée d’intégrer cette école. J’ai beau être en deuxième année, j’arrive toujours pas à m’intégrer.)
(Bien sûr, ça reste toujours mieux que le collège, dans le temps où je traînais avec des mecs dangereux et que je me retrouvais embarqué dans des affaires pas nettes…)
(Enfin, si ça me permet de faire de mal à personne, c’est pas si mal d’être tout seul.)
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Kaoru: Hééé, Kiryuu-kun !♪
Woah, woah, qu’est-ce que tu fais ici ? T’as pas l’air dans ton assiette~ Tu t’es fait rejeter par une fille ou quoi ?
Kuro: … Hakaze. T’as pas tout à fait tort.
Kaoru: Je vois, mon pauvre~ Si t’étais pas un mec super baraqué, je me serais fait une joie de te réconforter, Kiryuu-kun.♪
Kuro: J’en veux pas de ton réconfort. M’adresse pas la parole, allez ouste !
Kaoru: Ouah ?! Je me fais chasser comme un vulgaire chien errant… Je pensais pas que tu me détestais à ce point~ Perso, je préférerais être en bons termes avec toi, tu sais.
Si t’étais mon garde du corps, je pourrais me balader à l’école en toute sécurité.
Kuro: Demande à quelqu’un d’autre. Je compte pas être le bouche-trou de qui que ce soit.
Kaoru: C’est justement parce que t’es un homme, un vrai, que c’est toi que je veux et personne d’autre. Mais peu importe, c’est pas comme si j’avais envie de me retrouver impliqué dans ce qu’il se passe à Yumenosaki de toute façon.
Mais avant tout, est-ce que t’es libre là maintenant, Kiryuu-kun ? Une de mes connaissances tient une représentation à la salle de concert, alors je me demandais si tu voulais qu’on y fasse un tour ensemble.
Allez, c’est moi qui paie ! Estime-toi heureux, c’est rare que je fasse une fleur pour un homme, tu sais~♪
Kuro: Mmh… C’est pas comme si j’avais quoi que ce soit de mieux à faire, alors j’veux bien passer un peu d’temps avec toi.
J’entends une voix assez énergique venant de l’intérieur. Hé, ce serait pas Morisawa ?
Kaoru: Morisa-qui ?
Enfin bref, si t’es d’accord, alors suis-moi.
Contrairement au cursus d’idoles de Yumenosaki, les hommes et les femmes sont les bienvenus dans cette salle de concert~ Peut-être ferons-nous une rencontre intéressante.♪
Lieu : Salle de concert souterraine
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Kaoru: Mon Dieu… C’est encore plus bruyant que ce que j’imaginais.
(Qu’est-ce que ça signifie ? La foule est si dense que c’en est presque impossible de bouger…)
(Si je me retrouvais accidentellement collé à une fille ça me gênerait pas du tout, mais jusque là j’ai vu quasiment que des mecs. C’est donc ça, l’Enfer.)
(Mh ? Y a une odeur agréable qui flotte dans l’air…)
Kuro: H-hé, Hakaze ? Tu vas où, comme ça ?
Kaoru: (Sniff, sniff… C’est le genre d’odeur qu’on ne peut avoir qu’en prenant particulièrement bien soin de ses cheveux avec une dizaine de produits de beauté. Je suis persuadé qu’elle appartient à une magnifique beauté japonaise bien propre sur elle. ♪)
Souma: …? Puis-je vous estre utile ?
Kaoru: Hein, c’est un meeec...? Mon odorat me ferait-il défaut ?
Souma: P-pourquoi semblez-vous si desconforté [1]? Estes-vous souffrant ? Votre visage est livide…
Est-ce parce que la populace est dense ; estes-vous cacochyme ?
Si vous le souhaidiez [2], je puis vous raccompagner jusqu’à la sortie.♪
Kaoru: Ah~ Désolé, mais tu pourrais ne plus m’adresser la parole ?
C’est vrai, je ne me sens pas très bien, mais c’est parce que je m’attendais à faire une merveilleuse rencontre, donc je me sens un peu trahi, tu vois~?
Souma: Je vous demande pardon ? Veuillez articuler de sorte à ce que je vous comprenne !
Mon comportement est-il source de vos malheurs ?
Kaoru: Mais pourquoi est-ce que tu continues de t’approcher…
Les hommes, c’est niet, ça m’intéresse pas ! Tu pourras revenir quand tu te seras réincarné en une belle jeune femme. Bye-bye~♪
Souma: C’est vous qui m’avez approché ! Espèce de fripouille mal élevée !
… Ouah ?
Kuro: Ah, désolé. Je t’ai bousculé sans faire gaffe. … J’t’ai pas fait mal au moins ?
Souma: Ah, vous estes le gentilhomme que j’ai rencontré auparavant…
Écartez-vous, je me dois d’abattre mon jugement sur cet homme impudent. Je ne déshonorerais point le clan Kanzaki en fuyant après avoir été insulté de la sorte !
Kuro: J’comprends pas trop ce qu’il se passe, mais tu ferais mieux de te calmer. C’est déjà suffisamment chaotique là-dedans, en plus d’être bondé de monde.
Si quelqu’un se met à agir violemment, y’aura forcément des blessés.
Attends, mais comment on en est arrivés là, déjà ?
Souma: Hélas… J’ignore moi-mesme la raison. Dès que ce gentilhomme est monté sur la scène, un creuset des plus furieux s’est formé.
J’ai l’impression d’avoir été avalé par un tsunami.
Kuro: Un gentilhomme, tu dis… Tiens donc, si c’est pas Sakuma.
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Rei: ♪~♪~♪
Kuro: (Va savoir pourquoi, il est en train de chanter comme s’il vivait sa meilleure vie. Qu’est-ce que la superstar de l’école fait à s’amuser dans un district aussi délabré…?)
Traduction FR : Yunaël
Correction FR : Rewind
Traduction anglaise : Soph
Ancien Français pour dire “découragé”.
Ancien Français pour dire “souhaiter”.
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dirtymindsd · 10 months
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𝙲𝚘𝚕𝚒𝚗𝚎 𝙽𝚘𝚛𝚊 𝙻𝚒𝚕𝚊 𝚂𝚊𝚕𝚟𝚊𝚝𝚘𝚛𝚎 𝙼𝚒𝚔𝚊𝚎𝚕𝚜𝚘𝚗
Espèce : Jaguar Garou Naissance : [06 ~ 03 ~ 1920] Nouvelle Orléans Histoire : J'ai été abandonner à la naissance dans une forêt, un jour un vampire m'a trouvé, ce que je ne savais pas c'est qu'il était un servant de Klaus Mikaelson, il m'a emmené avec lui pour m'élever comme sa propre fille, le problème c'est que pour lui j'avais une odeur horrible vu que je suis une louve alors à l'âge de 8 ans il m'a dit d'aller me cacher dans la forêt pour jouer à cache-cache et il ne soit jamais venu me chercher. J'ai appris à me débrouillais toute seule pendant 10 ans et un jour un vampire ma mère m'a découvert, elle m'a emmener avec elle, elle m’a appris la vie tout simplement. Un jour j'ai rencontré une femme dans la forêt qui m'a dit que j'étais dangereuse, elle m’a mordu quand j'ai voulu partir sauf que maintenant je ne suis plus une louve normal, il ne faut pas que les gens le sache sinon c'est sûr il me tuerons, cette femme n'étais pas une louve ni un vampire, elle était un jaguar garou me demander pas comment je n'en sais rien mais elle ma mise son virus et maintenant je suis un jaguar garou je suis un monstre. Ma mère est Eléonora Salvatore et mon père est Klaus Mikaelson. Situation : Célibataire & Maman & Future Maman
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penseescafeinees · 8 months
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Dans ma tête ce 13 - 9 - 2023
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Quoi de fou cette semaine... J'avais envie d'utiliser ce blog comme un journal... semi-intime. J'ai envie d'y coucher mes pensées... Mes émotions. Car j'en ai un peu plein le cul des tabous que la société met autour de la santé mentale.
Je me sens particulièrement fragile pour le moment. Et d'ailleurs... Je me demande si ce n'est pas une force que de l'admettre... soit... J'élucubre.
Le 31 juillet... J'ai coupé les ponts avec l'homme qui m'a servi de père durant 35 ans. Mes mots semblent dures. Mais je reste assertive. Peut-on qualifier de père une personne qui était censé vous protégé et qui a été moins que basique ? Car la base d'un père... c'est nourrir, protéger, donner de l'amour, offrir un toit, ... Si je comptes ce qu'il a fait sur ces 4 choses... Je n'en dénombre que 2... Vous allez me dire... c'est déjà ça... Mais il y a les choses qu'un père ne peut pas faire que le mien a fait. Mais... non... C'est moi la vilaine... La fille ingrate ! Celle qui refuse d'être élevée en allant portée plainte pour coups et blessures quand elle avait 12 ans. C'est moi qui subit. Et c'est moi qui est un problème.
Heureusement, maintenant, je suis bien entourée. Mes enfants sont fantastiques. Et j'ai des hommes adorables. Et je ne remercierais jamais assez le destin d'être polyamoureuse. ♥ Car j'ai pu rencontrer des personnes qui bien qu'ayant pas mal de défauts, ont nombre de qualités.
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Et mes enfants... adorable petites créatures que j'ai mises au monde. Que j'aime plus que tout. Erwan ne comprend pas encore tout ce que je traverse. Mais Rose bien qu'elle ne comprenne pas tout... Se montre tellement enveloppante. Elle est souvent collée à moi. Quel plaisir de sentir ses petits bras m'entourer. Et me rappeler que je ne suis pas une humaine si nulle. Par moments, ça me fait culpabiliser. Car c'est à la maman de soutenir... Pas à l'enfant non ? bien que... Je dis ça... Mais je faisais pareil avec ma mère. Je crois juste que j'agissais avec elle. Comme elle agissait avec moi. Elle n'a pas été la meilleure des mères. Mais elle a toujours reconnus ses torts. Et juste pour ça... Je suis fière d'elle.
J'ai pris rendez-vous avec un psychiatre. Car je vis toujours au bord de la crise d'angoisse. Je le vois le 10 novembre.
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NSBC • Chapitre 32
Les semaines passent… Kalpita a emménagé avec moi, et son ventre grossit de plus en plus, nous rappelant constamment notre manque de prudence. Cependant, j’ai l’impression qu’elle le vit mieux que moi…
Maman m’a passé un savon au téléphone quand je l’ai appelée pour le lui annoncer il y a quelques temps, me disant qu’elle m’avait prévenu, et que j’avais de la chance de ne pas en avoir avec la moitié de la ville, des gamins… Merci, maman… Mais après ça, elle s’est calmée, et maintenant, elle vient nous voir régulièrement, pour prendre des nouvelles de Kalpita et du développement du bébé.
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Kal’, elle, a souvent des nausées, mais apparemment, c’est bon signe. D’après maman, ça veut dire que l’enfant se développe bien. Bon… C’est déjà ça.
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Elle commence à avoir mal au dos, aussi. Ce bébé est notre erreur à tous les deux, mais c’est elle qui en vit les conséquences directes, pour l’instant. Alors j’essaie de la soulager, comme je peux.
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Dès que je fais le décompte dans ma tête du nombre de mois qu’il reste avant le terme, j’ai une sensation douloureuse dans la poitrine. Je ne suis absolument pas prêt à vivre ça, et me voilà obligé… J’ai vraiment peur de la façon dont ça va se passer.
On essaie de faire comme si de rien était, pour l’instant. Je dirais même que les hormones rendent Kalpita assez souvent… fougueuse. Et ce n’est pas pour me déplaire !
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J’ai l’impression que plus le temps passe, plus elle rayonne. Et un jour, alors que maman est de passage, j’ai la confirmation.
« Eh bah dites donc, ça pousse là-dedans !
— Mamaaan, laisse-la tranquille, tu veux… ! »
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« Laisse, Gaby. Oui, Mme Berry, et je dois avouer que maintenant, j’ai hâte de le rencontrer, ce petit bout de chou.
— Ah, tu m’en vois ravie ! Tu sais si c’est une fille ou un garçon ?
— Le médecin a proposé de me dire, mais j’ai dis non, je préfère garder la surprise… ! »
Elle a dit ça avec un grand sourire. Elle a finalement l’air heureuse de l’avoir, cet enfant… et à cette constatation, je me sens encore plus mal. Pour moi, rien n’a changé… Je suis un monstre… ?
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J’entends maman lui parler chambre de bébé. C’est vrai qu’on n’a pas encore pensé à ça… Où on va le mettre… ? Dans notre chambre, au début, probablement… Mais après ? Couper le salon ? Faire construire un étage ? Ça ne va pas être de tout repos…
Pour couper court à cette conversation gênante, j’ai proposé qu’on regarde un film tous ensemble. Un film sur l’espace… de quoi occuper ma scientifique de mère ! Enfin, c’est ce que je croyais… !
« Nan mais attendez… Les aliens, ils ne ressemblent pas à ça… Et puis c’est quoi, cette fusée irréaliste ? Je suis pourtant pas une experte, mais je suis sûre qu’elle ne devrait pas pouvoir voler sans un turbopropulseur à ondes éléctroma–
— Oui maman, on a compris, mais c’est du cinéma, tu sais…
— D’accord, mais c’est pas une raison pour ne pas se renseigner un minimum ! »
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Kalpita et moi échangeons un regard et nous retenons un rire. Décidément, elle ne changera jamais… !
Le « grand » jour est arrivé.
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L’arrivée de ce bébé m’est difficile, mais finalement, je ne sais pas si l’attente n’était pas pire… Toujours est-il que j’ai dû emmener Kalpita en urgence à l’hôpital, un samedi d’août. La pauvre poussait des hurlements atroces à cause des contractions… Autant vous dire que je n’étais pas rassuré, même si apparemment c’était « normal ». C’est vraiment normal que la mère souffre autant ?
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« Kal’, ça va ?! lui demandé-je une fois devant le bureau d’accueil. »
Elle faisait une drôle de tête.
« Ça ira mieux quand j’aurai plus rien dans le ventre… »
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Et après un temps incroyablement long, nous sommes devenus parents. Et alors que ça semble rendre Kalpita particulièrement heureuse…
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… moi je ne ressens rien. Rien, à part une sensation d’échec, accompagnée d’une parole qui résonne sans cesse dans ma tête : « tu n’as pas réussi à garder le contrôle sur ta vie ».
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Quand nous sommes rentrés, j’ai regardé un instant Kalpita prendre en main son rôle de mère. Je n’ai pas réussi à faire la même chose. Pour tout vous dire, je n’ai pas dépassé le seuil de la porte de notre chambre depuis qu’Aurèle y a été installé.
On dirait que c’est instinctif, chez elle. Je vois bien qu’elle n’est pas rassurée non plus, mais je sais qu’elle l’aime, ce nouveau-né. Je ne suis pas sûr de pouvoir en dire autant. Et je me déteste pour ça.
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NDA : Aurèle vient du latin aureus, qui signifie « d’or, doré ».
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marie-swriting · 1 year
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Je T'aime, Putain - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé: Avant Robin, tu n'avais jamais eu de béguin pour une fille donc tu essayes de comprendre ce que tu ressens même si tu veux Robin avec toi. Vous vous êtes mises d'accord pour vous voir sans rendre les choses officielles, mais tes sentiments grandissent de jour en jour.
Warnings : Steve est un peu méchant mais c'est parce qu'il est protecteur, relation secrète car Robin et le reader sont toujours dans le placard, seul Steve le sait, sinon c'est un one shot rempli de fluff. Dites-moi si j'en ai loupés d'autres !
Nombre de mots : 3.7k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : I F*cking Love You par Zolita
Le bruit de ton alarme te sort du sommeil. Tes yeux toujours fermés, tu essayes d’atteindre ton réveil, mais tu tombes sur le corps de quelqu’un. Tu commences à sourire avant d’ouvrir les yeux et de regarder Robin. Elle murmure un « hey » avant d’éteindre la sonnerie. Tu te rapproches d’elle, appréciant sa présence à côté de la tienne.
- Tu es vraiment la plus mignonne le matin, chuchote-t-elle.
- La plus mignonne ? Avec ma tête du matin, mes cheveux pas coiffés et surtout mon haleine ? demandes-tu, pas convaincue.
- Oui. Je pourrais t’embrasser maintenant.
- Très bien, un bisou rapide. Quand on se sera débarrassées de l’haleine, je t’embrasserai comme il faut, lui dis-tu avant de poser rapidement tes lèvres sur les siennes.
- On va se préparer, alors !
Elle n’attend pas ta réponse avant de se lever et de te tendre sa main. Tu la prends et vous vous rendez dans la salle de bain. Pendant que vous vous brossez les dents, vous ne pouvez vous empêcher de vous regarder. Admirant encore sa beauté, tu en viens à la conclusion que Robin a tort. Elle est la plus mignonne le matin.
Quand vous avez enfin fini de vous lavez les dents, vous n’attendez pas avant de vous embrasser. Tu l’embrasses doucement, mais passionnément. Le baiser devient un peu plus pressant alors que tu te cognes doucement contre le robinet. Ses mains sur tes hanches et les tiennes perdues dans ses cheveux, tu t’assures de mémoriser chaque seconde de ce baiser comme vous ne pouvez pas en partager un autant que vous le souhaiterez.
Après vous être embrassées pendant un moment, tu t’écartes. Robin te regarde, perdue alors que tu as toujours un sourire sur ton visage.
- Autant que je veux faire ça toute la journée, si on s’est réveillées à sept heures, c’est parce que tu dois travailler et tu ne peux pas être en retard, dis-tu, l’embrassant à nouveau rapidement. Surtout que c’est Steve qui vient te chercher. Je veux pas lui donner une autre raison de me détester.
- Il ne te déteste pas, corrige-t-elle et tu lui lances un regard incrédule. Il ne te connait pas beaucoup, c’est tout. Crois-moi, il t’adorerait si tu le rencontrerais vraiment.
- Ouais, je ne suis pas très sûre. Enfin, bref, tu devrais finir de te préparer pendant que je fais le petit déj.
Tu embrasses rapidement ses lèvres avant de la laisser seule dans la salle de bain. Tu descends, retrouvant ta mère se faisant son propre petit déjeuner. Vous vous regardez choquées, réalisant que l’autre est déjà levée. Enfin, ta mère est plus surprise car tu n’es jamais débout aussi tôt un samedi matin. Tu lui expliques que tu es déjà levée car Robin doit aller travailler, ceci réveille quelque chose chez ta mère. Elle pose son café sur la table et commence à préparer un ‘vrai’ petit déjeuner pour Robin.
- Maman, je suis sûre qu’un bol de céréales fera l’affaire, lui dis-tu alors qu’elle fait des pancakes et tu sers à toi et à Robin un verre de jus de fruit. 
- Cette pauvre Robin va travailler toute la journée. Elle a besoin de force. Je devrais faire son repas du midi aussi. Je suis sûre qu’elle n’en a pas un de prévu.
- Robin peut prendre quelque chose au magasin à côté. Ne t’inquiète pas, maman. Elle ne va pas à la guerre, elle va juste travailler à Family Video, rigoles-tu, mais ta mère t’ignore et mets trois pancakes dans une assiette.
- Oh mon Dieu, ça sent trop bon ! entends-tu Robin s’exclamer quand elle arrive en bas. Bonjour Madame Y/L/N, ajoute-t-elle, surprise de voir ta mère.
- Je te fais des pancakes. Je ne veux pas que tu sois affamée.
- Merci, dit-elle alors que ta mère lui donne l’assiette.
- Est-ce que tu veux un repas pour ce midi, aussi, ma puce ? Oh ! Tu as besoin qu’on t’accompagne ? Je peux me préparer rapidement pour t’amener à ton travail, demande-t-elle, n’attendant presque pas pour une réponse.
- Je gère, merci ! Steve vient me chercher.
- Steve ? questionne ta mère avec un sourire curieux pendant que tu commences à boire ton jus. C’est ton petit ami ? 
En entendant sa question, tu bois de travers.
- Maman !
- Non ! crie Robin en même temps que toi. Steve est mon meilleur ami. On est justes amis. Notre relation est totalement platonique, avec un ‘P’ majuscule, déclare-t-elle en insistant sur le mot ‘platonique’.
- Oh, c’est bien aussi. Son nom m’est familier, cependant.
- Oui, il était dans l’équipe de natation, l’informes-tu.
- C’est ça ! Robin, pourquoi ne le présentes-tu pas à Y/N ? Peut-être qu’elle le trouvera mignon, suggère ta mère, te faisant grincer des dents alors que Robin se retient de rire à cause de ton visage.
- Maman, arrête, tu es dans l’excès. En plus, on est trop différents.
- Oui, ça ne marcherait pas, si vous n’avez pas de points communs. Mais, tu ne me parles jamais de garçons. Toutefois, je suis sûre que toi, Robin, tu dois tout savoir, dit-elle dramatiquement. Bien, je vais aller me préparer.
- Désolée pour ma mère, commences-tu quand elle est enfin partie. Elle peut être gênante.
- Ce n’est pas grave. Enfin, oui c’était gênant, mais c’était drôle aussi.
- Contente que tu aies appréciée, souris-tu faussement et elle rigole un peu plus jusqu’à ce que vous entendiez un klaxonne dehors.
- Ça doit être Steve. Tu peux lui dire que j’arrive ? J’ai juste besoin d’attraper quelques choses dans ta chambre et mon sac, demande-t-elle et tu hoches la tête.
Elle court à l’étage pendant que tu quittes la maison, croisant tes bras sur ta poitrine, tentant de cacher ton pyjama. Tu marches jusqu’à la voiture de Steve alors qu’il abaisse la fenêtre. Tu l’informes que Robin va arriver dans quelques secondes, il répond simplement par un hochement de tête. Tu restes à côté de la voiture, mal à l’aise. Peu importe ce que Robin dit, tu peux clairement voir que Steve ne t’aime pas.
- Tu sais, commence-t-il, attirant ton attention, pour quelqu’un qui agit comme si tu ne connaissais pas Robin à l’école, c’est bizarre que vous vous voyiez chez toi.
- Ma mère pense seulement que l’on est amies. Se voir ici est plus sûr, rétorques-tu.
- Ça reste bizarre. Il semble toujours avoir une différence entre tes mots et tes actions.
- Tu ne me connais pas Harrington, t’énerves-tu.
Steve est sur le point de dire quelque chose quand la voix de Robin se fait entendre.
- Hey, Steve ! Désolée d’avoir pris un peu plus de temps. J’ai eu dû mal à trouver ma brosse.
- Tu sais que ce n’était pas perdu, hein ? lui dis-tu, en essayant de sourire.
- Ouais, rigole-t-elle. Je dois y aller. Je t’appelle ce soir ?
- Bien sûr, dis-tu avant d’embrasser ses joues.
Robin te regarde retourner chez toi alors que Steve roule jusqu’à Family Video. Robin n’a pas pu s’empêcher de remarquer ton manque de joie quand tu étais avec Steve. Elle se tourne vers lui, prend une grande respiration avant de commencer à parler.
- Tu sais que tu es malpoli avec elle, n’est-ce pas ? Enfin, elle pense que tu la détestes. Tu pourrais être plus gentil.
- Je ne la déteste pas. J’ai juste des doutes sur elle, corrige-t-il.
- Elle n’a rien fait de mal.
- Elle t’oblige à garder votre relation secrète.
- Euh, oui parce qu’on ne peut pas vraiment faire les choses comme toi tu le peux, tu sais.
- Je voulais pas dire dans ce sens-là, rétorque-t-il en comprenant qu’il s’était mal exprimé. Ce que je voulais dire, c’est qu’elle fait comme si elle ne te connaissait pas en public. Vous ne pouvez pas vous tenir la main devant tout le monde, mais elle pourrait au moins reconnaitre ta présence.
- C’est compliqué pour elle. Je te l’ai déjà dit, te défend Robin. Elle n’avait jamais eu un béguin sur une fille avant. Si agir comme si elle me connaissait pas peut l’aider à comprendre ce qui lui arrive, ça me va. Et puis, on n’est même pas en couple. Elle a dit qu’elle voulait pas mettre de label dessus, comme ça on a pas d’attache donc si on veut en rester là parce qu’on a trouvé quelqu’un d’autre, par exemple, on peut le faire. Enfin, je ne vais pas mentir, je n’aime pas la voir parler à d’autres garçons, surtout parce qu’ils lui proposent des rendez-vous, mais elle ne me doit rien. Je savais dans quoi je m’engageais avec elle. Oui, je préfèrerais qu’elle ne parle pas à ces autres gars, mais elle a été claire. Tu ne peux pas lui en vouloir pour ça, admet-elle, se sentant mal.
- Tout ce que j’entends, c’est qu’à cause d’elle, tu es blessée. Tu sais, tu pourrais mettre tes propres conditions aussi, n’est-ce pas ?
- Ça me va comme ça.
- Si tu le dis, dit Steve, ne voulant pas créer une dispute.
- Juste, arrête d’être méchant avec elle.
- Je veux simplement te protéger. Je ne veux pas que tu aies le cœur brisé parce qu’elle n’arrive pas à comprendre la situation et qu’elle fuit parce qu’elle a peur.
- Tu ne comprends rien ! Et je peux m’occuper de moi-même, le coupe-t-elle, en colère car elle sait, au fond, qu’il a compris une de ces peurs.
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Tu termines de te préparer pour l’école quand tu fais ton sac. Tu mets tous tes livres et cahiers dont tu as besoin quand tes yeux se posent sur le paquet parfaitement emballé sur ton bureau. Tu le prends dans tes mains, débattant intérieurement.
Aujourd’hui représente le premier mois anniversaire de ton premier baiser avec Robin. Tu lui as acheté ce présent, mais tu ne sais pas si tu devrais lui donner. Tu as dit que tu ne voulais pas en faire toute une histoire de votre relation et un cadeau est en faire toute une histoire. N’est-ce pas ? Tu ne veux pas rendre la situation bizarre et la perdre alors tu décides de le laisser sur ton bureau.
Au lycée, tu te diriges vers ton casier et ranges les affaires dont tu n’auras pas besoin tout de suite. Au moment où tu le refermes, Josh, un garçon de ton cours d’anglais, est à côté de toi, un sourire aux lèvres. Tu lui rends son sourire, mal à l’aise, attendant qu’il dise quelque chose.
- Comment s’est passé ton week-end ?
- Ça s’est bien passé, merci, lui dis-tu, prête à partir mais il te retient.
- Tu sais, je me demandais si tu voulais aller au cinéma avec moi.
- Hey Y/N, entends-tu Robin dire avec un sourire.
Tu fais un rapide moment de la tête pour lui répondre.
- Elle est ton amie ? Demande Josh sincèrement curieux et tu secoues la tête, paniquant.
- Pas vraiment, on est toutes les deux dans l’orchestre de l’école. C’est tout.
- Du coup, pour le cinéma ?
- Je peux pas, désolée. Je suis occupée, l’informes-tu mais il te regarde perdu.
- Je ne t’ai même pas donné une date.
- Ouais, mais j’ai beaucoup de devoirs cette semaine, mens-tu.
La sonnerie te sauve de la situation.
- Désolée, je dois y aller. J’ai maths.
Tu n’attends pas qu’il réponde avant de courir jusqu’à ta classe. Tu détestes te retrouver dans une situation où un garçon te propose un rendez-vous. Ils ont l’air gentils, mais tu ne veux pas sortir avec eux. Si tu voulais aller un rendez-vous avec quelqu’un, ça serait Robin, mais tu ne peux pas vraiment le faire. En pensant à Robin, tu t’en veux en réalisant que tu l’as ignorée. Encore. Tu te détestes quand tu le fais. Surtout car elle pense sûrement que tu as dit oui à la proposition de Josh.
Tu aimerais que votre relation passe au stade au-dessus, mais tu as peur de le lui dire. Peut-être qu’elle aime votre relation telle qu’elle est et tu ne veux pas risquer de la détruire en lui disant qu’elle est la seule que tu vois ou que tu as peur de la voir partir. Peut-être qu’elle aime la façon dont c’est sans prise de tête.
Tu réfléchis encore et encore à ta relation avec Robin et à la façon dont tu as agi envers elle pendant ta première heure. Tu as peur de l’avoir soit blessée soit repoussée un peu plus en lui faisant croire que tu voyais quelqu’un d’autre. Mais lors de ton cours de physique, cours que tu partages avec Robin, tu sens le poids quitter tes épaules quand elle te sourit. Elle te donne discrètement un papier. Tu le prends et attends que tout le monde soit installé avant de le lire sous ton bureau.
« On se retrouve au placard du concierge pendant la pause ?
R x »
Tu tournes la tête, prétendant de regarder aux alentours sans but précis avant de poser tes yeux sur Robin et de hocher la tête doucement. Tu tentes de cacher ton sourire en pensant à ton futur moment avec elle.
Quand c’est enfin l’heure de la pause, tu n’attends pas une seconde avant d’aller dans le placard du concierge. Tu l’attends, nerveusement avant qu’elle n’arrive une minute plus tard. Elle t’embrasse avant d’ouvrir son sac, cherchant quelque chose.
- Je suis désolée pour ce matin, dis-tu, en l’arrêtant dans ses mouvements. Je n’aurais pas dû t’ignorer quand tu m’as salué.
- Ce n’est pas grave. Je sais que tu veux qu’on soit discrètes au lycée, t’assure-t-elle avant de te donner une petite boite avec un jolie ruban rouge. C’est pour toi. On s’est embrassées pour la première fois il y a un mois, précise-t-elle alors que tu ouvres le cadeau. Pas que ça soit quelque chose d’hyper important. Enfin, on n’est même pas en couple ou autre, mais je voulais quand même t’offrir ceci. J’espère que je ne rends pas les choses gênantes, parce que si c’est le cas, on peut totalement oublier.
- Robin, je l’adore, lui dis-tu en regardant le petit bracelet avec un charm floral. Je n’arrive pas à croire que tu te rappelles que ça fait un mois, murmures-tu avec un sourire attendri.
- Bien sûr que je m’en rappelle.
- C’est très mignon. Tu m’aides ? lui demandes-tu et elle t’accroche le bracelet sur ton poignet.
- C’est très beau sur toi.
- Merci, souris-tu avant de réaliser que tu n’as pas son cadeau. Tu sais, j’ai aussi quelque chose pour toi.
- Tu n’as pas à faire semblant. Ce n’est pas grave. Enfin, on n’avait pas parlé de s’offrir des cadeaux. J’ai juste vu ça et je me suis dit que ça te plairait.
- J’en ai vraiment un, Robin. Je l’ai acheté il y a deux semaines. Et aujourd’hui, j’ai failli le prendre, mais je ne voulais pas rendre les choses gênantes non plus donc je l’ai laissé sur mon bureau. Je peux te le donner tout à l’heure, à Family Video ?
- Bien sûr.
Tu regardes à nouveau le bracelet avant d’embrasser Robin avec passion. Vous restez ensemble encore quelques minutes, appréciant le moment où vous êtes seules.
- Oh mon Dieu, tu aurais dû voir sa tête, Steve ! commence à dire Robin à son meilleur ami avec des étoiles pleins les yeux alors qu’il range une étagère. Son sourire était si grand. Le bracelet lui a totalement plu. J’avais peur qu’elle pense que le charm florale soit un peu enfantin, mais elle l’a adoré aussi ! Elle l’a mis tout de suite. Enfin, je le lui ai mis. Et même si ça ne représente peut-être rien, le fait est qu’elle a accepté un cadeau de ma part et elle le porte maintenant. Tout le monde peut le voir. Je suis sûre qu’il y a quelques semaines en arrière, elle ne l’aurait pas fait. Peut-être que ça veut dire qu’elle veut passer à l’étape supérieure, non ?
- Elle n’a pas accepté un rendez-vous avec un gars aujourd’hui, comme tu m’as dit ? demande Steve, brisant la bulle d’amour de Robin.
- Je t’ai dit qu’un gars lui a demandé de sortir avec lui. Je ne sais pas si elle a dit oui.
- Ok, mais elle ne t’a rien offert, n’est-ce pas ?
- Pas encore, admet-elle et il la regarde avec un regard insistant. Elle m’a dit qu’elle m’avait effectivement acheté quelque chose aussi, mais qu’elle ne savait pas si elle devait me le donner comme on avait pas prévu de s’offrir des cadeaux aujourd’hui. Pourquoi est-ce que tu es toujours pessimiste quand c’est à propos d’elle ? J’ai enfin une petite amie. Enfin, pas vraiment une petite amie comme on ne met pas de label, mais j’ai quelqu’un. Et j’ai vraiment des sentiments pour elle. Tu devrais être heureux pour moi.
- J’ai juste l’impression qu’elle joue avec toi.
- Tu imagines le pire.
- Tu es sérieusement celle qui me dit ça ?
- Je ne veux plus en parler. Je suis à l’arrière, si tu as besoin de moi. J’ai du travail qui m’attend.
Steve regarde sa meilleure amie partir tristement. Il sait qu’il est dur avec elle, mais il ne veut pas que Robin ait le cœur brisé. Il veut le meilleur pour sa meilleure amie et il veut qu’elle ait une relation avec quelqu’un qui se donne totalement à elle, peu importe la situation. Peut-être qu’il imagine le pire, comme Robin a dit, mais il préfère imaginer le pire et avoir tort que ne rien faire et ne pas la protéger comme un meilleur ami le devrait.
Quand il entend la porte s’ouvrir, il relève la tête des films qu’il a dans ses mains et te voit. Tu te rapproches de lui nerveusement, sachant ce qu’il pense de toi. Tu mets tes mains dans tes poches, tentant de paraitre confiante quand tu es enfin en face de lui.
- Hey, tu sais où est Robin ?
- A l’arrière.
- Merci, dis-tu et tu commences à partir, mais il te retient.
- Hey, Y/N. Je sais que tu penses que je te déteste, mais ce n’est pas le cas. Je sais que tu essayes de comprendre ce que tu ressens, mais je ne veux pas que Robin soit blessée à cause de ça, te dit-il et tu ne peux t’empêcher de te sentir reconnaissante que Robin ait quelqu’un qui prend soin d’elle.
- Je sais ce que tu veux dire. Je sais que je n’ai pas géré les choses comme il faut, mais je te le promets, Steve, je ne veux pas la blesser.
- J’espère. Elle tient vraiment à toi.
- Je tiens à elle aussi. Plus que tu ne le sais.
Tu te retournes et marches vers l’arrière-boutique, cherchant Robin. Là, tu la trouves, regardant différentes cassettes et écrivant quelque chose dans un carnet. Tu frappes à la porte, attirant son attention. Elle pose les cassettes et vient vers toi. Elle t’embrasse avant de t’inviter dans la pièce. Elle ferme la porte alors que tu sors le cadeau de ton sac. Tu le lui tends. Elle le prend avec un sourire au visage. Elle défait le papier avant de trouver un livre.
- L’idiot ? Essayes-tu de me dire quelque chose Y/N ? demande-t-elle en essayant d’agir sérieusement.
- Non ! réponds-tu rapidement, la faisant rire. C’est juste que comme je sais que tu parles russe, je voulais t’offrir un livre dans cette langue. Et puis, la dernière fois, tu as dit que tu voulais lire une des œuvres de Dostoïevski en langue originale, donc je suis allée à la libraire et je leur ai demandé. Le libraire avait seulement celui-là, mais il a l’air intéressant !
Robin te regarde avec des yeux remplis d’amour alors qu’elle réalise que tu as tenté de trouver le cadeau parfait pour elle, et tu as réussi.
- J’aime beaucoup, merci. J’ai hâte de le lire ce soir ! sourit-elle avec émotion.
- A propos de ça, commences-tu et elle t’écoute attentivement. Je l’ai acheté aussi. Pas en russe, évidemment, je ne le comprends pas. Mais j’avais pensé que, peut-être, on pouvait se retrouver et le lire ensemble et en parler.
- Comme un rendez-vous lecture ? questionne-t-elle, s’assurant qu’elle a bien compris.
- En gros, oui, dis-tu nerveusement, n’osant pas la regarder pendant une seconde. J’ai juste pensé que ça pourrait être bien et aussi lire ensemble peut-être quelque chose de mignon à faire.
- Oh mon Dieu, je t’aime, putain, murmure-t-elle avant de réaliser ce qu’elle vient de dire. Oh mon Dieu ! Désolée ! Je ne voulais pas dire ça. Enfin, si, je le pense, j’ai des sentiments pour toi, mais je ne voulais pas le dire à haute voix. On n’est même pas ensemble donc je n’aurais pas dû te dire que je t’aime, même si c’est vrai.
- Robin…, dis-tu en essayant de couper son radotage, sans succès.
- Je n’aurais pas dû le dire. Maintenant, les choses sont gênantes et je ne voulais pas ça. Je sais qu’en le disant je t’ai repoussée et je ne voulais pas ça.
- Robin…
- Enfin, on n’est même pas ensemble, ensemble. J’aime ce que l’on a et je ne veux pas le perdre. Même si je suis sûre que c’est le cas et…
- Robin ! l’interromps-tu de nouveau et elle arrête de parler, te regardant avec de l’inquiétude dans ses yeux. Tu n’as pas rendu les choses gênantes, lui assures-tu et elle respire à nouveau. En fait, je voulais te le dire depuis un moment déjà. Je… j’ai des sentiments pour toi aussi et je veux qu’on rende les choses officielles. Enfin, oui, je dois encore comprendre qui je suis et on ne peut pas être publiques à cent pourcent, mais je veux vraiment que tu sois ma petite amie. Le mois que l’on a passé ensemble, j’en ai aimé chaque minute. J’ai aimé chaque baiser, chaque discussion, chaque rendez-vous non officiel.
- Mais je croyais que tu voyais d’autres gars ?
- Depuis qu’on s’est embrassées, j’ai refusé tous les rendez-vous. Je ne veux pas sortir avec ces mecs. Je veux seulement sortir avec toi parce que j’adore ça. Je… je t’aime, Robin, admets-tu avec un grand sourire, malgré ta nervosité. C’est le cas depuis un moment, mais j’avais peur que ça t’éloigne aussi, car je croyais que ça t’allait qu’on ne soit pas sérieusement ensemble comme tu as accepté mes conditions sans hésitation.
- J’ai le béguin pour toi depuis un long moment. Je ne t’aurais jamais repoussée.
Robin n’attend pas ta réponse avant de poser ses lèvres sur les tiennes. Pour la première fois, le baiser est totalement rempli d’amour. Pour la première fois, vous ne retenez rien. Vous voulez juste montrer à l’autre tout l’amour que vous avez. Robin te rapproche en posant ses mains sur tes joues alors que les tiennes font leur chemin jusqu’à ses hanches, la serrant un peu plus fort. Après un moment, vous briser le baiser et vos yeux plongent dans ceux de l’autre.
- Oh mon Dieu, je t’aime putain, répète Robin te faisant sourire doucement.
- Je t’aime aussi, putain.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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arypurple · 10 months
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DL - Résumé foireux S01.ÉP05
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Repensant à ce que Fedora-chan lui a dit dans l'église, la blondasse est en train de cueillir les roses. Pourquoi ? J'en ai foutrement aucune idée ! Soudain, l'hystérique arrive avec sa peluche et lui ordonne de le suivre avec les roses cueillies, puis va dans un cimetière avec elle. Il lui dit ensuite que la froideur, l'odeur des tombes et le silence l'excitent sexuellement lui font se sentir bien. Il affirme ensuite que sa mère repose dans la tombe en face de lui... avant de dire qu'il l'a butée. Nikel... Alors, Yui... tu te retrouves avec un nécrophile taré qui adore l'ambiance des cimetières, mais en plus il te sort comme ça qu'il a zigouillé sa maman, donc fais pas chier. Sous les ordres du gamin, elle pose les fleurs sur la tombe avant de lui dire qu'elle s'en va. Ça met l'hystérique en colère qui commence à gueuler en réduisant le bouquet en miettes avant de rabaisser notre petite blonde en lui rappelant encore qu'elle n'est rien qu'une humaine. Apeurée, elle recule et on constate son immense talent à trébucher. Au bord de l'érection Amusé, Kanato rigole et lui ordonne de lui implorer son pardon. Après ses excuses, il se jette sur elle pour la croquer... mais il recule avant de dire que les humaines se mettent en colère si on les embrasse pas avant l'acte. Venant de quelqu'un qui apprécie plus la compagnie des cadavres que celle de sa famille, je suis pas étonnée de sa logique foireuse ! Il lui roule une pelle avant de la mordre. Sous le choc d'un sang aussi sucré, l'hystérique la remord avant de caresser ses cheveux et son épaule en se disant que tout est okay si elle prend du plaisir (ça ne fonctionne pas, coco !). Après Yui retourne au man... attendez ! J'ai l'impression d'avoir vu cette démarche quelque part... ah oui, ça me revient maintenant !
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Le tonton pédophile fait un coucou à Tsundere Simulator et disparaît après avoir parlé de l'Éveil. Car on manquait justement de cliffhanger ! De retour au manoir, Plante Verte entend des... des gémissements ?! En plus, il y a même la musique qui donne une ambiance obscène. Oh et puis, merde ! C'est sans doute Claude Faustus en train de jouir sur une partie d'échec... il aime vraiment les échecs, celui-là. En fait non, c'était un cauchemar et monsieur se réveille après que Yui ait mis une main sur son épaule avant de se faire un thé, de critiquer la fille et quand elle demande si Shuu utilise cette salle, il le prend mal. Il lui prépare donc un thé "spécialement pour elle" avec une bonne dose de GHB (non, je vous rassure ou pas, c'est du poison). En plus, ce con lui en refait avaler de force avant qu'elle ne s'effondre au sol et lui sort que c'est vulgaire de s'étouffer de la sorte. Okay, parce qu'il y a une manière polie et respectable de s'étouffer avec du poison ? Tu m'en diras tant ! Comme elle s'est coupée avec un éclat de la tasse renversée au sol, Reiji prend sa main avant de la lécher et il affirme ne pas avoir de goût pour les choses qui ne sont pas parfaites (eh bah, il ne doit pas souvent se regarder dans le miroir alors 😂) comme la tasse qu'il a sans doute dérobé dans la collection de vaisselle de sa grand-mère. Yui se lève en se chiant presque dessus et deux voies s'offrent à elle: fuir par la porte ou reculer contre la bibliothèque. Comme le talent de faire des choix intelligents manque cruellement dans son code génétique, elle opte pour la bibliothèque. Le Butler la rejoint vite et lui dit que les humains, quand même qu'ils soient que des sacs de sang sans valeur, réclament plus de plaisir que n'importe quel être et pense que lui croquer la nuque va lui faire plaisir. Question de paraître encore plus creepy, Reiji lui dit qu'il va soigner sa plaie, serrer le bandage si fort au point de couper la circulation du sang dans ses doigts afin que ceux-ci pourrissent et tombent. Il s'excite presque devant son visage terrifié et alors qu'elle vient tout juste de perdre connaissance, Monsieur-J'ai-Un-Gros-Balais-Dans-Le-Cul- se remémore la fois où il a fait buter sa daronne et lui pardonne pas d'être morte heureuse. Bon, au moins c'est clair il faut ajouter le mot "matricide" sur la liste des défauts communs des frères...
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ralfa10 · 2 years
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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skinnylove82 · 11 months
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/!!\ TW SUICIDE ET MORT /!!\
Trigger warning : âmes sensibles s'abstenir, sujet de mort, suicide, violences dont conjugales et sur enfants, menaces de viol et de mort, escroquerie, problèmes de famille ...
Il est mort. Ça y est ! La terreur s'arrête enfin! L'oncle qui a fait tant de mal à ma famille, qui a essayé de tuer femme et enfants (et beaux parents) deux fois, menacé de me violer puis de m''égorger ainsi que mon frère et mes parents. Celui qui a gâché mon adolescence, celui qui nous faisait avoir couteaux ou armes diverses toujours à proximité de main, celui qui m'à fait inspecter tous les visages ou véhicules m'approchant depuis mes 13 ans, m'obligeant à avoir des yeux dans le dos craignant de le voir apparaître....celui qui n'a pris que moins d'un an de prison pour tout ça...
Celui qui s'est mis à frapper sa nouvelle femme (elle même prévenue dès le début des atrocités qu'il avait commises sans un remord et jurait qu'à elle ça n'arriverait jamais 🙃) et (oh si bizarre) qui l'a même abandonnée sur le bord de l'autoroute avec leurs gamines de 8 et 6 ans un jour.
Lui qui frappait sa propre mère y a pas si longtemps (qui avoue elle même être terrifiée à l'idée de rester dans une pièce seule avec lui, mais c'était son fils fils chéri si gentil mdr), qui menaçait de kidnapper ses filles et tuer tout le monde à commencer par sa femme (désormais en instance de divorce depuis plusieurs mois, bizarre 🥴) qui a détruit la voiture de son ex femme (depuis + de 15 ans!) comme ça sans raison récemment et menacé encore de tuer un de ses propres fils... (C'est marrant vu le gabarit de son fils maintenant qu'il est adulte et l'attendait de pied ferme, l'envie lui est vite passée, c'était plus facile quand il avait 15 ans et peu musclé hein pauvre tâche ?!)
Et bien Il s'est suicidé vendredi. Il s'est pendu.
Lui qui n'aura refait uniquement que quelques pauvres mois de prison encore récemment pour les nouveaux faits (principalement pour escroquerie sur personne âgée (pas ma grand mère cette fois ) dont impersonification d'un directeur de banque à cette occasion, pas vraiment condamné pour violence conjugale ne rêvons pas 😂) : merci à notre justice de grosse merde d'ailleurs 👏👏
[ Quand impersonnifier un directeur de banque te vaut quasi autant de mois de prison que des tentatives de meurtres répétées, des menaces multiples de viol, de mort ainsi que de la violence conjugale... 👏 ]
Enfin plus de terreur à l'idée que la folie lui reprenne et qu'il nous retrouve (grâce à la gentille maman chérie de mon père qui lui avait donné notre adresse et nos numéros de tel, et ce à deux reprises malgré notre insistance de les garder secrets).
Plus de peur à l'idée qu'il passe au journal télévisé national pour avoir tué sa femme et ses filles (à défaut de pouvoir rapprocher ses 3 garçons désormais adultes et costauds) voire potentiellement ma fameuse grand mere (elle l'aurait pas volé 😶) et d'autres sur le chemin .
Enfin libres! La Terre est libre d'un monstre de moins!
Et le pire c'est que le mec était encore pendu que les dramas quant aux funérailles avaient déjà commencés... 😂
Et là tout le monde le pleure comme si c'était un sain et un fils parfait (qui non seulement à traîné sa mère dans les escaliers par les cheveux et l'a tabassée plusieurs fois mais l'a aussi dépouillée de son argent depuis qu'il est ado, il l'a ré arnaquée récemment d'environ 7 à 15 mille euros avant de crever!!).
C'était un frère, un oncle, un parrain parfait à les entendre. Ben oui, à une de mes tantes il lui a rien fait voyons. Et puis faut apprendre à pardonner hein. Pis ça va il m'a jamais violée je crois, ni égorgée donc de quoi je me plains hein? Si on peut même plus menacer les gens, tenter de les tuer ou encore estorquer des vieilles et être appelé "quelqu'un de bien" c'est abusé quand même... 😂
Il avait encore juste menacé de tuer sa femme actuelle jeudi ... et il est mort vendredi....
eh après tout, elle l'avait peut être cherché, un homme si bon n'aurait jamais fait ça sans être provoqué hein! 😂😂
"Faut pas lui dire qu'il avait menacé de la tuer hein...puis il a quand même laissé vachement de dettes..." et comme elle à l'air de vouloir les payer...ne prenons pas de risque hein?
Cet homme bon a aussi décidé de faire ça alors que ses filles de 8 et 10 ans allaient rentrer de l'école seules quelques heures plus tard et le trouver en ouvrant la porte si personne ne s'était, par chance, inquiété avant !!! Aucune lettre pour rien que leur dire au revoir. Ni à elles, ni ses 3 fils, ni sa mère, ni à personne. Je comprends que tu aies dépassé les limites et que rien ne soit plus très lucide dans une tentative de suicide mais laisser ses filles le trouver... 😒
Au moins c'est fini, plus personne n'aura à souffrir et craindre pour sa vie à cause de lui. Une fois le choc passé, la vie sera plus sereine pour tout le monde.
Famille de dégénérée. J'espère qu'il brûle en enfer 😄😈
/!!\ TW SUICIDE ET MORT /!!\
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bourbon-ontherocks · 2 years
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(Précédemment, dans le Cœur a ses Raisons HPI rewatch...)
Bon alors, pour pleins de raisons cet épisode est l’un de mes préférés de la saison 1, c’est parti ?
“Allergique aux fouines, aux furets, aux belettes... Aux cochons d’inde. Et aux hamsters aussi.” Outre le fait que cette réplique est magique, c’est moi ou Gilles en sait beaucoup trop sur le dossier médical de Karadec ?
Déjà Morgane qui commence par sauver la vie de Karadec dès les cinq premières minutes, I -- I need to lie down 😱
Bigre, Morgane s’y connaît bien en grenouilles dites-moi, bon, elle on sait pourquoi, mais quelqu’un peut m’expliquer pourquoi Bonnemain reconnaît une phyllobates terribilis comme ça, à l’oeil nu ? Ils ont ça dans la formation de médecine légale ?
La tension sexuelle entre Morgane et Bonnemain quand il lui décrit les effets du poison, mais je meurs 😅
Fondamentalement, la raison pour laquelle j’adore cet épisode, c’est parce que chaque seconde de coltar!Karadec est un pur délice. 🤩
Comment Gillles est dix fois plus inquiet que Morgane au sujet de l’état de Karadec... Il a un méga crush sur lui, en fait, c’est pas possible....
Ah. Le fameux trope de la Copine du Yoga™. Serait-ce donc une référence à Friends ? 🤔
“Un monsieur qui s’est fort disputé avec elle”, mais quel enfant de douze ans parle comme ça, sérieusement ? Qui a écrit ces dialogues ?
“Ça va ta fesse ? Je peux voir ?” *lui refait son noeud de cravate même pas deux minutes plus tard* heu, Céline, tu veux qu’on en parle de cette tension monstre entre Adam et toi ou ça va aller ? #Hadam
Putain je viens de réaliser que c’est les parents de la victime en mode “notre fille a renoué avec son mec de jeunesse” qui trigger le fait que Morgane aille “en urgence” parler de Romain à sa mère, je -- 😭😭 
En parlant d’Agnès, justement, revoir cette scène en sachant qu’elle sait c’est un coup de poignard. Et finalement son “Romain t’a quittée”, elle essayait de lui dire la vérité en fait.... 😩
J’adore comment à chaque fois que Karadec fait une remarque du style “vous avez remarqué ? C’est calme aujourd’hui”/”ça me fait du bien de bosser tranquille”/etc, ça conjure Morgane et elle apparaît ? 👻
“Vous voulez qu’on planque ensemble ?” asjksjkaksjajks 😂
Franchement la scène complètement chaotique du coup de fil avec les aller-retours sur le haut parleur et Morgane qui déballe son repas de la façon la plus messy possible, c’est du peak comedy
C’est quand même fucked up de se taper la mère adoptive de son enfant biologique, non ? (sauf si la partie adoption intervient après la partie tapage, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit lol)
“Elle ne l’aurait pas fait.” “Boh, y’avait des chances quand même” 😆 😆
Cette juxtaposition de Gilles et Daphné qui du coup se retrouvent à prendre un verre en tête-à-tête pendant que Morgane et Adam restent tout seuls au bureau à la nuit tombée, comment ça sent le multi-shipping à plein nez... 🔥
D’ailleurs. La. Déception. De. Karadec. Quand Morgane rentre chez elle. He’s pining already, c’est fou ! 🥵
Morgane qui s’incruste dans ce que je suis obligée d’appeler le Karadate ! Le fake dating ! La facial journey d’Adam !! Morgane, my love, read the room ! 😅
Quand on y réfléchit, c’est quand même une des affaires les plus tristes de la série, ce pauvre gamin avait deux mamans, bah maintenant il en a zéro, et puis la scène où l’ex-taulard rencontre son fils pour la première fois, mais c’est tellement triiiiiste bordel 😰
Ok. Bon. Compte-tenu de ce qu’on apprend en saison 2, on est d’accord que Céline a un dossier pipeauté entre les mains. Du coup, pourquoi il y a les photos du repêchage d’un corps ? Romain a fait un petit shooting en bord de Deûle avec le vil Facchin ?📷  Quelqu’un dans le gang des Branquignols s’y connaît en Photoshop ? Ou alors ils ont pris la photo d’un autre corps, mais qui, et sachant qu’il fallait qu’il ressemble un minimum à la description, ça paraît galère non ?
Oui, je sais, je sais, je réfléchis trop, mais c’est surtout pour me concentrer sur des faits et ne pas penser AU JEU D’AUDREY QUAND CÉLINE LUI ANNONCE QU’ILS PENSENT QUE C’EST ROMAIN ET QU’IL EST MORT NI AU REGARD INQUIET DE KARADEC QUI CONCLUT L’ÉPISODE  💔 😭 😱
Bonus : Je veux ce T-shirt chat 😻
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swedesinstockholm · 6 months
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25 septembre
ce matin je me suis réveillée à l'aube, je suis allée acheter du pain à la boulangerie dans ma chemise de nuit ancestrale et j'ai mangé mon croissant assise dans les dunes en regardant la mer, on voyait bien les pyrénées. puis je suis rentrée mettre mon maillot et je suis repartie à la plage, y avait personne, puis seul au monde m'a rejoint et on est restés assis sur nos serviettes en silence, séparés mais ensemble. quand c. est arrivée il sortait de l'eau et ils ont brièvement discuté, ce qui m'a permis de le voir de près de nouveau. il est très maigre mais musclé, il a l'air vieux, et il a l'accent. je suis retournée à la bouée couvée par son regard et celui de marie, probablement en train de délibérer si j'avais les aptitudes nécessaires pour intégrer leur club des amants de la mer. ça m'a donné du courage, j'avançais comme une fusée. elle nage le crawl elle aussi avec son double bonnet, son masque et son tuba. quand elle sort de l'eau elle le porte sur l'épaule comme un sac à main. quand je suis arrivée à la bouée y avait une mouette perchée dessus, je lui ai dit coucou et je suis repartie aussi sec, j'aime pas trop traîner autour, j'ai peur de la chaîne qui descend dans les profondeurs. en revenant je me suis laissée flotter en chantonnant ma chanson de saturne en pensant à r. qui m'a dit qu'il voulait essayer une instru dessus et je souriais toute seule face à l'horizon pailleté.
hier on a de nouveau eu un de nos échanges où on part d'une image et chacun renchérit dessus avec des mots très imagés très vite et ça pourrait déjà être une performance en soi. ça part toujours tout seul et c'est toujours très drôle. je lui ai parlé de ma passion pour le palais de justice à bruxelles et il m'a demandé si j'y étais déjà rentrée et maintenant j'ai un nouveau fantasme: m'introduire dans le palais de justice avec r. la nuit et explorer tous les étages à la lampe torche du téléphone comme dans une comédie romantiques pour adolescents.
27 septembre
j'ai rêvé de seul au monde, c'était un peu bof, je nageais dans la mer sans regarder où j'allais et je lui suis rentrée dedans, c'était confus et agité et je me suis pas excusée parce que j'y voyais rien, et puis j'étais sur la plage bondée comme jamais et sa serviette était collée à la mienne derrière moi et je me suis retournée pour lui dire je suis désolée de vous être rentrée dedans dans la mer. hier j'ai dit à marie qu'elle avait un très joli chapeau et elle a commencé à me parler de son chapeau mexicain mais j'étais trop occupée à contempler le fait que j'étais en train de lui parler pour écouter ce qu'elle me disait. j'ai appris qu'elle avait 70 ans et que c'est elle qui avait entrainé seul au monde à aller se baigner toute l'année, même en plein hiver. seul au monde a la soixantaine et aux dernières nouvelles il sort toujours avec sophie, mais d'après c. ça va pas durer parce qu'elle a dit qu'elle le trouvait pas très drôle. dans le sens: il a de la place pour qu'une seule passion dans sa vie et c'est la mer, voilà mon avis, mais je sais pas si c'est ce qu'elle a voulu dire.
toujours à narbonne, la vie y est douce. ce matin j'ai fait un sondage sur instagram pour demander aux gens où je devrais déménager et de suite la fille qui était venue me parler à l'entracte de la soirée à la bellone m'a dit de venir à bruxelles avec un coeur et la vie avec instagram c'est bien aussi quand même. bruxelles est en tête mais c'est serré avec sète, suivi de marseille, puis berlin. je sais pas si cette histoire va m'aider à enfin sauter le pas. hier maman m'a appelée pour me dire qu'elle avait regardé les offres d'emploi à sète pour moi. j'ai enfin écrit à c. t. la dramaturge aussi, elle avait bien pensé à moi pour un projet mais depuis il est tombé à l'eau mais elle était trop occupée pour me prévenir. bon, au moins elle a pensé à moi.
28 septembre
de retour sur la plage, je viens de faire coucou à seul au monde en murmurant un petit au revoir imprégné de révérence comme si je m'adressais au grand maître de la mer. en attendant le bus à la gare d'agde une fille avec un sac à dos m'a demandé si le bus pour l'aéroport partait bien à 15h40, elle allait à edimbourg et elle ressemblait un peu à roberta colindrez. j'ai dit j'espère pour vous qu'il aura pas trop de retard et elle a dit oh c'est pas très grave si je rate mon vol, la vie est beaucoup plus belle ici qu'à edimbourg! et je me demande où elle était ces quatre dernières semaines. pourquoi elle était pas sur la plage avec moi? pourquoi y a que des retraités ++ sur la plage quand moi j'y suis? dans le bus tout le monde disait bonjour et au revoir et merci au chauffeur en rentrant et en sortant et il répondait avec plaisir quand on lui disait merci. j'étais toute contente de rentrer chez moi, chez moi à la mer, en sortant du bus. j'ai croisé l'homme hirsute qui habite dans la maison bric à brac avec le vieux bateau dans le jardin et il m'a fait un signe de tête discret et je lui ai fait un sourire discret et puis j'ai levé les bras en l'air de joie, je sais pas trop pourquoi.
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Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée 
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix  
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer 
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita 
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire 
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence 
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop 
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes 
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy 
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte ! 
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été 
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa 
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu’à maintenant 
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler 
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents 
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage 
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture 
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail 
Attendre avec impatience les vacances d’été 
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septperceptions · 2 years
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Lettre à ma future fille, (1/2)
J'avais besoin de me confier à quelqu'un qui m'était encore totalement inconnu, peut-être arriveras-tu un jour, ou peut-être qu'au contraire tu ne verras jamais le jour. Il y a une part de moi qui espère un jour pouvoir te caresser les cheveux et te dire que toi aussi tu auras droit au grand amour. Mais d'abord laisse moi te parler de ce que je connais de la vie, avant de t’offrir la tienne. Je t'écris âgée de vingt-deux ans, un pot de glace à la main et l'orage à travers la fenêtre. Je suis sûre à cent pour cent que tu n'arriveras pas demain, en revanche, je ne suis pas totalement sûre de pouvoir soigner la peine que tu auras en temps qu'adolescente, et je ne suis pas sûre que je serais la meilleure des mamans, pardonne moi d'avance. Je ne veux pas te promettre la lune, je ferais des erreurs j'en suis persuadé, mais ma plus grande victoire restera toujours ton sourire. Je voulais te parler de la vie, parce qu'elle est aussi changeante que dansante. J'espère être là pour soigner chacun de tes sanglots et je prie pour qu'en moi tu trouves ton repos. Il y aura des jours sombres où l'orage grondera à l'intérieur de toi, tu auras des jours d'asphyxie où ton cœur ne sera pas épargné par cette vie, mais j'espère au fond de mon cœur que mes bras seront toujours un recueil pour toi. A l'intérieur de moi, j'aurais envie de t'épargner toute sorte de peine, de colère, mais crois-moi ce n'est pas en fuyant ces moments là que ta vie ne sera faite que de joie. Crois-moi, s’il n’y avait de mauvais moment dans la vie tu n’apprécierais pas autant les bons. Tu seras faite de mon sang, de ma chair et j'espère avoir la prétention de dire que tu seras le plus beau cadeau de ma vie. Si tu lis cette lettre c'est que tu es en âge de la comprendre. Tu seras j'imagine adolescente avec des envies de voyager, de vivre intensément et de sourire tout le temps. Tu seras faite d'une partie de moi, alors il me faut un peu de temps pour t'expliquer qui je suis. J'ai deux personnalités très distinctes que tu auras je pense discerner avec le temps (du moins elles sont présentes en ce moment). Actuellement, j’ai appris que ces deux personnalités n’allaient pas l’une sans l’autre, que la première servait à tempérer la deuxième et vice-versa. Il y a une partie de moi que je préfère, je suis un rayon de soleil, un arc-en-ciel après la pluie. J'essaie de voir le positif, l'envie de vivre intensément me ronge les doigts en permanence, je crois au grand amour et je viens d'emménager chez moi. Je pense que tu ne connaîtras jamais cet appartement, puisque cette partie de moi est vagabonde. J'ai souvent cherché à trouver ma place dans ce monde et à essayer de me décrypter. J'ai quitté tes grands-parents il y a maintenant quarante neuf jours, et j'ai encore du mal à me sentir chez moi, mais j’apprends à le faire petit à petit. Pour tout t'avouer, j'ai toujours cherché d'autres bras pour devenir mon foyer. Ce que je ne savais pas à ton âge c'est qu'il n'y a que les miens pour me donner cette sensation. Il y a quelque temps, j'ai quitté les bras d'un homme, ces mains n'ont jamais voulu entourer mon corps pour m'apaiser. J'ai cru le contraire jusqu'à ce que ces mots résonnent dans mes oreilles, je n’ai pas su me protéger des semblants d’amours, j’espère que tu seras plus forte que moi pour décrypter tout ça. Il a créé en moi un cœur de pierre et à révéler ma deuxième personnalité. Le cœur noir du tournesol, il m'a fait découvrir ou revoir la haine, le néant, les pleurs, les insomnies, et l'angoisse. Il m'a traité d'incapable, mais c'était sans compter sur ma rage de vivre et surtout de vaincre. La vie est un cycle perpétuel, tu auras l’impression de vivre des scènes cent fois avec des personnages différents pour chaque séquence, et je ne saurais pas te dire s’il y a un message derrière tout ça. Si tu me ressembles alors tu auras très certainement, une sensibilité plus haute que la moyenne, c’est héréditaire chez nous. Je sais que tu trouveras parfois cette sensibilité infâme surtout quand dans ton esprit logera cinquante questions à la seconde, mais crois-moi c’est
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sofya-fanfics · 2 years
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Notre famille
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Je me suis inspirée d’un prompt de deity-prompts : ‘des mugs peints à la main’. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Chichi, Haha, joyeux anniversaire ! S’exclama joyeusement Anya. Aujourd’hui, ça fait un an qu’on est une famille. »
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Anya posa le pinceau sur son bureau et contempla son travail. C’était la première fois qu’elle s’appliquait autant et elle était fière de ce qu’elle avait réalisé. Elle laissa la peinture sécher et regarda l’heure. Le nouvel épisode de Spy Wars allait commencer. Elle sortit de sa chambre et courut jusqu’au salon. Yor n’était pas encore rentré du travail et Loid était entrain de préparer le dîner. Elle alluma la télévision et fredonna le générique.
« Anya, est-ce que tu as fini tes devoirs ? Demanda Loid. »
Anya sursauta et commença à transpirer à grosses gouttes. Elle n’avait pas encore fini ses devoirs, elle avait été bien trop occupée. Elle savait qu’elle devait avoir de bonnes notes pour le bien de la mission. Mais pour cette fois, Loid lui pardonnerait.
« Ou… Oui, balbutia-t-elle. J’ai tout fini. »
Loid fronça les sourcils et Anya avait lu dans ses pensées qu’il ne la croyait pas.
« Après dîner, je viendrai t’aider à les faire. »
Anya acquiesça et regarda à nouveau la télévision. Il ne faudra pas qu’elle oublie de cacher ce qu’il y avait dans sa chambre. Loid ne devait rien voir avant demain. C’était une journée spéciale.
Cela faisait un an que les Forger étaient devenus une famille. Avant que Loid ne pousse la porte de l’orphelinat dans lequel elle se trouvait, elle était la petite fille que personne ne voulait adopter. Il l’avait sorti de l’orphelinat et maintenant, elle avait un papa. Peu de temps après, Yor était entrée dans leur vie et elle avait désormais une maman. Ils n’étaient pas une famille ordinaire avec un père espion, une mère assassin et une petite fille télépathe. Leur famille avait était créée pour la mission de Loid, mais pour Anya, Loid et Yor étaient ses véritables parents et elle ne les échangerait pour rien au monde.
Elle voulait faire quelque chose de spécial pour cette journée. Elle avait demandé conseil à Becky qui lui avait parlé des cadeaux extraordinaires et hors de prix qu’elle avait fait à ses parents. Mais les conseils de Becky ne l’avait pas aidé, Anya n’avait pas assez d’argent pour acheter ce genre de cadeau à ses parents.
C’est en regardant un épisode de Spy Wars qu’elle avait eu une idée. Pendant les publicités, il y en avait une qui montrait des mugs de collection peints à la main à l’effigie des personnages de la série. Le lendemain, elle avait acheté trois mugs blancs qu’elle avait peint elle même. Il y avait un mug où elle avait écrit ‘Chichi’ entouré d’étoiles, un autre où elle avait écrit ‘Haha’ et elle avait peint des fleurs et sur le dernier, elle avait écrit ‘Anya’ et avait peint des papillons. Son écriture et ses dessins étaient maladroits, mais elle était contente du résultat. Elle était impatiente d’être à demain.
Yor rentra à la fin de l’épisode et Anya entendit ses pensées. Elle se demandait si elle avait bien enlevé toutes les tâches de sang sur ses vêtements. Anya la regarda, essayant de savoir quelle avait été cette nouvelle mission qu’elle avait exécuté. Mais elle n’arriva pas à en savoir plus car Yor avait été distraite par ce que cuisinait Loid.
Ils dînèrent et comme il lui avait dit, Loid aida Anya à faire ses devoirs. Ensuite, elle emballa les mugs de ses parents dans du paquet cadeau bleu et alla se coucher.
******
Le lendemain matin, Anya se leva de bonne heure. Elle n’avait pas école, mais elle était tellement impatiente qu’elle ne pouvait plus dormir. Elle prit les cadeaux, ouvrit la porte de sa chambre et se dirigea vers la cuisine. Elle vit Loid préparer le petit déjeuner et Yor qui arrivait de sa chambre et baillait à s’en décrocher la mâchoire.
« Chichi, Haha, joyeux anniversaire ! S’exclama joyeusement Anya. »
Loid et Yor écarquillèrent les yeux.
« Aujourd’hui, ça fait un an qu’on est une famille, dit Anya. »
Elle tendit les cadeaux à ses parents, qui les acceptèrent. Ils déballèrent les paquets et eurent un sourire tendre en découvrant les mugs. Anya vu dans leurs pensées les bons moments qu’ils avaient vécu ensemble et aussi à quel point ces cadeaux les touchèrent. Yor la serra dans ses bras, les larmes aux yeux.
« Merci Anya. »
Loid s’approcha d’elle et lui caressa tendrement les cheveux.
« Et si on les utilisait pour le petit déjeuner. »
Anya et Yor acquiescèrent tous les trois fêtèrent cette journée spéciale. Même si au départ les Forger était une famille créée de toutes pièces, au fil du temps, ils étaient devenus une véritable famille et Anya était la plus heureuse des petites filles.
Fin
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