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#fondre des cuisses
lestroiscorbeaux · 1 year
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Une note parmis d'autres.
« Leur relation était mieux qu'à ses débuts. (id Une amitié) [...] Pourtant, il devait contenir la sensation irrépressible qui fluctuait dans ses entrailles (rien qu') à la vue de Celebrimbor. Il savait bien sûr quel mal l'affligeait : la concupiscence. Était-ce vraiment mal ? Pour une créature telle que lui cela était parfaitement nouveau. Cette faim qui lui faisait désirer des choses absurdes pour sa race, cette avidité de la chair. [...] Il imaginait parsemer le corps de Celebrimbor de baisers brûlants. De soulever ses robes et se fondre complètement à l'intérieur de ses cuisses. Le convoiter. L'aimer. Il s'abaisserait au péché de la chair si c'était pour l'idolâtrer et montrer son amour. Il serait le serviteur du Plus-Aimé. »
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langblr reactivation challenge week 3
Day 4: Find a recipe written in your target language and translate it into your native language (or another language of your choice) or find a recipe in your native language and translate it into your target language. Bonus points if you actually make it (share pictures if you do)!
recette algérienne pour poulet olives et citrine
Ingrédients : (pour 4 personnes)
4 cuisses de poulet
1 oignon
3 gousses d’ail
1 c à c de sel
1 c à c de poivre
30 g de beurre
2 c à s d’huile d’olive
1 c à c de gingembre moulu
1 c à c de raz-el-hanout
500 ml de bouillon de volaille
10 g de coriandre
20 g de persil
110 g d’olives vertes dénoyautées
1,5 citron confit
Préparation
Mélanger la moitié du sel et du poivre et en saupoudrer les cuisses de poulet, dessus et dessous.
Dans une cocotte, faire fondre le beurre et l’huile d’olive, faire dorer le poulet, côté peau en premier, le retirer et baisser le feu.
A la place du poulet mettre l’oignon épluché et ciselé et le faire revenir, ajouter l’ail haché, puis ajouter les épices ( gingembre et raz-el-hanout), le poivre et le sel restant.
Verser le bouillon, remettre les cuisses de poulet et porter à ébullition. Couvrir et laisser frémir 1 heure à feu moyen.
Laver, sécher et effeuiller la coriandre et le persil. Rassembler les feuilles, les rouler serrées et les couper finement. Rincer les olives et les égoutter.
Couper les citrons confits en 4, retirer la chair et rincer la peau, la sécher puis la couper en petits bouts.
Ajouter dans la cocotte, les citrons confits, les olives et les herbes, laisser cuire 15 minutes à couvert.
Retirer le poulet le disposer dans un plat de service. Puis monter le feu à vif et laisser la sauce réduire pendant 5 à 7 minutes.
Arroser le poulet de sauce et servir.
Recipe for chicken with olive and lemon
Ingredients (for four people)
4 chicken thighs 1 onion 3 cloves of garlic 1 tsp of salt 1 tsp of pepper 30 g of butter (about 2.125 tbsp of butter) 2 tbsp of olive oil 1 tsp of ground ginger 1 tsp of raz-el-hanout* 500 ml of chicken bouillon broth 10 g of coriander (cilantro - plant, not seeds) 20 g of parsley 110 g of pitted green olives 1.5 candied / preserved lemons**
Directions:
Mix half the salt and half the pepper, and sprinkle it over the chicken legs, both on the top and underside.
In a casserole pan (double-handled, deep pot), melt the butter and the olive oil, brown the chicken starting from the skin side, remove the chicken and then lower the heat.
Replace the chicken in the pan with the peeled and chopped onion and brown it, add minced garlic, then add the spices (ground ginger and raz-el-hanout), as well as the rest of the salt and pepper.
Pour in the broth, add back in the chicken thighs and bring to a boil. Cover and let simmer for 1 hour on medium heat.
Wash, dry and chop the cilantro and parsley. Gather the leaves, roll them tightly and cut them thinly. Rinse the olives and drain them.
Cut the candied lemons into four pieces, remove the flesh and rinse the skin, dry it then cut it into small pieces.
Add the preserved lemons, the olives and the herbs to the casserole pan and let it cook covered for 15 minutes.
Remove the chicken and place it on a serving platter. Then turn up the heat to high and let the sauce reduce for 5 to 7 minutes
Drizzle the chicken with sauce and serve.
*raz-el-hanout : a spice mix that is found in varying forms throughout Northern Africa ; the one below is a version that purports to be Algerian!
1 teaspoon ground cumin
1 teaspoon ground ginger
1 teaspoon ground turmeric
1 teaspoon ground paprika
1 teaspoon salt
¾ teaspoon ground black pepper
½ teaspoon ground cinnamon
½ teaspoon ground coriander seeds
½ teaspoon ground cayenne
½ teaspoon ground allspice
¼ teaspoon ground cloves
versus Moroccan version of the same spice mix, that calls for roasting the spices first:
1 teaspoon coriander seeds
1 teaspoon cumin seeds
1 teaspoon black peppercorns
1 teaspoon white peppercorns
1 teaspoon whole cloves
1 teaspoon turmeric
1 teaspoon caraway seeds
1 teaspoon anise seeds
1 teaspoon fennel seeds
10 gr star anise
10 gr cardamom pods
1 cinnamon stick
1 whole nutmeg
1 teaspoon All spice
1 teaspoon cayenne or chilli powder
1 teaspoon dried rose petals
** candied / preserved lemon: citron confit
literally, it seems to mean candied lemon, but after looking into it, the lemon is preserved not with sugar but with salt!
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oldteen · 5 months
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Bataille
Claqué et fourbus, je te lance « Écoute cocotte, je suis mort, go salle de bain et dodo pour moi ». Toi, cousant ta dernière poupée vaudou, tu me regardes, me souri et m’envoies un baiser du bout des doigts.
Je sais que je ne vais pas pouvoir me reposer si facilement
Je sais qu’avant d’avoir fini mes ablutions du soir, tu seras là
Je sais que tes yeux transpirent l’envie
Je sais que tu sais que je sais
Je sais
Appréciant mon haleine rafraîchie, je sors nu de la salle de bain, m’étire comme un félin en fin de vie et pose mon fessier sur le lit. Tu es là. Sourire endiablé. Je sais.
Cette fois-ci hors de question de me laisser faire, je vais prendre l’initiative. Quitte à mourir, mourrons. « Viens par-là vilaine » Tu t’approches. Je me redresse, t’embrasse du bout des lèvres. Mes mains se calent derrière ta nuque, les bisous adolescents transmutent en profond baiser. Nos langues se toisent, s’accrochent, se défient, se combattent. Je susurre ton si bel appendice, « hmm » tu n’aimes pas ça, j’adore.
Mes mains se baladent sur ta peau, explorent ce terrain si souvent conquis. Il n’y a pas d’hésitation. Elles connaissent le mécanisme et s’emploient à ouvrir la serrure de ton plaisir. Elles agrippent ta chair. Omoplates, cuisses, mollets, pieds, hanches, seins, dos, pubis, chaque loquet se déverrouille et libère la bête féroce tendrement voilée par ton innocente douceur.
Tu te défends, ne compte pas rester soumise à mes injonctions tactiles. Tu compenses la fragilité de ton corps par une étonnante brutalité amoureuse. Tu sais. Tu sais ce que tu veux. Ma jouissance est ton objectif militaire. Je ne me laisserais pas anéantir si facilement ! Quoique. A mon oreille tu me souffles « Tu perds ton temps, je me donne 5 minutes avant de faire couler ta semence ». Ces mots réveillent en moi le souvenir de toutes mes défaites. Je me bats pour l’honneur, plus pour gagner.
Tu agrippes ma queue gonflée et sans autres préliminaires la fait disparaître dans ton bas-ventre. Ton bassin se balance, ton corps se remue. Hors de question que tu jouisses, tu veux me faire mordre la poussière.
Par fierté, le vieux mâle que je suis se rebelle. Je vais moi aussi combattre. Je prends le dessus. Cette fois-ci c’est moi qui travaille et attaque ton plaisir. Tes jambes posées contre mon ventre, je te mordille les petons et t’impose deux doigts dans la bouche. Si tu gagnes, tu n’en sortiras pas indemne. J’accompagne mon va et vient par des caresses sur le haut de ta vulve, ta tête chavire.
Je m’arrête. Transpirant, haletant. Je t’ordonne de ne pas bouger, tu acquiesces d’un dérangeant « oui papa ». Du bout des doigts, j’applique un peu de lubrifiant sur ta jolie rondelle et commence à presser ton corps du bout de ton plug en verre. Ton cul l’avale et tu râle « tricheur ». Je pose tes jambes sur le plat du lit et continue la recherche de ton plaisir.
Tu es au abois. Animal acculé tu va tenter ton dernier atout. Tu te libère de mon emprise, me couche, me chevauche. Sans hésiter tu gobes le phallus de ma défaite. Ta chatte sous le nez, j’ai beau essayer de m’y concentrer, je ne peux pas, je n’en peux plus. Je suis perdu. Glorieuse, tu récoltes le nectar, fière tu me lances « tu as perdu » avec la voix et les yeux d’une gamine.
Je suis mort, lessivé, déjà crevé avant de commencer. Mais cocotte, hors de question d’être le seul perdant. Je te rattrape et vais me perdre entre tes cuisses. Ma langue n’a pas travaillé, elle est en forme et sais, elle aussi, te faire fondre. Bonne joueuse, tu te laisses faire. Tes doigts maltraitent ma tignace, griffent mon cuir chevelu. Peu importe, cette fois-ci c’est à toi de lâcher prise. Il n’a pas fallu longtemps pour que ton corps tressaille. Je quitte ton entrejambe et vient t’embrasser. Nous nous serrons fort. A jamais !
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omagazineparis · 1 year
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Minceur : 5 raisons d'adopter un fat burner naturel
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Les fat burner ou brûleurs de graisse sont très plébiscit��s dans le monde de la nutrition sportive. Il ne s'agit pas de produits ou aliments miracles qui font perdre une dizaine de kilos du jour au lendemain. Les fat burner naturels possèdent plutôt un champ suffisamment conséquent pour favoriser la perte de poids ou la définition musculaire. Ils doivent être combinés à une alimentation saine ainsi qu'à de l'exercice pour de meilleurs résultats. Si vous souhaitez affiner votre silhouette, mais hésitez encore à adopter un fat burner naturel, découvrez ici 5 raisons de vous décider. Les produits brûleurs de graisse ou fat burner sont de véritables alliés minceur Le terme fat burner s'emploie généralement pour désigner tous les produits destinés à brûler la graisse corporelle. Ils sont très préconisés lorsqu'il s'agit de faire face à une situation de graisse excessive. Il existe une grande variété de fat burner, mais tous ne fonctionnent pas de la même façon. Généralement, il s'agit d'un condensé de substances actives dont les effets sont variés. On peut les regrouper en plusieurs catégories : les thermogéniques, les lipotropes et les produits voisins tels que les coupe-faim, les diurétiques (permettent de remédier à la rétention d'eau), etc. Cette diversité d'actions des produits brûleur de graisse offre un nombre considérable d'avantages. Voici un brûleur de graisses 100% naturel et fabriqué en France qui pourrait certainement vous intéresser. Les bienfaits des produits fat burner Très diversifiée, la grande famille des brûleurs de graisse permet de répondre à des besoins spécifiques en ce qui concerne la perte de poids, ce qui fait que les produits ont des effets bénéfiques différents en fonction de leurs capacités. En effet, les fat burner sont propices à l'étape de séchage qui précède un processus de musculation ou de perte de poids. Les fat burner lipotropes ciblent certaines parties du corps telles que le ventre, les hanches ou les cuisses et parviennent à fondre toutes les graisses superflues pour ensuite les rediriger vers d'autres cellules. Ces dernières s'en serviront comme énergie au cours des exercices physiques. Cela est dû à la composition en substances (la L-carnitine tartrate, les fibres, le chrome) de ces produits brûleurs de graisse que vous trouverez par exemple sur un site d'affiliation de produits pour maigrir. L'iode présente en très faible quantité assure une meilleure régulation du métabolisme de base. De même, les brûleurs de graisse thermogéniques permettent d'empêcher le surplus de graisse grâce à l'acide chlorogénique qui se trouve dans un fat burner. Ces produits contiennent généralement des stimulants comme la caféine ou le thé vert. Certains brûleurs de graisse vous donnent également un effet de satiété et permettent ainsi de réguler la faim. Ce type de fat burner vous aide à manger moins et éviter les petits écarts en cours de journée. Comment utiliser efficacement un brûleur de graisse ? L'utilisation d'un produit fat burner doit être limitée et bien encadrée. Vous devez respecter scrupuleusement la posologie du brûleur de graisse que l'on trouve souvent sous forme de gélules ou en capsules. N'en prenez jamais le soir. Les moments de la journée idéaux sont le matin au réveil et l'après-midi. Ils ne sont efficaces qu'avec de bonnes habitudes alimentaires et d'autres activités de perte de poids. Le citron est un brûleur de graisse naturel économique Incontournable allié minceur, le citron est un véritable brûleur de graisse offert par la nature. Sa forte teneur en vitamine C permet d'apaiser la sensation de faim en limitant ainsi les apports caloriques. Le citron purifie et nettoie en profondeur votre foie tout en facilitant l'élimination de la graisse. Afin de drainer votre organisme, vous pouvez presser un peu de jus de citron dans un verre d'eau tiède à consommer idéalement le matin à jeun. Notez qu'il peut être corrosif pour votre émail à cause de son acidité. Vous pouvez vous servir d'une paille pour boire votre eau citronnée afin de préserver la santé de vos dents. Le piment rouge est un fat burner naturel facile à adopter Le piment rouge est moins connu dans l'univers de la perte de poids. Et pourtant, cet ingrédient est idéal dans le cadre d'un régime minceur. S'il est réputé pour sa saveur piquante qui permet d'épicer les plats, le piment rouge s'avère très efficace pour faire fondre les graisses. En effet il contient de la capsaïcine qui agit comme un brûle-graisse et réduit les calories. Ainsi, le piment rouge permet de contrôler le poids et de déstocker particulièrement les graisses du ventre. En revanche, si vous êtes enceinte ou souffrez d'ulcères ou de gastrites, vous devez éviter la consommation du piment rouge même s'il représente une aide considérable pour éliminer les calories et faciliter la perte de poids. La manière la plus simple de l'utiliser est de l'incorporer dans vos préparations. En dehors du piment rouge frais, le piment rouge se présente aussi sous forme de poudre. Si vous n'appréciez pas la cuisine épicée, il est toujours possible d'opter pour des compléments alimentaires. Le konjac est un coupe-faim naturel qui vous aide à vite maigrir Si vous souhaitez maigrir naturellement, notez que le konjac est l'un de vos meilleurs alliés minceur. Grâce à sa teneur très élevée en fibres et en vitamine B6, cette plante naturelle possède de nombreuses vertus santé et minceur. Le konjac procure un effet de satiété puissant et rapide. Il est de ce fait un coupe-faim qui vous permet de limiter vos calories et de favoriser votre amaigrissement. Vous pouvez le consommer sous forme d'aliments comme les vermicelles et tagliatelles ou sous forme de capsules. Il est conseillé de boire au moins 1,5 litre d'eau par jour, car c'est en présence d'eau que le konjac gonfle et révèle la majorité de ses atouts minceur. A lire aussi : Recette de Bruschetta à l’aubergine et aux olives Le café vert, le fat burner naturel qui favorise une perte de poids saine À l'instar du thé vert qu'on retrouve dans certains produits brûleurs de graisse, le café vert intervient également dans le processus de minceur. En effet, les graines de café vert extraites des fruits de caféier constituent une solution optimale pour perdre sainement du poids. Avec ses deux principes actifs que sont les acides chlorogéniques et la caféine, cette plante aide à limiter l'absorption de la graisse et du sucre par votre organisme. Le café vert favorise la fonte de la graisse et la digestion rapide. Il assure aussi l'élimination de toxines et possède un effet tonifiant et dynamisant. Read the full article
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painisaliar · 1 year
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Ce matin l’automne est arrivé. C’est drôle ce pays. Tu crèves de chaud pendant 4 mois au point de rester à suer dans ton lit des jours entiers, tout ça pour te réveiller un beau matin, frigorifié sous ton petit drap fin, le mistral chantant à la fenêtre et les piétons pressés enroulés dans leurs pulls. J’ai pensé à toi, comme à chaque réveil. Aux saisons qu’on ne verrait pas ensemble. J’ai pensé à mon premier printemps dans la ville phocéenne, à ta compagnie douce et électrique à la fois. Les images sont là, il me suffit de quelques secondes pour te rejoindre à nouveau.
 Je suis allongé, tête sur ton ventre, glissé entre tes cuisses. Je me rappelle de l’odeur de ta peau ce jour là, c’est étrange je sais. Ton ventre se soulève et s’abaisse dans un rythme lent, sous mon oreille. Je suis au plus proche de ton centre de gravité, quelque part entre ton utérus et ton estomac. Derrière nous s’élève un chant coranique, c’est le printemps, il fait encore froid mais pas dans ton appartement. J’ai les yeux fermés, je veux absorber chaque nanoseconde de ce moment. Ta voix, légèrement enrouée sur la fin de ton souffle, me lit des extraits du Talmud. Je te serre encore un peu plus contre moi, comme un enfant qui s’endort. Ma main vient s’égarer sur ta hanche, remonte, glisse sous ton t-shirt et va caresser ton dos, je ne peux pas m’arrêter de te toucher, de vouloir fondre en toi. Je n’ai pas envie de toi, pas encore, mais attends qu’on arrive à  l’histoire de Caïn et Abel. Le petit matelas où nous sommes installés peine à contenir nos corps pourtant encore immobiles. Enivré, j’alterne entre la somnolence et le désir, je te mordille, je t’embrasse, je ferme à nouveau les yeux, pose ma tête comme pour reprendre mon souffle, recommence. Imperturbable, tu n’arrêtes de lire qu’au moment où mon envie a contaminé la tienne.
Est-ce que c’est moi Caïn ? Mordu, coupable, je provoque Dieu et je lui hurle au visage. 
Dieu ne répond pas. 
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maiaetoile · 1 year
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Comment réaliser une blanquette de veau parfaite à la maison
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La blanquette de veau est un plat traditionnel français qui est apprécié pour sa saveur délicieuse et sa texture crémeuse. Il s'agit d'une recette de veau braisé dans une sauce à base de champignons et d'oignons.
Dans cet article, nous allons vous montrer comment préparer une version facile de la blanquette de veau, avec des ingrédients simples et des étapes de préparation détaillées. Nous répondrons également à des questions fréquentes sur la préparation de la blanquette de veau, telles que la tendresse de la viande, l'importance de blanchir la viande, le choix de la viande et les accompagnements appropriés.
Alors, si vous avez envie de goûter à un plat traditionnel français, suivez notre recette de blanquette de veau facile et réalisez un plat délicieux pour toute la famille.
Ingrédients Pour préparer notre recette de blanquette de veau facile, voici les ingrédients dont vous aurez besoin : · 1,5 kg de veau (gîte, épaule, collier) · 1 oignon · 2 carottes · 2 branches de céleri · 1 bouquet garni · 1 cuillère à soupe de farine · 1 cuillère à soupe de beurre · 1 tasse de crème fraîche · 1 tasse de bouillon de veau · 1/2 tasse de champignons frais, coupés en morceaux · Sel et poivre, au goût Si vous avez des ingrédients de substitution pour certains d'entre eux, vous pouvez les utiliser : · Vous pouvez utiliser des champignons en conserve ou des champignons séchés si vous n'avez pas de champignons frais. · Si vous n'avez pas de bouillon de veau, vous pouvez utiliser du bouillon de poulet ou de l'eau. · Vous pouvez utiliser de la crème épaisse ou de la crème de lait si vous n'avez pas de crème fraîche.
Préparation
Etape 1 : Préparer la viande Commencez par couper la viande en morceaux de taille égale pour une cuisson plus uniforme. Rincez-les à l'eau froide et essuyez-les avec du papier absorbant.
Etape 2 : Blanchir la viande Dans une grande casserole, faites bouillir de l'eau salée. Ajoutez la viande et laissez-la cuire pendant environ 3 minutes. Retirez la viande de l'eau et rincez-la à l'eau froide pour arrêter la cuisson.
Etape 3 : Préparer les légumes Pelez et émincez l'oignon, les carottes et les branches de céleri. Ajoutez-les à la casserole avec la viande.
Etape 4 : Ajouter les herbes et les épices Ajoutez le bouquet garni, le sel et le poivre, et mélangez bien.
Etape 5 : Cuire la blanquette Couvrez la casserole et laissez mijoter à feu doux pendant environ 1 heure 30 minutes, ou jusqu'à ce que la viande soit tendre.
Etape 6 : Préparer la sauce Dans une petite casserole, faites fondre le beurre. Ajoutez la farine et mélangez jusqu'à ce que le mélange soit homogène. Ajoutez progressivement le bouillon de veau et la crème fraîche, en remuant constamment jusqu'à ce que la sauce soit lisse et épaisse.
Etape 7 : Ajouter les champignons Ajoutez les champignons à la sauce et mélangez bien.
Etape 8 : Servir Versez la sauce sur la viande et les légumes dans la casserole. Réchauffez à feu doux pendant environ 5 minutes, ou jusqu'à ce que la sauce soit bien chaude. Servez la blanquette de veau accompagnée de riz ou de pâtes.
Pourquoi blanchir la viande
Elimination des impuretés Le processus de blanchiment permet de retirer les impuretés et les résidus de sang présents sur la viande avant la cuisson. Cela permet d'obtenir une viande plus propre et plus saine pour la consommation.
Amélioration de la texture En blanchissant la viande, on peut également améliorer sa texture. La cuisson rapide dans l'eau bouillante permet de figer les fibres musculaires, ce qui les rend plus tendres une fois cuites.
Fixation des couleurs Le blanchiment permet également de fixer les couleurs naturelles de la viande. Cela permet d'obtenir une viande plus appétissante à l'œil et de conserver la couleur de la viande plus longtemps.
Pré-cuisson Le blanchiment est également utilisé comme une étape de pré-cuisson avant de continuer la préparation de la recette. Cela permet de réduire le temps de cuisson final et d'éviter que la viande ne soit trop cuite.
Choix de la viande
Morceau de veau pour la blanquette Le morceau de veau idéal pour la blanquette est le collier, le paleron ou encore l'épaule. Ces morceaux contiennent une bonne proportion de graisse et de muscle, ce qui permet d'obtenir une viande tendre et savoureuse.
Qualité de la viande Il est important de choisir de la viande de qualité pour obtenir un résultat optimal. Il est préférable de privilégier des morceaux de veau issu d'élevages respectueux de l'animal et de l'environnement.
Conseils pour la conservation La viande de veau peut être conservée au réfrigérateur pendant 3 à 4 jours ou congelée pendant 3 mois. Il est important de la sortir du réfrigérateur ou du congélateur quelques heures avant la préparation pour qu'elle soit à température ambiante.
Conseils pour la découpe Il est conseillé de découper la viande en morceaux de taille régulière pour une cuisson homogène. Il est également important de retirer toutes les parties grasses ou tendineuses pour obtenir une viande plus tendre.
Accompagnements et entrées
Accompagnements traditionnels La blanquette de veau est généralement accompagnée de riz, de pâtes ou de légumes vapeur tels que des carottes, des petits pois ou des haricots verts. Ces accompagnements permettent de absorber la sauce crémeuse et de contraster avec la tendreté de la viande.
Entrées Pour une soirée plus formelle, il est possible de servir une entrée avant la blanquette de veau. Des options populaires incluent des salades de laitue, des œufs mimosa ou des feuilletés aux champignons.
Accompagnements originaux Il est également possible de servir la blanquette de veau avec des accompagnements plus originaux, tels que des champignons sautés, des pommes de terre rôties ou des légumes râpés. Ces options permettent de varier les textures et les saveurs pour une expérience culinaire encore plus riche.
Boissons Il est conseillé de servir un vin blanc sec pour accompagner la blanquette de veau, tel qu'un chardonnay ou un sancerre. Pour les non-buveurs, il est possible de servir de l'eau gazeuse ou un jus de fruits frais.
recette blanquette de veau est un plat traditionnel français qui se caractérise par sa tendresse de la viande et sa sauce crémeuse. Il est important de choisir des ingrédients de qualité, de blanchir la viande pour obtenir une viande tendre et de servir le plat avec des accompagnements appropriés. Suivre ces étapes permet de préparer une blanquette de veau savoureuse et réussie.
Il est également important de noter que cette recette peut être adaptée à vos goûts et à vos préférences en utilisant différentes épices ou légumes. N'hésitez pas à expérimenter avec les ingrédients pour créer votre propre version de cette recette classique.
Enfin, n'oubliez pas de profiter de chaque étape de la préparation de la blanquette de veau, car c'est aussi une occasion de passer un bon moment en cuisine avec vos proches.
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hocarre · 2 years
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La Souillure
La Souillure
Chouette maladie que voilà, enfin chouette, cela dépend pour qui.
La Souillure est apparue dans l’Empire de Bleywey quelques années après que ce dernier ait vaincu Azlow, tous ceux qui l’attrapent sont appelés Souillé.
Au départ, on pensait juste à une maladie de peau exotique, que les soldats avaient ramener pendant la guerre, on pensait que cela passerait et charlatan, médicastres, rebouteux ou praticiens ont fait le minimum. Onguement, bain, saignée, mais rien n’y fit, jusqu’à ce que le patient ne devienne plus que l’ombre de lui-même et finalement, un monstre.
La maladie peut évoluer rapidement, quelques heures par exemple. Ou bien, lentement, certains contaminés ont mis des années à avoir tous les symptômes pour finir par devenir des bêtes enragées.
Les symptômes sont les suivant :
Apparitions de furoncles noirs et douloureux sur le corps, surtout sous les aisselles, le pli de l’aine et les cuisses. Si les médecins les percent, ce n’est pas du sang, mais une sorte de boue noire qui s’en écoule. Des veines noires aussi, se font plus voyantes, surtout au niveau du cœur.
Le patient devient vite fatigué aux moindres efforts physiques, il reste alité, sa salive devient épaisse et prend une teinte boueuse voir noire à son tour. Il perd l’appétit et très rapidement du poids.
Ses sens s’amenuisent, il ne supporte plus la lumière du soleil, ni la chaleur et pourtant son corps est très froid.
Ensuite, cela diffère les patients, certains, se transforment en monstre, leur corps épuisé subit une métamorphose, leur squelette se réorganisant sans aucune raison (Ex : ceux qui deviennent des Lycanoirs), semble fondre pour ne faire qu’un tas de peau et de bave (Ex : les Boueux), ou bien disparaître tels des fantômes (Ex : les Ombres), etc. 
Le malade n’est plus conscient de lui-même et finit par attaquer, voir dévorer tous ceux qui l’entourent.
Ceux qui survivent à une attaque de Souillés, portent en eux la Souillure, du moins, c’est ce que les Glorieux font croire au peuple.
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fitnessmith · 3 years
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Comment perdre des cuisses ( muscle et graisse )
Comment perdre des cuisses ( muscle et graisse )
Vous voulez savoir comment perdre des cuisses sans sport ?  Comment maigrir des cuisses après trop de musculation ? La réponse à vos questions se trouve ici. Les hommes et les femmes souhaitent parfois perdre des cuisses pour retrouver une ligne homogène entre le haut et le bas du corps. En l’absence de pathologie, c’est tout à fait possible mais il ne faut surtout pas faire les erreurs…
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alexar60 · 3 years
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Envie soudaine
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Je n’ai pas envie d’écrire. Même s’ils viennent dans mes pensées, je n’ai pas envie de réfléchir sur un éventuel poème ou un texte quel qu’il soit. J’ai juste envie de te baiser.
Je veux simplement te pousser contre le mur au moment où tu viendras me dire bonjour. Dès lors, mon regard te fixera avec une telle intensité que tu sauras ce qui arrivera. Tu auras peur, tu seras impressionnée, mais tu auras autant envie que moi de faire l’amour. Alors, la bouche entre-ouverte, le regard possédé par les flammes, ton cœur s’embrasera et tu me supplieras de continuer.
Je n’aurai pas besoin de paroles pour te déshabiller. Doucement, je dévoilerai à mes yeux la beauté de ton corps. Puis, je goûterai du bord des lèvres ta bouche devenue sensuelle  avant de diriger ma langue jusqu’au sillon entre tes seins. Tu soupireras, ton désir pestera, ton sexe brûlera, tes tétons durciront pendant que ta peau frémira au contact de mes doigts.
Lentement, dans un élan de soumission, tu te retourneras afin d’offrir tes hanches dénudées. Je me baisserai pour réchauffer de baisers ta peau douce. Je chercherai sur ton dos, sur tes fesses rebondies, sur le haut de tes cuisses tes plus petits grains de beauté et je les humerai, je les sucerai avant d’entreprendre quelques caresses sur les extrémités de tes lèvres intimes. Dès lors, j’écouterai ton souffle avant de le transformer en de longs soupirs puis en gémissements. Tu me supplieras d’arrêter mais aussi de continuer.
Pendant cet instant, la porte restera ouverte. Les voisins, les passants nous observeront d’un œil curieusement amusé. Ils baisseront la tête et partiront en souriant, tout en se demandant si on ne doit pas nous déranger. Ils verront combien je t’aime, combien je te désire. Ils entendront tes mots salaces qui réclameront mon être, ces mêmes mots que tu oses prononcer quand tu me veux en bouche. Je me déshabillerai donc à l’aide d’une seule main pendant que l’autre retiendra ton corps. Le chibre à l’air, je t’obligerai à t’agenouiller pour sentir ta langue contre moi et laver ainsi mes odeurs naturelles. Je sentirai ma force se raidir, je sentirai la pointe de ta langue puis la chaleur de ta gorge humide. J’attraperai ensuite tes cheveux et je baiserai ta bouche jusqu’à ce que tu supplies de ne pas étouffer.
Chaleur contagieuse, elle me prendra jusqu’au sang et sans prévenir, je te retournerai de nouveau pour te pénétrer. Je me collerai à toi, sur ton ventre, contre ta poitrine gonflée, sur ton dos…Quel que soit la position, mes va-et-vient seront longs et intenses. Ils seront rapides et lents lorsque j’entendrai ta jouissance exalter. Car je refuserai que tu prennes plaisir trop vite. Je sentirai ton humeur fondre sur mon sexe pendant mes labours, nos insultes augmenteront notre désir, on s’embrassera fougueusement avant de ne faire plus qu’un corps dans le but de fusionner nos âmes.
Mais je m’interdirai aussi de jouir. De temps en temps, je sortirai de ton sexe pour boire ton jus chaud à la fois amer et sucré. Je mordrai ton bouton après l’avoir frotté et pincé, je jouerai avec, je cracherai dessus, il m’appartiendra. Je voudrai l’arracher pour le garder à tout jamais, et tu me prieras de le faire au point de ne pas te sentir pisser. Je fouillerai ainsi tous tes orifices, les élargissant de mes doigts ou ma langue puis je reprendrai mon trafic dans ta chatte gluante de mouille et de bave alternant parfois avec ton œillet plus sec et plus étroit. Au début, mes passages déchireront ton fondement jusqu’à le rendre plus accueillant
Enfin, en constatant ton regard perdu en plein ciel et ton corps abattu, je sortirai de toi tout en t’insultant de salope et j’éjaculerai sur ton visage pour le barbouiller de mon sperme chaud et gluant. Pour être certain que tu sois consciente, je te giflerai à coup de bite, profitant pour l’essuyer sur tes joues. Puis, soulagé, vidé, aussi un peu honteux, je te regarderai et je dirai que tu es belle avant de lécher ma semence qu’on partagera avec un long baiser.
Tu vois, quand j’aperçois ton sourire et tes yeux charmants, je n’ai franchement pas envie d’écrire, j’ai juste envie de faire tout ça. Je ne sais pas si c’est de l’amour et je pense que c’en n’est pas. Mais je souhaite surtout découvrir le désir qui dort en toi.
Alex@r60 – décembre 2020
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mysadecstasy · 3 years
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Salomé
De bouts noirs en bouts noirs Se détachant de ta chair sourde et pâle Ta robe dans les ronces ta robe entre mes mains Voiles fuyants dentelle de l’impossible Sale et noire entre tes cuisses Des bouts immondes des bouts infâmes De la peur et des non-dit La gorge écartelée et tes mots s’enfuyant vers les cris des pierres Saillantes et jaunes Couvertes d’horreur mortes et tièdes encore Ta voix à peine Chétive Qui ne résonne plus Feuille morte Aimer tu ne sais plus tu as oublié A trop chercher l’amour on ne sait plus le faire on ne sait plus le vivre on devient vide comme un crustacée mort On ne sait même plus le dire les murailles s’écroulent dans un immense fracas De toi coule tout ce noir dans un siphon tout s’enfuira Même ton cœur y finira Je te vois courir ta robe de crêpe et de soie enrobée de dentelle s’accrocher à tous ces arbustes muets qui préfigurent ta chute Et cours cours encore toi Reine déchue qui trop longtemps a cru que les roses vivaient sans eau sans sang sans rien qu’un doux regard La lune brille de mille feux et l’on peut à souhait admirer ton visage Cicatrice sur le menton ta mâchoire un peu large et tes sourcils toujours froncés Même quand tu jouis même quand tu souffres même quand tu ris même à cet instant où tu ne sais où tu vas Où tu te jettes Tâches de rousseurs partout et sur ton nez retroussé Tes cheveux sont défaits tu as fui le bal tu fuis le bal de ta vie C’en était trop ! Mais sache ma belle Salomé qu’il en est toujours trop et que c’est de quoi l’homme se noie chaque jour Le trop Alors va va te fondre dans les marécages boueux avec ta peau pourrie qui goute de noir de toute façon tu es déjà morte Il suffit de le décider et on meurt Dans les sous-bois lugubres la lune éclaire moins mais tu cours encore la boue jusqu’aux chevilles chaussures égarées le Rimmel dégoulinant par les larmes Tu es si belle dans la douleur Je voudrais te faire l’amour ici dans la boue dans la crasse des hommes Va te perdre dans les mares noires tu es déjà nécrosée Ces bouts de noir qui se détachent de toi Tes espérances tes rêves et tes pyramides Tes encore tes peut-être tes tout ira bien Et tes hurlements tes hurlements si fort si fort encore Plus forts Ils glacent le sang… Le silence Mais Salomé nous sommes nés pour perdre et souffrir comme il faut Le mal n’existe pas tout est une épreuve Et encore des bouts qui se détachent de ta peau blanche La boue atteint maintenant tes genoux Elle atteint ton amour et ton innocence Ta certitude Envolée N’est sûr que celui qui a tout perdu Tu es partie en pleine nuit quand tous sont occupés à autre chose Meurs de ta bonne mort il y en a mille Plonge dans cette boue noire tu n’y vois déjà plus clair tu titubes Meursault et somnifères Meursault et somnifères Somnifères somnifères Dans la boue noire pour l’éternité Sous la lune éclatante et belle comme ton sourire Certains attendent leur train Toi tu es déjà allongée sur les voies glacées le visage froid Mais tu es belle dans ta robe déchiquetée et noircie par la boue Tes joues scarifiées par le maquillage noir qui coule Comme la vie coule Comme ton sang coule Comme tu coules Pour toujours Dans cet étang noir et froid Meursault et somnifères Tu es partie si vite… Engloutie Et puis tant pis cette nuit est si belle.
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oceansmelodysblog · 3 years
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Le lycée d'Hyrule
Une fiction Zelink d'un univers alternatif.
  Zelda dit au revoir à son professeur de danse classique et sortit sous le soleil du soir. Une brise rafraîchissante souffla, séchant son visage en sueur. Elle défît sa tresse pour laisser la brise souffler dans ses cheveux.
Zelda se détendit intérieurement et marcha le long du trottoir. Les cyclistes la dépassaient à toute vitesse, faisant tournoyer sa robe d'été rouge à pois blancs. Gênée, elle tint l'ourlet de sa robe pour ne pas trop s'exposer, car la robe ne lui arrivait qu’à mi-cuisse. Elle portait un petit chemisier blanc sous sa robe, des chaussures de sport blanches et un petit sac avec ses affaires de danse.
Le vrombissement des voitures et des motos l’assourdissaient, des piétons se hurlaient les uns sur les autres, les chemins étaient bondés. Des pères et des mères avec poussettes tout comme des personnes en fauteuil roulant étaient bousculés sans aucune considération.
Des chiens s’aboyaient dessus, retenus tant bien que mal par leur maître.
C’était trop de chaos pour Zelda: elle décida donc ce jour là de faire un détour, loin des rues principales.
Elle observait avec fascination les façades vieillottes des rues étroites, s’imprégnait du brouhaha coloré des restaurants et des invitations de bienvenue des serveurs qui l’incitaient à entrer. Elle leur sourit poliment et continua vivement son chemin.
Elle aimait flâner dans les rues après sa dure leçon de danse, avant de rentrer chez elle épuisée. En tant qu’adolescente, fille de 15 ans d'un diplomate et d'une avocate, on attendait d'elle la plus grande discipline. C'était parfois difficile, mais elle ne pouvait pas non plus s’en plaindre car cela lui ouvrait de nombreuses portes.
Lorsque Zelda fut enfin arrivée sous le porche de sa demeure, elle poussa un grand soupir. Elle savait que les vacances d'été touchaient à leur fin et qu'avec elles, sa liberté de se consacrer pleinement à ses loisirs.
***
Zelda se déplaçait avec grâce dans les couloirs du Lycée jusqu'à sa classe, vêtue de son chemisier blanc, d’un blazer bleu marine et d'une jupe assortie. Elle fut chaleureusement accueillie par ses camarades de classe; bien qu'elle ait traité tout le monde de la même manière, c’est avec ses meilleures amies Impa et Pru’ha qu’elle se sentait le plus à l'aise. Elles étaient sœurs avec seulement une année de différence, et pourtant elles pouvaient être aussi différentes que le jour et la nuit. Bien que Pru’ha soit plus la plus âgée, c’était une élève populaire et brillante, qui excellait dans le domaine des sciences. Impa, en revanche, était la plus raisonnable des deux, versée dans les langues, la politique, l'Histoire et les Enseignements d'Hylia. Bien que Zelda excellait dans toutes les matières, ses mauvaises notes en Enseignements d’Hylia jetaient systématiquement une ombre moqueuse sur ses bulletins.
Alors que Mipha, Faras et Revali les avaient rejoints, partageant leurs expériences de vacances d'été, les autres étudiants se turent soudainement. Il était encore trop tôt pour qu’il s’agisse de l’arrivée d’un professeur, alors la troupe se retourna avec curiosité.
Un jeune homme de leur âge, aux cheveux blonds ébouriffés attachés en arrière, se tenait devant le tableau noir et salua tout le monde sèchement. Il se tenait là, bombant le torse dans ses vêtements de sport, et se grattant nerveusement l'arrière de la tête.
“T’es perdu, Link ?” demanda Revali d'un ton moqueur.
“Revali, ne sois pas vache... Link, tu vas bien, j’espère.”, intervint Mipha. Une fille qui était toujours douce et polie envers tout le monde.
“Bon sang mais où étais-tu pendant toutes ces vacances ?” s'exclama Impa.
“Je vais bien, merci.”, dit Link, gratifiant Mipha d’un sourire, sans un regard pour Revali. “J'ai aidé à la campagne tout l'été.” Son regard glissa d'Impa à Zelda, qui ne lui prêta pas la moindre attention. “Je ne t'ai pas trop manqué, j’espère.” Il fit un clin d'œil à Pahya, la cousine d'Impa et de Pru’ha, qui rougissait à chaque fois que Link flirtait avec elle.
Il remarqua aussitôt que les autres filles regardaient aussi dans sa direction, chuchotant et gloussant entre elles. On ne pouvait pas les blâmer car Link avait un charisme attrayant, des yeux bleus hypnotiques, une carrure athlétique et surtout quelque chose de mystérieux qui attirait beaucoup de filles.
“Fais pas genre que tu manquerais à quelqu'un, pauvre clodo balayeur de bouses de vaches.”
Link se retourna et foudroya Revali du regard. Une haine pure étincelait dans ses yeux alors qu'il se précipitait sur lui. Mais alors qu'ils se saisissaient l’un et l’autre par le col, Sakasai intervint tandis que Cado et Dorian retenaient respectivement Link et Revali.
“Les vacances sont à peine finies, que déjà vous vous querellez à sang. Et si nous profitions de cette année dans la Paix et l’Harmonie?”, leur dit Sakasai avec douceur. Son expression poétique était capable de faire fondre même les plus glacés des icebergs.
Juste au moment où la situation se désamorçait, la cloche sonna le début de la classe et le professeur, M. Daruk, entra dans la salle.
“Link, Revali. Dès que vos regards se croisent, vous aboyez comme des chiens qui se battent pour leur territoire dans la rue. J'ai ici un nouveau plan de table qui assurera que vous serez assis assez loin l’un de l’autre”.
M. Daruk était le professeur de linguistique et de travail-études. Il avait la peau foncée, des épaules larges, une poitrine musclée et un ventre à bière bien rond. Ses cheveux blancs pointaient dans toutes les directions et sa barbe blanche lui descendait jusqu'au ventre. Il nous préparait toujours, en plus des leçons, à la dure vie après l'école. Ce dont Link était particulièrement reconnaissant, lui qui devait se battre particulièrement durement  dans son quartier.
“Revali, tu seras assis au premier rang à côté de Mipha. Sakasai, s’il te plait, assis-toi à côté de Pahya. Link, tu seras assis à côté de Zelda”. Alors qu'un murmure d'indignation parcourait la classe, le professeur cogna sur son bureau, engendrant un silence comme il n'en avait jamais existé auparavant. “J'exige de la discipline! Asseyez-vous maintenant aux places qui vous ont été attribuées. Vous verrez que vous et vos nouveaux voisins vous complétez les uns les autres. Maintenant, à l'ordre du jour…”
Alors qu’il s’asseyait, il sentit combien il allait être embarrassant d’être à côté de Zelda, vu qu’elle ne pouvait manifestement pas le supporter.
Il se glissa donc le plus loin possible qu’il pût vers le bord de sa chaise pour ne pas l'offenser.
Link saisit à peine ce que raconta le professeur tant il était préoccupé par la proximité de Zelda. Pour garder les idées claires, il tira sa capuche et posa sa tête sur ses bras repliés sur la table. Il soupira. Ça allait être une grosse journée au lycée, se disait-il. 
***
“Salut Frère, bien ou bien? On se fait un basket?”, demanda Sidon qui, malgré qu'il était dans une classe supérieure, était son meilleur ami. C'était un beau gosse et il dépassait Link de plusieurs têtes. Il avait les cheveux roux, comme sa sœur Mipha, mais des yeux brillants d'or. Malgré ses manières imposantes et intimidantes, il était le plus sympathique des Hyliens qu'il connaissait.
“Wesh Frère, ça farte ? Envoie la balle !”
Link enleva son sweat à capuche, exposant son torse musclé. Il voulait se vider la tête et ne plus se rappeler à quel point Zelda était agacée de sa présence. Il n'était même pas sûr de la raison pour laquelle elle l’était, et il supposait qu'elle le regardait de haut avec son apparence dominatrice.
Le simple fait qu'il ait la tête sur la table et qu'il joue avec ses stylos pour tromper l’ennui lui avait fait pousser un soupir d'agacement et taper du pied avec impatience. Elle avait également été la première à rassembler immédiatement son attirail et à disparaître par la porte sans lui jeter un regard.
Alors qu'il tirait des paniers avec ses meilleurs potes, le reste de ses amis les rejoignirent, entre autres Cado et Dorian, l'un maigre et athlétique, l'autre largement bâti. D'autres garçons se rassemblèrent bientôt autour d’eux, des types qu'il connaissait de son quartier ou de ses clubs de sport. Il les salua tous d'une poignée de main et d'une étreinte fraternelle: un poing sur les épaules du frère. C'est ainsi qu'ils se signalaient leur solidarité et leur amitié les uns aux autres.
Parfois, Impa se joignait à eux, puis elle affrontait les garçons et les achevait seule à chaque match. Impa était une fille que Link aimait avoir près de lui parce qu'elle était imbattable. Elle était comme une deuxième sœur pour lui, qu'il respectait et voulait protéger en même temps.
Mais quand Link voulu la chercher il la trouva en grande discussion avec Zelda, Pru’ha et Pahya. Il ne put s’empêcher de sourire. Il se doutait bien de ce dont elles discutaient de manière si animée en ce moment.
“Ouf, Link, mets des vêtements pitié, tes dessous de bras schlinguent à mort.”
L'humeur de Link changea aussi brusquement que si quelqu'un lui avait frappé la tête avec une pelle.
“Ça n'a commencé à puer que quand tu es arrivé, Revali.”
Le jeune Revali n'était pas beaucoup plus grand que Link, il avait les cheveux tressés en une tresse de boxeur tandis que deux mèches teintes en blanc pendaient de ses cheveux tressés. Il avait la forme d’yeux d’un serpent et leur couleur  comme son caractère étaient tout aussi venimeux. Il cherchait toujours à compliquer la vie à Link et à faire étalage de la richesse de ses parents.
“Quoi tu me cherches? Un chien errant comme toi n’a rien à me dire, c'est clair?” déclara Revali d’un ton provocateur. Tout comme Link, il était entouré de ses hommes qui n’attendaient que de pouvoir se sauter à la gorge.
“Tu peux jouer les durs va, on sait bien que c’est que de la gueule. Allez va te perdre avec tes gangsters en carton.”
Une horde de filles de différentes années clamaient les noms de Link et Revali comme s'il s'agissait d'une sorte de compétition.
Link plissa son nez avec dédain et fixa Revali dans les yeux d’un air impétueux. Comme dernier signe d'avertissement.
Sidon remarqua le feu scintillant dans les yeux des deux rivaux et se plaça entre eux, se tenant de manière protectrice devant Link.
“Hey yo bro, et si on réglait ce problème entre vous avec un concours?”.
Les filles qui jusqu’alors acclamaient et encourageaient Revali ou Link criaient désormais en chœur le nom de Sidon, comme si sa présence mettait tout le monde d’accord.
“Une compèt’? Seulement si je choisis la discipline.”, déclara Revali. Link était sur le point d'intervenir mais son meilleur ami le retint.
“Nous allons choisir trois disciplines. Chacun aura droit à une discipline dans laquelle il est particulièrement doué, tandis que la troisième discipline sera neutre. Okay? » demanda Sidon. Link acquiesça. Le reste dépendait de Revali.
"A une condition: nous allons imposer cette compétition à toute l'école. Que tout le monde puisse me voir faire manger ses morts à ce fils de pute.”
“Attention à ce que tu dis, on ne voudrait pas que ton cher petit ego soit encore plus meurtri.” rétorqua Link en se détournant. Pour lui, c'était déjà une évidence qu'il devait affronter son rival et gagner.
Zelda avait assisté à l’altercation entre les deux rivaux pendant qu'Impa et Pru’ha se disputaient pour décider quel thème serait le plus approprié pour une fête à la maison. Elle se pencha vers la silencieuse Pahya qui regardait d’un air affligé la troupe sous haute tension des garçons sur le terrain de basket. Zelda suivit son regard et comprit immédiatement son expression. C'était Link, qui s'était éloigné du groupe et s’asseyait sur un banc en bois en passant ses mains dans ses cheveux.
“Pahya, va le voir. Il sera très heureux de recevoir l'affection émotionnelle d'une jolie fille comme toi. Peut-être qu'il tombera amoureux de toi après tout”, déclara Zelda avec espoir.
Pahya regarda timidement Zelda dans les yeux et son visage vira au rouge vif. Pru’ha et Impa interrompirent leur discussion et écoutèrent avec émerveillement.
“C'est vrai ça, Pahya! Va le pécho!” l’encouregea Pru’ha, sa cousine aînée. Tout le monde savait que Pahya était folle de Link, mais qu'elle était trop timide pour lui parler.
Lorsque Pahya se décida enfin à le rejoindre, Impa faillit l'arrêter, mais Zelda et Pru’ha la retinrent. Impa n'aimait pas ça parce qu'elle connaissait très bien Link et qu'elle savait aussi comment était son cœur. Son regard se posa sur Zelda, qui regardait avec satisfaction Pahya s’éloigner. Elle allait peut-être devoir s'en mêler après tout, et une fête au bord de la piscine serait la meilleure option.
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Jeudi 4 février 2021
Dans mon esprit, une parisienne
Il fallait bien que je finisse par écrire à son propos. Elle est partie danser, me voilà seul,c'est le bon moment : j'ai choisi un disque (Diamond Dogs de Bowie) que j'ai mis sur la platine et j'ai lancé la musique, et puis je me suis installé sur mon lit, qui n'est en fait qu'un matelas posé à même le sol (je m'en contente parfaitement, je suis un homme simple, voyez-vous) et je pose l'ordinateur portable sur mes cuisses. Je suis plutôt bien. Avant de me lancer dans le récit que vous êtes en train de lire, j'ai ouvert une page de traitement de texte vierge et j'ai tenté de cracher quelques lignes avec des rimes (assez pauvres), j'ai en effet toujours cette vieille obsession qui est celle d'arriver à écrire un jour une bonne chanson. Mais ça ne vient pas plus que ça. Je suis certain qu'en me concentrant un peu, j'arriverais à quelque chose. L'autre jour, je lui ai écrit un poème. C'est sorti assez rapidement, je n'ai pas trop galéré. Une vingtaine de minutes, tout au plus. Et je lui ai envoyé, fébrile : qu'allait elle en penser ? Après tout cette fille est une lettrée. Elle étudie à la Sorbonne, tout de même. Et elle a fréquenté des mecs qui étaient de vrais littéraires, des doués. Moi je ne suis qu'un amateur, je ne peux me targuer que d'un bac L que j'ai obtenu sans briller. Que valent ils, mes petits vers ? Alors, disais-je, j'ai attendue, fébrile, et elle a finit par me répondre. Elle a écrit « j'adore » et « je suis très impressionnée », ce qui vaut plus que tous les diplômes qu'on pourra jamais me décerner : j'étais rassuré, et ravi.
Me voilà en train de me demander comment est ce que je pourrais vous parler d'elle... Elle est dans mon quotidien depuis plusieurs jours. En fait, nous nous sommes connus il y a environ deux ans et demi. Nous avions beaucoup échangés. J'avais perçu quelqu'un d'assez original. Mais pour une raison que j'ignore, nous avons cessé d'échanger, tout en restant amis facebook. Le temps à passé, très vite. J'ai connu une histoire, pendant 6 mois, Lauriane, ça s'est terminé et à ma grande surprise, je m'en suis trouvé soulagé. Aujourd'hui, j'ai totalement fait le deuil de mon couple d'avec Lauriane. Je m'en suis rendu compte l'autre jour. J'ai réalisé que cette fille était plutôt insignifiante, et aujourd'hui elle sort probablement avec un informaticien sans envergure fan de mangas et de séries d'heroic fantasy. J'espère qu'elle est heureuse, tout de même.
Ainsi le temps à passé. Et régulièrement, j'ai vu passer des photos d'Elle... Devrais-je la nommer ? Je n'ose pas trop. Peut être qu'elle ne verrait pas d'un très bon œil d'être citée ici. Je sais ! Je vais l'appeler La Parisienne ! Parce qu'elle est parisienne, et tunisienne de surcroît. Et donc, je voyais régulièrement passer ses photos de profil sur facebook, que j'avais pris l'habitude de liker presque machinalement. Et puis l'autre jour, je me suis dis « c'est trop bête, ce silence ! Recontacte là » ! C'est ce que j'ai fait. A quoi est-ce que je m'attendais ? A rien de particulier. Et voilà qu'une semaine après, nous n'avons plus cessé de nous écrire du matin au soir. Les jours passent, et je ne me lasse pas. J'en veux encore. Je veux tout savoir d'elle ! Elle se confie, je fais de même, on se dit des choses inavouables, on se fait confiance et le dialogue semble ne jamais cesser (en réalité il ne cesse que la nuit durant, quand la Parisienne dort, contrairement à moi, l'oiseau de nuit). Et le jour d'après, à mon réveil, j'attrape mon téléphone et je vis chaque jour le plaisir immense de lire un de ses messages, qui me mettra irrémédiablement en joie.
Les jours passent et je suis heureux. Elle est là, alors je ne peux qu'aller bien. Mais elle est loin. Mais pas si loin que ça. Bien sûr, je ne veux qu'une chose, c'est aller la retrouver. Cependant, mes plans sont perturbés par cette foutue pandémie. Mais je viendrais ! En mai, dans l'idéal ! Le mois de mai, mon préféré. Le mois de mon anniversaire, et du sien aussi (il semblerait que la plupart des gens qui me sont précieux soient tous nés en mai,  curieuse coïncidence). Est-ce que je flippe un peu à l'idée de la rencontrer ? Non, même pas. Je flippe plutôt à l'idée qu'entre temps elle se lasse de moi. Mais elle a l'air honnête et je crois sur parole tous les jolis mots qu'elle m'écrit. Sa bonté me fait fondre complètement... Et si ce n'était que ça !
Au moment ou j'écris ces lignes, la Parisienne est revenue. Oubliant le couvre-feu, j'avais bêtement supposé qu'elle était allé danser quelque part, avec des gens (comme ça ne se fait plus depuis des mois et des mois)... Suis je bête ! Le disque de Bowie terminé, j'ai enchaîné avec un disque des Stones. Je pense que c'est le moment de terminer ce récit mal foutu. J'espère que je n'en ai pas trop dit. Je compte bien qu'elle me lise.
A bientôt, mes chers lecteurs, et soyez rassurés : je suis un homme heureux.
Bande son : Diamond Dogs, David Bowie
                     Beggars Banquet, the Rolling Stones
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