Hi! Do you happen to have a copy of the photo of Al and Kathleen from here? > tumblr./com/purelypacino/634786526541266944/whats-the-story-behind-that-al-and-lawrence
Thank you! 🫶🏼
Hi!! Here it is in colour, along with a few others that I think are far more flattering than the one that they used, lol. I think they thought it rather romantic, but it looks like she fell asleep on his shoulder.
These are caps that I took years ago from his A&E Biography, so they aren't the clearest. If I can find it again and retake them in a higher resolution, I will. It doesn't look like it's available anymore, but you can watch Frank Serpico's.
Here's how it appeared in the magazine. I don't have a physical copy to scan, and this is all I could find online (thanks to @melis-writes for sharing ♡)
If you didn't pull the trigger on the Steelbook edition earlier this year, Event Horizon will be released on 4K Ultra HD (with Blu-ray and Digital) in standard packaging on January 31 via Paramount.
The 1997 sci-fi/horror film is directed by Paul W.S. Anderson (Resident Evil, Death Race) and written by Philip Eisner (Mutant Chronicles). Laurence Fishburne, Sam Neill, Kathleen Quinlan, and Joely Richardson star.
Event Horizon has been restored in 4K and features Dolby Vision HDR with Dolby TrueHD 5.1 audio. Special features are listed below.
Special features (on Blu-ray disc):
Audio commentary by director Paul W.S. Anderson and producer Jeremy Bolt
The Making of Event Horizon - 5 featurettes
The Point of No Return - The Filming of Event Horizon with commentary by director Paul W.S. Anderson
Secrets with optional commentary by director Paul W.S. Anderson
The Unseen Event Horizon - the unfilmed rescue scene, plus concept art
Original trailer
Seven years ago, pioneering research spacecraft “Event Horizon” mysteriously vanished without a trace on its maiden voyage. But then, in the darkness of deep space, a persistent signal prompts a rescue crew to wing its way through the galaxy on a bold rescue mission. What they uncover is an unimaginable interstellar horror that will test the entire team’s sanity and souls.
En 2047, des astronautes embarquent un physicien dans le but de récupérer l’épave du vaisseau que ce dernier a conçu, l’Event Horizon, qui est censé pouvoir se déplacer plus vite que la lumière et qui a mystérieusement disparu sept ans plus tôt, lors d'une mission vers Proxima du Centaure. Il vient en effet de réapparaître tout aussi étrangement dans les parages de Neptune. Peu à peu, les membres de l’équipage commencent à avoir des visions cauchemardesques. D’où ce vaisseau est-il revenu ?
Le meilleur film de Paul W. S. Anderson nous amène réellement auprès de l'ultime frontière entre science-fiction et horreur.
Plus choquant qu’Alien, plus tendu que Sunshine, il mélange réalisation onirique, futurisme crasseux, symbolisme religieux, body horror et suspense. Tous nos cauchemars à propos de l’espace s’y réalisent dans un enchaînement horrifique qui retient toute notre attention. Nous ne pouvons que maudire le système de production américain pour la coupe au montage puis la suppression définitive de ses scènes dites “infernales”, laissant pourtant des plans quasi-subliminaux qui n’ont rien à envier aux meilleures idées de Cube. Les références au cinéma de genre se bousculent dans une claque qui n’a pourtant pas rencontré son public lors de la sortie. C’est le rythme haletant de ce film qui est impressionant : en une heure et demie, il explose toutes nos attentes et nos préjugés sans totalement compenser l’âge de ses effets en CGI et de son bruitage presque comique. L’impact de ses problèmes de production se fait sentir de manière croissante au court du visionnage, mais ce détail a eu le pouvoir de me permettre de conscientiser une grande affection pour toutes les parties prenantes lors de sa conception. L’ayant déjà vu d’un oeil distrait par Habbo Hotel lors de ma pré-adolescence, je prie aujourd’hui pour un remake par un adepte du body horror nerveux et capable de rassembler un casting aux figures contemporaines aussi associées aux superproductions, avilies et défigurées, ce serait top !
Pour moi, la science-fiction lisse et contemplative, prémâchée par James Cameron n’a aucun intérêt : ce film représente mon standard minimum d’excitation, de surprise et d’intrigue que devrait nous inspirer ce genre cinématographique et littéraire.