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#le carnet à spirales
fidjiefidjie · 6 months
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Bon Matin 💙📒🎺💙
William Sheller 🎶 Le carnet à spirales
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carnet-spirales · 2 months
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plexussolaire · 1 year
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Anne
Je vis ce truc bizarre, ce truc dont on parle jamais nulle part. Et j’ai envie de me revoir toute la série En thérapie pour l’occasion, parce que c’est une bonne série.
Je viens de finir ma thérapie.
Pour l’occasion, j’ai mangé du pain et du bu du vin, pour fêter ça. Mais in a good way. J’ai pris une demi bouteille pour ne pas partir en live, pas de la bière, quelque chose de plus doux, moins fou, moins calorique, que je n’avais pas envie de boire vraiment en entier. J’ai pris le meilleur pain de Paris, j’ai été quand même au sport, même si j’avais pas envie, parce que ça fait partie de mes valeurs. C’est une étape décisive, et j’avais pas pesé à quel point.
Décisive, avec un grand D.
C’est moi qui ait décidé, et c’était le bon moment. Trois ans et des poussières. Depuis le confinement. Confinement qui a été le révélateur de toute la merde et mon carnet peut confirmer. Des crises, tous les jours, tous les après-midi, du vin, de la bière, du pain en guise de repas du soir pendant plus d’un an. Le nouveau boulot qui venait tout trigger, ma relation amoureuse aussi, ma famille. Ma famille à qui je n’osais rien refuser, de peur des représailles, des reproches, des chantages, revenir sur les traditions est toujours un voyage.
Une guerre.
J’ai dis à (presque) tout le monde ce que je pensais et attendais d’eux vis-à-vis de moi. J’ai appris les limites, les besoins, et je pleure parce que j’ai bu. Mais pas en mal. Parce qu’il faut cesser de diaboliser cela, cesser de chercher à contrôler, par fantasme d’une pureté magique. Parce qu’il n’est pas nécessaire de tout régler, pour terminer une thérapie. C’est juste avoir l’intime conviction que ça viendra en temps et en heure, qu’on saura faire, et que ne pas tout savoir et ne pas tout régler, ce n’est pas grave.
J’ai un peu perdu quelqu’un ce soir. Je sais que je dois faire mon deuil. Anne m’a aidée à y voir clair, à trouver les clés, à m’autoriser tellement de choses. A en vouloir à mes parents. A remettre à sa vraie place la souffrance que j’avais pu ressentir pendant des milliers d’années. La rendre légitime. Casser les spirales, exorciser la douleur, dire mon plus gros secret à voix haute, avoir quelqu’un en qui j’ai confiance, qui ne m’a jamais blessé, qui ne m’a jamais contredit, attaqué, qui m’a toujours écouté.
Je pleure avec une telle force. Je n’aurais jamais anticipé une telle réaction. C’est une lumière dans ma vie, une période de métamorphose incroyable qui m’a permis d’atteindre un état plus lumineux. Je ne suis pas encore sûre d’être capable d’en faire quelque chose. Pourtant les possibilités sont entièrement devant moi. Je fais ce que je veux, libérée de tout ce qui m’entravait avant. C’est une toute nouvelle vie, c’est un peu effrayant, surtout grisant. Mais c’est elle que je pleure ce soir. Je lui dirai peut-être demain, à quel point ça a changé ma vie. A quel point j’ai l’impression de vivre pour la première fois. En étant confiante. En ayant foi dans la capacité qu’auront mes sensations de me guider. Que ça va aller, en fait.
Et pourtant, je sais que c’est normal, ce soir je me sens perdue, orpheline, livrée à moi-même. Comme un  tout petit oiseau qui tombe du nid. Vaguement persuadée que tout va redevenir comme avant la thérapie. C’était couper le cordon en quelque sorte. Cela s’est fait dans la joie, et c’est tant mieux. Un peu comme la fin de mon stage. La joie, ça veut dire qu’après ça va être bien.
Ce texte est si important pour moi. On ne parle jamais de l’après thérapie. L’après des batailles. Et c’est vrai que j’attendais cette main sur mon épaule depuis un bout de temps. Cet encouragement qui m’entraîne à affronter à bras le corps les démons. Le courage je l’avais; je me battais avec des fantômes dans tous mes textes. J’y allais à fond, les émotions, la bagarre. Elle m’a mis en face du véritable adversaire. Elle m’a donné les armes et je n’avais qu’à rentrer dans l’arène. J’avais le courage, elle était mon Athéna, guidant mes pas dans la lumière blafarde. Sa présence dans la pièce, quand je buvais les ténèbres.
C’est une vraie, belle relation que j’ai conclus ce soir. Ce n’est pas à jamais. Et elle serait là si j’appelais au secours. Mais je pleure comme une perte, cette relation douce et tendre comme aucune autre, où quelqu’un s’est livré pour vous aider et vous voir grandir. Et on se sent bête parfois, on se dit qu’on est le pire patient, celui qui dit vraiment des trucs inintéressants, ou parfois on se dit qu’on doit vraiment lui pourrir la journée, en lui donnant notre histoire sans filtre et plein de violence et de dégoût. Mais à la fin elle vous dit merci comme vous. Et c’est une perte. C’est la fin.
Vous ne serez plus dans son regard protecteur, mais votre vie pourtant commence...
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lady-de-mon-coeur · 1 year
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Le carnet à spirale by Buggy-Tale
Language: French
Words: 2k+
Chapters: 3
Rated: K+
Status: Complete
Summary: Damn spiral notebook... A certain schoolboy, blond and a bit curious, had to come across this cursed spiral notebook. And even worse, this same schoolboy, even more curious, had to open this notebook and read a name in it. The name, her name.
This is a rather short multi chapter fic. Adrien found Marinette’s diary and got to know all her secrets, and when I say "all", I really mean all.
Also, Plagg is a little shit in this fic.
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De Tessa à Sophie
Chère Sophie,
Mon affectionnée Sophie, tu ne liras jamais ceci. Sur la plus basse étagère des bibliothèques encastrées dans le mur au fond de ma chambre ici à Cirenworth - « Cirenworth ! » dis-tu, mais je vais t’expliquer – se trouvent mes journaux intimes, de formes diverses et variées, des in-quarto aux épaisses pages couleur ivoire reliés de cuir aux carnets à spirales réglés que les écoliers utilisent. Il y a des lacunes, qui s’étalent parfois sur plusieurs années, et certains ont été perdus ou endommagés, ou bien étaient faits de papier qui n’avait pas été fabriqué pour durer aussi longtemps que j’ai vécu. Mais chacun d’entre eux est écrit à quelqu’un ; je n’ai jamais compris « Cher Journal », comme si Journal était une personne avec qui je voudrais partager mes pensées. Mais avec toi, bien sûr, je souhaite les partager. Et cela fait plusieurs décennies, Sophie, que je n’ai pas débuté l’un de ces journaux en te l’adressant. Mais aujourd’hui marque un nouveau départ avec un nouveau volume, un ravissant petit livre de papier florentin à volutes, et c’est donc à toi que je l’adresse :
Bonjour, Sophie Lightwood, née Collins, ma première véritable amie à Londres. Tu es partie depuis si longtemps. Et pourtant, ça semble aussi n’être qu’un instant : je me retourne et je vois ton élégante silhouette qui se presse dans le couloir, un panier dans les bras ; ou la façon dont tu souriais quand tu disais que tu avais le droit de parler à Will aussi impoliment que tu le souhaitais (et il le méritait à l’époque !) ou la façon dont les scones vous faisaient rire toi et Gidéon.
Donc : Cirenworth. Je vis ici avec Jem maintenant, tu sais. Il n’est plus Frère Silencieux… en vérité, cela n’a pas de rapport avec ce que j’écris aujourd’hui alors je te conseille de consulter l’un des journaux précédents pour te mettre à jour et de revenir quand cela est fait. Et nous venons juste d’avoir la visite de sa cousine Emma Carstairs, et de son bien-aimé, Julian Blackthorn. (Ne t’inquiète pas, les Blackthorn de sa génération sont gentils et aimables !) Elle tient également un journal, pour consigner les rénovations qu’ils effectuent à Blackthorn Hall, à Chiswick, qui est majoritairement resté inoccupé pendant tout ce temps et est tombé en ruines. (Enfin, davantage en ruines, je suppose.) Et, bien évidemment, ce vieux tas de briques renferme des problèmes magiques en tous genres qu’ils doivent régler, même si bien sûr ils avaient aussi hâte de nous voir – Jem et moi, et Mina et Kit.
Oui, je suis à nouveau mère, Sophie, et pour cette raison tu me manques. Comme c’était agréable de t’avoir à mes côtés au début de la maternité. Je me souviens qu’un soir, alors qu’il y avait une réunion à l’Institut… quelque fête, cela n’a pas d’importance, mais James était un bébé et Thomas était un bébé. Quelqu’un, peut-être le vieux Lysander Gladstone, essayait d’engager la conversation avec nous, et je me souviens que nous nous sommes endormies l’une contre l’autre, là, sur le canapé, et les bébés aussi. Quand nous nous sommes réveillées, il s’est avéré que Lysander s’était senti grandement offensé et que Will avait dû lui apprendre des choses sur les mères avec des enfants en bas âge. Et nous avons toutes les deux eu peur parce que les enfants avaient disparus, mais évidemment Will et Gidéon étaient venus les chercher pour les emmener dans leur chambre et nous avaient laissées faire la sieste toutes les deux.
Ces moments avec toi me manquent.
Mina commence à peine à marcher, et c’est la fille de Jem, et grâce à l’Ange, elle a quelque peu son tempérament. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu à courir après un bébé dans la salle à manger, mais elle est accommodante et d’un naturel doux, la plupart du temps. Et nous avons un fils plus grand, Kit, qui est venu vivre avec nous après que son père a été tué. C’est un descendant lointain de la famille Herondale, mais il ne semble pas du tout distant. Il complète notre famille d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer, et d’une manière à laquelle il ne s’attendait pas, j’en suis sûre. C’est aussi un adolescent, et il avait sa vie à lui avant de venir avec nous, alors ces deux éléments expliquent qu’il garde beaucoup de choses pour lui. Et donc – c’est ce qui arrive avec les adolescents – je m’inquiète pour lui. Il a des amis – même une petite-amie, si mes observations sont correctes – et il aime Mina d’une force dont même lui s’étonne souvent. Mais je vois parfois dans sa posture un poids qu’il porte, une tristesse dont il ne veut pas, ou ne peut pas, nous parler. Et peut-être que c’est simplement parce qu’il a perdu tellement à un âge si jeune, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a autre chose.
Même si je souhaite effectivement te parler davantage de Kit, et d’où il vient – tout est bien plus extraordinaire que tu ne l’imagines sûrement – il est tard et je peux te parler de Kit n’importe quand. Je souhaite plutôt changer de sujet et te parler de la visite de Julian et Emma.
Ils essayent d’élucider quelques mystères concernant Blackthorn Hall : une malédiction sur la maison qui date de l’époque de, devine qui, Benedict Lightwood (exactement, Sophie, qui donc aurait bien pu deviner). Et un fantôme, inoffensif mais trouble et non identifié, sûrement piégé par la malédiction. Il y a un ensemble d’objets, semble-t-il, liés à la malédiction, et le fantôme leur a demander d’apporter l’un d’entre eux ici à Cirenworth – d’où leur visite, bien que, comme je l’ai dit, je pense que ça ne les dérangeait pas d’avoir une excuse pour voir Kit et Mina.
Nous faisions la vaisselle après le souper et Jem – tu sais comment est Jem – leur a tout de suite dit :
— Eh bien, voyons ces objets que vous avez trouvés.
Julian les a sortis de son sac et les a posés sur le plan de travail : une flasque à whisky plaquée argent, plutôt ternie, et une dague, elle aussi plutôt endommagée par le temps. Aucune des deux ne me rappelait quoi que ce soit à première vue – comme tu le sais, il n’est pas rare de trouver des flasques et des dagues dans les résidences londoniennes de Chasseurs d’Ombres, même de nos jours – mais Jem a instantanément reconnu l’arme.
Il a désigné l’inscription sur la lame et a l’a lue à voix haute :
— « Je souhaitais tant avoir une dague étincelante, que chacune de mes côtes est devenue une dague. »
Julian et Emma l’ont tous deux dévisagé avec de grands yeux. (Je crois également qu’ils ne se rendent pas compte que Jem fait ce genre de choses précisément pour que les gens le dévisagent avec de grands yeux ; c’est simplement dans sa nature d’adopter une attitude totalement théâtrale.)
— Tu la reconnais ? s’est exclamé Julian.
Au même moment Emma s’est écriée :
— Tu sais lire le farsi ?
— Je la reconnaîtrais entre mille, a répondu Jem. Elle appartenait à mon cousin, Alastair Carstairs, mais elle lui venait de la famille de sa mère.
— Le fantôme nous a demandé de l’amener ici, a souligné Emma. De l’amener à la « maison ».
Jem a pris la flasque, sur laquelle se trouvait un monogramme.
— Par l’Ange, a-t-il soufflé d’une voix basse, avant de me montrer les initiales.
Mon pauvre Matthew. Il est tout de suite apparu dans mon esprit, avec ses yeux rieurs et son sourire lumineux. Julian a déclaré qu’ils avaient déjà compris que c’était la sienne. Mais c’était très étrange, ai-je fait remarquer, car si la malédiction avait été créée par Benedict, il était mort presque dix ans avant même la naissance de Matthew. Julian a ajouté que ce n’était pas logique pour eux non plus et que c’était toujours une partie du mystère à éclaircir. Mais ensuite nous avons soudainement entendu un cliquetis bruyant, qui s’est avéré provenir du Détecteur qu’ils avaient apporté et que leur frère Ty avait modifié pour qu’il détecte les fantômes. (Ty est un tout autre sujet fascinant, Sophie, mais il devra attendre pour un autre jour.) Ils – je veux dire les Chasseurs d’Ombres en général, pas seulement Julian et Emma – utilisent encore le Détecteur de démons qu’Henry a inventé après toutes ces années !
Le Détecteur nous a menés dans la bibliothèque. Emma semblait dubitative.
— Allons, a-t-elle contesté le Détecteur. Je suis sûre que la bibliothèque de Cirenworth est hantée depuis des années.
— Pas à ma connaissance, a objecté Jem. Bien que si vous ameniez cet appareil dans certaines maisons de la campagne anglaise, il hurlerait comme une sirène de police. Cirenworth a toujours été bien entretenu et les propriétaires ont toujours pris toutes leurs précautions contre les fantômes.
Ce n’est pas exactement la même chose de se servir d’un Détecteur pour trouver un fantôme que de s’en servir pour trouver un démon. On peut être sûr d’avoir trouvé un démon parce, tu sais… le démon est présent. Avec les fantômes, ça ressemble davantage à un jeu de chaud-froid, et au final nous étions d’accord sur le fait que le cliquetis était plus fort devant une étagère en particulier. Nous avons enlevé les livres de cette étagère pour les disposer sur la table où nous les avons passés en revue avec le Détecteur, et le gagnant est un in-quarto relié de cuir. Il n’y avait rien au dos du livre, mais une jolie rose des vents était gravée sur la première de couverture.
Nous l’avons ouvert, et en voyant le contenu, j’ai eu le souffle coupé. Et je savais que j’allais écrire ce nouveau journal, à ton attention. Tu le reconnaîtrais toi-même : des pattes de mouches soignées, avec une forte inclinaison à gauche, et entièrement en espagnol. C’était le journal de ton fils, évidemment. Celui de Thomas. Mon cœur ! En un clin d’œil, je me suis souvenue de toi qui le tenait, un si petit enfant (qui en grandissant est devenu un homme si grand et imposant !)
Emma le parcourait. C’était la première fois qu’elle entendait parler de Thomas, peut-être (il y a toujours des Lightwood de nos jours, sois sans crainte, mais ils vivent à New York), alors évidemment elle n’a pas réagit avec la même émotion que Jem et moi.
— Le problème, bien sûr, a-t-elle déclaré, c’est que mon espagnol est catastrophique.
Bien évidemment, Julian l’a ensuite un peu taquinée, puisque la meilleure amie d’Emma, Cristina, vient de Mexico. Emma a répliqué que c’était bien le problème, dès qu’elle avait besoin de lire ou dire quelque chose en espagnol, Cristina pouvait simplement l’aider.
— Est-ce que nous devons le faire traduire ? a demandé Julian. Nous ne savons pas si ça a quelque chose à voir avec la malédiction ou le fantôme. Autant que nous sachions, la flasque était juste une flasque, non ?
Cependant, Jem secouait la tête. Il a posé la flasque et la dague à côté du livre et les a observés.
— Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais ces trois objets sont de la même époque. Les propriétaires de chacun des trois étaient de la même génération et avaient presque le même âge. Ils étaient tous amis.
Et puis je pouvais tous les voir dans mon esprit – Thomas, Matthew, Alastair, mais aussi Christopher et Cordélia et mes propres enfants James et Lucie. C’était il y a si longtemps, mais je pouvais me souvenir de leur visage comme si c’était hier. Tout comme je peux me souvenir du tien, Sophie. J’ai regardé Jem et j’ai compris qu’il pensait à la même chose, mais il s’est contenté d’affirmer à Julian et Emma :
— Ça ne peut pas être une coïncidence. Mais Benedict Lightwood n’a jamais connu aucun d’entre eux, il était mort depuis des années à cette époque. Êtes-vous sûrs qu’il est responsable de la malédiction ?
Emma a répondu qu’ils étaient assez sûrs… qu’ils lisaient un journal intime qu’ils avaient trouvé dans la maison qui l’expliquait en détails. Quel journal ? Oh, Sophie, tu l’as déjà deviné. Celui de Tatiana Blackthorn.
— Elle avait environ notre âge, je crois, a ajouté Julian. Peut-être un peu plus jeune. Il lui a parlé de la malédiction et des objets.
Je pense qu’Emma a vu l’expression de mon visage et de celui de Jem.
— Est-ce qu’ils… a-t-elle commencé en touchant la flasque, la dague, le livre, l’un après l’autre. Matthew, Alastair, Thomas, est-ce qu’ils connaissaient Tatiana Blackthorn ?
— Elle les connaissait, a répondu Jem sur un ton sinistre.
— Elle les détestait, ai-je rectifié. Elle détestait toutes nos familles… les Herondale, les Carstairs, les Fairchild. Et les autres Lightwood. Elle est devenue… de plus en plus désagréable avec le temps. De plus en plus obsédée, si je puis dire, par l’idée de nous faire du mal.
Julian regardait au loin. À ce moment, il s’est brusquement tourné pour considérer les objets sur la table.
— Elle a changé l’enchantement, a-t-il déclaré. Elle a remplacé certains objets. Peut-être tous les objets.
Comme Julian est intelligent ! Nous avons tous compris instantanément que c’était l’explication la plus probable.
— Mais pourquoi ? s’est interrogée Emma. Peut-être que certains objets utilisés par Benedict ont été perdus.
Quand Jem a repris la parole, sa voix était plus sèche que je n’ai l’habitude de l’entendre :
— Je ne sais pas quelle impression vous avez d’elle à la lecture de son journal. Quand elle était plus jeune, elle était plus aimable. Mais le cœur de Tatiana renfermait une soif de pouvoir terriblement avide. Une soif de contrôle. Il ne fallait nécessairement que quelque chose ne fonctionne plus dans la malédiction de Benedict, pour que Tatiana ait voulu se l’approprier.
Il avait raison, ma chère Sophie, et ses mots ont rempli mon cœur d’effroi. Tatiana ne pouvait pas faire de mal à Julian et Emma. Elle est partie depuis longtemps. Mais elle émerge du passé pour ternir le présent de sa cruauté. Qui que soit ce fantôme à Blackthorn Hall, je prie pour qu’au moins ce ne soit personne que nous aimions.
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Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/679349523695435776/tessa-to-sophie
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florencedeleurence · 6 months
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Soleil rouge | Le carnet à spirales
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt 💞
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suis-nous · 7 months
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savoir-entreprendre · 7 months
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Cahier à spirale - Ligne lignée
Listes de courses, notes d’école ou poèmes – Le carnet à spirales de 118 pages avec papier ligné est un compagnon idéal au quotidien.  La couverture imprimée durable rend le propriétaire fier de l’emporter partout.    .: 118 pages lignées (59 feuilles)  .: Impression de la couverture  .: Couverture arrière gris foncé   One Size Height, in 7.99 Length, in 5.98 Depth, in 0.59  
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conatic · 1 year
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Juin 2011. Gwenaël Bernard a 30 ans. Les médecins lui diagnostiquent une maladie de Charcot. Pronostic : deux à trois ans de survie. Il n'y a pas de traitement. L'un après l'autre, ses muscles sont paralysés.2018. Gwen lutte toujours et Cynthia, son épouse, écrit dans un carnet à spirales ce qu'il lui dicte depuis sa chaise roulante. Plein d'humour, Gwen détaille comment il fait la nique à la maladie. Son récit est un tourbillon de vie. À la maison, il joue avec ses trois enfants, fait les devoirs ; il discute avec ses amis et fait la cuisine ; il voyage en famille et dans les aéroports on le ligote sur un diable, un de ces chariots qui sert au transport de colis. Cynthia, omniprésente, miroir et alter ego, vit à ses côtés son humour et ses difficultés, sa joie de vivre et les péripéties médicales. Pour Gwen, accepter la maladie, c'est recommencer à vivre, c'est commencer une nouvelle vie.
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Je vais juste faire la liste (rien que pour toi @sans-rancune-sans-regrets on en avait parlé il y a quelques mois) de tous les bujos et carnets que j'ai avec ce qu'il y a dedans parce que ça résume très bien le BORDEL qu'il y a dans mon cerveau.
1. Mon agenda. La plupart des gens marquent vite fait leurs horaires dedans, moi j'essaye de faire un joli truc en mettant tous mes rdvs avec un code couleur, en général je rajoute la liste des choses à faire pendant la semaine, et pour terminer le mémoire je marquais tout ce que j'avais fait dans la journée. quand il y avait vraiment trop de boulot et que c'était le rush, j'ai laissé tomber.
2. Les plannings pour la fac : un carnet format écolier à spirales à carreaux avec un tableau avec le planning des choses à faire chaque semaine par page avec les choses à cocher.
3. Un grand cahier à spirale à thème avec tout ce qui se rapporte avec mes dessins mes tricots ect plus du bazar (images que j'aime bien par exemple). Mes mots de passe pour la plupart des réseaux sociaux sont marqué dessus donc il est très précieux. A l'arrêt depuis un bail au profit des deux cahiers du haut.
4. Commencé depuis février dernier : un bujo avec des trucs plus généraux pour le mémoire qui me servent sur le long terme + pour tous les trucs que je dois apprendre en dehors, et les trucs que je dois faire "à côté" pour remplir mon CV (pas très rempli donc). Abritera sans aucun doutes les trucs que j'ai besoin de noter pour les trucs bancaires financiers (youhou!)
5. Un sublime gros carnet relié plus "artistique" à thème (je dis pas, je raconte ma vie mais je sélectionne :P mais c'est le plus joli !)
Et comme ça ne suffit pas je suis en train de m'en faire un nouveau dans un petit cahier (mais joli) parce que j'ai repéré des pages de bujo sur Pinterest qui pourraient m'empêcher de complètement couler (oui je suis prête à tout pour éviter la case psy même commencer un NOUVEAU carnet) et je ne vois pas où ça pourrais rentrer dans les cahiers précédant.
Heureusement à part pour les deux premiers je ne note pas des trucs tous les jours dans ces cahiers, je peux passer des mois et des mois sans rien faire dans le gros qui devrait durer bien plus d'un an. Mais voilà, quand j'ai besoin de faire une page, il faut que je me mette 10mn parfois pour trouver où la faire, c'est rare mais ça arrive. Et quand il s'agit de retrouver une page où un truc que j'ai noté...
Ah oui, et pour compliquer l'affaire, tous ces carnets sont éparpillés de partout...
Morale de l'histoire : un peu d'organisation fait gagner du temps, trop d'organisation embrouille le cerveau et mène indiscutablement à l'échec...
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cruellaflim · 3 years
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Les 10 films les plus incontournables de l'été, de 'Cruella' à 'Candyman'
Vin Diesel sauve le monde et conduit beaucoup trop vite (et un peu furieux), un super-héros Marvel combat des méchants (comme d'habitude) et quelques films d'horreur sont prêts à effrayer vos sandales. Tout comme un carnet de vaccination rempli, ce sont des vues bienvenues pour les cinéphiles.
Après la débâcle de 2020 due au COVID-19, la saison des films d'été est de retour, même si elle n'est peut-être pas exactement revenue à la normale. Pourtant, c'est beaucoup mieux que ce que nous étions il y a un an: les cinémas rouvrent à travers le pays, la capacité limitée par projection augmente et les films que les gens ne pouvaient pas attendre l'été dernier se mélangent aux grands films prévus pour 2021. Ajoutez à cela que les services de streaming sont désormais des joueurs aux heures de grande écoute (en particulier pour les familles avec des enfants qui n'ont pas été vaccinés), et il y a beaucoup à aimer et à voir d'ici la fête du Travail.
Voici les 10 films que vous devez absolument voir cet été.
Saison des films d'été: allons-nous en avoir un cette année? Oui, si nous sommes bons
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Cruella
Vedettes: Emma Stone, Emma Thompson, Mark Strong
Réalisateur: Craig Gillespie
The skinny: La méchante Disney qui déteste les Dalmations, Cruella De Vil, obtient un prequel d'action en direct qui se déroule dans le punk-rock des années 1970 à Londres. Stone incarne la fashionista Estrella, une jeune fille avec un flair pour le design qui fait équipe avec deux autres faiseurs de méfaits et vise à abattre une baronne (Thompson).
Où regarder: dans les salles et sur Disney + le 28 mai.
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Army of the Dead
Vedettes: Dave Bautista, Ella Purnell, Omari Hardwick, Ana De La
Reguera Réalisateur: Zack Snyder
Le maigre: Après qu'une épidémie de zombies ait transformé Las Vegas en zone de quarantaine, un groupe de mercenaires bien armés s'aventure dans ce qui reste de Sin City avec 32 heures pour voler 200 millions de dollars à un casino abandonné. Malheureusement, les résidents morts-vivants de l'endroit sont intelligents, rapides et (malheureusement pour nos héros) très organisés.
Où regarder: Dans les salles le 14 mai, sur Netflix le 21 mai.
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Spiral
Vedettes: Chris Rock, Samuel L. Jackson, Max Minghella
Réalisateur: Darren Lynn Bousman
Le maigre: Dans le neuvième film de la franchise d'horreur "Saw", le détective Ezekiel Banks (Rock, également producteur exécutif), son père (Jackson) et un flic recrue (Minghella), enquêtent sur une série de meurtres macabres portant l'étrange familier. symbole du puzzle du cerveau de la fabrication de pièges.
Où regarder: Dans les salles le 14 mai.
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A Quiet Place Part II
Vedettes: Emily Blunt, Millicent Simmonds, Cillian Murphy
Réalisateur: John Krasinski
Le maigre: La suite d'horreur reprend de la fin tragique du hit original de 2018, alors qu'une mère (Blunt) et ses deux enfants (Simmonds et Noah Jupe) s'aventurent dans le monde, essayent de garder le silence et d'éviter d'être attaqués par des vicieux. des monstres aveugles et découvrez de nouvelles menaces humaines.
Où regarder: Dans les salles le 28 mai.
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F9
Vedettes: Vin Diesel, Michelle Rodriguez, John Cena
Réalisateur: Justin Lin
Le maigre: Dans la neuvième extravagance d'action "Fast and Furious", Dominic Toretto (Diesel) et son équipe accueillent le vieil ami Han (Sung Kang) - que tout le monde pensait mort - dans la famille tout en faisant face à une double menace: un retour hacker ennemi (Charlize Theron) et frère cadet tueur de Dom (Cena).
Où regarder: Dans les salles le 25 juin.
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Black Widow
Vedettes: Scarlett Johansson, Florence Pugh, Rachel Weisz
Réalisateur: Cate Shortland
Le maigre: L'agent secret résident des Avengers, Natasha Romanoff (Johansson) obtient enfin son propre film de super-héros Marvel en solo. La nouvelle aventure trouve Black Widow face aux conséquences de son ancienne vie d'espionne, renouant avec sa «sœur» Yelena (Pugh) et s'attaquant au mystérieux supervillain Taskmaster.
Où regarder: dans les salles et sur Disney + le 9 juillet.
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Space Jam: A New Legacy
Vedettes: LeBron James, Don Cheadle, Zendaya
Directeur: Malcolm D. Lee
The skinny: Un réoutillage de "Space Jam" de Michael Jordan en 1996, la nouvelle comédie familiale animée / live-action trouve James (comme lui-même) emmené dans un paysage numérique par une intelligence artificielle voyous (Cheadle). Pour s'échapper, le héros des cerceaux fait équipe avec la Tune Squad de Bugs Bunny pour claquer un groupe de stars du basket-ball monstrueusement puissantes.
Où regarder: Dans les salles et sur HBO Max le 16 juillet.
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The Suicide Squad
Vedettes: Margot Robbie, Idris Elba, Viola Davis
Réalisateur: James Gunn
Le maigre: l'honcho du gouvernement Amanda Waller (Davis) envoie un groupe hétéroclite de super-vilains emprisonnés - y compris Harley Quinn (Robbie), Bloodsport (Elba) et Peacemaker (John Cena) - dans une mission insensée sur une île isolée qui implique des guérilleros, la jungle menaces et une étoile de mer géante.
Où regarder: dans les salles et sur HBO Max le 6 août.
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Respect
Vedettes: Jennifer Hudson, Forest Whitaker, Marlon Wayans Réalisateur: Liesl Tommy
Le maigre: Le biopic musical raconte la vie d'Aretha Franklin (Hudson), la reine de la soul, depuis son enfance à Detroit en chantant dans l'église baptiste de son père (Whitaker) jusqu'aux années 1960 tout en se développant en tant qu'artiste, naviguant dans un drame interpersonnel et devenir une célébrité internationale. Où regarder: Dans les salles le 13 août.
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Candyman
Vedettes: Yahya Abdul-Mateen II, Teyonah Parris, Colman Domingo
Directeur: Nia DaCosta
Le maigre: Utilisant le "Candyman" original de 1992 comme légende urbaine dans sa propre intrigue, la refonte de l'horreur produite par Jordan Peele suit un artiste de Chicago (Mateen) si intrigué par le mythe obsédant d'un tueur aux mains crochues qu'il devient une fontaine de besoin d'inspiration, même si elle fait un certain nombre sur sa santé mentale.
Où regarder: Dans les salles le 27 août.
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carnet-spirales · 3 months
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omgtherese · 3 years
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swedesinstockholm · 3 years
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lettres à Kristen Stewart #8
Chère Kristen,
Vingt-six ans y avait de la belle moquette rouge et verte dans les escaliers de notre B&B. Tous les matins on passait devant la statue de Paddington, l'ours avec le duffle coat, moi je marchais dans la rue avec mon bonnet beige sur mes cheveux courts mes Dr Martens et mon grand manteau noir, j'aimais bien mon allure, je me sentais masculine avec. Manon voulait faire les magasins à Oxford Street, comme c'était sa première fois à Londres j'ai dit ok et je me suis laissée engloutir par les canapés en velours rose poudré de l'étage de la lingerie chez Selfridge's pendant qu'elle essayait des soutiens-gorge et des culottes sophistiquées. Moi je préférais les pyjamas d'homme en soie délicate. Y avait de la belle moquette léopard très épaisse par terre, on aurait dit qu'ils avaient décoré l'étage rien que pour moi. J'avais emmené un gros carnet à spirales en plus de mon journal où je notais toutes les choses qui m'avaient plu dans la journée, comme la moquette, ou tous les trucs gigantesques que je rencontrais dans les musées: les deux énormes colonnes en pierre qu'ils étaient en train de rénover derrière une vitre à la Tate Britain, les ziggurats mésopotamiens et la porte d'Ishtar au British Museum, le tableau du 19e avec la statue colossale de Jupiter trônant au dessus d'une ancienne cité grecque imaginaire, le Turbine Hall de la Tate Modern. J'allais tout voir et je prenais des notes sur mon téléphone. Je me sentais émerveillée par le monde entier et je commençais à me poser des questions sur tout. Est-ce qu'il faut boycotter le British Museum parce que tout ce qu'il y a à l'intérieur a été pillé sans scrupules? Est-ce que je de devrais me sentir coupable d'éprouver autant de plaisir à traîner chez Fortnum & Mason parce que c'est chic et cosy et plein de promesses? Est-ce que ce millième voyage Ryanair à Aarhus est vraiment justifié?
J'étais partie à Londres pour échapper à la maison et à la dépression et à ma hantise de finir comme la folle qui vit avec sa mère folle dans Grey Gardens en répétant qu'elle va partir à New York et devenir une star de Broadway. Quand Manon est repartie à Lille j'ai emménagé chez mon amie Sonia de l'autre côté de la Tamise. Le matin elle partait au travail et moi je partais promener mon désoeuvrement dans les rues. J'avais l'impression d'errer sans fin finie. Je faisais ce qui me plaisait toute la journée mais j'enviais les gens dans le métro qui avaient un métier ou un but ou une vie bien remplie. Comme l'hôtesse de l'air avec les petites lunettes rectangulaires dans l'avion pour Valence qui racontait à l'autre hôtesse de l'air qu'elle venait de s'acheter des écouteurs waterproof chez Décathlon pour écouter de la musique en nageant et qu'elle en était vraiment contente. Tout d'un coup je me suis demandé ce que je faisais là, je voyais même pas les Pyrénées parce que j'étais pas à côté du hublot, pourquoi j'étais encore en train de faire la queue pour monter dans un avion Ryanair? Pour quoi faire au juste? Encore plus que de retourner en Islande, j'avais envie de faire partie de quelque chose. A Londres je suis allée voir une expo de recent fine arts graduates à l'ICA et je me suis dit dude, je vois pas la différence avec ce que je fais. Depuis l'Islande j'avais une espèce de foi inébranlable dans mes capacités artistiques, c'était le seul domaine où j'avais confiance en moi. Je me répétais que j'avais tout pour réussir et je me faisais des clins d'oeil dans le miroir comme Diane von Fürstenberg. Un soir j'ai accompagné Sonia à une conférence qui s'appelait Women in business avec mes Dr. Martens et mes cheveux en bataille et c'était la première fois que je me présentais comme une artiste. And what do you do? Oh I'm An Artist. Ma voix tremblait à peine.
Toi Kristen tu sortais avec Annie Clark à cette époque, je l'ai marqué dans mon journal. J'étais tellement impliquée dans ta vie que j'avais l'impression que c'était moi qui avais une nouvelle copine. Je me suis même mise à utiliser le mot dude dans mon journal comme si j'étais née en Californie. A Londres je suis allée m'acheter Chelsea Girls d'Eileen Myles au Brick Lane Bookshop et j'ai revu la fille à la voix rauque qui faisait trembler mes genoux. Je l'avais déjà vue en février, à chaque fois j'étais obligée d'acheter un livre pour pouvoir passer à la caisse et la regarder dans les yeux. Je me demandais comment je pourrais lui proposer d'aller boire un verre avec moi mais c'était un peu comme si je me demandais comment j'allais traverser la mer de Bering, ça n'arrivera jamais, même si j'en ai vraiment envie. Un matin à Valence je suivais un couple de lesbiennes à travers le quartier du Carmen, je crois qu'elles allaient au grand marché central, parfois elles se touchaient légèrement les fesses, et puis elles se sont passé un bras autour du cou. J'arrêtais pas d'y repenser quand je suis rentrée à la maison. C'était la période des pubs de parfum à la télé et j'avais envie de claquer du pied sur le toit d'un immeuble parisien comme Amanda Seyfried quand elle allume la tour Eiffel avec ses escarpins, je claque du pied sur le toit de ma chambre clac je marche sur le petit trottoir de la petite rue espagnole avec ma copine et notre chien et notre caddie à roulettes dans le soleil du matin. Clac j'habite dans une coloc fantastique à Schöneberg dans une chambre remplie de soleil je fais partie d'un collectif d'artistes et j'ai un job dans une petite librairie de quartier. En attendant, le soir de mon anniversaire à Londres on était au lit à onze heures dans la chambre du B&B parce que Manon était fatiguée, elle s'est endormie tout de suite et je me suis retrouvée seule avec ma tristesse jamais bien loin.
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florencedeleurence · 6 months
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poèmes,poésie,textes,carnet à spirales|Le carnet à spirales
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photon1963 · 4 years
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L’encrieur
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Les cris turent les mots dans l’encrier tant ma prose est sang pour coi.            
Malmené, mon vers chaloupe sous une « lune-plume » sans voix en soi ;
Des yeux …. des Saxes délirants …. Percent, …. Félin Satin, L’aube pleine, venue par leurre  en d’opales lueurs.   De l’union de l’orbite beauté abyssine en pleurs Et des rythmes mnésiques battant peau de chagrin, Je rebâtis à neuf mes noires perles d’encre jetée Raclant de hasard et de nécessité, le fond des idées Qui remontent en nappe par la force seule d’un fervent levain.   Inspiré, me pressant d’elle sous le temps, L’envolée est un ferment servant Pour devins manuscrits soumis à de vains destins .   Je n’écris plus que sur de fines marges, Celles que captive ma destinée spirale. Je cherche le reste de mes pages Libérées du tourbillon brideur et central.   La ligne rouge à ses pointillés Qui  blessent le vide en retenant les mots. Mes bâtisses d’encre l’étalent dans l’espace clos De vestiges froissées en papier chiffonnés.   En catéchèse  - sous barreaux, Je me retiens à petits carreaux ; Je souffre sur l’encre d’un souffle qui s’assèche, Quand le bureau fait son office par verdicts revêches.   Déclarés coupables de béance par sentences « ténébrantes » Les mots s’éparpillent réprimant toute blancheur térébrante.   Que deviennent dès lors mes papillons Quand le livre-feuilles est refermé ? Un carnet désincarné au papier remâché ? Le mémo collector des mots punaisés d’aiguillons.   Sont-ils repliés sur eux-mêmes, A la manière d’un chat lové Attendant le réveil pour s’étirer, En aiguisant les griffes que nos peaux aiment ?   Sur le vélin feuillage né d’une canopée, Dos à dos, sous contraintes abouchés, Les pages se font face en licteurs voraces, Dans un collé-serré interlope et salace.   Nées de ma mémoire-grimoire polygame, Elles se préfacent, insanes, de grimaces infames, Dans une somme de «je suis », plus pensum Que « Post-partum » de tome d’homme.  
Je fus elle qui était moi Nous fûmes - elle l’émoi C’est tout – C’est court ! Oui cela fut - Point à la ligne. Un point – c’est court. Et c’est tout. Oui c’est tout. Tout ça pour ça ? Oui c’est ça ! C’est l’idée - quoi ! Point d’exclamation ! Il n’y a point d’acclamation ? Ça n’existe pas. C’est une fiction alors ? P’t’être bien … C’était quoi alors ? Les fées de mémoires -
La recréation maîtresse.
  AD cris et des tours
Ecrire pour le pire ou Ecrire pour navrer sont les deux principes de ceux qui devraient mieux raturer d’abord et finir par remplir la corbeille dans tous les cas.
Remerciement à Myriammyasblog1 pour le Gif 
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gif de Joël Rémy représentant Myr-iam -  Paix-je suis
Myriam à la belle âme, aux paupières chantournées sur un vaste et faste imaginaire, si rien ne cille sous ton large front  un seul battement de tes lèvres a sur nos mondes ce bel effet que l’on dit papillon.
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