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#pont du diable
pasparal · 2 years
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Le Pont du Diable Olargues, Languedoc-Roussillon, France Taken on May 16, 2010 Photographer: Paul Atkinson Source: Flickr
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ave-ari · 1 year
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Finished a soft pastel piece tonight!
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astipaxvancizbu · 2 years
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Saint-Palais-sur-Mer, entre le Puits de l'Auture et la maison des douaniers (avec un Moaï) en passant par la Pointe du Diable (et son pont) et l'ancien bureau des PTT, Saint-Palais-sur-Mer, Charente Maritime, France, juillet 2022
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philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52795 photos
2009. 
- les 5 premières : Quelques jours en Auvergne, dans la maison familiale de Vichel. 
Son cognassier tout tordu, son poirier fiché d’une vieille croix rouillée, et son verger de pruniers en fleurs.
- le village auvergnat de Montpeyroux et les Monts Dore enneigés au loin.
- les deux dernières : poursuite vers Marseille en passant par l’Ardèche. Ici Thueyts, sa coulée basaltique et le Pont du Diable
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filmap · 1 year
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L'événement / Happening Audrey Diwan. 2021
Beach Le Pont Du Diable, 17420 Saint-Palais-sur-Mer, France See in map
See in imdb
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aigle-suisse · 3 months
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Le Pont du Diable - Thueyts - Ardèche
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Le Pont du Diable - Thueyts - Ardèche par Laurent GLASSON
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calochortus · 4 months
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Le pont du Diable
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Le pont du Diable by Christina Marsh Via Flickr: Doubs, France
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ecnerual · 3 days
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La chartreuse Notre-Dame est un ancien monastère de l'ordre des Chartreux qui a été fondé en 1320 par le pape Jean XXII à l'emplacement d'une ancienne commanderie des Templiers de Cahors. Aujourd'hui disparue, le grand cloître se trouvait à l'emplacement du cours de la chartreuse et rue de la chartreuse.
Le pont Valentré (en occitan pont de Balandras), également appelé pont du Diable, est un pont fortifié du xive siècle franchissant le Lot à l'ouest de Cahors, en France. Il représente, avec ses trois tours fortifiées et ses six arches précédées de becs aigus, un exemple de l'architecture de défense du Moyen Âge
L'histoire du pont de chemin de fer de Cahors se confond avec celle de la ligne Montauban-Brive. Déclarée d'utilité publique par la loi du 11 mars 1879, celle-ci avait une importance capitale car il s'agissait du tracé le plus court entre Toulouse et Paris. Une première section entre Montauban et Cahors entraîna la construction de plusieurs ouvrages d'art : ponts sur le Tarn et l'Aveyron, viaducs et pont sur le Lot. La construction de ce dernier fut confiée à la Compagnie Fives-Lille. Les travaux, suivis par deux ingénieurs civils : Jean Lantereis et Jean-Pierre Lacaze, commencèrent en mars 1880 et s'achevèrent en juin 1883.
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leleaulait · 1 month
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Mayka à la mer, le pont du diable et beaucoup trop de vent.
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mich-bois · 2 years
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LE PONT DU DIABLE.
Anzème.
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Bataille au Pont du Diable 1799 by Jean Baptiste Seele
I assume the tiny-ness of the planks is for drama, but like the visuals of it all
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stumbleimg · 1 year
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[OC] The Hérault under the Pont du Diable, Saint Ghilem du Désert, France [4624×2604]
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nelwen-e · 1 year
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Une Goutte dans l'Océan - Chapitre 9. Je mens, tu mens, il ment.
Chapitre précédent.
Premier chapitre.
English version.
Archive of our own (english only).
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Alice ouvrit une des fenêtres le plus doucement possible tandis qu’Elizabeth finissait d’attacher les derniers tissus entre eux pour former une corde et que le gouverneur Swann commençait à leur parler derrière la porte de la cabine, certainement incertain sur comment réagir après le spectacle qu’elles avaient donné.
« Il faut escalader jusqu’à la chaloupe, vous vous en sentez capable ? chuchota Alice à Elizabeth. »
La blonde opina du chef et accrocha leur corde de fortune. Alice enjamba la fenêtre et descendit prudemment jusqu’à pouvoir s’accrocher sur la ligne de fenêtres. Elle vit la silhouette fine d’Elizabeth la suivre avec prudence, mais détermination. Les deux jeunes femmes se glissèrent, en espérant qu’aucun soldat ne les repère, jusqu’à la chaloupe qui se balançait doucement dans l’air. Le pont semblait très calme, la majorité des soldats étant partis avec Jack et le Commodore. Les deux jeunes femmes grimpèrent dans la chaloupe et firent jouer les poulies pour faire descendre l’embarcation. Une fois l’eau atteinte, Elizabeth empoigna les rames.
« Vous avez l’air d’être suffisamment fatiguée comme cela, je m’en occupe. »
Alice lui adressa un sourire amical et s’installa dans l’embarcation. Le bruit des rames fendant l’eau dans le silence la rendait inconfortable. Elle voyait au loin les silhouettes des chaloupes des militaires se découper sous les rayons lunaires. Au bout de quelques minutes, alors que le navire disparaissait dans les ténèbres, Alice entrevit la figure du gouverneur passer la tête à travers la fenêtre de la cabine du capitaine.
La chaloupe se glissa silencieusement auprès du Black Pearl. Les deux jeunes femmes escaladèrent jusqu’au bastingage et passèrent silencieusement sur le pont. Deux voix les avaient alertées sur la présence d’un équipage. Alors qu’elles s’apprêtaient à avancer, la figure macabre du maniaque les prit de cours, d’un geste commun les deux femmes le saisirent à deux mains avant de l’envoyer valdinguer par-dessus bord. Un bruit métallique leur fit passer la tête par-dessus le bastingage, et deux visages de squelettes apparurent à la lucarne du canon avant de lever les yeux vers elles. La discrétion venait de se terminer. Alice saisit la main d’Elizabeth et l’entraîna vers la cale. Les pas et les voix rageuses des pirates montèrent dans leur direction avant de les dépasser alors qu’elles s’étaient cachées. Lorsque les pirates s’éclipsèrent vers le pont supérieur, Elizabeth entraîna Alice vers le pont inférieur et les geôles.
« Alice, Elizabeth ! fit maître Gibbs en s’accrochant aux barreaux. »
Alice trouva rapidement les clefs pour libérer l’équipage de son frère. Ensemble, ils poussèrent les deux pirates par-dessus bord sous le hourra de l’équipage.
« Tous ensemble avec nous ! s’écria Elizabeth. Will est dans cette caverne et nous devons le sauver. Parez, o-hisse, s’écria-t-elle une deuxième fois en saisissant les cordages qui tenaient la chaloupe. »
Les cordes glissèrent des mains d’Alice devant l’inaction des pirates, et Elizabeth s’arrêta également.
Nous ne pouvons rien faire sans vous, venez nous aider.
Le calme après la tempête
Cotton a raison, nous avons le Pearl avança Gibbs.
Que va devenir Jack, ? Vous abandonnez votre ami, s’exclama Alice outrée.
« Jack nous doit ce navire, s’exclama Marty.
—  Faut qu’on applique le Code, commenta Gibbs sans la regarder dans les yeux »
Elizabeth les regarda, désabusée.
« Le Code, souffla-t-elle. Vous êtes des pirates, au diable le code et au diable les règlements, ce n’est rien qu’une sorte de guide en fait. »
Cette fois si Gibbs regarda Alice dans les yeux.
« Désolé, mais le Code, vous savez… »
Sur ces mots Alice lui lança un regard noir avant de saisir la main d’Elizabeth et de la tirer vers la chaloupe.
« Eh bien, nous le ferons seules. Tant pis pour ces maudits pirates. »
Les deux jeunes femmes entreprirent de mettre la chaloupe à flot, et cette fois-ci Alice prit les rames.
« Maudits pirates, pesta Elizabeth. »
Les deux jeunes femmes arrivèrent dans le cahot de la grotte. Will était aux prises avec trois pirates, et Jack se battait avec Barbossa. Elles attrapèrent des objets contondants et allèrent porter assistance à Will qui afficha une mine des plus surprises en les voyant. Les trois pirates furent assommés rapidement et le trio regarda le combat entre Barbossa et Jack d’un œil interrogateur.
« De quel côté est Jack ? demanda Elizabeth.
— Ça dépend des moments, s’amusa Will. »
Alice dévisagea son frère qui continuait de bretter avec le capitaine pirate, sa forme tenant tantôt du squelette, tantôt du frère qu’elle connaissait. Elle sortit rapidement de sa léthargie, les pirates reprenaient leurs esprits. Alice se précipita vers une vieille épée qui dépassait du trésor et entama de se battre aux côtés de Will et Elizabeth. Rapidement, ils prirent le dessus sur les pirates en prenant l’avantage sur leur forme squelettique. Elle vit du coin de l’œil Will grimper près du coffre et Jack lui lançait une pièce dans les airs, qu’il rattrapa prestement. Alors qu’Elizabeth se précipitait vers Will. Jack cessa de bouger et Barbossa saisit son pistolet, qu’il braqua sur Will. Un coup de feu retentit dans la caverne.
Jack.
Il venait de tirer son unique balle.
« Dix ans que tu traînes ce pistoler et tu gâches ta seule balle.
—  Il ne l’a pas gâchée, répliqua froidement Will, la main au-dessus du coffre. »
La pièce tomba sèchement dans le coffre, et Barbossa ouvrit sa chemise. Une tache rouge naissait sur son torse.
Il murmura quelque chose qu’Alice n’entendit pas, avant de s’effondrer au sol.
Alice se précipita vers son frère avant de se jeter dans ses bras.
« Ne refais plus jamais, jamais ça, Jack. »
Le pirate se contenta de la serrer légèrement avant de se détacher.
Alice reprit de sa contenance et se mordit la lèvre. Son cœur essayait tant bien que mal de se calmer dans sa poitrine, tandis que Jack commençait à farfouiller dans le trésor. Le regard d’Alice croisa un instant celui d’Elizabeth, qui lui donna un sourire désolé.
Une boule se forma dans le ventre de la jeune femme. Le Black Pearl était parti sans eux. Seul restait le navire de la Navy. Jack n’avait pas d’échappatoire. Alice regarda ses pieds et se dirigea vers la chaloupe alors que Will et Elizabeth échangeaient à voix basse et que Jack récupérait du butin. Il ne savait pas que son équipage l’avait abandonné.
Une fois tous installés sur la chaloupe, Elizabeth et Alice échangèrent des regards embarrassés. Alice se passa la main sur la figure et se tourna vers son frère qui regardait vers l’horizon, et la mer qui se dévoilait derrière la bouche de la cavité.
« Jack… souffla Alice.
— Ouais sœurette ?
— J’ai quelque chose à te dire… »
Jack se retourna vers elle. Son regard s’affaissa en rencontrant le sien. Sûrement se doutait-il que la nouvelle n’était pas bonne. Alice décida de trancher au plus vite.
« Ton équipage est parti avec le Black Pearl. Je suis navrée Jack. »
Son frère se tourna de nouveau vers l’horizon, sans rien dire.
« Je suis désolée, Jack, lança Elizabeth. »
—  Ils ont fait ce qu’ils croyaient devoir faire, répondit-il laconiquement. On ne peut pas en demander plus que ça. »
Un long silence s’abattit tandis que Will continuait de ramer.
« Au fait, lança Jack, Alice et moi, nous ne nous sommes jamais rencontrés avant le jour où je l’ai forcée à m’accompagner avec maître Turner. N’est-ce pas ?
— Absolument, s’empressa de jurer Elizabeth en se saisissant de la main d’Alice dont les yeux commençaient à chauffer. »
Elle serra la main de la jeune femme et porta son autre main à la bouche et se mordilla les doigts. Sa gorge lui semblait si sèche et ses yeux si douloureux.
Le reste du trajet se fit en silence et l’arrivée sur l’Intrépide dans une atmosphère lourde. Jack fut placé immédiatement aux fers. Tandis que le Gouverneur serrait sa fille qui ne lâcha pas la main d’Alice, qui semblait postée sur elle-même. Son visage était si mutique, ses yeux si perdus et ses mains si serrés, qu’il était complexe de ne pas croire qu’elle fût traumatisée par l’expérience. Alors qu’elle ne pensait qu’au fait qu’elle allait perde son frère une seconde fois, et définitivement.
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istmos · 2 years
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Denis Roche
"En 1971, Françoise et moi avons entrepris un voyage d’été à travers la France profonde qui nous a menés, entre autres, dans les Causses et les Cévennes, région à laquelle je suis fortement attaché parce que j’en suis originaire. On s’arrête à Pont-de-Montvert, petit village au bord du Tarn (à cet endroit c’est un gros torrent) au pied du mont Lozère. Une ruelle mène en haut à l’église, qui se dresse sur un épaulement au-dessus du cimetière, de sorte qu’ils sont séparés par un muret qui sert de banquette tout au long de la terrasse qui flanque l’église, le cimetière se trouvant en contrebas, à quelques mètres en dessous du mur.Je prends des photos. Je dis à Françoise de s’asseoir sur le muret. Je la photographie à peu près centrée : à sa gauche, un bout de la terrasse herbue noyée dans l’ombre des tilleuls, à sa droite, plus franchement, le cimetière en contrebas. Rien de spécial, simplement une photo souvenir. Une image sentimentale. En 1984, soit treize ans plus tard, par hasard, nous repassons par Pont-de-Montvert et je dis à Françoise : «Tu te souviens qu’on avait fait des photos ici, il doit bien y avoir une dizaine d’années, si on refaisait la même?» Je me souviens assez précisément de l’endroit du mur où elle était assise, et elle de la pose qu’elle avait prise : assise de biais, les jambes croisées, le visage penché en avant, les deux mains sur la pierre, l’un franchement à plat, l’autre touchant seulement la pierre du bout des doigts. J’ai un peu de mal à retrouver le cadrage initial, mais non, une fois l’oeil collé au viseur, ça me revient assez naturellement. Je me souviens même que le bas de l’image s’arrête à mi-hauteur de ses jambes. Nous sommes assez contents de nous. Dix ans plus tard, en 1995, sachant que nous devions faire halte à nouveau à Pont-de-Montvert, je prends soin de me munir, avant de quitter Paris, des tirages de nos deux précédents séjours. Cette fois-ci, évidemment, ce n’est plus seulement le hasard sentimental qui nous guide: l’affaire est dûment préméditée et une implication esthétique d’ensemble se dessine. Bon, une troisième image est donc faite.(...) Or, il y avait là, justement, les trois photos de Pont-de-Montvert. Je commence donc à raconter leur histoire. C’est à l’instant où je désigne la troisième image, celle de 1995, que je réalise que le thème initial – le fait que Françoise a sans doute changé, d’âge, d’aspect, allez savoir, en deux fois dix ans – est devenu secondaire et même, pourrait-on dire, peu visible; alors je passe tranquillement, sautant d’une phrase à l’autre, au sujet évident de cette entreprise, à savoir que c’est le cimetière qui a changé et non Françoise: en effet, d’anciennes tombes ont disparu, elles ont été nivelées au profit d’imposantes tombes récentes en belle pierre blanche, un mur blanc lui aussi a fait surface en bordure des tombes, une maison toute neuve occupe aussi l’angle droit de l’image. Et je conclus ma courte allocution par ces mots : « Ces photos apportent bien la preuve que ce n’est pas la vie qui a changé, mais la mort.». Après, pendant des années, j’ai dit à Françoise qu’il fallait y retourner, qu’il me semblait qu’une autre photo nous y attendait. Mais, outre le fait qu’il faut y aller, à Pont-de-Montvert – que c’est toujours une expédition, d’où qu’on vienne, et que la route est sinueuse -, un début de superstition avait commencé à sourdre de là-dessous, au point que des amis m’avaient alerté sur le thème «ça commence à bien faire, toi et ton histoire de cimetière, il ne faudrait tout de même pas tenter le diable » . Mais rien n’y faisait, j’étais obsédé par l’idée qu’il y avait quelque chose à clore là-bas.Mon obstination m’a donné raison : nous y sommes retournés à la fin de l’été 2005. Il faisait un temps magnifique. Tout s’est mis en place, quelque chose qui était de l’ordre du bonheur et de la paix : la quatrième image était bien celle qui fallait. Françoise a changé de position sur ce fichu mur et tout était dit. L’affaire était entendue. Il avait fallu trente-quatre ans pour y arriver et clore, très évidemment la série."
source: La photographie est interminable : entretien avec Gilles Mora/Denis Roche, Seuil, 2007
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francepittoresque · 1 year
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LÉGENDE | Ponts merveilleux construits par des êtres légendaires ➽ http://bit.ly/Ponts-Merveilleux On attribua à des êtres surhumains la construction de certains ponts hardiment jetés entre deux collines escarpées ou sur le courant de fleuves renommés par leur impétuosité ou la soudaineté de leurs crues. Lorsqu’il s’agissait du diable lui-même demandant tribut, il n’était pas rare de voir les hommes le berner en lui livrant un chat au lieu du premier humain traversant le pont...
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aigle-suisse · 3 months
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643 par denis
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