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#théâtre tableau
tetedenoeuds · 8 months
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🕯️Une grosse étape de validée dans le Cito’s project : la validation de la carte avec la disposition des différents éléments.
📜Vous pouvez voir des vues rapprochées des scènettes et une première version de la carte !
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parnasse31 · 11 months
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Le dramaturge Henrik Johan Ibsen (1828-1906) par Athèna Via Flickr : Le dramaturge Henrik Johan Ibsen (1828-1906) (1895, Nasjonalgalleriet, Oslo) d'Erik Werenskiold (1855-1938)
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Auguste Bert :: Le spectre de la rose [Tamara Karsavina dans le rôle de la jeune fille], Théâtre de Monte-Carlo, 19-04-1911.
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Auguste Bert :: Le spectre de la rose [Tamara Karsavina dans le rôle de la jeune fille], Théâtre de Monte-Carlo, 19-04-1911.Le spectre de la rose : tableau chorégraphique / chorégraphie de Michel Fokine. | src Gallica ~ BnF
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lepartidelamort · 2 months
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Il faut prendre le temps de lire le sermon de Macron, lu hier au Panthéon, à propos de ce terroriste communiste, le métèque Manouchian.
Quelques uns ont peut-être entendu, de loin, ce mauvais acteur de théâtre coaché par Brigitte, mais personne, ou presque, n’a lu à tête reposée les énormités qu’il a débitées.
Allons aux passages les plus mirobolants.
Élysée.fr :
Est-ce donc ainsi que les Hommes vivent ? Des dernières heures, dans la clairière du Mont-Valérien, à cette Montagne Sainte-Geneviève, une odyssée du vingtième siècle s’achève, celle d’un destin de liberté qui, depuis Adyiaman, survivant au génocide de 1915, de famille arménienne en famille kurde, trouvant refuge au Liban avant de rejoindre la France, décide de mourir pour notre Nation qui, pourtant, avait refusé de l’adopter pleinement.
Le tableau est planté. Le métèque, héroïque, est le « patriote », bien que par définition la patrie est la terre des pères, propriété exclusive des autochtones. Dans la foulée, Macron fait d’emblée peser l’accusation sur les Français d’alors, et en filigrane ceux d’aujourd’hui, qui manquaient d’enthousiasme face aux flots de rastaquouères qui, déjà, se bousculaient en France.
Dans une inversion remarquable, la soi-disant « résistance », pourtant longtemps présentée aux masses (mensongèrement) comme le parti des autochtones qui voulaient que les Français restent les maîtres chez eux et chassent l’occupant étranger, devient le symbole de l’étranger qui résiste à l’autochtone, frappé de suspicion.
On le comprend : cette mise en scène voulue par le pouvoir est une mise en accusation formelle des Français de sang.
Reconnaissance en ce jour d’un destin européen, du Caucase au Panthéon, et avec lui, de cette Internationale de la liberté et du courage. Oui, cette odyssée, celle de Manouchian et de tous ses compagnons d’armes, est aussi la nôtre, odyssée de la Liberté, et de sa part ineffaçable dans le cœur de notre Nation. Reconnaissance, en cette heure, de leur part de Résistance, six décennies après Jean Moulin.
En un paragraphe, un jet d’énormités mêlées de crachats, d’une facture si caractéristique que l’on sait que la main qui l’a rédigé est juive.
On découvre un « destin européen » prêté à un immigré arménien encarté au Parti Communiste, satellite français de l’Union Soviétique dont l’unique horizon était pourtant la dictature mondiale du « prolétariat », pas « l’Europe ».  Un satellite caporalisé par les commissaires politiques juifs au sein du Komintern, l’internationale communiste, fondée par le juif Zinoviev.
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Grigori Zinoviev, avant sa liquidation par Staline en 1936. Il fomentait un coup d’état en coordination avec le juif Lev Bronstein dit « Trotsky ».
Les « compagnons » de Manouchian – les Francs-Tireurs Partisans – Main d’Oeuvre Immigrée – dont parle Macron sont pour l’essentiel des juifs, partisans de la révolution mondiale qui doit abattre les nations.
Cette « internationale de la liberté et du courage », armée et commandée à l’époque par les juifs du Kremlin pour les besoins de leur révolution planétaire, a désormais « une part ineffaçable dans le coeur » de la nation française.
Par un tour de passe-passe, et avec l’aide d’une république prédisposée depuis sa fondation, la nation française deviendrait le « coeur » de l’internationalisme juif.
Est-ce ainsi que les Hommes vivent ? Oui, s’ils sont libres. Libre, Missak Manouchian l’était, quand il gravissait la rue Soufflot, en fixant ce Panthéon qui l’accueille aujourd’hui. Libre, sur les bancs de la bibliothèque Sainte-Geneviève à quelques mètres d’ici, découvrant notre littérature et polissant ses idéaux. Libre avec Baudelaire, dans le vert paradis qui avait le goût de son enfance, dans une Arménie heureuse, celle des montagnes, des torrents et du soleil. Libre avec Verlaine, dont les fantômes saturniens croisaient les siens : son père, Kévork, tué les armes à la main par des soldats ottomans, sous ses yeux d’enfant, sa mère Vartouhi, morte de faim, de maladie, victimes du génocide des Arméniens, spectres qui vont hanter sa vie. Libre avec Rimbaud, après une saison en enfer, souvenirs partagés avec son frère Garabed. Mais voici les illuminations, les Lumières, celle qu’un instituteur de l’orphelinat, au Liban, lui enseigna. Eveil à la langue et à la culture françaises. Libre avec Victor Hugo et la légende des siècles, gloire de sa libre patrie, la France, terre d’accueil pour les misérables, vers laquelle Missak l’apatride choisit à dix-huit ans de s’embarquer, ivre, écrivait-il « d’un grand rêve de liberté ».
La France, terre promise des métèques depuis Rousseau.
S’ils y gagnent « la liberté », les autochtones, eux, récoltent de les subir à perpétuité.
Lui, Missak, « maraudeur, étranger, malhabile » pour reprendre les mots d’un autre poète, combattant qui choisit la France, Guillaume Apollinaire. Etranger, orphelin, bientôt en deuil de son frère tombé malade, et pourtant à la tâche, ouvrier chez Citroën, quai de Javel, licencié soudain, tremblant parfois de froid et de faim. Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Ainsi, le soir après l’usine, Missak Manouchian étudie. Ainsi, sous les rayonnages de livres, Missak Manouchian traduit les poètes français en arménien. Ainsi écrit-il lui-même. Mots de mélancolie, de privations, brûlés du froid des hivers parisiens. Mots d’espoir aussi rendus plus chauds par la fraternité des exilés, par la solidarité de la diaspora arménienne, par le foisonnement d’art et de musique, des revues et des cours en Sorbonne.
Manouchian, le migrant.
Poète et révolté. Quand les ligues fascistes défilent en 1934 au cœur de Paris, Missak Manouchian voit revivre sous ses yeux le poison de l’ignorance et les mensonges raciaux qui précipitèrent en Arménie sa famille à la mort.
Mensonges raciaux !
Nous y voilà.
Pourtant le juif Stavisky, à l’origine du séisme de 1934, tendait à confirmer bon nombre d’observations faites à propos de la race juive, race menteuse, voleuse, agioteuse, perfide.
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Et oui, il y avait encore des Français en France, révoltés, prêts au coup d’état. Ce n’est pas la révolution marxiste chère à Macron, mais celle des vétérans de 1914-1918, revenus du front, qui constatent, 16 ans après une « victoire » illusoire, que la vermine démocratique a prospéré du carnage.
Et Manouchian, le métèque venu de son Arménie célébré par Macron, a, d’après la voix présidentielle, part sur les vétérans du front, du seul fait qu’en France, depuis 1789, le métèque est roi et l’autochtone, traité en chien.
Manouchian, à peine débarqué en France, a les Français dans le nez, ne goûte pas du tout que les survivants des tranchées aspirent à reprendre leur pays des mains juives qui corrompent tout. Il est décidé à leur donner une leçon, comme tout patriote français qui se respecte, en rejoignant le Parti Communiste, cinquième colonne à la botte des juifs de Moscou en France.
Ne serait-ce pas ce qu’aurait fait Jeanne d’Arc à la vue des royalistes dans les rues de Paris ?
Macron en est convaincu, c’est là la plus solide preuve de la francité de Manouchian le manouche.
Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Non. Alors, Missak Manouchian embrasse l’idéal communiste. Convaincu que jamais en France on n’a pu impunément séparer République et Révolution. Après 1789, après 1793, il rêve l’émancipation universelle pour les damnés de la terre. C’est ainsi que Missak Manouchian s’engage contre le fascisme, au sein de l’Internationale communiste, et bientôt à la tête d’une revue, Zangou, du nom d’une rivière d’Arménie. Espoir du Front Populaire, volonté d’entrer dans les Brigades Internationales pour l’Espagne, action militante.
Un autre paragraphe extraordinaire : Macron se fait l’adepte de « l’idéal communiste », celui de Lénine et de Staline, de l’Holodomor donc – en plein soutien à l’Ukraine -, puisque c’est de cela qu’il s’agit à l’époque de Manouchian, non sans passer par la Terreur de 1793.
Pour « libérer » la France des Français.
Quelqu’un mesure-t-il l’insanité de ces propos ?
Surtout, quelqu’un comprend-il qu’ils ont été écrits par des juifs qui, plus que jamais, mènent leur guerre raciale par procuration grâce à l’arme de l’immigration ?
C’est ainsi que Missak Manouchian trouve l’amour : Mélinée, enfant du génocide des Arméniens comme lui ; Mélinée, protégée par l’amitié de ses logeurs, les Aznavourian, parents de Charles, dix ans alors, déjà chanteur. L’amour, malgré le dénuement, ignorer le passé, conjuguer le futur, l’amour fou. Je vous parle d’un temps que ces gens de vingt ans, Missak et Mélinée, ont tant aimé connaître.
Charles Aznavour.
Encore un métèque, plus français que quiconque, mais planqué en Suisse, sur ses montagnes d’or, non sans appeler, jusqu’à la fin, à l’immigration totale.
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Libres en France, ce pays que Missak a choisi adolescent, qui lui a offert des mots pour rêver, un refuge pour se relever, une culture pour s’émanciper. Alors, Missak Manouchian hisse haut notre drapeau tricolore, lors des 150 ans de la Révolution, en 1939, quand il défile dans le stade de Montrouge. Alors, pour servir ce drapeau, Missak Manouchian demande par deux fois à devenir Français. En vain, car la France avait oublié sa vocation d’asile aux persécutés.
Même la France du Front Populaire (!) était donc xénophobe, frileuse. Heureusement que Macron, lui, est audacieux. Avec 500,000 migrants supplémentaires par an, l’asile n’a plus de mystère pour lui.
Alors, quand la guerre éclate, Missak Manouchian veut s’engager. Ivre de liberté, enivré de courage, enragé de défendre le pays qui lui a tout donné. « Tigre enchaîné », selon ses mots de poète, dans les prisons où le jettent la peur des étrangers, la peur des communistes, sous les miradors du camp allemand où il est détenu, en 1941, et où Mélinée vient contre tous les périls lui apporter des vivres.
C’est que la « peur des communistes », qui avait justifié une première arrestation, le 2 septembre 1939, n’avait pas grand chose à voir avec les Allemands, mais tout avec l’interdiction du Parti Communiste qui devait suivre, le 26 septembre 1939, pour intelligence avec l’ennemi, en l’occurrence l’Allemagne.
Le 23 août précédent, 10 jours avant le début de la guerre, Molotov, ministre des Affaires étrangères de l’URSS, avait signé un pacte de non-agression avec son homologue allemand, Ribbentrop, afin d’oeuvrer, pensait-on à Moscou, à une guerre intra-occidentale dont Staline deviendrait l’arbitre, une fois les belligérants épuisés.
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Macron ne parle pas de cette interdiction du Parti Communiste par la Troisième République pour trahison, ni de l’arrestation de Manouchian au nom de cette interdiction pour collaboration avec l’Allemagne contre l’effort de guerre français au profit d’une puissance étrangère, l’URSS. Il ne parle que de sa brève incarcération, à l’été 1941, avant d’être libéré par les Allemands.
Manouchian était simplement un patriote français, trop patriote pour la France du Front Populaire, foncièrement xénophobe, et il agissait par idéal en rejoignant une organisation, le Parti Communiste, dont les crimes, en 23 ans d’existence, étaient abondamment documentés.
Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Oui, au prix du choix délibéré, déterminé, répété de la liberté. Car dans Paris occupé, Missak Manouchian rejoint la résistance communiste, au sein de la main d’œuvre immigrée, la MOI. Il se voulait poète, il devient soldat de l’ombre, plongé dans l’enfer d’une vie clandestine, une vie vouée à faire de Paris un enfer pour les soldats allemands. Guerre psychologique pour signifier à l’occupant que les Français n’ont rien abdiqué de leur liberté. Encore, toujours, « ivre d’un grand rêve de liberté », Missak Manouchian prend tous les risques. Lui qui aime aimer se résout à tuer. Comme ce jour de mars 1943 où il lance une grenade dans les rangs d’un détachement allemand.
C’est sûr, l’arménien Manouchian et ses comparses juifs de Hongrie, de Roumanie, de Pologne étaient décidés à « signifier que les Français n’ont rien abdiqué de leur liberté ».
Est-ce ainsi que les hommes rêvent ? Oui, les armes à la main. Et d’autres sont là, à ses côtés, parce qu’ils sont chassés de la surface du monde et ont décidé de se battre pour le sol de la patrie. Parce que nombre d’entre eux sont Juifs, et que certains ont vu leurs proches déportés : Lebj Goldberg, Maurice Fingercweig, Marcel Rajman. Parce ce que la guerre a volé leurs écoles et leurs ateliers, dans ce Paris populaire et ouvrier où le français se mêle à l’italien ou au yiddish. Parce que les forces de haine ont volé leur passé, là-bas, en Arménie, tel Armenak Manoukian. Parce que ce sont les femmes qui veulent œuvrer pour l’avenir de l’Homme, comme Mélinée, comme la Roumaine Golda Bancic, comme tant d’autres, armes et bombes qu’elles acheminent sans soupçons, filatures qu’elles accomplissent sans trembler. Parce qu’ils sont une bande de copains, à la vie, à la mort.
Pour Macron et son régime, le terrorisme, s’il est juif, devient une nécessité vitale. C’est ce que l’on avait compris depuis le 7 octobre dernier, en effet.
A l’âge des serments invincibles, tels Thomas Elek et Wolf Wajsbrot, une belle équipe comme sur un terrain de football, panache de Rino della Negra, jeune espoir alors du Red Star. Parce qu’ils ont vu mourir la liberté dans l’Italie de leurs parents, comme Antoine Salvadori, Cesare Luccarini, Amedeo Usseglio, Spartaco Fontano. Parce qu’ils ont vu les hommes de fer s’emparer de la Pologne et persécuter les Juifs, comme Jonas Geduldig, Salomon Schapira et Szlama Grzywacz. Parce qu’ils sont pour beaucoup des anciens des Brigades Internationales en Espagne, pays de Celestino Alfonso. Pour qui sonne le glas ? Pour les Polonais Joseph Epstein et Stanislas Kubacki. Pour les Hongrois Joseph Boczov et Emeric Glasz, eux les experts en sabotage, aux fardeaux de dynamite. Parce qu’ils ont vingt ans, le temps d’apprendre à vivre, le temps d’apprendre à se battre. Ainsi de ces Français refusant le STO, Roger Rouxel, Roger Cloarec et Robert Witchitz. Parce qu’ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine, enfants de la Révolution française, guetteurs de la Révolution universelle. Ces 24 noms sont ceux-là, que simplement je cite, mais avec eux tout le cortège des FTP-MOI trop longtemps confinés dans l’oubli.
Il faut vraiment lire et relire ces déclarations, écrites par les juifs.
Macron est spirituellement marxiste et concrètement banquier.
Comme tout juif qui se respecte.
Il a été à bonne école, l’école Rothschild.
Oui, parce qu’à prononcer leurs noms sont difficiles, parce qu’ils multiplient les déraillements de train et les attaques contre les nazis, parce que ces combattants sont parvenus à exécuter un haut dignitaire du Reich, les voilà plus traqués que jamais. Dans leurs pas, marchent les inspecteurs de la préfecture de police – la police qui collabore, la police de Bousquet, de Laval, de Pétain – et l’ombre des rafles grandit.
À l’automne 1943, devenu dirigeant militaire des FTP-MOI parisiens, Missak Manouchian le pressent : la fin approche. Pour alerter ses camarades, il se rend au rendez-vous fixé avec son supérieur Joseph Epstein, un matin de novembre. Missak Manouchian avait vu juste : lui et ses camarades sont pris, torturés, jugés dans un procès de propagande organisé par les nazis en février 1944. Est-ce ainsi que les hommes vivent ? S’ils sont résolument libres, oui. À la barre du tribunal, ils endossent fièrement ce dont leurs juges nazis les accablent, leurs actes, leur communisme, leur vie de Juifs, d’étrangers, insolents, tranquilles, libres. « Vous avez hérité de la nationalité française » lance Missak Manouchian aux policiers collaborateurs. « Nous, nous l’avons méritée ».
« Pousse-toi de là que je m’y mette » est en effet l’attitude récurrent de toute la vermine étrangère que le régime républicain a établi en France depuis un siècle.
Etrangers et nos frères pourtant, Français de préférence, Français d’espérance. Comme les pêcheurs de l’Ile de Sein, comme d’autres jeunes de seize ans, de vingt ans, de trente ans, comme les ombres des maquis de Corrèze, les combattants de Koufra ou les assiégés du Vercors. Français de naissance, Français d’espérance. Ceux qui croyaient au ciel, ceux qui n’y croyaient pas, ceux qui défendaient les Lumières et ne se dérobèrent pas. Est-ce ainsi que les hommes meurent ? Ce 21 février 1944, ceux-là affrontent la mort. Dans la clairière du Mont Valérien, Missak Manouchian a le cœur qui se fend. Le lendemain, c’est l’anniversaire de son mariage avec Mélinée. Ils n’auront pas d’enfants mais elle aura la vie devant elle. Il vient de tracer ses mots d’amour sur le papier, amour d’une femme jusqu’au don de l’avenir, amour de la France jusqu’au don de sa vie, amour des peuples jusqu’au don du pardon. « Aujourd’hui, il y a du soleil ». Missak Manouchian est à ce point libre et confiant dans le genre humain qu’il n’est plus que volonté, volonté d’amour. Délié du ressentiment, affranchi du désespoir, certain que le siècle lui rendra justice comme il le fait aujourd’hui, que ses bourreaux seront défaits et que l’humanité triomphera. Car qui meurt pour la liberté universelle a toujours raison devant l’Histoire. Est-ce ainsi que les hommes meurent ? En tout cas les Hommes libres. En tout cas ces Français d’espérance. « Je ne suis qu’un soldat qui meurt pour la France. Je sais pourquoi je meurs et j’en suis très fier », écrira l’Espagnol Celestino Alfonso avant l’exécution. Et ce 21 février 1944, ce sont bien vingt-deux pactes de sang versé, scellés entre ces destins et la liberté de la France. Pacte scellé par le sang du sacrifice. Un peu avant, avec la force que leur laissent les mois de torture, ils ont crié, « À bas les nazis, vive le peuple allemand ». Conduits aux poteaux, quatre par quatre, les yeux bandés sauf ceux qui le refusent, tombés, les corps déchiquetés, en six salves. Tombés, comme tombera, fusillé en avril au Mont-Valérien, Joseph Epstein, qui sous la torture ne donnera aucun nom, pas même le sien, démontrant jusqu’au bout son courage. Tombés, comme tombera, tranchée la tête de Golda Bancic, exécutée en mai à l’abri des regards dans une prison de Stuttgart. Tombés, ils sont tombés et leurs bourreaux voulurent les exécuter à nouveau par la calomnie de la propagande, cette Affiche Rouge qui voulait exciter les peurs et ne fortifia que l’amour. Car les vrais patriotes reconnurent dans ce rouge, le rouge du Tricolore. Rouge des premiers uniformes des soldats de Quatorze, rouge des matins de Valmy, rouge du sang versé pour la France sur lequel miroite toujours une larme de bleu, un éclat de blanc.
C’est ainsi que les hommes, par-delà la mort, survivent. Ils débordent l’existence par la mémoire. Par les vers d’Aragon, par les chansons, celle de Léo Ferré et tant d’autres. Mémoire portée fidèlement par Arsène Tchakarian, ancien des FTP-Moi ou par Antoine Bagdikian, l’un et l’autre dévoués à honorer d’un même élan la Résistance des Arméniens et la Résistance des Juifs en France, portée par tant de passeurs inlassables.
Aragon, communiste, écrivait dans Les enfants rouges (1932), publié par les presses du Parti Communiste :
Les trois couleurs à la voirie ! Le drapeau rouge est le meilleur ! Leur France, Jeune Travailleur, N’est aucunement ta patrie 
Le rouge du communisme est le rouge du tricolore et des poilus. En fait, tout le monde en France a toujours été communiste, c’est simplement que nous avions besoin des juifs pour le savoir et de Macron pour le dire.
C’est ainsi que les hommes survivent. C’est ainsi que les Grands Hommes, en France, vivent pour l’éternité. Entrent aujourd’hui au Panthéon vingt-quatre visages parmi ceux des FTP-MOI. Vingt-quatre visages parmi les centaines de combattants et otages, fusillés comme eux dans la clairière du Mont-Valérien, que j’ai décidé de tous reconnaître comme morts pour la France. Oui, la France de 2024 se devait d’honorer ceux qui furent vingt-quatre fois la France. Les honorer dans nos cœurs, dans notre recueillement, dans l’esprit des jeunes Français venus ici pour songer à cette autre jeunesse passée avant elle, étrangère, juive, communiste, résistante, jeunesse de France, gardienne d’une part de la noblesse du monde.
Les juifs, la noblesse du monde.
Missak Manouchian, vous entrez ici en soldat, avec vos camarades, ceux de l’Affiche, du Mont-Valérien, avec Golda, avec Joseph et avec tous vos frères d’armes morts pour la France. Vous rejoignez avec eux les Résistants au Panthéon. L’ordre de la nuit est désormais complet. Missak Manouchian, vous entrez ici toujours ivre de vos rêves : l’Arménie délivrée du chagrin, l’Europe fraternelle, l’idéal communiste, la justice, la dignité, l’humanité, rêves français, rêves universels. Missak Manouchian, vous entrez ici avec Mélinée. En poète qui dit l’amour heureux. Amour de la Liberté malgré les prisons, la torture et la mort ; amour de la France, malgré les refus, les trahisons ; amour des Hommes, de ceux qui sont morts et de ceux qui sont à naître. Aujourd’hui, ce n’est plus le soleil d’hiver sur la colline ; il pleut sur Paris et la France, reconnaissante, vous accueille. Missak et Mélinée, destins d’Arménie et de France, amour enfin retrouvé. Missak, les vingt et trois, et avec eux tous les autres, enfin célébrés. L’amour et la liberté, pour l’éternité. Vive la République. Vive la France.
Quelle nausée formidable.
Tout d’abord, ce numéro de cirque mémoriel ne touche qu’un seul public, un public du passé : les boomers, nés après-guerre, formatés par l’antifascisme d’état et son mythe résistantialiste. Pour Macron et sa clique, il s’agit de recréer un semblant d’unité face à la balkanisation généralisée de la société, balkanisation rendue possible par la politique soutenue par les Boomers pendant 50 ans. Derrière une « unité » d’apparence patriotique avec force Marseillaise et flonflons, ce numéro de cirque était d’essence profondément juive, cosmopolite, anti-française, haineuse de l’autochtone. C’est une démonstration de force du parti de l’étranger, identique à la marche des juifs « contre l’antisémitisme ». Paradoxalement, cette opération politico-médiatique conçue par les juifs pour délégitimer les autochtones au profit des immigrés, subliminalement incarné par Manouchian, n’a intéressé que les vieux Blancs, les banlieues ethniques étant complètement indifférentes à ces histoires.
La seconde leçon, c’est que le révisionnisme historique est essentiel dans la déconstruction de ce système foncièrement sémitique. Sans une revue critique des mythes et mensonges historiques martelés par le système, singulièrement ceux, fondateurs, de 1945, aucune action révolutionnaire ne peut être entreprise pour stopper ce système anti-Blancs. La reconnaissance par le RN de la légitimité de l’action des assassins – principalement juifs (plus de la moitié des FTP-MOI) – du Parti Communiste contre les forces nationalistes et l’acceptation de sa victoire politique, idéologique et culturelle après 1944 condamne le RN à n’être qu’une force d’appoint du système, comme jadis le parti gaulliste. La participation du RN à la cérémonie organisée pour le juif Badinter, destructeur du système judiciaire français au profit de la racaille immigrée, annonçait déjà cette subordination complète.
Le troisième point, c’est que, malgré le cirque médiatique, le marxisme international organisé a été irrémédiablement détruit avec l’effondrement de l’Union Soviétique. Si en France ses miasmes continuent de fermenter dans les syndicats, le show business ou l’Éducation Nationale, sa puissance n’a plus rien de commun avec la formidable organisation mondiale qu’il était au siècle dernier. Ce n’est pas Fabien Roussel, partisan de l’OTAN, ou Sophie Binet, d’une CGT groupusculaire, qui feront illusion, pas plus que trotskiste Usul. Le Parti Communiste est si négligeable que Mélenchon, ex-trotskiste et entouré de trotskistes, peut récupérer sans difficulté Manouchian, membre du PC stalinien, pour les besoins de sa retape. Ne pouvant plus aspirer au pouvoir depuis longtemps, dépourvu d’une grande puissance pour le soutenir, ce qu’il reste du marxisme peut être digéré par le système macroniste, appendice de la finance internationale. On voit d’ailleurs à cette occasion comment le marxisme, par son internationalisme corrosif, est parfaitement compatible avec la démocratie financière qui veut abattre nations et frontières grâce à l’immigration. Le fanatisme immigrationniste est bien le dénominateur commun de la bourgeoisie macroniste et de l’extrême-gauche comme cette cérémonie le démontre.
Le quatrième point, plus prosaïque, est d’ordre ethnique. Ces arméniens qui appellent constamment à l’aide pour qu’on les soutienne militairement face à l’Azerbaïdjan et la Turquie sont ceux qui, depuis plus d’un siècle, ont servi de supplétifs aux juifs dans leur guerre contre les Blancs en France. Ces arméniens, à l’image de Manouchian, doivent être récompensés de leurs efforts. Une telle constance mérite salaire. L’attitude nationaliste correcte consiste à soutenir la destruction de l’Arménie qui a appuyé l’effroyable guerre raciale menée par les juifs dans nos rues. La carcasse de Manouchian peut bien être au Panthéon, nous sommes bien vivants et nous avons des comptes à régler avec ces arméniens en leur qualité de fourriers des juifs. L’instrument providentiel de cette vengeance impitoyable assiège actuellement la patrie de ces chiens, j’ai nommé l’Azerbaïdjan. Le plus drôle étant que c’est Israël qui arme cet état contre les arméniens, décidément fort peu doués de flair. Les descendants des arméniens rouges d’hier peuvent bien agiter leur croix, ils ne doivent trouver qu’une porte close à leur supplication.
Bien sûr, il ne faut pas grossir démesurément ce qui n’est qu’une campagne de propagande juive guidée par la peur et la conscience que le pouvoir juif vacille. Cependant, dans la longue guerre que les juifs nous font, il faut voir clair et viser juste. Il faut également se sortir de la cage mentale de facture hébraïque dans laquelle cette race maudite tente de nous maintenir à tout prix.
Quant à ce Panthéon, catacombe de la Judée militante, sa vocation est d’être peuplé de nègres sous crack.
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oviri7 · 1 year
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Lyonel Feininger - Bateaux à voiles, 1929
« Feininger a imaginé un procédé très personnel; il construit son tableau par des triangles débordant les uns sur les autres, qui, par leur transparence, suggèrent des plans successifs, à la manière de ces rideaux légers qu'emploient certains décorateurs de théâtre pour donner l'illusion des lointains. Le thème des régates s'accorde, presque après coup, a cette construction de l'espace. »
E. H. Gombrich - Histoire de l’art
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capitaine-du-terror · 7 months
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Lecture : Du bon usage des étoiles - Dominique Fortier
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Résumé:
En mai 1845, les navires Terror et Erebus, sous le commandement de Sir John Franklin , un explorateur britannique, quittent l'Angleterre pour découvrir le fameux passage du Nord-Ouest. Francis Crozier est le commandant du Terror, l'adjoint de Franklin. C'est lui le personnage central de ce roman, personnage romanesque peu connu, il est tout le contraire de Franklin. Il est un des rares hommes de l'équipage à s'intéresser à l'autre aux esquimaux, considéré comme des sauvages. Commence alors un nouveau voyage, immobile celui-là, au cœur de la nuit polaire et vers les profondeurs de l'être, dont Francis Crozier, commandant du Terror, rend compte dans son journal. Il se languit aussi de la belle Sophia restée avec sa tante Lady Jane Francklin à Londres, où les thés et les bals se succèdent en un tourbillon de mondanités. Inspiré de la dernière expédition de Franklin, Du bon usage des étoiles offre un tableau foisonnant des lubies de la société victorienne- lesquelles ne sont pas sans rappeler certains des travers de la nôtre - dans un patchwork qui mêle avec bonheur le roman au journal, l'histoire, la poésie, le théâtre, le récit d'aventure, le traité scientifique et la recette d'un plum-pudding réussi.
Mon avis :
Dans l'ensemble, il s'agit d'une lecture rapide et agréable qui permet de retrouver des noms bien connus (Crozier, Franklin, Fitzjames, Little, Gore, Hornby, Goodsir …). J'ai eu l'impression de revoir des vieux amis après des années sans nouvelles.
On suit en parallèle la vie de Crozier et sir John et celle de Sophia et lady Jane. Cependant, l'absence d'intrigue supplémentaire rend le récit assez plat. Surtout en ayant déjà connaissance des évènements, j'avais parfois l'impression de lire un résumé romancé de l'expédition plutôt qu'une oeuvre originale.
Point positif, les personnages féminins sont ENFIN bien écrits et doués d'une véritable personnalité. J'ai pris plaisir à lire les passages sur Sophia qui m'est apparue comme une personne bien plus agréable que celle qui était dépeinte par Simmons. Lady Jane n'est pas en reste et brille par sa ténacité. Ce pan de l'histoire négligé dans Terreur est pour moi l'aspect le plus plaisant du récit. Ah, et l'humour aussi (voir extrait ci-dessous).
De nombreux évènements sont sous-entendus, il y a des allusions aux objets découverts plus tard (un gant laissé à sécher, par exemple) : autant de clin d'oeils aux lecteurs avertis. Il me semble que cet ouvrage s'apprécie davantage si l'on a déjà des connaissances de base sur l'expédition de 1845.
En bref, c'est une lecture complémentaire qui égaiera votre dimanche après-midi.
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s12023artnum · 5 months
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La Micro-Folie apporte t-elle réellement une plus value dans la culture ?
La Micro-Folie, plus précisément la Micro-Folie situé à Evry que j'ai pu découvrir dans le cadre d'une sortie pédagogique, est un dispositif culturel qui combine la technologie et la culture pour offrir une expérience immersive et interactive. Grâce notamment à la réalité virtuelle et à la réalité augmentée. La Micro-Folie permet aux visiteurs de découvrir des œuvres d'art, des spectacles et des expositions de manière innovante. Elle offre une expérience incroyable grâce à la réalité virtuelle. Nous avons eu la chance de tester des casques de réalité virtuelle qui nous ont plongé littéralement dans les œuvres d'art, nous permettant de découvrir l'histoire qui se cachait derrière chaque tableau.
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L'un des aspects intéressants de la Micro-Folie est qu'elle permet l'accès à des contenus culturels de différentes régions et pays, sans avoir à se déplacer physiquement. Grâce à la technologie, les visiteurs peuvent explorer des musées, des théâtres et des sites historiques à travers des projections. Et grâce à des tablettes qu’ils ont mis à dispositions des visiteurs nous pouvions voir les détails des œuvres qu’on nous exposait. C'était vraiment pratique pour apprécier encore plus les détails des tableaux. L'un des aspects intéressants de la Micro-Folie est qu'elle permet l'accès à des contenus culturels de différentes régions et pays, sans avoir à se déplacer physiquement. Grâce à la technologie, les visiteurs peuvent explorer des musées, des théâtres et des sites historiques à travers des projections. Et grâce à des tablettes qu’ils ont mis à dispositions des visiteurs nous pouvions voir les détails des œuvres qu’on nous exposait. C'était vraiment pratique pour apprécier encore plus les détails des tableaux.
C'est une expérience qui permet aux étudiants comme nous de vivre l'art de manière nouvelle et passionnante. J'ai vraiment apprécié cette sortie pédagogique et cela m'a permis de développer une nouvelle perspective sur l'art et l'histoire. La technologie a vraiment élargi nos horizons et nous a permis d'accéder à une richesse culturelle sans précédent. C'est une période passionnante pour la culture artistique, et je suis impatient de voir comment la technologie continuera à la transformer et à l'enrichir. La Micro-Folie est un exemple fascinant de la façon dont la technologie peut enrichir notre expérience culturelle. Cela ouvre de nouvelles possibilités pour tous les amateurs d'art et de culture, en leur permettant de découvrir et de participer à des expériences uniques, peu importe où ils se trouvent. C'est vraiment une expérience à ne pas manquer. La Micro-Folie ne se limite pas uniquement aux œuvres et à la réalité virtuelle. Elle a établi également un accompagnement des jeunes ayant un projet artistique à réaliser. Grâce à des programmes et des initiatives spécifiques, la Micro-Folie offre un soutien précieux aux jeunes artistes en les aidant à développer leurs compétences, à obtenir des conseils d'experts et à accéder à des ressources artistiques. Cela crée une véritable dynamique d'échange et de collaboration entre les jeunes talents et les professionnels de l'art, favorisant ainsi leur développement et leur épanouissement artistique. Toujours dans le cadre de la Micro-Folie nous avons pu découvrir les travaux d'une artiste peintre talentueuse qui a pu développer son art grâce à ce dispositif.
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C'est incroyable de voir comment la Micro-Folie offre une visibilité et un soutien à de nombreux artistes émergents et encourage l'innovation artistique. De plus, il y’a également des imprimantes 3D et des machines de flocage de vêtements à disposition des jeunes qui ont un projet. Cela leur permet d'explorer de nouvelles techniques et de donner vie à leurs idées de manière concrète et tester leur premier prototype.   C'est une opportunité fantastique pour les jeunes de concrétiser leurs projets et de faire entendre leur voix dans le monde de l'art. C'est vraiment inspirant de voir comment la Micro-Folie contribue à soutenir et à promouvoir la créativité chez les jeunes talents.
Information concernant la MICRO-FOLIE d'Evry : Lieu : Centre Commercial d'Evry, Niveau 2 Ouverture/Fermeture : Le Lundi de 14:00 à 20:00 Les mardis, mercredis, jeudis, samedis de 10:00 à 20:00. Le vendredi de 10:00 à 21:00.
NAZRA Hamidou
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in--other--words · 1 year
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Vocab List: El Arte // Art // L'Art
Week 3, day 3 of prepolyglot’s langblr reactivation challenge
Adding a read more b/c this list got longer than I expected! Have included Spanish, English and French.
Estilos // Styles // Styles
barroco // baroque // baroque
cubista // cubist // cubiste
urbano // urban // urbain
impresionismo // impressionism // impressionnisme
futurismo // futurism // futurisme
cubismo // cubism // cubisme
Adjectivos // Adjectives // Adjectifs
innovador // innovative // innovant
retador // challenging // provocant
rebelde // rebel // rebelle
creativo // creative // créatif
original // original // original
subjetivo // subjective // subjectif
inquietante // unsettling // inquiétant
provocador // provocative // provocant
espontáneo // spontaneous // spontané
ágil // agile // agile
contemporáneo // contemporary // contemporain
accesible // accessible // accessible
público // public // public
elitista // elitist // élitiste
anticapitalista // anti-capitalist // anti-capitaliste
Tipos // Types // Types
el cine // cinema // le cinéma
un poema // a poem // un poème
el teatro // theater // le théâtre
el baile // dance // la danse
la música // music // la musique
el grafiti // graffiti // le graffiti
un mural // a mural // une murale
un cuadro // a painting // un tableau
Verbos // Verbs // Verbes
crear // create // créer
publicar // publish // publier
exponer // exhibit // exposer
democratizar la cultura // democratize culture // démocratiser la culture
hacer reflexionar // make (people/someone) reflect // faire reflechir
tener un objetivo // have a goal // avoir un objectif
generar emociones // generate emotions // générer des émotions
provocar conversación // cause conversation // provoquer une conversation
transmitir un mensaje // transmit a message // transmettre un message
contribuir // contribute // contribuer
Misc
una subasta // an auction // une vente aux enchères
un autorretrato // a self-portrait // un autoportrait
es un símbolo de estatus // it's a status symbol // c'est un symbole de statut
cualquier persona puede crearlo // anyone can create it // tout le monde peut le créer
se manifiesta de muchas formas // It manifests in many ways // il se manifeste de plusieurs façons
es una forma de expresión // it's a form of expression // c'est un moyen d'expression
es una nueva versión de la obra que está inspirada en la original // it's a new version of the artwork which is inspired by the original // il s'agit d'une nouvelle version de l'œuvre inspirée par l'original
pérdida de color u otras imperfecciones // loss of colour or other imperfections // perte de couleur ou d'autres imperfections
devolver la obra a su estado original // return the work to its original state // retourner l'œuvre à son état original
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polysprachig · 11 months
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*Currently translating Voltaire's Lettre 18: Sur la trágedie from Lettres philosophiques*
When Voltaire says, 'Je vais vous dire une chose hasardée, mais vraie,' put on your philosophy caps, because astute criticism is sure to follow. In expressing his views on Shakespeare & his works and their influence on state of the théâtre anglais, Voltaire finds a balance between due praise and assessment, with all flattery left to those in Dante's 8th Circle.
I can only hope my translation (once finalised beyond this initial stage) will do Voltaire's crisp, eloquent language justice, even though I'm wont to agree that translation is 'une faible estampe d'un beau tableau'.
What I am most looking forward to translating is Voltaire's verse translation of Hamlet's famous 'To Be or Not To Be' soliloquy, knowing it will likely prove equal parts invigorating and agonising.
Then again, isn't that a feature, not a fault of the art of translation?
#Voltaire #tragedy #translation #Frenchliterature #classicalliterature #Shakespeare #Frenchstudies #Translationstudies
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havaforever · 1 year
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LA DERNIERE REINE -  La dernière reine évoque la ville d'Alger en 1516 lorsqu'elle combat la domination espagnole. C'est donc une histoire inédite et méconnue qui nous est contée, autour du personnage de la reine Zephira dont on ne sait encore aujourd'hui si elle a réellement existé.
Le film est porté par un souffle romanesque soutenu, des décors et des costumes somptueux et de grands jeux d'acteurs, à commencer par Dali Benssalah qui endosse superbement le costume -et le bras !- de Barberousse.
Deux heures absolument somptueuses, où l’on prend plaisir à se perdre dans de nombreuses intrigues de couloirs assez bien ficelés. Les images sont fortes, intenses, souvent sanglantes sans tomber dans l’ostentatoire. Tout tient dans un équilibre parfait dans la mise en scène qui conjugue drame, lutte de pouvoir, théâtre cathartique et volupté.
Certaines scènes sont des véritables « tableaux », et évoquent largement Les Femmes D’Alger de Delacroix (considéré comme un des plus beau tableau du monde). Elles resteront gravés dans les mémoires des passionnés de couleurs orientales. On sort de cette épopée largement dépaysante avec des rétines gonflées à bloc, qui en demandent encore. 
NOTE 16/20 - Haut en actions et en couleurs, cette épopée mythique pas forcément réaliste, nous envoute dans parfum de mille et une nuits, bien plus qu’elle nous instruit ou nous plonge dans des considérations historiques ou féministes. 
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tetedenoeuds · 7 months
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🕯️Je voulais revenir sur une grosse étape de ce projet, qui a pas été sans difficulté : la projection du dessin numérique pour passer sur la toile.
On le dira jamais assez, mais deux mètres c’est grand et les détails sont nombreux, mais ça y est, la toile et tous les personnages trônent fièrement dans mon salon au milieu des bibelots divers, attendant que j’y vienne déposer quelques@touches de peinture. Une sacrée victoire.
Et un immense merci à @techrillettes et à son accès au matériel du Grand Rond.💡
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marciamattos · 1 year
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LA LUMIÈRE DANS LA NUIT CHEZ Jakub Schikaneder. Czech (1855 - 1924)
Né le 27 février 1855, à Prague, Jakub Schikaneder est issu d'une famille de douanier qui encourage très tôt son goût prononcé pour les arts. Que ce soit la musique, la peinture ou le théâtre, Jakub se montre talentueux et touche à tout. Un de ses parents de Vienne, n'est autre qu'Emmanuel Schikaneder, grand acteur comique et auteur du libretto de la Flûte enchantée de W.A. Mozart. C'est néanmoins pour la peinture que Jakub montre une plus grande attirance ; dès sa plus tendre enfance, il se consacre beaucoup au dessin.
Il commence à étudier à l'Académie des beaux-arts, à Prague, à l'âge quinze ans et se fait tout de suite remarquer par son talent exceptionnel. Les jeunes artistes de l'époque essaient de sortir du style classique enseigné à l'Académie, et Jakub Schikaneder, Frantisek Zenisek, Mikolas Ales, Maximilian Pirner ou Emanuel Krescenc Liska suivent plutôt les tendances dégagées par les idées de la Commune de Paris.
Le jeune Schikaneder expose pour la première fois au Salon de Zofin à Prague en 1876 : 'La Dernière Oeuvre' (Posledni Dilo), tableau égaré dans le temps. La critique est positive, Jan Neruda notamment (poète et critique Tchèque très connu) s'exprimera en des termes très favorables sur la toile, représentant un jeune peintre mourant devant son dernier tableau.
Jakub Schikaneder part pour Paris en 1878, et est fasciné par la richesse culturelle et esthétique de la capitale en cette fin de siècle. Il part pour Munich peu après. Il continue ses études aux Beaux Arts chez le professeur Gabriel Max. Il passera plusieurs années en Bavière, mais revient souvent à Prague, notamment pour participer à la décoration de la loge royale au Théâtre National. Les tableaux représentent trois moments importants de l'Histoire de la Bohême : l'époque des Premyslides, le règne des Habsbourgs. Malheureusement, ils sont détruits dans l'incendie du Théâtre. Vaclav Brozik sera chargé de décorer la loge lors de sa reconstruction.
Il termine ses études à Munich et en profite pour voyager beaucoup en Europe : France, Italie, Suisse, Angleterre, Ecosse etc. Le peintre Frantisek Zenisek propose à Jakub Schikaneder de devenir son assistant à l'Ecole supérieure des arts décoratifs, en 1885. Il devient professeur de peinture décorative en 1891. Le style du peintre change durant cette période, ses tableaux deviennent plus mélancoliques, souvent peints dans un cadre automnal.
En 1890, il peint 'Meurtre dans la Maison' (Vrazda v Dome), une de ses oeuvres les plus connues représentant une jeune femme assassinée allongée sur le sol de la cour d'une maison praguoise, entourée de badauds. Jakub Schikaneder situe souvent ses tableaux dans ces petites ruelles sombres de la la ville de Prague, au crépuscule ou au petit matin, souvent en hiver. Schikaneder se replie sur lui-même et ses tableaux sont le reflet de son âme, triste, mélancolique. Il ne reçoit presque plus personne et voit très peu ses amis, il passe son temps à peindre et à jouer de l'harmonium, sa grande passion. Il se rend souvent au bord de la mer adriatique ou à l'île Helgoland où il peint quelques tableaux poignants.
Jakub Schikaneder meurt à l'Automne 1924, alors qu'il jouait de l'harmonium.
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sirjmbarrie · 2 years
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Les Dramaturges. James Matthew Barrie, John Galsworthy, George Bernard Shaw et Harley Granville-Baker, photographie prise chez G. B. Shaw, en 1909, à Adelphi Terrace par Alvin Langdon Coburn. Selon ce dernier, dans son Autobiographie, Shaw aurait intitulé le cliché "Dissection d'une pièce de théâtre" et aurait déclaré que cette photographie lui faisait penser au tableau de Rembrandt, où quatre chirurgiens sont à l'œuvre pour disséquer un corps, même si La Leçon d'anatomie du Docteur Tulp ne représente qu'un seul chirurgien et 7 assistants.
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philoursmars · 1 year
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Dans une semaine, l’Atelier du Tigre jouera au Théâtre Municipal de Douai  (Vendredi 25 et Samedi 27 à 20h30) “N’effeuillez pas les Pâquerettes” de Cami. Venez nombreux !
Là, les dernières répètes (ici, Thérèse et moi pour le tableau “Mimi”) et l’apéro concocté par Laurent alias @lauduc
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FC Istres en National 2 ? Quels adversaires pour le talonner ?
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Le FC Istres continue sa marche vers le National 2. Avec ses résultats récents encourageants, l'équipe semble bien placée pour atteindre son objectif malgré la pression constante de ses concurrents. FC Istres en National 2, la bataille serrée pour le maintien Pendant que le FC Istres s'impose en tête de la compétition au point de rêver de National 2, le bas du tableau est le théâtre d'une lutte acharnée pour éviter la relégation. Selon le règlement, les deux derniers de la poule sont destinés à descendre en Régional 1, tandis que le onzième a une chance de se maintenir s'il réussit à figurer parmi les meilleurs onzièmes de toutes les poules. Lire aussi : Ces clubs de National 3 bien partis pour une montée en National 2 Montpellier en embuscade Montpellier, actuellement deuxième, a encore des espoirs de prendre la première place, bien qu'ils soient à six points derrière Istres. Une victoire cruciale contre Cannet-Rocheville les a propulsés vers le haut du classement, mais ils devront maintenir cette dynamique pour espérer rattraper leur retard. Corte en difficulté Corte, autre prétendant au titre, semble désormais distancé avec sept points de retard sur Istres et seulement quatre matchs restants. Le match nul contre Istres a été un coup dur pour leurs espoirs au titre, mais ils n'ont pas abandonné l'idée de se maintenir dans le peloton de tête. L'Entente Saint-Clément Montferrier en difficulté Pour l'Entente Saint-Clément Montferrier, la situation est plus sombre. Avec un retard de sept points sur le onzième et seulement quatre matchs à jouer, la perspective de la relégation semble inévitable à moins d'un miracle. Voir également : Pierre Gasly : nouveau co-actionnaire du FC Versailles en National Une compétition serrée jusqu'à la fin La lutte pour éviter les deux dernières places est intense, avec seulement trois points séparant le neuvième et le douzième. Chaque match devient important dans cette phase finale de la saison, et les équipes se battront jusqu'au bout pour assurer leur survie ou leur promotion. Dans l'ensemble, la compétition promet d'être serrée jusqu'à la dernière journée, avec des enjeux élevés pour toutes les équipes impliquées. Le FC Istres continue de dominer, mais rien n'est joué dans cette course palpitante vers la fin de la saison. Read the full article
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omagazineparis · 27 days
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Salar d'Uyuni : un trésor caché en Bolivie qui vous laissera sans voix
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Le Salar d'Uyuni, cette immensité blanche s'étendant à perte de vue dans le sud-ouest de la Bolivie, est une merveille naturelle qui suscite l'émerveillement. Dans cet article, nous vous invitons à explorer les profondeurs de ce trésor caché, une destination qui transcende l'ordinaire et éveille un sentiment d'aventure inégalé. Préparez-vous à plonger dans un voyage à travers le plus grand désert de sel du monde, où les horizons infinis rencontrent le ciel dans un miroir parfait, créant des illusions optiques fascinantes et des souvenirs inoubliables. Le Salar d'Uyuni est bien plus qu'un simple désert de sel; c'est un phénomène géologique, un chef-d'œuvre naturel façonné au fil des millénaires. Couvrant plus de 10,000 kilomètres carrés, cette étendue de sel éblouissante offre des vues qui défient l'imagination, où le ciel et la terre fusionnent en un seul et même tableau. Pourquoi le Salar d'Uyuni est unique au monde? Nulle part ailleurs sur terre vous ne trouverez un paysage comparable à celui du Salar d'Uyuni. Sa beauté surnaturelle, ses vastes étendues de sel cristallin, et son importance écologique en font une merveille inégalée, une expérience visuelle et spirituelle qui marque à jamais. Histoire et géologie du Salar d'Uyuni La formation d'un paysage lunar Le Salar d'Uyuni est le résultat de préhistoriques lacs évaporés, laissant derrière eux ces couches épaisses de sel. Cette transformation a créé un paysage qui semble appartenir à un autre monde, un spectacle à couper le souffle où la géologie raconte l'histoire de la terre elle-même. L'histoire géologique du salar Découvrir le Salar d'Uyuni, c'est voyager à travers le temps. Les couches de sel recèlent des secrets géologiques, des fossiles et des preuves de civilisations anciennes, offrant un aperçu fascinant de la dynamique terrestre et humaine à travers les âges. Quand visiter le Salar d'Uyuni Saisons et climat Le Salar d'Uyuni se transforme avec les saisons, offrant deux expériences distinctes : la saison sèche, où le désert de sel scintille sous un soleil implacable, et la saison des pluies, où les eaux peu profondes créent le plus grand miroir naturel du monde. Le meilleur moment pour explorer le salar Choisir le bon moment pour visiter le Salar d'Uyuni peut transformer votre expérience. Que vous recherchiez l'immensité étincelante de la saison sèche ou le spectacle miroitant de la saison des pluies, chaque période de l'année offre ses propres merveilles. Les merveilles du Salar d'Uyuni Les îles enchantées du salar Au milieu de l'étendue blanche du salar se dressent des îles couvertes de cactus géants, des vestiges d'anciennes montagnes volcaniques. Ces oasis isolées offrent un contraste saisissant avec le paysage environnant et abritent une biodiversité unique. A lire également : Les meilleurs moyens de transport pour voyager en toute liberté La faune et la flore exceptionnelles Le Salar d'Uyuni est un écosystème riche, abritant des espèces adaptées à son environnement extrême. De flamants roses éclatants aux lièvres des viscaches curieux, la vie s'épanouit dans ce désert de sel, offrant des occasions inégalées pour la photographie et l'observation de la nature. Expériences incontournables au Salar d'Uyuni Observation des étoiles et photographie Le ciel nocturne au-dessus du Salar d'Uyuni offre des vues spectaculaires de la voie lactée, rendant cet endroit idéal pour l'astronomie et la photographie nocturne. La clarté et l'immensité du ciel créent un théâtre céleste sans pareil. Aventures en 4x4 et randonnées Explorer le Salar d'Uyuni en 4x4 ou à pied est une aventure inoubliable. Les vastes étendues de sel offrent un terrain de jeu unique pour des excursions hors des sentiers battus, où chaque tournant révèle des paysages toujours plus impressionnants. Conseils pratiques pour les voyageurs Comment se rendre au salar Planifier votre voyage au Salar d'Uyuni nécessite une préparation. Nous vous guidons à travers les options de transport, que ce soit par avion, bus ou voiture, pour vous assurer une arrivée sans encombre dans ce coin reculé de la Bolivie. Où séjourner et que manger Le Salar d'Uyuni regorge d'options d'hébergement, des hôtels de sel uniques aux auberges confortables. La cuisine locale offre un mélange de saveurs andines et internationales, promettant une expérience culinaire aussi mémorable que le paysage. A lire aussi : Les châteaux de la Loire à vélo : voyage à travers l’histoire Sensibilisation et tourisme responsable Le Salar d'Uyuni est un écosystème fragile, et sa préservation est essentielle. Nous explorons l'importance du tourisme responsable et des pratiques durables pour assurer que cette merveille naturelle reste intacte pour les générations futures. Pourquoi le Salar d'Uyuni mérite sa place sur votre liste de destinations Le Salar d'Uyuni est une destination qui transcende les mots. C'est un lieu où la beauté de la nature s'exprime dans toute sa splendeur, offrant une expérience qui touche l'âme et élargit les horizons. Que vous soyez un aventurier en quête de paysages inexplorés, un photographe à la recherche de la photo parfaite, ou simplement quelqu'un qui souhaite se déconnecter du monde pour se reconnecter avec la nature, le Salar d'Uyuni est une destination incontournable. Venez découvrir ce trésor caché de la bolivie, et laissez-vous emporter par la magie d'un des endroits les plus extraordinaires de notre planète. Read the full article
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