Tumgik
#Homme araignée
giftwhat · 2 years
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Spider Man Fun Collection and DIY Robot Spider 【 GiftWhat 】
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vamprisms · 11 months
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um going to see monsieur homme araignée very soon
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billiemarshk · 4 months
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FR • Petit post imprévu du soir car j'ai reçu un magnifique fanart d'un Homme-Araignée, créature de ma fantasy Prospemirum, réalisé par mon ami Kroakhan (du Ciel Bleu) ! Il l'a conçu à partir de mon propre dessin que vous trouverez ci-dessous. o/
EN • Unexpected post tonight, for I received a beautiful fanart of a Spider-Man, a creature from my fantasy novel Prospemirum, made by my friend Kroakhan (from BlueSky app)! He designed it based on my own drawing which you will find below. o/
TW: gore and spider content
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lapiequimurmure · 10 months
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Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
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Je suis en train de faire du tri dans mon Google Drive, j’arrive à court d’espace de stockage. En faisant mon nettoyage, j’ai retrouvé ce travail d’analyse pour mon cour de Culture antique en hypokhâgne. On travaillait sur le thème de l’animal, et il fallait mettre en relation une œuvre d’art avec l’une des métamorphoses d’Ovide. J’avais choisi la métamorphose d’Arachné, car j’avais vu le tableau de Gyzis dans l’exposition “Paris-Athènes. Naissance de la Grèce moderne (1675-1919)” au Louvre la même année.
Finalement, je n’ai jamais eu de retour sur mon travail (c’était la fin de l’année), donc je ne sais pas ce que mon texte vaut. Mais je n’avais pas envie de supprimer ce travail. Autant le poser ici, et si cela peut intéresser quelqu’un, tant mieux !
P.S : Je ne l’ai pas relu une nouvelle fois, je le poste tel que je l’ai rendu à ma professeure. J’espère que je ne regretterais pas ce choix en retombant sur ce billet plus tard...
Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
      Les Métamorphoses, écrites par le poète latin Ovide au Ier siècle, regroupent différents récits poétiques qui relatent les métamorphoses issues des mythologies grecque et romaine en quinze livres. Le sixième livre est, dans sa première partie, marqué par les duels entre les hommes et les dieux. Ces derniers se vengent de l’orgueil des premiers qui ont osé les défier. Par exemple, le satyre Marsyas prétend mieux jouer de la flûte qu’Apollon, alors ils s’affrontent. Apollon le vainc et, pour punir le satyre, il lui arrache la peau. Finalement, Marsyas se métamorphose en fleuve grâce aux pleurs des divinités des bois qui se mélangent à son sang. De la même façon, le livre s’ouvre sur le conflit artistique qui oppose Pallas et Arachné autour du tissage.
     Arachné est une jeune fille méonienne et de naissance modeste qui s’est faite remarquée pour son talent certain pour le tissage. Elle attire tellement l’attention que cela en vient à faire de l’ombre à la déesse Athéna (Minerve chez les Romains), nommée par son épithète Pallas dans le poème. La déesse rend d’abord visite à Arachné sous les traits d’une vieille femme pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas se montrer trop orgueilleuse vis-à-vis de Pallas. Arachné n’écoute pas ses conseils. Elle continue de se prétendre plus talentueuse que la déesse et elle avance l’idée d’une compétition. Alors Pallas reprend son apparence et toutes deux tissent une tapisserie pour départager qui des deux est la plus talentueuse. À la fin, Pallas ne trouve rien à redire du travail d’Arachné et, de colère, elle déchire la tapisserie de la jeune fille et la frappe. À cause de l’outrage, Arachné se suicide par pendaison, et prise de pitié, Pallas la métamorphose en araignée tout en maudissant sa descendance d’avoir la même apparence.
     Le poème s’articule autour de trois mouvements. Tout d’abord, il y a la présentation d’Arachné et l’installation de sa rivalité avec Pallas. La déesse est poussée à rencontrer Arachné, car celle-ci « méprise impunément [sa] divinité ». En effet, Arachné ayant beaucoup de succès grâce à ses tissages, elle prétend être l’égale de Pallas dans cet art. Arachné à effectivement beaucoup de succès en Lydie et de nombreuses personnes se déplacent pour admirer son travail, telles que des nymphes. De plus, le poème précise qu’elle ne doit son succès qu’à son talent : ses deux parents sont d’humbles personnes alors elle ne doit pas sa célébrité à son rang ou à sa naissance. Ainsi, le poème insiste sur le talent véritable d’Arachné, et le poème décrit son habileté dans le maniement de la laine et du métier à tisser. De cette façon, tout le monde la reconnaît comme élève de Pallas. Alors la rivalité est posée. En effet, Arachné nie que Pallas puisse être sa maîtresse, et elle nie même avoir appris le tissage de quiconque. Cela pose problème dans la pensée antique où les talents sont accordés aux hommes par les dieux. Un homme, dans la mythologie, ne peut pas être autodidacte. Par exemple, le héros Orphée a reçu ses dons de poète de la part d’Apollon. En affirmant que son talent lui est propre et non du fait de l’intervention d’une divinité, Arachné cause un premier outrage et se montre très orgueilleuse, surtout qu’elle refuse le patronage de Pallas. Lorsque la déesse prend l’apparence d’une vielle femme pour s’approcher d’Arachné, elle lui conseille de demander pardon à la déesse et de ne plus affirmer qu’elle égale son talent. La figure de la vielle femme donne à sa parole l’expérience et donc la sagesse de l’âge, plus susceptible d’être écoutée. Pour autant, Arachné fait fi de son discours. La jeune fille est en colère, ce qui trahit une nouvelle fois son orgueil : « Je suis assez sage pour me conseiller moi-même. » Arachné ose même insulter Pallas en insinuant sa lâcheté du fait que la déesse ne se présente pas à elle pour l’affronter. C’est alors que Pallas reprend sa forme et que le duel de tissage commence.
     Ensuite, l’affrontement entre Pallas et Arachné prend la forme d’un concours. Les deux participantes tissent chacune une tapisserie et celle ayant exécuté le plus beau travail sera vainqueur. De nouveau, elles s’opposent dans le sujet que représente leur tapisserie. Pallas illustre le mythe de la dénomination d’Athènes qui l’oppose à Neptune (Poséidon). Jupiter est au centre, et autour de lui s’articulent douze dieux avec elle et Neptune aux deux extrémités : Pallas en armure et faisant apparaître un olivier et Neptune faisant jaillir l’eau de la mer avec son trident. Pallas ajoute à la fin quatre scènes montrant des mortels être puni par les dieux à cause de leur orgueil, pour bien faire comprendre à la jeune fille ce qui l’attend. En revanche, Arachné illustre les métamorphoses des dieux qui séduisent et abusent de mortelles. En particulier, le rapt d’Europe et d'autres métamorphoses de Jupiter sont sur sa tapisserie, de même pour Neptune, Phébus et Saturne. Sa tapisserie montre les mortelles comme des victimes, elles ont peur et sont trompées par des dieux menaçants. Elle montre avec sa tapisserie ce que les dieux ont de plus perfide, ce qui s’oppose extrêmement au sujet de Pallas qui montre la grandeur des dieux et le châtiment des mortels qui les ont injuriés. Aussi, la tapisserie de Pallas se dessine comme le fronton d’un temple avec une scène principale au centre et des scènes annexes sur le côté qui ont un lien avec la première. L’univers d’Arachné est plus confus et moins organisé, mais montre une volonté de ne pas laisser de vide. De cette façon, les deux esthétiques sont antithétiques et renforcent l’opposition des deux personnages. Une nouvelle fois, le talent d’Arachné est loué, car les figures tissées semblent s’animer : « on croirait voir un vrai taureau, une vraie mer. ». Finalement, la pièce est révélée à Pallas qui ne lui trouve aucun défaut.
     Enfin, découvrant l’œuvre d’Arachné, Pallas est envahi par la colère. Cela pousse la déesse à frapper Arachné avec sa navette et à déchirer la tapisserie de la jeune fille. Arachné est désespérée par cet outrage, ce qui la pousse à se pendre avec un fil. Chose ironique, car elle se tue avec l’instrument de son succès : la laine. Aussi, l’image de la pendaison préfigure sa métamorphose future en araignée, car c’est cet animal qui se suspend avec les fils qu’il utilise pour tisser des toiles. En voyant la jeune fille morte, Pallas est prise de pitié et la ranime. Cependant, la déesse ne peut pas laisser l’orgueil d’Arachné impuni. Elle fait donc le choix de la métamorphoser grâce à un poison de la déesse Hécate. Sa transformation est monstrueuse : elle perd ses cheveux ainsi que son nez et ses oreilles ; son corps rétrécit et ses doigts deviennent les pattes de l’araignée en venant se caler à ses flancs ; tout le reste devient son ventre. La métamorphose d’Arachné intervient dans les derniers vers du poème, ce qui ajoute à la dimension étiologique du mythe qui explique pourquoi Arachné a été changé en araignée. Pourtant, sa métamorphose est très rapide et ne concerne que cinq vers du poème. En réalité, le poème insiste avant tout sur Arachné en tant qu’elle est artiste et sa métamorphose n’est que secondaire dans son histoire.
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     Dans son huile sur bois intitulée L’Araignée (1884), le peintre grec du XIXe siècle Nikolaos Gyzis fait une référence directe à la figure d’Arachné. Le panneau représente une femme assise les jambes croisées en train tisser une toile d’araignée. C’est avant tout ce dernier élément — et le titre de l’œuvre — qui permet de supposer que c’est une interprétation du personnage d’Arachné.
    Arachné est représentée en train de manipuler une toile d’araignée. Elle est déjà métamorphosée, mais pas totalement, car elle a toujours une forme humaine. Son apparence, loin de la métamorphose écrite par Ovide, peut suggérer son aspect d’araignée : ses jambes et ses bras très fins et longs peuvent rappeler les membres de l’animal. De plus, la robe qu’elle porte est du même blanc jaunit que la toile qu’elle tisse, ce qui laisse penser qu’elle est vêtue de ses propres tissages. Le détail le plus étonnant sont les yeux d’Arachné. En effet, elle n’a pas de pupille ou d’iris, ses yeux semblent révulsés. Cela pourrait suggérer son état mortuaire, après s’être pendue. Nikolaos Gyzis représente donc Arachné à différents moments du poème dans une même image. Il y a à la fois le moment du tissage, la mort et la métamorphose de la femme.
    Ensuite, en représentant une figure qui tisse sur son panneau, le peintre procède comme le mythe à insérer une mise en abyme dans le récit. Dans le poème, les tapisseries faites par Pallas et Arachné sont des mythes dans le mythe. En effet, les récits des concurrentes sont aussi des sujets mythologiques et retracent les métamorphoses de mortels et de dieux. Le média de la tapisserie n’est pas non plus un choix anodin, étant donné que le mot « texte » a pour racine étymologique textus, le tissu et de texere, tisser. Arachné est donc aussi une conteuse. Sur la peinture, elle tisse une toile comme un peintre réalise un tableau : il y a une toile dans la « toile » (qui est ici un panneau de bois), un tableau dans le tableau.
    Finalement, le peintre accorde une grande importance à l’indépendance de la figure d’Arachné. Tout d’abord, elle est représentée seule, il n’y a pas Pallas ou d’autres personnages. Arachné se tient droite, et un grand équilibre ressort de sa posture avec un jeu entre les lignes verticales des jambes et du corps avec les horizontales des bras. Cela permet de saisir la fierté du personnage. La position de ses doigts témoigne aussi de son talent, elle est en train de tisser sa toile. La reprise de sa malédiction comme d’un pouvoir vient aussi renforcer la facette forte du personnage qui ose se mesurer à Pallas. Le traitement des couleurs, à la fois sombres du fond et lumineuses de la figure, donne de la mysticité à la scène et au personnage d’Arachné. Cela rend le personnage impressionnant et insaisissable, ce qui peut illustrer l’orgueil d’Arachné.
    Pour conclure, Arachné est une figure de la défiance envers les dieux. Plus que de se revendiquer plus talentueuse que Pallas, elle affirme son talent propre. Elle a aussi l’audace de dénoncer le comportement des dieux alors même qu’elle affronte l’un d’eux. Arachné est donc une jeune femme talentueuse, fière et orgueilleuse. Sa métamorphose en araignée s’accorde avec l’art qu’elle pratique, à savoir le tissage. Elle et sa descendance sont condamnées à tisser toute leur vie sous cette forme : c’est en partie son art qui a causé sa perte et c’est aussi, ironiquement, son châtiment. Arachné n’est pas une figure qui a eu une postérité importante en comparaison à d’autres métamorphoses d’Ovide. Lorsqu’elle est représentée, c’est en tisseuse, et souvent pendant son duel avec Pallas. « Pallas et Arachné » permet de comprendre le rapport entre les humains et les dieux dans Les Métamorphoses. Les hommes ont nécessairement tort de se montrer orgueilleux vis-à-vis des dieux, mais les dieux eux-mêmes donnent des châtiments excessifs du fait de leur propre orgueil. Mais surtout, Arachné est l’image de l’artiste qui s’oppose au pouvoir. Elle refuse de suivre la forme très classique de la tapisserie de Pallas et ne craint pas de montrer les dieux comme ils sont décrits dans les mythes. C’est cette image de femme fière et défiante que Nikolaos Gyzis représente sur son tableau.
Sources : 
https://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/Enseignement/Glor2330/Ovide_Metamorphoses/Arachne/default.htm
http://polyxenia.eklablog.com/minerve-et-arachne-2-p1704670
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/METAM/Met06/M-06-001-145.htm
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franckdoutrery · 10 months
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Qu’un sang impur … !
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Avez-vous déjà tué quelqu’un ? De sang froid ? Je parie que non, car vous êtes comme moi, du genre à ne pas faire de mal à une mouche. Vous avez peut-être tué des moustiques. Parce qu’ils ne l’avaient pas volé. Ou une araignée de temps en temps. Une souris peut-être, un rat à la rigueur. Mais jamais un de vos semblables. D’ailleurs c’est défendu par la loi. Sauf en cas de légitime défense. Ou quand votre pays vous commande d’abattre des inconnus d’un pays voisin. De ceux qui avaient le tort de ne pas être nés de ce côté-ci de la frontière. Qui parlent une autre langue, s’habillent ou mangent autrement, voire ne sacrifient pas au même dieu, qui est, comme on le sait, le seul vrai Dieu. 
Non, vous n’avez jamais tué réellement, mais si vous êtes comme moi, vous avez souvent tué par procuration. J’entends, tué en vous intéressant de près à ce que d’autres – réels ou imaginaires – ont fait en empoisonnant, en étouffant, en égorgeant, en écartelant, en fusillant, bref, en massacrant un ou plusieurs de leurs semblables. Ainsi, en lisant Crime et châtiment de Dostoievski, vous vous êtes mis dans la peau de Raskolnikov, celui qui tue l’usurière. Et chez Mauriac, Thérèse Desqueyroux qui empoisonne son mari, vous vous souvenez ? Et plus récemment, dans Les âmes grises de Philippe Claudel, n’avez-vous pas aperçu parfois, en filigrane, la vraie couleur de votre âme ? En même temps, la réalité a souvent dépassé la fiction : comment oublier Landru, le docteur Petiot, l’affaire Dominici, l’empoisonneuse Marie Besnard, sans parler des prédateurs pédophiles comme Fourniret et Dutroux ? Et si ces crimes-là touchaient déjà le fond de l’horreur, que dire des millions de morts que des tueurs de masse comme Hitler, Staline ou Mao ont à leur actif ? Tout de même, on voudrait savoir comment ils s’y sont pris pour faire périr tant d’humains ou faire couler tant de sang. On aimerait être dans leur tête. Ou dans leur cœur, s’ils en avaient un. 
Il y a toutefois des époques, et la nôtre est hélas de celles-là, où l’assassinat par procuration se fait omniprésent, presque incontournable, surtout au cinéma et à la télévision. On s’en rend compte chaque fois qu’on consulte le programme. Là aussi, si vous êtes comme moi, vous tournez les pages non seulement pour cocher les émissions intéressantes, mais aussi – et désormais surtout ! – pour barrer celles auxquelles vous voulez échapper à tout prix. Et qui sont la majorité. Car la règle moderne semble être : « À chaque jour son meurtre, à chaque soirée son assassinat. » Ne dites pas que ce n’est qu’un mauvais moment à passer, car ces émissions se produisent en séries et en saisons. Si bien que vous en prenez facilement pour un lustre ou une décennie. Certaines séries sont explicites, comme Meurtres au paradis, Meurtres au soleil, Meurtres à Sandhamn, ou Meurtres à (suit le nom d’une ville française). D’autres titres, qui se prétendent policières ou documentaires, sont assaisonnés avec les mêmes condiments sanglants. Naguère on tuait déjà pas mal dans Maigret, Columbo, Julie Lescaut ou Navarro, mais ce n’était pas encore envahissant. De nos jours, si on veut éviter les Experts Manhattan, on tombe sur les Experts Miami. Et vice versa. On a beau zapper les Esprits criminels, on n’échappe pas à Paris enquêtes criminelles, voire aux Major crimes. Et quand les hommes ont fini de jouer les redresseurs de tort en exécutant froidement des assassins, c’est paraît-il les femmes qui prennent la relève. Les Alice Nevers, Candice Renoir ou Julia Corsi font du Profilage ou déterrent des Affaires classées, quand elles n’arpentent pas le Boulevard du Palais. On imagine les coups de poing, de revolver, voire de grâce que cela entraîne. Dans ces flots d’hémoglobine, qu’il doit être difficile de garder les mains plus ou moins propres ! 
Vous me direz qu’il vaut mieux cela que la téléréalité. Mieux que The voice, que les séances de cuisine à en gerber, que les « rendez-vous en terre inconnue » où pour nous divertir des célébrités de chez nous vont s’amuser avec des autochtones exotiques. Mais l’argument paraît spécieux. Car chaque fois qu’on compare le mal avec le pire, on risque d’en déduire à la longue que c’est du bien. Ou que ce n’est pas « si mal que ça ». En attendant, le seul bien qu’on puisse espérer de cette dérive est peut-être celui auquel pensait déjà Albert Camus, à une époque où la petite lucarne était encore en noir et blanc : « La télé, c’est à ça qu’elle sert : devant toutes ces horreurs, guerres, crashes, meurtres, les familles s’estiment un peu heureuses au fond. Et elles font taire, elles rentrent, leurs petites rancœurs. »
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gaelle-kashiira · 2 years
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Non, je n'ai pas abandonné...
Le chapitre 8 est terminé !
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Part 7 - Part 8 - Part 9
8
On leur a tiré dessus ! Et cet imbécile de Phinks qui a stoppé le projectile avec son bras ! Machi va les dépecer vivants s'ils retournent chez elle avec un blessé si tôt après l'avoir visitée ! Shalnark cherche du regard le tireur. Il n'y a qu'un utilisateur de Nen qui puisse charger un tir de cette façon et…
Une décharge de puissance dans son dos, sèche brève et…
Feitan tombe.
/Quoi ? Mais… non !/
Le jeune homme fait volte-face mais il n'y a plus personne. Feitan a atterri sur un genou, les yeux agrandis de surprise. Ses sourcils se froncent et Shalnark ne sait pas si c'est de douleur ou de fureur. L'odeur cuivrée du sang s'élève.
— Fei ?
Il ne répond pas. Seuls ses yeux sont visibles sous ses longues mèches noires. La peau entre ses yeux est livide. Pincée et tellement pâle. Il n'a pas émis le moindre son. Il tient Rose près du corps, il… il la couvre. Lorsqu'il a vu l'attaque sur Phinks, il a rassemblé son ko autour du bébé, certain que sa vitesse naturelle lui permettrait d'esquiver. Sauf que… qui que soit leur assaillant, le manipulateur n'a rien senti avant l'attaque.
Et à présent…
Il ne voit personne non plus. Qui que soit leur assaillant, il a disparu.
Ou il se cache.
— Fei !
Phinks se précipite à leurs côtés sans aucune pensée pour la discrétion. Shalnark roule des yeux.
— Tu ne peux pas crier un peu plus fort ? Je crois qu'il y a un petit vieux au bout du parc qui ne t'a pas encore entendu.
Il ne met pas autant de mordant qu'il ne le voudrait dans sa réponse. Feitan ne s'est pas encore relevé. Ce n'est pas normal, ça. Son corps tremble, frissonne. Il a posé une main à terre, le bébé tenu dans son autre bras, en appui sur un genou. Phinks ignore les paroles de Shalnark et s’agenouille devant son partenaire. A nouveau, le jeune homme sent la colère monter en lui.
Quel idiot !
Comme si Feitan pouvait lui rendre ses sentiments. Ce n’était pas comme si leur interrogateur était seulement humain.
Une bête fauve, cruelle et…
Et qui protége un bébé après avoir été blessé.
Crétins ! Aussi bien Phinks et Feitan.
Shalnark se compte dans le lot lorsqu’il se voit s’agenouiller aux côtés de leur petit compagnon, tout en surveillant ses arrières.
Uvogin doit se tordre de rire de là où il les regarde !
Le projectile de nen irradie toujours d’énergie dans le corps du petit homme, dans le dos, au niveau des reins. Ça ne doit pas faire du bien et… Shalnark sait comment son compagnon réagit à la douleur.
Mal.
— Fei… Laisse-moi prendre le contrôle, murmure-t-il sans réussir à masquer sa nervosité.
L’aura du jeune homme a déjà un peu changé et Phinks le regarde avec un air buté, de la sueur brillant sur son front.
De la sueur ?
Ou de la fièvre.
— Fei ! répète-t-il d’une voix urgente.
Il a déjà son aiguille dans la main, il n’attend plus que l’assentiment de l’intéressé. Les yeux gris s’écarquillent.
/Merde ! Pas bon, ça !/
À ses côtés, Phinks gronde et… Le grand blond la lui prend des mains pour la planter dans la nuque de la minuscule araignée… avant qu’elle ne puisse refuser ou même réagir. Son Black Voices s’active et Feitan s’affaisse et Shalnark a juste le temps de l’attraper par les épaules tandis que le guerrier récupère la petite Rose.
— Porte-le. Je ne pourrai utiliser qu’un bras mais… Il suffira à vous protéger, gronde Phinks.
Shalnark n’envisage même pas de manipuler le corps de Feitan comme une marionnette, il le soulève prudemment. Le petit homme est aussi léger qu’il semble minuscule. Sa tête roule en arrière et le blondinet le réarrange plus confortablement avant de se redresser et de suivre Phinks. Ce dernier n’utilise pas son Nen. Pas avec le projectile toujours fiché dans son bras et qui irradie d’énergie. Ils ont deviné qu’il était prévu pour réagir à la moindre décharge d’aura.
Ils ne rejoignent pas Machi.
Pas question de compromettre une autre araignée.
La planque où les emmène Phinks se trouve dans un quartier industriel miteux, un hangar en ruine parmi tant d’autres. Au moins, la couverture réseau est décente et Shalnark prévient les autres membres de la troupe après avoir installé Feitan sur une couche improvisée.
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #540 ~ SANS AMBITION, IL N’Y A PAS DE TALENT (août 846) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le  personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort  de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je  me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma   propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a   traversées, ainsi  que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint,  détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques  libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous.  Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Je fais encore une fois le tour de l'avant-poste au galop pour m'assurer que tout va bien. Erd et Gunther sont de l'autre côté, à un ou deux kilomètres, et je dois pas tarder à aller les retrouver si je veux éviter les mauvaises surprises. Ils se sont très bien débrouillés à deux mais je dois me rendre à l'évidence : il me faut de nouvelles recrues au plus vite, sinon on sera limités dans notre champ d'action...
Erwin a pas trop fait d'histoire là-dessus au vue de ce qui s'est passé le mois dernier, et j'ai pu prendre part à l'expédition quand même. Mais il sera pas d'accord la prochaine fois. Une escouade d'élite réduite de moitié, c'est du gâchis, je peux pas monter des stratégies trop compliquées ou risquées. Ni les abandonner trop longtemps.
Je guette le signal qui doit nous indiquer le repli ; Erwin doit le lancer d'un moment à l'autre. Cette sortie aura été courte, juste histoire de réparer un peu un avant-poste pas trop loin du Mur et d'y laisser des vivres. Je dirais pas que c'était inutile mais Erwin a besoin de temps pour imaginer d'autres trucs à faire. Ca donne de quoi parler aux aristos en attendant, sans nous mettre trop en danger. Deux ou trois blessés, pas plus, aucun mort. Moi, ça me va. Même si on est pas plus avancés en fin de compte...
Tous ces complots qui nous ont occupés m'ont fait oublier que les titans étaient toujours là, dehors, à nous attendre. Toujours aussi moches et cons, ceux-là. Ils boufferont pas aujourd'hui. Ils vont devoir... eh ! c'est quoi ça ?
Un panache de fumée verte monte dans le ciel bleu et je me mets à transpirer d'un coup. Ils ont des ennuis par là ? Les équipes ont été dispersées afin de maintenir les titans à distance de l'avant-poste, ils se battent depuis un moment, même si les mochetés sont peu nombreuses car nous sommes un peu en dehors de leur trajectoire habituelle. Je talonne les flancs de ma jument pour me précipiter dans cette direction. Erd et Gunther attendront ; y a sûrement des bleus qui en bavent là-bas.
Je descends un talus rapidement, laissant ma monture sauter par-dessus un petit cours d'eau changé en boue à force d'être piétiné par des panards géants. Je plisse les yeux et me hisse sur mes étriers afin de voir ce qui se passe de loin. Il y a bien une bataille ; je vois le soleil se refléter sur des lames tirées. Merde, j'arrive pas trop tard, j'espère... Il doit y avoir au moins un déviant parce que j'en vois un sauter partout comme une grosse araignée...
Je dégaine à mon tour et m'accroupis sur ma selle pour décoller. J'me faisais chier justement, ça me dérouillera un peu. Voyons voir comment ça se présente. Je distingue, comme à travers une loupe puissante, la zone précise que je dois frapper pour faire tomber celui qui est le plus proche. Retrouver mes réflexes ne m'a pris que quelques minutes après avoir quitté Trost. C'est comme si je ne les avais jamais quittés, ces bons vieux tas de merde...
M'élançant de ma jument, je me prépare à mettre les gaz pour accélérer au moment propice, mais avant que j'ai pu faire quoi que ce soit, ma cible s'écroule sur le flanc, la nuque arrachée. J'ai à peine le temps d'apercevoir une silhouette floue, étrangement lumineuse, passant à quelques mètres et se jetant déjà sur la suivante. J'ai la berlue, ou quoi ? Attends un peu, que je vois ta trogne à toi... Tu m'as l'air vachement doué en tout cas...
Je reste dans le sillage du mystérieux soldat victorieux tout en me focalisant sur les autres titans dans les parages. J'en vois un qui tient un pauvre gars terrifié dans ses grosses pognes. Ok, je m'occupe de lui. Ces cris étranglés me parviennent et je fonce en avant en me servant d'un autre titan isolé pour me propulser vers lui. Je m'apprête à abattre ma lame sur la nuque offerte quand la silhouette lumineuse revient danser juste devant mon nez ! C'est pas possible, elle n'a pas du tout pris cette direction tout à l'heure !
Au moment de me poser sur l'épaule du titan terrassé, j'ai enfin le temps d'apercevoir le petit prodige qui me vole tous mes coups. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il a l'air très bizarre. Ses cheveux sont très clairs - blonds, je suppose - et si longs qu'il lui tombent sur le visage. C'est pas très réglementaire ça... Bah, c'est une nouvelle recrue, il doit pas être au courant des procédures... J'suis étonné que personne lui ait dit que... Eh ! Toi ! T'es avec quelle équipe ?
Il me tourne le dos et s'apprêtait à repartir quand le son de ma voix le fait s'immobiliser. Je peux enfin me poser près de lui et le détailler de plus près. Il doit avoir la vingtaine, car sa carrure est bien faite, même s'il donne une impression de fragilité. Il est plutôt grand, sa peau est très pâle, et ses cheveux ont presque la même couleur, c'est perturbant... Il se dirige vers moi sans mot dire et je distingue dans ses yeux un reflet rougeâtre qui me met sur mes gardes.
Je suis le caporal Livaï, et je t'ai posé une question. Avec quelle équipe tu étais ? Il hausse les épaules avec impuissance et me montre une direction du doigt. Soldat, quand un supérieur te demande quelque chose, tu dois répondre ! On a pas le temps pour les devinettes ! Où sont tes camarades ? Tu... tu as tué ces titans tout seul ?...
Il secoue la tête négativement et semble fouiller le ciel des yeux. Bizarre, ce gamin... Il me met mal à l'aise... Y a un truc qui cloche chez lui. Est-ce qu'il serait pas un peu... simplet ou autre chose ? J'ai déjà eu affaire à des types comme ça dans les bas-fonds, rendus fous par la faim. En général, il vaut mieux pas s'en approcher, leurs réactions sont imprévisibles... Mais il a l'air calme, et pas menaçant... Je sais pas quoi penser...
Je me décide enfin à lui dire de me suivre afin de chercher les autre quand deux nouveaux titans nous tombent dessus, lancés au pas de course. Ils peuvent être si rapides quand ils veulent, ces salauds ! Fais gaffe, ils vont te choper !
Il a déjà disparu. J'ai à peine décollé que j'aperçois l'éclair de ses lames juste derrière le titan de tête. Sans me poser plus de question, je suis le mouvement pour faire son affaire au deuxième et ils tombent à terre presque en même temps. De nouveau, nous nous trouvons face à face et je le scrute plus intensément. T'es doué, gamin... Ma jument me rejoint au petit trot et la monture du soldat fait son apparition aussi. Bon, le danger est écarté pour le moment, tu peux répondre à mes questions maintenant ?
Il semble embarrassé, et danse d'un pied sur l'autre sans se décider à parler. C'est quoi ton problème, t'es timide ou quoi ? C'est pas le moment, c'est pas moi qui vais te bouffer si tu te décides pas à répondre ! Y'en a encore qui peuvent débouler ! C'est pas vrai... c'est quand même pas moi qui l'intimide ? Encore un admirateur paralysé par ma présence ? Ttcchh...
Un galop fait trembler le sol près de nous et une petite troupe d'explorateurs nous rejoint à son tour. Il y a plusieurs équipes rassemblées ici. Je n'en reconnais que quelques-uns... Mais ce qui me met sur le cul, c'est celui qui chevauche en tête.
C'est la copie conforme de celui avec lequel j'essaie de communiquer depuis plusieurs minutes !
Quelque chose s'agite en moi, comme un fragment de vieille superstition inexpliquée. J'ai jamais trop aimé ça, les jumeaux... C'est très perturbant de se retrouver face à deux personnes identiques, on a l'impression d'être la cible d'une plaisanterie douteuse... On dit qu'ils portent malheur, ou des trucs comme ça.
Bah, je sais ce que c'est d'être considéré comme un monstre qui apporte la poisse, je devrais bien le gérer. Pas la peine de les mettre mal pour ça. Après tout, le bataillon est réputé pour ses monstres, non ?
Le nouveau-venu se poste à côté de moi et me donne enfin les infos que je veux. Au moins, toi, tu sais parler ! Ton... frère ouvre pas la bouche depuis tout à l'heure, ça mérite le conseil disciplinaire ! Il me répond qu'il est muet de naissance. La belle affaire ! Comment il a réussi à passer ses examens sans décrocher un mot ? Ok, trop de questions, et pas assez de temps. Je vous tiens à l'oeil, vous vous expliquerez à Trost. Je vois le signal de fumée du repli. Suivez-moi en rang, on rejoint le bataillon.
Je mène la petite troupe hors de la zone dangereuse, constatant que personne ne semble blessé. C'est la chance... ou peut-être pas. Si j'en crois ce que j'ai vu, il y a ici deux petits prodiges tout à fait inattendus et hors normes, à tous les niveaux.
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aforcedelire · 2 months
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Du côté sauvage, Tiffany McDaniel
Coup de cœur 🖤
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Arc et Daffy sont deux jumelles qui vivent au bord de la rivière, à Chillicothe dans l’Ohio, et qui n’ont pas une vie franchement saine. Élevées par leur mamie Milkweed jusqu’à leur neuf ans, elles retournent avec leur mère et leur tante, dans une maison délabrée et hantée par la dépendance : celle de leurs parents à l’héroïne et aux seringues, celle des hommes à la violence. Ensemble, Arc et Daffy fuient leur quotidien et les araignées à coup d’imagination débordante nourrie des récits de leur grand-mère. Devenue adulte, Arc lutte toujours avec ses souvenirs lorsque l’on découvre le corps d’une femme noyée dans la rivière. Et bientôt, les cadavres s’accumulent.
Cette sensation particulière de flottement et de perte quand tu refermes un roman que tu as adoré, qui t’a transportée, transpercée... D’abord, quelle joie de renouer et retrouver l’écriture de Tiffany McDaniel, son lyrisme, sa beauté et sa brutalité ! De faire la connaissance de nouveaux personnages, d’assister à des nouveaux chemins de vie pas toujours glorieux. Du côté sauvage est un chef-d’œuvre, un coup de (au) cœur, une histoire au souffle romanesque puissant, qui se picore et se dévore, où on prend son temps et où n’a plus le temps. Je l’ai trouvé très dur : la vie d’Arc et Daffy, leur dépendance, la violence dans laquelle elles ont grandi, les hommes-araignées qui prennent tout sans demander, parce qu’ils le veulent et qu’ils le peuvent, leur mère et leur tante qui ne sont plus que les fantômes de ce qu’elles étaient… Les 700 pages sont intenses, un mélange onirique et cauchemardesque. Et savoir que Tiffany McDaniel s’est inspirée d’une série de crimes non élucidés donne un aspect encore plus fascinant à ce roman déjà fort puissant. Je n’ai pas forcément tous les bons mots pour décrire mon ressenti, mais qu’est-ce que c’était bien ! Quelle claque !
18/02/2024 - 02/03/2024
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lonesomemao · 5 months
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Un monde fou va me quitter
Au CMP
Un jeune maghrébin
Dans la salle d'attente
Sur son portable
Me montre un homme-araignée
En tenue violette
Mais c'est Violette
Je le plains oh sa pauvre tête
L'impact de Téhéran rien ne l'arrête
Lundi 30 octobre 2023
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christophe76460 · 6 months
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Job, 8:8 - Interroge ceux des générations passées, Sois attentif à l`expérience de leurs pères.
Job, 8:9 - Car nous sommes d`hier, et nous ne savons rien, Nos jours sur la terre ne sont qu`une ombre.
Job, 8:10 - Ils t`instruiront, ils te parleront, Ils tireront de leur coeur ces sentences:
Job, 8:11 - Le jonc croît-il sans marais? Le roseau croît-il sans humidité?
Job, 8:12 - Encore vert et sans qu`on le coupe, Il sèche plus vite que toutes les herbes.
Job, 8:13 - Ainsi arrive-t-il à tous ceux qui oublient Dieu, Et l`espérance de l`impie périra.
Job, 8:14 - Son assurance est brisée, Son soutien est une toile d`araignée.
Job, 8:15 - Il s`appuie sur sa maison, et elle n`est pas ferme; Il s`y cramponne, et elle ne résiste pas.
Job, 8:16 - Dans toute sa vigueur, en plein soleil, Il étend ses rameaux sur son jardin,
Job, 8:17 - Il entrelace ses racines parmi les pierres, Il pénètre jusque dans les murailles;
Job, 8:18 - L`arrache-t-on du lieu qu`il occupe, Ce lieu le renie: Je ne t`ai point connu!
Job, 8:19 - Telles sont les délices que ses voies lui procurent. Puis sur le même sol d`autres s`élèvent après lui.
Job, 8:20 - Non, Dieu ne rejette point l`homme intègre, Et il ne protège point les méchants.
Job, 8:21 - Il remplira ta bouche de cris de joie, Et tes lèvres de chants d`allégresse.
Job, 8:22 - Tes ennemis seront couverts de honte; La tente des méchants disparaîtra.
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emptywindprisoner · 6 months
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Le Maître se trouve avec son pilot et les scientifiques qui voyage dans le temps. Cependant, il y a un autre soldat qui le suit en secret. Lors du voyage cosmic, il comprend que son convois fleet de ship. Est déserter des 50 autres ships. il maître de la situation. Les monstres crapuleux mange les araignées géant. Son séjour dans le labo fut très long et dangereux périlleux. Le Maître ce nomme RO32,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, Pilote et ingénieurs spacial spéciel, il est combattant de l'univers pour L'univers. Juste son nomme fait trembler ses enemies. Il comprend tout les mystères de l'univers, des hommes et des femmes. Le maître Prénom Adam: RO32 Faisait toujours la pensée droite soit début sois assis en lotus ou tout le temps. La langue maintenue dans la pallette ou juste vite fait avant une conversation avec ses disciples. Respirant par le nez. Pour protège contre les mauvaise onde énergie ou les monstres crapuleux de l'univers. ContinueP3 3 february 2023
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gamer-sttuf · 7 months
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T-Shirt Minecraft Araignée | 21€ | T-Shirt Minecraft Araignée Matière : 100% coton Disponible en taille homme, femme et enfant Type d'impression : impression 3D de haute qualité Livraison Gratuite Voir le Porduit
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thewul · 10 months
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Académie Française
Et vous dites l'avoir vue? Absolument sans aucun doute, d'ailleurs j'ai pu l'observer pendant un long moment avant qu'elle ne disparaisse! Effectivement... Les araignées n'aiment pas être découvertes... C'est cela! Et pouvez vous me la décrire... Immense! Velue! Tout a fait... Tout a fait... Une immense araignée qui nous guette depuis la Lune, un sujet littéraire tout a fait fascinant... Le bannissement d’Arachné par Sélène... 
Nous ne nommerons pas cet Académicien, un homme de lettres, ni la confusion, les confusions, que ces longues discussions avec Philippulus ont pu engendrer
Pour lequel la découverte de Philippulus était d’un intérêt littéraire certain, et qui ne faisait que la confirmer davantage aux yeux du Professeur
Suffit de dire qu'il n'était pas le seul Académicien ès Lettres a trouver de l'intérêt aux propos de Philippulus
Amitiés, espérances
Le Crabe d’Or
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gaelle-kashiira · 2 years
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Deuxième chapitre de "De ma famille"...
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Part. 1 - Part. 2 - Part. 3 -
2
Machi relève la tête du bébé et regarde les trois hommes qui attendent son verdict. Elle ne sait pas trop qu'en penser. De tous les membres de la Brigade Fantôme, ils sont les moins susceptibles de s'attacher à un petit être sans défense.
Non, c'est faux… Phinks, sous ses airs de brute, a un faible pour les petites choses fragiles et perdues. Il n'y a qu'à voir comment il a pris Kalluto sous son aile. Mais les deux autres ? Shalnark prétend être absorbé par un jeu sur ton smartphone mais elle a intercepté les petits coups d'oeil qu'il lui jette de temps en temps. Feitan est plus difficile à lire. Caché derrière son bandana, il observe la scène sans trahir la moindre émotion. Il a dû accompagner les deux autres parce qu'il s'ennuyait ?
— Alors ? demande Phinks, anxieusement.
La jeune femme ramène son regard sur le bébé. Elle se sent presque désolée.
— Alors pas grand chose. J'ai soigné ce que j'ai pu mais…
Sa spécialité, ce sont les blessures et les opérations chirurgicales à base de nen. Cette toute petite fille a besoin d'un pédiatre et d'un miracle. Les traits de Phinks trahissent sa détresse tandis qu'il comprend pourquoi elle ne termine pas sa phrase.
— Mais…
Elle secoue la tête avec regret. Elle n'est pas vraiment fanne des bébés et de tout ce qui tourne autour mais ce n'est pas pour ça qu'elle ressent de la joie devant le malheur de cette petite météorite.
Shalnark ne décolle plus de son écran mais son regard est trop fixe pour prétendre qu'il est juste absorbé par son jeu et sa mâchoire un peu trop saillante. Quant à Feitan…
Difficile de le lire. Comme d'habitude.
— Tu ne peux pas soigner ?
Machi réprime un sursaut devant la question abrupte. Elle ne s'attendait pas à ce que l'interrogateur attitré de la Brigade s'intéresse réellement à la question. Elle apprécie sa compagnie, il est réservé, calme et froid. Il ne pose pas de questions stupides et n'essaie pas de flirter avec elle. Que des qualités, en ce qui l'a concerne.
— Je suppose que je pourrais essayer mais les enfants ne sont pas vraiment ma spécialité.
Elle parvient à ne pas grimacer en prononçant ces paroles. Le regard de Phinks passe de Feitan à elle avec la régularité d'une balle de tennis.
— Alors docteur pour enfants peut soigner ?
Machi hausse les épaules.
— Un pédiatre aura surement plus de chance que moi de trouver un remède mais…
La minuscule araignée s'est avancée jusqu'à se retrouver juste devant elle. Les yeux gris de Feitan croisent les siens sans rien dévoiler de ses sentiments. Puis, il se détourne et soulève le bébé.
— Fei !
Phinks crie de surprise lorsque qu'il sort de la pièce avec son fragile chargement.
— Merci Machi ! Je te verse la somme dès que…
— C'est gratuit pour cette fois. N'en prends pas l'habitude.
Le grand blond la remercie d'un geste avant de suivre en courant son compagnon. Resté seul avec Machi, Shalnark soupire d'un air agacé.
— Bon… je suppose que je devrais les suivre pour m'assurer qu'ils ne vont pas faire trop de dégâts.
Il agite la main d'un air guilleret.
— Merci Machi, lance-t-il avant de sortir à son tour.
***
Le troisième est déjà en cours. J'aime bien ce que ça commence à donner ☺️
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fdx73 · 1 year
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Quand on songe aux singes qui en songe ont songé au singe-homme devenu homme-singe, on se prend à singer ces singes pour enfin devenir homme-songe.
C’est cette foi en cette loi ancestrale qui depuis la spectrale nuit des temps parcourt l’astre de la vielle ville vile. Dans le sein de ces ruelles forcément étroites, le cri d’asphalte de la rayonnante araignée sous la peau gonfle un à un chacun des membres ténébreux de la terrible cité. Mais cette loi géométrique, parvenue à l’orée de son oraison d’or de raison, semble bien incapable, à elle seule, d’expliquer l’origine des trois sexes excités des sept déesses extrêmes. Ce parfum grave de chaleur d’orgasme de fleur, tourne sournois sur le haut des trois toits purs pour, dans un bruit de soie, agiter le feu des rois qui, à la seule et simple extrémité de la narine, reconnaît l’odeur d’or de sueur sèche d’un pré verdoyant de vierge fraîche. Ne pouvant et ne voulant, ni résister ni désirer, ils se virent en liesse et malgré eux transformer en orageux teigneux qui depuis n’ont plus la raison comme guide de leur pieuse maison, mais ont maintenant une nouvelle saison de sensation qui a pris habitation dans les cavités vidées par cette écœurante puissance originelle de frustration d’action, bien plus excessive et sexuée que pourrait l’être le pire printemps de la plus infernale jeunesse.
Voici enfin et ainsi apparu à notre vu ce qu’on appelle les singes nus. Non pas venus d’une autre parole sotte d’un apôtre sans ordre ni désordre juste descendu de la silencieuse et siffleuse continuité des  anonymes serpents pleutres, mais bien venus de la lune rendue nue par ce sang de voyant sensuellement bercé par un vent pénétrant, et qui ronge dès lors le doux songe du doux sens de la douce caresse du songe de l’homme-singe devenu ainsi homme-songe
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