Tumgik
#fantasy héroic
editionskelach · 22 days
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Présentation des nouveautés "printemps 2024" des Éditions Kelach. "Comment se débarrasser (encore et toujours) d'un spectre sans gêne ?"
"La geste d'un tisserand"
"Latombe, victime professionnelle"
"Demain nos libertés"
#éditionskelach #nouveautés #romans #anthologie #livraddict #booktok #fantasyhumoristique #fantasyhéroic #polarfantastique #dystopies #fantasy #humour #aventure #sorcellerie #tyranie
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arcanes-ouvertes · 10 months
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Skandar
Skandar T.1 : Skandar et le vol de la licorne N’imaginez pas les licornes comme de mignonnes petites choses à crinière arc-en-ciel : elles ont une corne pour une raison. Les licornes sauvages sont des créatures hautement terrifiantes et dangereuses, attirées par le sang et assoiffées de dévastation. Heureusement qu’il existe des cavaliers capables de se lier à elle à leur naissance, réduisant…
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philippebringel66 · 2 years
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Elmeria - character design - JedKan - Héroic-Fantasy
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punsfairycorner · 3 years
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OmegaZell, véritable protagoniste de Noob ?
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Introduction: présentation de Noob
Dans cette première rubrique, je tenais à parler d’une saga qui me tient à coeur, un univers transmédia que j’ai découvert sur le tas en 2019, et je veux parler de Noob. 
Pour ceux qui ne connaissent pas, Noob était au départ une web-série d’héroic fantasy, produite par Fabien Fournier à partir de la fin des années 2000. Cette série a atteint un tel seuil de popularité en France que depuis, plusieurs films sont sortis, 10 saisons au total, un jeu vidéo, plusieurs bandes dessinées, des light novels et des romans également, et tout plein d’autres goodies.
“Mais qu’est-ce que c’est Noob exactement, de quoi ça parle ?” me demanderez-vous, et la réponse est simple au premier abord. Noob est une série centrée sur 4 personnages d’un MMORPG nommé Horizon, un jeu de rôle en ligne, qui forment la pire guilde du jeu (intitulée de façon éponyme guilde Noob) et avancent à travers différentes épreuves au fil des saisons, que ce soit in-game ou IRL.  Gaea, une invocatrice proche de ses sous et opportuniste dont l’avatar est contrôlé par Gabrielle Jolivet, étudiante fauchée, Sparadrap prêtre et soigneur très naïf et ayant du mal à comprendre les mécanismes du jeu, contrôlé par Kevin Lepape, champion de tennis, Arthéon, chef de la guilde Noob, guerrier avec un fort sens de l’esprit d’équipe contrôlé par Stanislas Chatelain, un jeune fan de roleplay et de background (les histoires et légendes des jeux en particulier). Et le personnage qui sera l’objet de cette étude, OmegaZell, assassin souvent assez prétentieux et fanfaron qui n’aime pas la présence de femmes dans les MMORPG, contrôlé par Morgan Lavande, reporter chez Féminine TV. 
Bien que pendant l’histoire, à travers les saisons, chaque personnage a droit à son lot d’attention, et que bien sûr on en découvre une ribambelle de nouveaux que je ne vous citerai pas tous (C’est à vous de faire ces recherches, et ce serait trop long, car il y en a énormément, et en plus c’est hors-sujet. Et c’est ma rubrique, donc je fais ce que je veux dedans), à mon avis, OmegaZell est le véritable héros de l’histoire, en outre, le protagoniste principal si on devait en nommer un. Et ceci peut être justifié par différentes raisons, qui seront détaillées en dessous (ATTENTION: BEAUCOUP DE SPOILERS JUSQU’A LA SAISON 9)
-Ses motivations et objectifs sont les plus explorés parmi les 4 personnages principaux. 
- Il est celui qui a le plus à apprendre, et par ce fait, est celui qui évolue le plus dans son aventure (en dehors de Sparadrap qui sera le sujet d’un prochain article).
- Parmi les personnages principaux, sa personnalité est, bien qu’au premier abord assez simpliste (comme tous les 4, après tout, au départ ils ne sont surtout présentés que comme des clichés) la plus complexe et cela se voit dans la grande différence de son comportement en tant qu’OmegaZell et en tant que Morgan Lavande
Je n’utiliserai comme éléments de preuve, que des moments de la web-série, n’ayant pas encore pleinement exploré les autres médias de cet univers si vaste. Mais dès lors que j’aurai pu me les offrir, je serai à même de publier une version de cet article encore plus complet, si le besoin s’en fait ressentir.
Motivations: un personnage inarrêtable
Pour commencer par la motivation, il est établi, dès le début de la série qu’un des objectifs d’OmegaZell, en dehors d’obtenir l’équipement le plus classe, est de rejoindre la guilde Justice, la guilde la plus puissante du jeu. Son héros in-game, Fantom, numéro 1, guerrier du crépuscule et figure emblématique de ce MMORPG, est celui qui l’inspire à avancer dans le jeu, bien qu’ils ne se rencontrent qu’à la moitié de la saison 1. 
Pendant toute la première partie de la série, il y a des allusions à l’objectif d’OmegaZell, que ce soit le tabar de la guilde Justice qu’il porte constamment à ses débuts dans le jeu, les scènes où il observe Fantom de loin (au grand plaisir de Gaea qui n’hésite pas à se moquer de lui et à penser qu’il est amoureux de Fantom, allant jusqu’à créer des scénarios dans sa tête), mais également son choc en apprenant que son chef de guilde faisait autrefois partie de la guilde Justice, avant que son personnage niveau 100 ne soit banni par un maitre du jeu. Même lorsqu’il perd de vue son objectif quand Fantom est banni pour des allégations de triche dont il n’est pas responsable, et que Max Middle, celui qui contrôle l’avatar, décide d’arrêter de jouer, cela ne dure pas longtemps et OmegaZell parvient à convaincre le guerrier du crépuscule redevenu élémentaliste de retenter sa chance. 
 Il est d’ailleurs recalé plusieurs fois par Saphir, membre de la guilde et également responsable des recrutements. Mais avec acharnement et abnégation, il finit par arriver à intégrer la guilde après de nombreuses saisons de galère et un coup de pouce de Fantom.
Et même dès lors qu’il rejoint la guilde, il ne perd pas de vue son autre objectif: devenir un jour numéro 1. Et bien qu’au stade où en est la série en ce moment, il n’y est pas encore bien qu’il soit le nouveau champion PvP (joueur contre joueur) de la guilde Justice, son développement est loin d’être terminé, affaire à suivre donc. 
Chaque objectif qu’il a, il l’accomplit avec acharnement, car s’il y a une chose qu’on ne peut lui nier malgré les quelques traits de caractère qui lui font défaut, c’est sa persévérance: il rejoint la guilde de ses rêves, combat au côté de son héros, et même face à lui, débloque une classe légendaire (Berzerker du crépuscule) et même une attaque furie légendaire, après une quête ardue. Sans parler de son ultime duel contre sa némésis de toujours, Gaea l’invocatrice. 
Après cela, il est clair qu’OmegaZell est bien souvent au centre des événements de la série, le rendant un des candidats de choix pour le titre de protagoniste principal
Évolution: un personnage dynamique
Mais ce n’est pas tout: en plus d’arriver à ses objectifs, il vit une véritable évolution, que ce soit au niveau de son caractère, où il arrive à changer grâce aux multiples influences autour de lui, et au niveau de ses compétences in-game
Il est clair dès le début qu’OmegaZell et Gaea sont rivaux, et ne se supportent pas, ce qui est un des aspects principaux de la dynamique de la guilde Noob. Les deux se chamaillent très souvent pour des raisons futiles et en viennent même à se battre à deux reprises. Et pourtant, en dehors de personnes que nous verrons par la suite, c’est Gaea qui a le plus d’influence sur l’évolution d’OmegaZell à travers la série. En premier lieu, toutes les frasques qu’elle lui fait subir comme la publication de vidéos embarrassantes de lui ou le fait qu’elle ait fait de lui un meme sur son blog de Gaea font qu’il est endurci et apprend à passer outre ce genre de provocations, au point où ce n’est plus un sujet de discussions dans les saisons les plus récentes. 
Sa défaite contre Gaea en public en fin de saison 4 lui apprend aussi un peu d’humilité après que Fantom ne vienne lui en parler, même s’il arrive à retrouver sa fierté après un moment. Enfin, leur relation elle-même semble évoluer puisqu’ils décident, en saison 9, de faire volontairement équipe à nouveau avec de nouveaux avatars histoire de décompresser, montrant qu’ils ont tous deux appris leur leçon et sont capables de travailler en équipe, et donc qu’OmegaZell a aussi pu apprendre à mettre de l’eau dans son vin quant à son rapport avec les femmes.
À ce propos, une autre femme qu’il a à fréquenter à partir de la saison 4 est la membre de la guilde Justice, Saphir. Cette dernière le recale au total quatre fois avant qu’elle ne doive l’ajouter dans la guilde. Cependant, elle ne rend jamais sa tâche facile, lui donnant du travail ingrat au départ, comme le rangement du coffre de guilde, surchargé. Mais au final, elle aussi a une influence positive sur OmegaZell et au final, les deux apprennent à se respecter, malgré le fait que Saphir ne puisse pas tolérer l’attitude fanfaronne d’OmegaZell.
Enfin, son évolution se voit plus particulièrement à propos de sa relation avec Sparadrap. Au départ, il méprise absolument le prêtre, le trouvant incapable, complètement stupide, et cherchant même à le remplacer dans la guilde. C’est même le ressort de plusieurs gags dans les première saisons où Sparadrap surprend OmegaZell, soit en réalisant une attaque surpuissante, soit en ramassant par accident un objet très rare, soit en disant quelque chose de censé. Puis au fur et à mesure des péripéties, mais surtout vers la trilogie saison 6/7/8, il finit enfin par lui accorder du respect (Sparadrap ayant de son côté, beaucoup pris en maturité et étant passé lui aussi niveau 100) et travailler en équipe avec Gaea et lui afin de vaincre leur chef de guilde, devenu depuis lors joueur-World Boss dans une suite de quête capitale à l’histoire d’Horizon
Ainsi, OmegaZell, loin d’être une pale caricature, devient un personnage humain, avec multiples facettes, et même si son caractère reste plus ou moins le même (sa classe légendaire étant en accord avec son manque de discrétion pour un assassin et son côté flashy), il devient tout de même une meilleure version de lui même, OmegaZell 4.0.
OmegaZell et Morgan Lavande: Même personne, différentes attitudes
Comme énoncé précédemment, l’avatar d’OmegaZell est contrôlé par Morgan Lavande, un jeune reporter travaillant pour une chaine de télévision s’intéressant à des sujets “féminins”. Son rejet apparent de la gente féminine serait dû à ce fait car il ne se sent pas à sa place dans son environnement de travail, et de ce fait, il garde une rancœur envers les femmes en général, mais surtout dans les mondes virtuels. C’est un trait qu’on voit apparaitre surtout dans le monde d’Olydri, car IRL, Morgan semble être très différent de la façon dont il se comporte en jeu, ce qui n’est pas le cas par exemple pour Sparadrap qui est pareil en Kevin Lepape ou Gaea qui est pareil en Gabrielle Jolivet (on la voit d’ailleurs un peu plus souvent elle aussi, sous cet aspect, ce qui sera intéressant à noter dans ma future rubrique dédiée à Gaea)
Contrairement à son côté très poseur en jeu, Morgan est généralement très sobre voire même sur la réserve quand il s’agit de son comportement IRL.
 C’est sans doute lié au fait qu’on le voit le plus souvent dans son environnement de travail, quand il commente les matches de tennis de Kevin Lepape, ou quand il doit aller interviewer Gabrielle pour un article sur les femmes dans le monde des MMORPG par exemple, ou alors quand il va interviewer Max Middle (le joueur qui incarne Fantom). Bien que Gaea et lui gardent leur animosité naturelle, elle est plus tempérée dans le cadre de leurs rencontres IRL, et ils travaillent même ensemble pour aider Marcus, chroniqueur de la chaine de télévision de No Life(dédiée au gaming en particulier) à filmer son émission, et ce dès la saison 3 (une fois que Gabrielle est bien payée). 
Lorsque le groupe de Gaea, Sparadrap, Golgotha (une amie IRL de Gaea qui joue la classe guerrier sur Horizon) et lui décident d’aller chez Max Middle pour essayer de le convaincre de revenir jouer après le ban de son personnage, Morgan reste caché tout le long derrière un véhicule jusqu’à ce que tout le monde soit arrivé, montrant d’un côté le fait qu’il est toujours intimidé par la présence de Fantom, son héros, mais aussi le fait qu’il n’avait pas attendu cette interaction sociale avec impatience. 
De plus, à l’inverse de Gaea, qui a l’air d’avoir assez de connaissances IRL (dont Golgotha), Arthéon qui semble avoir une famille suffisamment présente, et Sparadrap proche de sa grand-mère, de son père et de son frère, Thomas Lepape qui joue également à Horizon et est le meilleur soigneur du jeu (Ystos est le nom de son personnage), on ne connait pas vraiment le cercle d’OmegaZell dans sa vie personnelle. Il dit ne pas avoir de petite amie (lors d’une des sessions de recrutement pour la guide Justice), aucun de ses amis n’est mentionné, à l’exception d’une connaissance qui travaille à Nolife, et il ne semble pas passer énormément de temps avec ses collègues de travail, jouant même parfois à Horizon au bureau. C’est donc une personne plutôt introvertie qui a du mal à se confier facilement à l’opposé de son assassin/berzerker du crépuscule, avec qui il n’a aucun problème à sociabiliser dans l’univers du jeu.
Cette dualité fait de lui un personnage intéressant, et même si on ne connait pas la situation actuelle de Morgan, s’il a fini par quitter son emploi, par exemple pour travailler ailleurs, il est clair que son potentiel sous toutes ses facettes est loin d’être encore exploité à 100%, donc je m’attends à en voir plus au fil des saisons et des médias.
Conclusion: héros ou zéro ?
En lisant ceci, vous vous direz peut-être que le trait est un peu forcé, mais tout ce qui a été dit jusque-là peut être prouvé par des éléments de la web-série elle-même. OmegaZell/Morgan est un personnage humain, complexe, loin d’être juste virtuel. Ses objectifs, ses rêves, sont importants pour lui et c’est un gamer jusqu’à l’âme, à l’instar de ses compagnons d’armes. Et à mon avis, il incarne vraiment à la perfection le héros de RPG, le protagoniste de Shonen ou d’Isekai (deux types de fiction très portées sur l’aventure), qui trouve en ses alliés, avec le temps les efforts et les difficultés rencontrées, la force de grandir. C’est une aventure inspirante, celle qu’il doit parcourir, en gravissant les échelons du monde d’Horizon. Mais même s’il semble assez isolé IRL, il n’est pas seul. Il s’est formé son propre réseau, avec qui il a appris, qui l’a fait se rendre compte de sa valeur, de ses forces et ses défauts. Et bien que l’aventure ne soit pas terminée, j’ai fort espoir que le Berzerker du Crépuscule saura nous étonner à nouveau.
Pour moi, il est bien le véritable héros de Noob.
-Puns-
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rainbowtheque · 6 years
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Les Aventuriers de la mer
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Titre : Les Aventuriers de la mer
Autrice : Robin Hobb
Roman en 3 intégrales (ou 9 poches)
Genre : Fantasy
Maison d’édition : Pygmalion (grand format) & J'ai Lu (poche)  
Disponible en version papier, numérique et audio -   9 tomes poches (entre 300 et 400 pages) ou 3 intégrales poches (900 pages chacun) Si vous souhaitez lire l’assassin royal, il est conseillé de lire ces livres entre les cycles 1 et 2 de l’assassin royal. Si vous ne comptez pas lire l’assassin royal (ou pas tout de suite), "Les Aventuriers de la mer” peuvent très bien être lus en premier lieu. Plus d’infos ici
Âge conseillé : 16 ans +  (assez graphique dans le sang et le sexe, par moment)
Résumé
Les vivenefs sont des vaisseaux magiques liés à la famille qui les possède par des liens empathiques. Ces navires sont insaisissables, ils bravent les tempêtes, évitent les récifs, distancent les monstres marins, sèment les pirates... Et sont surtout l'objet de toutes les convoitises. Vivacia est la vivenef de la famille Vestrit. Le capitaine Ephron Vestrit est mourant et, parmi les siens, chacun ourdit complots et traîtrises pour s'approprier son vaisseau, car l'héritage d'une vivenef ne se transmet pas comme un legs normal. Et ce tandis que d'autres dangers se profilent à l'horizon: les serpents de mer qui infestent les océans se regroupent, et un ambitieux pirate aspire à unir ses pairs sous un seul pavillon : le sien..
Identité représentée : 
Gay - non-binaire/genderfluid - handicap. Igrot (homosexuel, personnage secondaire), Ambre (personnage à l'apparence androgyne, parmi les personnages principaux)
Thématiques présentes : 
Si les problématiques LGBT sont loin d'être au centre de l'intrigue des Aventuriers de la mer (les seules "traces" sont un personnage masculin violé dans son enfance et un autre que l'on sait genderfluid grâce à une autre série, "L'assassin royal", mais c'est très secondaire), elles sont réellement centrale dans la seconde série, "Les cités des Anciens", où l'un des personnages principaux est gay (et par là sont abordés les relations toxiques, les "femmes-alibis", la visibilité de la sexualité, les dangers et LGBTphobies...)  Au centre de "Les cités des Anciens" se trouvent aussi les problématiques liées aux handicaps et aux différences physiques, la majorités des personnages étant nés "difformes", affublés d'écailles, de griffes, etc... Ces difformités leurs valent d'ordinaire une mort à la naissance, ce qui fait que les rares survivants sont ostracisés par les habitants. 
En outre, on aborde aussi les thèmes de l'esclavage, de la colonisation, de la place de la femme, du viol,...
TW : Menaces diverses, relation abusive, violences physiques et verbales, viol, morts
Avis de eme237
Oeuvre très complète et complexe, très prenante, une immersion dans l'univers très développé, avec des personnages profonds et bien fouillés. Une de mes séries préférées qui m'a profondément marquée!
Avis de honeyy-dream
Voici l’une de mes sagas préférées! Elle se place dans l’ordre chronologique après la première série de l’assassin royal, mais les aventuriers de la mer peuvent éventuellement être lus sans avoir préalablement lu l’assassin royal, car les lieux et personnages (à une exception près) sont différents. Personnellement j’ai encore plus aimé cette série-ci que l’assassin royal, car tout y est: aventure, amour, scénario ficelé d’une manière terrible, narration à la Game of Thrones qui permet de suivre différents personnages, magie, serpents de mer et piraterie, intrigues politiques et complots, émancipation féminine, esclavagisme, religion, et personnages incroyablement complexes! C’est aussi l’une des rares séries fantasy à avoir la parité homme/femme (voire avec une majorité de femme) dans les personnages! De plus, on est ici très loin des clichés habituels. Je ne peux pas en dire plus sur le scénario, mais j’en avais été bluffée à la fin de la saga. Je sais qu’il est tentant de sauter cette série et de lire l’assassin royal d’une traite, mais je le déconseille fortement: tout d’abord on manquerait trop d’informations pour comprendre ce qui se passe dans l’assassin, mais en plus, on se spoilerait cette merveilleuse série...
Avis de Maraudeur
Ces deux séries sont complémentaires à celle de l'Assassin Royal, déjà présent sur l'archive. "Les Aventuriers de la mer" se place entre les cycles 1 et 2 de l'Assassin et "Les cités des Anciens" entre les cycles 2 et 3. Bien que la lecture de "L'assassin royal" ne me semble pas indispensable pour comprendre ces deux séries, je les conseille fortement, pour saisir toutes les subtilités de l'oeuvre. Personnellement, j'ai adoré ces deux séries, bien plus que l'Assassin Royal. On y retrouve beaucoup de personnages différents, aux caractères très diverses, notamment des nombreux personnages féminins très bien construits et très différents les uns des autres. Robin Hobb a le don pour écrire des personnages que l'on adorera ou détestera de suite, mais surtout pour en créer beaucoup qui évolueront énormément au fil de l'histoire. L'univers est quant à lui très fouillé, avec énormément de détail, mais aussi des questions qui ne trouvent pas forcément de réponse et qui laissent place aux hypothèses, ce que je trouve très appréciable. Autre gros point fort, c'est la multitude des problématiques qui sont abordées au cours des (très nombreux, à cause du découpage des tomes pour la traduction VF). Les Aventuriers de la mer se centrent surtout sur la place de la femme, les colonies, les conséquences d'un viol,... La série "Les Cités des Anciens", d'autres part, si elle continue de s'intéresser à la femme et au féminisme, se tourne plus vers les problématiques du handicap et de l'homosexualité. Ces séries n'en sont pas pour autant parfaites. Je trouve parfois les résolutions des problématiques un peu décevantes et la multiplication des personnages me perd parfois.
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Yencil, le stratège de JEAN-MARC DOPFFER
Yencil, le stratège de JEAN-MARC DOPFFER Une petite nouvelle fantasy fraanchement sympa et originale !
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Extrait en guise de mise en bouche :
Les Bainges, ses créatures ailées, imperceptibles aux mortels mais néanmoins incarnation des sentences du Dieu de la Guerre, Yencil les appelait à lui. Chacune était soigneusement sélectionnée parmi les plus talentueuses combattantes des mortels. Des guerrières uniquement, car leur âme féminine seule, de par la finesse de leurs sentiments, avait la…
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laylucifer · 3 years
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Liba - L’esprit du vent
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Je trouve qu’un billet par an c’est un bon rythme, pas vous ? 
Dans la série des “Manga où tu as glissé ton persona de façon cringe”, j’appelle en témoin YuGiOh. (Attend, tu veux pas parler pourquoi t’as été absente pendant 1 an alors que ta résolution c’était justement te d’occuper de ce blog ?). Absolument pas, cependant je peux vous parler de cette merveilleuse amie et collègue qui m’a remotivé à écrire ici. 
Alors, même si je meurt d’envie de vous parler d’énormément de chose (notamment de Kaguya, parce que je l’aime de tout mon coeur), je préfère vous parler de tout les personnages qui ont été aboutis avant elle. 
Quand j’était enfant, je l’ai déjà dit, mais j’était une enfant, puis adolescente très seule. Mon père m’a partager ses passions parmi lesquels se trouvait celle des mangas. Je regardait des animé plus jeune sans forcement le savoir (SonicX, Capitain Tsubasa (Olive et Tom pour les puristes), Candy, Goldorak, DragonBall) parce que mes parents avant grandit avec cela et que mon père aimait ça. Et puis, un jour, mon père à trouver un animé trop cool qu’il nous a partager : Naruto. Moi et mes frères ont a adoré. Si bien que quelques années plus tard, mon père et moi avions rendez vous tout les vendredis soir après avoir lu le Scan du dernier chapitre de Naruto (qui était sorti chez Jump au japon, que des braves âmes avaient récupérer, scanner et traduit) pour en discuté. Bref, pendant plus de 12 ans Naruto était mon moment complice avec mon père. 
A partir de là, j’ai fait mes propres recherches et j’ai regarder des oeuvres de mon choix (Je me souviendrais toujours du malaise que j’ai ressentie ne regardant le film Kenshin pour la première fois, des larmes qui coulaient à flot quand j’ai finit Negima et des magazines AnimeLand que j’achetait pour découvrir de nouveaux animés et manga alors que j’avais un ordinateur pour chercher). J’ai découvert Yuyu Hakusho sur la chaine Manga, mais également HunterXHunter, j’ai put regarder les City Hunter aussi et je suis progressivement passé du coté PC de la force pour regarder les animés que je voulais au final. C’est comme cela qu’au collège, bien après la hype de la primaire, que je me suis mise à regarder YuGiOh. Parce que l’effet de mode était passé, parce que je me suis dit que pour la culture ça serait bien que je le regarde, ect... Et finalement, YuGiOh à lui seul (à l’instar de Dragon Ball) c’est franchement pas mal ! 
Autant dire que ça a vite déraper pour Kitsune dans cet univers là. Je ne saurais pas dire si elle était aussi raté que celle dans Yuyu Hakusho, mais disons qu’elle était beaucoup moins travaillé et qu’elle se résumais principalement à faire des bébés pour s’accaparer l’affection des hommes. (Team Atem ou Team Bakura ?)
Comme à chaque fois, il y a eut plusieurs version, mais globalement c’était un esprit qui venait d’Egypte Ancienne (parce que je préfère les univers anciens, médiévaux, ect... Eh oui, Team Héroic Fantaisie ici les gars, l’Urbain Fantasy et les Bit-Lit j’ai du mal) et qui retrouvait ses amants dans le présent en mode groupie ou alors c’était une femme qui épousait le Pharaon Atem, qui avait une fille avec lui (je crois qu’elle s’appelait Yura), mais qui avait des sentiments pour son ennemis juré Bakura et comme elle savait pas qui prendre parce qu’elle ne pouvait épousé les deux se faisait violée par Bakura, avait une fille de lui nommé Ran qui était élever dans le palais (forcément) et voilà. Du coup, elle avait les deux hommes pour elles par l’intermédiaire de ses filles. 
Autant vous dire que c’est la première dans le lot que j’ai retravaillé. Kitsune est née quand j’avais 15 ans et est devenu Liora quand j’avais 18/19 ans.
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A chaque période de ma vie j’ai des grosses inspirations dont je copie au départ le principe, puis en grandissant je m’en éloigne tout en gardant le clin d’oeil. Pour Kahei, sa forme dragonnique m’a été inspiré par l’oeuvre de E.E. Knight : L’âge de Feu, qui sont mes premiers livres de fantaisie que je me suis acheté et qui raconte la vie et l’histoire de Dragon.  Pour Liora, puis Liba, c’est Spirit, l’Etalon des plaines de Dreamworks. Alors oui, vous avez l’impression qu’on régresse, mais attendez que je vous explique.
Je faisait du jeu de rôle sur un forumRPG de Spirit à l’époque (alors oui, ça a éxisté et c’était très bien pour une ado comme moi \o/ ) et j’avais fait un cheval de guerre indien bai foncé dont la personnalité et le caractère était pas mauvais, sans forcement être le personnage de l’année (l’identification au personnage, Kitsune dérivé sous la forme d’un canaçon, la répétition des caractères et le manque d’originalité, bref...) et étant dans une de mes nombreuses périodes YuGiOh je me suis dit qu’il faudrait que j’adapte les personnages que j’aime pour les intégrés dans le forum. Ce fut une plus ou moins belle réussite. Si c’est resté à l’état de brouillon sur le forum, dans ma tête et sur le papier c’est devenu quelques chose de plus aboutis. 
Petit apparté pour dire qu’à cette époque si j’avais un skyblog (comme beaucoup de gens de mon âge) et que j’ai put découvrir une chouette personne qui m’a fait réalisé qu’adapter son personnage à l’univers c’était mieux, qu’on pouvait écrire une belle histoire sans forcer les personnages à changer de nature. Mille bisous à Yugioh-picture, si un jour tu passes par là, sache que tu m’as aidé à grandir avec ta super fiction que je vous invite à lire. 
Première étape : S’adapter à l’univers. Kitsune n’est pas un nom Egyptien, hors Bakura et Atem vivent en ancienne Egypte. J’ai fouiné sur internet jusqu’à trouver ce site qui me permit de trouver un nom cool à Kitsune. Ainsi, elle est devenu Liora (bien que Liba me plaisait aussi). Deuxième étape : Adapter son caractère aux personnages avec lesquels je veux qu’elle ait des affinités. A cette période, Yugioh-picture et sa fanfiction m’ont beaucoup aider à comprendre cela.  Troisième étape : Se rendre compte que le résultat te plait pas, que c’est pas Kitsune, que ça te gonfle. Tout balancer par la fenêtre, arracher la page et la chiffonner et recommencer.  Quatrième étape : Crée une histoire adapté à l’univers proposer sans la rentre indispensable. C’est ainsi qu’est née Liba. 
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Lors de son combat contre Mahad (qui deviendra par la suite le Magicien des Ténèbres), Bakura se retrouve enfermer dans un tombeau qui s’écroule sur lui, mais arrive à s’enfuir en découvrant un ruisseau qui le guide en dehors du tombeau. Affaiblit, il est récupérer par des habitants des frontières du royaume d’Egypte qui vont prendre soin de lui. Une fois sur pied, le Roi des Voleurs exige un cheval pour quitter l’endroit et retourner au palais. Les villagois acceptent, prétendent même avoir les chevaux les plus rapide du pays, mais lui disent d’aller voir ça avec l’éleveuse de chevaux. Ni une, ni deux, Bakura s’y rend et y trouve une jeune femme souriante, taquine, qui ne prend visiblement pas sa personne au sérieux et qui monte sa jument sans selle, ni bride. Elle s’appelle Liora et lui dit que s’il veut un cheval qu’il s’approche de l’un d’eux et qu’il le monte. Son cheval le plus rapide étant un étalon bai foncé un peu à l’écart du troupeau, Bakura s’en approche et se fait agressé à grand coup de dent et de coup de sabot de l’animal, prénommé Zéphyr, qui refuse de se laisser approcher par lui. 
Alors Bakura devra rester avec ses villageois le temps de dompter l’un des chevaux de Liora. Alors, pourquoi n’a-t-il pas utilisé l’anneau millénaire pour asservir le cheval ? Parce que le village palpite de magie. Bon nombres de ses habitants ont appris à maitriser le pouvoir des éléments qui se sont insuffler en eux à petites doses. Liora maitrise le vent : Elle l’entend chanté à ses oreilles, il la préviens quand un danger l’approche et elle peut apaiser les chevaux qu’elle élève, se faire comprendre plus ou moins d’eux et surtout leurs insufflés la capacité de courir plus vite. C’est pour cela que ses chevaux sont les plus rapide du pays. 
Ce temps va permettre à Bakura d’apprendre à connaitre ses gens et à les apprécier, reconnaissant en eux l’ambiance communautaire qu’il a connus jadis dans son village de Kul Elna aujourd’hui village fantôme (hachtag le manga) et a force de se rendre au troupeau tout les jours pour essayer de dompter un cheval il va avoir une relation amoureuse avec Liora. Comme Liora est lié au vent, elle ne se voit pas finir sa vie avec quelqu’un. Le village est petit, on a vite fait le tour et elle a déjà reçut de nombreuses demande en mariage qu’elle a éconduit parce qu’elle préférait savouré une liberté que le ciel et la brise lui promettait. Alors, même si réellement le sexe et le rapport à son corps différait de la mentalité de Liora en Egypte ancienne comme elle pensait différemment, que son peuple croyait en des entité divine différentes que celle mise en place (c’est aussi pour cela qu’ils vivaient loin d’autres village, le dernier pharaon à avoir voulu changer la religion à très mal fini (Aller regarder des documentaires sur le Dieu Âmon vous comprendrez)) et Bakura aillant renier les dieux tout simplement leurs relations aussi romantique et éphémère était tout à fait possible. C’est d’ailleurs grâce à elle que Bakura à put finir par acquérir Zéphyr et partir.  Le manga continu, Bakura reprend sa route. On distant le temps pour s’adapter à ce qu’il peut se passé et c’est dans cet instant qu’on met en pause le défilement du manga pour insérer son histoire qui devra se raccorder à l’histoire originale à la fin. 
Liora donne naissance à une petite fille aux cheveux blancs, à la peau tannée et aux grands yeux bleu-acier parcouru d’étoiles qu’elle nomme Liba (dont la signification est Mon Coeur).et dont l’esprit du vent tombe éperdument amoureux. Malheureusement, comme le village de Liora se situe près des frontières il y a peu de garde pour la protéger et elle meurt empaler par des flèches lors d’un tour de garde qu’elle effectuait avec des membres de son village. La moitié de se dernier est d’ailleurs décimé à ce moment là et la petite Liba est élevé par l’un de ses anciens amants. Quand Bakura reviens, qu’il découvre cette petite fille d’à peine deux ans et apprend la mort de Liora, il propose au village de se déplacer dans un lieu plus sûr.  
C’est à partir de là que l’histoire de Liba commence vraiment. On a vu que Liora avait eut sa petite histoire, mais au final elle n’est qu’une passerelle pour introduire sa fille, Liba, qui est plus sympas, plus finit, plus ... plus attachante. 
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Liba c’est donc la fille de Bakura (c’est l’information importante), qui lui a continuer sa petite vie hein, même s’il a invité les habitants de ce village à venir à Kul Elna qui, soit dit en passant, est bourré de fantômes et d’ondes négatives cela ne l’a pas empêcher de continuer à monté son plan pour détruire le pharaon et de faire des rencontres. Il a connus d’autre femmes et a même fait d’autres enfants (petit clin d’oeil à la fiction de Yugioh-Picture ici). Du coup, même si Bakura est son père, qu’il l’aime, Liba est plutôt détacher de lui. Elle grandit surtout entouré d’ami, de chevaux (parce que c’est devenu le fond de commerce des habitants) et surtout avec une rengaine dans la tête qui l’empêche de rester concentré.  
Elle grandit avec Luth (la réplique de Gringoire dans la comédie musicale de NotreDame de Paris) et Khenty sur un fond de “A Nous” de Robin des Bois. Vers ses 15/16 ans, ils vont prendre leurs montures et partir découvrir le désert en volant et se jouer des autorités du pharaon comme leurs à appris à faire Bakura. 
Pour ceux que ça intéresse, j’avais publier à l’époque deux chapitre de ce début d’histoire qui me plaisait énormément mais que je n’ai jamais terminé et que je finirais surement un jour. Vous le retrouverez ici et j’assumerais la honte et la gène de vous partager un post qui date de ... 2013 ! 
Bref, cette troupe de joyeux lurons vaguait à leurs occupations. Liba est devenu une femme que je trouve magnifique. 1m60/1m65, des longs cheveux blancs en crinière, des yeux bleu qui pétilles, un air sauvage et revêche, des cuisses larges et une culotte de cheval à force de monté à cheval, des bras un peu épais dont une décerne pas les muscles, mais de la force dans ses mains, de la souplesse dans son dos. Un caractère indomptable, ferme, sec, une petite bandit qui est proche de ses frères d’armes. Elle maitrise le vent, mieux que personne, mais de façon naturel parce qu’elle est née avec et que le vent l’accompagne partout où elle va. 
A ce moment là, l’Egypte est attaquer par des bandits venus de l’extérieur. Le Pharaon c’est marier à une femme (qui n’est pas sa soeur parce qu’il n’en a pas) et à eut deux enfants Ramsès et Meora (qui eux sont censé se marier et se font très bien à l’idée). Liba et sa troupe sont face à de nombreux bouleversements. Premièrement Luth est amoureux de Liba, n’ose pas lui avouer de peur de brisé leurs amitiés et un soir abuse d’elle. Cela va brisé la confiance de Liba qui va  devenir plus irritable, furieuse contre tout ce que va faire Luth et finalement cela va apporté la zizanie dans sa petite troupe. Si bien que lorsqu’il vont tomber sur une autre bande de bandit et que Khenty va se faire tuer, Liba ne s’en remettra pas et quittera Luth pour faire cavalier seul.
 Les frontières de l’Egypte était menacer, Bakura se voit contraint de se rapprocher du Pharaon, pas par plaisir, mais par nécessité pour les gens et amis qu’il a. Rappelez-vous, ses gens vivent sur les frontières pour fuir les forces armés du Pharaon alors n’ils n’ont personnes pour se protéger et malgré leur magie ils sont face à une véritable armé. Alors Bakura alla demander à Pharaon la protection en échange du pouvoir élémentaires que maitrisait le peuple qui le suivait. Pharaon accepta, mais ses prêtres malins et soucieux de s’assurer la fidélité de cet ennemis qui, par la force, venait leurs demandés asile. Pour tester sa volonté, ils lui demandèrent la main d’un de ses enfants. Si Bakura n’était pas foncièrement d’accord avec l’idée, Liba l’accepta à la grande surprise de tous et surtout de son père, cependant les différents évènements qui formait sa vie et son histoire l’avait poussé au bord de la dépression et elle acceptait sans peine de se sacrifier pour son peuple. Liba épousa Ramsès à la place de Meora et devint Princesse d’Egypte, assurant alors la protection pour son peuple et la paix. 
Cependant, contrairement à Atem dont l’âme et le coeur pur et valeureux tomba peu à peu sous le charme sauvage de Liba, de la magie qui agitait ses cheveux et de sa voix irréelle que lui avait accorder le vent (nul personne ne chantait aussi magnifiquement qu’elle, car elle chantait avec la voix du vent les chansons que la brise avait composé pour elle), ce ne fut pas le cas de son fils qui malgré ses airs bon prince était dévoré par l’égoïsme et la haine. A l’abris des regards, Ramsès se déchaina sur Liba. Accompagner de Meora qui n’acceptait pas qu’elle ait pris sa place au coté de son frère. Il la força à se tenir à ses cotés, muette, la violenta pour la forcer à lui donner un enfant, mais plus Liba restait enfermer entre les murs du palais, plus elle dépérissait. Peu à peu, Ramsès finit par comprendre que Liba était stérile et n’eut plus aucune raison de retenir ses coups. Liba, qui agonissait à cause des portes closes du palais, devait désormais cacher ses bleus. Un soir, alors qu’elle fuyait sa chambre conjugale en se tenant les côtes, elle tomba au pied de Pharaon dont le coeur se serra devant cette scène. Avec le temps, son amour pour elle avait grandit, malgré tout les efforts qu’il avait essayer de faire pour le taire. Il la pris dans ses bras, la ramena à son fils et une violente dispute éclata entre eux. C’était indigne d’un futur roi de se comporté ainsi, mais Ramsès refusa d’entendre qu’il devait avoir du respect pour la fille d’un bandit, l’assassin d’un prête, d’un voleur. Liba voulait fuir, mais si elle le faisait alors l’alliance entre son peuple et Pharaon serait rompue. Elle soupira un voeu las que le vent emporta loin jusqu’au fond de l’Egypte où Luth entendit son appel. 
Par la suite, Luth s’infiltra dans le chateau et enleva Liba qui se trouvait au porte de la mort. Les rumeurs de l’état de Liba montèrent aux oreilles de Bakura qui se rendit dans la salle du trône et exigea des explications. Il fallut tout le calme et la diplomatie possible à Atem pour contenir la rage de Bakura qui avait perdu sa fille et appris de surcroit qu’on lui avait fait du mal sans pour autant savoir que c’était le prince lui-même qui en était responsable. Cependant, l’Egypte se trouvait à ce moment là au plus mal et on ne pouvait se laisser aller à une guerre civile. Liba repris du poil de la bête loin d’eux, en compagnie d’un ami qu’elle pardonna pour ses erreurs passé et qui fit de son mieux pour l’aider. Pendant ses mois d’errance à fuir les gardes de Pharaon, le vent souffla sur le visage de Liba son bonheur de la voir en vie, loin des murs épais de sa prison dorée et fit vibré en elle la magie plus que jamais. 
Quand elle rejoins son peuple qui se tenait au coté de l’armé du roi pour bouté les ennemis hors d’Egypte, Liba avait accepter l’idée de revoir son bourreau. Pharaon, Bakura et Ramsès furent présent. Le prince l’accueillit avec un grand sourire, les bras tendu vers elle, en déclament des paroles fausses, exprimant des sentiments contrefaits. Liba se laissa approcher et, quand il fut assez près, dégêna un poignard qu’elle lui planta dans la gorge. Les généraux furent estomaqués, les prêtes choqués demandèrent des explications, mais d’un geste Pharaon arrêta les soigneurs qui se jetait sur son fils. 
“ Laisser les dieux jugés de ses actions. Seuls eux sont en droit de sauvé son âme et, s’il lui accorde la garce, alors que mon âme soit dévoré quand viendra ma mort.”  Tous le regardèrent, mais Atem n’avait d’yeux que pour Liba sur qui il posa un regard à la fois désolé et distant. Il comprenait en la voyant désormais, qu’elle n’était pas faite pour vivre la même vie que lui et que, s’il l’aimait, elle avait tout les droits de refuser de remettre les pieds dans le palais où il avait été responsable de ses maux. Liba, après un long instant à regarder les yeux du roi, lui sourit et accepta ses excuses muettes. 
La bataille fit rage quelques minutes après, Liba et les siens combattant aux cotés des soldats et monstres d’Egypte. Après de longues heures, l’ennemis commençait à faire marche arrière quand les dernières flèches tirés à la volée, se plantèrent dans le torse de Liba qui tomba de cheval. Son père se jeta à terre et courru la prendre dans ses bras, mais il était déjà trop  tard pour elle. Elle toussotait, la bouche pleine de sang, cherchais en vain à reprendre son souffle alors que ses poumons étaient persé de flèche et mourus à ce moment dans les bras d’un père en larme. Le vent hurla à son tour, de nombreuses rafales se déferlait de façon douloureuse sur le champ de bataille et celui-ci refusa tellement de laisser son seul amour disparaitre qu’il se glissa dans son nez, pénétra son sang et tourbillonna en elle jusqu’à en extraire son âme avec laquelle il fusionna. 
Le vent tel qu’il existait à l’époque disparu pour laisser l’âme libre de Liba qui devint à ce moment l’esprit du vent, l’incarnation de la liberté. 
Par la suite, le corps de Liba fut ramener au château où elle fut embaumé et emmener dans la vallée des reines où elle fut enterrer comme une princesse d’Egypte. Bakura, dévoré par la colère et la haine d’avoir vu Pharaon causé les tourments et la perte de sa première fille décida de renouer avec ses convictions passé et de le détruire lui et tout ce qu’il représentait. 
Ainsi, nous reprenons le manga au moment où Bakura reprend ses vols et son combat contre Pharaon. Par la suite, dans le manga et l’animé, il reviens dans le temps pour essayer de se donner une autre chance. 
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Pour moi, Liba est mon premier vrai personnage abouti. Elle a une vie, une histoire, une entité et finit par mourir. C’est elle qui m’a vraiment donner le gout de ce genre d’histoire. Elle peut existé dans l’univers de YuGiOh sans que l’histoire n’en soit changer. Elle peut rajouter de la profondeur à Bakura dont on ne sait que peu de chose au final. 
Et sur tout : Je l’aime.  Ecrire l’histoire de Liba c’est quelques chose de touchant parce qu’on se met à sa place. J’ai essayer de faire des personnes censé, des possibilités réelles et de rendre logique le déroulement de l’histoire qui, finalement, à pris énormément de place sur ce post alors que ce n’est qu’un résumé. C’est ma première OC à être aussi abouti, terminé. Celle qui mérite la première de voir son histoire écrite. 
Merci à ceux qui ont eut le courage de tout lire et j’espère que Liba, l’esprit du vent, vous à toucher autant qu’elle ne m’a toucher jadis.  On se retrouve vite pour un prochain billet - pas dans un an cette fois. Des bises sur vos joues.  Que l’esprit du vent accompagne vos pas.  Lay’. 
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tournoisyann · 2 years
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Février 2022 / Arthus et le cœur perdu
Techniques: Line au crayon, couleur digital et encre colorés
Arthus et le cœur perdu est une préprod de série pour ado (12~15 ans) mettant en scène Arthus dans un jeu Héroic Fantasy pleins de danger. Dans chaque épisode il arrive dans un nouveaux lieu, et résout avec naïveté et brio tout les obstacles devant lui, avant de revenir à la situation de départ pour l’épisode suivant.
Son rival, lui, est l’antithèse totale d’Arthus, et sa progression sera toujours frappé d’un coup dès l’arrivé du héro. Quand à l’antagoniste, kahshai, le retrouver sera un des autres objectif du héro, en plus de trouver des nouveaux slots de points de vie.
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nintendo-town · 2 years
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Record of Lodoss War -Deedlit in Wonder Labyrinth- (Nintendo Switch) - Le test
Record of Lodoss War -Deedlit in Wonder Labyrinth- (Nintendo Switch) – Le test
« Les chroniques de la guerre de Lodoss » est une saga héroic-fantasy japonaise culte déclinée en romans, mangas, et OAV à la fin des années 80. Nous y suivons une équipe composée d’un chevalier, un nain, un voleur, une elfe, un prêtre et un sorcier luttant contre les forces du Mal. Inspirée du Seigneur des Anneaux et de Donjons & Dragons notamment, cette série a droit en 2021 à un nouveau jeu se…
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lea-surdez · 2 years
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15-B Projet heroic fantasy Backgrounds
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Environnement projets héroic fantasy: les planches de recherches sont faites à l'encre de chine et à l'aquarelle et les finalisations en digital.
Janvier 2022
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arcanes-ouvertes · 1 year
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Frieren T.1
Les héros ont mené à bien leur quête et sont rentrés victorieux de leur périple ! Il est temps pour eux de se séparer. Himmel le brave, Heiter le prêtre, Eisen le nain, et Frieren l’elfe magicienne repartent chacun de leur côté, après un dernier au revoir sous une pluie d’étoiles filantes et un rendez-vous pris pour les observer à leur prochain passage… cinquante ans plus tard. Mais la date…
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63 ) Février 2022 / Arthus et le cœur perdu
Techniques: Line au crayon, couleur digital et encre colorés
Arthus et le cœur perdu est une préprod de série pour ado (12~15 ans) mettant en scène Arthus dans un jeu Héroic Fantasy pleins de danger. Dans chaque épisode il arrive dans un nouveaux lieu, et résout avec naïveté et brio tout les obstacles devant lui, avant de revenir à la situation de départ pour l’épisode suivant.
Son rival, lui, est l’antithèse totale d’Arthus, et sa progression sera toujours frappé d’un coup dès l’arrivé du héro. Quand à l’antagoniste, kahshai, le retrouver sera un des autres objectif du héro, en plus de trouver des nouveaux slots de points de vie.
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jay-stoner-baner · 5 years
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De Roche et de Sève 1/4, Shovel et Sizlo, Des Bulles dans l'Océan, 🇫🇷 Héroic Fantasy ⭐⭐ Une bonne alternative aux séries Elfes et Nains de chez Soleil venue de la réunion. Shovel poursuit le développement de son univers initié dans la série Dwarf parue chez Delcourt. Un bon moment de lecture si l'on excepte les quelques coquilles qui ne perturbent pas la lecture. #conseilbd #passionbd #bandedessinee #conseillecture #bookstagram #francobelge #instabook #booknerd #bookposts #héroicfantasy #mondeimaginaire https://www.instagram.com/surlabd/p/BwAGCS3Bgvh/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=h5u9zqe1haiv
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esnardolivier-blog · 7 years
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Héroic Fantasy
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songedunenuitdete · 4 years
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Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille ☔🐸(tout du moins à l’heure où j’écris ces lignes)… Aujourd’hui, je vais vous parler d’un titre que j’ai reçu en service de presse. Donc, forcément, il n’est pas encore sorti, mais cela ne devrait plus tarder. Il s’agit des deux premiers tomes d’une nouvelle série manga aux éditions Doki Doki.
À première vue, j’étais sceptique parce que, ce n’est pas vraiment mon genre, mais… je ne juge jamais avant d’avoir testé, c’est ma règle d’or. Après quelques recherches, le manga est dérivé de la série animée du même nom elle-même dérivée d’une light novel.
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Poche : 164 pages
Dimensions du produit : 8 x 1.5 x 18.2 cm
Éditeur : Bamboo
Date de sortie pour les deux premiers tomes : 9 septembre 2020
Sa quatrième de couverture :
Un héros surpuissant… mais bien trop prudent !
La déesse Ristarte a reçu l’ordre de sauver Geaburande, un monde dont la difficulté de sauvetage est particulièrement élevée. Par chance, elle tombe sur le dossier de Seiya Ryûgûin, un héros hyper qualifié qu’elle décide d’invoquer aussitôt ! Alors qu’elle s’attend à une aventure bien tranquille, elle découvre vite que Seiya fait systématiquement preuve d’une prudence maladive, à un point qu’elle n’imagine pas ! Les nerfs de Ristarte vont être mis à rude épreuve pour convaincre son héros trop prudent d’utiliser ses talents !
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Mon avis :
Les couvertures des deux premiers tomes sont sympas et donnent envie aux lecteur.ices d’aller plus loin et de découvrir ce que cachent le résumé. Comme je vous le disais plus haut, ce n’est pas forcément mon genre de prédilection donc, j’y suis allé un peu à reculons et…
Bon, le début commence relativement bien avec un peu d’humour qui nous promet des aventures épiques et qui ne se veut pas sérieux.
Déjà, la déesse se nomme Ristarte et… cela peut être un clin d’œil au mot anglais « restart », « redémarrer ou “recommencer”. Puis, le héros se nomme Seiya… Désolée, moi ça m’envoie direct vers le héros de Saint Seiya (les chevaliers du zodiaque).
J’ai apprécié les premières pages à cause du fait que le héros soit à l’opposé de ce qu’attendait Ristarte. Toutefois, au fur et à mesure que l’on avance, le récit devient plus conventionnel et parlera sans problème aux amateurs de jeu de plateau ou de jeu vidéo fans d’héroic fantasy pur et dur. Les méchants et même le héros sont annoncés avant chaque combat avec leur niveau et leurs points de vie, de forces, de magie…
En toute objectivité, ça ne m’a pas passionné des masses. Le seul truc sympa est la façon dont Seiya arrive à grappiller des points de forces sans trop se fouler, et ce, au grand dam de son coach, la déesse Ristart.
Le premier tome se lit rapidement, il y a quelques passages drôles et Seiya est un personnage que j’étais curieuse de voir évoluer.
Le second tome par contre, je l’ai trouvé trop prévisible avec l’arrivée de nouveaux protagonistes, les fameux compagnons d’aventures qui épauleront Seiya dans sa quête. Ristart n’a pas fini d’avoir des cheveux blancs avec son champion, bien décidé à n’en faire qu’à sa tête. Il y a un peu d’humour là encore, mais pas trop non plus. Du coup, je me suis un peu ennuyée durant ma lecture, c’était trop prévisible et linéaire à mon goût.
Cependant, le graphisme est vraiment appréciable et de bonne facture. Les dessins sont superbes. La mise en pages est bonne… et les éditions Doki Doki ont fait du bon boulot en gardant les pages couleur en début.
Bref, dans l’ensemble je ressors mitigée de ma lecture, certainement parce que je m’attendais à plus d’humour assumé. Néanmoins, j’ai beaucoup aimé Seiya et son air blasé, genre qui n’a peur de rien et que tout semble ennuyer…
Je  peux vous conseiller ce manga si :
Vous aimez la fantasy, les jeux vidéo/de rôle.
Vous aimez les histoires qui ne se prennent pas trop au sérieux non plus.
Vous aimez les héros à l’air blasé, et très badass (peut-être trop en fait ^^)
Vous voulez vous faire un avis avec le début du tome 1 ? Vous pouvez lire un extrait en cliquant ⏭ICI
Mon #avis sur Cautious Hero T1 et T 2 de Light Tuchihi & Koyuki - @dokidoki_manga Un #manga d'héroic fantasy qui se veut #parodique, mais dont l'humour s’essouffle un peu trop vite à mon goût. A lire pour les fans du genre et pour le héros, Seiya 🧙‍♂️ Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille ☔🐸(tout du moins à l’heure où j’écris ces lignes)… Aujourd’hui, je vais vous parler d’un titre que j’ai reçu…
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Orglin, la primitive de JEAN-MARC DOPFFER
Orglin, la primitive de JEAN-MARC DOPFFER Cette nouvelle fantasy est une très bonne lecture, une belle découverte avec un univers original. #orglinlaprimitive #jeanmarcdopffer #nouvellefantasy
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De tous temps, les royaumes s’érigent puis s’écroulent sous l’oeil des Dieux et de la Mère, créatrice de toutes choses sur Barcil. Tissées afin de garantir l’harmonie du monde, les ficelles du destin de chaque mortel glissent dans ses mains. Ainsi l’Equilibre est perpétué, cohésion précaire entre les morts et les vivants, entre les puissances du monde et du cosmos. Retirée aux confins des royaumes…
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