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#journée mondiale des câlins
daisydesetoiles · 3 months
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Ophelia and Octavio have to be one of my favourite friendships !
I know they are not the type of hugging people but they went through so much, really. The end of that novels lacked of fluff (between them but also between EVERYONE).
I tried a lot of different tools and style with this one and it was extremely long.
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uneessencesensible · 3 months
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N°2100 – Mardi 28 novembre 2023
Mon intuition me disait que cette formation allait me faire de l’effet. Je le sentais. Au plus profond de moi. C’est une thérapeute. Ils ont une sacrée approche, que beaucoup n’ont pas ou ne peuvent comprendre et ressentir. Quand on parle de soi, le peu qu’on puisse dire, ils ressentent les choses, comme si c’était inné chez eux.
La matinée s’était bien passée jusqu’à ce fameux moment. Elle parlé du harcèlement, de la journée mondiale qui y est dédiée et de cette vidéo pour l’occasion. Elle a demandé si nous souhaitions la regarder. Sur l’instant, je n’y voyais aucun mal à la visionner. Je pensais surtout être assez forte pour encaisser ça. Cette chose dont j’étais victime pendant des années. Sur quatre minutes de vidéo, j’ai tenu deux minutes. C’est beaucoup, mais je n’aurai pas pensé que l’impact aurait été si fort à mon égard. J’ai tourné la tête, elle l’a remarqué et m’a demandé si je souhaitais couper la vidéo. J’ai dit oui. Je n’ai même pas senti les larmes arriver. Elles sont sorties toutes seules. Libératrice de quelque chose, d’un ressentiment que je gardais au fond de moi.
J’ai géré comme j’ai pu. Quelques temps après, j’ai dû me recentrer sur moi-même. J’ai dû retourner dans ma bulle et je ne voulais pas qu’on me dérange. De base, j’aurai laissé couler, mais la formation n’était pas finie, alors il fallait encaisser le reste. Je lui ai dit à cette femme. Je ne m’y attendais pas. Je ne m’y attendais pas à ce que cela me fasse autant d’effet, puisque j’essaie toujours de me mettre à la page en ce qui concerne les maux de notre société, pour y faire face à mon travail. Le harcèlement continue toujours de briser, de faire souffrir. Il y a encore, et toujours, des personnes qui délient leur langue pour faire mal au plus profond de l’âme. J’en ai vu des vidéos, mais celle-ci a fait écho en moi et cela a réveillé certaines choses.
La coupure m’a fait beaucoup de bien. Les enfants m’ont beaucoup aidé à penser à autre chose. Ils m’ont tous fait un câlin, comme s’ils ressentaient que j’étais peinée.
La seconde partie de la journée à débuter avec un mal de ventre. Une digestion très compliquée, alors que le repas était léger. J’ai mis du temps avant de comprendre qu’il s’agissait d’un mal nerveux. Les effets de la vidéo étaient encore là et je sentais que ce n’était pas fini. J’ai laissé couler, je l’écoutais d’une oreille, mais j’avais hâte de rentrer chez moi. Tout ça, c’était sans compter que nous finissons par parler de la violence. De la violence que les enfants peuvent reproduire, à cause du modèle parental qu’ils ont. Encore heureux, ce ne sont pas tous les enfants, j’en suis la preuve vivante. Je gardais un bon cap, jusqu’à ce que le sujet de la violence des enfants bifurque sur la violence conjugale. Je me contenais. Elle a dit une phrase symbolique, selon moi, qui était « On sait que cette femme se fait frapper dessus et personne ne dit rien ? ». Et oui, je tremblais, c’est tellement vrai. Bien des fois, personne ne fait rien. Que ce soit pour le harcèlement, la violence, l’intimidation, et j’en passe.
J’avais peur d’un dérapage. La boule de chaleur que je vois comme de la rancœur revenait. Comme avant. Cela faisait longtemps qu’elle n’était pas venue me voir et elle ne m’avait pas manqué. Je ne me sentais pas. J’ai eu peur que mes collègues dérapent, disent quelque chose du style « Elles n’ont qu’à partir » ou toute sorte phrase toute faite qui ne rime à rien.
Quand nous avons fait le tour de table, je lui ai dit. Ce sujet-là était le sujet de trop. C’était un sujet qui faisait écho en moi, beaucoup trop pour que je puisse apprécier le moment. J’ai mis du temps avant de partir du travail, tant j’étais chamboulée. J’ai pleuré en rentrant et je suis restée un moment sans rien faire. C’est passé, mais j’ai compris que je n’avais pas totalement guéri de certaines choses. Même après plusieurs mois de thérapie, les blessures sont toujours présentes. Mais à force de travail, j’y arriverai. J’en suis sûre. Je dois me laisser du temps pour tout ça. Cela a été une journée assez dure, pleine de prise de conscience et je dois accepter que ce soit mon passé et que parfois, il refait surface, même quand je ne le souhaite pas.
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leventneuf · 2 years
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June 14, 2022. Day 30: Let’s donate blood! EN If you scroll through the post you will find the Avis slogan for today and some of the worldwide campaigns for blood donations. Today the World Blood Donor Day is celebrated around the world. This day was established in 2005 by the World Health Organization to raise awareness of the importance of donating blood and to thank all donors in the world. Donating blood is not just a gesture of solidarity, donating blood is a great gesture of love that saves lives. Let's donate blood! A heartfelt thanks to all donors in the world! I grew up in a family of blood donors, they passed this value on to me since I was a child, unfortunately for family reasons at the moment I cannot donate blood; as soon as I can I will donate blood with great joy. I love you. A hug, see you tomorrow. FR Aujourd'hui, la Journée mondiale du donneur de sang est célébrée dans le monde entier. Cette journée a été instaurée en 2005 par l'Organisation mondiale de la santé pour sensibiliser à l'importance du don de sang et remercier tous les donneurs dans le monde. Donner son sang est un geste de solidarité, donner son sang est un immense geste d'amour qui sauve des vies. Donnons du sang! Un grand merci à tous les donateurs du monde! Je t'aime tellement. Un câlin, à demain. IT Oggi in tutto il mondo si celebra la giornata mondiale dei Donatori di sangue. Questa giornata è stata istituita nel 2005 dall’Organizzazione mondiale della Sanità per sensibilizzare le persone sull’importanza di donare sangue e per ringraziare tutti i donatori del mondo. Donare sangue non è solo un gesto di solidarietà, donare sangue è un grandissimo gesto d’amore che salva vite. Doniamo sangue! Un Grazie sentito e di cuore a tutti i donatori del mondo! Io sono cresciuta in una famiglia di donatori di sangue, mi hanno trasmesso questo valore fin da piccola, purtroppo per motivi familiari al momento non posso donare sangue; appena potrò donerò con grande gioia. Vi voglio tanto bene. Un abbraccio, a domani. https://www.instagram.com/p/Cex8FDMLws8/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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miak19 · 6 years
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Joyeuse journée mondiale des câlins à tous ! Je vous souhaite pleins de câlins
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marie-chatelaine · 4 years
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SCULPTURE-Câlin-Paul Smith , Briony Sérif - peintures -Câlin - Gustave Klimt .
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" Les câlins, mieux que l'esperanto, parlent une langue universelle. "
- Kathleen Keating -
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Le Bain
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Mardi 24 mars
J'ai paniqué.
Moi, qui ai refusé de toucher le RSA 5 mois et qui tremblait en faisant mon inscription, entourée de ma mère et de ma sœur perplexes face à mes pleurs, leur expliquant que je ne voulais
pas
avoir de compte à rendre au gouvernement
j'ai failli m'inscrire sur le site qui demandait des travailleurs aux champs.
Mon dieu, mais vous avez vu la gueule de cette phrase sur mon écran ?
Là, sur ma table que j'ai enfin aménagé en bureau après avoir passé huit jours recroquevillée sur mon lit devant un ordi mal installé, entre mon verre de vin rouge que je sirote très lentement et mon joint que je fume à peine, moi, qui vais faire un rituel de nouvelle lune quand elle se sentira assez remise de ses émotions, moi
écrire
« j'ai failli m'inscrire sur le site qui demandait des travailleurs aux champs. »
Déjà si on m'avait dit c'est une phrase pour une dystopie qui se déroule en 2020 j'aurais fait MDR frère sérieusement, y'a eu la bombe nucléaire et on est retournés au fucking Moyen-Âge ?
« bah y'a toutes les travailleuses au black qui viennent pas du coup ils flippent... »
(S., au téléphone, quand elle me parlait de pénurie et que j'ai répondu « mais une pénurie de quoi ? »)
Le truc pue au delà de toute mesure.
Mais hier j'ai passé la journée à pleurer car j'enviais les personnes confinées à la campagne, hier j'ai promis aux monts d'Ardèche et à la Drôme derrière que j'irais vivre en elles dès que tout cela serait terminé, hier j'ai lu la biographie du Facteur Cheval pour m'inspirer, ce matin je vais sur Twog, le référencement des tweets drôles et ma principale source de news sur la pandémie mondiale, et je vois passer plusieurs tweets a-hu-ris avec un lien pour le site « Des bras pour ton assiette ».
Et moi
avec ma hantise viscérale du tutoiement employé par des instances gouvernementales,
j'ai sauté dessus.
Je regarde les offres : je vois : cueillette des fraises à Épinouze (j'ai une relation symbolique haute avec le mot Spina et ses dérivés), à une vingtaine de minutes en voiture de Hauterives, là où se situe le Palais Idéal.
Je m'inscrit. Le site me dit félicitations, vous allez recevoir un mail. Je rafraichis frénétiquement ma boîte, que dalle.
Je regarde le trajet Hauterives-Épinouze en vélo, 50 minutes, parfait.
Je regarde le site d'Épinouze : ils ont fermé les parcs, tout est fermé.
Je regarde la page Wikipédia d'Épinouze : 1561 habitants.
« nan mais Johnny vas y pas tu vas te retrouver dans une de ces grandes fermes industrielles sans voir le jour dans des petites villes dégueulasses... »
(S., au téléphone. Je vous ai dit que S. vient de la Drôme, et qu'elle fréquente de nombreuses saisonnières ? Je vous ai dit que moi mon dernier job c'était au service recouvrement d'une banque parce que ma cousine y travaille, et que je suis allée que deux fois dans la Drôme, pour aller voir le Palais Idéal ?)
Je rafraichis ma boîte mail. Pas de réponse.
Je vais sur facebook et je raconte ma vie à qui veut bien l'entendre :
« mais là en vrai je me suis inscrite sur le site qui cherche des agriculteurs
sauf que le site me ghoste
l'envie me vient de faire du vélo et de pas rester chez moi et davoir une raison de faire du vélo
et si le gouvernemnt arrete de me ghoster je pars cueillir des fraises dans la drome »
« hahaha johnny tu vas partir au kolkhoze omg
adieu mon pote » (L., sur Messenger)
« C de la poudre aux yeux ce truc
Si ça se trouve ils font juste de la pub pour faire genre ils se soucient des agriculteurs » (E., sur Messenger)
Finalement je reçois la réponse, il faut cliquer sur le lien pour finaliser l'inscription. Je ne clique pas. J'ai peur.
Pas du kholkoze, pas du gouvernement, non j'ai juste toujours eu peur de l'engagement en général, sauf avec les relations amoureuses, enfin, si on part du principe que le chewing-gum s'engage avec la chaussure qui lui tombe dessus.
C'est rassurant d'ailleurs de voir que le confinement ne me change pas intrinsèquement, et que je continue malgré tout de faire des trucs que j'ai toujours fait, comme rester toute la journée le cul vissé sur facebook, ne sortir que pour faire les courses, ne pas dépasser un rayon d'un kilomètre à pieds, avoir peur de la situation écologique et politique mondiale, tous ces petits trésors du quotidien qui font que je suis moi.
L'après midi passe, vers 19h je sors chercher ma lessive chez C., je marche un peu, je suis de très bonne humeur depuis ce matin, car j'ai tiré le Huit de Deniers, une des description de cette carte de Tarot c'est littéralement, « le paradis sur terre », alors ça m'a fait pensé à la chanson que j'ai découvert dans l'émission de S. hier, « Heaven is a place on Earth », la version de Virus Incorporation.
La radio est fermée, mais ils ont un studio mobile.
S. est quand même partie faire son émission à la frontale, parce que S. est une rebelle.
On est un peu comme les Super Nanas, elle est Rebelle la casse-cou qui pète des gueules, et moi je suis Bulle, celle qui a peur dans le noir.
C'est S. qui m'a fait plonger dans le Tygre underground, c'est grâce à elle que je navigue dans ces eaux où je me sens souvent comme un poisson rouge dans un lagon, un animal domestique au milieu d'une rivière.
Le confinement de S. et de pleins d'autres poissons est souterrain.
Le gouvernement a détourné le flot de nos vies, pour le rediriger dans un canal long bétonné et gris.
Nous sommes le Rhône – le fleuve de Tygre – à qui on a arraché ses alluvions, ses sorties en terres sauvages, à qui on a enlevé le côté organique pour en faire un simple canal à marchandise.
Nous sommes le fleuve, mais de nombreux poissons creusent
des galeries
des arêtes pourraient on dire
pour ne pas finir en squelettes vivants
et les poissons jaillissent et font circuler de minces filets, minces mais là, tant qu'il faudra.
Plein de personnes n'ont pas attendu le confinement pour mener un  mode de vie contraire à ce qu'impose le gouvernement.
Je n'ai jamais trouvé légitime nombreuses des règles « d'avant », mais je m'y pliais par crainte.
Maintenant...maintenant que je me sens
comme un poisson seul dans son bocal
je réalise que je ne peux pas en sortir
parce que dans Babe je suis un mouton
parce que je suis
trop bien éduquée
que sur moi j'ai la
main de ma maman
qui m'a donné la vie et passée la sienne en fonctionnaire, à constater le manque de fonds publics sans jamais oublier de voter à droite.
ma maman, 68 ans, qui le dimanche d'avant le confinement m'a envoyé « ai accompli mon devoir d'assesseur et d'électeur puis suis allée cueillir des jonquilles »
j'ai sa main là tout autour de mon corps comme un câlin gênant
une éducation à avoir peur
j'ai peur de tout je suis une bulle qui va exploser elle m'a expliqué ma maman
qui quand je lui demandais comment savoir ce qui est bien et mal me disait d'écouter à l'école, alors j'écoute l'école, j'apprends que ce qui est bien c'est d'être contre les méchants et comment savoir qui est méchant maman ma maman me dit
pour savoir qui est méchant écoute l'école écoute la télé écoute les livres que te donnent tes parents
plus tard mes amies sont des « mauvaises fréquentations »
elle refusera que j'aille les voir, elle refuse que je lise certains livres, que je sorte, que je fume, que j'ai des relations sexuelles, et moi comme j'ai un ennemi direct j'entrave son autorité dès que je peux, pas frontalement,
discrètement
à la frontale.
Moi aussi j'étais Rebelle dans les Supernanas avant mes dix-huit ans, puis, en sortant du lycée, j'ai explosé.
Dix ans je me suis confinée. La dépression, un meilleur maton que ma maman.
Dix ans je n'ai pas fait de vélo. Je haïssais les cyclistes. Depuis que j'ai commencé y'a un mois et demi, j'ai beaucoup réfléchis à l'homophobie.
En temps que nouvelle cycliste, je peux leur dire, aux homophobes, que cette bite dans le cul et cette chatte dans la bouche, t'en as peur parce que ça va te faire tellement kiffer que tu seras prête à t'engager pour Macron pour pouvoir continuer à avoir ta dose.
J'étais confinée depuis la sortie du lycée
mais la drogue m'a sauvée, S. m'a sauvée, mes amies m'ont sauvée, les concerts m'ont sauvée, les discussions politiques m'ont sauvée, les livres prêtés les films matés ensemble m'ont sauvée, n'empêche que je n'ai
jamais falsifié de papier
jamais fraudé les transports, excepté le métro en de rares occasions où je me chie tellement dessus que je préfère payer 2 euros plutôt que d'être aussi mal physiquement
jamais réussi à voler dans un magasin, même quand je m'aperçois que j'ai oublié un truc au fond de mon sac et que personne me demande rien je le sors
jamais menti à une figure d'autorité
toujours été
paranoïaque et über prudente
sauf là
quand j'ai paniqué
quand je me suis jetée dans la gueule d'un loup à qui je ne fais pas confiance
simplement pour ne pas passer le printemps enfermée en ville, sans pouvoir me poser dehors
pour ne pas naviguer dans ce canal long et gris
pour faire fermer sa gueule à la johnny en moi qui me dit
ça va être comme ça tout le temps maintenant
« nan ça sera pas comme ça tout le temps Johnny, t'inquiète... et puis je sais pas ça pue leur histoire, genre ils disent que c'est pour que les personnes genre dans la restauration qui ne peuvent pas travailler maintenant se rendent utiles, mais ça veut dire quoi, ça veut dire on te sucre ton chômage technique si t'y va pas ? »
S., au téléphone, résonne les johnnies en moi.
S. est mon ex. On s'est rencontrées quand j'avais 21 ans et elle 19. Aujourd'hui j'en ai 28. On s'était pas parlé depuis onze mois. Le confinement a réussi ce truc improbable : on est amies.
J'ai pensé à elle en rentrant avec ma lessive de bonne humeur, la dernière chose qu'elle m'a dit hier soir quand je l'ai appelée c'est :
« J'ai un peu la gerbe, je sais pas si c'est la bière... Je pense pas que c'est le corona, on vit à beaucoup, les autres l'auraient eu en même temps que moi... »
Je décide de prendre des nouvelles, un truc comme « coucou, comment tu vas petit chat ? ».
Ma main empoigne le portable en même temps qu'il vibre. Je viens de recevoir
« coucou, comment tu vas petit chat ? » de la part de S. Je l'appelle.
Elle a passé la nuit à faire des cauchemars et à avoir de la fièvre, mais elle pense toujours pas que c'est le corona. Les petits chats peuvent pas l'avoir, de toute façon.
Je me mets à lui raconter ma journée avec un sourire dans la voix, en l’appelant j'étais anxieuse car je sais
que c'est complètement con de s'engager dans l'armée des champs de Macron
et durant six ans de relation j'ai caché plein de choses à S. pour qu'elle ne se rende pas compte
que je suis complètement conne.
Je lui dit que si je suis de si bonne humeur par rapport à hier où je disais « je veux crever » à tout bout de champs avec une voix sérieuse, c'est parce que j'ai écouté « Heaven is a place on Earth » de Virus Incorporation en boucle ce matin, parce que j'avais tiré le Huit de Deniers en plus.
La johnny la plus vicieuse et vocale dans ma tête part du principe que S. va me trouver complètement conne si je lui explique que je tire une carte par jour qui me donne le ton de la journée. Mais aujourd'hui grâce à la thérapie et à ma volonté je sais me dire que S. ne me juge pas du Tarot, vu qu'elle me voit le tirer depuis qu’elle me connait, et qu'elle adore la sorcellerie.
Et que le Tarot c'est rien comparé à ce que je n'ai pas envie de lui dire
parce que je veux pas qu'elle me juge
mais que je veux lui dire
parce que j'ai besoin d'en parler à quelqu'un que je peux pas prendre cette décision entre une johnny paniquée et une johnny qui fait que me traiter de conne.
Je lui dis.
Elle est choquée, elle me dit d'absolument pas le faire, elle me dit tout ce que je cite depuis le début de ce texte.
Elle connait la réalité des terrains, Pole Emploi, la Drôme, les saisons, l'agriculture intensive, être enchainée au gouvernement, travailler pour être exploitée, en l'écoutant je réalise que j'aurais pu durant ces six années lui exposer mes vérités et qu'elle m'aurait répondu comme elle le fait maintenant, avec raison, sans m'engueuler, juste en s'inquiétant pour moi.
Je lui dit que j'ai regardé les trains pour Valence.
« Ah nan mais surtout pas Valence, y'a un couvre-feu là-bas, c'est les pires fachos Johnny... »
Après j'ai les larmes aux yeux et j'écourte la conversation en lui expliquant qu'avec mes amies on a décidé de faire un rituel de magie pour la nouvelle lune. Je lui explique que c'est en Bélier et en mars un mardi alors ça va nous apprendre à renaître plus combatives.
Elle trouve ça trop cool.
« Ouais voilà je m'engage dans l'armée des champs et après je fais des rituels de magie pour que ça s'améliore... je suis vraiment conne bref je vais prendre mon bain ! »
et je raccroche.
J'explose en sanglots, car je sais que je ne cliquerais pas sur lien, je sais que je resterais encore en ville,
encore un vingt-neuvième printemps en ville,
mais sans les parcs, sans les quais, sans le bus.
Je pleure car je suis perdue. Je ne suis jamais allée nulle part et maintenant que je ne peux plus j'en prends l'ampleur.
Je pleure car je sais que si j'avais été sincère avec S., durant tout ce putain de temps trop long de notre relation, ça m'aurait fait un bien fou.
Et que je me le suis refusé parce que je me déteste.
Et que chaque jour passé à me refuser du bien m'a fait me détester un peu plus, et que les jours ne reviendront pas.
Je pleure parce que par respect pour S., pour mes amies, ma sœur et ma maman, je ne me tuerais pas, ce qui ne me laisse comme autre choix que de continuer à vivre ma vie de merde avec mes choix de merde et toute la douleur de merde que je me suis infligée.
Et puis je lève la tête, je me sers le fond de pinard qui reste d'hier soir, je commence à écrire ce texte, je procrastine sur facebook et puis j'y plonge.
C'est une erreur de débutante que de dire que je suis conne si je compte faire de la magie ce soir.
Il est 21h53, je vis dans la dystopie où je réalise que j'ai jamais vécu la vie que j'aurais voulu parce que je sais pas laquelle c'est parce que je vis dans ma bulle complètement explosée et que je n'ai qu'une expérience limitée par mes quatre murs du monde et maintenant que c'est littéralement le cas je suis, non ne fais pas ce jeu de mots Johnny,
une con finie.
Mais la magie n'est pas que s'envelopper de « care » tout le temps, parfois il faut se faire la guerre.
Or ce soir,  pour la nouvelle lune, le care vaincra la guerre.
Le care sera revalorisé et la guerre délaissée.
Les hôpitaux vont avoir des milliards débloqués et les drones vont brutalement se casser.
Ce soir pour la nouvelle lune nous mettons
hors d'état de nuire
l'État qui nuit.
Ce texte est un bain. Pour le moment les sensations ne sont pas agréables. Comme l'eau froide qui vivifie me terrifie. Ce soir je ne suis pas prête, mais je n'ai pas le choix.
J'ai supprimé le mail dans ma boîte.
Les bougies attendent. Les fleurs que je n'ai pas osé jetées depuis 2016 car elles me rappellent un excellent souvenir d'un truc fugace attendent.
Mes compositions de choses cassées et flétries, ma petite pierre tombale attendent.
Ce soir c'est une renaissance, et j'espère bien qu'une des arcanes de mon tirage
n'aura pas de nom
que je puisse me renommer
en ce que bon me semble
quand le printemps viendra de nouveau.
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eglise22 · 3 years
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Journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées
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Lors des messes du dimanche 25 juillet et du lundi 26 juillet, nous fêterons la Journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées instituée par le Pape François, dans la ferveur d'une célébration eucharistique s'achevant autour d'un verre de l'amitié ou d'un temps festif.
Cette fête sans les enfants, sans les petits-enfants, sans les jeunes en général n'aurait pas de sens. C'est pourquoi, les aînés et les jeunes sont invités à se rencontrer, à échanger pour partager leurs rêves car selon le Pape « l'avenir du monde réside dans cette alliance entre les jeunes et les personnes âgées ».
« La vie, c'est le temps de la rencontre » insiste le Pape.
Soyez de cette rencontre, participez à ce moment de fraternité en allant les uns à la rencontre des autres.
Pour la Communauté pastorale du Littoral Ouest :
le 24 juillet à :
Lantic - Notre Dame de la Cour à 18h00.
Tréméloir - église Saint Méloir à 18h00.
le 25 juillet à :
Binic - église Notre Dame du Bon Voyage à 10h30.
Plérin esplanade de la chapelle des Rosaires à 10h30 (si le temps le permet, sinon église Saint Pierre Plérin).
le 26 juillet à : Pardon de Ste Anne à la chapelle St-Anne du Portrieux. Messe et procession.
Chers grands-pères, Chères grands-mères !
“ Je suis avec toi tous les jours ” (cf. Mt 28, 20) ! Telle est la promesse que le Seigneur a faite à ses disciples avant de monter au ciel et c'est la même promesse qu'il te répète aussi aujourd'hui, cher grand-père et chère grand-mère. À toi. “ Je suis avec toi tous les jours ” sont aussi les paroles qu'en tant qu'Evêque de Rome, et en tant que personne âgée comme toi, je voudrais t'adresser à l'occasion de cette première Journée Mondiale des Grands-parents et des Personnes âgées.Toute l'Église est proche de toi – disons-le mieux, elle nous est proche – : elle a souci de toi, elle t'aime et ne veut pas te laisser seul !Je sais bien que ce message te parvient à un moment difficile : la pandémie a été une tempête inattendue et furieuse, une dure épreuve qui s'est abattue sur la vie de tout le monde, mais qui a réservé un traitement spécial, un traitement encore plus rude à nous, les personnes âgées.Beaucoup d'entre nous sont tombés malades ; nombreux ont perdu la vie ou ont vu mourir leur conjoint ou leurs proches ; d'autres encore ont été contraints à la solitude pendant une très longue période, isolés.Le Seigneur connaît chacune de nos souffrances actuelles. Il est aux côtés de ceux qui font l'expérience douloureuse d'être mis à l'écart ; notre solitude – aggravée par la pandémie – ne lui est pas indifférente. Une tradition raconte que saint Joachim, le grand-père de Jésus, avait lui aussi été exclu de sa communauté parce qu'il n'avait pas d'enfants ; sa vie – tout comme celle de sa femme Anne – était considérée comme inutile. Mais le Seigneur lui envoya un ange pour le consoler. Alors qu'il se tenait tout triste aux portes de la ville, un envoyé du Seigneur lui apparut pour lui dire : « Joachim, Joachim ! Le Seigneur a exaucé ta prière insistante »
Giotto, dans l'une de ses célèbres fresques, semble situer l'épisode pendant la nuit, une de ces nombreuses nuits sans sommeil, pleines de souvenirs, de soucis et de désirs, auxquelles beaucoup d'entre nous sommes habitués.Mais aussi lorsque tout semble obscur, comme pendant ces mois de pandémie, le Seigneur continue à envoyer des anges pour consoler notre solitude et nous répéter : “ Je suis avec toi tous les jours ”. Il te le dit, il me le dit, il le dit à nous tous ! Tel est le sens de cette Journée que j'ai voulu que l'on célèbre pour la première fois cette année, après une longue période d'isolement et une reprise encore lente de la vie sociale : que chaque grand-père, chaque grand-mère, chaque personne âgée – en particulier les plus isolés d'entre nous – reçoive la visite d'un ange !Parfois, ils auront les traits de nos petits-enfants, d'autres fois, ceux des membres de notre famille, des amis de toujours ou que nous avons rencontrés pendant ces moments difficiles. Pendant cette période, nous avons appris l'importance des câlins et des visites pour chacun d'entre nous, et comme je suis attristé par le fait que dans certains lieux, ces gestes ne soient pas encore possibles ! (…)Dans cette perspective, je voudrais te dire qu'on a besoin de toi pour construire, dans la fraternité et dans l'amitié sociale, le monde de demain : celui dans lequel nous vivrons – nous avec nos enfants et nos petits-enfants – lorsque la tempête se sera apaisée. Nous devons tous être « parties prenantes de la réhabilitation et de l'aide aux sociétés blessées ». Parmi les différents piliers qui devront soutenir cette nouvelle construction, il y en a trois que tu peux, mieux que quiconque, aider à placer. Trois piliers : les rêves, la mémoire et la prière. La proximité du Seigneur donnera la force d'entreprendre un nouveau chemin, même aux plus fragiles d'entre nous, par les routes du rêve, de la mémoire et de la prière.
Donné à Rome le 31 mai 2021
Voir en ligne : La Journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3yRq7hz
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Bonjour à tous,
Aujourd’hui c’est la journée mondiale des câlins 🥰🥰🥰🥰
Je vous souhaite un excellent Jeudi parfumée & en beauté.
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sowonderflow · 3 years
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🤩 Abonnez-vous à @sowonderflow pour plus de bonheur chaque jour 🤗 Likez, enregistrez, commentez, partagez, vous m'aidez à diffuser des ondes positives 🙏😍 Sur mon blog Inspirations, je suis ravie de partager avec vous le post ''On veut des câlins" : www.sowonderflow.com/post/des-calins (aussi accessible www.sowonderflow.com/blog) 😁 Le câlin, c'est un élan positif & bienveillant, qui fait du bien à qui le donne & à qui le reçoit ! & aujourd'hui, c'est la journée mondiale des câlins, mais elle va demander d'être créatif, à cause de la crise sanitaire & de la distanciation physique. Envoyons des câlins virtuels à nos chouchous pour leur transmettre de l'affection à distance (compliments, mots doux), & imaginons de nouveaux rituels affectifs, comme sourire sous nos masques, former des coeurs avec nos doigts, ouvrir les bras sans contact, croiser nos mains sur le coeur 🤗 With lots of love 😉😍 Vivez, vibrez 😍😘 🎁Demandez votre Kit Booster de Bonheur offert : lien dans la bio @sowonderflow 🤗 Découvrez les P'tits Guides Pratiques sur www.sowonderflow.com #vivezvibrez #bonheur #bienetre #câlin #câlinothérapie #douceur #calme #affection #bienveillance #motdoux #rituelaffectif #motdoux #compliment #followthetoucan #yapasdemalasedfairedubien #nouveauté #vieillissement #goodvibes #optimisme #laetitia #rein #coaching #selfempowerment #blog #happylife #inspiration #sowonderflow #wonderflow (à Sénart) https://www.instagram.com/p/CKTdI36h4ac/?igshid=7oybu7xdvnzc
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cesoda · 4 years
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Aujourd’hui c’est la journée mondiale des chats.... je ne l’ai su qu’en cours de journée en regardant les publications de mes amies, car j’avais zappé qu’on était le 8 août. Bon ok pour une « cat addict » ça la fout mal... Surtout que j’avais organisé une journée balade à Provins toute la journée en laissant Monsieur Cyrano seul (dans un appartement ventilé avec eau nourriture jeux et un autre chat etc... C’est pas l‘Île au Diable non plus!!!) Donc en rentrant ce soir, il m’a gentiment fait comprendre qu’il n’était pas super content...en m’ignorant! « Tu m’as abandonnée le jour de ma journée mondiale.... je me venge! Privée de câlin!!!!! » Mon Sac à conneries préféré, l’Attila des plantes et du cannage de chaises de mamie, de mon canapé ....Monsieur Cyrano, Bonne journée mondiale des chats. Une journée qui t’est dédiée.... comme toutes les autres en fait!!! Arnacoeur. #cat #chat #hug #journeemondialedeschats #jalousie #monsieurcyrano #monchatmavie #arnaque (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/CDpJ7zHpFrV/?igshid=1c6ej6x9t1vz
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houssemaouar · 6 years
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@theblackwook 😘
On dirait que le monde entier veut lui faire des câlins. Ses collègues clament leur admiration, le public lui offre des ovations en plein match, son chirurgien (devenu un proche, forcément) voudrait que tous les gamins l'affichent en poster dans leur chambre. À force de batailles homériques sur le court et en dehors, Juan Martin Del Potro est devenu, à 29 ans, la flamboyante incarnation de la résurrection sportive. Qu'il est loin le joueur des débuts, géant (1,98 m) brut de décoffrage et pas franchement charismatique, qui, en remportant l'US Open 2009 grâce à son coup droit surpuissant et son jeu sans émotion, vint perturber l'indéboulonnable Big Four (Nadal, Federer, Djokovic, Murray). Ensuite, le corps a craqué. Quatre opérations du poignet en cinq ans (une du droit en 2010, trois du gauche entre mars 2014 et juin 2015), des convalescences qui n'en finissent plus, une carrière en pointillé, la 1 041e place du classement ATP en janvier 2016. Et puis, quand plus personne ne l'attendait, surgit l'année de la renaissance : la médaille d'argent des Jeux de Rio, en finale face à Murray, après avoir vaincu Djoko et Nadal au terme d'un match marathon, une wild-card honorée d'un quart de finale à l'US Open, et, pour couronner le tout, la victoire en Coupe Davis, une première pour l'Argentine. Rare en interview, Del Potro, désormais 11e joueur mondial, a accepté, pendant le Masters de Bercy, de mettre des mots sur ce parcours hors norme. Tandis que la bande à Noah tente, ce week-end, face à la Belgique de succéder à l'Argentine, il raconte l'enfer et le paradis. Après une année 2016 si intense, comment avez-vous vécu la saison 2017 ? Un peu différemment, forcément. J'ai plutôt bien terminé cette saison (demi-finales à l'US Open après une victoire contre Federer, finale à Bâle, titre à Stockholm), alors qu'elle avait, en toute logique, mal commencé. Émotionnellement, l'année dernière fut incroyable, c'est ce que j'ai vécu de plus fort dans toute ma carrière. Il a fallu la digérer. Je ne m'attendais pas à pleurer de joie aussi souvent ! Aujourd'hui, je suis content car je me sens en forme, mon poignet va bien, j'ai pu enchaîner les tournois et je me rapproche de nouveau des premières places. J'ai l'impression que le tennis est bien décidé à m'accompagner pour quelques années encore. Si vous deviez choisir le souvenir le plus fort de cette folle année 2016 ? Pfff, il y en a tellement... L'image la plus forte pour moi, je crois que c'est ma victoire en demi-finales des Jeux Olympiques, quand je m'allonge sur le court après la balle de match contre Rafa (Nadal). Ensuite, je me relève et je pars me jeter dans la foule, étreint par tellement de gens. Ce fut vraiment bouleversant. Et puis, pour terminer l'année, la victoire en Coupe Davis face à la Croatie, à Zagreb... Oui, la première dans l'histoire de mon pays. Ça aussi, quelle sensation exceptionnelle ! La communion avec les Argentins fut tellement forte. Je n'oublie pas non plus l'émotion que j'ai ressentie quelques mois plus tôt lors de mon retour au tennis, en février, à Delray Beach en Floride. En fait, chaque match remporté l'an dernier, je l'ai vécu avec intensité. J'ai été tellement mal avant de retrouver les courts...
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Son souvenir le plus fort en 2016 ? «Ma victoire en demi-finales des JO, quand je m'allonge sur le court après la balle de match contre Nadal.» L'Argentin décrochera la médaille d'argent après sa finale perdue contre Andy Murray 
Depuis votre retour, il semble s'être créée entre le public et vous une relation privilégiée... Quelque chose d'unique. Je crois que les gens apprécient vraiment la valeur des efforts que j'ai fournis pour revenir. Des gamins, des personnes âgées, tant de monde, viennent me parler de mon histoire. Ils me disent qu'elle les a touchés et que je peux leur servir d'exemple. Malgré tous les sales trucs qui me sont arrivés, malgré les opérations et les moments de dépression, je n'ai jamais baissé les bras. Je n'ai jamais cessé d'essayer de revenir. Les gens ont l'air contents de me voir heureux. Et de mon côté, maintenant que je me sens bien, je prends un grand plaisir à partager avec le public. Plus qu'avant ? Ces épreuves ont changé le joueur et l'homme que vous êtes ? On change tous. Regardez Roger Federer : jeune, il avait les cheveux longs et cassait des raquettes. Aujourd'hui, c'est un monsieur sur le court et en dehors. Moi, j'ai toujours été passionné, j'ai toujours aimé partager et rigoler avec les fans. Mais quand tu es sans cesse tout en haut, tout devient automatique. Ta carrière est tournée vers la recherche de la perfection : tu ne penses qu'à gagner, gagner et gagner. Dans les premiers mois qui ont suivi ma première blessure au poignet gauche (opérée en mars 2014), c'est le tennis qui me manquait beaucoup. Ensuite, c'est l'absence du reste qui a commencé à me rendre très triste : le public, l'ambiance autour des courts, les voyages, les autres joueurs... Mon métier tout entier me manquait. Aujourd'hui, je profite de tout : le simple fait de jouer un match est devenu super précieux à mes yeux. J'ai été si près d'abandonner. De ces années de galère, quel fut le pire moment ? Après ma deuxième opération au poignet gauche, en 2015. Dans la foulée, j'ai fait énormément d'efforts pendant la rééducation et malgré ça, je ne pouvais pas rejouer car la douleur ne partait pas. Là, j'ai dit à mes proches que c'était trop de souffrance. Je n'en pouvais plus de toutes ces nuits passées à pleurer, de toutes ces journées passées sans avoir la force d'avancer. C'était trop dur de continuer d'essayer de revenir. Envisagiez-vous alors de prendre votre retraite et de vous consacrer à votre autre grande passion, l'architecture ? En tout cas, il était temps d'envisager de faire autre chose. À chaque fois que j'allais au lit plein de tristesse, je me disais que c'était peut-être la fin de ma carrière et que la vie devait continuer malgré ça. Mais j'étais si jeune, je n'avais que 27 ans. Un matin, je me suis réveillé chez moi, à Tandil (la ville d'Argentine dont il est originaire, à 350 km au sud de Buenos Aires), et j'ai parlé avec mes parents, ma sœur et quelques amis. Je leur ai dit : «Allez, je vais essayer une fois de plus.» Puis j'ai appelé mon médecin aux États-Unis pour lui annoncer que je voulais tenter une troisième opération. On l'a fait, et voilà, je suis là (il rit) ! Vos proches ne vous ont pas déconseillé d'insister ? Si, bien sûr. Parce que pour mes proches, je ne suis pas un joueur de tennis mais une personne comme n'importe quelle autre. Qui à l'époque était très triste parce qu'en pleine souffrance. Ils n'arrêtaient pas de me dire qu'ils voulaient juste me voir heureux, avec une raquette à la main si possible mais sinon, tant pis. Ils m'ont aidé à chercher d'autres activités pour retrouver le bonheur. Mais je n'y arrivais pas, la tristesse était toujours là. Je ne pensais qu'au tennis, je ne cessais de me dire que j'étais trop jeune pour arrêter. Mes proches ont toujours soutenu toutes mes décisions. Alors, quand j'ai décidé de passer une nouvelle fois entre les mains du chirurgien, ils m'ont dit : «O.K., on essaie de nouveau.» Mon entourage a beaucoup compté dans mon retour.
«Mon revers est à 80% de ce qu'il était autrefois. Je ne suis plus très loin de le retrouver, ça me motive pour les années qui viennent»
À ce moment-là, il paraît que vous avez reçu une vidéo qui vous a fait beaucoup de bien... J'étais aux États-Unis, j'attendais cette troisième opération. J'étais mort de trouille à l'idée de retourner sur le billard. Là, un coiffeur bolivien m'a envoyé une vidéo pour me transmettre de la force. Après un accident, il avait perdu plusieurs doigts. Il me racontait que pendant longtemps, il avait été très déprimé, mais qu'ensuite, il était reparti de l'avant. La passion de sa vie, c'était la coiffure, et il voulait absolument continuer d'exercer son métier. Sur la vidéo, on voyait comment il avait adapté sa technique de coiffure, en travaillant avec les doigts qui lui restaient. J'ai trouvé ça tellement fort ! Ça m'a remonté le moral et m'a beaucoup aidé à affronter l'opération. De votre côté, vous avez dû adapter la technique de votre revers en raison de la fragilité de votre poignet gauche... (Il sourit.) Oui. Forcément, mon revers n'est plus aussi bon qu'autrefois, parce que trois opérations, ça laisse des traces, et que je continue d'avoir des douleurs au poignet. Au début, je ne jouais qu'en slice pour ne pas avoir à trop solliciter ma main gauche (il est droitier). Il fallait éviter les mouvements extrêmes. Peu à peu, j'ai pris confiance et j'ai de moins en moins eu peur d'avoir mal. J'ai gagné de la force et du courage. Aujourd'hui, techniquement, je dirais que mon revers est à 80% de ce qu'il était autrefois. Je ne suis plus très loin de le retrouver totalement, ça me motive pour les années qui viennent. Votre poignet nécessite encore beaucoup de soins ? Oui, avec mon physiothérapeute, on fait de longs exercices d'échauffement et d'étirement. Autour de deux ou trois heures par jour, tous les jours. C'est beaucoup de travail, mais je pense que ça vaut vraiment le coup. Ce poignet est tellement important pour moi. Je dois en prendre soin comme si c'était ma raquette. À votre avis, d'où vient votre force mentale ? (Il réfléchit.) Elle est naturelle chez moi, je crois. Ce sont des choses qu'on m'a inculquées tout petit : lorsqu'on veut vraiment obtenir quelque chose, il faut absolument faire des sacrifices et des efforts. Quand tu as appris ça jeune, ta façon de grandir et de penser est forcément différente. Jamais rien ne m'a été offert sur un plateau. J'ai toujours dû lutter. Je n'oublierai jamais les difficultés que ma famille et moi avons traversées pour réussir dans le tennis. À quoi ressemblait votre enfance ? Chez moi, il n'y avait jamais rien en trop. Juste ce qu'il fallait pour manger, étudier et faire du sport. Au départ, le tennis était un sport difficile d'accès pour nous : les raquettes sont chères, les bonnes tenues aussi, il y a beaucoup de voyages. Je n'avais aucun soutien extérieur pour me lancer. Mon père travaillait énormément dans son cabinet de vétérinaire pour pouvoir m'emmener aux tournois les week-ends. C'est grâce aux immenses efforts de mes parents, et à tous les miens, que j'ai pu vivre une vie agréable. Je connais le prix de chaque chose. Je tiens vraiment à enseigner ça à mes futurs enfants : sans sacrifice, on n'obtient rien.
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Et de trois... Au total, Del Potro a subi trois opérations du poignet gauche entre mars 2014 et juin 2015 
Cette force mentale, ne la devez-vous pas aussi à «El Negro» Gomez, votre tout premier coach à Tandil, une petite ville d'où sont sortis plusieurs joueurs de tennis professionnels ? (Il rigole.) Oui, c'est un excellent formateur de joueurs de tennis (Juan Monaco, Mariano Zabaleta et Maximo Gonzalez notamment). Sa méthode, c'est de travailler très dur. Dès notre plus jeune âge, on passait énormément de temps sur le court ou à taper seul contre un mur. Avec lui, on s'entraînait tout le temps. Le dimanche, on jouait aussi. Et s'il pleuvait, il fallait vite trouver un endroit couvert pour s'entraîner. Ce bel apprentissage nous a aidés à devenir un peu plus humbles et sereins. Votre enfance a été marquée par un événement tragique : la disparition de votre sœur à l'âge de quatre ans, lorsque vous en aviez deux... (Il prend une grande inspiration.) C'est un sujet extrêmement délicat. Ce que je sais, c'est que depuis là où elle est, elle me guide, elle prend soin de moi et me donne beaucoup de force pour pouvoir faire ce dont j'ai envie. La religion vous a-t-elle aidé à surmonter les moments difficiles ? Chez moi, nous sommes des catholiques très croyants. Quand j'étais très mal, il m'arrivait de me demander : «Mais pourquoi tout ça m'arrive à moi ?» Je m'accrochais alors à l'idée que, là-haut, ils voient tout et savent pourquoi les choses arrivent. Je crois qu'avec le temps, chaque événement de la vie trouve sa place et que celui qui mérite de belles choses finit par les obtenir. Aujourd'hui, jouez-vous avec la peur de vous blesser à nouveau ? Non. Même si ça reste une question super compliquée pour moi, j'ai intégré l'idée que les blessures font partie de notre métier, au même titre que les voyages. Pratiquement à chaque match, je ressens des douleurs. Il faut juste s'habituer à elles, jouer avec elles et essayer de gagner malgré elles (il sourit). Qu'attendez-vous de la suite de votre carrière ? Si je devais classer mes objectifs, je dirais : en priorité, la santé ; ensuite, le plaisir ; et enfin, le classement. J'ai réussi à terminer la saison parmi les quinze meilleurs joueurs mondiaux. Dans les six premiers mois de l'année prochaine, je n'aurai pas beaucoup de points à défendre. Je peux en profiter pour essayer de faire mon retour dans le top 10. C'est bizarre, quand même, parce qu'il y a un an, je n'aurais jamais envisagé un tel défi. Mais bon, comme j'adore tenter des choses incroyables...
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for-old-tiimes-sake · 7 years
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Çà a commencé, y'a 3 ans.
Bon... 4 ans si je pars d'aujourd'hu. Mais globalement 3 ans. J'ai envie d'écrire des tats de choses. Il est apparu dans ma vie, un jour de rentrée. Le premier cour, pas là. Le deuxième cours 1 semaines après, il était là. Oh oui il était là... la je vais vous dire un truc... je suis en train de pleurer en ce moment même. Je vais tout raconter.
Il est blond. Les cheveux bouclés. Les yeux bleus. Les sourcils épais. Bouclés eux aussi.
Il avait un air arrogant, le genre de personne qui quand on le voit, on a l'impression que c'est un véritable connard.
Il a parlé. Il a prononcé un mot. Une phrase. Il a fait l'appel. Il s'est présenté. Il a dit qu'on a pris du retard sur le programme. Tout ce que je vous raconte là, c'était y'a 4 ans. Aujourd'hui, depuis quelques semaines, c'est ma 4° rentrée depuis que je le connais. Le temps ne cesse de passer. Et j'ai envie de pleurer. Bref. Je vais continuer d'expliquer vous n'avez pas toute la journée. Donc au début, je ne savais pas quoi penser de lui. Je ne pouvais pas le juger sans apprendre à le connaître. Il avait l'air sérieux, le genre de personne qui sait ce qu'il veut. Quand il a une idée, il l'a dans la tête et pas ailleurs. On a des points en communs. Mais pas notre âge. Ça je ne peux pas vous mentir la dessus. Vous avez sûrement dû comprendre que c'était un professeur. Il est né le : Neuf Décembre Mille-Neuf-Cents Soixante-Douzes. Oui. Il a 45 ans. C'est vieux... je sais. Il n'est pas vieux à l'échelle mondiale des habitants, mais à côté de mon âge, c'est certes, il est plus âgé que moi. Je l'ai rencontré quand j'avais 14 ans.
Le son de sa voix est... tout simplement.... Je ne sais pas en fait. Je n'ai pas les mots. Mais ca s'entend dans le son de sa voix, qu'il a connu beaucoup de chose dans sa vie. Qu'il a pas mal voyagé, pas mal vécu. Et pas mal pleuré non plus. Ouai. Je l'ai entendu moi. Et quand nos regards se sont croisés, on s'est fixés. Et j'ai tout compris de lui. On se ressemblait. Sans même se connaître. On le savait. Il y allait se passer quelque chose. On s'était découvert au premier regard. On allait apprendre à se connaître. Et pendant ce moment, quelque chose s'est retourné dans mon ventre. J'ai baissé le regard machinalement. Cette sensation de tomber dans le vide que je venais de ressentir voulait dire quelque chose. Et j'ai eu une idée de ce que ça pouvait être. Mais j'avais peur de ne pas me tromper. Alors je l'ai regardé à nouveau, il me regardait toujours. Un sourire sur nos lèvres. J'ai détournée le regard encore une fois, et j'ai fait ce qu'il fallait que je fasse. Mes exercices. Je n'ai fait que penser. À lui. Je n'osais plus le regarder. J'avais honte de moi. J'avais peur qu'il comprenne tout. Alors, je l'ai détesté. À chaques fois qu'on sd croisait dans les regards, je le regardais de travers, ou l'ignorait. En cour, je rentrais dans la salle sans dire bonjour. Et j'ai fait ça, aussi longtemps que je pouvais. Mais le vendredi soir, une fois rentrée chez moi, j'ai voulu faire mes devoirs. Parce que j'allais avoir contrôle le lundi de 16h à 17h. Mais j'avais peur de toucher mon cahier rouge. Parce que je ressentais quelque chose de bisarre qui me reliait à lui. Et j'ai passée ma soirée à pleure. Le samedi matin, je me réveille, et la je me décide à prendre mon cahier, à l'ouvrir, à tourner les pages, à relire ma leçon. J'ai lu dans ma tête. Et les souvenirs me reviennent. J'avais cru même entendre sa voix un bref instant dans ma tête. J'ai continué de lire, et là, son visage m'est apparu. Je refermé mon cahier brutalement, je l'ai fait voler, et j'ai pleurer à chaudes larmes sur mon lit. J'ai repensé à tous ces moments oû je le méprisait. J'ai commencé à regretter. Alors je me suis levée, je suis allée récupérer mon cahier que j'avais jetter par terre, je suis retournée sur mon lit, et j'ai fait un câlin à mon cahier. J'ai ressenti quelque chose de plus fort. Alors j'ai posée mon cahier à côté de moi. Et j'ai eu cette folle envie de l'embrasser. À lui. Cet homme. Omniprésent dans ma tête. J'ai culpabilisée d'avoir eu penser une telle chose. J'ai culpabilisée. Et quand je culpabilise, dieux sait quelles genre de choses je suis capable de me faire-faire. Alors j'ai ouvert mon tiroir, pris un objet fin, souple, j'ai remontée ma manche, et je me suis taillée les bras. C'est à ce moment là précis que je me suis rendue compte que j'étais amoureuse de lui. Que je m'étais imprégnée de lui.
Bien éviemment, il l'a remarqué en cour. On écrivait la leçon, et j'entends à côté de moi,
" C'est vachement dangereux ce que tu fais. "
Au début, je n'y croyais pas. Je pensais que c'était ma tête qui me jouait un rôle. Puis il l'a répété. Tous les stylos se sont arrêtés de gratter le papier. Un silence ainsi que des regards et des chuchottements pesaient sur moi. J'ai alors arrêter d'écrire à mon tour, et j'ai défiée son regard. Oh mon dieux, putin d'ascensseur de mon cœur ! Je ressentais à nouveau cette sensation de tomber dans le vide, ma respiration se coupait. J'ai repris assez bruyemment mon souffle. Je l'ai reregarder, qui me regardait encore. Oui, oui j'avais compris qu'il s'adressait à moi. Toute la classe l'avait comprit. Tout le monde l'a comprit ! Mais moi, j'avais peur ! Le cour continu jusqu'à la sonnerie. Tout le monde range ses affaires et je fais de même. Je les ranges le plus rapidement possible, puis je le vois qui se met en travers de la porte. Comme pour bloquer le passage. Il me regzrdait, je l'avais compris ça aussi. Qu'il voulait que je reste à la fin du cour pour me parler. Mais moi je ne voulais pas. J'avais trop peur de lui, de ressentir à nouveau ces assensseurs dans mon ventre. Ces sensations. Alors une élève est allée le voir pour lui delander des explications sur le cour, il s'est alors dirigé vers le bureau, j'ai mis mon sac sur mon épaule, mes gembes à mon coup, et j'ai pris la fuite. Je me suis retourée une fois la porte dépassée, il me regardait avec colère. Il avait comprit que j'avait compris.
Puis.... un autre jour, il est venu me voir, pour me parler. Pour me raconter qu'il avait parlé avec sa femme de ce qu'il avait vu, qu'il ne pouvait pas le garder pour lui, qu'elle lui a conseillé d'en parler à l'infirmière, et que j'avais le droit d'être en colère contre lui si il le faisait. Je lui ai répondu : Pourquoi voulez-vous que je sois en colère contre vous ? Avec un regard un peu trop mignon il me semble et une phrase qui voulait tout dire... quelle idiote. Bref. Et c'est comme ça, que je suis partie en famille d'accuille. Parce qu'il m'a compris. Le seul qui a pu le faire. Il m'a sauvé. Alors on a beaucoup discuté lui et moi, plusieurs fois, à plusieurs reprises. Je lui avait explique comment ca se passait chez moi. Mais ça, je ne vous en parlerez pas. Depuis ce jour, le jour ou tout à commencé, il est devenu mon sauveur. On à vécu beaucoup de chose ensemble. Des regards, des sourires, des paroles, j'ai analysée chacun de ses gestes, même quand il se mouchait. Il était séduisant q croquer. Des alarmes incendies pour perturber nos regards plongés, qui voulaient eux aussi tout dire d'ailleurs. Mais bon. Et le temps à passé, je suis allées en 3°, on s'est perdu de vue, très rapidement, des bonjours dans les couloirs, des salles, des murs, et des couloirs remplies de souvenirs. Je l'ai toujours aimé. Puis en 2°, en 1° . Et ça, depuis ma 4°.
Je sais tout de lui. De sa vie présente. De ses passions, de son passé, de sa famille. Tout. J'ai appris à le connaître de loin. Il est bourré de qualités, si vous savez. Je l'aime. Et j'ai fait des tentatives de suicides à cause de çà. Je n'ai jamais arrêter de me scarifier. L'amour nous rend fou. L'amour nois fait croire en l'impossible, en l'espoir. Mais par-dessus tout, l'amour nous fait vivre. Ne jugez pas. Ne me jugez pas. Je ne l'ai pas aimé parce qu'il m'a sauvé, je l'ai aimé bien avant cela. Je suis tombée erperduement amoureuse de cet homme. Nous sommes tous fou à partir du moment que nous aimons. Aimer est une folie.
T•D•S
*Souvenirs.
*76 ♤
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365jeuxenfamille · 5 years
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On a bien rigolé aujourd’hui à Bordeaux pour la journée mondiale du Yoga du Rire !! Rire pour la Paix, la paix mondiale par le rire 😂 le rire a rassemblé aujourd’hui des femmes et des hommes, des enfants et des personnes âgées ; des personnes valides et en fauteuil roulant, des bordelais et des touristes... on s’est fait des clins d’œil, on s’est serré la main et même des câlins !!! Parce que finalement nous sommes tous avant tout des êtres sociaux ! Les bienfaits du rire sur la santé ne sont plus à démontrer... alors pour sûr je vais continuer encore et encore cette discipline 😂😂😂🤣 #365jeuxenfamille, #yogadurire, #rire, #paix, #piece https://www.instagram.com/violaine365jeuxenfamille/p/BxF6PVqFxVi/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=v77hf9fa09w3
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lemaupertus · 5 years
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https://e3o.org/e3o/news-zootherapie-2/
News : Zoothérapie
Photo appaIoosa on Flickr Fred & Hobbes – Therapists 21-FEB-2014 Pet Therapy Dept., McGill Douglas Hospital, Porteous building www.douglas.qc.ca/page/zootherapy Hobbes (dog) is a recent addition, but Fred has been there FOREVER it seems – or at least for as long as I… Photo Louis Longpré on Flickr Zoothérapie-20150710-029 News «Zoothérapie» d'Alison Snowden et David Fine … Plus… Photo appaIoosa on Flickr Fred & Hobbes - Therapists 21-FEB-2014 Pet Therapy Dept., McGill Douglas Hospital, Porteous building www.douglas.qc.ca/page/zootherapy Hobbes (dog) is a recent addition, but Fred has been there FOREVER it seems - or at least for as long as I... Photo Louis Longpré on Flickr Zoothérapie-20150710-029 News «Zoothérapie» d'Alison Snowden et David Fine en nomination aux Oscars - Patwhite.com 22/01/2019 - Patwhite.com Les cinéastes vancouvérois lauréats d'un Oscar Alison Snowden et David Fine reçoivent une nouvelle nomination de l'Académie des arts et des sciences du ... La pérennité du service de zoothérapie à l'hôpital de Maria est assurée - ICI.Radio-Canada.ca 10/01/2019 - ICI.Radio-Canada.ca Un commanditaire s'associe à la Fondation Santé Baie-des-Chaleurs afin de financer un *service* de zoothérapie à l'hôpital de Maria.... Trois courts métrages canadiens en lice pour les Oscars - ICI.Radio-Canada.ca 22/01/2019 - ICI.Radio-Canada.ca Trois courts métrage canadiens font partie de la liste des finalistes en vue de la 91 e cérémonie des Oscars, dévoilée mardi matin à Los Angeles. Il s'agit des ... Lylou, candidate numéro 4 à la Reine du Muguet, est fière d'être Rambolitaine - Echo Républicain 22/01/2019 - Echo Républicain Candidate numéro 4, Lylou Bey n'a que 17 ans. Elle représente le cercle celtique Kan Breizh par amour pour la Bretagne et pour sa mamie.... Pourquoi les câlins sont-ils bons pour la santé ? - France Bleu 21/01/2019 - France Bleu Chaque 21 janvier, c'est la journée mondiale du câlin ! Un petit geste qui a pourtant de grandes vertus.... Dromadaires et alpagas pour des thérapies alternatives dans le Gers! - LaDepeche.fr 20/01/2019 - LaDepeche.fr Des animaux peu communs dans la région ont élu domicile sur la commune de Castillon-Debats depuis près d'un an. Rencontre avec les propriétaires suisses.... Une première femme autochtone nommée dans la catégorie « meilleure actrice » aux Oscars - ICI.Radio-Canada.ca 22/01/2019 - ICI.Radio-Canada.ca La liste des finalistes en vue de la 91e cérémonie des Oscars n'a peut-être pas suscité beaucoup de surprise, mais elle a marqué l'histoire: c'est la première fois ... Edition de Verdun | Zoothérapie à l'Ehpad d'Hannonville - Est Républicain 15/12/2018 - Est Républicain Un grand golden crème, Gléna, va se faire câliner d'une personne à l'autre, tandis qu'Étoile, un petit York, se fait coiffer puis passe dans un tunnel pour manger ... Chien, lapin, cochons d'Inde : séance de zoothérapie à l'EHPAD (en images) - Le JSL 15/09/2018 - Le JSL Vendredi 14 septembre, Sylvie, animatrice à l'EHPAD de Joncy, avait organisé une séance de zoothérapie pour les résidents. L'association Animotiv', de ... Animal dans la classe : 3 bienfaits pour les enfants - ICI.Radio-Canada.ca 16/01/2019 - ICI.Radio-Canada.ca Dans nos vies hyper connectées où la technologie prend beaucoup de place, la présence d'un animal de compagnie en classe apporte un lot de bienfaits pour ... Articles proches News : Zoothérapie Zoothérapie | Livre | état bon Zoothérapie : Yûna Zoothérapie : La zoothèrapie en Italie: Mémoire de fin d’études présenté à l’Association Suisse de Zoothérapie (ASZ) comme exigence partielle pour l’obtention du (CAS) en tant qu’intervenante en zoothérapie Zoothérapie : Eduquer avec les animaux – La zoothérapie au service des jeunes en difficulté
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kigcelia · 7 years
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Journée mondiale des câlins 🤗 ❤️ #miitomo #miitomostyle #miitomoapp #miitomofrance #calins #journeemondialedescalins
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la-valise-rtl · 3 years
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Valise RTL des Grosses Tetes au 25 Janvier 2021
Le contenu de la valise RTL des Grosses Têtes au 25 Janvier 2021:
1060€
1 coffret dégustation d'huile d'olive offert par ouliva .fr
1 machine à popcorn ajoutée par Philippe Caverivière dans RTL soir
1 peluche ours géant offerte par La journée mondiale du câlin
1 livre de Philippe Besson - Le dernier enfant
1 édition signée, numérotée de Sophie Calle offerte par la galerie Perrotin
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