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#jupe fait main
lhaulde · 2 years
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4nuttyaddict · 1 year
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Jupe mi-longue en coton à motifs patchwork. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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chic-a-gigot · 6 months
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Le Petit écho de la mode, no. 45, vol. 20, 6 novembre 1898, Paris. 1. Costume tailleur et Vêtement d'Hiver (Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Voilettes en tulle de soie à pois, chenillées à la main, nuances: blanc, noir et blanc à pois noirs. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. I. Costume tailleur en drap satin, composé d’une jupe coupée en trois lés, doublée, garnie d’une jolie broderie faite à même l’étoffe et disposée en rond et d’un corsage-veste ajusté du dos, avec petits côtés de dos et de devant. Devant demi-ajusté par une pince, découpé au bas et garni de deux revers de soie. Ce corsage s’ouvre au milieu sur un plastron bouffant retenu à la taille par une ceinture en gros grain. Ce gilet est posé sur une doublure ordinaire fermée au milieu du devant. Garniture de broderie rappelant celle de la jupe. Manche à coude brodée dans le haut. Collet rond fait en drap et velours garni de mongolie et surmonté d’un col Médicis doublé de fourrure. Manchon assorti. Chapeau en velours orné de plumes et de velours.
No. 1. I. Tailored costume in satin cloth, composed of a skirt cut in three lengths, lined, trimmed with pretty embroidery made on the fabric and arranged in a round and a fitted back bodice-jacket, with small sides of back and front. Half-adjusted front with a pleat, cut at the bottom and trimmed with two silk cuffs. This bodice opens in the middle onto a puffed bib held at the waist by a grosgrain belt. This vest sits over a regular lining closed at the center front. Embroidery trim reminiscent of the skirt. Elbow sleeve embroidered at the top. Round collar made of cloth and velvet trimmed with Mongolia and topped with a fur-lined Medici collar. Matching sleeve. Velvet hat decorated with feathers and velvet.
Matériaux: 6 mètres de drap pour le costume, 0m60 de soie.
II. Vêtement Noël d’une forme très gracieuse, composé d’un grand collet, arrondi et croisé devant, en velours noir ou drap garni de deux bandes de chinchilla. Col Médicis doublé de chinchilla; doublure du vêtement en satin de couleur ou noir. Capote en jais et roses roses avec oiseau posé sur le devant.
II. Christmas garment of a very graceful shape, composed of a large collar, rounded and crossed in front, in black velvet or cloth trimmed with two strips of chinchilla. Medici collar lined with chinchilla; lining of the garment in colored or black satin. Jet and pink roses hood with bird placed on the front.
Matériaux: 2m50 de drap ou 4 mètres de velours, 5 mètres de satin.
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drackarys · 8 months
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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homomenhommes · 2 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 168
WE prévu Ed et Théo + Igor et fils, finalement Théo + Franck
Théo me téléphone pour me réclamer. Il me dit que je lui manque. Je tourne cela en dérision en lui suggérant que c'est plutôt mes 20cm qui manquent à son cul. Marc qui m'entend me dit de les faire venir le WE suivant et d'inviter si je veux nos 3 " russes " car ce n'est pas parce qu'il sera en déplacement que je dois transformer la maison en couvent. Quand j'annonce la nouvelle à Théo, il me demande de couvrir Marc de bisous et après s'être entretenu avec son frère me confirme que c'est OK pour eux.
En attendant je passe mon jeudi après midi avec Emma. J'arrive chez elle en moto, typé mauvais garçon, je sais qu'elle adore quand je prends mon coté voyou.
La moto au garage, je la retrouve dans son bureau et sans même lui dire bonjour, je la lève de son fauteuil et lui prend la bouche d'autorité. Ma langue force ses mâchoires et je lui roule une pelle qui la laisse toute ramollie. Ma main glisse sous sa jupe et remonte. Arrivé à la fourche de ses cuisses mes doigts glissent sous sa culotte et s'enfoncent dans la chaleur déjà moite de son vagin, ça la fait haleter. Je déboutonne mon jeans (vu le printemps que l'on a, j'ai troqué la combi cuir une pièce par des jeans + chaps et mon blouson fétiche, celui équipé d'une lanière en Y qui passe dans la raie de mes fesses et encadre de façon très pornographique mon paquet) et sors ma bite. Je plaque Emma sur son bureau les seins écrasant le dossier en cours d'étude et retrousse sa jupe. Je ne prend même pas le temps de lui retirer sa culotte et l'écarte juste pour enfoncer ma queue dans sa chatte. Alors qu'elle commençait à récriminer, ça a coupé court et ses remontrances ont dévié sur des gémissements de plaisir. Bien serré pas ses muscles vaginaux, j'ai pris plaisir à la limer. D'un coup sec, j'ai déchiré son sous vêtement découvrant ainsi la totalité de son fessier. Une main sur chaque fesse, je les ai écartées pour admirer son anus plissé. ;Je n'y peux rien, c'est le trou que je préfère chez n'importe quel être humain ! Même la meilleur et la plus profonde des bouches n'arrive pas à donner la sensation que procure le sphincter anal et sa compression annulaire.
Je fais couler un filet de bave directement dessus et enfonce un puis mes deux pouces pour préparer la prochaine étape. Emma se cambre sous la double stimulation. Je laisse son cul tranquille le temps de me pencher pour lui rouler un patin puis je reprends ma préparation. J'attends son " vas y, encule moi " pour changer de trou et la sodomiser. C'est à mon tour de gémir tout au long de la pénétration tellement c'est bon. Emma a appris à tirer du plaisir de cette pratique et l'accompagner de stimulations vaginales ou clitoridiennes n'est plus strictement nécessaire. Il n'empêche, mes mains alternent entre ses seins qu'elles pétrissent et sa chatte où elles jouent avec le clito. J'ai beaucoup de mal à retenir mon éjaculation lorsqu'elle jouit une première fois. Je cesse tout mouvement de bassin et me maintient enfoncé sans bouger. J'attends qu'elle se soit un peu calmée pour recommencer tout doucement à limer son cul. C'est trop bon. Je suis serré par les effets résiduels de son orgasme et ça me fait remonter à toute vitesse. J'entends Emma haleter court elle aussi. Je ne me retiens plus et amplifie mes mouvements, allant jusqu'à sortir complètement avant de la ré-enculer sèchement. Ce régime ne peut pas durer longtemps et je ne tarde pas à rester fixé au fond de son trou pour envoyer la sauce. Un dernier pincement de clito l'envoi elle aussi au 7ème ciel. Rompu, les jambes coupées, je recule et m'assois dans son fauteuil. Elle suit mon mouvement et je l'ai sur les genoux, ma queue encore en elle. Je débande et glisse hors de son anus. Elle se tourne vers moi et nous nous embrassons passionnément. J'ai pris un coup de chaud avec cet " intermède ", mon t-shirt est trempé de sueur et mon jean plus très net. Nous allons à sa chambre. Douche, je profite que nous la prenons ensemble pour la caresser encore et sans la pénétrer lui tirer un nouvel orgasme. Cela me vaut de me faire boxer pour mon impertinence.
Je remplace mes vêtements et nous finissons l'après midi à discuter de ses/nos affaires.
De retour à la maison, coup de fil d'Ed qui m'annonce qu'il ne pourra venir ce WE, un de ses potes de cours fête son anniversaire et comme il a des vues (sexuelles) sur lui, il va essayer de les mettre en pratique à cette occasion. N'ayant pas encore invité Igor and Co, je décide qu'avec Théo, j'irai faire un tour au bord de la mer et retient aussitôt une suite à l'Hermitage de La Baule. Je lui téléphone directement (il a son i-phone4) pour le lui dire et limiter ses bagages à 2 t-shirt, 2 boxers, 2 paires de chaussettes et un maillot de bain. Les voyages en moto nécessitent d'être économe sur la bagagerie.
Dès le vendredi fin d'après midi, je l'embarque. Après avoir rangé ses quelques affaires avec les miennes dans la sacoche de réservoir, et l'avoir équipé casque et blouson, direction plein ouest. Je prend plaisir à piloter mon R1 avec le corps de Théo collé dans mon dos et ses bras autour de ma taille. La présence de ses mains accrochées à mon paquet y est peut être aussi pour quelque chose !
Entre ses mains, les vibrations de la moto, mon cockring, je bande à me faire mal. Je ne peux tenir jusqu'à notre destination et m'arrête sur une aire de repos. Je coule la moto sur le coté des barrières encore en place pour empêcher l'accès des véhicules à la partie sous bois et trouve un endroit isolé et suffisamment reculé pour pouvoir baiser tranquille mon Théo. Moto sur sa béquille, casques sur les rétros, je pose mes fesses contre le bord d'une table en bois et déboutonne mon jeans. Théo est déjà à genoux. J'extirpe avec difficulté mes 20cm raides et présente mon gland devant sa bouche. Aussitôt ce petit vorace me mange la teub. Quel bonheur ! Je le laisse faire et il me lèche puis m'avale jusqu'aux couilles. De ma main encore gantée, je lui caresse les cheveux et appui sur son crane quand mon gland passe sa glotte. Je l'arrête avant de juter et le lève. Je lui défait sa ceinture, baisse ses jeans aux genoux et le plie sur le plateau de la table. A mon tour, je m'accroupi et mes mains écartant ses fesses, je lui lubrifie l'oignon avec ma salive. Sous ma langue, je sens sa rondelle se détendre et s'ouvrir gentiment. Quand j'estime qu'il est suffisamment dilaté, je me redresse et l'encule délicatement, j'aime trop son petit cul pour l'abimer. Je suis dans la place assez rapidement et commence à le limer quand j'entends derrière nous le craquement de feuilles sous des chaussures. Sans déculer, je tourne la tête pour apercevoir deux mecs. Le premier dans les 25 ans pas moche avec sur ses fesses les mains du second légèrement plus âgé et nettement plus viril. Je continue à bourrer Théo. Ils s'installent à la même table que nous et nous font face. Le plus jeune prend la position de Théo et l'autre s'installe dans son cul. ;Après quelques instants de silence, l'enculeur entame la conversation.
Lui : c'est qui le p'tit minet ?
Moi : il est à moi et toi le tien ?
Lui : moi, je l'ai trouvé dans les chiottes de l'autoroute, il avait l'air en manque.
Moi : C'est ce que je vois
Lui : on s'échange nos trous ?
Moi : non désolé
Lui : pas grave
Nous continuons nos enculades chacun de son coté. Après un peu de recul du à la pudeur/peur/gène, Théo s'est permis de regarder nos voisins, surtout celui qui se faisait mettre. La situation l'excitait bien et je l'ai ressenti au niveau de ses contractions anales, trop bon ! Ça rendait parfois mes coups de rein plus saccadés mais les à-coups ont eu l'air de donner encore plus de plaisir à Théo. A force, j'ai juté au fond de son cul et lui sur sous la table. Quand l'enculeur voisin a vu ma queue ressortir nu du cul de Théo, il a compris pourquoi j'avais refusé l'échange. Nous nous sommes réajustés et les avons quittés.
Le reste du trajet s'est effectué de façon plus détendue.
Arrivé à la baule je prends par le front de mer et remonte de Pornichet jusqu'à l'hôtel. Bien que d'une famille sans problème d'argent, Théo n'est jamais descendu dans ce type d'établissement. J'arrête la moto devant la porte le temps que nous soyons enregistrés (Théo est devenu pour le WE mon petit frère). Je le laisse alors dans le hall avec la sacoche et nos casques et part rentrer le R1 dans le garage. Je le retrouve vite, déjà un vieux (au moins 40 ans !) le questionne sur qui il est, avec qui il voyage... Le fait que je me place à ses cotés et pose une main sur son épaule, fait fuir l'importun.
Dans la chambre, il est surpris par le confort et la taille de la suite. Il avise le divan du salon et me dit qu'il est hors de question qu'il couche dedans. Je le prends dans mes bras et le rassure. Il dormira dans mes bras. Gros bisou qui vire à la pelle. Je dézipe mes chaps et nous quittons nos blousons. Comme la soirée est déjà bien avancée, nous descendons diner. Nos jeans sont de grande marque, ça aide à faire accepter nos accoutrements un peu trop succins pour l'établissement. Ça plus l'argent qui aplani tous les problèmes avant qu'ils ne se posent.
Pas mal de regards se posent sur nous pendant le diner, Théo en est un peu gêné. Il rougit alors que je lui confirme que les 3/4 sont sur lui. Aussitôt après l'entrée, j ;"ai la surprise de voir apparaître Franck et son grand père. Ils me voient et aussitôt s'approchent. Je me lève pour saluer l'aïeul et faire une bise sur la joue de Franck. D'un claquement de doigts du grand père, deux couverts de plus apparaissent sur notre table. Installation, explications, j'aurais du me douter qu'ils seraient là, ce sont les vacances des parisiens et l'Hermitage est la villégiature préférée du grand père de Franck. ; Nous passons un agréable repas même si j'ai l'impression que Théo manifeste quelques gestes possessifs histoire de faire savoir à Franck que je suis à lui. Il m'amuse !
La journée ayant été longue et la soirée avancée, nous regagnons notre suite. Dès la porte fermée, Théo m'assaille de questions. Il a passé le diner à imaginer tout et n'importe quoi. Je lui dis ce qu'il en est vraiment et que sûrement nous baiserions à trois avec Franck pendant les deux jours à venir.
On frappe à notre porte. Je vais ouvrir, c'est Franck avec une bouteille de champagne. Je le fais entrer malgré l'air renfrogné de Théo. Il va bien falloir qu'il accepte mon style de vie s'il veut me garder !
Nous passons deux bonnes heures à nous raconter ce que nous ne pouvions dire devant son grand père, même si celui ci sait pour notre relation à Franck et moi. Il me demande entre autre si nous (Marc et moi) serions partants pour le recevoir de nouveau cet été, son grand père lui ayant proposé de financer un nouveau " stage ".
Je lui dis que j'en ferais part à Marc. A la réaction limite désagréable de Théo, je souhaite bonne nuit à Franck car je dois mettre les choses au point avec mon p'tit mec.
Je me surprends à y aller délicatement. Le fait que Théo me soit tombé en pleurant dans les bras dès la porte refermé sur Franck, m'incite à la douceur.
A force d'explications, il comprend et il finit par s'endoremir le dos collé contre mùon torse.
JARDINIER
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perduedansmatete · 5 months
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mes vacances se déroulent bien jeudi soir je suis allée dans un resto kurde trop bon avec mes meilleures amies, en sortant j'ai vu une chaise donc je l'ai envoyé à ma copine qui adore les chaises et sur une des photos prise il y avait une de mes amies qui faisait une tête vraiment bizarre, on l'a regardé et on a explosé de rire comme le dernier bouton de ma mini jupe donc on a encore plus rigolé, on a retrouvé le bouton mais je me sentais un peu cul nu, je prends le métro pour rejoindre tia boire un verre et je la tease en lui disant que j'ai quelque chose de trop drôle à lui raconter et qu'elle va se foutre de ma gueule, j'envoie une photo à l'ami platonique en lui disant ahah regarde je suis cul nu puis une main sortie de nulle part vole mon téléphone je mets mon bras dans la porte du métro comme si c'était pas déjà débile et puis qu'en plus c'était pas une automatique avec l'autre porte derrière, je me retourne je suis genre ok que vient-il de se passer je dis aux gens mais en plus il était trop nul mon téléphone c'était un premier prix samsung et trois personnes sont très mimis avec moi dont emma cette star qui me parle me rassure et me propose de m'accompagner où je devais aller, je voulais pas trop mais au final j'ai bien fait d'accepter, on a parlé tout le chemin et même si j'avais l'impression d'être totalement en train de dissocier ça m'a fait du bien et je n'y serais pas arrivée toute seule, quand j'arrive au bar j'ouvre la porte pour voir si tia est bien là, je la referme et fais un câlin à emma en la remerciant pour la millième fois et je re rentre dans le bar où tia me regarde de travers ne comprenant pas pourquoi j'étais repartie du coup je lui dis ahah l'histoire marrante c'est ma jupe et ahah l'histoire pas marrante c'est mon téléphone, elle avait déjà commandé car elle sait ce que j'aime et on a bu car je ne voulais pas tout de suite prévenir des gens sur son tel, ensuite des mecs étaient relous donc on est sorties en balade 8.6 avant de retourner dans le bar, vers une heure du mat j'envoie des messages à quelques personnes dont l'ami platonique qui me dit presque dans l'instant "je t'ai acheté un téléphone" j'ai pas trop compris et on s'est appelés un peu après mais écoute même si ça ne me fera pas récupérer mes milliers de photos et de notes ça fait ça de moins à acheter, ensuite on est allées dormir chez tia et j'ai eu droit à plein de câlins j'étais étrangement assez bien mais c'est parce qu'elle est géniale, il y a aussi eu le moment où j'ai dit "mais toutes les photos de mon cul???" et on a bien rigolé puis je suis allée chez l'ami platonique le lendemain pour qu'on s'engueule car on devait se voir puis j'ai fait que retarder retarder et qu'on était quand même un peu en embrouille depuis le week-end dernier, au début c'était horrible mais après avoir dit les choses ça allait mieux, j'ai beaucoup pleuré car je me sentais comme une merde et que je dissociais quand même toujours un peu de la veille mais je sais qu'objectivement c'est moi qui ai mal agis et puis il m'a beaucoup rassuré je lui ai redit que ça allait vraiment mal en ce moment et une fois rentrée dans mon lit je lui ai dit ce que j'aurais du lui dire il y a quelques semaines, c'était effectivement pas normal et il a vraiment été parfait de bout en bout, puis aujourd'hui je suis allée voir casse-noisette avec ma mère et ma sœur j'ai voulu pleurer pendant les premières notes mais après je veux toujours pleurer en ce moment puis quelques fois je me disais quand même banger d'écouter du tchaïkovski en live et voilà maintenant une semaine sans téléphone, strasbourg sans téléphone, un peu trauma mais ça va, juste je pense tout le temps à tout ce qu'il y avait dedans et qui est maintenant perdu à tout jamais mais j'imagine que je suis juste une très mauvaise personne pour avoir un karma de merde comme ça
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lisaalmeida · 7 months
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Belle Lettre d'amour... à lire......
Lettre de Consuelo de Saint-Exupéry à son mari Antoine St Exupery
Fin décembre 1944
Que j’aille très loin, en train, en avion, sous la mer, par la terre, j’ai l’impression que jamais je ne pourrai arriver jusqu’à toi.
Tonio, Tonito, mon homme, mon fils, mon clocher, fais sonner les grandes cloches parce que je ne peux pas respirer. J’ai grossi en attendant la houle qui va te ramener.
Je tombe avec les feuilles, avec la pluie, avec ma jupe de fête.
Je ne peux pas marcher à force d’attendre le moment où
je reverrai tes yeux, ronds comme des fleurs.
Tu ne vois pas que je ne peux pas arroser l’arbre de Noël pour le faire grandir. Mon mari des étoiles, j’ai de tout petits pieds et de toutes petites mains, il faut que tu reviennes m’aider.
Je ne sais pas comment j’ai marché depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui. Ma vie fut un immense vertige.
A présent, j’ai des cheveux gris, j’ai tellement de larmes dans ma bouche que cela me suffirait pour boire toute ma vie.
Pourquoi Tonio, mon Tonio, mon mari,
mon mal et mon bien, mon ciel et mon enfer,
es-tu parti pour ne jamais revenir ?
Je ne peux pas le croire, je ne veux pas le savoir, tu es parti dans ton avion, le 31 juillet, en mission de guerre et tu n’es pas revenu. Pas de nouvelles de toi et l’année va finir. Il faut que je l’accepte, et si je l’accepte, c’est pour t’aimer davantage.
Comme je t’aurais aimé si tu étais revenu ! Comme toi aussi tu aurais fait la même chose pour moi !
Seigneur à la couronne d’épines, arrache-moi le cœur pour qu’il ne me fasse plus mal.
Tu sais, toi, que Tonio est tout pour moi. Sans lui, je ne suis rien. Sur la table de ma chambre d’hôtel, j’ai un livre de lui, son portrait avec son manteau de soldat en cuir et ses fines mains d’homme comme des ailes et sa barbe pousse avec mes larmes.
Seigneur grand et miséricordieux, je te donne ma peine et ma douleur.
Mon Père, aide-moi. Je n’ai personne pour aimer, pour attendre, pour embrasser.
Ma maison est devenue petite, seule ma fenêtre reste ouverte pour faire entrer le ciel où il est parti en s’envolant pour ne pas revenir.
Rendez-le-moi mon Père, je vous en prie, faites un miracle.
Si vous me le rendez dans sa tendresse, je le coifferai, je le laverai, je l’embrasserai et ensemble nous irons jusqu’à vous
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freddieraimbow74 · 18 days
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En mémoire de Jo Dare, un ami de Freddie 😔💔🕊️
Jo Dare était un chanteur né au Texas qui a enregistré une chanson avec Freddie, « Hold On », ils l'ont enregistrée à l'été 1985 à Munich.
Jo était bien connu dans le Queen Fandom et une jolie dame avec de si beaux souvenirs
Voici un extrait d'une interview avec Jo Dare par Royal Trilogy
JO OSE : UNE VOIX FORTE
1. Vous considérez-vous comme un fan de QUEEN ? Si oui, quelle est votre chanson de QUEEN préférée de tous les temps ? Avez-vous eu la chance de les voir en concert ?
Je suis un grand fan de reine, ma chanson préférée est Bohemian Rhapsody. Non, je ne les ai jamais vus en concert.
2. Dans quelles circonstances avez-vous entendu pour la première fois la chanson "Bohemian Rhapsody" ? Quel effet a eu cette chanson sur vous ?
Je l'ai entendu sur bande quand il est sorti et j'ai perdu la tête... Peut-être que je l'ai entendu à la radio je ne suis pas sûr mais, ça m'a juste époustouflé !
3. Comment avez-vous rencontré Freddie Mercury pour la toute première fois ? Quelles étaient vos impressions sur lui après une rencontre en personne ?
J'étais à Munich au MusicLand Studio pour enregistrer ma musique avec Mack. Freddie est entré et je n'arrivais pas à y croire ! Il était si gentil avec moi et nous sommes devenus vite amis.
4. Cela fait 30 ans que le tournage de la vidéo de « Living On My Own », parlez-nous de votre participation à cette vidéo. Comment était le tournage ? Vous souvenez-vous d'une histoire drôle pendant le tournage de cette vidéo ?
Freddie m'a demandé si je voulais faire partie de la vidéo de "Living on My Own". Bien sûr que j'ai dit oui. C'était 4 ou 5 jours après la vraie fête. C'était pour que tout le monde puisse se remettre des festivités. Nous avons tous passé un bon moment et nous avons agi un peu stupide. Certains des gars perdraient leurs jupes, probablement exprès. Le tournage de la vidéo était comme si j'étais à la fête réelle.
5. Que pensez-vous du remix de "Living On My Own" réalisé en 1993 ? Ça vous a plu ?
Oui, oui ! MIX très créatif ! Jim Beach a réussi. Il était très responsable de créer cette version. C'était le numéro 1 des discothèques euro.
6. Parlez-nous de l'enregistrement de la chanson "Hold On". Comment est-ce arrivé cette opportunité ? Est-ce que Freddie et toi avez enregistré vos voix ensemble ou séparément ? Comment pouvez-vous qualifier cette expérience d'enregistrement d'un morceau avec Freddie ? Avez-vous aimé le résultat final de cette chanson ?
Il était souvent en studio, pendant que j'enregistre. Un jour, il m'a juste attrapé la main et a dit : "Pourquoi ne pas faire quelque chose ensemble, chérie" ? J'ai dit : "Bien sûr" ! C'était une très belle expérience. J'ai adoré le résultat final de "Hold On" !
7. Parlez-nous de votre amitié avec Freddie Mercury. Comment était Freddie avec ses amis ? Étiez-vous en contact avec Freddie ? Quand l'avez-vous vu pour la dernière fois ?
La dernière fois que je l'ai vu, c'était quand je retournais à New York en 1988 et oui, c'était un triste au revoir.
8. Dans quelles circonstances saviez-vous que Freddie est décédé le 24 novembre 1991 ? Comment avez-vous pris ces tristes nouvelles ? Comment avez-vous réagi ?
Eh bien malheureusement je savais que ça allait arriver Je priais pour avoir plus de temps pour lui comme la plupart des gens. J'étais à New York, alors je l'ai entendu à la radio. Je n'étais pas prêt pour ça et ça me brise encore le cœur jusqu'à aujourd'hui !
Source : https://royaltrilogy.blogspot.com/2015/11/jo-dare-strong-voice.html
Les photos de la fête du 39e anniversaire de Freddie à Munich sont créditées à Dennis R Winits et les photos de Jo Dare sont gracieuseté de Jo et Royal Trilogy
Repose au paradis ma belle, tu es réunie avec Freddie 💔
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meixjake · 2 months
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✈︎ (premier poste j'espère que sa vous plaira ) jalousie — [ Enhyphen Jake ] genre ⋆ cochonnerie
"Je pensais que nous étions censés rester un peu plus longtemps." Vos mots sont sortis brouillés, votre petit ami Jake vous tirant derrière lui par le poignet et jusqu'à la voiture.
il était furieux et tu avais beaucoup trop bu pour comprendre pourquoi. ce que vous saviez, c'est que le voir si frustré vous excitait au-delà de toute croyance.
ce soir était censé être amusant. Jake a toujours aimé sortir et boire avec les garçons. il pensait que vous inviter à le suivre serait une bonne idée, mais bon sang, il avait tort.
il lui a suffi de surprendre Heeseung en train de vérifier vos fesses pendant que vous vous penchiez sur la table de billard, la lèvre coincée entre ses dents, pour qu'il vous traîne hors du bar. vous portiez votre jupe plissée préférée, ignorant innocemment qu'elle était un peu trop courte et, en vous penchant, vous pouviez voir un petit aperçu de votre culotte lacée en dessous.
Jake l'a remarqué bien sûr. il l'a toujours fait. cette jupe était sa préférée et tu le savais aussi. c'était la seule raison pour laquelle vous l'aviez mis en premier lieu. pour lui .
la mâchoire serrée et les sourcils froncés, il vous a ouvert la portière passager de la voiture. même quand il était énervé, il était toujours un gentleman. votre esprit bourdonnant ne pouvait s'empêcher de fourmiller des pensées les plus sales alors qu'il montait dans le véhicule.
"Tu es tellement sexy quand tu es en colère." les mots sont sortis comme du vomi, les yeux de Jake se sont tournés vers toi pendant qu'il mettait la clé dans le contact, "tu sais que tu m'appartiens, n'est-ce pas ?" ses mots sortaient à travers les dents serrées, brisant le silence qui remplissait la voiture.
ses doigts serraient si fort le volant que ses jointures devenaient blanches. tu ne pouvais pas t'empêcher de penser à quel point sa main serait jolie autour de ta gorge, la serrant tout aussi fort.
Tu as hoché la tête d'un air penaud et tu as tendu la main pour passer tes doigts dans ses cheveux noirs pour le rassurer, "je suis à toi, Jake." ses épaules se détendirent immédiatement, sa prise sur le volant se relâchant également. tu as adoré voir l'effet que tu avais sur lui.
il ne savait pas qu'il avait un effet très durable sur vous. ta jolie culotte était maintenant trempée dans ta propre excitation. Jake tendit la main pour caresser ta cuisse. c'était un geste innocent de sa part. pourtant, ta chatte palpitait et tes hanches bougeaient, la chaleur de sa main te donnant une sensation de chaleur insupportable.
"Je ne supporte pas de voir d'autres gars te regarder, _____. ça me rend fou. Les ongles de Jake s'enfoncèrent en toi, serrant ta peau somptueuse. "je sais bébé." tu gémissais, ne voulant rien d'autre que qu'il te touche. te touche vraiment .
il savait aussi ce que tu voulais. Jake l'a toujours su. il adorait juste te taquiner. c'était sa partie préférée, t'entendre supplier et plaider pour qu'il te baise. il aimait à quel point ta voix devenait pleurnicheuse, à quel point tu te tortillais contre lui. mais par-dessus tout, Jake aimait le fait qu'il était le seul à pouvoir vous faire ressentir cela.
vous ne saviez pas si c'était l'alcool ou les doigts magiques de votre petit ami, mais dès qu'il a trouvé votre clitoris, la zone autour de vous a commencé à tourner. ta tête retomba contre le siège et tes cuisses s'écartèrent immédiatement pour lui.
"Putain, tu es trempé." sa voix était rauque, de jolis yeux scrutant l'extérieur du bar. il y avait quelques personnes qui fumaient près des portes d'entrée et des voitures vides remplissaient la majeure partie du parking. n'importe qui pouvait s'approcher et vous attraper tous les deux et, d'une manière ou d'une autre, cette pensée l'excitait encore plus.
Quand Jake a tenté de tirer ta culotte sur le côté, tu as tenu son poignet en place pour l'arrêter, "non". ta voix était ferme et tu as retiré sa main. au début, il a été blessé. mais tu avais pas mal bu et ce n'était pas le genre de petit-ami à profiter de toi. même s'il était déjà visiblement dur dans son jean.
puis ta voix était douce, se déplaçant pour s'asseoir sur tes jambes pendant que tes mains tendaient la console centrale pour tâtonner avec impatience avec la boucle de sa ceinture. "laisse-moi te montrer combien je t'aime." tu voulais être celui qui lui plaisait cette fois. pour prouver à quel point vous l'adoriez, lui et sa belle bite. comment il était le seul que l'on puisse souhaiter.
Une fois que vous avez baissé sa fermeture éclair, vous avez rapidement retiré sa queue de sous son slip. et la bite de Jake s'est redressée, toute prête à être touchée par toi. il avait l'impression qu'il avait dû rêver lorsque vous avez léché une longue bande allant de la base de sa queue jusqu'à son bout, pour finalement le prendre dans votre bouche.
sa main saisit rapidement tes cheveux, te tirant plus près et enfonçant sa longueur plus loin dans ta gorge. "Putain, c'est ma gentille fille." ses louanges ont fait serrer vos cuisses, votre mâchoire s'est relâchée pour prendre davantage de lui. tu en prendrais autant que Jake le voulait. toujours.
ce n'est que lorsque sa pointe a touché le fond de ta gorge qu'il a arrêté de pousser ta tête vers lui. tes doux yeux se sont fermés et tu as creusé tes joues avant de rapidement balancer ta tête sur son manche.
"Oh mon Dieu. juste comme ça." Les sourcils de Jake étaient froncés, ses lèvres légèrement entrouvertes et, sans même réfléchir, ses hanches relevées pour rencontrer votre visage. tu l'as bâillonné et tes ongles se sont enfoncés brutalement dans ses cuisses, ce qui lui a valu un gémissement pleurnichard.
avec la prise serrée que Jake avait sur ta tête et les contractions incessantes de sa bite dans ta bouche, tu savais que ton petit ami était proche de son apogée. en plus, il devenait beaucoup plus bruyant. les louanges et les malédictions sortaient de ses lèvres de manière incohérente. tu as accéléré sur lui, sa tête a fini par tomber en arrière et ses jambes ont tremblé lorsque sa charge chaude a finalement recouvert l'intérieur de ta bouche.
vous vous êtes assuré de le sucer lentement de la base à la pointe, en faisant tournoyer votre langue le long de chaque courbe et veine striée de sa bite pour le nettoyer entièrement. le sourire qui dessinait les lèvres de Jake était absolument magnifique. de belles petites gouttes de sueur coulaient sur son front et il gémissait de manière audible lorsque vous le retiriez avec un pop. Vos yeux se sont croisés dans les siens et il a immédiatement pressé ses lèvres contre les vôtres.
vous vous êtes immédiatement fondus tous les deux dans le baiser, vous vous penchant encore plus sur la console jusqu'à ce que vous soyez penché à quatre pattes avec votre jupe retroussée au niveau de vos hanches. Jake ne put s'empêcher de sourire narquoisement lors du baiser. puis il s'est reculé, tendant sa main derrière vous pour vous gifler les fesses à moitié nues, ce qui vous a fait crier bruyamment. et cette fois, Jake ne se souciait pas de savoir qui te voyait ou qui voyait ta jolie culotte parce qu'après tout, tu étais à lui.
#enhypen #enhypen x lecture #enhypen charbon
#jake enhypen#enhypen jake#jake sim#jake x lecteur#jake cochonnerie
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frenchdrarry · 10 months
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Blairon Headcanon :
Que se passe-t-il si Ron savait coudre ? Je veux dire, ce n’est pas délirant : sa mère sait tricoter, j’ai envie de croire qu’elle sait coudre aussi, et elle aurait eu l’envie d’apprendre à Ginny parce qu’elle pense qu’elle devrait savoir faire ça (Molly est traditionnaliste malgré elle, mais elle apprendrait à n’importe lequel de ses garçons qui en manifesteraient l’envie)
Maintenant on a Ron, qui a à peine un an de plus que sa sœur et qui est souvent exclu des jeux de ses frères car ils sont tous bien plus grands que lui et que les jumeaux sont toujours collés ensemble. Il aurait assisté aux leçons de sa mère avec Ginny et, contrairement à Ginny, aurait adoré ça. Pourquoi ? Car 1) il fait plaisir à sa mère 2) il s’occupe 3) il est patient. Bref, tout ce que n’est pas Ginny, qui a détesté devoir apprendre à coudre alors qu’elle n’a pas le droit d’aller sur un balais.
Vous l’avez ? Alors songez maintenant à Blaise, qui adore dessiner et qui adore la mode… mais qui ne saurait pas faire un ourlet pour sauver sa vie. Il dessine ses vêtements de rêve, songeant avec ironie qu’il a assez d’argent pour acheter n’importe quel vêtement mais que les seuls qu’il veut ce sont ceux qui n’existent que dans sa tête. Il se dit qu’un jour, il sera créateur de vêtements. Il embauchera un couturier et enfin, enfin il pourra porter les vêtements qu’il voulait et avoir son propre style.
Maintenant, imaginez un Ron Weasley en formation d’auror et un peu perdu se promener dans un parc, réfléchissant à sa vie. Imaginez-le passer derrière un Blaise Zabini très concentré à dessiner et imaginez Ron jeter un coup d’œil au dessin avant de se stopper net. Durant tout Poudlard, Ron a recoud les vêtements de ses amis, a appris à Harry et Luna comment coudre, a même réalisé le vêtement rêvé de Hermione : une jupe avec une énorme poche pour pouvoir mettre un livre. Il adorait coudre mais il n’avait pas assez d’imagination pour coudre de lui-même quelque chose d’original. Il préférait largement faire ce qu’on lui demandait et s’appliquer à ce que ce soit bien réalisé. Et là, alors qu’il était en train de se demander s’il ne faisait pas la plus grande erreur de sa vie en s’engageant dans les aurors, il voit Blaise Zabini dessiner des vêtements qui n’existaient pas encore. Des choses originales et excitantes, des choses qui ne demandaient qu’à être réalisées. (Par sa main.)
Je ne sais pas comment ils se sont abordés, je sais en revanche comment ils sont tombés amoureux : dans l’effervescence de la création, quand Ron créait et que Blaise voyait enfin ses idées réalisées. Blaise essayait, corrigeait, réinventait pour avoir la pièce parfaite. Puis Ron en cousait cinq ou dix et Blaise les revendait dans un coin de la boutique de Pansy et Luna (une boutique qui n’avait rien à voir avec les vêtements, elles vendaient des potions médicinales et des pierres)
Quand Blaise avait commencé à se faire un nom, il se battit bec et ongles pour être embauché comme styliste. Il finit par être embauché par la gazette, ce qui lui permit d’habiller toutes les stars qui allaient se faire interviewer par ses vêtements…et comme l’essayer c’est l’adopter, lesdites stars allaient ensuite le voir pour d’autres vêtements. Blaise acheta des locaux pour faire son propre magasin et supplia Draco de penser la décoration intérieure suite à la magnifique décoration que le blond avait lui-même choisie à son mariage et que Blaise, évidemment invité au-dit mariage, avait adoré.
Ron et Blaise avaient trouvé leur dynamique dans le travail mais ils peinaient à séparer pro et perso. Tout tournait toujours autour de l’entreprise fleurissante qu’ils étaient en train de créer. Ou plutôt, que Blaise était en train de créer. Ron se sentait à nouveau dans l’ombre, inutile, remplaçable. Tout le monde pouvait faire ce qu’il faisait. Blaise n’avait qu’à claquer des doigts et il trouverait un autre couturier en moins de temps qu’il n’en faut pour que Draco insulte Harry dire Quidditch.
Ce fut précisément le mari de Draco qui mit les points sur les i en prenant Blaise entre quatre yeux. Harry Potter-Malfoy connaissait son meilleur ami par cœur et il ne voulait pas que Blaise refasse sans le vouloir les mêmes erreurs qu’Hermione et lui avaient déjà faites sans le savoir. Blaise ainsi mit au courant et à moitié menacé de mort s’il ne changeait pas immédiatement la situation, Ron Weasley eut la surprise de se faire inviter au restaurant et de parler de tout, sauf de vêtements.
Petit à petit, ils trouvèrent leur rythme et Ron se sentit aimer pour lui-même et non pour ce qu’il savait faire. Ils adoraient aller à des restaurants sorciers très luxueux et aux pizzerias moldues beaucoup moins luxueuses. Ils aimaient les soirées Quidditch et adoraient aller regarder les matchs de Ginny. Ils détestaient se balader mais adoraient faire du kayak. Ils aimaient voyager en all inclusive et aller au buffet à volonté cinq minutes avant que ça ne ferme. Ils aimaient jouer au tennis ensemble et ils initièrent les Potter-Malfoy afin de pouvoir jouer en équipe. (ils le regrettèrent immédiatement car à partir de ce jour, ils ne gagnèrent plus jamais un match. Harry et Draco étaient les plus gros try-hardeurs de l’univers)
R B Z devint une marque fleurissante et populaire pour la qualité de ses vêtements et l’originalité de son style. Blaise put enfin s’habiller comme il le voulait, Ron avait un métier qu’il aimait, Draco devint l’effigie de la marque et tant qu’à faire, Blaise embaucha Harry comme photographe. La vie n’était pas si mal.
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4nuttyaddict · 2 years
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Jupe asymétrique en jersey rouge. Page facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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chic-a-gigot · 9 months
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La Mode illustrée, no. 31, 5 août 1900, Paris. Robe-princesse ornée de broderie. Modèle de Mme Angenault, rue de Provence, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de la gravure coloriée:
Robe en drap léger gris tourterelle, garnie d'applications brodées sur transparent de taffetas bleu azur. Deux larges bandes brodées encadrent le tablier de la jupe, puis contournent les hanches et s'élargissent pour figurer un boléro; la broderie se termine derrière sous un pli creux; ce pli, prolongé sur le corsage, disparaît sous la guipure. Les devants s'ouvrent avec de larges revers découpes en pointes, garnis de mousseline de soie bleue plissée et bordés de ruches, sur un plastron à col droit fait en mousseline semblable. Les manches, légèrement évasées sur la main, sont garnies de broderie. On complète la robe par une ceinture bleu azur.
Chapeau rond en paille grise garni d'une draperie en mousseline de soie bleue et d'une plume recourbée.
Ombrelle en soie blanche ornée de broderie, et brodée de dentelle.
Dress in light dove gray cloth, trimmed with appliqués embroidered on transparent azure blue taffeta. Two large embroidered bands frame the apron of the skirt, then go around the hips and widen to feature a bolero; the embroidery ends behind in a box pleat; this fold, extended over the bodice, disappears under the guipure. The fronts open with wide peaked cut-out lapels, trimmed with pleated blue silk chiffon and edged with ruffles, on a stand-up collar made of similar chiffon. The sleeves, slightly flared on the hand, are trimmed with embroidery. The dress is completed with an azure blue belt.
Round gray straw hat trimmed with a blue silk chiffon drapery and a curved feather.
Parasol in white silk decorated with embroidery and embroidered with lace.
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drackarys · 1 year
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L'imaginaire est puissant, que ce soit dans les photos subjectives ou dans les textes....
Début d'un texte que j'ai écrit.... Vous n'aurez pas forcément la suite mais j'espère qu'il jouera sur votre imaginaire...
Cela fait quelques temps que nous conversons...de tout, de rien... De la vie comme de mes envies...
Nous nous sommes rencontrés une fois au détour d'un café, voir si l'attrait physique était aussi bon que l'attrait intellectuel.
Un soir, sans prévenir, tu es venu me cueillir a la sortie de mon boulot. Tu m'as expliqué être dans la région pour 2 jours et en profiter pour me faire découvrir de façon soft certaines de mes envies...
Tu m'emmènes donc a ton hôtel, arrivés dans la chambre, tu me parles dans l'entrée de celle-ci. Tu m'expliques que je peux arrêter et partir à tout moment. Tu me demandes si tout va bien et si j'ai besoin de quelque chose.
Je demande à pouvoir aller au toilette et prendre une douche...
Tu me réponds que c'est tout a fait possible et que tu aimerai que je fasse pipi la porte ouverte devant toi, que pour cette première fois, il n'y a aucune obligation et que je peux refuser mais que par la suite ce sera obligatoire, assise nue sur le toilette, les fesses bien écartées afin que tu vois le liquide s'écouler, mais que le faire dès maintenant, te montrera ma volonté de docilité envers toi...
Je rougis, me dirige vers le toilette, laisse la porte ouverte, descend mon collant, mon string, remonte ma jupe et m'installe. Je ne suis pas encore prête à le faire nue. Je baisse la tête et sens ton regard posé sur moi.
Je me rhabille et me dirige vers la salle de bain. Une fois entrée, tu me dis, de ne remettre que mes sous vêtements. Tu t'eclipses pour me laisser seule, ça me permets de prendre un peu de temps pour moi sur la suite.
Ma douche finie, je m'essuie et remets mes sous vêtements, tu es dans l'embrasure de la porte. Tu m'informes que lorsque j'aurais passé cette porte, nous commencerons la découverte, tu veux savoir si j'ai des choses à te demander, te dire et aussi un mot qui permettrait de tout arrêter même si tu sais que je n'en aurai pas besoin car ce sera extrêmement soft...
Je te demande 2 choses :
- la première, je m'approche de toi et déboutonne ta chemise, tu me laisse faire. Je pose ma main sur ton torse, au niveau de ton coeur. Je t'explique que c'est un geste qui me permet de m'appaiser. Tu passes ton bras autour de ma taille et me colle à toi. Je sens la douceur de ta peau contre la mienne, je sens aussi la puissance de ton bras qui ne laisse aucun doute sur ta vraie nature
- la deuxième que tu me demande de te vouvoyer et de finir les phrases par Monsieur.
Concernant le mot rien d'autre me vient à l'esprit a cet instant que "safety car". Tu rigoles mais acquiesce... A part devant les courses automobiles, ce n'est pas un mot qu'on utilise souvent.
Tu recules pour me faire entrer dans la chambre, tu plantes tes yeux dans les miens et m'intime l'ordre a ce moment de te vouvoyer et de finir mes phrases par Monsieur.. tu me demandes si j'ai compris, je te réponds : "oui, monsieur"
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homomenhommes · 2 months
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saga : SOUMISSION / DOMINATION 123
Cela va faire un bon moment que je n'ai revu la mère de Jean.
Je sacrifie un matin avant les vacances. Jean m'ayant prévenu que ses ptits clients profitait de leurs propres vacances pour utiliser sa mère un mercredi, je me suis pointé vers 9h30.
Quand j'ai sonné, elle est venue ouvrir. Ça eu l'air de lui faire plaisir car elle m'a violé de suite ! A peine la porte passée, je me suis retrouvé torse nu, collé à elle qui me roulait un patin brûlant. Instinctivement, j'ai mis ma main entre ses cuisses. Sans culotte, j'ai pu tâter direct sa chatte. Mouillée en vrai salope qu'elle est. Je lui demande si elle voit quelqu'un ce matin (connaissant déjà la réponse). Elle me dit " oui, mais c'est pas un problème ". Je bande ! Je lui donne une kpote. Elle me la pose sur la bite avec sa bouche puis se tourne pour me présenter son cul. Elle sait que c'est ce trou que je préfère.
Sans précautions inutiles, je m'enfonce en elle. Ça passe tout seul. Du coup je lui demande si elle se fait enculer souvent. Là, elle me dit que Jean ne lui a laissé que 3 de ses amis mais deux d'entre eux sont copains et viennent ensemble. Au bout d'un moment ils ont trouvés tous seuls qu'ils pouvaient utiliser le même trou en même temps. Ce qui lui a assoupli l'anus !
Je l'encule sur les marches de l'escalier, nous n'avons pas eu le temps d'aller plus loin ! Elle gémit tout en me disant " merci d'être venu ". ;Je me penche et prend ses seins dans mes mains. Ses tétons sont tout raides. Je les pince facilement entre mes doigts. Elle serre son anus par réflexe, ça devient meilleur ! Je continu à les lui tordre. Elle spasme sur ma queue. Mes va et vient deviennent plus difficile, mais c'est encore meilleur d'avoir à forcer. Elle finit par me faire juter. Je lâche ses seins pour attraper ses hanches et me maintient tout au fond d'elle. Je suis en sueur ! je me retire et lui dis d'aller se préparer pour ses jeunes clients, moi je vais dans la chambre de Jean me laver.
J'ai juste le temps de me doucher et de mettre en route le PC de Jean que les ptits mecs arrivent. Le bourge et son copain. Ce dernier n'a pas l'air de lui en vouloir d'avoir été enculé la première fois (cf. SD 92). Elle va les chercher à la porte et je les vois apparaître dans la maison de la piscine. Elle devant, la jupe relevée derrière, avec la main du bourge entre les fesses. Il l'a pousse pour la faire tomber sur la pile de matelas de piscine. Elle se déshabille. Y'a pas grand chose à retirer, une jupe et un chemisier que le bourge lui arrache faisant jaillir ses gros seins. Les deux ptits mâles se mettent nus. Ils sont pas mal dans le genre pas épais. Du coup leurs bites font assez grosses. Je vois que le bourge se rase les couilles et taille le reste. L'autre est totalement rasé. Ils se jettent sur la meuf.... ; J'abrège, mais ils finissent en enfilade, Le rasé dans le cul de la meuf et le bourge dans le cul de son pote. A ce que j'ai pu voir, le rasé s'y est mis et apprécie la chose. J'ai bien l'impression que c'est ce qu'apprécie le plus le bourge ! D'enculer son pote. A croire que la mère de Jean n'est là que pour arriver à cette position.
Je rebande depuis déjà pas mal de temps. Sans réfléchir, je descends de la chambre et j'ouvre la porte. Je prends 3 photos du bourge entrain de sodomiser son pote. Ils n'ont pas le temps de réagir que je déclare " alors ma salope, tu as trouvé de la relève ". Ils se déboitent et debout devant moi s'excusent. Ce sont deux petits gabarits et en cuir noir j'impressionne ! ;J'ouvre ma combi et sort mon service trois pièces. Ils ne comprennent pas ! Je chope le bourge par la nuque et le pousse à genou devant moi. Il a un mouvement de recul que je jugule d'une main ferme. Je secoue mon portable dans l'autre main en disant " photos ". Je le vois réfléchir 2 secondes puis il ouvre grand la bouche pour que je m'y enfonce dedans. Il me tète, essaye de prendre toute ma longueur mais s'étrangle avec. Il se calme, tournant bien sa langue sur mon gland. Je le félicite, en faisant la constatation qu'il n'en est pas à sa première pipe. Il retire mon morceau de sa bouche et se récrie que non ! C'est sa première pipe. Normalement c'est lui qui se fait sucer par son copain. L'autre n'ayant pas bougé, je lui dis de s'agenouiller à coté de son pote. Je lui présente ma bite. Il ne se pose pas de question et m'avale pas complètement Mais plus que son pote. J'arrive sans le faire vomir à passer mon gland derrière sa glotte. Je reviens au bourge, lui remet ma queue dans sa bouche et enfonce. Quand je bute sur sa luette, je lui ordonne d'avaler. Il m'obéit et j'enfonce mon gland. Il tousse et me recrache. Je lui mets un claque. Il ne s'y attendait pas et j'en profite pour m'enfoncer une nouvelle fois au delà de sa bouche. Il me vomit de nouveau. J'appelle la mère de Jean qui me regardait faire. Je lui dis d'ouvrir la bouche et m'enfonce jusqu'aux couilles devant leurs yeux, en même temps j'explique. Je ressaye mon bourge, ça passe toujours pas ! Aux grands maux les grands moyens. Je le relève, le fais se coucher dos sur la table en tek et le tire sur le bord jusqu'à ce que sa tête dépasse. Là je la pousse en arrière alignant ainsi bouche et gorge. Je m'enfonce de nouveau et là je rentre entier. Il tousse encore un peu mais je lui bloque la tête et ça passe. Je lui ordonne d'avaler, c'est mieux ! Son copain à nous voir, se place au coté de son pote sur la table. Il en veut aussi. Je dis à la mère de Jean de les sucer, ils le méritent bien !
Je passe donc d'une bouche à l'autre jusqu'à ce que tous les deux me prennent facilement dans leurs gorges. Entre temps j'ai demandé à la meuf de bouffer le cul du bourge. Sa tête tenue ferme entre mes mains, mon gland dans sa gorge, il a juste eu un mouvement de recul (qui a fait enfoncer mon gland encore plus profond !) puis s'est laissé faire. Je sais comme elle sait bien bouffer un oignon, bientôt il sera à point ! Comme les deux ptits mecs ont l'air d'avoir bien compris, je m'écarte et leur dis de se mettre en 69. Je veux le bourge sur le dos, comme ça son cul sera à la bonne hauteur. C'est donc son pote qui vient à 4 pattes au dessus. Je leur dis de se bouffer la tige. Forts de leurs nouvelles expériences, ils se tètent à fond. Je me kpote et elle me graisse la tige. Je sors un flacon de poppers, me penche et fait sniffer ma prochaine victime. Je le vois rougir puis se jeter encore plus sur la queue de son pote. J'attends 1 mn et son trou palpite. Je pose mon gland dessus et m'enfonce inexorablement. Malgré le bâillon fait par la bite du copain, il gémit tout pendant la pénétration. Je ne cale pas et j'enfonce jusqu'aux couilles. Même sous poppers que c'est bon un petit trou vierge !!
Je me retire complètement. J'attends un peu que son trou se referme et recommence. Trop bon ! Je demande à la mère de Jean de prendre quelques photos de nous trois (en plus du film sur le PC de Jean) ça devrait me les mettre à ma disposition ces deux ptits cons ! Surtout le bourge. Très excité je finis par ne plus pouvoir me retenir, le plan, plus l'anus biens serré que je perfore ont raison de ma résistance et j'ai juste le temps de sortir et de dékpoter avant de juter sur les cheveux du pote. Ils sont dans le même état et alors que le bourge jute sur les joues de son copain, lui, bloqué dessous se fait gaver. Le jus déborde de sa bouche. J'ai juste le temps de récupérer mon portable pour immortaliser la chose ! Je renvois la mère de Jean, car nous devons discuter entre mec !
Ils sont anéanti mes nouvelles recrues (qui ne le savent pas encore). Je les laisse reprendre leurs esprits et tous les trois nous nous entassons sous la douche (ça va elle est quand même faite pour deux !). Le plus sonné est le bourge. Je le savonne et il ne se " réveille " vraiment que quand je rentre un doigt plein de savon dans l'anus.
Il attend que nous soyons sortis et secs pour venir vers moi et me dire que c'était pas son truc les mecs. Je prends mon portable et en lui faisant défiler les photos, je lui ai demandé si c'était les photos d'un mec qui détestait ça ? La dernière où on le voit la bite de son pote dans la bouche et avec du sperme qui coule au coin des lèvres l'achève. Il se prend la tête dans les mains et me demande ce que je veux. Il a vite compris.
Je lui dis que je ne veux que du plaisir partagé. J'aime ça, il aime ça et son copain aussi donc y'a pas de mal à se faire plaisir. Nous nous rhabillons. Je leur demande comment ils sont libres. Le bourge me répond qu'il part dans 3 jours à la montagne avec ses parents mais sera là tous le mois d'aout. J'ai envie de leur faire tâter du donjon et de la queue de Marc. Je leur ordonne de venir le vendredi avant leur départ.
IIs se pointent le jour dit vers 17h30. Cela me laisse le temps de les préparer avant l'arrivée de Marc. ;Dès qu'ils sont sortis de voiture, je les fais entrer au donjon. Ils sont émerveillés par le matériel et l'allure générale. Sans problème ils se dénudent (juste un short et un t-shirt ;) je fais de même et les entraine aux douches. Ils sont sciés par ce qu'ils voient. Douche normale puis à leur questionnement sur les flexibles supplémentaires à canules, je leur apprends les " lavements ". Nous ne cessons que quand l'eau ressort aussi pure de nos trois cul qu'elle est entrée. Le Sling est l'appareil qui me permet le plus facilement de les préparer. Je les pose donc chacun sur un sling et leur attache les membres. Appréhension du bourge. Je les calme et leur promet que du plaisir.
Je m'attaque à leurs rondelles. Juste ce qu'il faut. Je graisse, masse et ne fait pénétrer que deux doigts. Faut pas se gâcher le plaisir de bien les ouvrir avec la queue. J'ai juste le temps de vérifié qu'ils avaient bien retenu les leçons de pipe avant que Marc ne nous rejoigne. Le mot laissé sur la porte de la maison l'avait intrigué. Au premier bruit de porte je n'avais laissé que l'éclairage d'entrée, mettant le reste du donjon dans le noir, cachant ainsi les deux nouveaux avec interdiction de parler.
Je le cueillais dès la porte, me collant à lui et lui roulant un patin d'enfer. Puis j'ai glissé à son oreille " cadeaux ". Allumant le spot central tout en éteignant l'entrée, Du noir à surgit la vision de deux corps juvéniles en position de sacrifice.
Je déshabillais Marc et m'aperçu que l'effet voulu était bien là. Ses 22 raides lui collaient aux abdos. Nous nous sommes approchés, j'ai descendu l'éclairage pour les illuminer tout en nous laissant dans le noir. D'une main j'ai caressé la tête du bourge et de deux doigts lui ai ouvert la bouche. Instinctivement, il l'a refermée et ma tété les doigts.
Marc s'est avancé et lui a mis sa bite à la place. Bien élevé, il s'est mis à téter de plus belle. Comme Marc avançait encore, il l'a accepté dans sa gorge, rejetant la tête en arrière de lui même pour faciliter la chose. Marc a apprécié cette nouvelle gorge, presque vierge, qui serrait son gland. Il m'a fait signe de prendre en charge l'autre sling. Cote à cote nous avons bourré les jeunes bouches avides. ;Un échange pour que Marc puisse juger de l'autre corps a notre disposition puis retour au bourge. J'y tenais car il est plus intéressant que son pote. Quand nous leur avons bien fatigué leurs mâchoires, nous sommes passés à l'autre extrémité de leurs tubes digestifs. Kpoté, les glands posés sur leurs anus, Marc a donné le top. Nos mains accrochés à leurs hanches, nous les avons pénétrés en même temps. Ma préparation avait été juste suffisante et Marc comme moi, a bien senti la résistance d'un cul débutant. Même si pour moi c'était moins le cas (depuis des semaines, le miens se faisait enculer par la petite bite de son pote).
Nos ptits enculés non pas tenus longtemps, entre la préparation et l'action, ils se sont lâchés et leurs jus sont venus maculer leurs abdos naissants. Marc et moi avons alors continué jusqu'à notre propre plaisir. s'ils avaient espéré que nous cessions alors, ils s'étaient lourdement trompés. Ce qu'il y avait de bien c'est que leurs petits trous se sont serrés plus. Ils ont eu beau gueuler que c'était bon, que c'était fini, nous nous sommes achevés en eux, réservant nos dernier jets à leurs torses et même leurs visages.
Marc m'a remercié et je l'ai laissé partir avant de détacher les deux recrues et de les pousser sous les douches. J'essuyais quelques reproches notamment que nous ayons continué à les sodomiser alors qu'ils avaient jouit. Je leur disais qu'il fallait qu'ils prennent de la résistance, plus ont attend pour jouir et meilleur c'est. J'ai pris le n° du portable du bourge et le soir même lui envoyait quelques photos tirées de l'enregistrement du donjon. Sur celle ci, on voyait bien les deux enculés mais pas nos visages à Marc et moi. Avec un petit message leur demandant d'être dispo au mois d'août.
JARDINIER
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Mon premier fist... partie 1
C'est une soirée dont je me rappellerai toute ma vie je crois... tellement elle s'est bien déroulée.
A l'époque je m'appelais Sophie Delane, j'habitais à Nantes et j'avais un blog sur Erog... oui oui c'était avant Facebook😅
Je discutais avec un mec qui s'appelait Florent et qui était très chaud !
On parlait de baise et tout et tout... puis on s'est donné rendez-vous un soir sur le parking d'un supermarché à Ancenis, histoire de faire connaissance et d'éventuellement aller chez lui après.
Comme il y avait un peu de route ce soir là, j'ai évité de m'habiller trop court au cas où et j'ai pris une mini-jupe dans mon sac à mains.
Me voici en train de prendre la route, j'étais Sophie dans ma tête. Jolie brunette. Petit top moulant blanc et leggings couleur jean avec escarpins à talons.
Je me sentais trop bien, avec cette pointe de stress habituelle quand je sors. Un stress très excitant! Et en même temps, je ressentais un sentiment de liberté incroyable.
J'arrive sur le parking, une Clio est déjà garée. Il est 22h environ et il fait nuit. Des lampadaires éclairent un peu la zone. Je me gare un peu plus loin. L'appréhension est à son comble. Mon cœur bât fort. La peur de l'inconnu, l'envie de faire la pute, tout se mélange en moi.
Je remets mes escarpins que j'avais enlevés pour conduire, je prends mon sac à mains je regarde aux alentours avant de sortir. Personne.
Juste sa Clio. Il me l'avait dit sur un message.
Je sors. Je marche tranquillement vers sa voiture. Je respire. Je fais attention à ma démarche tout en me mattant dans la vitrine du supermarché. Je me trouve trop belle.
Il sort de sa voiture. On se salue. Il est plutôt jeune et beau gosse. Par rassuré non plus de ce que j'observe.
Quelques petites phrases de politesse... il me trouve belle. Je kiffe.
On avait pas mal discuté par messages. Il était beaucoup moins chaud en vrai.
Pour casser la glace et détendre l'atmosphère, je lui propose directement d'aller le sucer dans un coin du parking.
Il n'ose pas. J'insiste.
- Non, pas dans la voiture, je préfère en extérieur. T'inquiète il n'y a personne...
Bref il me suit. Je kiffe. Il me matte, toujours pas rassuré.
J'ai trop envie. Je suis très exhib!
Au coin du bâtiment, je me mets face à lui et je m'accroupis. J'adore. Je me sens très pute. Directe. Cash. Les préliminaire ce n'est pas mon truc!
Je défait son pantalon. Je baise son caleçon et je prends sa bite en main.
Elle est déjà bien tendue. Elle est agréable au toucher. De bonne taille.
Je m'approche un peu et la glisse dans ma bouche. Elle est bonne. Oui toutes les bites sont différentes. La sienne est vraiment bonne. Propre. Douce. Elle durcit vite.
Je m'applique. Doucement au début. Des vas-et-vient de plus en plus profonds. Puis je la léche doucement. Sur le gland avec le bout de ma langue. Puis sur toute la longueur, depuis ses couilles lisses jusqu'au bou. C'est bon.
Agréable. Je suis bien. Je me sens tellement chienne, là, dans la pénombre, à le sucer!
Il a l'air d'apprécier. Je prends mon temps.
Je continue à alterner avec ma langue et ma bouche. C'est trop bon.
Je jouis du moment.
Je le carresse un peu. Ses couilles, que je prends d'une main. Que je malaxe délicatement pendant que ma langue s'occupe de son gland.
Puis à nouveau à pleine bouche. A priori il est satisfait. Je le sens. Ça ce sent.
Un petit moment de recul.
Je l'interroge du regard.
Il vient déjà.
Il ne sait pas quoi faire.
- Tu veux que je mette une capote?
- Non t'inquiète. Laisse toi aller.
- Sûre?
- Oui!
Je l'enfourne profondément pour lui montrer qu'il n'y a pas de sujet. Que j'ai envie. Qu'il peut se laisser aller!
Encore quelques caresses. Je sens qu'il se contracte. C'est imperceptible, mais je le sens. En même temps, dans ma bouche, je commence à sentir le goût de son jus. Ça y est, il jute!
C'est bon. Enfin non.
Le sperme c'est dégueu. Ce qui est bon, c'est d'être accroupie devant un mec et de le sentir juter de plaisir dans ma bouche. C'est la situation qui est bonne! Me sentir rabaissée. Avoir la sensation d'être une salope. De savoir vider un mec. De se sentir à la place de la pire des putes, d'être prise pour un vide-couille. Et en même temps, de maîtriser la situation. D'être à l'initiative. De savoir que tous les mecs, après avoir joui, redeviennent des petits garçons polis et gênés...
Je finis par le lécher avec soin. Je fais toujours cela. J'appuie doucement sur sa bite. Du pubis au gland. Plusieurs fois. Pour tout faire sortir jusqu'à la dernière goutte. Puis je lèche très doucement et assez vite parce qu'un gland est très sensible après l'éjaculation.
Une fois propre, je relâche doucement sa bite qui reprend sa taille normale et je me relève.
Je me détourne pour lui laisser le temps de se rhabiller. Je lui parle doucement.
Il a aimé.
Il est dans le sentiment du regret. C'est normal après s'être vidé. Ça dure quelques minutes. Je m'allume une cigarette. J'ai son goût dans ma bouche.
- Tu viens chez moi?
- ok avec plaisir... je te suis.
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barbiemonamie · 1 year
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BARBIE SIGNATURE LOOKS
Normalement, je n'achète pas de Barbie neuf, mais là avec les Barbie Signature Looks, c'est autre chose. Voici donc ma première Barbie Signature Looks model # 3 de 2021 que j'ai acheté le mois dernier pour 26.99 €, elle est magnifique. Je lui ai donné le prénom Louison.
Louison porte sa jupe noire d'origine avec un haut vintage de 1990 de Barbie Ski Fun Fashions (Vinted) et des escarpins à plateforme noir (Aliexpress).
Et j'allais oublier un béret noir (fait main).
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