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#soulèvement
ontemanipule-blog · 1 year
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Envie de prendre le maquis ? Rejoins l’une des 42 ZAD ! Histoire de montrer à tous les darmaniacs que leur violence n’empêchera pas nos mondes d’exister. Samedi 25 Mars à Sainte-Soline la république a une fois encore montré son vrai visage. Non à l’état terroriste ! Plus de liens utiles ici https://youtu.be/7MxODI4IGV0
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rojinfo · 1 year
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Il y a 85 ans, le leader kurde-alévi Seyid Riza était exécuté par le régime d’Ataturk
Il y a 85 ans, le leader kurde-alévi Seyid Riza était exécuté par le régime d’Ataturk
Le 15 novembre a marqué le 85e anniversaire de l’exécution de Seyid Riza, chef de la révolte de Dersim pendu à l’âge de 74 ans sous le régime d’Ataturk. Seyid Riza (1863-1937) était un leader politique kurde-alévi de la région de Dersim, dans le nord du Kurdistan (sud-est de la Turquie). Il est considéré par le Mouvement de libération kurde comme le chef du soulèvement de Dersim de 1937-38, une…
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information-2-0 · 7 months
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planetecoree · 1 year
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Le Soulèvement de Jeju (제주도) est une rébellion populaire qui s’est déroulée sur l’île de Jeju (제주도) en Corée du Sud entre 1947 et 1949. Elle a opposé les forces de sécurité du gouvernement coréen à des résistants armés et non armés. La répression violente du soulèvement par les forces gouvernementales a entraîné des pertes massives parmi la population civile, avec des estimations allant de plus de 14.000 à 30.000 morts. #soulèvement #jeju #histoire #history #mort #army #militaire #rebellion #korea #korean #planetecoree #lovekorea https://www.instagram.com/p/CpIeUqIoa-m/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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imageculte · 1 year
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« Une pluie de possibilités dans un désert de béton ». Lieu et date inconnus. Posté par Occasusphagein sur Twitter.
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kropotkindersurprise · 10 months
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June 21, 2023 - Neonazis in Lyon, France, attacked a demonstration in support of environmentalists who are being persecuted, but were driven off. [video]/[video]
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aschenblumen · 5 months
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Dialéctica del poema, su acto de pensamiento, su saber fundamental: trasnformar nuestro dolor, tu emoción, mi mirada, en su esplendor impersonal quiero decir el esplendor desatado, cristal, mónada, complejidad sin embargo, de un «vislumbre» modulado en la escritura.
—Georges Didi-Huberman, Sublevaciones poéticas (poesía, saber, imaginación). Traducción de Juan Tapia Araya.
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icariebzh · 3 months
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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nando161mando · 9 months
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"The Capitalist-extremist government of France declared the popular habitat defenders "Les Soulèvements de la Terre" (Earth's Uprisings, https://lessoulevementsdelaterre.org/en-eu/blog/nous-sommes-les-soulevements-de-la-terre) to be "dissolved" today.
The group responded with a long statement in French that I haven't seen translated, but here's their final piece of that statement, a picture declaring that "A MOVEMENT CAN NOT BE DISSOLVED".
They don't quit.
But Greta Thunberg made a statement of support in Paris today, saying "This is about the right to protest and it is about the right to defend life" (my back-translation from Swedish news article)."
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theodoreangelos · 8 months
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The Danube in Bratislava in the direction of the Bridge of the Slovak National Uprising Dunaj v Bratislave smerom k Mostu SNP A Duna Pozsonyban a Szlovák Nemzeti Felkelés hídja irányában Die Donau in Pressburg in Richtung Brücke des Slowakischen Nationalaufstandes Дунай в Братиславе в направлении моста Словацкого национального восстания Le Danube à Bratislava en direction du pont du Soulèvement national slovaque
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gerard-menjoui · 1 year
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Moi: *content d’avoir passé la barre des 500 abonnés*
Oh well....
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lejournaldupeintre · 6 months
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The Council of State cancels the dissolution of the Earth Uprisings
France’s top administrative court on Thursday struck down a government ban on an activist climate group that clashed with police in a battle that left two people in a coma. “The dissolution of SLT did not constitute an appropriate, necessary and proportionate measure to the seriousness of the disturbances likely to be caused to public order,” France’s Council of State said in a statement. The…
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rojinfo · 1 year
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Les manifestations se poursuivent en Iran et au Rojhilat
Les manifestations contre le régime des Mollahs se poursuivent au Kurdistan oriental et en Iran, malgré le froid et la répression étatique. À l’occasion du 77e anniversaire de la fondation de la République du Kurdistan le 22 janvier 1946, les manifestations se sont poursuivies au Rojhilat (Kurdistan oriental, Iran) sous le mot d’ordre « Jin Jiyan Azadî » (Femmes Vie Liberté). Un groupe de…
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“Last summer, anti-drought actions multiplied. This summer, activists will act with even more fearlessness and creativity: cutting off hoarders’ water supplies, putting golf courses out of action, dismantling megabasins, squatting the swimming pools of the ultra-rich and the air-conditioned offices of their insurers, banging saucepans outside pool manufacturers offices, building beaver dams to revive our rivers and their banks. Our inventiveness must have no limits.” This kind of activist communique follows two years of unseasonable drought across France. As of 30 June, 42 of France’s 96 mainland départements (administrative divisions) contain at least one area with water restrictions. 15 of these 42 are officially in crisis, meaning water usage is restricted to priority functions: health, civil security, drinking water and sanitation. It’s no surprise, then, that French climate groups are escalating their tactics in the fight over water. In August last year during water restrictions in Vosges in eastern France, activists drilled holes in jacuzzis at a holiday resort. Over the winter, others sabotaged artificial snow canons at Clusaz, south-eastern France, while others set up a ZAD (autonomous zone) in the area, citing the winter drought as their motivation.  The most contentious of these groups is Les Soulèvements de La Terre, or ‘Earth Uprising’, which is currently waging 100 days of action against “water hoarders” across the country. In response, the French state is cracking down on so-called eco-terrorism – and hard.
[...]
Earth Uprising doesn’t use the word sabotage to describe its militant action. In French jurisprudence, sabotage denotes an attack on infrastructure that’s vital to the “fundamental interests of the nation”, Basile explains. “A cement production site or a megabasin is the opposite – it’s private infrastructure which puts the possibility of a living future on the earth in peril.” Instead, activists prefer the term “disarmament”. Victor Cachard, author of A History of Sabotage, adds that this term is also a reference to the actions of the ecological movement in the US against the industries building weapons for the Vietnam War and later the Gulf War. “There was the idea among ecological activists to join their environmental struggle with their anti-war struggle, as they recognised that war pollutes,” he says.
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nyaskitten · 15 days
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Take these with a grain of salt, because I don't know how reliable this source is, this could even just be the French equivalent of IMDB, and someone is out here lying! I'm actually more on the side of it being fake, because very recently Doc said there was no locked release date for part 2 lol. Only sharing these because there could be the slightest chance of this being real!!!
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the site that leaked the first two episode titles for part 2 has updated
from what i understood from @nyaskitten this is basically french IMDB and thus not completely reliable, but here it goes (i couldn‘t figure out how to get the program to translate them to english, so that version is written separately)
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Ep. 11: Beasts of war, august 8
Ep. 12: the wild lightning, august 8
Ep. 13: versus Ras, august 11, Lloyd and the ninja move to rescue their companions Kai and Bonzle(Scolette) and take part in a mysterious tournament that is hosted by the source dragons
Ep. 14: hearing nothing, august 11
Ep. 15: a new world, august 11
Ep. 16: the man with the blue mask, august 11
Ep. 17: to beat ones demons, august 14
That‘s all that‘s there, take it with a grain of salt
edit: forgot to add the link:
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