will u ever restock the keychains?
(I WOULD PAY SO MUCH MONEY TO HOLD ONE OF THOSE LIL GUYS AAAA!!!!)
*cough* yeah idk who that was but as a (extremely) sane individual I would like to know if you are considering selling more ourtles to the starving peasants. :3
Anywhizzle ur art is so cool :D !!!!!!!!!!!! very silly, very crunchy, if you will, perhaps yummy, if you so desire. Tasty, if you would be so inclined
:3
Yes I still have some for sale, it would just not be through etsy! Rather just through dms and kofi! Feel free to message me with an address to send to along with $10 kofi and I can ship a guy your way :)
Do note: I am out of the little thank you sticker cards!
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what if when you were sad josh would try to cheer you up by doing elle fernanda and he would pat your cheek and say “i just hate it when you get all sad like this sweet-heaht, come on, let me see that cute smile you got” and when you did smile he would beam at you and say “look at you! i told you it was just the cutest, and i was right, because elle fernanda is always right about this kind of thing.”
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me on tumblr: guys you should always buy new running shoes when the cushioning starts to go. protect your knees!
me irl: maybe I can squeeze an extra 5k from these shoes I bought at 30% discount in August 2022
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Le prince à vélo
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 16 août
Thème : vélo/je suis en vie
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La terre est fraiche et douce sur ma peau. Les racines des plantes m’enlacent tendrement. Mon sommeil est paisible.
Six mois qu’on m’a tuée et qu’on m’a déposée là. Mon histoire ne débute pas ici. Mais elle ne s’y arrête pas non plus.
J’attends.
Parfois un bruit brise mes rêves de forêt. Les pas lointains d’un promeneur. Le grondement plus lointain encore d’un avion dans le ciel. La sonnette d’un vélo. Toujours trop loin pour venir me sauver. Et même ceux qui se rapprochent… tout le monde n’a pas le cœur d’un prince. Leur choc et leur horreur en me découvrant ne leur permettent pas de faire ce qu’il faut.
Peu importe. J’ai tout mon temps.
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Ce n’est pas vraiment que j’ai perdu patience – le temps n’est qu’une information quand on est mort. C’est qu’il m’a agacée, avec son vélo.
Qu’on ne me voit pas depuis le sentier de randonnée, c’est normal – mes amis se recueillent régulièrement devant mon corps, ils ne l’ont pas installé n’importe où. Qu’on ne me voit pas quand on franchit les buissons et qu’on arrive dans l’herbe courte, c’est déjà moins banal. Mais qu’on me roule dessus sans me voir du tout ! Non mais quel toupet !
J’ai mal réagit, je m’en suis rendu compte seulement après. Mais ça faisait si longtemps que je n’avais pas ressenti la colère, moi qui dormais si bien. Je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai sorti une main de terre et j’ai attrapé la roue de son vélo, à cet imbécile. Dans mon état, je bouge peu, mais quand je le décide j’ai une poigne de fer : il a fait un soleil impeccable et a fini par terre.
J’aurai dû lâcher, mais j’avais envie qu’il débarrasse le plancher. Ma clairière a l’air d’être une piste de cross, peut-être ?
Je m’attendais à lui flanquer une peur de tous les diables, j’avoue. Surtout lorsqu’il aurait tenté de récupéré son vélo et qu’il aurait vu que cette étrange main sortie de terre ne bouge pas d’un pouce. Je l’aurais laissé secouer une ou deux fois avant de lui rendre sa monture.
Au lieu de ça, son premier réflexe en voyant que ce qui l’a fait tomber était une main a été de me chercher, moi tout entière. Ça n’a pas été très long. J’ai été déposée avec soin à même le sol, un peu de terre m’a recouverte peu à peu, mais je ne suis pas difficile à dégager.
Il a marqué le coup en me voyant. J’avoue que j’ai assez apprécié cette réaction. On s’attend à un vilain cadavre et on tombe sur une belle jeune fille pâle, qui parait dormir, ça fait toujours un choc, mais c’est bien la première fois qu’on se donne la peine de me contempler. Alors que j’en vaux la peine.
Il n’a pas crié. Au contraire, il m’a parlé d’une voix douce :
« Mademoiselle, s’il vous plait, pouvez-vous lâcher mon vélo ?
Tant de grâce. Tant de politesse. C’était exquis.
J’ai lâché le vélo.
Il a ajouté :
— Merci infiniment. »
Et il est reparti.
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J’ai attendu qu’il revienne. J’ai beaucoup pensé à lui dans mon rêve.
Et il est revenu.
« On dirait que je n’arrive pas à vous sortir de ma tête.
C’est très bien.
Il ajoute :
— Vos amis m’ont dit que je pouvais vous sauver. Que j’avais ce qu’il faut. Enfin, que j’étais celui qu’il fallait.
Il me prend la main, cette main qui m’avait permis d’attraper son vélo. Comme c’est romantique.
— Je vous en prie, permettez-moi… »
Je permets, je permets. La preuve, tu es encore vivant.
Enfin, il se penche et m’embrasse.
Le sort se lève.
Loin, très loin, dans une boite en bois posée sur le bureau de ma belle-mère, un battement retenti à nouveau, porteur d’une excellente nouvelle qui ne doit absolument pas la réjouir.
Je suis en vie.
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Ambitions
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 24 août
Thème : Jamais/celle qui a volé la lune
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Moi, une voleuse ? Jamais, tu m’entends, ja-mais je ne ferais une chose pareille ! Pour qui tu me prends ?
Disons que je suis une… emprunteuse, à la limite. Il m’arrive d’avoir besoin de choses qui ne m’appartiennent pas. Mais c’est normal de se prêter des affaires, après tout. C’est même la base de la solidarité. Et ça évite d’acheter en double pour ensuite que ça prenne la poussière dans un coin. Evitons le gaspillage !
Donc oui, quand j’ai besoin, j’emprunte. C’est assez naturel, quand on y réfléchit. Et je prête aussi mes affaires à qui les veut, aucun souci !
Après, il est possible que j’ai déjà emprunté certaines choses sans l’accord de leur propriétaire. Certes. Mais j’avais toujours une bonne raison : soit l’autre n’est pas là alors que c’est très urgent, soit le propriétaire ne se rendra même pas compte que ça a disparu, soit je sens que ça va être un refus. Et je ne vois pas pourquoi on me refuserait d’emprunter ce dont j’ai besoin. Je veux dire, j’en ai besoin. Il y a des questions qui dépassent largement le coté mesquin de « ça c’est à moi, ça c’est à toi ».
Et d’abord comment on peut décider que qui que ce soit est propriétaire ? Que ce soit d’un objet, d’un lieu, ou pire encore d’une idée, tu ne vois pas à quel point cette notion est en fin de compte parfaitement absurde ? On est là « oui, j’ai des droits sur cette chose, et vous non », alors que ce n’est qu’une pensée ! Ça n’a rien de tangible !
En plus, là, on parle de quelque chose qui techniquement n’est à personne, alors m’accuser de l’avoir volée, je trouve ça quand même extrêmement gonflé ! Je pense qu’on devrait plutôt admirer ma prouesse. Après tout, elle était là, nuit après nuit, magnifique, tentatrice, en train de faire admirer ses plus belles couleurs comme le joyau du ciel qu’elle est, et tout le monde avait le droit de la prendre. Techniquement. Je veux dire, ça n’était interdit nulle part.
Oui, j’ai décroché la lune. Mais je ne l’ai pas volée. Elle est juste empruntée, jusqu’à ce que je n��en aie plus besoin. Ensuite, je la remettrais à sa place, promis.
Vraiment, il y a pas de quoi en faire un fromage.
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