Paroles de "La Chanson Des Vieux Amants" Jacques Brel
Bien sûr, nous eûmes des orages. Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol. Mille fois tu pris ton bagage. Mille fois je pris mon envol. Et chaque meuble se souvient. Dans cette chambre sans berceau. Des éclats des vieilles tempêtes. Plus rien ne ressemblait à rien. Tu avais perdu le goût de l'eau. Et moi celui de la conquête
Mais mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Moi, je sais tous tes sortilèges. Tu sais tous mes envoûtements. Tu m'as gardé de pièges en pièges. Je t'ai perdue de temps en temps. Bien sûr tu pris quelques amants. Il fallait bien passer le temps. Il faut bien que le corps exulte. Finalement finalement. Il nous fallut bien du talent. Pour être vieux sans être adultes
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime. Et plus le temps nous fait cortège. Et plus le temps nous fait tourment. Mais n'est-ce pas le pire piège. Que vivre en paix pour des amants. Bien sûr tu pleures un peu moins tôt. Je me déchire un peu plus tard. Nous protégeons moins nos mystères. On laisse moins faire le hasard. On se méfie du fil de l'eau. Mais c'est toujours la tendre guerre
Ô mon amour. Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour. Je t'aime encore, tu sais, je t'aime
Ne me quitte pas est une chanson de Jacques Brel sur la rupture amoureuse, écrite et composée avec son pianiste Gérard Jouannest et enregistrée par Brel en 1959.
La chanson est écrite après la séparation de Brel et de sa maîtresse Suzanne Gabriello dont il était amoureux depuis 1955 mais qui mit fin à leur relation, Brel refusant de quitter sa femme et ses trois enfants.
“I wish you endless dreams and the furious desire to realize some of them. I wish you to love what must be loved, and to forget what must be forgotten. I wish you passions. I wish you silences. I wish you birdsongs as you wake up and children’s laughter. I wish you to respect the differences of others, because the worth and virtues of each person often remain to be discovered. I wish you to resist the stagnation, the indifference, and the negative values of our time. I wish you at last to never give up the search, for adventure, life, love. For life is a wonderful adventure and no reasonable person should give it up without a tough fight. I wish you above all to be yourself, proud of being and happy, for happiness is our true destiny.”
In 1969, Scott Walker could do no wrong, and so was given his own TV show on BBC. Of course, the BBC in its wisdom erased the shows so all we have are some audio recordings. Here’s a magnificent version of Jacques Brel’s Seul.
Sognare un sogno impossibile, portare il dolore degli addii, bruciare di una probabile febbre, andarsene dove non va nessuno. Amare fino a spezzarsi: amare, anche troppo, anche male. Cercare, senza forza né armi, di raggiungere la stella inaccessibile. Questa è la mia strada, seguire la stella, non mi importano le chances, non mi importa il tempo, o la disperazione.