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#Sakura Andô
speakingparts · 4 months
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KAIBUTSU 怪物 [MONSTER]
Hirokazu Kore-eda, 2023
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万引き家族, 2018
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tinyreviews · 10 days
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Tiny Review: A Man 2022. Investigative procedural with a theme of identity.
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I like the 1st act, where the mystery is set up in a heartwarming manner. The procedural 2nd act is good too. But the last act kinda peters out. I think it’s because there isn’t really any shocking or twist reveal.
That ending scene left me wondering what happened though. And it took me a while to puzzle out what happened: Akira finally understood the appeal of switching identities.
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A Man (Japanese: ある男, "Aru otoko") is a 2022 Japanese psychological thriller film directed by Kei Ishikawa, based on a novel with the same name by Keiichiro Hirano. It stars Sakura Andô, Satoshi Tsumabuki, and Yôko Maki.
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detournementsmineurs · 3 months
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"A Man" de Kei Ishikawa - adapté du roman éponyme de Keiichiro Hirano (2018) - avec Satoshi Tsumabuki, Sakura Andô, Masataka Kubota, Yūmi Kawai, Yōko Maki, Kazutoyo Koyabu et le jeune Manato Sakamoto, février 2024.
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havaforever · 3 months
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A MAN - N'est pas mystérieux qui le veut, n'est justement pas sensible celui qui le revendique...
En voulant joindre à sa méditation patiente sur l���identité l’écriture d’un thriller à tiroir, tortueux et retors, le cinéaste japonais Kei Ishikawa semble vouloir mener deux films de front qu’il peine à réconcilier.
Ces différents visages de son film, comme ceux de son récit, le font davantage ressembler à un alliage forcé qui finit par être contre productif, crée su contresens, mais surtout de l'ennui.
On a du mal à s'attacher aux personnages tant ils sont faussement secrets et énigmatiques. L'interprétation de Sakura Andô dans le rôle de Rie, est puissante et c'est elle qui tient le film de bout en bout. Cette excellente actrice est encore à l'affiche de l'excellent "L'innocence" de Kore-Eda. Masataka Kubota dans le rôle du mari mystérieux habite parfaitement la première partie du film, la plus intéressante. Satoshi Tsumabuki, de toute beauté, intervient très tard dans le rôle de l'avocat, mais c'est trop tard... On a depuis longtemps décroché.
Note 10/20 - L'effort est sans aucune originalité, mais louable dans l'envie de mener à bout une esthétique qui parle, qui dit le sens caché des choses.
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MARDI 16 JANVIER 2024 (Billet 1 / 3)
« L’INNOCENCE » (2h 06min)
Un film de Hirokazu Kore-eda, avec Sakura Andô, Eita Nagayama, Soya Kurokawa…
Kore-Eda déplace sa caméra du foyer familial à l’école pour raconter une amitié entre deux pré-ados dans un Japon fermé aux sentiments. Un film subtil.
Ne jamais baisser la garde ! S’il y a un conseil à donner aux spectateurs, c’est bien celui-ci, tant « L’Innocence » regorge de nuances et de détails qui ne prennent sens qu’en avançant dans le récit. Sur l’affiche du film, le visage de deux enfants maculés de boue interroge. Que leur est-il arrivé ? Quel est le lien avec cette première séquence qui voit les pompiers débouler, toutes sirènes hurlantes, pour éteindre l’incendie survenu dans un bar à hôtesses ? Une rumeur se propage : le professeur de Minato et de Yori fréquentait le lieu.
Et voilà que le jeune Minato, qui est élevé par sa mère seule, se met à lui raconter que ce professeur lui a dit qu’il avait un cerveau de porc. La mère furibarde débarque à l’école, demande l’équipe éducative. Il faut les voir faire des courbettes devant elle en s’excusant. Elle aimerait juste avoir des explications. Elle ne les aura jamais. Un questionnaire sera distribué aux enfants pour juger le prof qui sera soumis à une séance d’autocritique devant les parents avant d’être mis à pied. La Chine sous Mao ? Non, le Japon contemporain.
C’est ce Japon-là, qui cache une violence sourde sous une placidité apparente, que le cinéaste veut nous montrer. Il y a donc dans toute une première partie du film un aspect rugueux qui ébranle.
Une structure en trois temps
La mère de Minato pense que son fils est harcelé mais c’est le jeune Yori, dans la même classe, qui est le bouc émissaire des autres enfants. Le professeur de plus en plus désespéré se détend en débusquant les coquilles dans les livres publiés. Sa copine va finir par le quitter. Peu à peu, le suspense se lève comme le brouillard sur le mont Fuji.
Sur un scénario qui fut primé au dernier Festival de Cannes, Kore-eda renouvelle sa manière de faire un thriller. Il adopte une structure en trois temps. L’histoire est racontée successivement par la mère de Minato, par le professeur puis par l’enfant lui-même (*). Cette partie-là est la plus belle. De sombre, le film devient lumineux. Il gagne en douceur pour finir dans la lumière éclatante d’un lendemain d’orage. 
A la fin, dans une séquence renversante, Minato apprendra à souffler dans un trombone pour se délester de ce qu’il ne peut révéler.
(Source : « lefigaro.fr »)
(*) A l’attention des cinéphiles : ce procédé s’appelle « l’effet Rashōmon ». Il tire son nom du classique d'Akira Kurosawa, il consiste à raconter la même histoire avec plusieurs points de vue successifs. NDLR du Blog
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Marina ayant un début de rhume, il était plus prudent qu’elle reste au chaud, JM est donc allé tout seul voir hier en matinée ce film au Cinéma Convention. Situé à 25 min à pied de la rue St-Christophe, c’était aussi une occasion de pratiquer un peu de « marche sportive », il lui reste encore 3 grosses parts de Galette des Rois à éliminer !!!
Pour être tout à fait franc, à plusieurs reprises il a failli quitter la projection. Et ce n’est pas du tout à cause du principe narratif du film (le fameux « effet Rashōmon ») duquel il était prévenu et qui ne l’a absolument pas perturbé. Le film « Dunkerque » de Christopher Nolan qu’il a vu avec Marina et qu’ils ont beaucoup apprécié était basé sur ce même principe…
Non, ce qui l’a gêné, c’est l’interprétation des acteurs adultes, sûrement très bons au demeurant mais qui ne correspond pas du tout aux critères auxquels il est habitué. Les mimiques et la gestuelle sont souvent très appuyées et certaines scènes, voire des aspects du scénario, lui ont même semblé ridicules.
C’est la troisième partie du film qui lui a fait ne pas regretter d’être parti tôt de la maison, dans un froid glacial et, surtout, d’être resté jusqu’à la fin du film.
Malgré tout, il ne lui donne que ❤️❤️❤️ sur 5. Dans la filmographie de Kore-eda, il préfère nettement quelques-uns de ses films précédents et estime qu’il n’a jamais dépassé ou même égalé son quatrième film, « Nobody Knows »... sans la moindre réserve, un pur chef-d’œuvre !
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cinefilia2012 · 4 years
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Ai no mukidashi (Love Exposure) - 6/10
(Exposición de amor)
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freshmoviequotes · 5 years
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Shoplifters (2018)
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kedidirokedi · 5 years
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Shoplifters, 2018, Hirokazu Koreeda
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gael-garcia · 5 years
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Shoplifters (2018, Hirokazu Kore-eda)
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filmap · 5 years
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万引き家族 / Shoplifters Hirokazu Koreeda. 2018
Beach Ohara Beach, Fukahori, Isumi, Chiba Prefecture 298-0003, Japan See in map
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speakingparts · 9 months
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KAIBUTSU 怪物 [MONSTER]
Hirokazu Kore-eda, 2023
starts ruthless and cruel as a blade and ends in an unbearably sublime poem. perfect in so many ways & different levels of interpretation that I don't know where to start.
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tribeca · 5 years
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“In a just awards season, Sakura Andô would be a frontrunner in this year’s Best Supporting Actress race for her tender and tough-minded work in Hirokazu Kore-eda’s Palme d’Or winner Shoplifters. As Nobuyo, the maternal figure in the drama’s makeshift family, Andô indicates the insuperable hurt in a character whose full history of pain isn’t made clear until the film's final act. This history informs every aspect of Andô’s performance, especially during an indelible heartbreaker of a scene in which Nobuyo talks to Yuri (Miyu Sasaki), an abused and neglected girl illegally taken under her wing. Sitting in front of the cathartic flames of a fire that consume the clothes Yuri was found in, Nobuyo wraps the young girl in her arms and holds her close, telling her, in the certain terms of a survivor, that no one should have to bear the violence that she has born. Andô threatens to dissolve into tears as Sasaki gently caresses her cheek, but she valiantly withstands the urge. Hers is the guarded face of a woman who will never understand why people inflict pain on one another, much less deprive those closest to them of the love and care that every being deserves.” — Matthew Eng
30 Memorable Moments from Great Performances of 2018
(Source: TribecaFilm.com)
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badmovieihave · 5 years
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Bad movie I have Love Exposure 2008 original title Ai no mukidashi  Just so you know it a 4 hour movie
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gregor-samsung · 5 years
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Shoplifters (Hirokazu Koreeda - 2018)
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snapofaneye · 5 years
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