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#chef d’œuvre
mmepastel · 7 months
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Je viens de finir cette merveille. Ce roman finlandais a été remarquablement chroniqué sur le site en attendant Nadeau, à qui j’emprunte mon introduction ci-dessous :
« Il ne faut pas lire Gorge d’or, premier roman d’Anni Kytömäki, pour se distraire ou passer un bon moment, mais pour éprouver physiquement la texture des pas lors de la traversée d’une tourbière, pour se réjouir du martèlement d’un pic noir sur un pin. Pour avoir les larmes aux yeux parce qu’un nom est écrit dans une botte, pour être bouleversé par une écriture à la fois simple et précise, lyrique et hypnotique, qui conduit jusqu’à une intensité incroyable les sentiments des personnages. Pour être émerveillé par la délicatesse et l’intelligence d’un art romanesque qui sait trouver dans le rapport intime à la nature la part de bonheur nécessaire pour que survive l’affection entre un père et sa fille, sur fond d’histoire troublée de la Finlande entre 1903 et 1937. Et si le grand livre de cette rentrée littéraire était un roman décrivant principalement des marches au fond des forêts finlandaises ? »
Ce livre est énorme. Plus de 600 pages, écriture serrée. Il est très contemplatif, parfois lent. Et pourtant je l’ai lu goulûment, avec avidité.
C’est tout d’abord une très belle histoire de filiation, entre un père, Erik, et sa fille, Malla ; ils nouent un lien indestructible, viscéral, en partageant leur amour et leur fascination organique pour la forêt finlandaise. J’ai été bouleversée par leurs destins complexes dans cette première moitié du XXe siècle, où la Finlande a été secouée par la première guerre mondiale, la révolution russe, l’indépendance durement acquise, la chasse aux communistes (les Rouges), la famine, la pauvreté.
Dans la première partie du livre, on suit l’évolution d’Erik, fils d’un riche propriétaire terrien qui se soucie principalement de s’enrichir, en vendant du bois, et en modernisant les accès à la forêt. Erik, lui, tient plus de sa mère, pourtant jugée dérangée, qui aime les histoires, et la nature. Elle lui en raconte de nombreuses, l’initié à la magie de la forêt, au secret des correspondances inexplicables, avant de ne plus pouvoir le faire. Sa première épreuve sera de perdre cette mère précieuse, mais beaucoup d’autres l’attendent, liées au contexte politique globalement hors champ mais dont on sent bien les répercussions. Amoureux d’une insurgée, perdu, il s’échappe vers le nord, et expérimente la solitude radicale.
Puis, un peu plus tard, redescendu vers le manoir familial, il devient père ; sa femme doit vite être écartée de lui aussi, je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher votre lecture. Il semblerait que chaque être féminin qu’il aime soit condamné à un exil forcé. Il en va de même pour sa fille, Malla, qu’il a quand même la chance d’éduquer jusqu’à ses sept ans, et à qui il transmet le goût de la forêt.
On suit le destin de Malla dans la deuxième partie du roman. Elle aussi doit faire face au rejet qu’on voue à ceux qui n’étaient pas dans le bon camp lors de l’insurrection. On la force même à changer de nom. L’ombre étonnante d’un ours apparaît aussi, et la silhouette d’un vagabond (lui aussi rejeté pour son ascendance révolutionnaire) qui lui apprend à communiquer avec l’ours. Ils veulent le protéger des hommes qui ne manqueraient pas de le transformer en proie de chasse. On pourrait dire qu’à force de marcher dans la forêt par toutes saisons, à force d’en connaître chaque plante et animal, tous deux sont en osmose avec la forêt, et avec un certain esprit magique, ancestral, issu du folklore ancien de la Finlande, lorsque nature et humain ne se distinguaient pas autant, et où la forêt était souveraine.
C’est en cela que le roman a une dimension souterraine politique et écologiste très forte. La compréhension respectueuse d’Erik ou de Malla de la forêt est précieuse mais en danger par la course au profit et la modernité mal réfléchie.
Depuis mon canapé, j’ai adoré lire ce livre. C’était une expérience quasi sensorielle, physique. On entend craquer le gel sous les bottes de Malla, on sent sur sa langue les myrtilles qu’elle cueille, affamée, on sent les effluves des pins, la brume odorante qui émane de la tourbière au matin, c’est assez extraordinaire. Dans une langue simple mais sans cesse surprenante, Anni Kytömäki nous envoûte, nous promène et nous broie le cœur. Une merveille qui ressemble à un long voyage bouleversant.
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hcdahlem · 6 months
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Veiller sur elle
Meilleur de livre en livre, Jean-Baptiste Andrea signe un chef-d’œuvre avec Veiller sur elle. En racontant l'histoire d'un sculpteur de génie, de sa rencontre avec Viola, fille d’une riche famille et sa traversée du XXe siècle, il réussit un chef d'œuvre!
  Lauréat du Palmarès Livres Hebdo des libraires 2023 Prix du roman FNAC 2023 Finaliste du Prix Goncourt 2023 Finaliste du Prix Femina 2023 En lice pour le Prix Interallié 2023 En deux mots Michelangelo Vitaliani, dit Mimo, se meurt. À plus de 80 ans, dont près de la moitié passés au couvent, autour des frères qui l’entourent, il a choisi de rester aux côtés de son chef d’œuvre, La pietà que le…
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zorosbignaturals · 1 year
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Chapters: 1/1 Fandom: One Piece Rating: Mature Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Fisher Tiger & Jinbei Characters: Jinbei (One Piece), Fisher Tiger Additional Tags: I broke out my behavioural ecology textbook for this, crazy gay fish sex, One Piece Universe, Fishman Island, no beta we die like fisher tiger, author is very clearly a lesbian, and an ecologist, Crack, im so sorry Summary:
Jimbei and Fisher Tiger are FUCKING!!!!!!!
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the-chomsky-hash · 1 year
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vinstinx · 2 days
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I started it as a joke but here I am doing the google doc
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lumieretrain · 1 year
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I finished to read Twenty Thousand Leagues Under The Seas by Jules Verne, which is a unique masterpiece of science fiction literature, that is adventurous, creative and thrilling.
Ho finito di leggere Ventimila Leghe Sotto I Mari di Jules Verne, che è un unico capolavoro della letteratura fantascientifica, che è avventuroso, creativo ed entusiasmante.
Ich habe 20.000 Meilen Unter Dem Meer von Jules Verne fertig gelesen, ein einzigartiges Meisterwerk der Science-Fiction-Literatur, der abenteuerlich, kreativ und spannend ist.
J'ai fini de lire Vingt Mille Lieues Sous Les Mers de Jules Verne, qui est un chef-d’œuvre unique de la littérature de science-fiction qui est aventureux, créatif et passionnant.
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For this chef-d’œuvre which shook up all my certainties, which helped make my life more beautiful and richer, thank you Luca, Armie and Timothée.
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thinkingimages · 8 months
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André Breton (1896, France - 1966, France) | Souvenir du paradis terrestre, 1953
Le mur de l’atelier d’André Breton, entré par dation au Musée en 2003, évoque la seconde pièce de l’appartement de la rue Fontaine à Paris, occupé par le poète, de 1922 à sa mort en 1966. Les 212 œuvres d’art et objets qui y sont regroupés rappellent l’esthétique défendue par Breton dans ses écrits et à travers sa collection. Il n’a cessé de l’enrichir, guidé par « un irrésistible besoin de possession », qu’il attribuait au désir de « s’approprier les pouvoirs des objets » ayant suscité en lui surprise et interrogation. Autour des chefs-d’œuvre des artistes qu’il a soutenus (Notre avenir est dans l’air, 1912, de Picasso, LHOOQ, 1919, de Picabia, Tête, 1927, de Miró, Boule suspendue, 1930-1931, de Giacometti, La Boîte-en-valise, 1935-1941, et Coin de chasteté, 1954/1963, de Duchamp), sont soigneusement accumulées des pièces en résonnance avec sa poétique de « l’œil à l’état sauvage, œil premier, libre de toute entrave » : des tableaux, des masques et des objets océaniens, précolombiens et nord-américains, ainsi que des objets trouvés, des objets populaires, des pierres, des racines, des boîtes de papillons. 
Brigitte Leal
Source : Extrait du catalogue Collection art moderne - La collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne , sous la direction de Brigitte Leal, Paris, Centre Pompidou, 2007
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revolutionarywig · 2 months
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I saw my friend took pictures of this play apparently now ongoing in Paris and I had to search it up
LE DÎNER DE- WHAT???
So Robespierre is not a character in the play, but rather there are these characters who must dress up as a figure from the French Revolution...
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Also there's Camille (middle) and presumably Marie Antoinette on the right
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Summary:
Dans une petite ville de province, un groupe d’amis de la bonne société se donne rendez-vous pour un «��dîner de têtes ». Chacun doit se faire la tête d’un grand personnage de la Révolution française. André Bitos, fils du peuple devenu magistrat incorruptible et vertueux, est l’invité d’honneur : il jouera Robespierre. Mais il semble que l’objectif de cette soirée ne soit pas uniquement de refaire l’histoire de France... Cette bande de notables en smoking-perruque va se lancer dans un jeu de massacre aussi cruel que jubilatoire. Drôle, grinçant et terriblement actuel, ce chef d’œuvre d’intelligence renvoie dos à dos haine de l’Autre et tyrannie de la Vertu.
"In a small provincial town, a group of friends from high society meet for a dinner of heads. Each must reimagine themselves as a great figure from the French Revolution. André Bitos, son of the people who became an incorruptible and virtuous magistrate, is the guest of honour: he will play Robespierre. But it seems that the goal of tonight was not to only reenact the history of France...This band of notables in their tuxedo-wigs are heading into a game of massacre as cruel as it is exhilarating. Funny, grating, and terribly current, this intelligent masterpiece brings back to back the hatred of the Other and tyranny of Virtue."
Okay HMMMM from the wording of that it sounds like it's not gonna be the most redeeming or best depiction of Robespierre or the Revolution in general. From the website it seems to be connecting the "Terror" with post-WWII France "purge"? (l'épuration, from the wording on the website) .....I am not knowledgeable in WWII France but I am a bit on the fence for that.....
BUT heyyyyy look at that Camille
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The height BRUH
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installator · 10 months
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"Le musée du Louvre-Lens accueille La Dentellière de Johannes Vermeer, chef-d’œuvre emblématique du musée du Louvre" (louvre.fr)
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pompadourpink · 1 year
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Le Petit Prince
Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry, 1943
Chapter 1.
Once when I was six years old I saw a magnificent picture in a book, called True Stories from Nature, about the primeval forest. It was a picture of a boa constrictor in the act of swallowing an animal. Here is a copy of the drawing. 
Lorsque j’avais six ans j’ai vu, une fois, une magnifique image, dans un livre sur la Forêt Vierge qui s’appelait « Histoires Vécues ». Ça représentait un serpent boa qui avalait un fauve. Voilà la copie du dessin.
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In the book, it said: "Boa constrictors swallow their prey whole, without chewing it. After that, they are not able to move, and they sleep through the six months that they need for digestion."
I pondered deeply, then, over the adventures of the jungle. And after some work with a coloured pencil, I succeeded in making my first drawing. My Drawing Number One. It looked something like this:
On disait dans le livre : « Les serpents boas avalent leur proie tout entière, sans la mâcher. Ensuite, ils ne peuvent plus bouger et ils dorment pendant les six mois de leur digestion. »
J’ai alors beaucoup réfléchi sur les aventures de la jungle et, à mon tour, j’ai réussi, avec un crayon de couleur, à tracer mon premier dessin. Mon dessin numéro 1. Il était comme ça :
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I showed my masterpiece to the grown-ups, and asked them whether the drawing frightened them.
But they answered: "Frighten? Why should any one be frightened by a hat?"
My drawing was not a picture of a hat. It was a picture of a boa constrictor digesting an elephant. But since the grown-ups were not able to understand it, I made another drawing: I drew the inside of a boa constrictor, so that the grown-ups could see it clearly. They always need to have things explained. My Drawing Number Two looked like this:
J’ai montré mon chef-d’œuvre aux grandes personnes et je leur ai demandé si mon dessin leur faisait peur.
Elles m’ont répondu: «Pourquoi un chapeau ferait-il peur ? »
Mon dessin ne représentait pas un chapeau. Il représentait un serpent boa qui digérait un éléphant. J’ai alors dessiné l’intérieur du serpent boa, afin que les grandes personnes puissent comprendre. Elles ont toujours besoin d’explications. Mon dessin numéro 2 était comme ça :
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The grown-ups' response, this time, was to advise me to lay aside my drawings of boa constrictors, whether from the inside or the outside, and devote myself instead to geography, history, arithmetic, and grammar. That is why, at the age of six, I gave up what might have been a magnificent career as a painter. I had been disheartened by the failure of my Drawing Number One and my Drawing Number Two. Grown-ups never understand anything by themselves, and it is tiresome for children to be always and forever explaining things to them.
So then I chose another profession, and learned to pilot airplanes. I have flown a little over all parts of the world; and it is true that geography has been very useful to me. At a glance I can distinguish China from Arizona. If one gets lost in the night, such knowledge is valuable.
Les grandes personnes m’ont conseillé de laisser de côté les dessins de serpents boas ouverts ou fermés, et de m’intéresser plutôt à la géographie, à l’histoire, au calcul et à la grammaire. C’est ainsi que j’ai abandonné, à l’âge de six ans, une magnifique carrière de peintre. J’avais été découragé par l’insuccès de mon dessin numéro 1 et de mon dessin numéro 2. Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatigant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications.
J’ai donc dû choisir un autre métier et j’ai appris à piloter des avions. J’ai volé un peu partout dans le monde. Et la géo- graphie, c’est exact, m’a beaucoup servi. Je savais reconnaître, du premier coup d’œil, la Chine de l’Arizona. C’est très utile, si l’on est égaré pendant la nuit.
*
In the course of this life I have had a great many encounters with a great many people who have been concerned with matters of consequence. I have lived a great deal among grown-ups. I have seen them intimately, close at hand. And that hasn't much improved my opinion of them.
Whenever I met one of them who seemed to me at all clear-sighted, I tried the experiment of showing him my Drawing Number One, which I have always kept. I would try to find out, so, if this was a person of true understanding. But, whoever it was, he, or she, would always say: "That is a hat." Then I would never talk to that person about boa constrictors, or primeval forests, or stars. I would bring myself down to his level. I would talk to him about bridge, and golf, and politics, and neckties. And the grown-up would be greatly pleased to have met such a sensible man.
J’ai ainsi eu, au cours de ma vie, des tas de contacts avec des tas de gens sérieux. J’ai beaucoup vécu chez les grandes personnes. Je les ai vues de très près. Ça n’a pas trop amélioré mon opinion.
Quand j’en rencontrais une qui me paraissait un peu lucide, je faisais l’expérience sur elle de mon dessin numéro 1 que j’ai toujours conservé. Je voulais savoir si elle était vraiment compréhensive. Mais toujours elle me répondait : « C’est un chapeau. » Alors je ne lui parlais ni de serpents boas, ni de forêts vierges, ni d’étoiles. Je me mettais à sa portée. Je lui parlais de bridge, de golf, de politique et de cravates. Et la grande personne était bien contente de connaître un homme aussi raisonnable.
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mmepastel · 7 months
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J’ai moi aussi, comme Pierre Lescure, adoré le dernier roman de Richard Morgiève dont je n’avais jamais rien lu.
Je ne crois pas qu’il soit sélectionné pour aucun prix de la rentrée, et je ne comprends pas. C’est un livre éblouissant. Extraordinairement triste et remuant. Un livre qui vous prend par les tripes, vous secoue, vous fait pleurer, parfois rigoler (ou simplement sourire plutôt). Un livre qui choque. Qui met des grandes baffes dans la figure. Avec des fulgurances où votre cœur se serre et vous vous demandez comment il a fait pour vous retourner comme ça. Écoutez la petite chronique ci-dessus, elle explique la genèse hyper intéressante du livre, et en plus, vous avez des paroles directes, drôles et sincères de l’écrivain qui explique sa façon d’écrire.
J’ai l’impression que c’est un grand livre. En tous cas, moi je ne l’oublierai pas. Je n’oublierai pas Jacques, ni Antoine, ni Paul, ni ce père, ni cette mère qui au début fait penser à la Folcoche de Bazin mais qui est tellement plus intéressante. Cette enfance dans le Versailles ultra bourgeois des années 60, la France rance, le père meurtri par les camps, la question lancinante de la judéité, la culpabilité d’être un nanti, les tourments de l’adolescence, la mère toxique et pourtant adulée, cet amour qui déborde de partout mais qui ne réussit jamais à trouver de place, ou la bonne place. Jacques a de quoi être perdu, c’est le moins qu’on puisse dire. Avec la maladie qui lui tombe dessus comme un pied de nez du destin, il a de quoi se demander sans cesse qu’est-ce que vivre, est-ce que ça vaut la peine, à quoi ça rime, de la vouloir malgré tout cette vie, et de toujours retomber sur l’histoire familiale remplie de malheurs et de silences. Des chocs et des coups, Jacques en prend de si nombreux. C’est déchirant. Racontés sans pathos mais à l’os, au plus près du cœur, avec des images toujours surprenantes, des associations qui font mouche. Un texte qu’on devine très travaillé, mais qui a l’air de couler sous l’urgence, de jaillir spontanément. Au point de parfois couper le souffle.
C’est une pépite, lisez la, n’ayez pas peur même si vous manquez de tourner de l’œil parfois, le voyage vaut le(s) coup(s).
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hcdahlem · 11 months
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Le gardien de Téhéran
Stéphanie Perez a délaissé le grand reportage pour retracer la vie de Cyrus Farzadi, un homme du peuple devenu un héros national en œuvrant pour la sauvegarde du musée d'art contemporain de Téhéran.
  En deux mots Cyrus Farzadi est chauffeur au Musée d’art contemporain de Téhéran. Cet homme d’origine modeste va se passionner pour ce projet lancé par l’impératrice Farah Diba et se battre, après l’arrivée de Khomeiny pour sauver la prestigieuse collection. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique L’homme qui a sauvé le musée de Téhéran Stéphanie Perez a délaissé le grand reportage pour retracer…
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francepittoresque · 3 months
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23 janvier 1883 : mort de l'illustrateur Gustave Doré ➽ http://bit.ly/Gustave-Dore Une imagination exubérante, une intelligence prompte à tout concevoir, capable de se trouver à l'aise dans les plus grands sujets, une personnalité discrète : tels sont les traits sous lesquels nous apparaît Gustave Doré, ce débutant de la caricature qui finit dans l'intimité des chefs-d’œuvre réputés inaccessibles au crayon, trop fier et trop fort pour se courber sous le joug d'une mode
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poppy-metal · 5 months
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jordan w a corruption kink goes crazy but mafia!jordan’s corruption kink? magnum opus roman empire chef-d’œuvre etc etc etc
if this sends twice plz ignore the little bar never finished the first time i sent it 🫡☝️
esp with you essentially saving yourself for the marriage you knew you'd one day be in - saving yourselves for them. thats gonna make their head buzz i fear.
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lisaalmeida · 5 months
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Faites l’amour et n’ayez pas honte...
Parce que l’amour est de l’art,
et vous des chefs-d’œuvre divins...
Et ensuite, faites l’amour...
Pas de sexe, juste de l’amour...
Et avec ça je veux dire
Les baisers lents sur la bouche,
Sur le cou, sur le ventre, sur le dos,
Les morsures sur les lèvres,
Les mains tressées,
Et les yeux dans les yeux...
Je veux dire, des câlins tellement serrés...
Pour devenir une seule chose,
Des corps piégés et des âmes en collision...
Créer des constellations,
Inhaler des parfums...
Les cœurs qui battent ensemble...
Les respirations qui voyagent
Au même rythme....
Voilà,
Faites l’amour et n’ayez pas honte...
Parce que l’amour est de l’art...
Et vous, les chefs-d’œuvre divins...
Alda Merini
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