Tumgik
#diamants sur canapé
chicinsilk · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Audrey Hepburn wears an evening dress by Hubert de Givenchy at the London Premiere of her film "Breakfast at Tiffany's" on October 19, 1961. Audrey Hepburn, porte une robe du soir de Hubert de Givenchy à l'occasion de la Première londonienne de son film "Breakfast at Tiffany's" (Diamants sur canapé), le 19 octobre 1961.
57 notes · View notes
cinemoments · 10 days
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Breakfast at Tiffany’s, dir. Blake Edwards, 1961
4 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville. De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture. Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est. Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture. Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions. Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération. ;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler. Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis. Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle. Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés. Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ?? Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine ! Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte. Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer. Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma. Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon. Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé. Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison. Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend. J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre. Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ". De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison. Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage. ;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble. Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert ! Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave. Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon. Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter ! Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard. Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !! Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même ! Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5. Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo ! Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !! Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ???? Question ;1 : ont-ils de grosses bites ? Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui. Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs ! Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress. Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu ! Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux. Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes. J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie. Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
12 notes · View notes
afrenchaugurey · 1 year
Text
OK no chapter this week, I'm too busy with NewTina event next week. But a picture of Bae Doo-na and a talk with @eveneechan inspired me this.
I'm sorry it's in French and pretty raw. Maybe I'll translate it later
Répit
Tumblr media
Autour d'eux la guerre menaçait encore et encore.
C'étaient désormais bien plus que des craintes ou des conflits dispersés. Non, l'incendie menaçait de tout emporter. Ils n'étaient pas ici pour rien, ni, malheureusement, pour des vacances impromptues. Non, le conflit les avait menés là, les poussant à abandonner leur maison et à traverser le large océan.
Une autre étendue d'eau s'étirait à ses pieds à cet instant. Même de derrière la fenêtre, du haut des blanches falaises, elle pouvait voir les vagues s'éclater contre les rochers, se séparant en mille diamants d'écume.Il y avait de la beauté dans cette violence. De la violence dans cette beauté. Cette vague, ces falaises, résumaient si bien sa vie.
Beauté. Beauté. Beauté.
Dehors la guerre menaçait. Demain, elle devrait prendre son poste. Et pourtant, à cet instant, son cœur était ardent et plein d'amour. Derrière cette glace, sa peau se réchauffait par l'action du doux soleil d'hiver. Elle fermait les yeux, son livre toujours dans sa main. Le son des vagues au dehors rythmait le battement de son cœur La chaleur inondait son visage.
Elle était bien. Calme. Heureuse. Comment le pouvait-elle alors que la guerre menaçait, existait, que les champs de bataille décimaient tant d'âmes innocentes de l'autre côté de l'eau ? C'était peut-être grâce à cela, en fait. Ce répit, cette respiration entre deux difficiles campagnes, elle avait appris à l'aimer, le vénérer, s'en oxygéner. Les drames de sa vie lui en avaient enseigné l'importance.
Même en ces temps les plus sombres une douce lumière pouvait exister. L'espoir, sans doute.
Espoir. Espoir. Espoir.
Assise sur le dossier du canapé accolé à la fenêtre, son regard quitta les falaises pour balayer les vertes prairies. Dehors, un troupeau d'abraxans galopait, faisant vibrer la terre sous le poids de leurs sabots puissants. Cette charge accompagnait le roulement des vagues, leurs robes dorées faisaient écho à la lumière du soleil, éblouissant presque leur spectatrice, toujours repliée à l'abri de la fenêtre. La valse à trois temps de leur allure, le vrombissement de leurs déplacements, d'aucuns auraient trouvé ça violent. Et pourtant, ici, hors du temps, c'était apaisant. Comme un rythme immuable que rien ne pourrait rompre, comme un pied de nez à l'avenir incertain. Eux, toujours, seraient là, et après eux, leurs fils. Pour toujours.
Constance. Constance. Constance.
Un bruissement contre le tissu de sa jupe détourna son regard de ce magnifique tableau dont elle était spectatrice. Un des jeunes niffleurs se trouvait à ses pieds, tâchant de se saisir de l'épingle retenant son kilt de laine bleue. Un répit dans la colère, dans la tourmente de la tornade meurtrière, voici ce que lui offrait la créature, totalement ignorante des conflits des humains. Elle présenta ses mains à l'animal, et le déposa sur ses genoux, caressant distraitement sa douce fourrure. Vivre, vivre, vivre, peu importe le lendemain. Demain, le devoir et le gris reviendraient au galop, comme ces abraxans déjà loin sur la colline. Le niffleur, désormais, s'approchait de son médaillon, celui-là même qui contenait l'album de sa vie. Sa force. Son ancre. Son phare dans la tempête lorsqu'on ne lui donnait aucun répit. Mais il n'était en ce jour que l'instrument de jeu, une respiration entre deux journées dessinées au fusain plutôt que, comme aujourd'hui, à l'aquarelle.
Vivre. Vivre. Vivre.
Le niffleur sur son épaule jouait distraitement avec ses boucles d'oreille lorsqu'IL lui tendit sa tasse de café. Cette odeur, cet arôme de noisette grillée, comme la couleur de ses yeux à cet instant précis. Son sourire, vrai. Lui aussi, en cet instant était apaisé. Momentum. Le temps s'arrêta, s'étira, lorsque ses lèvres, doucement, caressèrent ses tempes, et que sa sa main, plus légère qu'une plume, frôla le fin duvet de sa nuque la faisant frissonner dans chaque cellule de son être, avant de replacer, doucement, une mèche de ses cheveux derrière son oreille, son pouce s'attardant sur sa joue, en un geste si souvent répété. Pourtant, les frissons n'étaient jamais feints. Comme en ce premier jour, il lui offrait ces douces sensations qui lui faisaient oublier tout le reste, même la noirceur des âmes humaines.
Frisson. Frisson. Frisson.
Son livre posé sur le dossier, toujours ouvert à cette même page déjà oubliée, sa tasse fumante dans sa main, son regard se perdait à nouveau dans les falaises. Dehors, la migration commençait. Les oiseaux aux becs colorés s'envolaient, quittaient leurs nids, pour traverser à leur tour les océans, vers de plus chaleureuses journées. Quand pourrait-elle les suivre ? Demain, son chemin prendrait aussi la direction du sud, mais il ne serait que noirceur, comme la mousseline qui courait maintenant sur sa peau, enveloppant lâchement le haut de son corps. Combien de temps serait-elle partie ? Quand pourrait-elle, comme ces oiseaux migrants, suivre à nouveau le chemin de la lumière ?
Pour l'instant, cependant, elle ne voulait y penser. Non, la douce chaleur du soleil de l'hiver illuminait encore ses joues, la saveur douce amère du café éveillait ses papilles, les diamants de l'écume et l'or de la robe des abraxans scintillaient, accrochant enfin son regard, et allumant mille feux dans l'océan de ses yeux de salamandre. Demain, comme eux, elle déploierait ses ailes, mais à cet instant, elle n'était que présent, une apparition dans la pâle lumière de la fin de l'après-midi.
Douceur. Douceur. Douceur.
Le clic de l'appareil photo détourna une fois encore son regard de la fenêtre et du spectacle que lui offrait la nature du Dorset. Perdue dans ses pensées, elle ne l'avait pas entendu arriver. Sa silhouette élancée se tenait de guingois, comme à l'accoutumée. Ses cheveux partaient en tous sens et accueillaient mille brindilles. Elle aurait aimé être l'un des oiseaux du dehors pour pouvoir y nicher, s'y réfugier. Sa chemise, dont les manches étaient roulées sur ses bras, était maculée de boue. Il souriait, pour elle, il souriait jusque dans ses yeux éclatants. Cette vue, cette apparition, fit céder quelque chose en elle. Un rire, un rire cristallin vint résonner dans la pièce, tandis qu'elle posait sa tasse sur le rebord de la fenêtre et abandonnait son livre et sa lecture vraiment oubliée. Dans ses bras, elle se jeta, sans l'ombre d'une hésitation, puis ses doigts se nouèrent aux siens, l'entraînant vers de nouveaux délices.
Amour. Amour. Amour.
Demain serait un autre jour.
Répit. Répit. Répit.
The picture : (in front of the window)
Tumblr media
11 notes · View notes
sofya-fanfics · 2 years
Text
Tout était de sa faute
Tumblr media
Voici ma participation pour le Sicktember 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lupin éternua à nouveau et se moucha. Bientôt, pensa Jigen, la pièce allait être envahie de mouchoir. Et tout ça, c'était de la faute de Fujiko. Jigen ne savait pas vraiment ce qu'il s'était passé. Tout ce qu'il savait, c'était qu'après avoir suivit Fujiko, Lupin était revenu trempé.
Disclaimer : Lupin III appartient à Monkey Punch.
@sicktember​
AO3 / FF.NET
Lupin éternua et se moucha bruyamment. Il jeta son mouchoir dans la poubelle qui était déjà remplie. Jigen et Goemon soupirèrent. C'était comme ça depuis le matin et Lupin insistait pour dire qu'il allait bien. Il voulait à tout prix régler les préparatifs du vol du collier de diamants ayant appartenu à l'impératrice Sisi et qui devait être exposé à Vienne.
« Lupin, dit Jigen. Reprenons demain et vas te reposer.
-L'exposition n'aura lieu que dans une semaine, dit Goemon. Ça peut très bien attendre demain. »
Lupin éternua à nouveau et se moucha. Bientôt, pensa Jigen, la pièce allait être envahie de mouchoir. Et tout ça, c'était de la faute de Fujiko. Jigen ne savait pas vraiment ce qu'il s'était passé. Tout ce qu'il savait, c'était qu'après avoir suivit Fujiko, Lupin était revenu trempé.
« Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée de la suivre. »
Lupin se moucha et jeta son mouchoir.
« Tu ne comprends rien à l'amour. »
Il n'y comprenait peut-être rien, mais en tout cas ce n'était pas lui qui était malade. On frappa à la porte et Fujiko apparut. Elle était habillée d'une robe bleue élégante, prête à passer la soirée dans un endroit luxueux.
« Lupin, dit-elle joyeusement. J'espère que tu es prêt pour le dîner que tu m'avais promis. »
Lupin éternua et Fujiko fronça les sourcils.
« J'arrive Fujiko. Laisse-moi me préparer et je te promets une soirée exceptionnelle. »
Il renifla bruyamment et Fujiko eut une grimace de dégoût.
« Tu sais quoi, dit-elle. Allons dîner un autre jour. Je dois y aller. »
Elle sortit aussi vite qu'elle était arrivée.
« On ne peut vraiment pas compter sur elle, dit Jigen. »
La seule réponse qu'il eut, fut Lupin entrain de se moucher.
******
Fujko prit le sac que le pharmacien lui donnait. Elle le remercia et sortit de la pharmacie pour se diriger vers la planque de Lupin. Elle se sentait coupable parce que c'était à cause d'elle s’il était malade.
Ils avaient fait équipe pour voler les pièces d'or d'un collectionneur dans une villa au bord de mer. Au moment de s'enfuir, Fujiko démarra un bateau à moteur, mais elle n'avait pas attendu Lupin qui était tombé à la mer et avait dû s'enfuir à la nage. Bien sûr, elle avait récupéré l'or pour elle toute seule, mais elle n'avait pas pensé aux conséquences que cela auraient sur lui. Comme à chaque fois, pensa-t-elle.
Elle arriva à la planque et ouvrit la porte. Jigen et Goemon étaient partis et les lumières étaient éteintes. Fujiko approcha du canapé et vit Lupin endormit. Elle s'agenouilla à côté de lui et lui caressa doucement les cheveux. Il avait l'air tellement innocent.
« Fujiko, dit-il encore endormi.
-Je t'ai acheté des médicaments.
-Je savais que tu reviendrais. »
Malgré tous les mauvais coups qu'elle lui faisait, il avait toujours confiance en elle. Tout comme elle avait une confiance aveugle en lui. Elle continua de lui caresser les cheveux jusqu'à ce qu'il s'endorme. Elle était toujours dans sa belle robe de soirée, mais cela n'avait pas d'importance. Elle décida de rester avec lui cette nuit. Après tout, elle pouvait bien faire ça pour lui.
Fin
5 notes · View notes
sulfrix-acid · 2 years
Text
Tumblr media
[Joshua]
La foi se perd. Les opinions s’effacent. La volonté s’annule. L’indifférence demeure.
Un joint entre ses doigts il transpire de secondes ignorées et maintenant invisibles. Assit sur le canapé en cuir du salon, il regarde son colocataire. Un regard vide, sans intérêt.
« - Tu crois que…
Je n’en sais rien. » En ignorant le questionnement de son ami, il tourne lentement sa tête en direction de la cuisine, comme pour indiquer un point de fuite commun.
« - J’ai fais les courses comme tu m’as dit Clyde.
Tu as acheté quoi ?
Des chips, deux bouteilles de whisky et un burger. »
Clyde est un fardeau en plus. Ce garçon demande beaucoup d’attention. Pour une personne si détachée du monde, c’est un problème. C’est un suicide de s’être mis avec lui dans cette appartement si lugubre.
« - Tu te fous de ma gueule ? Tu iras plus faire les courses, on a plus à boire que à manger. »
Son esprit part. Il est parti mais il sait qu’il reviendra à cette triste réalité qui est de vivre. Devoir bouger, devoir parler, devoir tout simplement. Il bascule sa tête en arrière comme opposition à toute interaction. Ses doigts parallèles, bien qu’ils soient légèrement relâchés, viennent se coller à ses lèvres. De la fumée s’échappe de celle-ci comme un nuage de vapeur industriel. Il ferme les yeux, Clyde pose le diamant sur le vinyle et le crépitement remplis la pièce. Puis la voix de Rowland S.Howard résonne dans son esprit comme une parole divine.
2 notes · View notes
Text
Mes longs-métrages préférés :
1-Toy story 2
2-Le monde de nemo
3-Vice versa
4-Les indestructibles
5- Harry potter
6-Shrek 2
8-Retour vers le futur
9-Pulp fiction
10-Fight club
11-Voyage de Chihiro
12-Dragon
13-Diamant sur canapé
14-Demoiselle de Rochefort
15-Le cerveau
16-La soupe au choux
17-Les temps modernes
18-Hercule
19-Monstre et compagnie
19-Wal-e
20-Cars
21-Luca
22-Spiderman 2
23-Coco
24-Lilo et Stich
25-Chateau dans le ciel
26-Ponyo
27- Totoro
28-Aladin
29-Le livre de la jungle
30- High-school musical
4 notes · View notes
bulles-de-bd · 2 years
Photo
Tumblr media
Léo Loden - T11 - Diamants Noirs sur Canapé
5 notes · View notes
capture-s-i · 2 months
Text
Tumblr media
Breakfast at Tiffany's / Diamants sur canapé (Blake Edwards, 1961)
0 notes
minashiro-mcl-etc · 4 months
Text
Time Princess: Lampe magique
Chapitre 1
1 – Esclave en fuite (Style simple + délicat)
A. Dans la foule B. Dans la ruelle
A. Me renseigner sur mes amis B. Donner une bonne leçon à l'esclavagiste
2 – Sans toit (Style: Léger + Festif)
A. Oui, rester avec tout le monde B. Non, compter sur moi-même
3 – Le riche Sinbad (Style: Chaud + Festif)
A. Hésiter B. Accepter Volontiers +Sinbad
A. Nous reverrons-nous? B. A propos de ce que je vous ai emprunter...
4 – Fête d'aventuriers (Style: Simple + Noble)
A. Désamorcer la situation +Chapur B. Se contenter de regarder
5 – La grotte du danger
A. Suivre ses instructions +Chapur B. Ne pas lui faire confiance
A. Le dur labeur des agriculteurs (non) B. Les mots fleuris des poètes (non) C. Les lances des guerriers
A. Lui donner la lampe ► Fin: Le fou enterré B. Refuser de lui donner la lampe
6 – Rencontre avec le génie
Prérequis: Refuser de lui donner la lampe à 1.5
A. Essayez de négocier +Lumos B. Faire semblant d'accepter
A. Lumos +Lumos B. Bleuet
7 – Se faufiler dans le palais (Style: Grandiose + Charmant)
A. Lui dire la vérité +Sinbad B. Ne rien dire
A. Continuer à marcher le long du couloir B. Vérifier le fond du jardin
8 – Les ennuis du Prince (Style: Délicat + Formel)
Prérequis: Lumos niveau 2
A. Le consoler B. L'encourager +Kahir
A. Demander l'aide de Kahir +Kahir B. Le confronter calmement +Chapur
A. L'alchimiste ► épisode 9 B. La Reine ► épisode 11
9 – L'alchimiste (Style élégant + Noble)
Prérequis 1: Sage au clair de lune – tenue Sage au clair de lune Prérequis 2: Kahir niveau 2 Prérequis 3: L'alchimiste à 1.8
A. Le magicien dérobe la lampe magique +Lumos B. Le Premier Ministre fasse du mal au Prince
A. Vous efforcer de retrouver votre poste. B. Faire vos preuves avec des résultats.
10 – Pierre Philosophale (Grandiose + Charmant)
Prérequis: Sinbad niveau 2
A. Accepter B. Refuser
A. Le haut est en bas, le bas est en haut. B. Le feu ôté à la terre polit le diamant brut.
11 – La fée des Oasis (Style: Grandiose + Elégant)
Prérequis 1: Kahir niveau 2 Prérequis 2: Chapur niveau 2 Prérequis 3: La Reine à 1.8
A. La nourriture soit copieuse. B. Il y ait un beau spectacle. +Kahir
A. Crier pour que les gardes le remarquent. B. Feindre la politesse et s'échapper +Chapur
12 – Le banquet (Style: Léger + Simple)
Prérequis: Oasis luxuriante – tenue Oasis luxuriante 1.10
A. S'excuser auprès de Lumos. +Lumos B. Se dépêcher de se rendre au palais.
A. Romantique. B. Trsiste. +Shéhérazade
13 – Une urgence royale (Style: Chaud + Noble)
Prérequis: Shéhérazade niveau 2
A. Prévenir Sinbad, avec tact +Sinbad B. Ne rien dire
A. Lumos +Lumos B. Kahir
14 – Mamie Fatima (Style: Simple + Formel)
Prérequis: Chapur niveau 3
A. Arrêter le propriétaire d'esclaves B. Demander à Kahir de sauver le garçon.
15 – La Reine-serpent (Style: léger + Simple)
A. Sauter vers Kahir B. Sauter vers Lumos +Lumos
16 – Un choix cornélien (Style: Délicat + Formel)
Prérequis 1: Lumos niveau 3 Prérequis 2: Kahir niveau 3
A. Aider Lumos B. Faire confiance à Kahir -Lumos
Chapitre 2
1 – Cérémonie d'investiture (Style: Grandiose + Elégant)
Prérequis 1: Phase Lunaire – tenue Phase lunaire 1.8 Prérequis 2: Shéhérazade niveau 3
A. Aller féliciter Kahir B. Rattraper Lumos +Lumos
►Rattraper Lumos
A. Ne te compare pas à Kahir B. Tu n'as pas l'air dans ton assiette +Lumos
►Aller féliciter Kahir
A. Le taquiner B. Lui souhaiter bonne chance +Kahir
2 – Un génie affaiblie (Style: Simple + Formel
Prérequis 1: Sinbad niveau 3
A. Suivre Chapur +Chapur B. Suivre le Premier Ministre
A. Promettre +Lumos B. Hésiter -Lumos
3 – Le voleur de bijoux (Style: Léger + Festif)
Prérequis: Chapur niveau 4
A. Près du canapé ► étape 4 B. Près de la table ronde
► Près de la table ronde
A. S'excuser ► étape 10 B. Attendre une réponse ►FIN: Avant la tempête
4 – Réparer la lampe (Style: Chaud + Festif)
Prérequis 1: Hymne du voyageur – tenue Hymne du voyageur Prérequis 2: Près du canapé à 2.3
A. Remettre la lampe magique ► Fin: Avant la tempête B. Résister obstinément
►Suivre Chapur à 2.2 Suite étape 5
►Suivre le Premier Ministre à 2.2 FIN: Avant la tempête
5 – Arslan (Style: Simple + Noble)
Prérequis 1: Lumos niveau 4 Prérequis 2: Suivre Chapur à 2.2 Prérequis 3: Résister obstinément à 2.4
A. Je hoche la tête en larmes ► Fin: Voyage dans le temps B. Je secoue la tête avec insistance
6 – Une histoire scellée (Style: Elégant + Noble)
Prérequis: Kahir niveau 4
A. Puis-je t'appeler «Arslan»? B. Puis-je encore t'appeler «Lumos»? +Lumos
7 – Une nuit dans le désert (Style: Chaud + Noble)
Prérequis: Shéhérazade niveau 5
A. Je dis oui ► Fin: Perdu dans un mirage B. Je dis non
8 – Magie Noire
Prérequis 1: Sinbad niveau 5 Prérequis 2: Je dis non à 2.7
A. L'ancien Roi l'avait sur lui +Chapur B. Je l'ai trouvée par hasard -Chapur
A. Vous refusez de voir la réalité (nécessite Chapur niveau 5) B. On ne peut pas changer l'histoire ► Fin: Nuit éternelle
9 – Faire un vœu (Style: Simple + Formel)
Prérequis 1: Vœu du destin – tenue Vœu du destin Prérequis 2: Kahir niveau 5 Prérequis 3: Vous refusez de voir la réalité à 2.8
A. Perdue (nécessite Sinbad niveau 6) B. Agitée ► Fin: Deuil et souvenirs
►Perdue
A. Je le ferai. B. Hésiter ► Fin: Deuil et souvenirs
►Je le ferai.
A. Lumos devienne humain et libre (nécessite Lumos niveau 5) ►Fin: Au-delà du sable et de la mer B. Les orphelins aient un foyer ► Fin: Rivaux amoureux
10 – Faire un voeu (Style: Simple + Formel)
Prérequis 1: Vieux souvenirs – tenue Voyage lointain (boutique de Parven) Prérequis 2: Kahir niveau 4 Prérequis 3: Choisir: Près de la table ronde + S'excuser à 2.3
A. Glacée jusqu'à la moëlle B. Furieuse +Kahir
►Suivre le Premier Ministre à 2.2 Suite étape 11
►Suivre Chapur à 2.2 FIN: Un royaume dans le Chaos
11 – Le secret de la reine (Style: Léger + Festif)
Prérequis 1: Shéhérazade niveau 5 Prérequis 2: Suivre le Premier Ministre à 2.2 Prérequis 3: Furieuse à 2.10
A. Exhorter la Reine à partir B. Encourager la Reine à rester +Shéhérazade
A. Se transformer en Premier Ministre B. Se transformer en Chapur
12 – Mettre fin à la rébellion (Style: Chaud + Festif)
Prérequis: Sinbad niveau 5
A. Se transformer en Gina +Kahir B. Continuer à se faire passe pour Chapur
13 – Illusions sur les sables mouvants (Style: Chaud + Noble)
Prérequis 1: Lumos niveau 5 Prérequis 2: Légende des abysses – Tenue légende des abysse
A. Un poème sur la page de titre. B. Une signature sur la dernière page.
A. Touchée, je hoche la tête. ►Fin: perdu dans un nuage B. Incertaine, je secoue la tête.
14 – Un pacte noir
Prérequis 1: Sinbad niveau 6 Prérequis 2: Shéhérazade niveau 6 Prérequis 3: Incertaine, je secoue la tête à 2.13
A. Le persuader -Chapur B. Le réprimander +Chapur
A. Raté complet. ►Fin: Les ténèbres éternelles B. Prince qui a négligé son devoir.
15 – Ce qui nous attend (Style: Délicat + Formel)
Prérequis 1: Lumos niveau 7 Prérequis 2: Sinbad niveau 7 Prérequis 3: Lever du Soleil – tenue Lever du soleil Prérequis 4: Prince qui a négligé son devoir à 2.14
►Encourager la Reine à rester à 2.11
A. Une vie paisible et les moyens de subvenir à leur besoins. ►Fin: Dame de la salle de la sagesse B. Vivre avec la personne qu'on aime. ►Fin: Un grand mariage
►Exhorter la reine à partir à 2.11 FIN: Monument à l'aube
1 note · View note
mokarosenoire · 7 months
Text
Chapitre 1
Le roi est mort, vive le roi
-Tu l’a déjà rencontré ?
-Rencontrer est un bien grand mot. Je l’ai salué lors de son 7ème anniversaire, ça fait presque vingt ans maintenant.
-C’est déjà beaucoup !
Comme à son habitude, Lucile de Bellavie est une vraie commère, surtout quand cela concerne la famille royale. Sans attendre la moindre réponse, Lucile se leva d’un bond pour observer la fenêtre. Sa longue chevelure doré, élégamment attachée, brillait autant que les reflets du soleil. Ses yeux, couleur diamant, fixait un point précis dans le paysage.
-Elle est encore allumée. Déclara t-elle dans un murmure.
Assise à la table du petit salon, Angela Dulion sirotait sa tasse de thé en lisant le journal. La jeune femme, aux cheveux corbeau, n’avait nullement l’air intéressée par ce qui se passait en dehors de la petite table dorée. Elle n’est évidement pas dupe aux agissement de son amie. Aujourd’hui le roi est souffrant, et la bougie annonçant son départ imminent est posée face à la fenêtre de la chambre royale. C’était également la raison de sa venue dans la résidence qui lui était réservé au palais. Si elle n’avait pas reçu le message du héraut, jamais elle ne ce serait déplacer. Tout au palais était luxueux, à tel point que même les nobles les plus riches paraissaient pauvre en comparaison. Que se soit les grands canapé en velours rouge, éparpiller de manière harmonieuse dans la grande salle. Les grands rideaux cramoisi, filé de rose doré à ses extrémités, entoure les grandes fenêtres creusés dans le mur recouvert d’acajou. Sans parler des nombreux fauteuils et chaises assortis aux canapés, ni toutes les décorations et reliures sur les murs. Toute cette luxure à outrance la faisait suffoquer.
Un petit gâteau en main, Angela en pris une bouchée quand Lucile poussa une exclamation.
-Le grand maître est sorti ! Hurla t-elle. Il s’approche de la bougie ! Ne me dis pas qu- Il l’a éteint !
Pendant le récit de la jeune femme, un brouhaha se faisait entendre dans toute la cour royale. Le silence retomba pendant presque une seconde entière. Ce délai dépassé, Lucile couru pour sortir de la demeure réservée aux Dulion aux palais royal, suivi d’un énorme tumulte.
Toujours assise à sa table, Angela fit un signe à l’un de ses servants.
-Madame ?
-Je crois me rappeler que certain d’entre vous ont des enfants. Distribuez le reste des gâteaux pour qu’ils puissent en profiter, s’il en reste gardez les pour vous.
-Bien madame.
Le silence reprit vite sa place dans le palais. Une fois son thé et son journal terminés, Angela se leva pour prendre une nouvelle fois la parole.
-Préparez mes affaires, nous retournons au manoir.
Les servants, présent dans la pièce, se recourbèrent tous en même temps, comme une chorégraphie bien exécutée, avant de se mettre en action.
Contrairement à d’autres nobles, Angela Dulion n’avait pas pour habitude de vivre au palais royale, et ce malgré le lien d’amitié qui uni leurs deux familles.
D’après les sources, lors de la guerre qui a opposé les royaumes de Llyne et Onryx il y a des centaines d’années, le maître de la maison Dulion aurait sauvé son roi au prix de l’un de ses bras.
Dans la calèche menant au manoir, Angela ne pouvait s’empêcher de repenser à la façon dont les yeux de son père brillaient quand il lui racontait l’histoire de ce fameux sauvetage. D’après lui, le roi et son ancêtre avait dû s’abriter dans un village ravagé d'une précédente bataille. Un groupe d’une centaine de soldats d’Onryx, recherchant les deux hommes, entra dans le village. Sans attendre l’ancêtre Dulion prit le roi pour le mettre à l’abri. Grâce à l’ingéniosité et à la force aussi bien physique que magique du maître de la famille, il réussi à mettre ses assaillants en déroute.
Un léger rire raisonna dans la calèche. Quand Angela était petite, elle adorait entendre son père lui raconter cette histoire, mais du haut de ses 24 ans, elle sait depuis longtemps qu’il enjolivait son récit. Pourtant, malgré ces nombreux ajouts, l’histoire gardait le plus important. Le Duc Dulion dû faire barrage de son corps pour empêcher les soldats d’Onryx d’atteindre le roi. Ces derniers étaient plus une dizaine qu’une centaine cependant. Son dévouement lui a valu la confiance et l’amitié de la famille royale, et ce même plus d’un siècle après la fin de la guerre.
Angela posa sa tête sur le rebord de la fenêtre. Le paysage verdoyant, le confort des sièges et la couleur semblable aux bleuets des rideaux virevoltant au vent. Toutes ces familiarités firent divaguer son esprit au jour de sa «rencontre» avec le prince, ou le roi, si on tient compte des récents évènements. Contrairement à beaucoup de nobles dames, elle n’a jamais aimé aller à ces grands bals luxueux. Lors de ces soirées, il fallait toujours faire attention à la façon de se comporter, de se tenir ou de parler. Tous ces faux-semblants la fatigue au plus haut point. Mais en ces temps, Angela n’était pas consciente de toute la fourberie et la cruauté cachées dans la haute société. Alors ce jour-là, elle était plus qu’heureuse de pouvoir suivre son père lors de l’un de ces grands bals au palais. Sur la route, la petite Dulion ne pouvait s’empêcher de contemplé la grande calèche blanche et bleu, au couleur de sa famille. La grande peinture au plafond représentant un grand lion d’argent, les armoiries de leur maison, semblait veiller sur eux. La joie qu’elle ressentait sur le chemin l’empêchait de rester en place, surtout en voyant les grandes portes du palais royal de sa petite fenêtre. Lors de l’anniversaire d’un membre de la famille royale, il est commun de voir les nobles se bousculer avec leurs enfants pour qu’ils puissent se rapprocher de l’héritier. Évidemment le père d’Angela avait fait de même. Quand est arrivé le tour des Dulion, la petite Angela leva les yeux vers le prince, il était droit comme un I. Son expression était comme sa position, tirée à quatre épingles. Pour autant, il était loin d’être aussi à l’aise qu’il voulait bien le faire croire, surtout au vu de ses regards furtifs à l’égard de son père. Bien sûr, la petite Angela n’avait pas remarqué ces petits détails. Le comportement du jeune homme lui était étrange, toutes les personnes qu’elle connaissait avait un grand sourire sur le visage. Elle n’avait jamais vu une personne aussi froide et distante. Elle n’était pas habituée à ça.
Le prince...Le roi vient de perdre l'une des personnes à qui il tenait le plus, mais il lui est interdit de faire son deuil. Partir sans présenter ses respects au nouveau roi est mal vu, voire blasphématoire. Mais comment Angela pouvait décemment courir retrouver le prince dans le but d’être la première à obtenir ses faveurs, et réussir à se regarder dans la glace ? Sans la relation entre leurs deux familles, Angela ne serait pas aussi sereine après cette transgression. Le couronnement officiel aura lieu au milieu du mois prochain au plus tard, elle attendra ce jour pour lui présenter ses respects. Beaucoup lui en tiendront sûrement rigueur, le nouveau roi également. Pour autant cela ne dérangeait pas Angela. Ils ne s’étaient parlés qu’une seule fois il y a presque vingt ans, les ressentiments qu'il pouvait bien avoir à son égard était le dernier de ses soucis. Elle préférait mille fois être la risée du palais, de la noblesse même, si ça permettait au roi de faire son deuil.
La petite fenêtre à l’avant de la calèche s’ouvrit légèrement.
-Nous somme bientôt arrivés madame.
Aussi rapidement qu’elle s’était ouverte, la minuscule fenêtre se referma d’un seul coup. Un soupire s’éleva dans la calèche. Bientôt Angela sera de retour dans son manoir, bientôt elle pourra se reposer sans que personne ne l’observe ou ne la juge.
Arrivée à la résidence des Dulion, la calèche s’arrêtait au pied de l’immense escalier menant à la porte d’entrée. De la fenêtre, on pouvait voir un servant descendre les longues marches de marbre blancs au pas de course, tout ça dans le seul but d’ouvrir la porte de la calèche le plus vite possible.
Une fois sortie, Angela se mit à fixer l’escalier du regard. Elle détestait plus que tout monter ou descendre des marches avec ses grands talons et ses lourdes robes. Avec beaucoup d’effort, Angela réussi à atteindre la porte d’entrée sans louper une seule marche. Comme pour la calèche, c’est un servant qui ouvrit la grande porte d’argent du manoir. Une ligne de servants était posté de chaque côté de la porte, en voyant que le maître des lieux était de retour, tous la saluèrent. Le hall d’entrée était rempli de personnes, une dizaine par ligne, pourtant pas une once de chaleur n’en ressortait.
-Bon retour chez vous madame.
William Dumont, le majordome de la famille Dulion depuis une vingtaine d’années, était posté au centre des deux escaliers de marbres blancs et bleu nuit menant à l’étage. Angela ne pu retenir un sourire en le voyant. Les grandes fenêtres de l’étage laissaient la lumière tomber sur les cheveux grisonnant et impeccablement plaqués de l’homme.
Il y a dix-sept ans, quand la maladie emporta les parents d’Angela, c’est monsieur Dumont qui s’occupa de la petite Dulion. Et c’est encore le cas aujourd’hui. Il était sévère mais juste, et même s’il ne l’avouera jamais, il y a bon nombre de bêtises qu’il a laissé passer.
Angela venait de faire une chose indigne de la noblesse. Elle le savait, Monsieur Dumont était furieux.
-Je vais dans mon bureau.
-Le thé sera bientôt près. Dit-il d’un ton réprobateur.
Maintenant elle en était plus que sûre...Elle allait se faire taper sur les doigts.
En montant les grandes marches en se tenant à la rambarde. Son regard serpentait ça et là, regardant les petits fauteuils et les rideaux d’une myriade de bleu, les ornements, les rebords de meubles et certaines décorations murales étaient faite d’argent. Sans parler des armoiries familial centré sur certaine parcelle mur. Toute ces familiarité la rassurait, malgré la froideur des lieux. Après des jours au palais royal à attendre la mort du roi, elle était enfin chez elle.
Assise dans la grande pièce remplie de livres, Angela regardait les montagnes de dossiers qui s’étaient amassées sur son bureau depuis son absence. Tous les dossiers avaient été triés du plus au moins urgents. La famille Dulion était connue pour ses jouets et ses bonbons pour enfants. Angela prit l’un des dossiers urgents en mains, et commença à le feuilleter. La grande cheminée derrière elle était encore éteinte en ce début d’octobre, et les grandes fenêtres positionnées à l’ouest illuminaient la pièce d’une lueur orangée. Quelques dossier pris en charge plus tard, Monsieur Dumont entra dans la pièce, un chariot de thé entre les main. L’orange avait fait place à un bleu glacé qui refroidissait la pièce.
-Tu as fait du bon travail pendant mon absence. Comme d’habitude.
-Merci madame.
Son ton réprobateur n’avait pas disparu malgré le temps.
-Tourner autour du pot ne te ressemble pas.
Monsieur Dumont leva enfin ses yeux d’argent vers Angela, la fixant d’un air renfrogné.
-Le roi est mort.
-J’ai entendu ça.
Toujours concentré sur le dossier qu’elle avait en main, elle n’avait pas l’air de prendre la mort du roi au sérieux.
-Angela ! La voix grave de l’homme porta dans toute la pièce.
Tous les servants savaient que Monsieur Dumont était proche d’Angela, mais il était rare de les entendre parler de manière si informelle.
-Tu es folle ?! Partir sans lui présenter le moindre respect, même la famille royale ne s’autoriserait pas une telle chose !
-Heureusement que je ne suis pas un membre de la famille royale alors.
-Vos ancêtres n’ont pas protégé vos liens avec la famille royale pour que vous détruisiez tout par égoïsme !
-Espérons que ce ne soit pas le cas.
La désinvolture d’Angela avait pour habitude d’exaspérer Monsieur Dumont. Elle le savait bien, et c’est pour cette raison qu’elle agissait toujours de la sorte quand il lui faisait ce genre de leçon.
-Tu es une vraie tête de mule.
-J’irais lui présenter mes respects le jour du couronnement.
-Ça ne changera rien à ce que tu as fait.
-Je ne serais pas la seule à lui présenter mes respects ce jour-là, malgré ma petite erreur, le prince ne m’en tiendra pas rigueur.
-Le roi.
Angela leva à son tour ses yeux indigo vers son majordome.
-Pardon ?
-Le roi est mort, vive le roi.
La jeune femme ne dû pas réfléchir plus longtemps avant de comprendre à quoi il faisait référence. Un long silence régna dans la grande pièce. Monsieur Dumont servie une tasse de thé à l’odeur de rose à Angela.
-C’est noble de votre part, mais une seule personne ne peut changer les choses.
Angela fixa la tasse posée sur son bureau. Même en colère, Monsieur Dumont lui avait servi son thé préféré.
-Il faut finir le travail avant de recevoir l’invitation pour le couronnement.
Reprenant son masque de majordome, Monsieur Dumont salua sa maîtresse avant de sortir du bureau. Concentrée sur ses gros dossiers, Angela était loin de savoir ce qui allait arriver lors du couronnement. Lors de sa première rencontre avec le prince, elle n’était qu’une enfant. Aujourd’hui Angela est une adulte, bien différente de ce à quoi le prince avait l’habitude. Et très bientôt, Angela se rendra compte que le prince est loin de n'être que l'homme de pouvoir qu'il était.
0 notes
lesombresdeschoses · 1 year
Text
KISS YOU IN THE RAIN
Une pluie diluvienne abreuvent les rues de Londres, depuis plusieurs heures. Sans répit. Les lumières nocturnes jouent avec les multiples gouttes d’eau, leur donnant l’aspect d’une nuée de petits diamants, rubis et saphirs perlant l’atmosphère du ciel au sol. Law sort du taxi, puis court vers une rangée de maisons mitoyennes en briques rouges. Elle sonne à la porte. Une voix féminine se fait entendre :
— J’ouvre, chéri ! lance la jeune femme, joignant le geste à la parole.
Une belle plante d’un mètre soixante-quinze, à demi-nue, des cheveux roux ondulés tombant sur les épaules, se tient devant l’ex-flic.
— C’est pour toi, je pense, mon chou, crie-t-elle en scrutant Mortensen, des pieds à la tête. Trempée, tel un chat de gouttière aspergé par une voiture passant dans une flaque d’eau. Mac apparaît aux côté de la nymphette.
— En effet, c’est pour moi, Candice.
— Bon, bah, je vous laisse. Soyez pas trop long, on n’a pas fini notre séance de massage, lance la belle, lui faisant un clin d’œil lascif.
Law entre en le poussant.
— Et tu restes planté là comme un con ! Tu veux que je me noie ? Aboie-t-elle, passablement agacée : toujours à sortir avec des strip-teaseuses qui me ressemblent, t’as jamais pensé à consulter ?...
Elle se rend dans la cuisine. L’inspecteur la suit, habitué à ses piques et sa mauvaise humeur :
— Un whisky ? demande-t-il.
— Volontiers, très cher.
— Pour que tu passes à l’improviste comme ça, c’est que la fin du monde est proche. Qu’est-ce qu’il y a de si urgent ?
Law sort l’agenda rouge de l’intérieur de sa veste, le pose sur la table, puis en profite pour se déshabiller.
— Je laisse le jean, on va pas refaire la même connerie, lance-t-elle, impassible. T’as un T-shirt à me prêter ?
— Attends.
Mac file dans sa chambre. Il revient avec une chemise kaki.
— T’as ce genre de trucs dans ta garde robe ? Ah, bah merde, qui l’eut cru ? s’esclaffe-t-elle, un brin ironique.
— Accouche, maintenant.
— Oui, c’est vrai, tu as un massage spécial qui t’attend, elle prend une gorgée de whisky : alors, voilà. Cet agenda rouge, c’est celui de ma grand-mère.
— Quoi ? s’exclame l’inspecteur, abasourdi, pensant que l’enquêtrice lui parlerait de l’affaire.
— Oh là, attends la suite ! Y’a pas que Nana qu’a écrit dedans ! Et là, tu vois, mon imagination n’arrive plus à suivre. Je ne percute pas comment plusieurs personnes peuvent tenir le même journal intime.
Mac se frotte le menton nerveusement. Law reprend le carnet pour le tendre à son collègue :
— J’ai tout lu, à toi maintenant. Je pense qu’un œil neuf pourra jeter la lumière sur cette foutue énigme. On sait que Siobhan à été reliée à notre affaire par BlackHole. Et je trouve ce bouquin dans son appartement. J’ai l’impression que le gars s’approprie cette disparition pour qu’on n’arrive pas à trouver comment il fait. Une vingtaine de victimes et seulement deux cadavres ! Deux morts naturelles. Votre légiste à du boulot en dehors des miettes que nous laisse de BlackHole, au moins ?
— Ne t’inquiète pas pour lui. Il y a assez de crimes à Londres, pour combler ses nuits, lance Mac, pensif. Tu veux que je le lise, ensuite que je te dise ce que j’en pense par rapport à l’enquête, c’est ça ?
— Exact. Je savais que tu avais un cerveau sous ces beaux cheveux blonds !
Law enlève la chemise, puis remet ses fringues mouillées.
— Tu pouvais garder la chemise.
— Pour qu’elle finisse trempée ? Inutile, il pleut toujours autant, fait-elle en regardant par la fenêtre. Je vais appeler un taxi. Un dernier pour la route ?
La détective tend son verre. Mac lui verse une bonne dose et fait de même pour lui. L’attente n’est pas longue, Lawrina prend congé de son coéquipier d’infortune, sans demander son reste. Mac referme lentement la porte.
— Ça y est, elle est partie ? s’écrie Candice de la chambre à coucher.
L’inspecteur retourne dans la cuisine récupérer l’agenda rouge, puis s’installe dans le canapé du salon.
0 notes
nebuleuse-cosmic · 3 years
Text
Tumblr media
Breakfast at Tiffany’s - 1961
The right response ✨
129 notes · View notes
mm-doom · 4 years
Photo
Tumblr media
1 note · View note
Text
Breakfast at Tiffany Aching
Tumblr media
212 notes · View notes
boireuncoup · 5 years
Photo
Tumblr media
58 notes · View notes