cumva am ajuns de la true crime la a plange la problemele de fertilitate ale lui marilu đ
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Grisha a maudit Keith
Non, je ne pense pas au pĂšre d'Eren comme un sorcier pratiquant du vaudou pour ceux qui poserait la question. đ
J'adore Grisha. Il a toujours Ă©tĂ© mon personnage prĂ©fĂ©rĂ© dans SnK et ce, depuis 2014 (oui, ça remonte), et je suis tellement heureuse de ce qu'Isayama a fait de lui ! J'adore le fait qu'il soit l'un des personnages les plus gentils (mĂȘme s'il n'est pas vraiment doux) du manga en plus d'ĂȘtre, comme beaucoup d'autres, tellement humain et bien Ă©crit !
Néanmoins, je considÚre aussi, justement grùce à ce réalisme et cette humanité, qu'il a vraiment fait un numéro sur le pauvre Keith, l'affligeant inutilement d'un fardeau qu'il n'avait pas besoin de porter.
Ainsi, dans le chapitre 71, ce qui attire surtout mon regard, c'est la façon dont Keith dit ''lui aussi''. Car, en voulant bien faire et l'encourager, je pense fermement que Grisha a effectivement maudit Keith, ce jour-là dans le bar, en lui faisant croire que seules les personne spéciales pouvaient changer les choses.
Que ce soit ce qu'il ait voulu dire ou non, ce fait, s'il est réel, ne changera pas. Et, toujours si c'est vrai, alors je trouve vraiment bien qu'Isayama montre que, bien que Grisha a finit par prendre conscience de ses erreurs et que la trahison de Siëg en soit le déclencheur, il lui a fallut du temps pour abandonner ses idées de ''spécial'' et ''d'élu''. Carla et sa simplicité y étant potentiellement pour quelque chose.
En fait, entre le Grisha du bar, quelques jours aprÚs sa déportation, et le Grisha de Liberio, quelques jours avant sa déportation, la seule différence que je vois dans leur vision du monde (outre la vie en lambeau et les souvenirs défaillants du premier suite à l'injection), c'est que les personnes spéciales ne se reconnaissent pas à leur sang mais à leur personnalité. Et abandonner ses idées lui a prit beaucoup plus de temps et d'introspection que seulement les paroles de Kruger.
Non vraiment⊠je t'adore mais, Grisha, qu'est-ce que tu fous, là ?
Enfin, je dis leurs personnalitĂ©s mais je pense que c'est plus une combinaison de leur volontĂ© de changer les choses, leurs façons d'ĂȘtre et leurs talents individuels qui priment chez Grisha. Et Keith sans cesse tĂ©moin des commentaires cruels des anti-SC avait sans doute besoin de croire en quelque chose d'un minimum positif auquel il pourrait se raccrocher. Malheureusement, cela s'est avĂ©rĂ© toxique, dĂ©moralisateur et l'aura finalement piĂ©gĂ© dans la dĂ©pression pendant des annĂ©es !
Grisha a peut-ĂȘtre des problĂšmes avec ses amis (Grice, KeithâŠ) mais j'ai l'impression que eux aussi ont des problĂšmes avec lui. Et dans les deux cas, c'est plutĂŽt justifier.
Grice n'avait pas à faire peser toute la révolution sur les épaules de Grisha simplement car il était leur leader.
Keith n'avait pas Ă laisser la jalousie le pousser Ă abandonner l'un de ses amis sans lui faire face ou ĂȘtre honnĂȘte Ă ce sujet.
Mais Grisha n'avait pas non plus a nĂ©gliger et objectiver son entourage pour son but pas plus que de mettre des idĂ©es hiĂ©rarchique de valeur personnelle basĂ©e sur les ''Ă©lus'' de ce monde dans la tĂȘte de Keith.
Ai-je mentionner que j'adore Eren (Jaeger, Kruger étant bien plus difficile pour moi), Grisha (mon préféré) et Keith (l'un de mon top 10) ? Parce qu'ils sont géniaux à voir et à décortiquer !
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verseâI find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poĂ©tesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
âą Sabine Amable VoĂŻart, known as Amable Tastu (1798-1885)
DâoĂč vient que lâĂąme humaine est ainsi disposĂ©e,
Que jamais ses regards troublés et mécontens
Nâont pu sâaccoutumer Ă la marche du temps?
Sur lâĂ©ternel chemin, chaque borne posĂ©e
Nous attriste. DâoĂč vient? je ne sais; mais toujours
Le vertige nous prend Ă voir couler nos jours:Â
Si vous reparcourez lâenclos oĂč votre enfance
Avez-vous souvenir, Ă lâĂąge oĂč tout enchante,
Dâune voix qui vous plut, voix timide et touchante,
[âŠ] Que, plus tard, cette voix rĂ©sonne Ă votre oreille,
De vos rĂȘves déçus vous raillez la merveille,
Vous prenant en pitiĂ© dâavoir si mal jugĂ©âŠ
Elle est la mĂȘme encor; mais vous avez changĂ©!
âą Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comĂšte de 1861)
[âŠ] Ah ! quand tu reviendras, peut-ĂȘtre de la terre
L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour
Si son Ćil ne doit pas contempler ton retour,
Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire,
Dans l'espace infini poursuivant ton chemin,
Du moins jette au passage, astre errant et rapide,
Un regard de pitié sur le théùtre vide
De tant de maux soufferts et du labeur humain.
âą Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle,
Que berça la chanson du vent, subtil orchestre,
Ivre des noirs myrtils dont la forĂȘt s'emperle,
GrisĂ© d'odeur de source et d'haleine sylvestre. [âŠ]
Et d'abord trĂšs souvent j'Ă©touffe dans moi-mĂȘme,
Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin,
Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime,
Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
âą Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
Jâai vu comme lâon voit quelquefois dans un rĂȘve,
Une immense CitĂ© prĂšs dâune immense grĂšve,
Avec des dĂŽmes dâor et des palais gĂ©ants,
Des temples incrustĂ©s de mille diamants [âŠ]
Plus tard jâai repassĂ© devant cette citĂ©,
Et voulant la revoir, je mây suis arrĂȘtĂ©e;
Mais à peine mes pas ont foulé sa poussiÚre
Que devant mes regards elle sâest tout entiĂšre
ĂcroulĂ©eâet nâest plus quâune ruine immense
Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
âą Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié
Du monde, ĂŽ camarade Ă©ternelle, ĂŽ moi-mĂȘme !
Femme, femme, qui donc te dira que je tâaime
Dâun cĆur si gros dâamour et si lourd de pitiĂ© ?
2. Jâaime, en quelque lieu que ce soit,
Lâheure oĂč lâexistence, pour moi,
Redevient nocturne et muette.
Lâheure sans lois et sans humains,
Sans hiers et sans lendemains,
OĂč je ne suis plus que poĂšte.
La seule heure dâesprit total,
Celle oĂč, jusquâoublier mon mal
Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-mĂȘme, vraie,
Car je ne fus ce que suis,
â PassionnĂ©ment â que les nuits.
âą Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cĆur profond sur qui les cieux reposent,
Nul nâaura comme moi si chaudement aimĂ©
La lumiĂšre des jours et la douceur des choses,
Lâeau luisante et la terre oĂč la vie a germĂ©.
La forĂȘt, les Ă©tangs et les plaines fĂ©condes
Ont plus touché mes yeux que les regards humains,
Je me suis appuyée à la beauté du monde
Et jâai tenu lâodeur des saisons dans mes mains.
⹠Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans lâazur de lâavril et dans lâair de lâautomne,
Les arbres ont un charme inquiet et mouvant.
Le peuplier se ploie et se tord sous le vent,
Pareil aux corps de femme oĂč le dĂ©sir frissonne.
[âŠ] VĂȘtu de clair de lune et de reflets dâargent,
Le bouleau virginal Ă lâivoire changeant
Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines.
Les tilleuls ont lâodeur des Ăąpres cheveux bruns,
Et des acacias aux verdures lointaines
Tombe divinement la neige des parfums.
âą Valentine Penrose (1898-1978)
Notre PĂšre qui ĂȘtes aux cieux
des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues,
[âŠ] que votre nom soit sanctifiĂ© !
O Brume dâor dans les vergers,
que votre volonté soit faite !
Sur la Terre comme au Ciel ;
sur la terre élançant ses arbres au soleil,
sur les labours luisants chevauchés de noyers,
sur le sol des jardins de chaleur tout vrillĂ©s [âŠ].
Donnez-nous aujourdâhui notre Pain quotidien.
Dans la fraĂźche cuisine oĂč bourdonne une guĂȘpe,
oĂč les fourmis montent leur noir petit chemin [âŠ]
Et pardonnez-nous nos offenses⊠[âŠ]
âą Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure
Et sur mon cĆur poids de cent heures
Je tâenlacerai, tu tâen lasseras
Ătonnamment monotone et lasse,
Est ton ùme en mon automne, hélas !
⹠Andrée Chedid (1920-2011)
Ăchappant Ă l'enclume du temps
L'Univers sĂšme ses formes
VĂ©hicule ses songes
S'invente des tumultes
[âŠ] EnserrĂ©e dans son globe
Empoignant son noyau
La Terre emporte l'histoire
Vers son immense dérive.
âą Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ă rompre les amarres
Partir partir
Je ne suis pas de ceux qui restent
La maison le jardin tant aimés
Ne sont jamais derriĂšre mais devant
Dans la splendide brume
Inconnue
2. Lorsque la mort viendra
Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui
Un grand soir droit laiteux et immobile
Et surtout je voudrais
Que tout se tienne bien tranquille
Pour que j'entende
Une derniĂšre fois respirer cette terre
Pendant que doucement s'Ă©carteront de moi
Les mains aimées
Qui m'attachent au monde
âą Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble
c'est le nom
du peuplier blanc : luisance furtive.
Ăclair des feuilles
leur vie scintille
instant aprĂšs instant
elles chuchotent
que nous avons aussi des moments miroitants
minuscules, Ă©tincelantes traces de nous sur le monde.
2. Je suis lâencolure dâun pays vĂȘtu de toile et dâeau, longtemps tĂ©nĂ©breux, maintenant Ă©talĂ© sur la nuit,
croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille,
et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[âŠ] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nĂ©cessaire au violon, lâautour-de-moi facilitant mĂ©moire?
⹠HélÚne Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes
lumineuses d'une feuille
venue jusqu'Ă la branche
pour remuer avec le souffle
danse et boit
l'eau qui la sauve
au matin quand recommence
son chemin vers le soir
et je marche aussi
d'un pas qui repose dans l'infini
j'Ă©coute le monde qui bruit
Ă travers les arbres seuls
comme des ĂȘtres occupĂ©s
Ă devenir leur forme singuliĂšre
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- A-Aiden, poti ieÈi sÄ mÄ schimb?
- PÄpuÈÄ, azi nu scapi de mine.
S-a apropiat , m-a luat de Ćolduri Ći a Ăźnceput sÄ mÄ sÄrute sÄlbatic, Ăźntr-un fel mÄ simÈeam mai bine ca niciodatÄ dar, stiam ce voia sÄ facÄ Èi acum chiar nu mai aveam cum sÄ scap. Èi-a strecurat mĂąinile Ăźn pÄrul meu Ći mi-a desfÄcut coada astfel ĂźncĂąt sÄ-mi cadÄ pÄrul pe spate.
A Ăźnceput sÄ-Ći desfacÄ nasturii la cÄmaÈÄ, Ăźi puteam simÈi parfumul care-mi fermeca mintea, Ăźn cĂąteva minute era decat in boxeri Ăźn faÈa mea.
- Ăn genunchi!
- Aiden, te rog nu vreau sÄ fac asta.
- PÄpuÈÄ, dacÄ mÄ asculÈi o sa fiu drÄguÈ cu tine.
M-am pus Ăźn genunchi Ăźn faÈa lui Ći mi-a fÄcut semn sÄi dau boxeri jos, era atĂąt de mare Ći ĂźntÄritÄ, chiar nu aveam chef sÄ fac asta, dar cine Ètie ce se ĂźntĂąmpla dacÄ nu-l ascultam.
- Ia-l Ăźn mĂąini Èi fÄ miĆcÄri de jos Ăźn sus!
Am pus mĂąna pe el..am Ăźnceput sa fac miĆcÄrile de du-te vino, se simÈea foarte ciudat. Mi-a fÄcut semn sÄ mÄ opresc, mi-a luat oĆuviĆŁÄ din pÄr mi-a rotit-o pe un deget.
- Ia-l Ăźn gura dar nu musca!
L-am apropiat de buzele mele Ći-l sug. Era prea mare pentru gura mea,dar lui nu-ipasa, se miĆca Ăźncet apoi din ce Ăźn ce mai repede, era foarte excitat, Ći-a lÄsat capul pe spate.. mi-a strĂąns Ći mai tare pÄrul Ăźn mĂąini.
- ahh....de cĂąnd aÈteptam momentul asta.
Jur!!..fata asta are o gura de aur Ći corp, mama natura a lÄsat-o cu tot ce-i mai bun, Ăźnainte sÄ-mi dau drumul i-am Ăźmpins gura Ći mai tare Ăźn bÄrbaÈia mea!
La sfarsit, el mi-a Ăźmpins gura Ći mai tare Ăźn bÄrbaÈia lui astfel ĂźncĂąt sÄ mÄ Ăźnec cu ea, simÈeam cum un lichid cald curge pe gĂątul meu Ăźn jos, cĂąnd Ći-o scoate din gura, un lichid vĂąscos, alb, se prelinge pe sĂąnii mei ĂźntÄriÈi, coborĂąnd pe abdomen Èi ajungĂąnd la feminitate.
- Inghite pÄpuÈa, stiu cÄ Èi-a plÄcut, ah de-abia aÈtept sÄ intru Ăźn tine.
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Oliver: The Polytechnique ball thinks big!
Napoléon V: I suggested the Garnier Opera to the school president. You've got to have a bit of fun!
Oliver: How did your honeymoon go?
Napoléon V: Very well, thank you. It was strange to be cut off from the world, away from all the hustle and bustle of Paris.
Oliver: Good! You needed a rest. By the way, I thought it would please Hortense to have an estate in Francesim, so that we could visit you from time to time.
Napoléon V: That's a good idea, I like knowing that my twin sister won't be too far away from us.
Oliver: Of course, don't worry, I'll look after her⊠That is, if you agree, officially
Napoléon V: Officially, so that's it?
Oliver: Yes, I've been ready for several months now. I'm sorry again for all the trouble I've caused you, it wasn'tâŠ
Napoléon V: Let's not talk about it any more. It's all settled. I know that Hortense will be happy with you, surely ⊠more than with me.
Oliver: You were born to take different paths. At this time in your lives, the distance is natural. However, I believe I can echo Hortense's sentiments that she loves you dearly, no matter what and despite everything that has happened.
Napoléon V: Thank you, Oliver. I'm counting on you to look after her.
â Le Cabinet Noir | Paris, 17 Messidor An 230
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NapolĂ©on V and his entourage went to the Grand Bal de l'X, organised by the Ăcole Polytechnique to celebrate the end of their year of study. The ball took place at the OpĂ©ra Garnier, and featured a number of performances including dances, fencing, a choir and many other distinguished ceremonies. It's a not-to-be-missed event for young students. During the evening, Oliver approached his friend NapolĂ©on V to officially ask for his sister Hortense's hand in marriage. The Emperor agreed to make the engagement official.
(Thanks to @theroyalthornoliachronicles and @funkyllama for the sims deco and accessories! Oliver is a character belonging to @officalroyalsofpierreland)
â Traduction française
NapolĂ©on V et ses proches se rendent au grand bal de l'X, organisĂ© par l'Ă©cole Polytechnique pour fĂȘter la fin d'annĂ©e d'Ă©tude. Le bal se dĂ©roule Ă l'opĂ©ra Garnier, et donne lieu Ă de nombreux spectacles comme des danses, des combats d'escrimes, une chorale, et bien d'autres cĂ©rĂ©monies distinguĂ©es. C'est le rendez-vous immanquable des jeunes Ă©tudiants. Durant la soirĂ©e, Oliver approche son ami NapolĂ©on V pour lui demander officiellement la main d'Hortense, sa soeur. L'Empereur accepte d'officialiser les fiançailles.
Oliver : Le bal de Polytechnique voit les choses en grand !
NapolĂ©on V : Jâai proposĂ© lâopĂ©ra Garnier au prĂ©sident de lâĂ©cole. Il faut bien sâamuser un peu !
Oliver : Et ta lune de miel alors, ça sâest bien passĂ© ?
NapolĂ©on V : TrĂšs bien, merci. CâĂ©tait Ă©trange dâĂȘtre coupĂ©s du monde, loin de toute lâagitation parisienne.
Oliver : Tant mieux! Tu avais besoin de repos. Ă propos, jâai pensĂ© que cela ferait plaisir Ă Hortense dâavoir un domaine en Francesim, pour que lâon puisse vous rendre visite de temps en temps.
NapolĂ©on V : Câest une bonne idĂ©e, jâaime savoir que ma jumelle ne sera pas trop Ă©loignĂ©e de nous.
Oliver : Bien sĂ»r, ne tâen fais pas, je prendrai soin dâelle⊠Enfin, si tu y consens, officiellement
Napoléon V : Officiellement, alors ça y est ?
Oliver : Oui, cela fait plusieurs mois que je suis prĂȘt. Encore dĂ©solĂ© pour tous les ennuis que jâai pu tâattirer, ce nâĂ©tait pasâŠ
NapolĂ©on V : Nâen parlons plus. Câest rĂ©glĂ©. Je sais que Hortense sera heureuse avec toi, sĂ»rement ⊠plus quâavec moi
Oliver : Vous ĂȘtes nĂ©s pour prendre des chemins diffĂ©rents. Ă ce moment de votre vie, la distance est naturelle, mais je crois pouvoir me faire l'Ă©cho des sentiments d'Hortense qui t'aime tendrement, quoi qu'il arrive et en dĂ©pit de tout ce qui s'est passĂ©.
Napoléon V : Merci Oliver. Je compte sur toi, pour veiller sur elle.
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte Ă 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensĂ©s signer un contrat pour un appartement ensemble. Ăa m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", Ă quoi il avait rĂ©pondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrĂȘterai pas et que j'appĂšlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protĂ©ger sa fiertĂ©... Le seul truc qui aurait pu m'arrĂȘter c'est le fait que j'avais dĂ©jĂ pris ma dose de mĂ©latonine. Bref, je me retrouve Ă sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'Ă©tais plus en colĂšre contre moi-mĂȘme que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est Ă l'intĂ©rieur de moi, c'est mon anxiĂ©tĂ© sociale et la façon dont elle me paralyse, me gĂąche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ăa a commencĂ© par une soirĂ©e Monopoly avec ses soeurs. Ăa rend la dispute presque drĂŽle. Ă chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysĂ©e par l'angoisse, et le fait de parler suĂ©dois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'ĂȘtre silencieuse. Je me force Ă parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer Ă nouveau. Bref, hier ça avait malgrĂ© tout bien commencĂ©, mĂȘme si j'Ă©tais fatiguĂ©e aprĂšs une journĂ©e de boulot. Ăa a mal tournĂ© quand elles ont mis de la techno, montĂ© le son et se sont mises Ă danser autour du Monopoly. LĂ mon corps tout entier s'est paralysĂ© et j'ai fixĂ© le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblĂ© ĂȘtre une Ă©ternitĂ©. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a Ă peine adressĂ© la parole et la paranoia a commencĂ© Ă faire son petit bonhomme de chemin dans ma tĂȘte. Je pouvais rien dire parce que sa soeur Ă©tait dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais Ă©tĂ© dĂ©sagrĂ©able avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intĂ©grĂ©e.
"L'intĂ©gration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivĂ©e en SuĂšde. J'ai essayĂ© de m'intĂ©grer dans ma coloc, au boulot, Ă l'universitĂ©, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suĂ©dois Ă cĂŽtĂ© des Ă©tudes et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarchĂ© et je dis pas "bonne journĂ©e au revoir" Ă la caisse du supermarchĂ©. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modĂ©rĂ©es. Je me place Ă un mĂštre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour rĂ©gler ça je suis une thĂ©rapie cognitivo-comportementale dans un CMP suĂ©dois. Je paie 200⏠par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est Ă dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'ĂȘtre silencieuse Ă la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je rĂ©ussirai un jour Ă m'intĂ©grer.
Hier il m'a demandĂ© de prendre mes responsabilitĂ©s. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armĂ©e, d'ĂȘtre capricorne ou tout simplement suĂ©dois qui le fait dire ça. Peut-ĂȘtre un mĂ©lange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant Ă 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allĂ© le chercher chez le mĂ©decin la semaine derniĂšre, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sĂ©curitĂ© immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie Ă l'Ă©tranger toute seule et ai rĂ©ussi Ă m'en sortir toute seule et la semaine derniĂšre je devais noter le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon Ă©paule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il Ă©tait presque collĂ© contre le mur pour ĂȘtre trÚÚÚÚs loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appĂšlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutĂŽt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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Voici le visage du commissaire du peuple dĂ©lĂ©guĂ© Ă la censure pour la France, visa dâexploitation UE n°8563447. Cette sympathique tĂȘte dâabruti porte de nombreuses casquettes, toutes dĂ©formĂ©es par sa macrocĂ©phalie gĂȘnante et sa rĂ©thorique de jĂ©suite marxiste.Â
Il sâappelle Christophe Deloire et il est Ă la tĂȘte (haha) de Reporters Sans FrontiĂšres, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculĂ©s, Ă la dĂ©fense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacĂ©s, engeĂŽlĂ©s, torturĂ©s... parfois butĂ©s. On se souvient dâailleurs que son co-fondateur, lâaffreuse girouette MĂ©nard, y agit pendant de longues et nĂ©anmoins utiles annĂ©es. ONG de terrain Ă sa crĂ©ation, âRSFâ est progressivement devenue une sorte de chapelle morale Ă la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rĂ©dactions, dĂ©jĂ un divorce, une bicoque Ă RĂ© et les gosses HP en garde partagĂ©e. Aujourdâhui, âRSFâ est une petite usine Ă gaz armĂ©e dâun budget annuel de huit millions dâeuros (subventions publiques, mĂ©cĂ©nat et âfondationsâ sorosiennes Ă hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de âressources humainesâ. Câest vous dire si on est contents pour eux, leurs Ă©moluments et leurs notes de frais.Â
Cependant, notre carriĂ©riste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-prĂ©sident du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartĂ©s du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chĂšre Ă nos Ă©lites. Last but not least â comme Ă©crivent encore les rescapĂ©s de la presse des annĂ©es 2000, il a rĂ©cemment Ă©tĂ© dĂ©signĂ© pour occuper la tĂȘte des Ătats GĂ©nĂ©raux de lâInformation, Ă©niĂšme pustule macroniste sensĂ©e rĂ©flĂ©chir Ă la meilleure façon de bĂąillonner tout ce qui ne rĂ©cite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe Ă merde pour paraphraser Magritte dans son adresse Ă un critique acerbe, a conduit de main assurĂ©e une opĂ©ration contre lâArcom, via le Conseil dâĂtat, au motif que la chaĂźne CNnews dĂ©rogerait de maniĂšre Ă©hontĂ©e Ă la nĂ©cessaire reprĂ©sentation, sur son antenne, de sensibilitĂ©s politiques diversifiĂ©es. Oui, CNews ne proposerait quâune longue succession dâĂ©ditos et de pseudo-dĂ©bats ultra fachos, indignes de la rayonnante dĂ©mocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur frĂ©quence Ă ces fumiers rĂ©acs, pense en substance ce petit BĂ©ria de bac Ă sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas tâĂȘtre trompĂ© de cible ? Ne pensais-tu pas plutĂŽt Ă la totalitĂ© des mĂ©dias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu tâabaisses Ă ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dĂ©gueulasse qui soit, celui de la censure dâĂ©puration, celle qui traduit un dĂ©sir de vengeance amĂšre. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, câest quâun mĂ©dia que tu ne pourras jamais contrĂŽlĂ© â et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la rĂ©alitĂ© de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-lĂ â qui reprĂ©sentent quand mĂȘme plus de la moitiĂ© des suffrages exprimĂ©s â te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus Ă un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes.Â
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de lâĂ©chafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras quâenculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crĂąne rempli de sĂ©rum Ă©galitaire. Tu te crois pur et vertueux alors quâil suffit dâobserver ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition dĂ©mesurĂ©e. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle Ă la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews oĂč tu pensais pouvoir faire le bravache, tu tâes retrouvĂ© le slip sur les chevilles, bizutĂ© par dâignobles nazis en colĂšre. Jâai bien ri Ă observer ton dĂ©sarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passĂ© chez ton vieux pote BollorĂ©.
J.-M. M.
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Kalego a l'air fatiguĂ© vu l'Ă©tat de sa chambre, il a pu confirmer qu'Atori Ă©tait bien un infiltrĂ©, par contre ce qui a dĂ» davantage le ruminer c'est le fait qu'Iruma soit un humain. Peut ĂȘtre que c'est un peu ça qui a aussi causĂ© le bazar dans sa chambre. Car au dĂ©but, il refusait d'y croire jusqu'Ă finir par l'accepter. Surtout qu'il va faire comme si il avait rien entendu vu le manque de rĂ©ponse de Balam. C'est Ă©norme de la part de Kalego qui est considĂ©rĂ© comme un prof sĂ©vĂšre et terrifiant par ses Ă©lĂšves. Se montrant sans pitiĂ© envers les ennemis de l'Ă©cole ! Kalego voit Iruma comme l'un de ses Ă©lĂšves et le protĂ©gera en tant que tel, peu importe si il est humain ou non. Donc non en tant qu'ennemi, avant Kalego l'aurait sĂ»rement balancer mais le fait qu'il le fasse pas montre justement Ă quel point cette relation avec Iruma l'a fait Ă©voluĂ© et qu'il tient Ă lui Ă sa maniĂšre.
D'ailleurs je remarque que mĂȘme si des dĂ©mons remarquent qu'Iruma n'est pas un dĂ©mon mais un humain. C'est pas du genre grosse rĂ©vĂ©lation comme on pourrait le voir dans d'autres mangas. Mais plus de l'acceptance, y a Balam qui avait paniquĂ© car Iruma n'aurait pas dĂ» le dire car ils se connaissaient Ă peine. Mais les seuls qui donnent l'importance Ă cette rĂ©vĂ©lation sont Baal et Kirio jamais les alliĂ©s d'Iruma. Donc ouais je pense que quand Iruma dira Ă Azz et Clara qu'il est humain, ils vont l'accepter
Kalego looks tired from the state of his bedroom, he was able to confirm that Atori was indeed an infiltrator, but what must have bothered him more was the fact that Iruma was a human. Maybe that's what caused the mess in his room too. Because at first, he refused to believe it until he finally accepted it. Especially since he's going to act as if he'd heard nothing, given Balam's lack of response. This is a huge thing for Kalego, who is considered a stern and terrifying teacher by his pupils. Showing no mercy towards the school's enemies! Kalego sees Iruma as one of his students and will protect him as such, whether he's human or not. But the fact that he doesn't shows just how much this relationship with Iruma has changed him, and that he cares for him in his own way.
Besides, I notice that even though some demons notice that Iruma isn't a demon but a human. It's not the kind of big revelation you might see in other mangas. But more than acceptance, there's Balam who panicked because Iruma shouldn't have said it, since they hardly knew each other. But the only ones who give importance to this revelation are Baal and Kirio, never Iruma's allies. So yeah, I think when Iruma tells Azz and Clara he's human, they'll accept it.
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Je me suis souvent demandĂ© quelles sensations j'avais pu laisser ou pouvais laisser Ă ceux que j'aime. Pas forcĂ©ment mes amis ou ma famille, plutĂŽt les personnes importantes que j'ai aimĂ©es (trĂšs peu finalement). La premiĂšre impression qu'ils aient pu avoir de moi ne m'a jamais tant intĂ©ressĂ©e que ça, en revanche, l'impression de tous les jours, celle des fois oĂč on se voit, celle du quotidien, oui. Je sais que moi, j'ai toujours Ă©tĂ© attentive aux dĂ©tails, aux odeurs, aux sourires, aux expressions, Ă la douceur de la peau, Ă son aura, Ă la sensation d'ĂȘtre contre la personne. J'aurais tellement aimĂ© savoir ce qu'il ressentait et j'aimerais tellement savoir ce qu'il ressent. Est-ce que j'ai une odeur pour lui ? RĂ©confortante ? Douce ? Chaude ? Qu'est-ce qu'elle inspire ? De quoi elle donne envie ? Ma prĂ©sence aussi. Est-ce que mes Ă©treintes ont un goĂ»t particulier ? Un goĂ»t familier de chez soi ? Quelque chose qui soulagerait ? Que l'on voudrait prolonger ? Qu'on attend Ă la fin de la journĂ©e ? Je me demande s'il fait comme moi, quand on est collĂ©s, peau Ă peau et silencieux, est-ce qu'il s'imprĂšgne ? Est-ce que ce voile de chaire voluptueux est apaisant ? Est-ce qu'il pourrait ĂȘtre celui de n'importe qui ou c'est le mien ? Quand j'arrive. Quand je sors du train, ou que je suis sur le quai, ou devant sa porte, ou n'importe oĂč et qu'il me voie, qu'est-ce qu'il ressent ? Est-ce que c'est propre Ă moi ? Ce que j'amĂšne ici c'est la rĂ©ussite ou l'Ă©chec de la crĂ©ation du typique, du spĂ©cial, de l'appropriation. Ai-je rĂ©ussi Ă lui crĂ©er des dĂ©clinaisons de sensations et d'Ă©motions ? Par lĂ , j'entends, est-ce que j'ai rĂ©ussi Ă lui donner l'envie de moi, la joie de moi, le rĂ©confort de moi, le sensoriel de moi, la chaleur de moi, la colĂšre de moi, etc. Je sais que toutes mes Ă©motions sont fractionnĂ©es pour ma part. J'ai une joie, une tristesse, une hĂąte, un rĂ©confort, un dĂ©sir, un intĂ©rĂȘt, un amour gĂ©nĂ©ral et ça enveloppe diffĂ©remment chaque ĂȘtre de ma vie. C'est particularisĂ©. Je ne ressens jamais la mĂȘme chose d'une personne Ă l'autre, et pourtant, je ressens toujours la mĂȘme chose quand c'est la mĂȘme personne. Pour que les gens dans ma vie le soient, c'est qu'ils sont particuliers, ce qui induit de leur crĂ©er des nuances Ă©motionnelles diffĂ©rentes et toutes valables. C'est pour ça que je me demande si moi, je suis une pluralitĂ© de sentiments et d'Ă©motions spĂ©cifiques pour lui. Je n'avais jamais rĂ©ellement rĂ©ussi Ă mettre le doigt sur cette sensation. Cette envie d'ĂȘtre unique dans la maniĂšre d'ĂȘtre reconnue, ressentie et Ă©prouvĂ©e par l'autre. Comme de l'adn, personne n'a le mĂȘme, les Ă©motions c'est pareil. Je serais toujours profondĂ©ment frustrĂ©e de ne pas pouvoir connaĂźtre la rĂ©ponse mais ça me rassure aussi de l'ignorer. RĂ©aliser que je ne suis pas vĂ©cue de maniĂšre individuelle, propre, distinctive, me briserait. Pouvoir subdiviser les Ă©motions (sans qu'elles n'en perdent leur essence) et les tailler pour qu'elles reprĂ©sentent tout ce qu'on projette, admire, aime de l'autre c'est, Ă mon sens, la vraie sentimentalitĂ©.
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 111
Dans la semaine qui a suivit, Jimmy a fait la connaissance de nos autres clients.
Le pĂšre de Pierre (lundi) a bien apprĂ©ciĂ© le changement et surtout la souplesse de notre ami. Il a mĂȘme rĂ©ussi Ă lui faire faire une auto fellation (et pourtant il est montĂ© petit, Jimmy !) pendant qu'il l'enculait en chandelle. Ok, il ne s'est pas bouffĂ© la tige jusqu'aux couilles mais a pu se tĂ©ter le gland facilement.
Et quand il a jouit, je lui ai dit de tout boire et il a bien aimé (comme il aime aussi mon sperme et celui de Marc).
Le mardi, il a trouvé trÚs drÎle que je me fasse le valet pendant qu'il se faisait démonter le cul par le maßtre (25 x 7,5). C'était la premiÚre fois qu'il voyait un lit à baldaquin.
Il a surtout vu à quoi pouvait servir les mats placés à chaque coin du lit.
Il s'est trouvé, comme Jean avant lui, attaché et écartelé, tenu en suspension par des chaßnes accrochées en haut des mats.
Avec le valet, nous avons pris notre pieds avant eux afin d'ĂȘtre prĂȘts, moi Ă rĂ©cupĂ©rer ma pute et lui Ă servir son maĂźtre.
Au retour, Jimmy m'a demandĂ© si c'Ă©tait ce genre de place que j'envisageais pour lui. Je lui confirmais que ce pouvait ĂȘtre ce genre de service. Mais que je lui trouverais un boss plus souple quand Ă le laisser libre de baiser oĂč il voudra quand il n'aura plus l'age (surtout le physique) et que sexuellement il ne servira plus son patron.
Vendredi, le grand et gros black l'a impressionné. Ses 2m et ses 27,6 x 6,5 chapeauté d'un gros gland violet sont effectivement balaises par rapport aux 1,65m et les 14 x 3,8 de Jimmy ! Mais comme je m'y attendais, l'anus de Jimmy s'est adapté aux nouvelles conditions. Il a vaillamment pris la teub dan son cul (beaucoup plus facilement que dans sa gorge) et s'est fait secouer comme un prunier par son propriétaire. Ce black est le plus brutal de mes clients réguliers.
Je note qu'il faudra que je fasse bien attention quand je lui amĂšnerai Ed, lui est nettement plus fragile que Jimmy. Par contre sa peau pĂąle devrait contraster un maximum avec le noir intense de celle du client.
Le mercredi et Jeudi, je lui ai donnĂ© du taf pour qu'il se mette Ă niveau en français. Autant commencer par le plus visible. Lecture, Ă©criture, rĂ©daction. En discutant avec Jimmy je me suis aperçu qu'il a quittĂ© l'Ă©cole dĂšs ses 18 ans et que 3 ans plus tĂŽt il avait dĂ©jĂ dĂ©crochĂ©. Ăa plus l'accent banlieue et le look, il fait racaille. Si je garde le style pour les clients qui n'en n'ont jamais approchĂ© Ă moins de 1 Km et qui ont ainsi l'impression de prendre un risque, je voudrais le faire Ă©voluer pour qu'il puisse se faire un taf sympa aprĂšs l'Ă©pisode " pute ".
Mercredi j'ai amené Ed à André (le pÚre de Ric).
Ed est plus nerveux que Jimmy. Il me questionne pour savoir quel type de mec c'est, ce qu'il devra faire...
Je le rassure en lui disant qu'AndrĂ© est un ami, certes TBM mais qui fera attention Ă lui. Il doit ĂȘtre avec lui comme il l'a Ă©tĂ© avec Xavier la semaine passĂ©e, ouvert et volontaire.
Quand je sonne Ă la porte, nous avons la surprise d'ĂȘtre invitĂ© Ă entrer par Ric. Je lui demande ce qu'il fait lĂ . il nous dit que comme son pĂšre l'avait prĂ©venu, il n'avait pu s'empĂȘcher de venir voir le petit nouveau, et qu'il n'Ă©tait pas contre une partie Ă 4.
André arrive et me dit juste aprÚs nous avoir salués qu'il en avait tenu compte pour le montant du chÚque.
Nous allons au salon. Ric en shorty et T-shirt moulant se charge de mettre Ed Ă poil.
AndrĂ© et moi assistons au spectacle. Il met environ 1/4 d'heure et nous avons devant nous deux jeunes mecs Ă poil (façon de dire puisque Ric est lui totalement Ă©pilĂ© et qu'Ed est dans le mĂȘme Ă©tat).
Ils s'approchent de nous. Je me lĂšve avec AndrĂ© et ils nous dĂ©shabillent. Ric s'occupant de moi. Nus et bandants une poussĂ©e sur le haut de la tĂȘte et nos deux ptits mecs se sont agenouillĂ©s bien sagement, comme pour une priĂšre, mais non pas Ă Dieu mais Ă nos bites.
DĂšs le premier pompage, Ric m'a avalĂ© entier. Pour Ed, ça Ă©tĂ© plus dur. Les 7cm de long de plus que moi ont du mal Ă passer. C'Ă©tait dĂ©jĂ le cas des 6cm de plus de Xavier ! Ric qui le mate du coin de l'oeil, lui explique comment faire pour que ce soit plus facile. Il prend le temps de lui montrer lui mĂȘme comment faire. C'est toujours un beau spectacle de voir une bite de 27 x 7 disparaĂźtre entre les lĂšvres d'un jeune mec.
En changeant Ed de position, André réussit à la lui enfiler en entier, briÚvement mais sûrement.
Ric qui pense dĂ©jĂ Ă ce qui va se passer aprĂšs, laisse ma bite pour aller bouffer le cul d'Ed. A grand coups de langue, il lui dĂ©tend l'anneau, lui ouvrant pour la lui glisser dedans. Ed tortille du cul tellement il apprĂ©cie. Je regarde le tableau quelques instants avant de retourner dans la mĂȘlĂ©e et d'enculer Ric. Je rentre facile. Cela m'Ă©tonne connaissant mon Ric. Mais une fois entrĂ©, il serre et je me retrouve incapable de bouger. Il se retourne juste pour me sourire et me dire " je t'ai bien eu ! ".
Il maĂźtrise complĂštement son sphincter et arrive maintenant Ă le dĂ©tendre (ça je savais car il prend rĂ©guliĂšrement son pĂšre et les doubles sodo que je lui ai organisĂ© me l'avait montrĂ©) mais il resserre comme il le veut allant jusqu'Ă ĂȘtre capable d'empĂȘcher tout mouvement dans son cul.
En attendant il reprend son travail de dilatation sur l'anneau d'Ed et me laisse le limer. J'apprécie les variations de pression que son cul me transmet.
Je lui dis que malgré sa préparation il faudra doser Ed en Poppers pour qu'il puisse prendre son pÚre.
Quand Ric arrive Ă lui mettre 3 doigts Ă fond, il le dĂ©clare prĂȘt pour l'enculage. Je trouve qu'il aurait pu aller jusqu'Ă 4 doigts !
Nous plaçons Ed dos sur la table basse. Ric le surplombe en 69, en prenant ses jambes sous ses bras (ce qui lui relÚve le cul à Ed). André derriÚre Ed et moi de l'autre coté de l'assemblage, nous posons nos glands sur les rondelles. Je me penche pour doser Ed en poppers. Il chauffe, André me dit qu'il voit la rondelle palpiter. Je lui dis alors que c'est bon qu'on peut y aller. Simultanément, nous nous enfonçons dans les culs. Je demande à André comment il trouve. Il me répond que c'est vraiment bon un nouveau cul. Que ça faisait longtemps que cela ne lui était arrivé. Il prend soin dÚs la premiÚre enculade de s'enfoncer à fond. Ed gémis étouffé par la bite de Ric. De mon coté, mes mains accrochées à ses épaules, j'encule Ric, lui faisant profiter de tous mes 20cm. Il a la gentillesse de trouver cela bon (alors qu'il est habitué aux dimensions de son paternel !).
AndrĂ© nous dit de nous dĂ©sassembler, il veut profiter seul du petit nouveau. Ric se redresse et nous nous installons plus loin. AndrĂ© soulĂšve le poids plume et tout en le maintenant enfoncĂ© sur sa queue, part s'assoir dans un fauteuil. Il installe les jambes d'Ed sur les accoudoirs et lui demande de faire lui-mĂȘme les va et vient. Ed n'est pas des plus musclĂ©, il arrive en serrant les cuisses Ă se soulever et alors Ă n'ĂȘtre plus rempli que par le gland d'AndrĂ© mais il ne tient pas la position haute et redescend brutalement poser ses fesses sur ses cuisses. LĂ il prend tout les 27cm rapidement. Ăa le fait souffler grave, mais il Ă l'air d'aimer car il recommence tout de suite aprĂšs.
RassurĂ©, je me tourne vers Ric et nous dĂ©cidons de nous finir en 69. Tout en le suçant, je le caresse, sa peau Ă©pilĂ©e, est douce et je passe ma main sur ses tĂ©tons et les tord au passage. Il rĂ©agit bien. C'est vrai qu'il a toujours gardĂ© un cotĂ© maso de l'Ă©ducation de sa mĂšre. Je lui prends alors la tĂȘte et la maintient plaquĂ©e contre mes couilles mon gland au plus profond de sa gorge. Il aime ! Je relĂąche et m'occupe des deux tĂ©tons Ă la fois. Il monte en pression et bientĂŽt sans que j'aie Ă le toucher plus, il jouit. Il me pompe plus voracement et c'est moi qui cĂšde, traçant les lignes de Cuzco sur son torse.
Assis cote Ă cote, nous regardons son paternel achever Ed.
Il lui Ă pris les jambes et les a placĂ©es sur ses Ă©paules. Ed ne peut plus de lui-mĂȘme retirer la bite qu'il a dans le cul. AndrĂ© se lĂšve et va jusqu'Ă la table de la salle Ă manger pour le poser sur le plateau. LĂ , il reprend son enculade et rempli la kpote calĂ© au fond d'Ed alors que ce dernier jute quelques millilitres sur son ventre.
Pendant que Ric emmÚne Ed se laver et lui masser sa rondelle endolorie, André me donne mon enveloppe et il me questionne sur ma soirée d'escort-boy. Je le remercie de ses bonnes informations. Il me dit que c'est normal, un client (de sa banque) a droit à tous ses services. Je brosse le tableau vite fait, lui racontant la remise en place de notre hÎte et comment je m'étais fait remarquer par les deux plus grosses pointures de la soirée. Là , il me félicite me disant comme Marc et Bruno, qu'ils n'avaient pas la réputation des facilement impressionnables.
LassĂ©s d'attendre, nous virons les deux jeunes de la salle de bain pour nous mĂȘme nous laver.
Quand nous les rejoignons au salon, Ric est en train de discuter avec Ed de son statut de remplaçant de Jean, lui causant des autres clients. Je ne savais pas que Jean avait bavassé comme ça sur son taf.
Je remmÚne Ed chez lui aprÚs avoir changé de véhicule à la maison. Evidemment nous tombons sur son jeune frÚre qui veut savoir ce qu'on à fait tout l'aprÚs midi tout en remarquant qu'Ed sent le savon.
Ed s'en dĂ©barrasse en lui disant que nous avons fait du sport (on peut appeler cela comme ça aussi !), d'oĂč une douche avant de rentrer. Le ptit frĂšre insiste en disant qu'il n'avait pas emmenĂ© d'affaire. Je sauve Ed en disant que nous avons Ă©tĂ© Ă la piscine et que je lui ai prĂȘtĂ© un maillot, ricanement du ptit frĂšre qui dit Ă Ed qu'il a du flotter dedans.
Je me sauve.
JARDINIER
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Les passantes d'Antoine Pol
Je dédie cette chanson
à chaque femme pensée comme de l'amour
en un instant de liberté
Ă celle connue Ă peine
Pas le temps et ça valait le coup
de perdre un siĂšcle de plus
Ă celle presque Ă imaginer
Tellement pressé, tu l'as vue passer
Du balcon Ă un secret plus loin
et tu aimes en rappeler le sourire
qui ne t'a pas fait
et que tu lui as décidé
dans un vide de bonheur
Ă la compagne de voyage
ses yeux le plus beau paysage
Fans paraĂźtre plus court sur le chemin
et peut-ĂȘtre que tu es le seul Ă la comprendre
et tu la fais descendre sans la suivre
sans avoir touché sa main
à celles qui sont déjà prises
et que je vis des heures déçues
Avec un homme trop changé
Ils t'ont quitté, folie inutile
voir le fond de la mélancolie
d'un avenir désespéré
Des images chĂšres quelques instants
Vous serez bientĂŽt une foule distante
Surmontées d'un souvenir plus proche
pour peu que le bonheur revienne
c'est trĂšs rare que l'on se souvienne
des Ă©pisodes du chemin
Mais si la vie cesse de t'aider
c'est plus dur de t'oublier
de ces interviews de bonheur
Des baisers qu'on n'a pas osé donner
des occasions laissées pour attendre
des yeux plus jamais revus
Alors dans les moments de solitude
quand le regret devient l'habitude,
une façon de vivre ensemble,
on pleure les lĂšvres absentes
de toutes les belles passantes
que nous n'avons pas pu retenir
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TIPS : Optimisation de votre design
Je vois beaucoup de forums prometteurs ouvrir derniĂšrement, oĂč la hype se build Ă©normĂ©ment jusquâau jour du lancement. Malheureusement, les bases des designs ne sont souvent pas solides, ce qui impacte directement la communautĂ© quâils auraient pu recevoir. Quelques tips de ma part pour quâun design reste simple tout en Ă©tant efficace, et surtout fonctionnel ;
Harmonie des couleurs ;
Difficile dâaccrocher Ă un design lorsque les contrastes des couleurs font violence. Dans un premier temps, il est Ă©vident quâil faut toujours prĂ©voir les couleurs du design en fonction de son header (ou inversement). La palette de couleurs doit rester cohĂ©rente et harmonieuse, ce qui nâest souvent pas le plus simple Ă crĂ©er. Si vous ne sentez pas lâinspiration venir, vous pouvez tout Ă fait utiliser lâoutil pipette de photoshop pour rĂ©cupĂ©rer quelques couleurs du header Ă disposition, ou bien utiliser des plateformes comme Coolors, qui gĂ©nĂšrent des palettes prĂ©dĂ©finies en fonction de vos attentes. Lors des derniĂšres annĂ©es, il a aussi Ă©tĂ© remarquĂ© que les designs aux couleurs douces ont tendance Ă attirer plus de monde que les saturĂ©es.
Concernant le choix de la couleur des paragraphes, veillez Ă ce que celle-ci soient assez contrastĂ©e, tout en ne jurant pas avec le design. Par exemple, si vous avez un fond blanc, ne mettez jamais un noir Ă 100%, cela pourrait alourdir le design. Un gris foncĂ© fera parfaitement lâaffaire, et adoucira le tout.
Lisibilité des textes et choix polices ;
Beaucoup de designer vous diront une chose ; ne jamais mĂ©langer diffĂ©rentes familles de polices, comme les Sherif (polices Ă empattement ; ex. Times) ou Sans Sherif (polices sans empattement ; ex. Arial). Cela dit, il y a Ă©videmment quelques variables Ă prendre en considĂ©ration. Si vous choisissez dâutiliser une police Sherif pour vos titres, les paragraphes devront toujours utiliser eux une police Sans Sherif : la raison est simple, ceux-ci sont souvent plus petits, et une police Ă empattement aura tendance Ă alourdir votre design. De plus, cela le rendra trĂšs certainement âvieillotâ ou alors le tirera vers un univers lĂ©gĂšrement plus fantastique.
Il est Ă©vident que les polices ne devront pas ĂȘtre trop petites de façon Ă privilĂ©gier lâaccessibilitĂ©, je ne vais pas mâĂ©tendre sur le sujet, jâai vu certains threads passer sur le sujet qui regroupent dĂ©jĂ beaucoup de ressources.
Optimisation des images ;
Câest surtout ce point lĂ qui mâa fait penser quâil fallait que je fasse ces tips. Vous ne savez pas Ă quel point, pour les utilisateurs dâĂ©crans rĂ©tina, il peut-ĂȘtre douloureux de tomber sur des designs prometteurs, mais dont les dimensions ne correspondent plus aux normes du web de nos jours. Forumactif est une plateforme vieillissante et dont les limitations se font de plus en plus ressentir, cependant il y a toujours des moyens simples de les contourner.
Un Ă©cran rĂ©tina a ses pixels multipliĂ© par deux, câest pour cette raison que de nos jours les avatars sont passĂ©s du 200*320 au 400*640 de façon Ă ce que ceux-ci restent parfaitement nets pour tous les utilisateurs. Dans cette optique, les designs des forums doivent Ă©galement ĂȘtre adaptĂ©s, et de ce fait, votre header devrait faire deux fois la taille de ce que vous aviez prĂ©vu pour votre forum. Si celui ci a un affichage de 800px de largeur, alors en dĂ©veloppement sur Photoshop, vous devrez le crĂ©er en 1600px. Ensuite, un simple code dans le css pour le rĂ©duire Ă 800px lui permettra dâatteindre sa pleine qualitĂ© pour tous les utilisateurs.
Dans le cas contraire, les utilisateurs dâĂ©cran rĂ©tina verront votre design flou et pixelisĂ©, et ne seront donc logiquement pas invitĂ©s Ă sâinscrire.
Optimisation du codage ;
LĂ encore, certaines nouveautĂ©s Ă©chappent encore aux crĂ©ateurs, ce qui les empĂȘche malheureusement dâavoir un forum facilement adaptable, crĂ©ant une perte de temps et de fonctionnalitĂ©s. Le codage est une zone assez vaste qui est propre Ă chacun, je ne pense par exemple pas quâil y est une bonne ou mauvaise façon de coder Ă partir du moment oĂč le rĂ©sultat obtenu est fonctionnel. Cependant, jâinsisterai surtout au niveau des couleurs, sur le fait dâutiliser impĂ©rativement des variables ( var(--x) ) Ă la place des couleurs fixes (#000000 par exemple). Une variable vous permet lors des changements de design, de cibler toutes les parties utilisant la mĂȘme couleur, en mĂȘme temps. Par exemple, votre premier design avait un mĂȘme bleu quelque part, notĂ© Ă la variable "c1", le prochain design demande du rouge, eh bien vous aurez juste Ă changer une seule fois la couleur de cette variable "c1", plutĂŽt que dâavoir Ă chercher le code du bleu dans chacune des parties oĂč il est utilisĂ©. Gain de temps incroyable ! Jâappuie sur le fait quâil est jamais trop tard pour coder de cette maniĂšre !!! Votre forum peut ĂȘtre crĂ©Ă© depuis 10 ans et adopter aujourdâhui ce changement, ça ne vous demandera normalement pas Ă©normĂ©ment de temps Ă adapter le tout.
Certains forum manquent Ă©galement de place dans leur CSS, il est alors tout Ă fait possible dâajouter une seconde page (je dirais mĂȘme fortement conseillĂ©) hors forumactif. Vous pouvez utiliser des logiciels gratuits comme Brackets pour coder du css, puis lâenregistrer en xx.css ; suite Ă cela, lâhĂ©berger sur Google Drive ou bien DropBox, et lâajouter en lien extĂ©rieur via la balise <link href=ânomdelapage.css" rel="stylesheet"> dans le template âHaut du Forumâ. (Vous trouverez facilement dâautres balises link au dĂ©but de cette page, mettez cette balise Ă la suite et hop.
Version sombre (please) ;
Avec lâutilisation des variables, vous aurez Ă©galement la possibilitĂ© dâinstaller trĂšs facilement une version sombre sur votre forum. Je ne rĂ©pĂšterai jamais assez lâimportance de celle-ci. Lorsquâil est 23h, que les yeux sont fatiguĂ©s mais que lâinspiration est lĂ , passer le forum en version sombre est un rĂ©el bĂ©nĂ©fice pour tout le monde.
Petit tutoriel simple et efficace créé par bigbadwolf pour une installation réussie par ici ;
https://comptoirdesrolistes.tumblr.com/post/650710791464583168/bigbadwxlf-tuto-dark-light-mode-pour-passer
VoilĂ voilĂ , jâespĂšre que ce message (plus long que prĂ©vu aha) saura guider ceux qui sây connaissent parfois moins en la matiĂšre ! Jâoublie probablement pas mal de choses Ă vrai dire, mais je crois que le principal concernant lâoptimisation est lĂ !
Bonne journée à tous !
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"Une Ă©lite qui n'est pas prĂȘte Ă rejoindre la bataille pour dĂ©fendre sa position est en pleine dĂ©cadence, et tout ce qui lui reste est de faire place Ă une autre Ă©lite ayant les qualitĂ©s viriles dont elle manque. C'est une pure rĂȘverie d'imaginer que les principes humanitaires qu'elle a pu proclamer lui seront appliquĂ©s: ses vainqueurs l'accableront avec le cri implacable Vae Victis [malheur aux vaincus]. Le couteau de la guillotine Ă©tait aiguisĂ© dans l'ombre quand, Ă la fin du dix-huitiĂšme siĂšcle, les classes dirigeantes en France Ă©taient occupĂ©es Ă dĂ©velopper leur «sensibilité». Cette sociĂ©tĂ© dĂ©soeuvrĂ©e et frivole, vivant comme un parasite sur le pays, discourait lors de ses Ă©lĂ©gants dĂźners de dĂ©livrer le monde de la superstition et d'Ă©craser l'infĂąme, sans aucunement suspecter que c'Ă©tait elle-mĂȘme qui allait ĂȘtre Ă©crasĂ©e."
Vilfredo Pareto, cité par Adrian Lyttelton dans Italian Fascisms: From Pareto to Gentile (1975)
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Pour bien finir l'annĂ©e, voici une petite fantaisie inspirĂ©e par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton â€ïž
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir Ă Lyon...
Au cĆur de la nuit, dans la ruelle, une porte sâouvrit, laissant de la lumiĂšre Ă©clairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en sâallumant une cigarette, un sac en plastique Ă la main.
- HĂ©, lâaubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis lâintĂ©rieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça tâintĂ©resse vieux shnock ? Fit-il dâun ton ennuyĂ©.
- Encore ce breton ?
- Câest pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- Câest ça, bonne soirĂ©e, Ă bgenutzdi.
-HĂÂ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que lâautre voulait rĂ©pondre. Il regarda autour de lui, visiblement Ă la recherche de quelque chose, mais la ruelle Ă©tait dĂ©serte. Un soupir bruyant quitta ses lĂšvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer sĂ€ckel de breton ». Il donna un coup de pied Ă une cannette qui traĂźnait tristement sur lâasphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son tĂ©lĂ©phone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! Tâas pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, câest pour ça que je tâappelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derriÚre elle.
- Non il est pas⊠TAISEZ-VOUS ! Putain, jâessaie de parler au tĂ©lĂ©phone ! Je te disais, non il nâest pas avec nous. Il m'a dit quâil devait passer te prendre Ă la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le RhĂŽne cet aprĂšs-midi. Je sais que tâavais enregistrĂ© les coordonnĂ©es du bouchon dedansâŠ
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il nâest pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prĂ©venir, pas que tu lâattende et⊠VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. CâĂ©tait GRAND Lyon, qui sait oĂč ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait dâĂȘtre longue.
Câest au petit matin que lâalsacien retrouva enfin le breton. AprĂšs avoir parcouru la ville de long en large et en travers. AprĂšs avoir espĂ©rĂ© que non, non, non ce bon Ă rien ne sâĂ©tait quand mĂȘme pas aventurĂ© dans les sous-sols de Lyon⊠Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de FourviÚre en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
AprĂšs de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il sâavança sans bruit derriĂšre son petit ami.
- Hé, nixnutz !
Lâhomme aux cheveux vert ne sursauta mĂȘme pas. Il tourna la tĂȘte vers Sanji. MalgrĂ© ses yeux cernĂ©s, un sourire Ă©claira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. Lâautre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait Ă©tĂ© leur point de rendez-vous depuis le dĂ©but. Il appuya son dos contre la rambarde en frĂŽlant le coude de Zoro.
- Tu mâas encore fais courir, fit-il en sâallumant une cigarette et en soufflant sa fumĂ©e dans lâair cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que tâarriverais Ă me retrouver.
Sanji lui tendit le sac quâil avait transportĂ© avec lui la moitiĂ© de la nuit. Zoro lâouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppĂ©s dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la dĂ©boucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. Jâai pas envie quâon en casse dâautres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois jâamĂšne du schnaps.
- Câest quoi ça ?
- Câest plus fort, ça devrait te plaire. MĂȘme si je prĂ©fĂšre un bon pinot gris vieille vignesâŠ
- Quâest-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, sâavança vers lui pour lâenlacer en collant son corps au sien. Ils sâembrassĂšrent puis sâappuyĂšrent de nouveau Ă la rambarde, coude Ă coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restĂšrent lĂ Ă regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit dĂ©jeuner alcoolisĂ© improvisĂ©.
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âDu Pu Sa, bring these two women back to the Scorpionâs branch fort. You must play it by ear. And by all means, donât let anyone find out.â
Li Dai Kun As Xie Wang.
WORD OF HONOR (2021) - Episode 21.
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