#faux ersatz | Explore Tumblr Posts and Blogs

sincerelylaurel · 2 years

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50 fancy words to expand your vocabulary (pt 2)

writingwithacutlass on instagram <3

source: https://www.vocabulary.com/lists/258109

okay before you read please note a few things! firstly; i am not a dictionary! some words have multiple definitions or really long ones so giving a detailed definition for each word would mean i’d have to use a whole slide for one word. i suggest googling each word before using it! second; everyone’s vocabulary size is different! if you know all these words, good for you. don’t whine about it in the comments <3 if you don’t know any, yay new opportunity to learn! either one is okay and please don’t get upset over it. thank you :)

acrimony: a rough and bitter manner

avant-garde: radically new or original

bona fide: not counterfeit or copied

bonhomie: a disposition to be friendly and approachable

boondoggle: work of little or no value done merely to look busy

bourgeois: being of the property-owning class

bravado: a swaggering show of courage

brogue: a thick and heavy shoe

brusque: rudely abrupt or blunt in speech or manner

cacophony: loud confusing disagreeable sounds

camaraderie: the quality of affording easy familiarity and sociability

capricious: determined by chance or impulse rather than by necessity

carte blanche: complete freedom or authority to act

caustic: capable of destroying or eating away by chemical action

charisma: personal attractiveness that enables you to influence others

cloying: overly sweet

convivial: friendly

cornucopia: an endless supply

defenestrate: to throw out the window

dichotomy: a classification into two opposed parts or subclasses

dilettante: an amateur engaging in an activity without serious intention

disheveled: in disarray; extremely disorderly

elan: enthusiastic and assured vigor and liveliness

ephemeral: lasting a very short time

epitome: a standard or typical example

equanimity: steadiness of mind under stress

equivocate: be deliberately ambiguous or unclear

ersatz: artificial and inferior

esoteric: understandable only by an enlightened inner circle

euphemism: an inoffensive expression substituted for an offensive one

facetious: cleverly amusing in tone

fait accompli: an irreversible accomplishment

fastidious: giving careful attention to detail

faux pas: a socially awkward or tactless act

fiasco: a complete failure or collapse

finagle: achieve something by means of trickery or devious methods

glib: artfully persuasive in speech

gregarious: temperamentally seeking and enjoying the company of others

gossamer: a fine, filmy cobweb seen on grass or bushes or floating in calm weather

harbinger: something indicating the approach of something or someone

hedonist: someone motivated by desires for sensual pleasures

heresy: a belief that rejects the orthodox tenets of a religion

hooligan: a ruffian or hoodlum

idiosyncratic: peculiar to the individual

idyllic: charmingly simple and serene

indelicate: slightly indecent, offensive, or improper

infinitesimal: immeasurably small

insidious: working or spreading in a hidden and usually injurious way

junket: dessert made of sweetened milk coagulated with rennet

kismet: destiny

have a great day/night!!

remember you're loved and remember to drink water. see you next time! (turn on post notifications so you don't miss any of my posts!)

───✱*.｡:｡✱*.:｡✧*.｡✰ ───

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｡･:*˚:✧｡ love, laurel

#writing #writeblr #writing inspiration #writers on tumblr #writing advice #writer #writing techniques #my writing #writersofinstagram #writerscommunity

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deadlinecom · 2 years

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crodfoller-t-rhubarb · 2 years

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Oh my god...after 27 years I finally noticed it. The place you get the mask in King’s Quest VII... it’s not “The Faux” Shop; it’s...

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christian-dubuis-santini · 3 years

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Masque et Marx, fraude et Freud

Le masque, chirurgical ou pas, est un fétiche.

Il n’a pas plus d’efficacité pour lutter contre un virus que des amulettes, une tisane ou des incantations psalmodiées.

L’appareil d’État qui impose le port du masque prétend le faire en suivant les préconisations d’un Conseil Scientifique qui n’a de scientifique que le nom, puisque aucune agence de santé ne peut produire un texte déclarant que le masque est un matériel médical efficace pour lutter contre la contamination au coronavirus sous peine de se voir traîner en justice pour faux et usage de faux.

Fétiche donc.

Qu’est ce que ça veut dire?

On connaît chez Marx le "fétichisme de la marchandise" comme le révélateur des «lubies théologiques» qui sous la surface rationnalisante des calculs, conduisent à substituer aux “rapports entre les gens” des “rapports entre les choses”…

La thèse fait écho à l’affirmation freudienne d’une phénoménalité de la vie quotidienne ne pouvant faire sens que sur la toile de fond d’une archéologie du désir, médié par le langage (l’ordre symbolique), l’inconscient révélant par ses lapsus, actes manqués et rêves, la division constitutive du sujet, sa non-transparence à lui-même. L’autre scène: andere Schauplatz.

C’est ainsi que le fétiche, chez Freud, résulte d’une fixation sur la dernière "chose" vue avant que le sujet ne se trouve confronté à l’insupportable du réel de la castration, le déni fétichiste, caractéristique de la structure de la perversion, pouvant se résumer en six mots: «Je sais bien mais quand même.»

(En l’occurrence pour revenir sur ce qui nous concerne aujourd’hui: "je sais bien que le masque ne sert à rien, mais avoir l’illusion que ça me protège me fait du bien, cela calme mon anxiété, blablabla"...)

Comment dès lors se reconnaître, selon la platitude de la connerie journalistique ordinaire (autant appeler les choses par leur nom) comme "anti-masque"? Qui serait assez débile pour être "anti-masque"? Ça ne veut rien dire. La question n’est pas d’être "pour ou contre", "pro- ou anti-", "-phile ou -phobe", mais quel sens cela a-t-il de vouloir imposer de manière autoritaire à tout le monde un fétiche?

Autrement dit de quoi le "port du masque" est-il le symptôme? Que masque le masque?

Rappelons ici qu’il y a seulement trois structures de langage incorporé (psychose, névrose, perversion) et chaque parlêtre répond forcément de l’une de ces structures en fonction du choix (forcé) qu’il a dû faire pour se situer en tant que sujet face à la mise en impasse de la castration symbolique (d’être un corps parlant): le "je ne peux pas savoir" du psychotique (que je suis castré, car il me manque un signifiant...), le "je ne veux pas savoir" du névrosé (qu’en tant que castré je suis soumis au signifiant dont les lois déterminent mon destin, ce dont je ne veux rien savoir...) et le "je sais bien mais quand même" du pervers (qu’il y a la castration, mais c’est l’Autre qui est castré, la preuve en me faisant l’objet de sa jouissance, je le démont(r)e...)

Ces stratégies d’évitement du roc de la castration au niveau individuel ne sont pas sans faire écho au désaveu de la lutte des classes au plan social. La lutte des classes est un concept marxien plus complexe qu’il n’y paraît, qui signale dans un premier temps que (ce qu’on appelle sans y penser) "la société" est toujours clivée, non-homogène, ne pouvant jamais correspondre à elle-même, une déchirure la traverse de part en part...

On retrouve cette fracture chez l’anthropologue: Lévi-Strauss remarque qu’il y a toujours chez les Winnebago deux façons de se représenter l’organisation de la tribu (ces représentations étant inconciliables): il y a d’une part ceux qui voient leur village comme une unité déployant son organisation autour d’un point central, et ceux qui le voient comme organisé de chaque côté d’une ligne, avec une confrontation de deux espaces autour d’un axe médian.

Ces deux visions s’excluent mutuellement l’une l’autre, ceux qui voient leur tribu d’une manière ne peuvent pas concevoir la manière dont les autres la voient.

Ce qui est remarquable dans cet exemple de Lévi-Strauss, c'est que l'antagonisme (ou l'ambiguïté structurale) apparaît comme inscrite dans la réalité elle-même.

C'est toujours (au moins en premier lieu) ce que nous devons retenir de cette vieille notion de lutte des classes: un antagonisme (ou déséquilibre structurel) qui fait partie de la réalité sociale elle-même... Raison pour laquelle la lutte des classes est à saisir comme "réelle" dans le sens que Lacan donne au terme de Réel dabs sa tripartition nodale Imaginaire-Symbolique-Réel). Le Réel n'est pas ici seulement quelque chose dans la réalité, c'est une limite de la réalité elle-même... L’antagonisme social apparaît dès lors comme constitutif de la société exactement comme l’antagonisme entre l’homme et la femme est constitutif de notre humanité, la différence sexuelle conditionnant l’impossible du "rapport sexuel", l’Autre étant l’autre sexe, de l’autre côté du mur de la castration...

Si la notion marxienne de "lutte des classes" est plus subtile qu’il n’y paraît, c’est qu’elle est à considérer comme l'héritage (et la conséquence logique) de la manière dont Hegel aura révolutionné la notion de contingence dans son rapport à la nécessité: quelle que soit la position que l'on prend vis-à-vis de la lutte des classes, y compris la plus "théorique", elle est toujours déjà un moment de la lutte des classes, qui implique en-soi un "parti pris" a priori, il n'y a pas de point de vue impartial, objectif, "neutre" qui permettrait au sujet d’en parler "objectivement", car pour en parler, le sujet doit toujours se situer à priori à l'intérieur de son horizon...

La structure du Discours Capitaliste (acception lacanienne) repose essentiellement sur une métaphore "organisciste" de la société — pré-hegelienne donc — où la Substance (sociale) apparaîtrait comme un Tout, non clivé, où la société ne serait pas fissurée, où elle correspondrait à elle-même selon l'image naïve d'un corps (social) équipé de ses membres…

C'est déjà constituer un discours de classe que de considérer qu'il pourrait exister un point neutre où le sujet n'aurait pas déjà, à priori, pris partie.

Ce que Lacan désigne du terme de Réel permet de comprendre l’impossible logique dont il se définit, en tant qu’il est indissociable du Symbolique dont il marque la limite interne: quelque chose qui n’existe pas, ce qui veut dire n’est pas rapportable du plan de «l’être» à celui du sujet (ne peut pas s’écrire ni se représenter) peut cependant ek-sister (hors-Symbolique, tout en lui étant inhérent), comme dans la logique contenue dans la remarque de Sam Goldwin: «Gentlemen, include me out!» ; en ce sens précis, la lutte des classes (qui est au plan collectif ce que la différence sexuelle est au niveau individuel) "n'existe pas" puisqu'il n'y a pas d'élément qui y échappe, personne ne peut l'appréhender "comme telle", "objectivement", car tout corps parlant se situe forcément toujours a priori à l’intérieur de son champ, et ce à quoi on a toujours affaire n'est que l'objet partiel effectif dont la cause absente est "la lutte des classes" en tant que le Réel qui fissure la société en l'empêchant à jamais de coïncider avec elle-même.

Si la lutte des classes est bien à considérer comme ce qui sur le plan collectif se manifeste de la différence sexuelle au plan individuel, il nous est alors possible de catégoriser l’ensemble des «nouveaux paradigmes politiques» comme autant de modalités d’évitement de la dimension politique à proprement parler, conformément aux modalités d’exclusion du Réel traumatique en psychanalyse:

– le refoulement névrotique (Verdrängung): la lutte des classes refoulée revient sous la forme de la multiplicité des «nouveaux antagonismes»: les conflits identitaires, la contradiction des opinions, l’opposition des communautés...

– l’acceptation-par-dénégation (Verneinung): une version actualisée de «quelle que soit la femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère», «quels que soient les nouveaux antagonismes, ce n’est pas la lutte des classes»: l’auto-affirmation individuelle aboutissant à la concurrence de tous contre tous étant érigée en dogme indépassable hobbesien...

– la forclusion psychotique (Verwerfung): la lutte des classes forclose fait retour dans le réel sous la forme paranoïaque d’un ennemi intérieur tout puissant: la figure du juge dans les "théories du complot", le "monstre" communiste...

– le déni fétichiste (Verleugnung): l’élévation en cause principale d’un ersatz fétichiste de la lutte de classe en tant que «dernière chose que l’on puisse voir» avant de se confronter à l’antagonisme constitutif irréductible de la lutte des classes: la "destruction" de la planète, une "pandémie" virale qui comme son nom l’indique frappe TOUT le monde...

Comment conclure provisoirementi?

Comme dans un bon Sergio Leone, cela pourrait s’énoncer sous la forme d’une réplique:

— Tu vois l’ami, le monde se divise en deux catégories, ceux qui auront préféré vivre morts et ceux qui ont choisi de mourir vivant, la bipartition est inégale, et il n’y a dans toute existence pas plus d’une ou deux occasions de choisir son camp, en vérité tu as toujours déjà choisi, et tu ne sais pas que tu le sais...

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millions-dykes · 5 months

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Crossdressing episode babyyyy!! Idk. They're undercover or some shit. Enigma ends up beating some guys up anyways. They hate dresses. Faux is slaying.

(faux once again is @cliban 's little guy <3)

#trigun oc #trigun #my art #doodle #enigma the midnight blade #faux ersatz #ocs #polygun +#trimax #Enigma HAAATES feminity and being feminine but I put them in a dress one (1) time. for the bit

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nihonium-art · 7 months

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Cringetober day 7 : Pinterest Art Base

I don't use Pinterest, and I refuse to out of a deep rooted hatred for this site (light hearted) (I don't want to have to make an account to see Pictures), so I just took a base I found on Google like yee olden days. I don't think the original artist is still active under that name though...

Either way, this one features Enigma, Hope / Rapier, and @cliban 's Faux! I hate his gay ass <3. This would be in an au where Knives get domesticated, btw.

Original under the cut!!

#cringetober #cringetober 2023 #art #trigun original character #trigun oc #oc art #trigun #my art #Enigma the midnight blade #hope rapier million saverem #Faux ersatz #I love them so dearly. my fucking idiots <3

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ultraviolet-cello · 5 months

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self care is fake volume cover for ur ocs [drawn to procrastinate actually drawing comics <3]

Enigma as always belongs to @radioactive-dragonlover [Check our their Trigun blog, @millions-dykes !]

#trigun #trigun oc #trigun maximum #faux ersatz #enigma the midnight blade

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junos-oc-emporium · 7 months

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Day 2 of Cringetober - Self-insert. Both B.K and Faux started off as self-inserts that I made for fun, and then... spiraled. Faux lasted for all of 2 days before he started breaking away, but I think that's very neat of him.

B.K and Faux can be homoerotic (as a treat)

#cringetober #cringetober 2023 #b.k #b.k's impossible testimony #faux ersatz #art #oc

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itswhumpday · 4 years

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Ersatz Emotion | Chapter 1

TW: Nudity. Bleeding. Implied stabbing.

Out of all of the lousy jobs they could get as a mechatronic technician, Caretaker hated working for the police most.

They’d always bring in cleaning bots with pieces of people inside, cooking bots that had cooked pieces of people or pet bots that were battered beyond belief but had still managed to chomp up pieces of a person.

But above all, Caretaker hated when they brought in androids.

Because, you see, at this point in time, you can’t know what’s an android and what’s a human until you’ve had a closer look. So at any given time, officers would barge inside dragging androids across the floor like you would a large trash bag, or on top of their shoulders like a hunting trophy.

And it wasn’t that Caretaker was one of those android rights activists, but there was one fact: androids were marvelous pieces of human ingenuity and at least deserved to be treated with respect.

Caretaker should have known this one would be different when the officer that brought them in was being careful for once. They brought it in like they would carry a sleeping person, in their arms, wrapped around in some old blanket. And as they set it on the counter, it even looked like one. It was definitely a top of the line model, with super advanced programming and delicate microstructures. The most realistic thing Caretaker had ever seen.

“Must’ve cost a fortune.” Caretaker said, touching the soft skin of the face. It even had freckles. It was motionless and grey, lips and eyelids with a bluish tint. That was probably due to the deactivation of the energy core, that wasn’t sending signals to the fluid pump. Looked a lot like a corpse if you’d never seen a deactivated android before.

“We wouldn’t know. The owner went missing.” The police officer was looking everywhere but the android. They clearly weren’t used to such realism. No one really was. This level was really new. The android being completely nude under the blanket didn’t help.

“Do you know what’s the damage?”

“No idea. It was already broken when we arrived at the apartment.”

“Anything I should know about the owner?”

“A rich type. Worked with those things, that’s why that one is so new.” The officer said, risking a look down at the android. They quickly looked away, shaking their head.

Caretaker nodded. “I’ll take a look at it. When do you need it?”

“As soon as possible.”

Of course. Of course it was.

Caretaker clears their table in the back before bringing in the broken android. They had been working on other things, but their regulation required they attended to police cases earlier than other machines.

As they raised the android in their arms, they tried to suppress a shiver when they found the exact weight of a human body. The head tumbled back, exposing the frail neck. The eyes unveiled slightly, revealing the white sclera of eyes. Their lips parted faintly, showing the glint of something blue inside.

They lay the android carefully on the table. They rolled it to the side, looking for the spot at the back of their neck that would allow them to peel off the skin and turn on maintenance mode. It's right there, where the neck meets the back of the head, right under the hair. They peel a little bit of it and poke the small button with the thinnest tool they had. They press it for ten seconds and the android’s body stiffens. Maintenance mode protects all of the fluid inside the skin so Caretaker can peel it off and assess the damage without losing fluid.

They laid the android back on their back, watching. Now that they’re close, they can see damages to the skin, here and there. They have a dark tint, but they’re almost gone now. If Caretaker didn’t know any better, they’d think it was bruises.

That couldn’t be, though. If you’re buying a machine, why would you want it to show damage if it got it?

They take a knife and start to feel for the entrance to the chest plaque. It’s normally along the collarbones. They push the tip of the knife in carefully until they find the correct place. They follow it to the left, and then down across the belly and all the way around until they’ve cut a squared shape in the skin. Since maintenance mode was on, no blood came out - but it was still weird to cut skin open.

Caretaker peels it to the side, revealing the chest plate. Although it’s cavity was just like the ones they’d already worked on, it had a completely different design. Normally, it was a metal plate covering the crucial parts of an android. This one, however, has been shaped like it would be in a human body. Looked like a ribcage.

“WHPEE-7” Caretaker reads from the inscription near where the sternum would be. “You must be really new… I don’t even have a manual for you yet.”

Not much varied from model to model. Most upgrades in realistic androids like these were in the processing units, new programming features, like daydreaming or lip biting. One or two core pieces changed every few years, but nothing too hard to get if they didn’t have it. This one, however, didn’t seem all that different from other WHPEE models they’d worked before in the past - except for how complex they looked.

Caretaker was able to find the button to open the chest plate where it was normally located. The faux ribs retracted on themselves, moving out of the way in a display of marvelous engineering. They looked down, noticing all of the pieces were the same, but arranged in ways that resembled a human body more. The pump on the left side of the chest like a heart, the energy core split in two units like lungs. Even the mess of cables was organized to look like a stomach. They’d been made to look as human as it got. But what for? No one was supposed to look at the inside…

And it was badly damaged too. Caretaker soon found the source of the stains they’d seen in the skin. Fluid had spread all over the cavity, coming from some unknown location. It would take forever to clean it up - and it might have fried something. But they’d have to do it before even trying to turn it on and run a diagnostics.

Caretaker sighed. It would be a long night.

***

Bit by bit, Caretaker took out the pieces, cleaned the fluid in them and put them back in place.

Androids like these weren’t made to be taken to maintenance places like Caretaker’s. They weren’t machines that you could simply take apart. Most things were industrially produced to not be moved and it took way too long to mess with them - and every time risking to permanently damage it. No, androids like these were normally sent back to the factory, where specialists would have all of the necessary tools to remake them from scratch if it was necessary.

Although, in cases like these, it was probably cheaper to recycle the android, make a new one and implant some core memories. Memories were tricky to program into a new body, but still less tricky than messing with the insides.

Still, Caretaker didn’t tell their clients that. They told the investigators it would take longer - and they didn’t know how long. They were intrigued. The WHPEE factory website didn’t say anything about this model - and it was a peculiar one. If it wasn’t even out in the market, why was it in someone’s home?

And there was the matter of the damages…

The first and most apparent one was the crushed windpipe. It was the entrance of air that led to the energy core, where it would be transformed in kinetic energy by very small devices. And by crushed Caretaker meant… Really crushed, like a soda pop can. Thankfully, they had the same one as the WHPEE-3, the first one of the line with this kind of energy core. Thankfully, it wasn’t the energy core itself. Caretaker had never seen a smaller or more advanced one, let alone have one to spare.

The other damaged pieces were very similar: warped, torn and cut open. Caretaker could only imagine what could have caused such a thing. At first they thought it might have been an accident, until oxidized fluid from several occasions told them that this android probably had been operating with such damages for a while before stopping functioning. They wondered why the PAIN sensors didn’t alert the owner.

Except… If it had.

Either way, it wasn’t their place to keep concocting stories. Finally, after a long week, everything was clean. They took short breaks from the project to finish other overdue repairs, but it was hard to concentrate on anything else when there was a body stretched over your workspace.

Keeping maintenance mode on, they pressed the reset button on the fluid pump - an odd choice, since the button was normally in the energy core. There was the glint of a light and then of another, while the android turned on. Normally, when maintenance mode was on, they automatically ran diagnostics when restarting, so they connected their monitor with one of the info-cables they could find running inside of the chest panel.

Lines of diagnostic flooded the screen in red and green. But Caretaker didn’t even have to look at it to know something was wrong. As the pump began to work and the energy core started to fill in and out, the android opened their eyes and gasped.

A painful sound escaped their throat as their arms started to move, eyes widening in what could only be described as fear. They looked down at themselves and touched the skin peeled to the side and let out a scream. Their head tumbled back, eyes closing. Caretaker almost fell out of their chair trying to pull back. That’s not how PAIN sensors were, they were supposed to just be alarms to the owners, they weren’t supposed to have programming like this.

This was clearly… Homebrew.

The sound of the breathing cycles were troubled as Whumpee opened their eyes again and looked around. They found Caretaker. The screen popped a warning. DANGER. DANGER. DANGER. ENERGY CORE DAMAGED. Their hand hovered in that direction but fell flat, weak. As Caretaker watched horrified, Whumpee coughed. Blue fluid came out of their mouth. Caretaker looked back at the chest cavity. There it was, a leak in the energy core. They thought it was a design element, a small empty path amongst the pieces. But now they saw… It had the perfect shape of a blade.

Caretaker ran back to the table, grabbing a cloth and pressing it over the leak. It soaked up the cloth, but the energy core was able to run a little smoother, expanding and contracting.

The Whumpee closed their eyes, their troubled breathing filling the workshop. Caretaker saw a glint and couldn’t believe their eyes. The eye cleaners were spilling out. Crying. Someone had programmed this WHPEE-7 to cry. Why would anyone want that? A mix of a groan and a sob came of their mouth, shaking their chest.

“P-please. Don’t move.” Caretaker said, holding the cloth in place.

Although the color had returned to their face, with the speed of the leak and maintenance mode activated (and therefore the fluid stored in the skin not circulating to the energy core), it was draining again. Caretaker checked the diagnostics. It was still at 67%. If they could hold a little longer…

But it didn’t seem like it would. With a damaged energy core and the limited supply of fluid circulating, the fluid pump was working faster and faster to keep the body energized. Whumpee’s arm tried to touch the left side of their chest, sobbing weakly and furrowing their brows.

That’s it. It was too weird. Caretaker had to deactivate it. They grab their keyboard, leaving the cloth aside. They push the diagnostics (72%) aside to a smaller window and open the access to the mainframe. A block showed on screen.

“What?!” This is not factory protocol. All mainframes should be able to be accessed by technicians. But whoever programmed this android to feel pain, programmed it not to accept overrides from non-authorized machines.

Caretaker jumped when their monitor was pushed aside. They looked at Whumpee, startled. They’re weakly grabbing at the soaked cloth, the only thing keeping them from deactivation. The fluid has already spread over the pieces Caretaker had so carefully cleaned.

“Get… Out… Of… My… Head…” Whumpee managed to say, coughing up more fluid. “Help… Me.”

Caretaker checks the diagnostics. 79%. All the police need is the memories. Diagnostics makes a backup copy of the last week of the android when it’s finishing up, so the technicians can know the cause of the damage and if there is a need to send the android back to the factory. They just need to keep the android active until then, that’s their job.

But when they press the cloth against the energy core, the Whumpee’s weak hand holds it in place. They choked in pain, but didn’t move.

“Who did this to you?” Caretaker asked, looking around to try and find another cloth. They have some fluid laying around, but there’s no point inserting it with maintenance mode on.

“Th—” The Whumpee is shaken by a slight tremor. “The bastard.”

“Who? Your owner?”

“Th— The son.” Whumpee managed to say, their voice dying inside of their throat.

84%. The screen continued to alert to fatal energy core damage.

“Was he the one who damaged you?” Caretaker demanded.

A new alert popped on the screen: dangerously low fluid circulation. Shutting down the processing unit. Conserving energy.

“Prog— Programmed. Then… Damaged—” Whumpee choked on the blue fluid that came out of their mouth and coughed. Then gasped and their eyes rolled back. Their hand, on top of Caretaker’s, went limp. The other mechanical elements kept working though, even if a bit dysfunctionally from the leak.

Unconscious. Someone had programmed the Whumpee to get unconscious - or at least look that way. They’d seen energy conservation modes before, but they’ve always looked like deactivation. Someone had programmed this one to look like unconsciousness. This case was getting weirder by the minute.

93%.

Just a little longer and they’d have something to give the police and it wouldn’t be their problem anymore. They could go back to fixing simpler machines - machines that didn’t cry from PAIN.

99%. They were drenched in fluid. It was filling up the chest cavity despite their best efforts. It wasn’t ideal, but most of these components were fluid proof. But something should not be properly patched, because there was a blue glint of something electric.

Caretaker’s rubber gloves protected them when there was an electric shock that made the WHPEE-7’s body spasm. Their head lolled to the side, fluid dripping out of their mouth and slowly coming out of their nose. The pump stops. Seconds later, the energy core. Whumpee turns grey again.

And the monitor had stopped at 99%.

#robot whump #android whump #ciber whump #whump #mechanic caretaker #scifi whump #here i go again with another series #do i ever learn #i think there will be 6 chapters

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claudehenrion · 3 years

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De quoi Zemmour est-il le nom ?

Encore un sujet dont j'aurais bien aimé ne pas parler... Alors que c'est encore un vrai non-candidat (et donc.. rien d'intéressant à en dire), le microcosme s'affole, la médiasphère s’exaspère et les dîners-en-ville n'arrivent pas à parler d'autre chose : même le répugnant covid passe au second plan, c'est tout dire ! Eric Zemmour, officiellement absent de la course à l’Elysée, est devenu l’Arlésienne : on ne parle que de lui. Depuis que les nuls l'ont viré de C8 pour le faire taire, il enchaîne émissions à succès, matinales et débats, et il fait les ''unes'', de Challenges à Marianne. De kiosques en affiches collées par son Fan-Club, on ne voit que lui. Mais de là à me faire écrire un ''billet''... il y a ce qui sépare l'envie du devoir !

D'un autre côté, comment ne pas parler de ce sujet hyper-brûlant ? Eric Zemmour affole les chiffres : ceux des ventes –près de 100 000 exemplaires de son dernier bouquin vendus en une courte semaine– et ceux des audiences. Même pas encore candidat à la présidentielle, Eric Zemmour est déjà le roi de l’audimat, comme il l'a démontré jeudi dernier, lors du débat tellement commenté avec JL. Mélenchon, sur BFMTV. Cet improbable mais excellent non-dialogue ''à deux fois un'', fertile en invectives et en belles envolées de part et d’autre, a réuni, selon les heures, entre 3,8 et 4,2 millions de téléspectateurs (pdm entre 18,7 et 20 %, et d'avantage pour les moins de 50 ans : la politique peut donc intéresser les jeunes). Face à ces chiffres-record pour BFMTV, une contre-performance pour France 2 où, au même instant, Valérie Pécresse, en course pour représenter la droite à la présidentielle, débattait avec Gérald Darmanin. Ces 2 ex-stars ex-confirmées ont à peine réuni 1,05 million de téléspectateurs (un petit 5,1 % de ''pdm''). Sic transit gloria mundi !

Ce succès n’a rien d’étonnant : le ''profil'' de Zemmour secoue la France endormie, anesthésiée par cinq ans d’un macronisme délétère aggravé par le traitement de la pandémie. Il occupe la place… que trop d’hommes politiques lui ont laissée par leur inconsistance, leur silence, leur suivisme aux (mauvaises) idées du moment, et leurs contradictions permanentes. Ceux qui se plaignent de son omniprésence sont bien en peine de lui opposer quoi que ce soit, gens ou idées. Or la politique, tout comme la nature, a horreur du vide. Il y a bien quelques ectoplasmes qui essaient de croire qu’une candidature sur l’ex-espace des Républicains aurait un sens : on pense à un Michel Barnier, à une Valérie Pécresse et à son clone masculin Xavier Bertrand, et même à Eric Ciotti, plus original : tous, perdus dans le brouillard, ne survivent qu’en singeant ''l’éditorialiste-très-controversé'' (alternatives : ''polémiste, conservateur, contesté, populiste, raciste'' --Un juif raciste ! Ah ! les cons !)...

Que Zemmour soit l'un, l'autre, ou tout à la fois, au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, Xavier Bertrand n’a pu que se positionner par rapport à lui, et n’a pu imposer sa personnalité --si tant est qu'il en ait une : il réagit, il nuance, il dit qu'il refuse les ''amalgames du polémiste'' (dont ils parlent tous, sans pouvoir en citer un seul)… pour finir par faire croire qu'il se ralliait à l'idée du risque de guerre civile en France. Quant à Valérie Pécresse, elle n’en finit pas de courir après ce qu'elle croit être ''une droite'' qui n'est que suivisme et fantasmes, tout en faisant croire qu’elle ‘’se méfie de l’Europe et de l’immigration’’... C’est une nouveauté, dans son discours, qui ne réussira pas à faire oublier qu’elle a couru se mettre en avant à la fête de l’Huma mais qu’elle a refusé d’apparaître, hier, à la ‘’Journée des Conservateurs’’. Espérons que les électeurs tireront les conséquences de ce positionnement !

Du côté du Rassemblement national en revanche, les choses sont assez claires, en le devenant de moins en moins. Les interventions médiatiques des membres du Parti se succèdent, et entérinent une utilisation de plus en plus systématique de la langue de bois journalistique et de la vaine recherche d'un équilibrisme idéologique sans substance. La communication de Marine Le Pen durant ces derniers jours a été occupée par la privatisation de l’audiovisuel et la nationalisation des autoroutes ou par la maladie d’Alzheimer. De la ruralité à l'énergie, elle tire dans toutes les directions pour être sûre de cocher toutes les cases, de visiter toutes les niches. Mais sans une ''vision'' (qu'avait son Père), ces questions restent des détails de l’histoire, osé-je dire sans jeu de mots. C'est simple : aux énormes saupoudrages irresponsables à coups de millions et de milliards près, on dirait du Macron ! La campagne présidentielle n’a pas encore vraiment pris son envol, et les gens sensés frémissent d'avance devant les promesses ravageuses qui vont déferler dès qu'elle aura commencé. Pour le moment, elle piétine, cantonnée dans les limites étroites de la médiocrité des candidats déclarés qui ne rêvent que de se construire un ersatz de destinée et de gloriole, sur le dos de la France et des français. Il est temps de reprendre de la hauteur, et Eric Zemmour l’a compris. C’est pour cela sans doute qu’il suscite un tel engouement, provoque un tel rejet (pas des mêmes) et est menacé de mort. Pour cela et parce qu'il a déjà gagné une bataille, pour le moment : c'est lui et lui seul qui fixe les agendas et qui dit de quoi on va parler (fut-ce pour que ses adversaires de Gauche, étonnés que quelqu'un ose dire leur quatre vérités... après des décennies où on les a laissé dérouler le tapis rouge-sang de leur nullité, de leur prétention et de leurs idées perverses, se déchaînent contre ce perturbateur qui ose dire ''il existe une Droite qui n'est pas ''de Gauche'' !

Quant au microcosme médiatique, il ne sait que réagir stupidement, en contrant avec des chiffres pipés et l'aide d'Hervé Lebras (c'est tout dire !) chaque affirmation de Zemmour, comme ils ont pris la très mauvaise habitude, pendant la crise dite ''du covid'', de raconter n'importe quel bobard en le présentant comme scientifique, puisque contre-signé par des prébendiers dont la crédibilité a disparu depuis longtemps. On peut dire : chapitre ''contre-productivité, difficile de tomber plus bas. Car si on sait depuis Renan que toute grande nation est un mélange de races, on sait aussi que l’unité d’une nation repose sur un ensemble d’éléments mis en commun : une histoire, des mœurs, une culture... et une religion dominante (c'est même la seule définition d'une civilisation !)... et la volonté de les perpétuer....

C'est tout ça, dans le fond, qu'on reproche à Zemmour, en parlant d'autres choses hors-sujet (sa manière d'être, ou de dire, ou de taire, etc...). Quand on les pousse dans leurs retranchements, les sophistes fabriquent des ''distinguos'' farfelus entre l’est de l’Europe, où c'est la nation qui aurait créé l’État, et l’ouest de l’Europe, et surtout la France, où c’est l’État qui a fondé la nation : les vingt rois qui ont fait la France, puis la République, ont ''accouché'' d’un peuple de citoyens. Ces raccourcis manichéens mériteraient d’être nuancés, mais ils ne sont pas faux sur le dernier point. C’est précisément là et pour ça que la France se trouve en grand danger.

Depuis une quarantaine d’années, la communauté de citoyens se désagrège au profit (?) d'une ''société des individus'' qui ne veulent connaître et reconnaître que leurs droits, et aucun devoir. Ils ne voient l’État que comme un distributeur de services et de lois pour satisfaire leurs moindres caprices d'individus sans racines et sans histoire, qui se rêvent ''citoyens du monde'' détachés de tout ancrage national. Ils ne connaissent ni territoire ni peuple, ils se côtoient sans se fondre dans un ensemble unifié et cohérent, et ils ont le culot d'appeler ''république'' une juxtaposition d'individus qui n’a rien à voir avec la République des citoyens. C’est dans ce vide abyssal que sont venues se loger des diasporas islamiques de plus en plus nombreuses, liées par les notions archaïques de famille, de clan, de religion, et qui importent ces archaïsmes au sein d’une postmodernité aveugle qui veut ne voir en eux que des individus isolés. Les plus habiles représentants de ces diasporas ont bien compris l’usage qu’ils pouvaient faire de notre libéralisme pour dynamiter les restes de l’État-nation et de la République, s’émanciper de feu-leur tutelle, et imposer dans des enclaves devenues étrangères sur notre sol, la ‘’Charia’a’’.

''Zemmour'', en fin de compte, pourrait n’être que le nom d'une manière de voir et de prévoir le futur qui ne tient aucun compte des mensonges mille fois répétés, ressassés jusqu'à nous rendre aveugles, sourds... et même muets (de lassitude) devant une menace démographique et civilisationnelle qui est assez probable pour qu'on ne passe pas à côté d'elle sans la voir, et sur qui devrait concentrer toute notre attention... même si --ce que j'admets volontiers-- le pire n'est jamais la seule issue (les myopes-par-système appellent cette métonymie synecdotique : ''un amalgame'', ce qu'elle n'est pas.). On en reparle bientôt : on n’y échappera pas !

H-Cl.

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