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#la femme aux bottes rouges
crumbargento · 1 year
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Catherine Deneuve in 'La femme aux bottes rouges' - Juan Luis Buñuel - 1974
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rwpohl · 5 months
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киевские фрески - kiev frescoes, sergei parajanov 1966
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mmepastel · 7 months
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Je viens de finir cette merveille. Ce roman finlandais a été remarquablement chroniqué sur le site en attendant Nadeau, à qui j’emprunte mon introduction ci-dessous :
« Il ne faut pas lire Gorge d’or, premier roman d’Anni Kytömäki, pour se distraire ou passer un bon moment, mais pour éprouver physiquement la texture des pas lors de la traversée d’une tourbière, pour se réjouir du martèlement d’un pic noir sur un pin. Pour avoir les larmes aux yeux parce qu’un nom est écrit dans une botte, pour être bouleversé par une écriture à la fois simple et précise, lyrique et hypnotique, qui conduit jusqu’à une intensité incroyable les sentiments des personnages. Pour être émerveillé par la délicatesse et l’intelligence d’un art romanesque qui sait trouver dans le rapport intime à la nature la part de bonheur nécessaire pour que survive l’affection entre un père et sa fille, sur fond d’histoire troublée de la Finlande entre 1903 et 1937. Et si le grand livre de cette rentrée littéraire était un roman décrivant principalement des marches au fond des forêts finlandaises ? »
Ce livre est énorme. Plus de 600 pages, écriture serrée. Il est très contemplatif, parfois lent. Et pourtant je l’ai lu goulûment, avec avidité.
C’est tout d’abord une très belle histoire de filiation, entre un père, Erik, et sa fille, Malla ; ils nouent un lien indestructible, viscéral, en partageant leur amour et leur fascination organique pour la forêt finlandaise. J’ai été bouleversée par leurs destins complexes dans cette première moitié du XXe siècle, où la Finlande a été secouée par la première guerre mondiale, la révolution russe, l’indépendance durement acquise, la chasse aux communistes (les Rouges), la famine, la pauvreté.
Dans la première partie du livre, on suit l’évolution d’Erik, fils d’un riche propriétaire terrien qui se soucie principalement de s’enrichir, en vendant du bois, et en modernisant les accès à la forêt. Erik, lui, tient plus de sa mère, pourtant jugée dérangée, qui aime les histoires, et la nature. Elle lui en raconte de nombreuses, l’initié à la magie de la forêt, au secret des correspondances inexplicables, avant de ne plus pouvoir le faire. Sa première épreuve sera de perdre cette mère précieuse, mais beaucoup d’autres l’attendent, liées au contexte politique globalement hors champ mais dont on sent bien les répercussions. Amoureux d’une insurgée, perdu, il s’échappe vers le nord, et expérimente la solitude radicale.
Puis, un peu plus tard, redescendu vers le manoir familial, il devient père ; sa femme doit vite être écartée de lui aussi, je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher votre lecture. Il semblerait que chaque être féminin qu’il aime soit condamné à un exil forcé. Il en va de même pour sa fille, Malla, qu’il a quand même la chance d’éduquer jusqu’à ses sept ans, et à qui il transmet le goût de la forêt.
On suit le destin de Malla dans la deuxième partie du roman. Elle aussi doit faire face au rejet qu’on voue à ceux qui n’étaient pas dans le bon camp lors de l’insurrection. On la force même à changer de nom. L’ombre étonnante d’un ours apparaît aussi, et la silhouette d’un vagabond (lui aussi rejeté pour son ascendance révolutionnaire) qui lui apprend à communiquer avec l’ours. Ils veulent le protéger des hommes qui ne manqueraient pas de le transformer en proie de chasse. On pourrait dire qu’à force de marcher dans la forêt par toutes saisons, à force d’en connaître chaque plante et animal, tous deux sont en osmose avec la forêt, et avec un certain esprit magique, ancestral, issu du folklore ancien de la Finlande, lorsque nature et humain ne se distinguaient pas autant, et où la forêt était souveraine.
C’est en cela que le roman a une dimension souterraine politique et écologiste très forte. La compréhension respectueuse d’Erik ou de Malla de la forêt est précieuse mais en danger par la course au profit et la modernité mal réfléchie.
Depuis mon canapé, j’ai adoré lire ce livre. C’était une expérience quasi sensorielle, physique. On entend craquer le gel sous les bottes de Malla, on sent sur sa langue les myrtilles qu’elle cueille, affamée, on sent les effluves des pins, la brume odorante qui émane de la tourbière au matin, c’est assez extraordinaire. Dans une langue simple mais sans cesse surprenante, Anni Kytömäki nous envoûte, nous promène et nous broie le cœur. Une merveille qui ressemble à un long voyage bouleversant.
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intello-coquin · 1 year
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080- Correspondante avec bénéfices (07AVR23 6/6)!
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Embarquons dans un nouveau chapitre de cette aventure qui m'a marqué au fer rouge des booooooons feelings! Vous pouvez lire les billets (si vous ne l'avez pas encore fait) 055 - 060 - 066 - 070 - 075 pour les parties de l'histoire que j'ai déjà racontée. Ce billet est justement une suite logique de l'aventure. Mais non, je ne ferais pas comme Netflix, vous n'aurez pas besoin de skipper le résumé des épisodes précédents. J'en suis arrivé au sixième chapitre, originellement prévu au scénario, mais je dois dire que ça va aller au-delà de six épisodes. On commence avec; une première fois chez elle!
Par un vendredi après-midi ensoleillé et frais, l'hiver a déjà commencé à installer un manteau blanc de neige et une mare de gadoue grise. Je ne me souviens plus si j'avais pris un petit congé, mais mon adorable compagne a sacrifié quelques heures de sommeil alors qu'elle est en chiffre de nuit. Son adresse postale me conduit dans un secteur de la ville fusionnée inconnu pour moi. Oooooh, chanceuse! Mon amie est une riveraine de grande rivière, petite plage à proximité, quartier résidentiel faiblement densifié. Un rêve pour ceux qui aime la campagne à la ville et les femmes rondes bucoliques.
« Wooooow, c'est ici »! Son adresse, sa voiture, sa galerie, ses courbes! Elle est là, qui m'attend, en manteau d'automne zippé jusqu'au cou, un sourire gourmand et.. les jambes nues dans des bottes d'hiver Acton. Elle m'avait averti que sa maison est énorme, sans qu'elle n'en soit la propriétaire, une location à long terme qui commence à lui coûter cher. Le propriétaire du lot lui fait des pressions pour qu'elle en devienne l'acquéreur, le marché de la revente est en mode haussier vertigineux.
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Une étreinte cou à cou de durée indéterminée sur le perron, en me souvenant qu'elle ne voulait pas de frenche interminable, c'est réservé pour un futur chum 🥺. On entre, on fait disparaitre les vêtements d'hiver. Ce que je vois d'elle, je sais que c'est ce que j'ai toujours secrètement rêvé. Ce que je vois? C'est l'harmonie des rondeurs! Je suis certain que c'est Michel-Ange qui a créé cette femme! Ses courbes dissimulées sous une nuisette blanche format mini, je suis d'ores et déjà près de l'orgasme!
Puis, elle me prend une main pour me guider vers l'escalier qui monte à l'étage des chambres. Cet escalier, pourtant bien ordinaire, il est imprimé quelque part dans mon cerveau, là où même l'Alzheimer ne pourra étendre ses griffes. Elle monte devant moi et ce que j'y vois me fait encore capoter en 2023 (nous étions en 2015). La courte nuisette permet d'y voir les grosses fesses dodelinantes à chaque pas, les cuisses dodues se durcissant en montant l'escalier, les hanches toutes en courbes se balançant, les longs cheveux suivant la courbe du dos.. wooooow.. c'est une ange qui m'amène au paradis ou c'est la dame blanche qui m'attire dans un piège pour me condamner à me noyer dans son jus de chatte pour l'éternité.. ooooooui! Si vous saviez comment je suis bandé en écrivant ce passage!
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Vite vite, elle me fait faire la visite de l'étage, jusqu'à sa chambre au grand lit blanc, à la lampe de chevet qui laisse filtrer une douce lumière (sans bas culotte sur l'abat-jour), aux rideaux de fenêtre adaptés aux travailleurs de la nuit et à ses portes miroirs étincelants de la garde-robe.. une chambre nuptiale! Mes vêtements disparaissent magiquement, une verge dressée devient le centre d'attention du regard de la belle!
Elle se met à genoux, sachant sa bouche avide de sexe, elle attaque ma queue de coups de langue qui vont droit au but; elle sait où est ce spot tellement sensible, entre le gland et la hampe. Elle surveille ma réaction, voyant certainement que mes yeux brillent de feelings. Elle libère ses gros seins déjà gonflés d'excitation.. huuuum.. je capote ma vie! Watch out, le point de non-retour est tout près.. je rejette sa bouche.. un cas de force majeure. « Je veux te boire chérie, écarte tes jambes. J'attends ce moment depuis un bout ». Oui, sa vulve format plus que pour la langue, me hante encore aujourd'hui.
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Ben oui, c'est à mon tour d'amener la belle vers d'autres ressentis. Ma langue ne se tanne pas de goûter ce jus au goût âcre et salé, qu'elle me donne abondamment. Tirer et lécher, souffler et aspirer, pousser ma langue dans son vagin à l'image de sa grosse vulve, incroyable! Téter ce clitoris, le rouler sous la langue, résister aux spasmes des jambes qui suivent les cris de ma maîtresse! Oh.. le jus du minou devient abondant et coulant comme les érables à la Pâques, salé et acidulé.. je comprends ici que c'est une femme fontaine, hihihi! Je n'y résiste plus, j'enfonce un, deux puits trois doigts.. my god.. je pense que mon bras peut y entrer! C'est assez.. elle me tire vers elle et place mon pénis en contact avec la chaleur de sa vulve.
Si vous n'êtes pas un homme, vous ne pouvez savoir comment ça rend fou que de placer un gland de queue sur une vulve. Oooooh.. je n'ai pas mis de condom.. un combat intérieur m'anime.. je pénètre ou non? On se regarde quelques secondes, un petit mouvement de bassin de sa part pousse mon gland dans l'entrée du paradis. J'y pousse ma verge à l'intérieur, un centimètre à l'heure, profitant de tout ce plaisir qui rend dingue. I-n-c-r-o-y-a-b-l-e-! C'est comme si c'était la première fois de ma vie que je pénétrais une femme. Vraiment, chaque entrée et sortie est un Big Bang de feelings.
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Toutes les positions du kamasutra adaptée aux femmes bien en chair y passent, incluant ce cowgirl où le passionné de gros lolos en moi en a eu pour son argent! Les auréoles gonflées de plaisirs avaient quelque chose d'hypnotisant. Les cuisses de mon hôtesse enhardie par cette cavalcade étaient sublimes. J'ai tout fait pour résister à la tentation de soulever la nuisette et d'y plonger mes yeux d'envie.
Elle prenait plaisir de sucer ma queue quelques secondes entre chaque changement de position.. la chanceuse.. goûter une queue couverte d'endorphines de jus de chatte. Je pousse mon hôtesse sur le dos, avec quelques va-et-vient de la main. Mon sexe n'en peu plus, ce point de non-retour est traversé, mon cerveau commande une éjaculation. Ooooooh, je laisse aller une longue giclée de foutre sur les seins, ce qui me vide pratiquement de toute mon énergie vitale. Wooooow!
Après un long moment à se chuchoter des mots doux, mon amie me conduit à la douche. Je sais d'avance que je vais m'y rincer en mode solo, mais quand même, ma compagne m'achale au travers le rideau, ayant gardé ses seins en mode libârté! Alors que je retourne à la chambre, je découvre un félin bien dodu qui s'est étendu sur mes vêtements! En tant qu'amoureux des chats et des chattes (hihihi!), le spectacle est adorable.. c'est le coup de foudre ronronner entre nous deux, le minou et le matou!
Mon ange m'attend en bas, un verre d'eau bien froide pour que je puisse d'étendre mes jambes vidées de tonus. On placote, on se minouche, on se désire jusqu'à ce que la vie nous prépare un nouveau rendez-vous, ici! Comme on dit, to be continued! Merci encore de votre passage sur mon blogue!
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claudiomz · 1 year
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Mais ce n’est ni tes couteaux, ni tes prisons, ni tes bottes, ni même tes matraques qui me font si peur.
C’est ton sourire.
Ton sourire à l’émail parfait, à la blancheur de soie, de parfaite splendeur. L’alignement parfait de cette dentition de vainqueur, d’orthodontie scrupuleuse. La sordide méticulosité de tes rendez-vous jamais manqué pour une hygiène impeccable dans ce cabinet du XVème arrondissement au pied d’une tour Eiffel aussi hautement dressée que ta propre suffisance.
Un sourire qui me dit que moi, je ne fais rien d’autre que lecher le peu de miette que tu laisses sur ton passage, toi qui suce la terre jusqu’à en faire pleuvoir des larmes acides sur nos landes infertiles et exsangues, toi qui pisse dans les fleuves des torrents de stupres et des cataractes de pots de yaourt sang pour sang bio, qui jettes jusqu’aux plus hauts des Pyrénées, des sacs entiers de crème à faire la fesse douce et la pensée flasque.
La peur de ton sourire, la haine de ton nom.
La haine rouge qui me tient le fond du ventre. Elle me brûle les entrailles. La peur de toi ou la haine de toi me font pâlir, car, je me vois me pervertir. Perdre le mien, de nom. De doux agneau de dieu, de doux chérubin amoureux du ciel, des nuages, des mousses et des prêles, je me vois devenir de que tu es, porteur de la haine de l’autre, Sheitan de gratte-ciel de zone d’affaires. Je me vois succomber à ton sourire. Je me vois parfois m’en revêtir.
D’aucun avait écrit un très beau texte “vous n’aurez pas ma haine” ; les coups de butoirs sans cesse répétés des laideurs urbaines en 4 par 3 ou sur mon fil d’instagram me font craindre que ma haine pourrait venir sous peu grossir tes rangs d’arrogants vainqueurs.
Non, je ne veux pas de ça, ni pour moi, ni pour ma femme, ni pour mes enfants, pas plus pour mes patients que pour mes amis.
Je crois en la force des mots, de la tendresse et de la pensée sur ton sourire d’alligator.
Je crois à la douceur de mes bras, fermes et aimants autour des épaules des gens que j’aime, je crois à la lumière du soleil du matin sur la rosée d’une toile neuve d’Epeire dans un troène au jardin.
Je crois aux larmes partagées qui jaillissent comme un baume sur les plaies de nos douleurs. Je crois aux rires qui s’élèvent haut au firmament. De ces rires qui résonneront toujours dans mon cœur, y compris lorsqu’il aura cessé de battre. Lorsque fatigué de parcourir les sentiers de cette terre, je souhaiterai mourir, je rejoindrai heureux les cieux tapissés de rires et des larmes de mes enfants et les dernières couleurs que j’emporterai avec moi seront celles de leurs yeux.
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filexquil90 · 1 year
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Tout ce que vous devez savoir sur les chat roux !
Apparence génétique, taches de rousseur, personnalité différente .. Voici un article détaillé sur tout ce qu'il y a à savoir sur les chats roux et leurs traits étonnants.
La couleur de leurs cheveux est causée par la phéomélanine : la phéomélanine est l'un des deux pigments constitutifs de la mélanine biologique, et l’un des couleurs les plus attractifes des chats en général. Il est présent en faible quantité dans tous les types de pelage et légèrement plus élevé chez les chats à poil roux. C'est donc ce pigment qui est responsable de la couleur rouge de notre chat !
Pourtant, ce rouge cache d'autres couleurs chez les chats roux, l'expression du gène orange masque l'expression du gène noir. Par conséquent, la nuance de rouge dépend de la couleur cachée.
Par exemple, l'orange dit "rouge" peut cacher du noir et du chocolat. Les chats au pelage crème (rouge dilué) préfèrent couvrir le bleu, la lavande ou le fauve.
Il existe Différents types de robes rouges, en effets toutes sortes de robes rouges peuvent etre trouvés chez cette race ! Le rouge signifie que la jupe peut être orange, rouge ou sable. Alors que la plupart des chats roux sont des tabby, certains peuvent être bicolores et d'autres peuvent n'avoir que des taches fauves.
Nous avons le motif "maquereau", qui a le même aspect que les écailles de maquereau. Nous avons également repéré la robe marbrée, qui ressemble à la jupe tigrée mais qui a des rayures plus larges partout.
Les chats de toutes races peuvent avoir un pelage fauve. Le pelage roux apparaît tout autant chez les chats de race que chez les chats européens. Chez les chats de race pure, les poils roux apparaissent sur les chats Maine Coon et Persan.
Seules certaines races de chats autorisent le gingembre, en effet pour certaines races de chats, un pelage roux peut même être utilisé comme critère d'exclusion pour l'éligibilité au LOOF. Par exemple, le rouge est "autorisé" dans les races Maine Coon, Persian, Norwegian Shorthair et British Shorthair.
Génétiquement, on va faire simple : le gène "O" est directement lié au rouge. Il a la particularité d'être porté par le chromosome X, il est donc directement lié au sexe. Un homme a un chromosome sexuel X et un chromosome sexuel Y, et si son chromosome sexuel X porte le gène O (XoY), il est rouge, sinon il est d'une autre couleur (XY). Une femme a deux chromosomes sexuels X et elle n'est rouge que si les deux gènes X portent le gène O (XoXo).
Nous savons que les chats écailles comme tout type de chat célèbre et de tortue sont majoritairement des femelles, alors que les chats roux sont à l'opposé, avec environ 80% de mâles et seulement 20% de femelles.
Comme mentionné ci-dessus, pour les femelles, les deux parents déterminent la couleur du pelage, elles doivent donc avoir deux fois le gène orange. C'est pour cette raison qu'il y en a moins !
Les chats roux ont des taches de rousseur : tout comme les humains, nos compagnons chats roux peuvent avoir des taches de rousseur. Ils ne sont pas faciles à repérer, mais sont généralement visibles au niveau du museau et sont très mignons ! Contrairement aux humains, nos chats ont des taches de rousseur noires.
Le chat le plus célèbre au monde est Ginger, par inspiration chat roux! La côté cinéma est également présente, on pense d'abord au fugitif au grand cœur, quelqu'un qui n'a rien pour l'arrêter, le couteau le plus aiguisé de tous les temps, prêt à lécher une bonne leche. Qui est-ce ? le chat qui porte des chaussures ! Le Chat Botté est apparu dans La Légende de Shrek et est sans aucun doute le chat roux le plus célèbre au monde. Avec son chapeau, ses bottes et son épée, il a séduit des millions de cinéphiles, en particulier la façon dont ses yeux humides suppliaient.
Apparemment, la couleur de vos vêtements n'affecte pas votre personnalité ! Cependant, les parents de chats roux les décrivent parfois comme un peu jaloux. A part ça, ils sont aussi décrits comme étant très affectueux, de vrais pots de colle et adorant se blottir dans nos bras !
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succoflood · 3 months
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La douleur d'être en vie
Encore une fois aujourd'hui, j'ai vécu quelque chose qui est venu ébranler mes principes. (Si compter que j'ai de véritables principes ... En réalité, je n'en ai jamais vraiment eu. J'ai toujours eu ce charme de vouloir suivre x principe, et à le jeter à l'eau lorsque je croisais le principe y qui l'écrasait.) C'est quelque chose qu'on met beaucoup en valeur dans nos sociétés : quelqu'un qui garde ses principes, qui les suit jusqu'au bout, on lui achète une belle paire de bottes. Et je crois que beaucoup ont de jolies bottes, mais peu se sentent réellement bien dedans.
Alors que je travaillais, un homme, avec son manteau en plastique rouge, a commencé à me regarder. J'ai bien vu qu'il n'entrerait pas dans le théâtre : il n'en avait sûrement pas les moyens. Tous les clichés étaient là. Cheveux en bataille, visage vieilli, abîmé, cicatrices et bouche abîmée. Mains vieillies par le temps et l'air de Paris. Ces mains qui m'ont touché l'épaule. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais il n'est pas venu devant moi, mais derrière moi. J'ai cru qu'il allait essayer de voler mes affaires que j'avais posé au sol. Parce qu'il cherchait de l'argent, ou parce que ...
Il m'a touché les cheveux. Et on le sait, les cheveux, c'est intime. On ne touche pas les cheveux d'une femme. A ce moment-là, je ne sais pas ce que j'ai ressenti. Je crois que j'ai été mal à l'aise. Parce que ça me blessait moi ? Ou parce qu'il fallait que je sois blessée parce que c'est considéré comment blessant ? En tout cas, peu importe. J'ai été blessée et les larmes me sont montées aux yeux. Je lui ai dit d'arrêter, et je me suis sentie femme-objet encore une fois dans le même week-end. Objet dont personne ne veut, et pourtant, que tout le monde prend la peine de s'attribuer. A ce moment là, je ne me suis jamais autant sentie femme. C'est parce que j'étais blessée parce que j'étais une femme, que je me suis sentie femme. Je me suis sentie blessée parce que j'étais une femme. J'ai eu encore une fois envie d'exploser parce qu'on jetait sur moi des étiquettes sexuelles, et parce que je subissais d'être une femme qu'on ne devait pas toucher. L'agent de sécurité est intervenu pour le faire partir. La femme au bar qui avait vu la scène à la fenêtre est venue me demander après si j'allais bien, que j'aurai pu l'envoyer sur les roses pour son comportement. Tout ça, parce que j'étais une femme. Parce que c'est ce que je devais faire en tant que femme. C'est ainsi qu'on a tous agit dans nos petites cases. C'est ainsi que j'ai été blessée parce que je devais l'être parce que j'étais une femme.
Mais cet homme lui, (était il vraiment un homme ?) on lui a dit non sans chercher à comprendre ce qu'il désirait. On lui a dit de ne pas me toucher alors que je ne sais pas s'il m'avait touché les cheveux par désir sexuel, ou par curiosité (ils étaient colorés, après tout). On l'a jeté dehors violemment parce qu'il a voulu rentrer dans un bar. Il n'avait rien d'un homme. A part le visage vieilli par l'âge, sûrement les nombreuses traces de son expérience. Il n'avait, je crois, pas même la communication civilisée. J'avais l'impression de parler à un Tarzan, homme non homme se retrouvant parmi les hommes. Et que tous ses gestes n'étaient que curiosité. Il n'avait aucun mot. Ni de question, ni d'affirmation. Un enfant dans un corps d'homme vieux et meurtri. Voilà ce que j'ai rencontré aujourd'hui.
Lorsqu'il s'est éloigné, et que je l'ai vu se faire jeter violemment de ce bar, mon âme a pour la énième fois explosée aujourd'hui. Elle a explosé car deux tensions se confrontaient en moi. Si fortes, que le choc n'a provoqué qu'une explosion. Aucune n'était plus forte que l'autre, il ne pouvait en ressortir une victoire. Mon âme a explosé en milles morceaux. Chacun d'entre eux veulent vivre, chacun d'entre eux pensent avoir raison, chacun d'entre eux se valent, et chacun d'entre eux sont différents. Un jour, c'est l'un d'entre eux qui parlera à mon âme, car la forme de cet éclat s'emboîte plus à la situation que n'importe quel autre éclat. Un autre jour, il ne pourra absolument pas s'emboîter. Alors on en prendra un autre, qui est tout son contraire.
J'ai été à la fois en colère d'avoir été une femme objet, d'avoir été fruit d'un désir que je n'avais pas moi-même maîtrisé. J'aime plaire, je n'aime pas plaire quand je ne le provoque pas. Et aujourd'hui, je ne l'ai pas provoqué. Je me suis sentie salie parce que j'ai été désirée sans avoir désiré être désirée. Je me suis sentie salie parce que je n'ai eu aucun contrôle. Je me suis sentie salie parce que je dois me sentir salie dans ce genre de situation.
Et mon coeur s'est brisé quand j'ai vu cet homme dont les souffrances étaient marquées, comme tatouées de façon permanentes sur son visage. Je n'ai pu rien faire à part me réjouir qu'il se soit éloigné. Je n'ai pu rien faire à part être déchirée de le voir dans cet état. On l'a peut-être cru fou, et on en a eu peur. Il est peut-être fou, et j'ai honte d'en avoir peur. Je ne veux pas avoir peur des fous.
Je suis tiraillée entre cette obligation d'être une femme, et mon coeur qui saigne de ne pouvoir rien faire.
Mon esprit a implosé tellement il ne peut trouver de réponse à ce paradoxe. Mon esprit a implosé car il ne peut pas être dégouté d'être dans le corps d'une femme objet, et d'éprouver en même temps de la pitié pour un homme sûrement SDF.
Mon âme a explosé parce qu'elle ne sait pas quoi faire. Mon âme a explosée car elle ne veut être l'âme d'une femme objet, et parce qu'elle est déchiré de voir un SDF.
Et mon esprit me pousse de plus en plus à annihiler mon corps, non pas parce que j'ai peur de ne pas avoir d'avenir, mais parce que j'ai peur d'avoir un avenir dans un monde où avoir des choix et des valeurs ce n'est pas possible.
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nationnewsletters · 3 months
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Bukavu : Des hommes et femmes se soulagent derrière des épaves et contre les murs
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Une maisonnette blanche construite en briques, la porte bleue est fermée sur un rideau de couleurs douteuses.
La maisonnette est située sur l’avenue du plateau, à environ 100 mètres en partant de la concession de la Communauté des églises baptistes au Centre Afrique, CEBCA.
C’est apparemment dans celle de la Communauté des églises chrétiennes en Afrique, CECA, voisine de New hope hospital et en face de la vaste parcelle du Centre d’accueil protestant, CAP Nguba.
La pancarte sur l’immeuble est effacée et ne reste qu’avec l’entête République démocratique du Congo.
Les passants, surtout les habitants de Nguba, renseignent que Didier Okito Lutundula avait fait construire le bâtiment pour abriter des toilettes publiques, à l’occasion d’une campagne électorale.
D’après eux, la maisonnette est maintenant habitée par moments.
Situation similaire vers Nyamoma La Botte, entre l’assemblée provinciale et la division provinciale de l’Enseignement, primaire, secondaire et technique, EPST.
Un chantier a été ouvert, il y a quelques années, dans cet espace pour des latrines publiques.
Il sert actuellement d’abri si pas d’habitation.
Selon le Cordon des femmes congolaises pour l’équilibre des ménages, genre en action, CFCEM-GA, le manque des toilettes publiques est un facteur de manque des manières.
La coordinatrice de cette association, Astride Mujinga, affirme avoir honte de voir des hommes et femmes se soulager sous l’ombre des arbres, derrière des épaves et contre les murs, parce qu’il n’y a pas de toilettes publiques.
L’acteur de la société civile et animateur du Groupe Jérémie, Jean Moreau Tubibu demande aux autorités de mettre la construction des toilettes publiques dans leurs priorités.
D’après lui, les élus du 20 décembre, les imminents députés provinciaux et nationaux devraient s’apprêter à interpeller les futurs gouvernements sur cette nécessité et urgence sociale.
Le septuagénaire Tubibi rappelle avoir vu des toilettes publiques aux marchés de Nyawera et de Feu Rouge dans la commune d’Ibanda à Bukavu.
Ces espaces ont été spoliés et la ville est devenue un bidonville.
IN ENGLISH DRC_South-Kivu_Bukavu: Men and women relieve themselves behind wrecks and against walls
A white house built of bricks, the blue door is closed on a curtain of dubious colors.
The house is located on Avenue du Plateau, approximately 100 meters from the concession of the Community of Baptist Churches in Central Africa, CEBCA.
It is apparently in that of the Community of Christian Churches in Africa, CECA, neighboring New Hope Hospital and opposite the vast plot of the Protestant Reception Center, CAP Nguba.
The sign on the building is erased and only remains with the heading Democratic Republic of Congo.
Passers-by, especially the residents of Nguba, inform us that Didier Okito Lutundula had the building built to house public toilets, during an electoral campaign.
According to them, the house is now inhabited at times.
Similar situation towards Nyamoma La Botte, between the provincial assembly and the provincial division of Education, primary, secondary and technical, EPST.
A construction site was opened a few years ago in this space for public latrines.
It is currently used as a shelter if not a home.
According to the Cordon of Congolese Women for Household Balance, Gender in Action, CFCEM-GA, the lack of public toilets is a factor in poor manners.
The coordinator of this association, Astride Mujinga, says she is ashamed to see men and women relieving themselves under the shade of trees, behind wrecks and against walls, because there are no public toilets.
Civil society actor and leader of the Jérémie Group, Jean Moreau Tubibu asks the authorities to put the construction of public toilets among their priorities.
According to him, the elected representatives of December 20, the imminent provincial and national deputies should prepare to challenge future governments on this social necessity and emergency.
The septuagenarian Tubibi recalls seeing public toilets at the Nyawera and Feu Rouge markets in the commune of Ibanda in Bukavu.
These spaces were plundered and the city became a slum.
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catherine-geoffray · 8 months
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30–08–23 La tête légèrement penchée sur le côté, calée dans son fauteuil, la femme m’écoute d’une oreille attentive. Les cheveux blonds, probablement teints, elle a entre 50 et 60 ans. Sa longue expérience de psychanalyste l’enveloppe d’une aura de sagesse bienveillante dans laquelle il est doux de m’abandonner. Je parle comme je ne l’ai pas fait depuis longtemps. Pourtant je n’ai vraiment pas envie de refaire un travail déjà fait depuis longtemps, mais de reprendre une conversation libre avec une personne de confiance, c’est tentant. Elle m’énonce ses conditions : il faut que j’achète une nouvelle tenue et une boîte de 50 gommes à effacer, dont je lui laisserai un exemplaire à chaque séance impayée. À côté de chez elle, j’entre dans une papeterie très ancienne tapissée de meubles aux boiseries patinées par le temps. Derrière son comptoir, un monsieur me sort une boîte où sont rangées serrées les unes contre les autres, les 50 gommes rouges biseautées. Malgré son prix élevé – j’en aurais certainement trouvé une moins chère dans un supermarché – je l’emporte. La boutique suivante vend des habits. J’erre dans ses rayons au milieu des clientes qui décrochent des portants, des robes sur leurs cintres pour les plaquer contre leur corps. Tapis dans un recoin, assis par terre, mes deux enfants aînés, encore petits, m’observent. Ma fille m’encourage, mais rien ne me plaît. Je passe alors dans la boutique mitoyenne qui communique avec celle-ci. Dans le rayon chaussures, je tombe en arrêt devant une paire de bottes lacées bleu marine. Décolorés par le frottement des cordons, les œillets ont blanchi. Sans talons, les bouts arrondis, elles sont hyper confortables. L’une d’elles cependant est d’un bleu plus délavé que l’autre - sans doute un modèle d’exposition qui a déteint derrière la vitrine. Une cliente achève de me convaincre en les trouvant très tendance. Je me dépêche de retrouver mes enfants, restés sans surveillance dans l’autre boutique. 
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crumbargento · 1 year
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La femme aux bottes rouges - Juan Luis Buñuel - 1974
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rwpohl · 10 months
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meditationen über don quijote s. 05 - 101, Ästhetik in der Straßenbahn, José Ortega y Gasset, bd. 224 "volk und welt spektrum", Verlag Volk und Welt Berlin 1987
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beautifulactres · 2 years
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Catherine Deneuve in La Femme Aux Bottes Rouges (1974)
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aforcedelire · 2 years
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Dans la vallée du soleil, Andy Davidson
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Dans les années 80, Travis Stillwell sillonne les routes désertes du Texas, piégeant des femmes seules dans l’espoir d’apaiser les démons de son passé. Un soir, il rencontre une femme à la peau pâle ; le lendemain, il se réveille seul et couvert de sang. Et désormais affamé. Épuisé, Travis se fait héberger par une jeune veuve, Annabelle Gaskin, qui vit avec son fils dans un motel décrépi. À mesure que Travis l’aide avec de menus travaux, il prend une place de plus en plus importante dans la vie d’Annabelle et de son fils.
Tu veux du western ? Tu aimes les vampires ? Tu n’es pas contre un peu de polar ? Dans la vallée du soleil est un roman-ovni, qui mélange parfaitement tous les genres. Cet hiver, quand j’ai vu le résumé sur le site des éditions Gallmeister, je me suis dit « C’est pour moi ». J’adore les choses originales comme ça, et je sentais un petit côté Le livre sans nom qui n’était pas pour me déplaire.
Bon, dans les faits, j’en suis la première déçue mais il ne m’a pas tant marquée que ça. J’ai eu un peu de mal à rentrer dans ma lecture. Par contre, j’ai vraiment bien aimé ces personnages de vampire ! Ils sont bien glauques et bien crados. Et surtout (tour de force de l’auteur), ils ne sont jamais nommés comme tels ; mais c’est toujours fortement suggéré. Le récit n’est pas vraiment linéaire, on suit plusieurs temporalités et plusieurs points de vue. Je m’en rends compte maintenant, mais les passages que j’ai préférés sont ceux concernant la fameuse femme aux bottes rouge sang que rencontre Travis dans ce bar, et ceux concernant l’enquête que mènent deux hommes sur des étranges disparitions de femmes — bref, j’ai préféré les passages qui ne concernaient pas Travis, ce qui est un peu dommage puisque c’est quand-même le personnage principal.
C’est un roman à la frontière des genres, un peu étrange par moments, mais surprenant ! J’en attendais autre chose et ce n’est pas un coup de cœur, mais je suis contente de l’avoir lu !
Lu dans le cadre du @ challengegallmeister sur Instagram pour valider le thème du mois de mai, « Il était une fois dans l’Ouest ».
04/05/2022 - 09/05/2022
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angstasia · 3 years
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fujifles · 4 years
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shisasan · 6 years
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Catherine Deneuve in La Femme aux Bottes Rouges directed by Luis Bunuel, 1974
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