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#urbs
l-1-z-a · 2 years
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Killer Robots, Mummies & Cow Cults: How The Sims 2 Handheld Games Embraced The Strange
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negreabsolut · 2 months
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El palau reial de Theed, a Nabú.
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View of the pre-WW1 Urbès, Alsace region of France
French vintage postcard
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risingtolove · 6 months
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photo ©marino mannarini all rights reserved
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burlveneer-music · 1 year
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URBS - Geheimland - cinematic trip hop
After excursions into Hip Hop, Rap and film music Austrian producer and musician Urbs has returned to the downtempo and Triphop styles that were the cornerstones of his most successful work, discovering his very own niche along the way. Using obscure samples as well as traditional instrumentation for his impressionistic instrumental pieces he takes us to „Geheimland“, the secret land of our imagination where things are not as they seem.
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veroniqueh · 10 months
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Seaside town of Quanzhou
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skeletonfumes · 1 year
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rotor25 · 2 years
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dinios-kol · 4 months
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hello I’d like to be on the pink bus forever
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jornale · 6 months
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#urbs #onibus #enem #curitiba #provas #domingo #jornale
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trevlad-sounds · 9 months
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Sunday 23 July Mixtape 342 “Clock Sent Dilation”
2023-07-23 Downtempo retro lounge Wednesdays, Fridays & Sundays. Support the artists and labels. Don't forget to tip so future shows can bloom.
Irmin Schmidt-Ritas's Tune-00:00
Early Remains-Sent-04:06
Franco Esse-Peluche-07:43
URBS-Im Geheimland-10:28
Monochrome Echo-Balletic-15:37
Broken Lamps-Aperture-18:49
Oblong-Robot Dan-22:03
Future Children-Time Dilation-25:51
Chris Prine-Feats-30:10
Cate Brooks-Gala-33:42
STUDIO KOSMISCHE-Touchdown at Last-37:04
Uncle Fido-They Join the Procession-39:46
The GulfFire-Life Clock-41:48
Tyneham House-Saxon Chapel-44:33
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l-1-z-a · 2 years
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Sebastian G Hyde Urbz Concept Art Page
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negreabsolut · 4 months
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Ciutat d'argent, per mahojit. [font]
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laveranda · 1 year
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Expo à la Mairie #1 - Urbs bat la Campagne.
Poupon sous Pompidou, Urbs fait ses dents de lait à Limoges, capitale de la porcelaine, avant de déménager du côté d’Angoulême, Babylone du 9e Art. Bambin biberonné à Hara Kiri et Charlie Hebdo, il découvre sa vocation et sa libido grâce à Reiser et Wolinski. Mais c’est à l’adolescence, régime crêteux oblige, qu’il publie ses premiers crobards dans des fanzines punks. C’est la grande époque du rock alternatif, des Berurier Noir, des Wampas et de la Souris Déglinguée, des bd de Dodo et Ben Radis dans Métal Hurlant et des collectifs d’artistes politisés et contestataires dans la lignée libertaire de Mai 68. Urbs, en grand fan de Guy Debord et des situationnistes, trouvera son pseudo au bahut, dans un livre de latin posé sur son bureau.  
Après le bac, il part une année en Angleterre faire semblant d’être prof et finit par rentrer sur Bordeaux pour glander à la fac. Politiquement molles, les années 90 l’ennuient à crever et il décide de s’échapper de sa classe sociale (gauche bourgeoise et catholique) pour se frotter au monde du travail. Il enchaîne alors les petits boulots : cariste dans une entreprise à Libourne, vendeur de journaux, boulanger, homme de ménage… écoeuré par le salariat,  il repend ses études au début des années 2000 à l’IUT Métier de Montaigne qui forme aux métiers du livre à Bordeaux, bien décidé à être son propre patron. C’est là que lui vient l’idée une librairie-galerie entièrement dédiée à la sous-culture (bd alternatives, polar, graphisme underground, tatouage, art populaire, militantisme et érotisme).  Elle s’appellera la Mauvaise Réputation. Derrière sa caisse, Rodolphe continue de dessiner.
Urbs est un bosseur. Un gros. Pendant 10 ans, il noircit rames sur rames de feuilles A4 avant de trouver son style : un trait rapide qui ne laisse pas de place aux fioritures et un humour féroce qui ne fait pas dans la dentelle. C’est que l’actu ça se travaille à chaud mais avec la tête froide. Pas de place pour les sentiments, il faut dégainer vite et bien et surtout faire mouche. Parfois, Urbs tape dans le mille et ce n’est pas sans douleur ; les pisse-vinaigre rient jaune et les belles âmes se lamentent. Urbs, lui, se marre. De sa jeunesse séditieuse, il a gardé un sens aigu de la provocation, quelques acouphènes et des polos Fred Perry qui le boudinent.
Sa carrière décolle vraiment dans les années 2000 grâce à une pub pour un bar nommé le Petit Rouge dans le défunt Clubs et Concerts, un journal culturel local. Tous les quinze jours, Urbs publie un dessin d’actualité sur les types qui traînent au bar. En même temps, il réalise des dessins davantage politiques et sérieux pour le magazine Nouvelle Vague, un journal satirique local aujourd’hui disparu. Quand le Petit Rouge décide d’arrêter la pub dans Clubs et Concerts, c’est Clubs et Concerts qui lui demande directement de faire le dessin de l’édito. Assez rapidement, le journal Sud-Ouest le contacte pour un premier dessin puis finit au bout de plusieurs mois par lui donner une chronique en duo avec l’illustrateur Marc Large. Depuis, Marc Large est parti et Urbs reste vaillamment au poste.
Puis tout s’enchaîne assez vite : le Canard Enchaîné s’enthousiasme pour ses dessins et après quelques tractations le fait rentrer dans l’équipe en compagnie de nouveaux auteurs de sa génération ( Bouzard, Lara, …). Le Monde le sollicite à son tour pour signer quelques unes, et Siné Mensuel lui ouvre ses pages en 2022.  Entre temps, il y a eu les massacres de Charlie Hebdo et du Bataclan, Urbs a rejoint l’association Cartooning For Peace et participe régulièrement à des débats ennuyeux sur la liberté d’expressions où il y a toujours  quelqu’un pour demander si on peut rire de tout.  « M’en branle !  », répond généralement Urbs qui, je dois le confesser, a bien raison.
L’exposition revient sur ces éprouvantes élections présidentielles et législatives. Urbs étant passé à la palette graphique, les dessins exposés sont pour la plupart des tirages numériques augmentés de quelques originaux réalisés in situ.                              
(texte de l’exposition URBS BAT LA CAMPAGNE présentée à la Mairie de Chapdeuil du 3 Septembre au 3 Mai 2023)
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risingtolove · 6 months
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photo ©marino mannarini all rights reserved
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thomas-querqy · 1 year
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Vu par… Urbs, dessin en « une » du « Monde » le 23 mars 2023
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