Tumgik
#Fantasy urbaine
livresgay · 1 year
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Des ados, de l'amour et des monstres, tome 1 (de ParisDude)
Synopsis Teen-drama fantastique, feel-good et inclusif Septembre, Hicham découvre une nouvelle vie, un nouveau lycée. Il vient d’emménager dans le vieux manoir familial, chez ce père qu’il connait à peine et s’efforce de dompter la rage animale qui l’habite. De leur côté, Ambre, Tristan et Mei appréhendent, chacun à leur manière, cette année de Terminale. Aux sentiments complexes du cœur…
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steph-photographie · 11 days
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photo originale par Steph-Photo
Dans les rues du centre-ville de Naples (Italie), la statue du Nil est cernée par les échafaudages ...
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subiysu-chan · 4 months
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Dark Fantasy
I decided to add to my main capital a good production of fungiculture, (because it cannot otherwise sustain a 600 000 urbain population with only 11 farming villages surrounding of 920 total). Probably Paris mushrooms, although it's not necessarely consistant with the tech level (although, it was already a year-round crop for Paris in the XVIIIth century). I think the simpliest way to solve this issue is to add domesticated cattails to their typical crops, and add add 9 more villages, which would still have a rather unsustainable farmer to non-farmer ratio, but because of imports, it would even out the amount of food the capital is getting. The eastern side of the province have some good wetlands, which tend to have demographic blackholes prior to modern medicine and a food production.
I think that, with four harvests per year plus the mushroom growing, plus imports, would allow the capital city to have all the food it needs.
The province of Penbre has a surface area of about 110 , 344 km from bird's eye view, which is on the smaller side, but it doesn't take the difference of elevation and the various hypothenuses this creates. I changed it to have 20 farming villages, creating a population of very roughly 601 000 individuals, a denity of around 5.4 inhabitents per square kilometer, most concentrated around the rivers with an almost empty back country. The region is well-known for it's production of clay, salt and wool. Because it is a capital, it's upper class creates a demand for the most beautiful pottery and tablewear the world has to offer in a booming bone porcelaine, earthwork and faïence artisanal production. Most houses are built out of stone with terracotta flooring in the city, but some walls of the particularly wealthy prefering brick and plaster, and out of wood and beaten earth in the country side, although some are made out of brick.
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Being a capital city near the coast line, it benefits from many imports that trickle down to the villages.
The mountain with the square has an undergrowd Drow and fay city, and the lake houses also a fay population.
The local cuisine is comprised of soft-tasting bread with a nutty or sour undertone, birch-sap products of various kinds, butter, broths, broth-based sauces, stews, freshwater vegetables, cheeses, nuts (cedar and hazel) and cranberry wine. Because of the mer population off the coast, access to many sea-products is more diffecult, but freshwater mussles, crayfishes and carps are an important part of the diet, as well as some salt-water fishes, crabs and oysters. However, the most frequent meats are pork and pigeon. A particular cultivar of domesticated cattails and humidity-tolerant peas are cultivated locally, as well as small radishes. Shallots and rowan are the main condiments.
In the capital, due to the amount of imports, they add buckwheat, honey, wheat, rye, apples, grapes, blueberries, tea and coffee to their diet.
The province of Penbre would be surrounded by those of : Yaune to the East, Aulbec to the South and Lanye to the North. Lanye is the Northern Limit fo the country, but further east is the province of Lennes and further south is the province of Avalbre. Those compromise the entirety of the North-West region.
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ernestinee · 7 months
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"Autrefois, entre la mer de Corail et l'océan Indien, mais sur le chemin de nulle part, s'étendait un district du nom de... Oh, disons Inglewell."
Ces lignes m'apaisent immédiatement.
Voilà quelques semaines que je me bats contre un livre, et le mot n'est pas trop fort. J'avais commencé une lecture à propos d'un tueur en série. J'aime beaucoup. La trame est sympa, avec une analyse psychologique assez précise du tueur depuis l'enfance. Un premier chapitre agréable à lire. L'homme s'échappe de l'hôpital psychiatrique, on est dans son esprit fou mais d'une intelligence incroyable, plusieurs coups d'avance sur tout ce qui pourrait lui arriver et la promesse de ne pas être en cavale une fois évadé de l'hôpital. Et puis il tue, encore et encore. C'est sanglant, motivé, horrible mais c'est un thriller, je ne m'attendais pas à moins.
Et puis, le contexte. Tous les hommes ont des postes importants. Toutes les femmes, absolument toutes les femmes de l'histoire sont dépeintes comme sans cervelle mais calculatrices, vicieuses, appâtées par la beauté d'un homme , sa jeunesse et ses signes extérieurs de richesse, pendues à leurs envies libidineuses. Et que si elles se font tuer, elles l'ont bien cherché. Tous les hommes de l'histoire sont des prédateurs, à commencer par le tueur, mais également les journalistes, policiers et les hommes politiques qui chacun à leur tour alourdissent des passages de l'histoire avec ce qu'ils pensent des seins de leur secrétaire, ce qu'ils imaginent devant les corps dénudés et abimés des victimes (uniquement des femmes bien sûr sinon ce n'est pas drôle), ce qu'ils feront subir à leur maîtresse alors qu'ils ont été titillés (private joke inside) par la vue des formes de telle ou telle femme. Je me sens oppressée et entourée de pervers dès que j'ouvre ce bouquin alors décision a été prise de le refermer et de l'oublier quelque part, au moins un moment.
Et donc quand je commence "L'envol" de Kathleen Jennings, je ressens déjà un peu de bien-être et d'air frais, je me sens un peu apaisée sur le chemin de nulle part, entre la mer de Corail et l'océan Indien. Il semble que l'ambiance s'assombrit d'ici peu car il s'agit d'un mélange de fantasy urbaine et d'horreur gothique mais je n'ai aucune idée de ce que ça signifie et ça ne sera de toutes façons pas pire que mon overdose de pervers.
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Entre nous, on avait un peu oublié David Duchovny. L’acteur américain est célèbre pour ses rôles dans X-Files et Californication. Les deux séries cultes sentent fort leur époque, chacune à leur manière. La première, les années 90, lorsqu’on regardait tous les mêmes programmes à la télé et que l’on pouvait faire semblant de croire aux extraterrestres et à toute sorte de complots sans que cela débouche sur une attaque du Capitole. La seconde, la fin des années 2000, lorsqu’être un homme blanc hétéro, écrivain alcoolique et priapique de Los Angeles, était encore le summum du cool.
David Duchovny, donc, n’était plus trop dans nos radars, même si on se souvenait l’avoir aperçu dans la Bulle de Judd Apatow, comédie satirique sur un Hollywood covidé physiquement et surtout mentalement à la sortie des différents confinements. Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle. «Done some good, I’ve done some bad, like any man I bet» : «J’ai fait des choses bien, d’autres mauvaises, comme tous les hommes je parie», et on veut bien croire que c’est vrai tandis que l’on se met mentalement à marcher le long d’une longue route droite en mâchonnant un brin d’herbe. Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times. Après un premier où ce végétarien se mettait dans la peau d’une vache nommée Bovary, un deuxième vient d’être traduit en français, la Reine du Pays-sous-la-terre. Dans cette fantasy urbaine, une jeune femme se bat pour son amour contre des créatures mythologiques et folkloriques diverses, sur fond d’hommage au métro new-yorkais (le nom original étant Miss Subways) et de débats sur le melting-pot, l’éducation, la culture.
Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille. «L’idée qui m’est venue est celle d’une sorte de bataille culturelle, raconte-t-il, les yeux encore un peu embrumés mais tout à fait sympathique. Vous prenez un immigrant français qui arrive avec son folklore gaulois. Il essaye de s’assimiler ou il est forcé de s’assimiler à une culture américaine judéo-chrétienne plus importante. Qu’est-ce qui arrive si ses références de départ s’anthropomorphisent, prennent vie, ont une personnalité et une identité ? Est-ce qu’elles auraient une forme de pouvoir ? Je trouvais que c’était intéressant par rapport à toutes les discussions que l’on a aujourd’hui, par exemple sur l’appropriation culturelle.»
On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir.
Avec la Reine du Pays-sous-la-terre, qui déborde de références, anciennes et modernes, Duchovny voulait rendre hommage au New York bordélique de son enfance, celui de sa mère, une institutrice protestante, qui vivait encore dans la 9e rue, à West Village, jusqu’à ses 91 ans. L’homme qui a des lettres s’est inspiré de la Seule Jalousie d’Emer, une pièce de théâtre de l’Irlandais Yeats, à qui il voue une admiration jamais démentie depuis ses années étudiantes. Qu’il se soit mis à écrire des romans est tout sauf un hasard. Un de ses grands-pères était un écrivain et journaliste juif, originaire de Berdytchiv, en Ukraine. Un errant, parti en Palestine avec sa famille puis expulsé vers l’Egypte par les Ottomans au début de la Première Guerre mondiale, avant de traverser l’Atlantique en 1918. Son père publia de nombreuses biographies et enquêtes. A la fin de sa vie, il sortit enfin une fiction et mourut d’une crise cardiaque à Paris, où il avait décidé de passer sa retraite.
David Duchovny nous en parle d’emblée. La capitale française reste intimement liée pour lui à ce drame. Et à Samuel Beckett, son dieu personnel. En fac de lettres à Princeton, il écrit un mémoire sur le nobélisé. A l’époque, il s’imagine prof profitant de ses vacances d’été pour rédiger des nouvelles. Mais sur les conseils d’un ami, il passe une audition pour une pub, enchaîne avec des petits rôles, croise Brad Pitt dans l’oublié Kalifornia, jusqu’à devenir Fox Mulder dans X-Files en 1993.
La vérité est ailleurs, mais la carrière est à Hollywood pour les trente années qui suivent. Elle est faite de hauts et de bas, tant à l’écran que dans sa vie privée. Onze ans de mariage avec l’actrice Tea Leoni, deux enfants, et plusieurs séparations-réconciliations sur fond de tromperies et d’addictions sexuelles dont les tabloïds font des gorges profondes jusqu’en 2014… David Duchovny ne s’en cache pas et a fait d’une réplique de Beckett populaire chez les sportifs et les businessmen de la Silicon Valley son mantra : «Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.»
Les stars parfois vieillissent mal. David Duchovny aurait pu tourner réac. On le sent parfois au détour de certaines lignes sceptiques sur la tournure que prend la société. L’anti-Trump viscéral, qui a composé une chanson contre l’ancien président, se la joue avant tout sage, en universaliste curieux. «La beauté d’une culture, c’est qu’elle en rencontre une autre et se mélange, dit-il, revenant à notre sujet du jour. Bien sûr, c’est d’un point de vue optimiste, il ne faut pas oublier des facteurs comme la colonisation ou les violences politiques en général qui rendent la question bien plus compliquée.» On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»
«On est au milieu du pont, il est trop tôt encore pour juger», note-t-il. Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard. Peut-être que l’on se trompe. David Duchovny le dit : «La vérité est toujours beaucoup plus nuancée.»
par Quentin Girard
publié le 6 avril 2023
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isaaclefebvre · 2 years
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The Collégiale Sainte-Croix, built within the 11th century by Benedictines, is an ancient Catholic church located in the heart of Loudun, France, and was the main stage for the Possessed of Loudun Affair that happened in 1634. After making a pact with Isacaaron, Urbain Grandier had been appointed parish priest at the Church of Saint-Pierre-du-Marche just two minutes walking distance, haunted the Ursuline Convent and allowed a mass demonic infestation to irrupt. Many of the nuns, led by Sister Jeanne, manifested symptoms of hysteria, false pregnancy, and obsessed sexual fantasies. But Urbain had made several enemies prior, which would ultimately lead to the witch’s downfall, and was charged and executed by burning for his diabolical act.
“HA! — Are you kidding? The whole affair was pure ecstasy and getting to stretch my legs after so long within Asmodeus’s hellscape, it was practically freeing. Once I had caught the eye of Sister Jeanne, it was effortless. In the middle of the night, the witching hour, I would creep into the Convent to infect her dreams and soon all of the nun’s housed there. The seed was planted within each of them until finally I didn’t even need to do anything at all, they would find ways on their own to defy God and lust after those in their community. Child’s play! And though I lost my host, I earned a place closer to my King’s side.”
ustulation — a act of scorching, lustful passion, burning sexual desire // [listen here]
i.dance of death - andrew bird  // ii.don’t worry, we’ll be watching you - gotye // iii.preface - taking back sunday // iv.earth death - baths // v.if i had a heart - fever ray // vi.animal - the acid // vii.cathedral - kitten // viii.fantasy - the xx // ix.bandwitch - broken social scene // x.hourglass - man man // xi.toes - glass animals // xii.bloodflood, pt.II - alt-j // xiii.superstition - the kills // xiv.i’m mad - the dead weather // xv.evil eye - franz ferdinand // xvi.two against one (ft. jack white) - danger mouse, daniele luppi // xvii.heart killer - gossling // xviii.not the sun - brand new // xix.royal jelly - deap vally // xx.wasting time (eternal summer) - four year strong
template: cavalierfou
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fred-the-curator · 2 months
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Exploration des Comics Alternatifs : Les Incontournables à Ajouter à Votre Collection
Exploration des Comics Alternatifs : Les Incontournables à Ajouter à Votre Collection   Dans le vaste panorama des comics, les œuvres indépendantes se distinguent, souvent éclipsées par les géants que sont Marvel et DC. Pourtant, ces joyaux méconnus, émanant de maisons d'édition telles que Image Comics, Top Cow, IDW, et bien d'autres, regorgent de récits uniques et originaux. Aujourd'hui, je m'immerge dans cet univers méconnu pour en extraire des trésors cachés, des œuvres dignes de l'attention de tout amateur de comics, quel que soit son penchant en termes de genre : science-fiction, super-héros, horreur, ou fantasy. La diversité et la profondeur des récits proposés par les comics indépendants peuvent rivaliser, voire surpasser, ceux des deux géants de l'industrie. Parmi ces œuvres, quelques-unes se démarquent particulièrement et méritent une place de choix dans la bibliothèque de tout amateur de comics. En science-fiction, "Saga" de Brian K. Vaughan et Fiona Staples émerge comme une épopée spatiale entrelaçant drame familial et guerre intergalactique, louée pour son récit et son esthétique visuelle. "Descender" et sa suite "Ascender" de Jeff Lemire et Dustin Nguyen explorent un univers post-catastrophe où les robots sont proscrits, avec une poignante réflexion sur la famille et l'identité. Dans le domaine des super-héros, "Invincible" de Robert Kirkman et Ryan Ottley offre une vision rafraîchissante, parfois brutale, du genre, suivant l'évolution de Mark Grayson, un jeune héros aux prises avec l'héritage complexe de son père (il a été porté sur petit écran en série d'animation, diffusé sur Prime Video). "Hellboy" de Mike Mignola, fusion singulière de folklore, d'occultisme et d'aventure, présente un détective paranormal au destin extraordinaire (plusieurs adaptations cinématographiques, j'ai un faible pour les 1ers avec Ron Perlman dans le rôle de Hellboy). Pour les amateurs d'horreur, "Wytches" chez Image Comics plonge les lecteurs dans un univers sombre où les sorcières sont terrifiantes et bien réelles. "Black Eyed Kids" de Joe Pruett et Szymon Kudranski offre une vision glaçante des légendes urbaines à travers des récits mettant en scène des enfants aux yeux noirs semant la terreur. Enfin, dans le domaine de la fantasy, "The Wicked + The Divine" de Kieron Gillen et Jamie McKelvie explore le thème des dieux réincarnés en jeunes pop stars, un récit captivant mêlant mythologie et culture moderne. Après avoir plongé dans ces univers variés et profonds, je suis convaincu que les comics indépendants représentent une source inestimable de créativité et d'originalité. Ils offrent des perspectives et des récits uniques, loin des contraintes éditoriales des grandes maisons d'édition. "Saga", "Invincible", "Wytches", et "The Wicked + The Divine" ne constituent que la pointe de l'iceberg.  Chaque œuvre indépendante ouvre les portes d'un nouveau monde, invitant à repousser les limites de notre imagination. Les amateurs de comics, quels que soient leurs goûts, se doivent de plonger dans ces récits indépendants. Ils y découvriront non seulement des histoires captivantes et des univers richement construits, mais aussi une source d'inspiration et une liberté d'expression souvent absentes des œuvres plus mainstream. Les comics indépendants ne sont pas une simple alternative ; ils sont essentiels. via Blogger https://ift.tt/yrndWzj March 18, 2024 at 09:00AM
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culturevsnews-blog · 4 months
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Fille du Destin. 1. Les Émeutes de la nuit sans lunes de Kika Hatzopoulou
À Alante, la cohabitation est difficile entre les humains et les héritiers des dieux. Minoritaires, ces derniers sont traités en parias. Chronique : “Fille du Destin. 1. Les Émeutes de la nuit sans lunes” de Kika Hatzopoulou est un roman de fantasy urbaine qui plonge le lecteur dans le monde fascinant d’Alante, un lieu où la coexistence entre humains et descendants de dieux crée des tensions…
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lecturesaflo-ts · 1 year
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Le Monde de Keira tome 1 : La Chute de RB Devaux
16 janvier 2023 295 pages Romance – Apocalypse – Démons – Zombies – Fantasy urbaine 4,99 € – Ebook / 18,00 € – Broché / 24,90 € – Relié Découvre cette nouvelle saga d’Urban fantasy pleine de mystères et de rebondissements ! Au programme : mythologie égyptienne, démons, vampires, et monde apocalyptique ! 21e siècle. Le monde entier frémit en découvrant l’existence des espèces surnaturelles et…
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lagendageek · 2 years
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L'Imagina'Livres 2023 aura lieu à Portet-sur-Garonne (31) du 15 au 16 avril 2023. L’Imagina’Livres 2023 est un salon dédié aux littératures de l’imaginaire. Durant cette événement de nombreux auteurs, artisans et illustrateurs sont présents pour exposer leurs travaux, jeunesse et adulte, lumineux et sombre. Fantasy, science friction, fantastique urbain et horreur sont au rendez-vous. Les visiteurs, organisatrices, bénévoles et exposants ont tous un point commun : la passion de la littérature et la beauté de l’imaginaire. L’Imagina’Livres a commencé au cœur de l’université Toulouse Jean-Jaurès. Les trois années précédentes ont marqué les esprits de plus de 600 toulousains, ravis de voir un événement comme celui-ci dans la ville rose. Convivial, familial, l’Imagina’livres est un salon du livre, somme toute très classique, avec cependant cette petite touche chaleureuse qui pousse certains de nos auteurs à revenir chaque année, et ce, depuis la première édition, tout comme les visiteurs. En venant de Toulouse, quitter le périphérique pour rejoindre l’A64 direction Foix Tarbes, prendre la sortie 37 A vers Carrefour, longer l’avenue de l’Europe puis entrer dans le village, emprunter l’allée des sports, la rue principale, puis à gauche l’allée des bosquets, la rue de la poste, puis à droite la rue de l’hôtel de ville, la salle du confluent se trouve derrière la Mairie En transports en commun : Ligne 50 (Basso Cambo – métro Ligne A) : arrêt Mairie Portet uniquement le samedi L5 (Empalot – métro Ligne B & Gare SNCF de Portet) : arrêt Bosquet ou Désiré. . Tu es auteur.e, artiste, créateur.ice et ton amour pour les mondes imaginaires n'est plus à démontrer ? . Inscris-toi pour le salon : https://forms.gle/BnveBkpjZLrUFoQb6 . Tu as jusqu'au 15 janvier 2023 pour le faire ! . La team Dragounet sera ravie de t'accueillir ! . Tu veux nous contacter ? [email protected] . #imaginarium #salondulivre #litteraturesimaginaires #portetsurgaronne #toulouse #occitanie #salondulivreoccitanie #dragons #fantasy #art #artatoulouse #sortieatoulouse #avril2023 #inscriptions #exposants #auteurs #illustrateurs #artistes
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steph-photographie · 16 days
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Photo originale par Steph-Photo
Belle ambiance sur la Place Dante à Naples (Italie)
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spiritgamer26 · 2 years
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[CP] Festival de Beat'em All : Mayhem Brawler sera disponible
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Red Art Games, le développeur Hero Concept et Just For Games ont aujourd'hui le plaisir d'annoncer l'arrivée de Mayhem Brawler en édition physique sur Nintendo Switch et PS4 le 8 Juillet 2022.Mayhem Brawler est un beat'em up de fantasy urbaine qui vous plonge dans l'ambiance arcade des années 90. Avec un style BD et une bande-son incroyable, il offre une expérience unique à vivre en solo ou en coop avec des amis, au cours de laquelle vos choix influenceront l'histoire.Mayhem Brawler sera disponible en édition physique le 8 Juillet sur Nintendo Switch et Playstation 4.https://www.youtube.com/watch?v=WzATSI9MBk0
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À propos de Mayhem Brawler : Mayhem Brawler, le jeu d'action à défilement latérale sur le thème de l'urban-fantasy, apporte son esprit arcade des années 90 aux consoles avec une toute nouvelle version physique. Avec des décors dessinés à la main inspirés des bandes dessinées, des animations image par image et une bande-son qui déchire, ce titre offre une expérience unique que les joueurs peuvent aborder en solo ou en coopération avec des amis, tout en définissant la prochaine étape de l'histoire par leurs choix.
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Caractéristiques principales : - Une nouvelle version des classiques beat'em ups des années 90. - Mode coopératif hors ligne pouvant accueillir jusqu'à 4 joueurs. - Possibilité de modifier le déroulement du jeu grâce à des décisions prises par le joueur. - Une histoire entièrement doublée et 11 langues différentes pour les sous-titres. - 3 fins uniques basées sur les choix du joueur. - Mécanismes de combat uniques - 4 personnages jouables contre plus de 30 monstres, dont 12 boss uniques. - Des dessins à la main inspirés des bandes dessinées, des personnages animés image par image et une bande-son entraînante. - Votre ticket d'entrée dans l'univers illimité de Mayhem.
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nintendo-town · 2 years
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Mayhem Brawler sera disponible en édition physique sur Nintendo Switch en Juillet 2022
Mayhem Brawler sera disponible en édition physique sur Nintendo Switch en Juillet 2022
Saint-Ouen, France – 21 Juin 2022 : Red Art Games, le développeur Hero Concept et Just For Games ont aujourd’hui le plaisir d’annoncer l’arrivée de Mayhem Brawler en édition physique sur Nintendo Switch et PS4 le 8 Juillet 2022. Mayhem Brawler est un beat’em up de fantasy urbaine qui vous plonge dans l’ambiance arcade des années 90. Avec un style BD et une bande-son incroyable, il offre une…
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claytonecarpe · 2 years
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Coucou, tout le monde. 😃
🌊 Aujourd’hui, je vous propose un petit extrait du tome 2 de MERRY LEE, qui sortira prochainement…
« Nous avions chacun nos activités, nos passions, nos opinions. Un emploi du temps chargé l’un comme l’autre. Des soucis à gérer parfois indépendamment de notre couple. Mais, dans tous les cas, il nous fallait nous retrouver tous les jours, plusieurs fois par jour même, nous assurer de notre amour réciproque, du bien être de l’autre, nous toucher, partager les petits moments de la vie qui faisaient de chaque jour un instant d’exception. »
🎇 Mais en attendant, pour ceux et celles qui désireraient découvrir le monde de MERRY LEE, vous pouvez vous procurer Magie Originelle, le tome 1 ici : www.amazon.fr/dp/B099BK9FJ8
Bonne lecture. 📖
Et bon week-end. ☀️
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Demandez le programme 2023 : Le Rayon Imaginaire | by Nicolas Winter | Dec, 2022 | Juste un mot
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En janvier, une vraie curiosité très réussie : David Duchovny — oui, le Fox Mulder de X-Files, le Hank Moody de Californication himself — signe un roman jouissif, malin, formidablement construit et diablement imaginatif : La Reine du Pays sous la Terre.
Duchovny est non seulement un raconteur d’histoires, mais aussi un dialoguiste brillant, et un citoyen conscientisé.
Au-delà de son amour pour New York, que ce livre transpire, il rend un hommage vibrant au melting pot américain, à sa richesse, sa diversité… en imaginant comment les créatures légendaires magiques du Vieux Monde, arrivés sur le continent en même temps que les émigrants, s’emmerdent un peu, tâchent de s’occuper… et pour ce faire, sous le couvert de vies ordinaires, se mêlent des destinées d’humains qui ne leur ont rien demandé. On y verra des Sidhes gardien d’immeuble, une Anansi mère célibataire, des golems planqués dans le métro, des divinités chinoises prenant des cours d’anglais, et surtout leur reine nouvelle, la jeune Emer, inspirée à la fois d’une légende irlandaise et d’une pièce de W.B. Yeats, qui devra lutter à l’aveugle contre des forces surnaturelles armées de nos joujoux technologiques.
De la fantasy urbaine réjouissante, inventive, un feu d’artifice de références, de pop culture et de liberté d’esprit, traduit par Claire Desserrey.
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thedaiilybooks · 3 years
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Chronique : Crescent City, Maison de la Terre et du Sang. Sarah J. Maas. Édition De Saxus. 2021
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“En sa qualité de demi-fae, Bryce avait elle-même un odorat plus fin que celui d’un humain normal. Dans sa jeunesse, elle faisait la joie de ses parents en leur décrivant les odeurs de tous les habitants de leur petite ville de montagne, Nidaros.. “
                                                                        - chapitre 2, page 27
Bonjour à tous et toutes.
Cela faisait un moment que je n'avais pas posté sur mon blog. Me voici de retour avec une nouvelle chronique.
Je vais vous parler du nouveau roman de l'autrice Sarah J.Maas, ' Crescent City, maison de la terre et du sang'. Paru le 12 mai 2021 aux éditions De Saxus.
Tout d'abord, Sarah J.Maas, a créé un univers très complet et difficile a comprendre au début. Il faut un certain temps (une centaine de pages à peu près) pour être complètement dans l’univers. Ce qui peut être frustrant pour certains lecteurs. L’envie d’arrêter la lecture peut venir. Mais l’autrice a su surprendre et l’envie de continuer prend le dessus au delà des cents pages lues. Les personnages sont attachants. J’ai beaucoup apprécié le personnage de Bryce. Sa relation avec sa meilleure amie, Danika est touchante. Au fil des pages, on suit l’évolution de Bryce. L'autrice nous fait part des tourments de l’héroïne, de ses peurs. C’est super intéressant à suivre tout au long de la lecture. L’intrigue est bien ficelée. Sous forme d’intrigues policières, à travers toute la ville, l’autrice nous mène petit à petit à dénouement surprenant et inattendu. Des révélations sont faites tout au long du roman qui m’ont surprises. Je m’y attendais pas. Malgré que l’histoire se passe dans un monde de fantasy urbaine, plusieurs sujets sont évoqués : le racisme, les relations amicales, et amoureuses, la déchéance, le système de castes et les inégalités entre les individus. Tous ces sujets sont décrits habilement par l'autrice. Crescent City a été une belle découverte. J’ai été agréablement surprise par ce que j’ai lu. Un début certes un peu long et descriptif, mais petit à petit l’histoire prend forme et j’ai pu continuer ma lecture plus sereinement. Ce fut ma première lecture de l’autrice. J’ai trouvé sa plume fluide et addictive. J’ai hâte de lire le deuxième tome de cette saga. ⭐️⭐️⭐️⭐️/5 
WARNING : Cependant, attention à ne pas mettre entre toutes les mains ce roman. Des propos ou des scènes peuvent être choquants.
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