Tumgik
#Qui-oky
yaut-jaknowit · 7 months
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I want Gawtin to hold me and tell me everything's going to be okay. Also, I want to be squished between her boobies.
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lilleejean · 5 months
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Alors,
Petit point lecture et serie.
J'ai commencé la serie Fallout d'Amazone. Pour ce qui ne connaissent pas c'est une adaptation d'une tres vieille serie de jeux vidéo (1994, au mon dieu je suis vieille) qui, pour faire simple, est un jeu de role dans un univers post apo : le monde s'est arrêté au niveau culturelle et politique aux années 50,gros conflit entre les USA et la Chine jusqu'à ce que pleins de bombes atomiques viennent faire des bisous à toutes les grandes villes.
200 ans plus tard les USA sont une terre radioactive et désolée ou des gens survivent comme ils peuvent. Certains abri antiatomiques ont permis a des groupes de survivrent sous terre pendant des générations sans trop savoir ce qui se passent a l'exterieur. Le jeu était violent, tres libre niveau choix moraux et c'était tres bien. C'est un jeux qui m'avait beaucoup beaucoup marqué pour son univers.
Du coup la serie repose sur exactement les même bases et c'est une série que je n'attendais pas du tout du tout du tout du tout du tout du tout.
Car en fait les adaptions en film ou serie de jv il y en a déjà eu pas mal et c'était pas souvent top top (pas de budget, pas d'écriture, on considère que la cible est un ado debile de 14 ans). Donc je n'en attendais rien. J'etais légitimement en droit de me dire que la serie serait tres gentille niveau moralité (des gentils tout gentils, des méchants tout mechants, on tappe pas sur les enfants toussa), sans trop de violence ou quelque chose de trop "propre".
J'ai commencé a regardé et en fait c'est une très bonne surprise. Niveau effet speciaux ils ont fait le bon choix : pas trop de budget donc on fait pas semblant d'en avoir. Un peu de FX et le reste en effet reel.
Il y a de la violence. Dont de la violence gratuite, car dans cet univers il n'y a pas de raison qu'il n'y en ai pas. Le personnage principal n'est pas une princesse, elle est ultra naive mais c'est justifié mais si il faut découper une tete a la tronçonneuse ( oui oui) elle souffle un coup, sort un "oki doki" et vroum vroum.
Parce ce que dans ma méfiance j'avais oublié quelque chose : la serie The last of Us a montré qu'on pouvais faire une adaptation de jv sans que ce soit comique ou pour enfant, qu'on pouvait essayer de fairz ca aec serieux.
Donc, je n'ai pas fini la serie donc pas d'avis définitif mais pour l'instant j'ai l'impression qu'on ne se moque ps de moi et qu'on me parle pas comme une debile quand je regarde donc ca me vas.
Niveau lecture je suis (encore) en train de (re) lire Les annales de la compagnie noire, une longue serie de romans qui racontent les perigrinations d'une troupe de mercenaires. Les perso ne sont pas des gentils, ceux qui les engagent non plus, ceux qu'ils combattent encore moins. Il y a plus de morts que dans un marriage à Westeros d'autant que l'histoire se deroule sur quelques dizaines d'annes.
Et voila ti pas qu'une nouvelle m'arrive : une adaptation en jeu de role papier est en préparation !
C'est pas beau tout ça ?
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e642 · 9 months
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trucs que je déteste que les gens fassent/disent
- les gens qui donnent des tapes sur l’épaule (plus tu sursautes fort mieux ils se sentent) - les gens qui disent au jour d’aujourd’hui ou malgré que (faut arrêter de suite, si vous n’arrivez pas à vous y faire faut contacter l’académie française) - les gens qui haussent le ton dans une conversation pour pour couvrir ta voix et avoir la parole (attends ton tour comme tout le monde) - les gens qui font des bruits de bouche (pas de commentaire) - les gens qui coupent la parole (attends ton tour aussi) - les gens qui racontent une histoire/blague mais sans faire de chute (quel est l’intérêt ?)  - les gens qui disent "hein” ou “quoi” quand ils ont pas entendu (ça ne m’a jamais donné envie de répéter) - les gens qui finissent leurs phrases par “ou quoi”: mais t’es bête ou quoi (si c’est tant une évidence que ça, t’as pas besoin de le relever) - les gens qui s’amusent à siffler avec leurs doigts (vous pensez que je peux me permettre de perdre de l’oui gratuitement comme ça ?)  - les gens qui continuent à applaudir quand tout le monde a arrêté parce que c’est marrant apparemment ?? (ça ne l’est pas) - les gens qui mettent pas leur main devant lorsqu’ils éternuent (si j’avais voulue être malade je me serais débrouillée autrement tu peux garder tes postillons)  - les gens qui disent “j’ai lu en diagonal” pour pas avouer qu’ils ont rien lu du tout - les gens qui te posent une question mais qui n’écoutent, ouvertement, pas la réponse (ne me la pose pas dans ce cas, ce sera un gain de temps précieux) - les gens qui vont courir aux heures chaudes et qui se plaignent d’avoir mal au crâne (sois plutôt reconnaissant de pas avoir fait une rupture d’anévrisme) - les gens qui disent “j’aurais pas aimé être à ta place” (en général c’est assez logique vu les contextes où cette phrase peut aller) - les gens qui utilisent une belle expression française mais se trompent (”mieux vaut tard que plus tard”, “pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir harponné”, “l’herbe est plus jaune ailleurs” c’est non)  - les gens qui sont sûrs d’eux quand ils disent une énorme connerie (c’est plus pour eux que pour moi) - les gens qui disent qu’ils préfèrent le goût des fruits/légumes surgelés (à moins que tu n’aies pas les moyens d’acheter du frais je ne suis pas en mesure de comprendre) - les gens qui disent oki doki (c’est mon unsafe word jsp pk) - les gens qui prennent jamais de position en disant toujours “si tu veux” même quand la réponse ne peut pas être autre chose que oui ou non (-on appelle les pompiers ? oh bah si tu veux- niquel) - les gens qui pensent vraiment que leur horoscope est une excuse au fait que ce sont des vrais cons (je trompe mon mec mais ça c’est parce que je suis taureau oups ihih) - les gens qui répondent “ça va et toi ?” lorsque tu dis ça va dans le sens c’est carré (la ponctuation est ton amie) - les gens qui se plaignent d’une douleur mais refusent de prendre un médicament (juste prends le médicament ou tais toi ou les deux c’est encore mieux) - les gens qui agrémentent leur phrase par “ma belle”(ya pas grand chose de plus méprisant que ces deux mots collés) - les gens qui disent “ya pas de souci” alors qu’il y en a clairement un (juste parle fr) - les gens qui font la distinction entre les collègues, les connaissances, et les je le.la connais de vue (c’est pour se compliquer la vie ou à ce stade ya vraiment une diff ?) - les gens qui disent concubin et pas partenaire (j’aime pas ce mot, peut-être parce qu’il y a con et cu juxtaposés) - les gens qui disent “tant que toi ça va, moi ça va” (c’est connu, on va bien parce que les gens autour de nous vont bien ou inversement) - les gens qui commencent leur phrase par “bah” (ça me donne l’impression que j’étais censée savoir) - les gens qui disent trop bon trop con (t’es juste en train de laisser croire aux personnes les plus crédules qu’être gentil est finalement un défaut qui donne raison aux mauvais comportements) à suivre
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giuliogreen · 9 months
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Carnica Ultra Trail
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Quanto valgono una crosta di pane e due dita d’acqua nel fondo della borraccia? Ingurgito l’ultimo pezzo di pane che Niki tira fuori dallo zaino, verso le due bustine di Oki direttamente nella borraccia quasi vuota e butto giù tutto. Sto zoppicando da circa un ora e il dolore al tibiale sta diventando insopportabile al punto che comincio a pensare che tutto possa naufragare così, a soli 10 km dal traguardo. 
Questo “tutto” è iniziato circa tre anni fa, quando Francesco ci chiese di fare una squadra per prendere parte alla 177 K, una corsa a scopo benefico non competitiva di 200 K in quattro tappe, con partenza da San Candido e arrivo a Tarvisio. Alla fine dopo vari rinvii quest’anno sembra essere giunto l’anno buono e così ci iscriviamo, non sapendo naturalmente che qualche settimana prima di partire proprio Francesco si sarebbe infortunato e quindi a portare la croce saremmo stati solo in due, il sottoscritto e Niki.
Il giorno prima della partenza al lavoro mi sento un pò strano, torno a casa mi misuro la febbre: 37,5. Niki è già in viaggio dalla Liguria verso Padova, non gli dico niente e aspetto. La sera mi sembra andare meglio ma la mattina al momento di partire ho ancora febbre, nausea, giramenti di testa. Che facciamo? Gira e rigira decidiamo di partire lo stesso e poi si vedrà, chiedo a Niki di darmi una mano a fare la borsa e lui controlla che tutto il materiale obbligatorio ci sia, per il resto lascia a fare a me, e come vedremo non sarà proprio un ottima idea..  Partenza direzione Tarvisio, dove lasceremo l’auto per prendere un treno delle ferrovie austriache che ci porterà dopo 4 ore e tre cambi a San Candido. Sonnecchio mentre Niki guida, a Tarvisio prendiamo un tè butto giù un aspirina e andiamo verso la stazione dove facciamo subito conoscenza con alcuni tra quelli che diventeranno i nostri compagni di ventura, in particolare una simpatica coppia di Gemona del Friuli e una veterana della 177 k che farà da scopa. Il viaggio passa veloce e per le 17 siamo a San Candido, una splendida località nell’alta  Val Pusteria, non troppo lontano dalle tre cime di Lavaredo. L’atmosfera nella base di partenza è molto positiva, tutti si preparano a trascorrere la notte nell’auditorium, con il mio socio ci ricaviamo una specie di stanzetta sul palco con dei pannelli fonoassorbenti, giusto per assicurarci almeno una prima notte di riposo. Visto la tipologia dell’evento decido di assistere al briefing dove Marcello uno degli organizzatori spiega tutto quello che dovremmo fare, ma sopratutto quello che NON dovremmo fare nei prossimi giorni. In realtà mentre parla tutta la mia attenzione è attirata dalle k-bike, delle carrozzine per disabili attrezzate con dei maniglioni per potere essere spinte da quattro persone allo stesso tempo.   Infatti alla traversata parteciperanno incredibilmente  tre ragazzi disabili anche se seguendo un percorso alternativo al nostro ma ugualmente molto impegnativo sia per loro che per gli “spingitori”.
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DAY ONE
Al mattino soliti riti pre partenza, si riempiono le flask, si ricontrolla lo zaino, la giornata sembra essere strepitosa quindi l’umore è alle stelle, io ho riposato e mi sento discretamente bene, quindi.. andiamo. Si parte subito con una bella salita tra gli abeti che ci porta a coprire i primi mille metri di dislivello nel corso dei primi dieci km, abbiamo già sconfinato in Austria e sembra girare tutto bene finché non inizio a sentire la testa girare, ho una forte nausea, inciampo e casco per terra, non so bene come arriviamo fino al rifugio Oberstanserseehutte e qui mi siedo convinto che sia stata una follia partire e che la mia corsa stia già per terminare. Passano tutte le altre squadre e iniziano la salita verso  Sella Rosskopfthorl che si staglia di fronte  al rifugio mentre io resto li infreddolito con la testa sul tavolo incapace di prendere una decisione. Prendo un tè, ci sciolgo un aspirina, aspetto e dopo un pò decido di provare a proseguire camminando piano. 100, 200, 300 mt di salita e mi sembra di andare un pò meglio, Niki mi raggiunge più andiamo avanti più mi sento di potercela fare, dopo qualche minuto stiamo di nuovo correndo.
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I km scorrono veloci, di fronte a noi una cresta verdissima  anticipa una discesa tecnica che attraversa un pascolo colorato da un tappeto di fiori gialli e viola in cui ci lanciamo a rotta di collo divertiti come bambini.
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Ancora una sella, una malga, un rifugio (qui mi sfilo e dimentico su una panca  la mia unica maglia a maniche lunghe)  un ultima salita dove dei cavalli pascolano incuranti delle nostre fatiche e poi l’ultima discesa di 15 km che ci porta al primo campo base allestito per la notte.
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Siamo tutti molto stanchi ma ancora dignitosamente convinti di quello che stiamo facendo, ceniamo e poco dopo cala il silenzio, ci infiliamo nelle tende in attesa della sveglia alle 4. La notte è fredda, battiamo un pò i denti ma tutto sommato questa resterà una delle migliori nottate passate in tenda.
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DAY TWO
E’ ancora buio, un nugolo di frontali si aggira pigramente  tra le tende come lucciole assonnate, ci muoviamo cauti parlando sottovoce  tra borsoni, zaini e bucato steso in maniera improvvisata. Ritiriamo i gps, prendiamo il panino, facciamo colazione in fretta mentre qualcuno avvisa “Le sacche entro 10 minuti sul furgone!” Il percorso ha subito una variazione quindi per la prima parte seguiremo una traccia diversa balisata per l’occasione all’ultimo momento.
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Partiamo molto lenti, così lenti che la scopa ci raggiunge e inizia a pungolarci facendomi un pò innervosire, vuoi per l’ora non proprio adatta al dialogo vuoi perché non vorrei essere così indietro, ma come dice saggiamente il mio socio “Calma, che la giornata è lunga”. Ed infatti più la salita si fa ripida e incerta più riprendiamo le altre squadre, ammiriamo un alba magnifica alle nostre spalle e con il sole che sorge riemerge anche il nostro buon umore, anche  perché da più parti ci dicono che questa sarà la tappa più bella di tutte, e che attraverseremo le zone più selvagge del percorso, quelle che piacciono a noi.
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Dopo qualche cresta sospesa nel vuoto imbocchiamo un traverso che si snoda a mezza costa in un mare di fiori gialli e piccoli torrenti carichi d’acqua da attraversare.
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Ci godiamo questo pezzo corribile  che ci porta al rifugio di Hochweisstein, dove ho la pessima idea di chiedere un panino. Mi passano due fette di pane da toast fredde con due sottilette  ed una  fetta di cetriolo al centro  per la modica cifra di 9 euro. Riparto con il panino in gola, il percorso per fortuna è così bello che presto dimentico tutto. In cima alla sella ci aspetta Maja che ci da alcune indicazioni e ci avvisa “se vi è piaciuto fino ad ora vedrete il seguito!”.
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Sorpassiamo un rumoroso gregge di pecore e scendiamo in una valle silenziosa, dove dei radi alberi spuntano tra l’erba fresca, l’unico rumore è quello del torrente che ci scorre a fianco. Io e il mio socio siamo a corto di aggettivi, raramente i siamo trovati in posti naturalisticamente  così affascinanti, rallentiamo senza nemmeno accorgercene per godere meglio di quanto abbiamo intorno. Andiamo avanti così per diverso tempo, poi la valle risale fino al passo Giramondo e di li di nuovo giù verso una valle aperta dove incrociamo una piccola baita con una simpatica signora che alleva le sue capre rimproverandole amorevolmente in inglese per aver fatto poco latte il giorno prima. Siamo quasi al 40esimo km quindi ci rilassiamo un pò insieme ad un bizzarro trio di brianzoli con cui spesso ci troveremo a condividere pezzi di strada, mangiamo del formaggio fresco che sembra feta e beviamo una radler.
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Abbandoniamo a malincuore questo piccolo angolo di paradiso e usando una strada forestale saliamo al lago Volaja, purtroppo il tempo sta cambiando e lo troviamo completamente avvolto nella nebbia, un vero peccato perché essendoci già stato anni fa  da ore ne decantavo la bellezza a tutti. Non ci resta che individuare l’attacco del sentiero che ci porterà all’ultima lunga discesa che dopo 6/7 km termina direttamente nel campeggio. Qui facciamo due scoperte, la prima è che la sveglia domani verrà anticipata alle 3,30 e  la seconda che la nostra tenda si trova a ridosso di un recinto di alpaca che passeranno la notte a fare un verso sconosciuto a 50 cm dalle nostre orecchie.
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A cena ci viene servita dai gestori del camping una minestrina nella quale affondiamo due tre pagnotte creando così una  specie di pastone sicuramente poco invitante ma almeno un pò più sostanzioso. Nella notte scoppia un fortissimo temporale, le tende reggono e quando alle tre e mezza ci alziamo è già finito tutto e sopra di noi c’è una stellata bellissima. 
DAY THREE
Si parte per quella che è la temutissima terza tappa, 58 km con 4000 metri di dislivello ai quali è stato aggiunto un cancello alle 15,00 a circa metà percorso a causa di un previsto peggioramento del tempo nel pomeriggio.
Il paesaggio di  oggi si discosta notevolmente  rispetto a  quello di ieri, dopo la ormai consueta salitona iniziale che porta al Passo Monte Croce Carnico discendiamo a valle e poi ci addentriamo in una valle rocciosa dove il tempo sembra essersi fermato a qualche milione di anni fa, a parte qualche asino non incrociamo nessuno fino ad un apprezzatissimo ristoro volante dove ci viene offerto del melone fresco insieme a qualche parola di incoraggiamento.
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Da qui parte una salita lunga e molto impegnativa per Sella Avostanis, in cima troviamo ancora Maja e Giulio, le scope che ci spiegano un pò i prossimi bivi e ripartiamo subito in discesa verso il lago. Imbocchiamo la deviazione e attacchiamo un single track a mezza costa immerso nel verde più selvaggio che percorriamo in silenzio, Niki davanti e io dietro, ognuno immerso nei suoi pensieri. Siamo l’unica squadra che si è presentata sprovvista di bacchette, quando corriamo da soli il silenzio che ci circonda è assoluto.
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Riprendiamo i brianzoli o loro riprendono noi, fatto sta che ci ritroviamo a correre di nuovo assieme in una valle semi-paludosa popolata da immobili e giganteschi yak (che Francesco sostiene essere invece mucche highlander). Un occhiata all’orologio, sono le 14,20 se vogliamo arrivare al cancello entro le tre bisogna spingere. Cominciamo a correre più veloce, 14,30 14,40 c’è ancora una discesa che scendiamo a cannone e 5 minuti allo scadere del tempo siamo a Straninger Alm. Chi arriverà dopo le 15,00 verrà fermato: di fatto siamo le ultime due squadre a passare. A questo punto mancano circa 25 km e abbiamo una finestra di due ore prima che il tempo peggiori, il che significa che dobbiamo cercare di non prendere il temporale almeno finché saremo in quota.
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Riempiamo le borracce e ripartiamo subito, la prima parte è una passeggiata, ma quando è il momento di dover attraversare la sella di Aip utilizzando un sentiero esposto che taglia in due dei ghiaioni a 2000 metri di altezza il cielo comincia a farsi sempre più nero e minaccioso. Il percorso è molto lungo e bisogna procedere lentamente e con molta attenzione, a Niki si sta scaricando il tel dove conserva la traccia, traccia che io naturalmente non ho, comincio ad avere qualche timore che cerco di ingannare malamente ammirando quattro aquile  che volteggiano sopra le cime. Fortunatamente quasi di colpo si alza un forte vento, che spinge le nuvole cariche di pioggia lontane dalle nostre teste. Il vento diventa così forte che una volta in cresta a fatica ci reggiamo in piedi, con i cappucci alzati avanziamo instabili  come dei personaggi dell’Eternauta sempre più stanchi, sempre più sfiniti. Scavalchiamo delle rocce, attraversiamo una macchia di pino mugo ed ecco finalmente che ci appare in alto Passo Pramollo.
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Ad aspettarci al termine dell’ennesima salita c’è Marcello, che forse un pò preoccupato ci è venuto incontro in macchina con un termos di tè caldo e dei panini. Ci indica la strada, dobbiamo salire fino agli impianti di risalita che nella sera che sta arrivando hanno un aspetto triste e desolato nonostante la loro modernità. Da qui giù per la pista di sci fino a lago Pramollo e quindi per la strada asfaltata arriviamo in una radura nel bosco dove è stato allestito l’arrivo e il campo base vicino ad una piccola baita. Arriviamo abbastanza provati ben oltre le 12 ore previste, non ci sono docce ma solo un torrente dove darsi una lavata. Ci hanno tenuto la cena in caldo, arrivano le scope, sotto il tendono ci raccontiamo un pò come è andata mentre scoppia di nuovo il temporale. Proviamo ad aspettare ma non accenna a smettere, anzi, sembra piovere sempre più forte. Tutti sono già a dormire ci copriamo alla meno peggio e corriamo verso la nostra tenda dove arriviamo zuppi..  Questa ultima notte in tenda non la dimenticheremo molto facilmente, è già tardi, ogni cosa è umida, fredda, bagnata. Ci avvolgiamo vestiti così come siamo nei sacchi a pelo e cerchiamo di far passare quelle quattro che ci separano dalla sveglia. Resto così immobile ma non riesco a dormire, ascolto la pioggia che batte sul telo e gocciola dentro, conto le ore, l’una le due le tre,  le tre e mezza, finalmente è ora di alzarsi. Ieri sera avevo steso i pantaloncini ad asciugare all’arrivo e li ho dimenticati fuori, me li infilo così fradici, tanto tra poco saremo tutti bagnati. Per un attimo spero che venga rimandata la partenza per la pioggia, metto il naso fuori e invece c’è già qualcuno pronto. Dalla tenda al tendone è una palude, abbiamo i piedi fradici, piove fuori, piove dentro, piove dappertutto, eppure i volontari dell’organizzazione sono li pronti, impagabili  con i loro  pentoloni di caffè e tè caldo, ma sopratutto con i loro sorrisi presi in prestito chissà dove. C’è chi allestisce le k-bike e si assicura che Swami e gli altri ragazzi in carrozzina sia sufficientemente coperti, chi si avvolge in improbabili mantelle e avvolge gli zaini in sacchi delle immondizie recuperati li per li. Io mi limito a riempirmi la borraccia di tè caldo, ho talmente sonno che non riesco a formulare nessun pensiero.
 DAY FOUR
Il countdown sotto la pioggia alla partenza non resterà sicuramente memorabile. Non siamo più in tanti, un paio di squadre si sono ritirate, più di qualcuno ha qualche problema fisico, eppure anche oggi si parte, compatti, quasi come un unica squadra ci immergiamo nel buio e nella pioggia decisi a portare a termine anche questa ultima tappa.
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Ho sonno e sono stanco, penso che devo solo far passare le prime due ore poi con la luce e il sole forse tutto cambierà. Fortuna vuole che dopo poco smetta di piovere, così ci togliamo i nostri strati e ci ritroviamo a correre prima in un bosco e poi attraverso una forestale che scende in due piccolissimi villaggi austriaci ancora addormentati dove gli unici abitanti sembrano essere mucche e cavalli a zonzo tra le case.
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Sogno un caffè ma niente da fare, continuiamo a correre un’altro paio d’ore finché arriviamo ad una malga dove ci fermiamo a riposare. Niki beve una birra, sono solo le dieci ma in fondo siamo in giro già da cinque/sei ore. Da qui in poi ci hanno avvisato che non ci sarà più acqua per i prossimi venti km fino all’arrivo. Riempiamo bene tutte le borracce e ripartiamo, ma subito mi accorgo che quel dolore al piede sinistro che prima era solo un leggero fastidio sta aumentando a dismisura, cerco di ignorarlo ma niente da fare, più cammino più aumenta.
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Ad un certo punto non riesco più a correre, soprattutto in discesa inizio a zoppicare. Manca ancora un bel pezzo all’arrivo, in particolare dobbiamo affrontare gli ultimi 600 mt di dislivello del Monte Capin, che sono i più ripidi che si possano immaginare, o forse così ci appaiono ora. In salita riesco ad andare ma appena inizia la discesa niente da fare, chiedo a Niki di dirmi con esattezza quanto manca ma già sapendo che mi mentirà non presto attenzione alla risposta. L’oki inizia a fare effetto, provo a correrci sopra, funziona… da qui è tutta discesa, andiamo giù spediti nonostante abbia iniziato a piovere, 5 km che sembrano un eternità  ed ecco le prime case, imbocchiamo una strada asfaltata, non siamo molto lucidi, attraversiamo un cimitero convinti di essere fuori strada mentre in realtà siamo ormai praticamente arrivati, scendiamo sulla ciclabile ed ecco in fondo il gonfiabile, ancora cento metri e tagliamo il traguardo quasi increduli, quattro giorni fa eravamo  li che nemmeno sapevamo se partire o meno con 200 km di sentieri davanti a noi ed ora è tutto finito.  Arrivano i ragazzi spingendo le k-bike, non si può descrivere l’emozione generale, pianti, abbracci. Andiamo a farci la doccia, apro la borsa non ho più niente di asciutto o pulito, niente con cui asciugarmi, mi arrangio alla meno peggio, Niki mi da una maglietta.  Sara la volontaria che ci ha sfamati e rifocillati per quattro giorni ci abbraccia e ci ringrazia mettendoci in imbarazzo per la sua gentilezza, Marcello sembra sollevato dopo quattro giorni di preoccupazioni ora finalmente sorride soddisfatto. Come due ubriachi ci avviamo silenziosamente vero la macchina. Sapevamo fino dal principio che questa non sarebbe stata una corsa come tutte le altre, quello che non sapevamo era che avremmo incontrato delle persone eccezionali, e che la corsa non sarebbe durata solo 4 giorni ma  che sarebbe continuata nelle nostre teste per molti altri giorni ancora. 
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benzedrina · 11 months
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Mi metto nel letto alle 12, disegno una mezz'oretta (abitudine che ho da un po') e cerco di addormentarmi. Domani vorrei svegliarmi presto e levarmi un po' di cose. Mi addormento e dopo 20-30 minuti mi prende un'apnea fortissima, una delle solite, non dico giornaliere (le ho ma sono piccoline) ma settimanali. Mi sveglio, la gola dolorante, il respiro affannoso, il cervello che dorme e gli occhi sbarrati. Vorrei riaddormentarmi, vorrei crollare subito e invece il corpo ha paura, devo riprendere a respirare, devo andare in bagno, camminare qualche minuto, bere un po' d'acqua e respirare a pieni polmoni per calmare l'insufficienza. Rimettermi a letto e dormire è impensabile per almeno 2 ore. Potrei provarci ma avrei gli occhi chiusi, i pensieri riattivati a mille e il sonno lontano.
Ho problemi di sonno da una vita. Russo come un facocero e stando alle diverse polisonnografie ho una qualità del sonno scadente (per via delle microapnee). Non sto bevendo caffè da mesi, l'alcol se posso non lo bevo e il fumare è ascrivibile a rarissimi momenti. In pratica sto sulla strada dello straight-edge per poter cercare di dormire decentemente. L'ultimo specialista mi ha consigliato un mix di spray e farmaci perché la mia condizione è quella di un soggetto allergico senza sviluppo di allergie (in sintesi) ma a me i farmaci fanno un male cane. Quando vedo qualcuno che per un mal di testa prende Oki o Brufen come caramelle, mi sale un brivido di dolore e mi sento spossato per loro. Sarà che ho una soglia del dolore molto alta.
Quindi eccomi qui, il cervello attivo, la voglia di fare cose, la noia che passa su tiktok, io che faccio mille progetti per domani, le 3 di notte e io che volevo andare a dormire alle 12 e qualcosa.
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a-pathica · 1 year
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endometriosi
quella simpatica patologia che nel 2023 ancora difficilmente diagnosticano perché “è normale avere dolori durante il ciclo”, “può capitare che faccia male la penetrazione”
e io sono qui, al mio terzo oki della giornata, piegata in due dal dolore perché è come se mi stessero infilando dieci coltelli nell’utero tutti insieme.
ma è normale.
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le-corbeau-maudit · 1 year
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Je ne sais pas si tu t'en rend compte, mais tu es méchante avec moi. Tu as la chance d'avoir un bon gars qui va être toujours là pour toi. Tu as la chance d'avoir un bon gars qui fait même super bien à bouffer loll Tu as la chance d'avoir un gars full romantique qui veut juste te love ! Tu as la chance d'avoir un gars qui aime plein de chose que tu aime ! Tu as la chance d'avoir un gars qui veut être docteur en lettre et devenir un des grand poète national du Québec ! Au même titre que Ducharme, Gaston Miron, Anne Hébert, Émile Nelligan et même une autrice d'autofiction, telle que mon Idole Nelly Arcan. Et tout ce que tu fait depuis quelques mois, c'est de toujours t'éloigner et être silenceuse parce que tu ne sais pas comment gérer tes émotions intérieur. Je sais que mon passé fait peur ! Je sais que j'ai commis de nombreuses érreurs de jeunesse mais en réalité, moi je suis déchut de ce passé. Mais j'essaie de prendre le temps avec mes études supérieurs, et de construire quelque chose de grandiose qui va marquer l'histoire du Québec, à ma facon et en littérature. Je me sens désemparé présentement parce que tu n'arrête pas de venir, de partir, de me ad, de me suprimer etc !! Je trouve ça dure parce que je ne te comprends plus live !!! Peut-être que le temps n'était pas propice à notre rencontre dans le fond, je ne sais pas, mais ce que je sais en revange, et c'est plus fort que moi en fait, je suis tomber amoureux de toi et je sais que c'est pour la vie, même si tu agis présentement avec moi comme ça, je ne peux pas t'en vouloir, je ne suis pas capable de le faire (d'être genre facher) parce que je sais ce que tu as vécu intérieurement des trucs pas cool, et je suis peiné moi même de cela.
J'ai comme l'impression qu'on joue live à un jeu qui me rend.... et qu'on interprete "YOUR NAME" Aussi, je ne peux pas t'oublier, c'est impossible et tu verras avec le temps ce que je dis est vrai. Je te demande de ne pas m'en vouloir si je publie notre recueil de poésie, mais pour la fin, c'est toi qui a décider par inadvertance comment elle ce terminera. Désoler mais je vais devoir faire fictivement comme Nelly Arcan ! Je vois pas d'autre fin présentement qui serait adéquate en fait ! Fait tes choses, je vais faire les miennes mais SVP arrête la de me suprimer de partout parce que la, ça me rend mélancolique srx Et reviens quand ton coeur saura ce qu'il veut oki Moi je ne communiquerai et t'écrirai pas nul part , mise à part ici, sur mon blog dédier seulement à ma belle, tendre et trop sex Frayeur Yandère !! Ce blog à la base, je l'ai créer seulement pour toi et les autre fille, je m'en fou. PS : Si je n'ai pas écris grand chose c'est dernier temps c'est que mon inspiration poétiquement artistique de mon coeur sait caché je ne sais ou et en fait, c'était toi ma muse, mon inspiration et depuis que tu n'es plus la, j'ai de la dificulté à écrire, je ne suis plus capable de rien écrire. Bon je te laisse et je te donne un gros Bisous XOX et j'espère que moment donné, tu vas te rendre compte de la chance que tu as toujours (et je te promets sur mon coeur, mon âme de romantique) du gars merveilleux que tu pourra toujours avoir dans ta vie oki, et c'est moi. Bisous XXXXX Watashi zettai ni akiramenai Nazenara, Itsumademo aishiteru Watashi no kokoro wa anata dake no tamedesu Anata no tame ni Watashi zettai ni akiramenai -`ღ´- -`ღ´- -`ღ´- @}-- >--- >---- @}-- >--- >----
Le Corbeau Maudit ton Poète pour la vie !!
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payakan52 · 1 year
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Mình thèm cơm hến, thèm ghê luôn.
Mình nói vs Ý là "Không biết mình có dụ được Ý mê Quy Nhơn không, chứ Ý dụ KOanh mê Huế thành công quá rồi".
Ý bảo mới tìm ra được quán cơm hến ăn cũng oki, vị của Huế. Thế là chiều học xong mình qua đón Ý đi ăn. Mình ăn 1 tô cơm hến, xong rồi còn thèm cả bánh bột lọc nữa. Cơ mà bánh làm ở đây không ngon bằng những lần được ăn bánh của nhà Ý gửi vô. Cơ mà cơm hến thì ngon thiệttttt, làm mình hôm sau vẫn phải đi ăn lần nữa mới bớt thèm.
Mình chưa đi Huế bao giờ, mình chỉ được nghe về Huế qua Ý, qua Chiến. Ý bảo với mình là" Huế buồn, nhưng ai thương Huế rồi sẽ thương mãi."
Mình với Ý hẹn nhau, đợt thực tập tới sẽ đi ngoại tỉnh. Ý bảo vs mình, ra trường xong thì sẽ ra Bắc. Nhỏ bảo, nhỏ không hợp vs SG.
Mình không biết là, mình sẽ ở SG bao lâu nữa. Nhưng đôi khi mình nghĩ, biết đâu có một ngày mình sẽ thương SG như cách mình thương Quy Nhơn cũng nên. Hì
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alexispasalexis · 1 year
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Day 4/365 no zero days challenge
today, we did language learning ✨airplane edition✨. today was my flight back to montréal from seattle, and i am writing this post from the comfort of my appartment. everything is in balance. bon, the flight is 5 hours long, which means MOVIE TIME !! i wanted to do 2.5 hours of french content then 2.5 of spanish, but it turned out more 3:2.
voilá les films que j'ai regardés :
à quoi tu rêves léon ? (2022)
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Il n'y avait pas beaucoup de dialogue dans ce court-métrage, car le film est d'un point du vue d'un chien. C'est pas un court-métrage dont les animaux parlent ou peut-être sont les narrateurs. Pour dire la vérité, je suis pas une personne animale. Donc, je recommande ce court-métrage aux personne qui aiment des animaux, évidemment, surtout les chiens.
fanmi (2021)
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Le description de ce court-métrage m'intriguait parce qu'il propose un mère qui rend visite à sa fille et bien sûr il y a quelque chose que le mère cache. En fait, j'ai presque pleuré parce qu'il m'a fait penser à ma mère et le fait que, comme les personnages dans le court-métrage, on est loin l'un de l'autre. Ce que je déteste sur les courts-métrages, c'est que parfois, il n'y a pas une "vraie" fin. Bien sûr, c'est subjectif, qu'est-ce que c'est une fin ? Je vais revenir sur ce point plus tard.
lignes de fuite (2022)
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WAOUH CE FILM LÀ. okie je me souviens avoir vu des publicités partout à montréal pour ce film quand il est sorti, donc, quand j'ai vu qu'il était disponible dans la sélection des films d'Air Canada, j'ai su que j'allais le regarder, et c'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. je recommande FORTE ce film. les acteurs sont magnifiques et je me sentais comme je les connais. en fait, dans le film, l'une de personnages avait une copine qui n'était pas née en parlant français à la maison. elle comprend parfaitement le français, et elle parle les deux dans le film. je me voyais dans ce personnage parce qu'il était évident qu'elle avait du mal à s'identifier avec le Quebec : la culture, la cuisine, les gens., etc. cette répresentante des anglophone a une magnifique dialogue où elle insulte le Québec, et, franchement, je l'ai adoré. le film touche aussi les gens woke qui aiment évoquer toujours ce qui ne va pas dans la vie. l'un de personnages est un chargé de cours de philosophie et il est vraiment désagréable. REGARDE CE FILM LÀ
competencia oficial (2021)
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ce film… était intéressant. bien sûr, penelope cruz et antonio banderas sont déjà connus dans la presse occidentale, mais c'était le premier film où je les voyais jouer dans leur langue maternelle. en tout cas, ce film a confirmé que je ferais n'importe quoi pour penelope cruz.
le test (2021)
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j'ai vraiment adoré ce film. au début du film, un test de grossesse est trouvé dans la poubelle et la mère s'est mise à trouver à qui il appartient. le fils aîné commence à paniquer parce qu'il a apparement beaucoup de partenaires sexuels à 19 ans. donc, ce film m'a fait réfléchir : putain, les ados français sont actives ! cependant, en comparant les parents dans le films aux parents américains, il me semble que les parents français sont ouverts et n'arrétent pas forcement leurs enfants d'avoir des relations sexuelles. le film se déroule aussi à montpelier, et je trouve que les gens qui vivent dans les climats chauds sont plus détendues que ceux qui n'en vivent pas. les enfants ont dit à leur mère de fermer la gueule, et j'étais vraiment choqué. j'ai beaucoup ri dans le film et je l'ai trouvé tellement mignon.
alors oui
i hope y'all enjoyed that, my brain hurts, but it was good to challenge myself to write in french
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yaut-jaknowit · 10 months
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It's been a while folks but here's Gawtin, Qui-oky, and Y/N. All taking a well earned nap.
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lilleejean · 5 months
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nataventures · 2 years
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[ SULAWESI - Rantepao]
Lundi 26 septembre : Cérémonie funéraire
Ce matin nous partons pour la cérémonie funéraire avec Yuli (notre guide) et Oki (son fils et chauffeur) dans un village a 1h de Rantepao. Le défunt est décédé il y a 7 mois et est gardé depuis ce temps-là (embommement végétal pour conserver le corps) afin que toute la famille puisse le voir et lui dise au revoir. C'est le temps nécessaire aussi pour récolter l'argent afin de célébrer le passage au paradis.
Toi quand tu vas a un mariage tu offres des fleurs, eux offrent des cochons et des buffles qui seront sacrifiés lors de la cérémonie.
Nous ne voulions pas voir de sacrifices mais dès notre arrivée, on nous dit qu'il y aura un sacrifice de buffle...
Le rituel cérémonial m'intéresse mais c'est trop difficile de voir les sacrifices. Je trouve intéressant de comprendre cette culture si loin de la nôtre mais voir la souffrance animale est trop pénible pour moi.
A l'approche du sacrifice, je m'éloigne avec de la bonne techno dans les oreilles pour ne pas entendre (merci Anna, Rebeka Warrior pour votre son bien bourrin qui aura masqué les hurlements). J'échange beaucoup avec Yuli sur cette vision de l'animal. Le buffle est choyé durant des années comme un enfant mais il est massacré car c'est son destin. Pour les torajiens, ces buffles et ces cochons sont venus au monde pour le sacrifice. C'est le rituel.
Nous continuons l'après midi avec les tongkonans: elles sont construites entièrement en bois de palmier et bambous, un travail impressionnant !
Nous terminons par la visite d'un atelier de tissage. Un travail long et minutieux!
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zimainvader · 2 years
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Nallely una pequeña niña mitad humana dragón consentida por sus padre billonarios es el infierno de sun
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OKI les dije a qué a qui abría material fnaf hehhee
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magari pensa che c'è gente che vuole conoscersi qui per questo la domanda ma oki
E siamo d'accordo, più che giusto e lo capisco. Ma per me è una domanda filtro. Non ha davvero importanza, maschio o femmina. Se una persona vuole conoscere lo fa a prescindere. Tutto quì. Spero ci siamo chiariti in questo😊
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midmathysmauron · 5 months
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BREEZE OF LIGHT
« Nendo », entreprise de design fondée par Oki Sato, a collaboré avec l’entreprise de climatisation « Daikin » lors de la Milan Design Week 2019. La collaboration consiste en une installation immersive et conceptuel. En effet, pour mettre en avant « Daikin », « Nendo » se concentre sur le concept de pureté. Le défi est de retranscrire artificiellement une sensation que l’on ne peut ressentir que dans la vraie vie, ici la sensation de fraicheur provoquée par une douce brise.
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La méthode utilisée est ce qui m’a convaincu de parler de ce projet car je la trouve redoutablement ingénieuse. L’installation se compose d’une salle parfaitement blanche traversée par un sinueux sentier et dont le sol est couvert de 17'000 « fleurs ». Il s’agit en réalité de films polarisants découpés en forme de fleurs. Et grâce à un habile jeu de 117 projecteurs polarisés et motorisés, il est possible de contrôler à sa guise les ombres des fleurs en allant jusqu’à les faire disparaitre, créant ainsi l’illusion qu’une légère brise.
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Ce projet m’a interpelé par l’épuration extrême de son design dans un premier temps, puis par l’ingéniosité des moyens mis en œuvre pour relever ce défi d’une manière originale.
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