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#neige et glace
semioticapocalypse · 6 months
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Ted Croner. Little Man in Snow. 1947
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lecturedesam · 3 months
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Le cirque du diable
Auteur : Olivier Descosse Titre : Le cirque du diable Date de parution : 2 novembre 2023 EAN : 9782374485041 – 528 pages     4eme de couverture :  Massif de la Meije. Un corps congelé, entièrement nu, retrouvé par des surfeurs lors d’un ride dans le Cirque du Diable. Le lieu est inaccessible et connu pour les légendes funestes qui l’entourent. Au même moment dans le Haut-Var, trois cadavres…
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les-portes-du-sud · 4 months
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Festival de glace de Harbin - Guide Chine - Terres de Chine
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Œuvre réalisée par un norvégien.
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Bonjour sous la neige et la glace
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coolvieilledentelle · 6 months
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Une idée pour ce soir...
Soufflé avocat vanille pistache chocolat
Surprenant, raffiné, délicieux. Un dessert bluffant, simple et rapide à réaliser. 
Pour 4 personnes
1 avocat bien mûr
2 blancs d'oeufs
1 gousse de vanille
1 càc de pâte de pistache
35 g sucre
4 carrés de chocolat noir à 70 %
Beurre, sucre pour les ramequins
Sucre glace pour la déco
Préchauffez votre four à 240°. Beurrer généreusement les ramequins et saupoudrer de sucre. Placer au réfrigérateur. Couper les avocats en deux, retirer le noyau. Prélever la chair à l'aide d'une cuillère et la mettre dans le bol du mixer. Ajouter la pâte de pistache, les graines de la gousse de vanille. Mixer. Monter les blancs en neige bien ferme, avec le sucre. Incorporer délicatement les blancs à la purée d'avocat. Répartir la moitié du mélange dans les ramequins. Déposer un carré de chocolat. Verser le mélange restant. Enfourner pour 6 à 8 min. Saupoudrer de sucre glace et servir immédiatement.
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Jean-Pierre Nicolas 🇫🇷Vincent Laverne 🇫🇷#5:Renault 17 Gordini.3ème classement final. Rallye Neige et Glace 🇫🇷1975
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leparfumdesreves · 4 months
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L'HIVER
J'ai toujours aimé l'Hiver, la vie est au ralenti, la nature est enveloppée de givre.
Je suis grisée par cette sensation ouatée, d'où ne sort aucun bruit.
Seul le craquement des pas sur la neige, ou le crissement des patins sur la glace, entament en vain, un dialogue de sourd.
C'est comme un Rêve d'enfant dans lequel on m'aurait renvoyée, le temps que mon corps et mon âme se posent.
C'est un univers où s'entrelacent l'Amour, la bienveillance et la grâce divine.
Je suis une inconditionnelle de l'Hiver, car j'aime le froid, un luxe qu'il faut respecter car ses jours sont malheureusement comptés"
L.PDR 8/01/2020
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mmepastel · 4 months
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Quelle découverte !
Toujours pas remise de ma lecture de Gorge d’Or, roman finlandais de cette dernière rentrée littéraire, je cherchais un livre qui puisse lui ressembler, au moins un peu… ça m’a conduite, par ricochets divers, à la découverte de cet écrivain norvégien, né à la fin du XIXe et mort en 1970. Tarjei Vesaas. Un inconnu total pour moi… quoique.. j’avais lu dans Télérama une critique au sujet de ce qui est considéré comme son chef-d’œuvre : Les oiseaux, nouvellement traduit aux éditions Cambourakis.
Alors. Le palais de glace n’a rien à voir avec Gorge d’Or. Mais c’est une merveille. Une lecture qui ressemble à une expérience entre veille et sommeil. Les commentateurs l’identifient comme un conte symboliste, ça me paraît pertinent. Cela ressemble à un conte énigmatique qui parle d’enfants, mais ne leur serait pas vraiment destiné. Ou peut-être que si, s’ils lisent avec les yeux fermés (façon de parler), avec leurs rêves accessibles, sans attendre d’action tonitruante, en écoutant leurs émotions les plus incompréhensibles.
Vous avez le résumé de la nouvelle traduction de l’édition la plus récente. Ce n’est pas celle que j’ai lue, j’ai lu le livre dans l’édition GF, plus ancienne. Je ne peux juger de l’amélioration apportée ou non par Jean-Baptiste Coursaud, mais je serais curieuse de lire cette autre version.
Ce que je peux dire pour l’instant, c’est que le style de l’auteur est très simple. Il progresse dans son récit par petites touches, petites phrases plutôt courtes, qui ne sont pas complexes mais qui sont bien souvent énigmatiques. Il semble vouloir rendre compte des émotions successives et étranges que les petites filles éprouvent l’une pour l’autre, puis à l’égard de quelque chose qui les dépasse, ou bien qui les submerge.
L’attention à la nature est admirable. On passe de l’automne au printemps, du début de la formation de ce palais de glace (une cascade gelée) à son effondrement. Siss, l’une des deux fillettes, passe de l’innocence à la tristesse puis à la tentation nouvelle d’une vie autre qui coïncide au printemps où un garçon la trouble, mais elle ne veut pas trahir son amie avec laquelle elle a passé un pacte impérieux.
Je ne vais pas enfermer ce récit dans mon interprétation, mais je me contenterai de lancer quelques pistes. Les deux fillettes qui s’adorent évoque pour moi quelque chose de tout à fait concret, la dévotion enfantine que l’on peut avoir en amitié ne me paraît pas du tout saugrenue. Elle peut aussi revêtir une dimension symbolique puisque les deux fillettes sont apparemment opposées. On peut se demander si la perte de lune par l’autre ne correspond pas au passage de l’enfance à l’adolescence, qui va de pair avec l’envie de réconfort en même temps qu’un malaise soudain vis à vis des parents.
Peu importe, ce sont des fils, des chemins, tracés dans la neige, des lueurs qui vibrent à travers les parois du palais de glace, si beau, si mystérieux ; un refuge, un danger, un lieu de rêve, un secret, un tombeau. Au lecteur de se laisser prendre par la main par le narrateur qui pose des questions et des bouts de réponses comme des cailloux scintillants dans son récit, au lecteur de les ramasser en fonction de la résonance qu’ils créent en lui. La dimension onirique est si présente qu’elle fait du récit un texte qui résiste à l’analyse, ce qui permet sûrement de survivre aux années, et font de lui un joyau qui est célèbre en Norvège, et qui se fraie apparemment enfin un chemin jusqu’à nous. Une lecture marquante.
PS : c’est chouette de le lire fin décembre, dans un monde qui manque singulièrement d’enchantement. Une lecture qui m’a rappelé Michel Tournier ou Karen Blixen.
PS 2 : j’ai mis la 1ère de couverture de l’édition anglaise de Pinguin Books parce que je la trouvais belle.
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pompadourpink · 1 year
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The month of January
The month of January, if it were a person, would be a human icebox. We are lulled into thinking of winter as this grievous, almost grim event, when only the hardiest souls brave the elements to walk their dogs. We cozy up in our houses, and hope for the thaw to come. The snow starts to fall and we turn our noses up at our bowls of hot soup.
Le mois de janvier, s'il était une personne, serait une glacière humaine. On nous fait croire que l'hiver est un évènement cruel, presque sinistre, où seules les âmes les plus courageuses bravent les éléments pour promener leur chien. Nous nous installons confortablement dans nos maisons, en espérant que l'arrivée du dégel. La neige commence à tomber et nous nous détournons de nos bols de soupe chaude.
On January 17, though, we watch the clock, knowing we have nothing to do, and no one to see. The days are as long and dark as ever. We curl up under blankets, and wait for the first sign that the sun is getting ready to burn through the clouds.
Le 17 janvier, cependant, nous regardons l'horloge, sachant que nous n'avons rien à faire et personne à voir. Les jours sont plus longs et sombres que jamais. Nous nous blottissons sous les couvertures et attendons le premier signe que le soleil est prêt à traverser les nuages en les consumant.
But it is pointless.
Mais cela ne sert à rien.
There is no marking in the sky, no telling time. This is the time that the world stops. A fish can remain motionless, its body weighed down by the water, and it still can freeze to death. A bird cannot pull up into its nest when it finds itself snowed in. It knows, deep down, that it is too small to withstand the plummeting temperatures and it will be unable to fly to safety. A car can be buried beneath drifts of snow, the windows encased in ice, yet no one can drive.
Il n'y a pas de repère dans le ciel, pas de façon de savoir l'heure. C'est le moment où le monde s'arrête. Un poisson peut rester figé, son corps alourdi par l'eau, et il peut quand même mourir de froid. Un oiseau ne peut pas se hisser dans son nid lorsqu'il se retrouve bloqué par la neige. Il sait, au plus profond de lui, qu'il est trop petit pour résister à la chute des températures et qu'il ne sera pas possible de voler en sécurité. Une voiture peut être ensevelie sous des bancs de neige, les vitres recouvertes de glace, et pourtant personne ne peut conduire.
It's as though the world is being held motionless by an invisible force, unable to move forward or backward.
C'est comme si le monde était maintenu immobile par une force invisible, incapable d'avancer ou de reculer.
We are trapped.
Nous sommes pris au piège.
We are trapped in the immovable.
Nous sommes pris au piège de l'immuable.
Time stands still, and we are frozen in place.
Le temps s'arrête, et nous sommes figés sur place.
Time is not real, not in the way that we understand it, but it is a force in nature that acts the same way that the sun acts. It keeps the earth warm, and because of that, we can survive. Every year, in the month of January, we are forced to realize that. The sun is too powerful to be shut out, but we can be.
Le temps n'est pas réel, pas de la manière dont nous le comprenons, mais c'est une force de la nature qui agit de la même manière que le soleil. Il garde la terre chaude, et grâce à cela, nous pouvons survivre. Chaque année, au mois de janvier, nous sommes obligés de nous en rendre compte. Le soleil est trop puissant pour être éteint, mais nous, nous pouvons l'être.
As a species, we are capable of so much, yet so little. We are brilliant and idiotic, our intellects capable of greatness but incapable of many things.
En tant qu'espèce, nous sommes capables de tellement, et pourtant si peu. Nous sommes brillants et sots, nos intellects sont capables de grandeur mais incapables de beaucoup de choses.
In January, we realize that, while the sun is shining brightly on one side of the world, it is cold and unwelcoming, and we can never leave our homes. We are held captive by our hearts and minds, stuck in our own feelings and lack of self-realization. It is a very human feeling, and I feel for everyone who has ever experienced it.
En janvier, nous nous rendons compte que, pendant que le soleil brille d'un côté du monde, il fait froid et nous ne sommes pas les bienvenus, et que nous ne pouvons jamais sortir de chez nous. Nous sommes prisonniers de notre cœur et de notre esprit, coincés dans nos propres sentiments et notre manque de réalisation de soi. C'est un sentiment très humain, et je compatis avec tous ceux qui l'ont vécu.
I feel for the dogs trapped in backyards. They've never seen their humans come home and they have no idea what to do when the sun sets for the day. They don't know how long they've been waiting for their masters, and they cannot understand why they aren't there.
J'ai de la peine pour les chiens piégés dans les arrière-cours. Ils n'ont jamais vu leurs humains rentrer à la maison et ils n'ont aucune idée de ce qu'ils doivent faire lorsque le soleil se couche pour la journée. Ils ne savent pas depuis combien de temps ils attendent leurs maîtres, et ils ne comprennent pourquoi ils ne sont pas là.
I feel for the birds, trapped in a cage barely bigger than they are. Every year they sleep all day, making a nest for the future, wondering if the warmth and sunshine of the next day will be enough to sustain them. They build a tiny home, and hope to wake up when the cold of the night has passed. They wonder if their family will come back, and if they will.
J'ai de la peine pour les oiseaux, piégés dans une cage à peine plus grande qu'eux. Année après année, ils dorment toute la journée, préparant un nid pour l'avenir, se demandant si la chaleur et le soleil du lendemain suffiront à les maintenir en vie. Ils construisent une maison minuscule, et espèrent se réveiller lorsque le froid de la nuit sera passé. Ils se demandent si leur famille reviendra, et si elle reviendra.
I feel for the people trapped in a world where they feel powerless and unable to save the things they care about. I feel for those who suffer, who don't understand why they can't hold the weight of the world in their arms. I feel for those who are lost, confused about who they are and where they are supposed to be. I feel for the people who have lost the people who matter, and those who cannot even tell you what they want.
J'ai de la peine pour les personnes prises au piège dans un monde où elles se sentent impuissantes et incapables de sauver les choses auxquelles elles tiennent. J'ai de la peine pour ceux qui souffrent, qui ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas porter le poids du monde dans leurs bras. J'ai de la peine pour ceux qui sont perdus, qui ne savent pas qui ils sont et où ils sont censés être. J'ai de la peine pour ceux qui ont perdu les personnes qui comptaient pour eux, et ceux qui ne peuvent même pas vous dire ce qu'ils veulent.
I feel for those who are grieving, and for those who cannot go on with their lives. And I feel for those who can't stop crying, who ache for the people who have died. I know that I am just one person, trapped in this world of my own making.
J'ai de la peine pour avec ceux qui sont en deuil, et avec ceux qui ne peuvent pas continuer à vivre leur vie. Et j'ai de la peine pour ceux qui ne peuvent s'arrêter de pleurer, qui ont mal pour les personnes qui sont mortes. Je sais que je ne suis qu'une personne, piégée dans ce monde que j'ai créé.
I am powerless.
Je suis impuissante.
I can't save anyone, and I can't save myself. But I have to try, I have to try. I have to remind myself that saving everyone is not my duty. I have to try to understand where people come from, and why people do the things they do. I have to try to love people unconditionally, regardless of what they do to me. But I can't save anyone. I can't do anything. I'm just a little thing. A helpless little creature whose tiny life in this cruel, cruel world is precious to only a few. But, I have to try. It is the only thing I can do.
Je ne peux sauver personne, et je ne peux me sauver moi-même. Mais il faut que j'essaie, il faut que j'essaie. Je dois me rappeler que sauver tout le monde n'est pas mon devoir. Je dois essayer de comprendre d'où viennent les gens et pourquoi ils font ce qu'ils font. Je dois essayer d'aimer les gens inconditionnellement, peu importe ce qu'ils me font. Mais je ne peux sauver personne. Je ne peux rien faire. Je ne suis qu'une petite chose. Une petite créature sans défense dont la petite vie dans ce monde cruel n'est précieuse que pour quelques-uns. Mais il faut que j'essaie. C'est la seule chose que je puisse faire.
And maybe, if I'm very lucky, your burden and your life will be lighter because I existed, and I will die at peace with the knowledge that I made a difference.
Et peut-être, si j'ai beaucoup de chance, votre fardeau et votre vie seront-ils plus légers parce que j'ai existé, et je mourrai apaisée, avec la connaissance que j'ai changé les choses.
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Movie: Portrait d'une jeune fille en feu - Céline Sciamma, 2019
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alioversus · 1 month
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Baldr’s Nothern Saga
R$kp | 2024
1. La neige, évidemment. Pourquoi la neige est-elle aussi triste, d’ailleurs ? Où est passée la neige de nos jeux d’enfant ? La route, aussi, naturellement. À chaque pas, la rêverie ou la mémoire. Tu vois, on parle des âmes perdues dans les limbes… À quoi ressemble-t-on, nous, sur ce chemin ? Chevaliers d’une autre ère, ayant troqué la fourrure contre la veste polaire — ou bien fantômes ? Non, ce n’est rien… Le souffle blanc et une vague douleur dans la guibole… Approchons. 
2. Nous voici au bord du ruisseau. Jadis, on y voyait des carpes, des libellules, du cresson, et sur cette partie de la berge, efflanquée, où se formait un bassin, des poissons rouges à taches sombres. Je suis sûre que cela reviendra un jour. On se croyait au Japon ou dans un film d’animation. Un rayon perce, le remous s’intensifie. Depuis quand n’ai-je plus plongé les pieds dans l’eau claire ? Nous continuons, longeons sur une centaine de mètres : une éternité. Mais rien dans les collets. 
3. Ici, le ruisseau se déverse et disparaît sous la dalle en béton. Plus rien ne roule là-dessus, plus rien ne roule nulle part. Je me souviens pourtant du son des roues, du son des trains, du son du caddie à moitié plein… Cette bagnole ensevelie, j’aimerais savoir si elle peut redémarrer. Bête espoir. Ce n’est sans nul doute qu’une enième carcasse calcinée. 
4. Je n’aime pas cette nostalgie. Je trouve qu’elle me rend mièvre. Je trouve qu’elle m’affaiblit. Et pourtant, c’est lorsque je suis dans cet état-là que je parviens encore à trouver de la beauté autour de moi. Les ruines sont si charmantes, parfois. Seulement parfois. Je ne suis pas si âgée. Je ne suis pas si sage. Je suis juste fatiguée. Les autres ont besoin de moi. 
5. La communauté a pris ses quartiers dans l’ancienne école. Je crois souvent entendre des rires dans la cour. J’observe les stalactites aux gouttières, aux barreaux de la cage à poule. Parfois j’y passe ma main gantée, je crois en la magie, au pouvoir de transformer la glace, de réveiller le soleil au son d’une harpe éolienne. 
6. Il m’attendait depuis une heure. Il a l’air sérieux, sévère, inquiet, le nez plongé dans le livre de compte. Ravitaillement, chauffage, vêtements, médicaments… Il faudra élargir le cercle, tout le monde le sait. Il faudra prendre des risques. Il faudra des volontaires. S’il le faut, il en désignera. J’aurais été amoureuse de lui, dans une autre vie. Dans celle-ci, c’est un glaçon. Il est dur, il est froid, il a raison. Je vide devant lui mon sac. Il opine, insatisfait. Il me montre la carte. 
7. Prendre à travers champs, gagner deux heures. Être à découvert. Ceci n’est pas notre territoire. On guette. On reste sur le qui-vive. Du bruit à gauche, du bruit à droite : des oiseaux, une fausse alerte… On arrive aux abords de la ferme, de ce qu’il en reste. Tout semble avoir déjà été pillé. Je trouve toutefois quelques conserves et me dépêche de les empaqueter. 
8. On entend aboyer des chiens. Je m’immobilise. Mon cœur s’emballe, chaque battement est comme l’éclatement d’un verre en cristal. Pulsation de frayeur. Fuir ou se cacher. On s’est éparpillés. L’air glacé emplit mes poumons. Mon espérance, c’est d’atteindre la lisière, de disparaître dans les buissons. 
9. J’ai su me retenir de crier, après avoir basculé dans la fosse. J’ai su me raidir, m’étaler — au milieu du charnier. Je doutais toutefois que les chiens s’y tromperaient. J'ai fait le mort, mais j’avais trop envie de survivre, et j'avais laissé une piste pour le prouver. J’ai attendu. J’ai écouté. Ils ne sont pas venus. La moitié d’entre nous ne sont pas revenus. 
10. Jamais je n’ai couru aussi vite, à la nuit tombée. Et jamais je n’ai ressenti un tel soulagement en retrouvant les miens, les rescapés — à cheval. Je suis monté derrière l’un d’eux. On est partis au galop. Où les avaient-ils trouvés ? Un miracle ! J’aurais aimé que tout le monde soit là pour le voir.
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semioticapocalypse · 1 year
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A man looses his umbrella on a windy and snowy day. London. 1962.
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alexar60 · 8 months
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Avis de tempête
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La météo avait prédit qu’il y aurait des orages localisés. En effet, je voyais le ciel se noircir brusquement. Cette noirceur assombrit rapidement la rue. Il faisait affreusement chaud. Je restai sur le seuil de la porte à observer cet orage qui, logiquement, devait refroidir l’atmosphère.
Mais l’horreur arriva très vite. Une forme sombre se propagea dans la rue provoquant un vacarme strident. Des centaines, des milliers de rats abandonnaient les égouts et couraient dans la même direction. Je fermais la porte pour les empêcher d’entrer. Puis, j’observais cette horde de rongeurs envahir la route. Certains passaient sous les portiques afin de fuir par les jardins. En face, mes voisins regardaient la scène avec des regards ébahis remplis de terreur.
Le calme revint jusqu’au premier grondement. Je compris qu’ils voulaient échapper à l’orage. Ils sentaient certainement qu’il se changeait en tempête ou en tornade. Le silence régnait entre deux éclairs. Le ciel devint tout-à-coup noir. La pluie commença de tomber en averse avant de se transformer en grêle.
Des grêlons de la taille d’une boule de pétanque fracassaient les pare-brise ainsi que les toits des voitures garées dans la rue. Un orage ? Non, je n’avais jamais vu une pareille pluie ! J’entendais les vitres exploser, les tuiles des toits éclater au choc des boules de glace. Moi qui me plaignais de cette chaleur, j’eus subitement froid. Je montais prendre un pull tout en vérifiant les dégâts sur le vasistas de la salle de bain. Il n’était que fêlé en plusieurs endroits. La grêle ne dura que cinq longues minutes. Cinq longues et terrifiantes minutes. Je pensais que cela se finirait bientôt.
L’orage grondait de plus en plus. Les éclairs allumaient un ciel si noir qu’on crut être en pleine nuit. Il n’était pas encore dix-sept heures quand soudain, des flocons tombèrent à profusion. La poudre blanche recouvrit rapidement la rue, les toitures ainsi que les carcasses de voitures sur les trottoirs. Nous étions le vingt août et il neigeait. L’orage tonnait encore et il neigeait en même temps. Je n’en croyais pas les yeux, pas plus que certains voisins qui sortirent regarder cette étrange tempête de neige. De plus, un froid glacial apparut rapidement, envahissant la rue. Je pouvais voir la buée sortir de leur bouche et de leurs narines avant qu’ils ne rentrent.
L’orage grondait toujours. On avait l’impression d’être au milieu d’un concert de déchainement de la nature. La poudreuse tombait tellement que je ne voyais plus les maisons en face. Je commençais à greloter alors que j’étais protégé chez moi. Je fus heureux que ma femme et les enfants soient en vacances chez mes beaux-parents.  Je pris mon portable pour les prévenir du temps dérèglé dont j’étais témoin. Seulement, le réseau était coupé. Alors, je me contentais de quelques photos.
La neige arrêta de tomber comme elle était arrivée. Par contre, le tonnerre continuait de hurler dans le ciel. Il était de plus en plus fort, de plus en plus proche. Je regardais les éclairs continuer d’illuminer le ciel. Et c’est là que j’ai vu ce que je n’aurais jamais cru voir. J’avais lu des articles à son sujet. J’ai écouté des podcasts. Je me suis intéressé à son histoire, à sa légende. Mais jamais, je pensais la voir en personne.
Cela commença par des silhouettes lointaines encore plus noires que la nuit. Elles avançaient à un rythme effréné. Grâce aux éclairs, j’aperçus d’abord la forme des chevaux, puis celle des cavaliers. Mais c’était bien elle, la chasse sauvage ! Elle fendait l’air déjà abimé par l’orage qui persistait. Elle passa au-dessus des premières maisons de la rue. Je compris que les sabots des chevaux noirs provoquaient ce bruit de tonnerre. Je vis les yeux des cavaliers sans percevoir leur visage. Ils étaient jaunes tels des étoiles dans le ciel. La forme de leur corps ne ressemblait à rien de comparable. C’était une fumée scintillante et opaque. Elle laissait une trainée de poudre derrière le passage des chevaliers.
Je fus saisi de terreur en entendant le hennissement des montures. Ils me glacèrent le sang. Mais ce n’était rien à côté du haro crié par chef de la horde. La chasse passait et je n’avais pas vu le gibier. Ce ne pouvait être les rats ! Non, cette troupe macabre chasse le maudit ou le criminel mais pas un animal si méprisable qu’un rongeur. Je regardais passer cette chasse volante, me demandant si je risquais ma vie en sortant pour la contempler. L’orage passa aussi vite que le groupe de chasseurs. Déjà, il s’éloignait, me laissant abasourdi. Un voisin ouvrit sa porte. Il marcha dans la neige qui commençait à fondre. Il regarda l’état de sa voiture. J’allais le rejoindre lorsqu’un bruit de neige écrasé résonna dans la rue.
Un homme courait d’un pas fatigué. Il gardait la bouche ouverte cherchant à reprendre son souffle. Comme vêtements, il portait des haillons. Il courait au milieu de la route cherchant à fuir. Ses yeux contenaient énormément de tristesse, et on ressentait l’épuisement sur ses épaules. Il courait pieds nus sans s’arrêter, sans parler. Tout-à-coup, le tonnerre revint.
La chasse était derrière ce pauvre homme. Elle le traquait sans merci, sans se reposer. C’était son calvaire, sa punition. Et d’après les légendes, cela ne s’arrêtera jamais. L’orage résonna en même temps que le galop des chevaux. Je remarquai leur aspect squelettique. J’espérais qu’ils n’aperçoivent pas mon voisin. Ce dernier leva la tête pour les regarder passer au-dessus de lui. Mais un chasseur descendit et le transperça d’un coup de lance le thorax. Il s’effondra net. La chasse s’éloigna, le grondement aussi. Puis, le silence arriva en même temps que le soleil.
Nous sortîmes en même temps, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Nous nous précipitâmes pour aider notre voisin. Mais c’était trop tard. Il n’avait aucune trace de perforation, seulement des marques noires sur les vêtements. Plus tard, nous apprenions qu’il avait officiellement été touché par la foudre.
Personne n’oublia cette tempête extraordinaire. Toutefois, personne n’en parla par peur des superstitions....par peur que la chasse réapparaisse et nous traque en représailles…jusqu’à la nuit des temps.
Alex@r60 – août 2023
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cellobis · 2 months
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Dedans le feu, dehors la glace
Vu du dedans
fenêtr' carrée
de la cuisine
quatr' carreaux noirs
des tas d'points blancs
bien scintillants
il neige il neige
Vu du dehors
quatr' carreaux clairs
plein de lumière
des gens qui rient
des gens qui boivent
le chat qui miaule
le chien qui dort
faut vous chauffer
quand vient l'hiver
tout froid dehors
Je n'ai pas d'piaule
frappe au carreau
j'ai froid j'ai faim
mon frère est mort
putain de sort
tombé du train
tombé dans l'eau
rien sur la peau.
Les migrants c’est
comme les oiseaux
Ils traversent
la mer le vent
l’air et le sable
ils vivent dehors
affrontent le gel
les piqûres de l’hiver.
Faisons la révolution
notre nouvelle France
elle aime pas ça
ou les migrants
ou les oiseaux
ou les abeilles
bref, somme toute
toutes les belles
simples merveilles
Cell
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alexisgeorge24 · 2 months
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21 février :
Transfert de Coyhaique à Chaitén. J'aurai aimé m'arrêter au Parc Quelat visiter les glaciers puis et à Puyuhuapi pour ses termes face au fjord, mais la météo rend le projet peu prometeur. Il pleut toute la journée et le soleil est prévu pour le surlendemain. J'arrive donc au village de Chaitén sous d'épais nuages et la pluie fine. Je pose ma tente, goute une bière brassée juste en face de mon camping et mange une pizza avant de rejoindre ma tente.
22 février :
J'attends que les nuages partent et je passe la journée dans le village à me ballader sur la plage, à jouer avec des chiens (dont un trijambiste mais qui ne mérite pas moins mon affection) puis jusqu'à un petit mirador, à prévoir la suite (et la fin...) de mon année sabbatique et enfin le combo classique: bière / dîner.
23 février :
Le top départ rando est donné par le soleil et je monte au cratère du volcan Chaitén qui est entré en éruption en 2008. La région étant très humide, la végétation y est abondante. Je traverse donc une forêt quasi tropicale avant d'atteinte la caldera qui doit faire 2km de diamètre. Le sommet de cendre au centre fume toujours, les arrêtes aussi de cendre formant la caldera sont recouvertes de végétation, et entre les deux, une couronne de lac aux eaux vertes. Au loin, des sommets à pertes de vue complètement recouverts de forêt. Puis la mer. C'est magnifique et je suis tout seul en haut. Je fais du stop pour revenir à Chaitén, je déjeune, puis prends un bus pour aller à El Amarillo, l'entrée sud du parc Pumalín (dont fait aussi partie le volcan). Je fais les 9km à pied jusqu'au camping Ventisqueros. L'endroit est incroyable, une vaste étendue de gazon entre les arbres avec vue le volcan Michinmahuida et son glacier. Nous ne sommes que 3 dans cet enorme camping "sauvage" et j'ai donc l'impression d'être tout seul dans le parc et que la vue sur le glacier en dînant m'appartient.
Bilan: 14km, 1000m d+
24 février :
J'atteins ce même glacier, ou plutôt une de ses langues, après 10km en marchant le long du fleuve Amarillo dans une vallée large et exposée au soleil offrant de jolies points de vues sur le glaciers en face ainsi qu'aux sommets chevelus me formant une réelle haie d'honneur. La ballade AR est agréable, sans dénivelé, le ciel est bleu, le glacier blanc avec des reflets bleus dont les couleurs en ressortent éclatantes avec la roche noir du volcan et la rivière formée par la fonte des glaces est divisée en une myriade de cours s'entrelacant le long de la vallée. Je ne compte plus les glaciers admirés, je ne pense pas m'en lassé un jour et je pense que c'est l'élément de la nature qui me fascine le plus. Sur le retour je me fait prendre en stop sans avoir à lever le pouce; c'est vraiment aléatoire sur qui on peut tomber...
Bilan: 25km, 300m d+
25 février :
Transfert à Puerto Montt en empruntant le dernier, mais pas des moindres, tronçons de la Caretera Austral. Quelques 150km de route et de piste sur la côte et 70km de bateaux à travers des fjords en 10h. Le ciel est bleu, on distingue quelques volcans au sommet de glace et de neige, des branches cadettes de fjords nous invitent à nous y perdre, la mer est calme et je crois avoir aperçu Adam et Eve (à poil).  C'est une admirable croisière d'adieu de la Caretera Austral. Arrivé au Terminal de bus de Puerto Montt j'enchaîne direct avec un minibus pour Puerto Varas à 20km. J'arrive de nuit donc je ne vois pas les paysages, pizza et dodo au seul camping du coin.
26 février :
Il fait beau donc je vois les paysages à bord d'un minibus vers le lieu-dit Petrohué. Je longe ainsi le lac Llanquihue qui est aux pieds du volcan Osorno; la brume du matin fait que l'eau du lac se confond avec le cône du volcan et la lumière du soleil tamisé par les peu de nuages éclair à perfection la carte postale. Je me fais donc déposer d'urgence au bord de la route pour filmer et photographier la vue avant qu'il ne soit trop tard. Puis je reprends le prochain bus jusqu'à destination au bord du lac Todos los Santos et ses eaux émeraude. J'entreprends alors une randonnée initiant la monté de l'Osorno, dans la forêt puis la roche volcanique, jusqu'à des jolis miradors sur le lac et surprise, le Cerro Tronador. Je suis en effet à la même latitude que Bariloche (Argentine) où je m'y étais approché il y a 2 mois. Je vois donc son autre profil et lui fait la bise. Malheureusement pendant ma randonnée je ne croiserai aucun cours d'eau et lorsque j'atteins en redescendant le lac j'y plonge la bouche ouverte. Bon pour la vrai histoire je rempli juste ma gourde mais 30min plus tard en longeant le lac j'y plonge vraiment la tête en buvant directement l'eau. Je pose la tente sur la plage et m'émerveille à nouveau face au lac, au creux des montagnes, le soleil se couchant dans mon dos et donnant des couleurs jaunes, oranges, rouges puis roses au ciel et nuages.
Bilan: 24km, 1000m d+
27 février :
Je finis la visite du parque nacional vicente pérez rosales en me rendant aux Saltos (chutes) de Petrohué après avoir payé 7,5eur (ce n'est pas beaucoup en absolu mais payer pour avoir bétonné un site naturel pour le rendre accessible à tous m'énerve toujours). Surtout que les chutes ne sont pas impressionnantes. Puis je temporise à Puerto Varas en attendant mon bus pour Pucon. A la gare routière on me demande 4e pour garder mon sac le temps de faire quelques courses. Du coup je l'emporte avec moi et au supermarché on refuse de me le prendre l'accueil. Je m'enfou et c'est pas le poid qui me dérange, mais ça illustre la mentalité de ce pays où tout est monnaitisable; sûrement une influence étasunienne. A Pucon je prends l'apero debout devant un concert de Cumbia et j'aime beaucoup; puis un humoriste prend le micro et je m'en vais. Je dormirai sur un matelas dans un hostel, après 2 semaines de tente.
28 février:
Excursion à la journée au sanctuario El Cañi. J'arrive rapidement au Mirador du parc et j'ai une vue sur plusieurs volcans qui dominent le paysage vallonné et recouvert de forêt, notamment d'Araucaria, cet arbre emblématique de la région qui (me) font penser à des pins en forme de palmier. J'arrive encore à decouvrir de nouveaux paysages, la Patagonie est vraiment impressionnante et riche. Je redors au même hostel où je suis seul dans mon dortoir, quel luxe.
Bilan:
17km, 1200m d+
29 février :
2e excursion, mais bivouac sur place prévue, au parque Nacional Huerquehue. Je commence par le Mirador au Cerro San Sébastien. Je traverse une forêt d'arbres normaux (je suis ingénieur pas naturaliste), puis proche de la crête des Araucaria, et enfin je longe une crête avant d'arriver à l'objectif. Il m'arrive alors une galère incroyable... je ne sais pas vers quelle direction m'asseoir pour manger ma mangue tellement le panoramas est époustouflant. Finalement je choisi le sud-ouest, malgré la récente défaite du XV de France face à l'Irlande. Sur la descente, il m'arrive une 2e galère... je tappe mon genoux sur un rocher en glissant... ça fait mal, je boîte pendant 100m, puis la douleur devient supportable pour que je puisse courir jusqu'au point de départ. Sauf que j'avais prévue bien plus pour aujourd'hui, donc je décide de poursuivre en forcant légèrement sur le genoux. Finalement la douleur devient une gêne et je peux continuer sans m'en soucier. De retour donc à l'entrée du parc je prends mon gros sac à dos que j'avais laissé et direction le Lago Toro où j'ai repéré un bivouac sur maps.me. Sur le chemin j'ai une presque 3e galère avec une abeille qui me pique au cou. Je sens la morsure et mon cou qui hurtique. Je demande à des gens que je croise s'ils constatent une anomalie sur la zone concernée; réponse négative et je continue. Arrivé  au bivouac prévu j'y fais une sieste de 30min et je pars vers un sommet sans nom mais proche du Cerro Araucano. L'application me dit que la dernière monté est à 50% (énorme !!) et j'appréhende en m'y dirigeant. Finalement elle est bien à 50% mais est composée de terre et d'herbe, ce qui rend l'accès (hors piste) non casse-gueule. Arrivé au sommet j'ai la même vue que le matin mais pendant le couché de soleil. C'est un délire le panorama. Encore des volcans, des sommets cachant le soleil mais où les araucaria se démarquent sur les crêtes comme des cocotiers aux Maldives en contre jour, des lacs, des falaises, des couleurs, Dali, Mozart, Maradona, Pablo Neruda (pour citer un local); je ne sais pas quand m'arrêter de filmer en drone. Sur le retour il fait quasiment nuit et je m'amuse à ne pas utiliser la frontale jusqu'à mon bivouac. J'y arrive mais je l'allume tout de même pour monter la tente, me laver et faire à manger. Les crapauds me félicitant de ma performance de la journée, ils feront un boucan toute la nuit.
Bilan: 27km, 2400m d+ (!!!)
1 mars:
Mois du fin du congé sabbatique. Je redescends à l'entrée du parc en faisant quelques bonus vers des lacs et cascades, puis je prends le bus retour pour Pucon. Arrivé à l'hostel je croise une belge dont j'ai fait la connaissance l'avant veille et qui a son bras qui a triplé de volume suite à une morsure d'abeille. Elle me dit qu'une morsure au cou peut être fatale car si ça gonfle la trachée est bloquée empêchant la respiration. Elle doit sûrement raconter des bêtises. L'après midi je m'achète des chaussettes, ça faisait 3 mois que je n'avais pas une seule paire sans trou. J'aurai craqué 10 jours avant la fin...
Bilan: 8km, 300m d+
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capitaine-du-terror · 2 months
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Lanterna Magica
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Aurora Borealis Arctic Regions – sur la banquise, des marins anglais fraternisent avec des Esquimaux. L'un d'eux regarde son visage dans un miroir que lui présente un Anglais. Un bateau est pris dans la glace, un mur de glace a été construit pour éviter que le navire soit brisé. Dans le ciel bleu et violet, une magnifique aurore boréale.
Visible en ce moment au Musée de la Marine, dans le cadre de l'exposition temporaire Objectif Mer: l'océan filmé (jusqu'au 05/05/2024).
La « lanterne magique » apparaît en 1659 à La Haye, dans le laboratoire de l'astronome hollandais Christiaan Huygens. La lanterne magique permet la projection amplifiée, sur écran, d'images peintes sur verre. Ces images peuvent être fixes ou animées, grâce à des superpositions de verres mobiles.
Au XIXe siècle, avec la commercialisation des plaques et appareils par l'opticien Philip Carpenter et les spectacles de la Royal Polytechnic Institution. La lanterne a joué enfin le rôle de messagère d'informations, projetant les derniers événements politiques ou sociaux, comme lorsqu'une expédition s'approchait du pôle Nord...
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Arctic Scene – une mer houleuse, encombrée de gros blocs de glace qui semblent enserrer deux voiliers, dont l'un, rempli de neige, paraît abandonné.
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Mock Suns – dans le ciel bleu sombre, le soleil de minuit sur la banquise. Un voilier est pris dans les glaces. Des marins marchent sur la banquise.
J'ai trouvé très (très) peu d'informations quant aux plaques qui étaient dans les vitrines de cette exposition, cependant, la Cinémathèque française possède d'autres plaques parfaitement identifiées qui montrent l'expédition de Ross en Antarctique et les expéditions à la recherche de Sir John.
Vous pouvez voir le catalogue (avec d'excellents photos) ici: http://www.laternamagica.fr/resultat.plaques.php?collection=Royal+Polytechnic
Et quelques infos en plus dans cet article de la revue du cinéma : https://www.persee.fr/doc/1895_0769-0959_1996_hos_1_1_1152
Lien vers l'exposition: https://www.musee-marine.fr/nos-musees/paris/expositions-et-evenements/les-expositions/objectif-mer-locean-filme.html
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Carpenter et Westley, plaque sur l'expédition de 1850 à la recherche de John Franklin.
Coll. Cinémathèque française.
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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