Tumgik
#série des envois
petrichorpg · 2 months
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Aujourd’hui, j'ai eu le cœur brisé ...
Vous aussi ca vous ai déjà arrivé de croiser par hasard un autre rpgiste ? Vous papotez de tout et de rien, sans forcément avoir de liens entre vos personnages. Puis un jour une occasion se présente. Un rp, puis deux, puis trois ... Entre-vous ça coule de source, y a du feeling. Vous êtes sur la même longueur d'onde. Les idées s'entre-mêlent et vous sentez que vous allez avoir un duo intéressant ensemble. Et puis ... un jour votre partenaire vous dit qu'il quitte le forum pour x raisons (manque de temps, problème irl ...). Votre cœur se brise. Vous aussi vous avez déjà ressentis ça ? On dit qu'il faut séparer irl / rpg mais parfois le courant passe tellement bien qu'on y met des sentiments et ça fait mal quand c'est la fin. Un peu comme si notre personnage préféré d'une série ou d'un livre disparaissait sans s'y attendre. Oui le rpg ce "n'est qu'un" jeu mais c'est aussi plus que ça parfois. Alors à vous qui avez vécu des peines de cœur, je vous comprends, je vous envoie plein d'amour <3
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paulrenaud · 3 months
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"Photonik : Le Règne de la Lumière" est une reprise de la série des années 80 dans un contexte moderne. C'est un nouveau point de départ pour tous les lecteurs, de 12 à 112 ans :)
Vous pouvez retrouver ici le lien vers la campagne Ulule pour le financement de la saga en 3 tomes (envoi des albums au fur et à mesure des publications -tome 1 en octobre 2024).
Ne ratez pas tous les bonus exclusifs à la campagne !
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ernestinee · 9 months
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Alors comment dire.
On est un peu sur l'exact opposé au livre précédent. Alors ouiii j'ai choisi un truc léger pour un peu me changer les idées après "Le bal des folles" qui m'a complètement retournée.
Là c'est vraiment très très léger. Trop léger. Pas bien écrit, ou c'est la traduction qui est mauvaise, j'aime bien trouver des excuses aux auteur.rices.
Bref on est sur Hadès et Persephone, parce que j'ai subitement envie de mythologie grecque. J'ai acheté Le chant d'Achille, j'en ai lu beaucoup de bien ici-même. Je vais relire des écrits d'Homère après si ma phase grecque n'est pas passée. Mais là je voulais de la légèreté et je suis trop trop TROP servie comme je le disais juste au dessus. Comment expliquer. Bon très facilement parce que c'est pas compliqué à comprendre.
On est dans du stéréotype +++. L'autrice s'est demandé comment être originale et elle a décidé après un brainstorming incroyablement bref : "Alooors on va mettre un beau mâle, ténébreux, à la réputation d'être de peu de vertu, et surtout très intelligent et sûr de lui, et face à lui, on va mettre...... (Suspens).... Une godiche. Voilà on n'a jamais vu ça nulle part, c'est l'idée du siècle, bravo"
On souffle.
Du coup pour booster la complexité des personnages, l'autrice a décidé que :
- l'homme a la réputation d'être mauvais, méprisant (quand même, il parie des âmes et il gagne toujours et il les envoie en enfer) MAIS en vrai il est plutôt sympa.
- la fille n'est pas totalement conne, elle est aux études, elle fait son stage en journalisme MAIS elle est tellement sous le charme d'Hadès qu'elle perd ses moyens. TOUT LE TEMPS. De plus, elle est très peu sûre d'elle parce que c'est la déesse du printemps et elle n'est pas foutue de faire pousser une fleur.
Enfin, l'autrice s'est demandé comment intégrer des dieux et déesses dans le monde moderne, et contre toute attente (non), ils prennent forme humaine voilà c'est tout. Ils ont des jobs et tout ça mais en un clin d'oeil ils peuvent sur simple pensée retrouver leur apparence divine, c'est à dire avec des cornes ou des bois selon qui ils sont.
Voilà voilà. Pour ajouter un peu de stéréotypes parce qu'il n'y en n'avait pas encore assez, on a une meilleure amie sans gêne et entremetteuse, et une mère hyperprotectrice.
On a du mansplaining à toutes les pages, que ce soit le collègue sexy (oui, il est là aussi le collègue sexy, il s'appelle Adonis et il est superbe - mais faux cul, ça on le saura plus tard, c'est juste que je le sens venir pcq comment dire.... IL Y A ZERO SUSPENS) ou que ce soit avec Hadès.
Alors au début elle le déteste pcq BIEN SÛR LES HISTOIRES D'AMOUR COMMENCENT PAR UNE DISPUTE C'EST BIEN CONNU. Et puis elle fond quand elle le voit, quand elle entend sa voix suave et sombre (mais confortable - private joke) elle bégaie, elle glousse mais mademoiselle un peu de tenue un peu de mystère un peu de caractère c'est quoi ça. J'AI ENVIE DE LA SECOUER BORDEL.
Et puis après de nouveau elle le déteste et elle veut écrire un article sur lui (dans le "New Athens News" ...... *Soupir*) et puis ma main à couper qu'elle va l'aimer de nouveau dans +- 2 pages et demi.
Un autre truc qui me casse les couilles quand je lis c'est l'impression que le travail d'écriture est transparent. L'autrice a mis dans un chapeau tous les noms de la mythologie et les caractères de chacun et puis pour les personnages secondaires, elle a pioché dans le chapeau et on rencontre par moments bidule qui est espiègle, machin qui est sage, etc etc et le tout sur fond d'histoire déjà existante vu que sans surprise, Persephone va finir par épouser Hadès comme dans la mythologie.
J'ai la même sensation que devant une série un peu niaise. Ça a ses avantages : ça vide le cerveau et on peut faire une petite sieste de 20/30 minutes et on n'a rien perdu. C'était un peu le but quand j'ai choisi de la romance mais je ne croyais pas que ce serait à ce point.
Truc cool, c'est assez soft pour l'instant, ça correspondrait bien à des ados qui cherchent de la romance un chouïa dark (avec le contexte de l'enfer etc) mais sans tomber vraiment dans la dark romance (qui est beaucoup plus glauque et vachement moins destinée aux ados)
Autre truc cool, le côté fiction est sympa pour retenir qui sont les personnages de la mythologie grecque (qui est une histoire sublime - quoiqu'une rawette trop consanguine, Hadès c'est qd même l'oncle de Persephone), leurs caractères, et quels sont les liens entre eux. Du coup ça passe parfois mieux que du purement documentaire pour qui a envie de s'initier à la mythologie grecque (mais il faudra supporter cette histoire d'amour)
Bon, l'autrice a la constance d'avoir écrit plusieurs tomes, ça se vend, ça a un public mais je suis convaincue que je ne lirai pas les autres tomes voilà voilà.
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lecameleontv · 3 months
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Le personnage d'Argyle dans la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender) est interprété par l'acteur Leland Orser.
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Episode 2.14 : Il trouve Jarod inconscient sur le bitume, et décide de le 'soigner'.
Thème : L'Identité.
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Episode 3.12 : Il envoie un message à Jarod pour lui demander de l'aide concernant un 'remboursement'. A cette occasion, il plastifie une photo de Margaret afin qu'elle s'use moins vite.
Thème : La Famille - Relations père/fils
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Episode 4.11 : Il redemande l'aide de Jarod pour retrouver "la femme de sa vie".
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source : imdb
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birbliothecaire · 1 month
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Sinon, Koalec, c'est un magazine pour enfants qui parle de philatélie apparemment. Il a disparu en 2000 mais juste avant il a eu le temps de publier, en janvier 1999, un hors série sous forme d'une BD qui, dédicacée au directeur de l'époque de la WWF, a l'air de parler du braconnage des tigres en Inde, avant de partir sur une série de tangentes et puis une enquête policière à propos de timbres rares édités en Inde. Ce qui, quelque part, est plus cohérent que s'ils avaient décidé soudainement de se passionner pour la cause animale, mais donne au scénario l'impression d'essayer de suivre un rêve.
J'ai retrouvé Koalec sur le site coppoweb, autrefois philatelistes.net, un autre site créé en 2000 mais apparemment toujours actif, et toujours aussi peu rafraîchi, donc je ne pourrais pas vous expliquer comment on arrive à la page qui concerne Koalec (www.coppoweb.com/presse/fr.koa.php) depuis les menus de la page d'accueil, où le liens vers "presse" envoie vers une autre page.
Bref, internet est un endroit incroyable
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alain-keler · 2 months
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Mercredi 24 janvier 1979.
Marrakech, Maroc.
Le Shah et la Shabanou au Maroc.
Poursuivant leur voyage hors d'Iran, les souverains iraniens sont arrivés à Marrakech où ils séjourneront dans le palais d'hiver du Roi Hassan II pour une durée indéterminée (Légende Sygma). Un exil en remplace un autre.
Étrange pays où le Shah se rend après un court séjour en Égypte. Pour se faire pardonner l’impossibilité pour les journalistes de couvrir l’arrivée du Shah deux jours auparavant, une séance photo est organisée, puis un repas dans le somptueux palais du prince Moulay Ali. En repartant dans la nuit de ce palais pour retourner à Marrakech, nous traversons des quartiers d’une grande pauvreté. Intrépide dans mes pensées, je me disais que le prochain Iran serait le Maroc, tant la différence entre les classes de dirigeants et le peuple étaient grandes. J’ai eu tort.
Le Maroc a toujours aujourd’hui un régime autoritaire, même si des avancées démocratiques ont été données à l’occident bailleur de fonds du Royaume. L’autoritarisme a sans doute repoussé l’avancée de tous les dangers.
Un petit retour sur les dates :
Lundi 6 novembre 1978 : Paris Téhéran. Jeudi 19 décembre : Téhéran Paris.
Samedi 30 décembre : Paris Téhéran. Nouvel an au Park Hôtel. Mardi 9 janvier 1979 : Téhéran Paris.
Jeudi 11, 16,17 janvier 1979 : Neauphle le château, résidence de l'ayatollah Khomeiny en exil.
Jeudi 18 janvier : Paris Marrakech. Je note sur mon carnet : Rencontré François Lochon à Orly. Nous avons voyagé ensemble avec Randy Taylor (A.P), et Alexandre Aufort comme Stewart ! Alexandre a ensuite travaillé comme cameraman pendant de nombreuses années à Capa. Il m'a notamment filmé pour la série d'Arte* "les cent photos du siècle" à propos de ma photo sur la confession publique à Gdansk pendant la grande grève de Solidarnosc. 
Lundi 22 janvier, arrivée de l'avion du Shah à l'aéroport de Marrakech. Les journalistes ont été bloqués à l'hôtel El Badia.
Mardi 23 janvier 1979. Journée de tourisme.
Mercredi 24, matin. Tourisme dans la médina. 16.00 heures séance photo très rapide du shah et de la shabanou. Un seul film noir & blanc. La couleur était plus importante. L'agence m'avait appelé pour me dire que j'étais en "assignment" (commande) pour Newsweek.
Jeudi 25 janvier envoi des films par Air France.
Le soir réception offerte par le Comte de Paris.
Vendredi 26 janvier : Dîner offert à la presse par le Prince Moulay Ali, pour faire pardonner les mauvais traitements à l'arrivée de Shah.
Dimanche 28 janvier 1979 : Marrakech Paris.
Mercredi 21 janvier 1979 : Paris Téhéran. Jeudi 1er février, arrivée de l'Ayatollah Khomeiny.
On fait le raccord avec la parution de ce journal le vendredi 9 février 2024.
* série réalisée par Marie Monique Robin.
Réédition en partie du journal du 19 juin 2014.
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mollymooon · 5 months
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ça me saoule que mon copain regarde pas mes stories sur insta. je poste des trucs du genre regardez l’art de mon artiste préféré que je viens d’acheter, voici mon avis sur la série que je viens de regarder, voici mon petit dej que j’ai fait moi-même dont je suis fière mdr
toutes cettes petites choses sont ma vie et c’est comme si il ne s’intéresse pas à ma vie. parfois je lui envoie des photos des mêmes trucs, mais c’est un peu chiant de les devoir envoyer personnellement
commentez les stories de vos meufs les gars, c’est la base de la base 🤦‍♀️
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chifourmi · 1 year
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J'ai commencé la série "Ginny et Georgia" et c'est vraiment la pire série que j'ai jamais vue, c'est ouf?! Les persos sont des caricatures, les évènements s'enchaînent trop vite, il y a pleins de scènes ultra gênantes et pas du tout réalistes. La meuf qui tombe et qui envoie son tampon à la gueule du mec "le plus cool du lycée", ce mec étant un gars qui envoie des snaps avec le filtre chien (wtf?). Ou le bad boy qui s'incruste dans la chambre de la meuf sans rien lui avoir demandé et elle n'a pas l'air plus choquée que ça?? Ou genre entre potes les 4 meufs regardent un porno?? Mais qui fait ça? Le pire c'est que tous ces évènements bizarres sont premier degré et ça rend le truc encore plus gênant.
Puis on dirait que c'est un mec de 60 ans qui l'a réalisée et qu'il a mis tous les "sujets woke" possibles pour attirer les jeunes. Berk. Je suis moi même une énorme woke hn mais là les sujets sont trop mal amenés, le réal met des gros sabots et fonce dans le tas. Je me suis dit que j'allais regarder parce que Ju' avait l'air d'adorer mais là je pige vraiment pas.
Oh et en fait plot twist c'est une meuf jeune qui a fait la série. Je suis encore plus dans l'incompréhension.
(01/05/2023)
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lalignedujour · 9 months
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Ceci est le premier texte d'une série à dérouler : J'ai connu Jed, accessible sous le hashtag #jaiconnujed. Je profiterai du défi @30jourspourecrire pour produire un épisode par jour - sans engagement : je suis pas à l'abri d'un jour sans, d'un jour avec autre chose, ou d'en avoir assez de Jed et de le faire décéder précipitamment.
Ici, toutes les dimensions dépassent celles du corps humain, se dit Jed, et ce sera sa dernière pensée sauvage.
Ce matin, il est sorti sans rien dans le ventre. Sans rien dans les poches. Il se sentirait presque léger. S'il avait fait ça plus tôt dans sa vie, ne serait-ce qu'il y a deux ou trois ans, oui, sans doute qu'il aurait voulu aller plus loin, mais là c'est trop tard. Les services d'urgence sont surchargés dans la soirée, alors autant faire ça en début de journée. Il n'a plus que quelques minutes de marche. Il presse le pas.
Des camions plus volumineux que son appartement, lancés à pleine vitesse. L’air qu’ils déplacent en le doublant, Jed ne le déplacerait jamais en marchant toute la journée. Vues de près, les glissières de sécurité sont plus massives que par exemple les assiettes de Jed, la gourde de Jed, ou même le lavabo de Jed. Deux fois trois voies de bitume : même en largeur, c’est une belle distance, on pourrait y mettre un bistrot sur chacun des sens de circulation.
Jed arrive au pont. En-dessous : la voix ferrée. Il aime cette esthétique. Des couleurs ternes. Deux droites tranquilles, filant vers un point de fuite dans l'espoir vain de se rejoindre. Ici aussi, la hauteur est de belle dimension. Vu de loin, ça ressemble à des graviers qui amortiraient sa chute, mais non, ce sont bien ces cailloux gris clair, suffisamment gros pour lui offrir un accueil contondant. Pas besoin d’attendre le passage d’un train - consulter les horaires et s'en remettre à la rigueur d'un système et des personnes qui le composent ? non - et c’est pour ça que Jed a choisi cet endroit. Cette fois, c’est la bonne. Jed envoie le SMS préparé hier soir. Il enjambe la barrière, se jette dans le vide. Il meurt sur le coup.
Au pied de la glissière, au soleil sur le bitume, le téléphone vibre. Jed est mort et pourtant l'écran n'est pas encore vérrouillé. On peut y lire :
-je me suis suicidé ici, désolé mais je veux bien que vous fassiez évacuer mon corps - jed mimouni
-Le 114 est un service d'urgence réservé aux personnes ne pouvant pas téléphoner. Tous les échanges sont enregistrés. Nous allons traiter votre demande.
~~~
Bientôt, les personnes qui connaissaient Jed seront réunies dans une salle très éclairée. Elles diront quelques banalités. Des banalités qui seront de toute façon belles et feront de toute façon pleurer.
Ces personnes connaissaient Jed, oui. Elles étaient liées à lui. Jed était leur fils, leur cousin, leur oncle, leur frère, leur ex-collègue, leur ex-mari.
Plus tard, au bistro en face du cimetière, on dira autour de Pago Abricot, de grenadines, de panachés, et de blancs sec à onze heures, que Jed continuera à vivre en ces personnes. Oui, on se sentira bien avec cette idée. On fera semblant d'y croire. Mais, c'est tout l'inverse. Jed est mort pour les personnes qui savent qu'il est mort.
Si on ne sait pas que Jed est mort, alors Jed est vivant.
Il continue à vivre chez toutes les personnes avec qui Jed a eu un tout petit contact. Une personne à qui il a failli rentrer dedans en marchant. Une vieille qu'il a laissé passer à la caisse du Auchan. Un enfant à qui il a souri. Ces personnes ne connaissaient peut-être pas Jed, au sens commun du terme, mais elles savaient un peu qui il était.
Je veux les laisser raconter Jed.
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motzerogirl · 9 months
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Pour le 7ème anniversaire de The Vampair Series, je souhaiterais vous partager mes analyses de chaque épisode de la saison 1! Sûr ceux, bonne lecture !
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n°6 The Showdown:
Je n'arrive pas à déterminer les refrains des couplets (c'est encore plus galère que Zombie Prostitute et The Silent lol) tout le long de la chanson c'est presque la même chose donc je vais noter les visuels (⁠~⁠_⁠~⁠;⁠)
Sur la piste:
Ils marchent avec détermination. Ils ne sont pas là pour jouer mais pour danser comme des fous ! Ceci est un concours de danse !
Ensuite ils dansent ensemble.
Et là ! Oui là ! On a Missi qui nous fait un saut de confiance ! Juste OUAW! Même Duke est surpris !
Ensuite on a un moment d'eux très proche ! On dirait presque un flirt ! (S'en est un?) Incroyable ! Puis Missi relâche tout et Duke est... Déçu ? Je- ouaw. Et ils continuent de savouré se moment.
Le Break:
Duke par chercher des boissons et verse du poisson dans le verre de Missi. Lorsqu'il arrive elle envoie valser le plateau.
Jusqu'au sang:
Et là c'est le dérapage. Duke frape Missi puis s'ensuit une bagarre violente. Duke déchire la robe de Missi avec une hanche et elle, elle s'énerve d'avantage. Est ce parce que sa lui rappelle leur première rencontre quand ils a essayé de l'avoir ? Duke arrivé à lui prendre le septre des mains et à lui crever l'oeil gauche. Et Missi, elle, elle lui prend la hache et lui coupe de pousse droit. (RIP si tu es droitier Duke) Le sang coule et tout les deux se calment et se regarde essoufflés. Qu'avaient-ils fait?
Ce que j'ai compris et appris:
Il était parti sur un combat de dance et Duke a voulu empoisonné Missi.
De 1: il utilise du poisson et un prétexte pour l'approché. Il ne veut pas se battre ?
De 2: elle ne veut pas de sa boisson. Lorsqu'il lui avait proposé se concours, avait-elle accepté pour se venger et l'humilité comme dans l'épisode 3 ? C'est pour ça qu'elle a envoyé valser le plateau ?
De 3: Duke est vraiment en colère contre le fait qu'elle ai refusé son verre. On peut remarquer que depuis le début de la série il n'a jamais été violent envers elle. Juste entreprenant mais sinon il n'a jamais blessé Mélissa, et là il la gifle avec une de ces violences ! Même si ils voulaient l'empoisonner... Voulait-il fait une gage de paix?
De 4: Missi est très en colère lorsque Duke lui arrache sa robe. Est ce parce que elle a peur qu'il tente quelque chose avec elle?
De 5: Lorsque l'irréparable fut commis, ils se regardaient avec chocs et épuisement.
J'ai vue plein de petites scènes de complicité très intéressante ! Et j'ai adoré ! Ils se détestent mais ils y a un truc entre eux ! Je ne sais pas quoi mais il y a un lien! Le pouvoir vampirique ?
Je remercie grandement Daria Cohen de nous offrir cette merveille ! Joyeux anniversaire les vampires !
À tout de suite pour l'épisode de fin ! (⁠ʃ⁠ƪ⁠^⁠3⁠^⁠)
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lagriffedemaho · 1 year
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Les préventes des prints formats A4, A5 et le pack de 24 cartes A6 tirées de ma série Tolkien d’octobre 2022 sont ouvertes du 4 Novembre au 18 Novembre. Les envois commenceront à partir du 1er Décembre.
Les illustrations originales quant à elles sont d’ores et déjà disponibles !
👉🏻 https://lagriffedemaho.com/categorie-produit/mahoktober-tolkien/
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davidfakrikian · 1 year
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DVDvision - La Collection Épisode 7
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 7 de la série, quand le magazine a enfin hérité de ses propres locaux et Johnny Rotten l'a baptisé !
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Numéro 7 - Novembre 2000 - 
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Gael Golhen, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Leonard Haddad, Nicolas Rioult, Luc Vigoureux.
Sommaire : Fight Club, Stallone vs Schwarzenegger, James Cameron & Van Ling, L'Obscénité et la Fureur, Le Prisonnier.
DVD : Shaft, Festival de Deauville.
Notes : Voici enfin le 7 (porte bonheur ?), celui que je considère être le vrai numéro un du magazine. Tous les astres se sont alignés sur ce numéro-là. Après un an de hauts et bas et rebondissements incessants, nous emménageons dans NOS locaux, un étage en dessus du couloir précédent. Et intégrons une équipe maquette sur place, dirigée par Sandra Abreu. La direction a même fait reproduire les couvertures des numéros précédents en grand, mises sous verre comme galerie pour la décoration. Tout me semble si soudain et surréaliste, après les galères passées, que le premier soir, je reste tout seul dans les locaux vides, ayant du mal à y croire.
Et il faut dire que cela change tout. A partir de ce moment là, DVDvision devient un vrai magazine, au grand désespoir parfois de certains des collaborateurs occasionnels, qui nous reprocherons de moins leur faire appel, ce qui est logique, pour raisons purement créatives et économiques.   
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"Tu es passé à travers la moulinette, maintenant, il va falloir gérer ton truc jusqu'au bout, et crois moi, cela ne vas pas être si facile", me dit Johnny Rotten-Lydon, en tournée promo sur le nouveau film des Sex Pistols "L'Obscénité et la Fureur". Passionné de DVD, il suit régulièrement le magazine, que je lui envoie depuis le début. 
Ayant réalisé le press-book de "L'Obscénité et la Fureur", j'ai le loisir de quitter la rédaction pour partir en tournée des TV avec Johnny Rotten et Julien Temple. Rotten feuillette le nouveau numéro, et apprécie particulièrement le titre de mon papier sur le film, "Le groupe le plus dangereux du monde". "Il n'y a pas eu besoin de lui traduire", me dit Julien Temple en rigolant.
Pour une raison un peu débile, on décide avec Temple qu'on va boire autant de bières que Johnny, en essayant de rester à son niveau. Notre consommation est tellement effrénée, qu'on se retrouve tous les trois à un moment coincés dans un embouteillage, en route pour Canal+, avec besoin d'un urgent arrêt-vessie. Le chauffeur accompli des miracles, et nous déboulons dans le hall d'accueil de Canal+ devant les réceptionnistes héberluées, à qui je demande à tue-tête "Où se trouvent les toilettes ?!"... dans lesquelles nous nous précipitons, les uns derrières les autres en nous bousculant, en oubliant de leur dire bonjour. On se croirait dans un film Carry On ou les 3 Stooges. (Je vous rassure, on s'est soulagés dans des cabines séparées, et on leur a dit bonjour après). 
C'est assez impressionant de se promener avec un héros de jeunesse dans Paris. Non pas le fait d'être avec lui en personne (on se parle régulièrement au téléphone depuis quelques années déjà), mais celui de voir les réactions des français, qui sont très nombreux a venir le féliciter pour son travail musical passé, quelque chose qui semble le toucher. Il faut dire que 25 ans auparavant, ces compatriotes cherchaient plutôt à lui casser la gueule pour oser sortir des disques pareils. Les temps changent... Pour la petite histoire, la formule de l'éditorial "Enjoy... or die!" qui est apparue depuis le numéro 5, est une formule trouvée par John Lydon . 
Entre autres anecdotes, à un moment, en voiture, Rotten descend la vitre pour cracher dehors à un feu rouge (il a un problème de sinus, qui le force à s'éclaircir la gorge régulièrement), mais au moment ou il crache, une voiture avec une famille entière pile juste devant lui, et se ramasse le glaviot sur la porte !
Rotten se confond en excuses (en anglais), puisque l'intention n'était pas de cracher sur la voiture. Le conducteur descend la fenêtre, et là, se rend compte que c'est Johnny Rotten qui viens de cracher sur sa bagnole. Complètement ébahi, il proteste et dit que c'est OK. La tête de sa famille autour est à mourir de rire. Le feu passe au vert, et le mec repart, galvanisé et fier que Johnny Rotten ait craché sur sa bagnole !
Je suis absolument certain qu'il a dû raconter ça à tous ses potes, et que absolument personne ne l'a cru.
Le plus amusant est que pendant les interviews, je m'occupe de Nora, la femme de Johnny, et qu'on sympathise. Après une heure en loges pendant son interview pour Thierry Ardisson, ou je devine ses réponses à l'avance, ce qui fait rire Nora, Rotten nous retrouve en train de ricaner tous les deux quand il revient, et j'ai droit à l'humour anglais un sourcil levé "Il se passe quoi là ? T'es en train d'essayer de piquer ma femme ?" ;) J'ai ma caméra DV avec moi, et j'ai du accumuler au moins 3h de métrage, dont une partie filmée par Temple lui-même.
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L'ouverture alternative du dossier Stallone/Arnold, remplacée en dernière minute par les visages des stars. Finalement, elle était pas mal !
En relisant le numéro aujourd'hui, je m'aperçois qu'il est en quelque sorte un condensé des 6 précédents, reprenant de nombreux sujets déjà abordés (Van Ling, Stallone / Schwarzie), mais avec une approche rédactionnelle enfin aboutie, venant des longues heures passées à discuter angles d'articles, et état du marché DVD. David Martinez nous surprend en étant le premier à écrire et affirmer que Rambo III est meilleur que le surestimé Rambo II (et pourtant, il a raison !). Leonard Haddad commence enfin a écrire des chroniques lui-même, au lieu de passer du temps à réécrire celles des autres. Je dois avouer qu'un sommaire pareil (Fight Club ? Le Prisonnier ? James Cameron ? Sex Pistols ?), reflète plus mes goûts personnels que ceux de la rédaction, mais c'est le principe d'un vrai numéro un. L'équipe va ensuite plus intervenir dans le choix des dossiers, pour un résultat plus homogène et varié, que mes obsessions punk-sixties-destroy-anarchistes. Au moins, ce sommaire est cohérent ! 
Il y a dans le courrier des lecteurs un mail de Jean-François Halin, concernant le Saturday Night Live. C'est bien l'auteur des Guignols et de OSS 117. Il apparait que les six premiers numéros du magazine ont fait sa réputation, malgré notre insatisfaction, particulièrement dans les milieux urbains, et chez la plupart des artisans de l'audiovisuel. 
La citation de ce numéro : "JL - David, j'ai demandé un whisky, il est où ?" "DF - Johnny, il est devant toi depuis 10mn" "JL - Putain, je sucre les fraises !". (Johnny Rotten Lydon et David Fakrikian - octobre 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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atelier-naginata · 1 year
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A la découverte de la série Atelier
Je suis une fan de farming sim et de JRPG de longue date, mais ai toujours boudé la série des Atelier. J'avais acheté Atelier Rorona sur PS3 il y a une dizaine d'années, et l'avais bien rapidement laché pour cause d'ennui.
Sauf que voilà, Atelier Ryza 3 a été présenté au dernier Nintendo direct, et possédant le premier dans ma blibliothèque Steam, j'ai décidé de lui laisser une chance, sérieusement…
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JRPG + jeu de ferme = Atelier
Je venais juste de terminer Xenoblade 3, après un marathon intensif de découverte de la trilogie, et le moins qu'on puisse dire, c'est que j'avais eu ma dose d'aventures épiques et de sauvetage du monde.Atelier Ryza, c'est tout l'inverse : un monde très coloré, un ton léger et sans morale (au premier abord seulement mais on en reparlera) et un gameplay relativement simple ; on récolte des compo, réalise des crafts d'alchimie, combat quelques mobs et découvre la vie tout à fait normale de nos personnages.
On ne va pas se mentir, dans la première moitié d'Atelier Ryza, il ne se passe pas grand chose… Et pourtant, j'ai du mal à mettre ce point en négatif. C'est tellement rafraichissant de ne pas avoir à sauver le monde et à juste vivre une tranche de vie.
S'il y a bien une chose qui m'a choquée dans ce jeu, c'est que pour la première fois, j'avais vraiment l'impression de faire de l'artisanat, avec un système complexe mais pas trop prise de tête, donnant une véritable satisfaction à chaque création d'objet, qu'il soit un simple compo pour une autre recette, ou un item vraiment utile en combat.
Et de un, et de deux…
Bien sûr, ayant dévoré le premier opus en 40 heures, je me suis jetée sur le deuxième, dont tout le monde chantait les louanges à longueur de post sur Reddit. Et quelle surprise ! Si Atelier Ryza est un petit JRPG de craft sympathique et agréable, Atelier Ryza 2 est un gros AAA qui envoie du lourd, une évolution flagrante de la recette précédente, pour ne pas dire un véritable chef d'oeuvre.
Il y a deux choses que je déteste dans les JRPG : les quêtes annexes, et l'optimisation.Et pourtant, dans Atelier Ryza 2, j'ai fait toutes les quêtes annexes, tous les dialogues avec tous les personnages, tous les donjons à 100%. J'ai bossé à fond l'alchimie dès le début, en optimisant mon équipement et mes objets au max, en débloquant 100% de l'arbre de talent et en faisant chaque recette.
Ce jeu… était un bonheur, du début à la fin, fourmillant de qualité de vie bienvenue, de mécaniques nouvelles et agréables, et de petites histoires à la morale positive.
Trouver sa voie
Atelier Ryza 2 reprend le thème du premier épisode et l'amplifie : l'important dans la vie est de trouver sa voie, et de rechercher un équilibre entre le travail et les loisirs, les obligations et les désirs, la curiosité et la raison.Si vous êtes dans une période de doute ou de dépression, je vous recommande cette série qui touchera forcément votre coeur.
J'ai terminé le deuxième épisode hier soir, et tout comme le premier, c'est un jeu qui prend son temps pour se finir, qui ne vous laisse pas en plan après le dernier boss, mais vous tiens encore un peu la main après les combats pour vous dire au revoir tout doucement.
Verdict : mais ça déchire !
Définitivement, je suis très heureuse d'avoir réussi à accrocher à cette série, au moins à l'arc Secret, qui se poursuivra en février prochain avec la sortie d'Atelier Ryza 3. Pour l'heure, je ne compte pas abandonner les Atelier, et vais me consacrer à l'arc Mysterious en commançant par Atelier Sophie.Et du peu que j'en ai vu jusqu'à maintenant, c'est vraiment bien aussi… Différent ! Mais bien…
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love-again-en-vostfr · 10 months
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Et si un texto envoyé au hasard menait à l'amour de votre vie? Dans cette comédie romantique, endeuillée par la mort de son fiancé, Mira Ray envoie une série de textos romantiques à son ancien numéro de portable… sans savoir qu'il a été réattribué au nouveau portable d'affaires de Rob Burns. Journaliste, Rob est conquis par la franchise des aveux que renferment les messages. Choisi pour écrire un article sur la super vedette Céline Dion (jouant son premier rôle dans ses débuts au cinéma), il lui demande de l'aider à trouver une façon de rencontrer Mira en personne… et à gagner son cœur.
Titre original: Love Again
Date de sortie: 2023-05-04|(104 min)
Qualités: 720p – 1080p
Genres: Romance,Drame,Comédie
Love Again : Un peu, beaucoup, passionnément Streaming vf les films et les livres tiennent une partie de mon cœur. Et de cette façon, j’aime tout. Non, je ne parlerai pas de la scène entière, je pourrais finir avec un nouveau film si je le faisais,
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sassenashsworld · 1 year
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Veux-tu être mon Valentin?
[N’intègre pas vraiment la série The Path of the Private, mais un spécial St-Valentin pour mon détective préféré. J’avais pensé faire un one-shot complètement hors-série mais je pense qu’il serait intéressant de voir la réaction de Silver à une prospect pour Nick Valentine. Il n’y a pas qu’elle qui peut torturer les autres mouahahaha]
Nous sommes revenus à Diamond City en route pour le château. Nora veut aller vérifier comment en est l’entrainement des nouvelles recrues sous le commandement de Ronnie, mais elle voulait pouvoir se reposer un peu au Home Plate avant de retourner sur la route. Pour ma part, je profite de notre temps en ville pour me mettre à jour avec l’agence, mais Ellie n’a aucun nouveau dossier pour moi. Je lui confie ma part de capsule gagnée en compagnie de Nora et elle met la bourse dans son tiroir.
« Piper vient me chercher dans moins de quinze minutes pour passer la soirée au Dougout. Travis et Vadim veulent planifier la soirée de la St-Valentin pour les célibataires de la ville et je fais partie du comité. »
« En tant que célibataire ou tout ce temps passé en compagnie de nos amis a payer quelque part? »
Ellie se contente d’un petit gloussement mais je décide de continuer de respecter sa vie privée. Le jour où elle voudra m’en parler, elle le fera. Sa seule et unique relation à cette date s’étant terminée de façon catastrophique (j’ai dû mettre le jouvenceau derrière les barreaux), elle se montre très prudente avant de s’avancer. Je lui fais confiance.
Piper finit par débarquer comme d’habitude telle une tornade dans mon bureau, me salut avec enthousiasme et repart bras-dessus, bras-dessous avec ma secrétaire.
Le calme des plus totale retombe autour de moi dès qu’elles referment la porte. Je m’allume une cigarette en m’assoyant à mon bureau, fermant les yeux un instant pour savourer le silence.
C’est certain que ma partenaire est silencieuse plus souvent qu’à son tour, mais ce n’est pas nécessairement le calme et la tranquillité à chaque pas, au contraire. Nos aventures sont souvent dangereuses, sinon on se retrouve au milieu de dizaines de personnes, au mieux à diriger ou nous consultant, au pire complètement survoltés comme au bar de Sanctuary.
Le silence et le calme ne font plus vraiment partis de ma vie donc et je savoure aussi pleinement ce moment que la cigarette que je grille tranquillement.
Parlant de grillé, ça sent le grillé dans l’air et ça ne vient pas de ma mauvaise habitude. Dans le silence total de l’agence, j’entends autant que je sens le grésillement d’une énergie qui s’accumule autour de moi et j’ouvre les yeux soudainement. Mais que…
Je n’ai pas le temps de me poser de question lorsque je vois un premier arc d’énergie fendre l’air à moins d’un mètre de moi. Je me lève précipitamment et je me lance dans le couloir menant à ma chambre alors qu’une véritable tempête électrique envoie des arcs partout autour d’un point centrale à hauteur d’homme, envoyant voler des dossiers et accessoirement tout ce qui se trouvait sur nos deux bureaux, à Ellie et moi.
Le temps que l’étrange phénomène se développe, il disparait déjà, et le silence revient, aussi plombant.
Puis j’entends un soupire. Le soupire d’une femme.
Curieux, je m’avance prudemment dans mon office pour constater l’état lamentable dans lequel se retrouve la pièce. Tout les dossiers qui ne se trouvaient pas dans un classeur sont maintenant réparties aux quatre coins du plancher, les fans de bureau aussi sur le sol, il y a même un crayon planté dans le mur et mon cendrier a laissé une belle trainée de cendre derrière lui.
Mais ce qui attire le plus mon attention, c’est ce qui se tient à l’endroit exacte où le phénomène a commencé ; une femme me tourne le dos. Je me doute bien que c’est une femme à voir la cascade de cheveux d’or qui lui retombent sous les épaules et le galbe unique de ses jambes qui se dévoilent sous une jupe courte. De hauts talons encouragent ses mollets à garder une forme irréprochable. Lorsqu’elle se tourne dans ma direction, mon cœur s’arrête.
« Jenny? »
« Pardon? »
« Jenny, c’est toi? »
« Ma désignation est X3-42, nommée communément Aiden par mon créateur. »
Je regarde mieux la fille. Non, ma mémoire de Jenny me confirme mon erreur. Ses yeux étaient d’un bleu plus foncé, le blond de ses cheveux plus pâle. Son nez était aussi plus retroussé et ses pommettes plus rondes. La femme qui se tient devant moi semble plus délicate, une ossature qui ressemble beaucoup à celle de Nora avec des traits ciselés, les yeux plus clairs, mais les cheveux plus or brûlés. Ses sourcils presque aussi pâles que ses cheveux sont délicats comme ceux de Nora, se soulevant de surprise en réalisant à qui elle parle.
« Vous… vous êtes l’un de ces synthétiques prototype de la deuxième génération, non? Qui ont une matrice de personnalité permettant le libre arbitre et le développement de la pensée propre? »
« L’un? Je suis le seul et unique qui parcourt cette terre, pour ce que j’en sais. Enfin, je n’en ai jamais rencontré un seul autre. »
« Je n’ai pas assez d’information à ce sujet pour vous confirmer ou vous infirmer s’il y en aurait d’autre. »
Sa voix à quelque chose de très rafraichissant, toute en douceur. Je pensais qu’Irma avait un ton caressant, quoiqu’une voix profonde. Cette Aiden a une voix très caressante mais plus haute perchée. Si elle n’avait pas un accent si tendre, ça pourrait me faire penser à la voix de Nora. Mais Nora a un ton plus cassé et plus souvent qu’autrement sarcastique (au mieux ironique).
La femme brosse son tailleur impeccable qui détonne particulièrement par les jours qui courent. Elle me tend ensuite une main délicate parfaitement bien manucurée. Je tends la mienne maladroitement.
« Valentine, Nick Valentine. Détective privé. »
« Enchantée Monsieur Valentine. Il semble que je sois parfaitement bien tombée, pour une fois. »
Je me rappelle enfin mes manières. Je tire la chaise d’Ellie pour l’inciter à y prendre place. Je n’ai pas encore digéré toute l’information de son arrivée fracassante ni de sa… désignation, mais une chose est certaine, c’est une dame, et elle a droit à des égards.
« Vous… vous êtes… de l’Institut? »
« Une Courser, en effet. Enfin, je l’étais. Merci. »
Elle prend gracieusement place en posant les mains sur ses genoux dans un geste irréprochable. Une véritable lady. Je me laisse retomber dans ma chaise, me sentant infiniment lourdaud autour d’elle. Pourtant, je n’ai jamais vraiment eu cette particularité malgré le poids de ma structure.
« Une ancienne Courser? C’est possible? »
« Seulement avec beaucoup de chance. J’ai réussi à brouiller mon signal et l’Institut est à présent aveugle à mon repérage. »
« Pourquoi avez-vous fait ça? »
Elle soupire comme soupirerait un oiseau, le même soupire de soulagement que j’avais entendu immédiatement après son arrivée.
« J’ai été conçue pour être charmante et amicale envers les sujets qui, rassurées par mes manières peu menaçantes, se laissent plus facilement attraper. Mais la compassion faisant parti de ma programmation, je ne pouvais tolérer de participer aux atrocités qu’on exigeait de moi. »
« Une rare erreur de calcul de la part de nos amis les boogeymans. »
« Loin d’être leur première. Ce sont des humains. Les humains commettent des erreurs. S’ils étaient entièrement efficaces, nous n’aurions pas cette discussion. »
Je réserve mon jugement. Comme elle a si bien soulevé, elle a été conçue pour mettre en confiance et je serais nigaud de tomber dans un tel panneau. Mais pourquoi s’en serait-elle vantée d’emblée? Qu’est-ce qu’elle gagne à me soulever directement qu’elle est l’Ennemi avec un grand E? En attendant de le découvrir, je préfère rester neutre. À défaut, j’offre une cigarette à la dame qu’elle décline poliment.
« Je ne fume pas, Monsieur Valentine. Mais c’est très généreux à vous de me l’offrir. »
« Est-ce que ça vous dérange si j’en fume une? »
« Pas le moins du monde. Je m’introduis chez vous à l’improviste, la moindre des choses est de vous laisser à votre aise. »
Charmante, en effet. Mais j’en connais une autre très charmante. Aussi charmante qu’un serpent. Elle m’a plutôt appris à me méfier des demoiselles qui se pointent à l’improviste dans ma vie, surtout si c’est de manière inopinée. Je m’apprête à continuer tout en douceur mon interrogatoire quand la porte s’ouvre justement sur mon autre moineau. Elle semble toujours castée par la simple pensée, celle-là.
Elle ouvre donc grand la porte, la tête penchée comme si elle était prise dans ses pensées.
« Nick, je pensais à ça et…
Son regard vient de se poser sur mon invitée improvisée et elle a littéralement figé sur place, les lèvres légèrement entrouvertes par sa dernière syllabe. À les avoir à présent toutes les deux dans le visuel, il n’y a plus vraiment de comparaison possible. Oui, elles ont toutes les deux les pommettes hautes, le regard intelligent et des cheveux quand même assez longs et pâles, mais les ressemblances s’arrêtent là.
Aiden fait penser à une institutrice toute en grâce, Nora n’a pas volé son titre de Général. Justement, son regard devient dur comme l’acier en croisant celui doux comme un mouton de la nouvelle.
« Je te dérange… »
« En fait, tu peux peut-être m’aider. Nora, je te présente Aiden. Aiden, voici ma partenaire, Nora. »
« Enchantée madame. »
La synth se lève et tend une main aérienne à mon amie qui la saisit avec une grimace de dédain évident. Je pense que la demoiselle n’apprécie pas de tomber sur une fille visiblement de la haute venue trop tard dans mon logis. En fait, je ne le pense pas, j’en suis certain. La poignée de main dur juste le temps de le dire et Nora rétracte la sienne comme si elle venait de se brûler. L’autre frotte le bout de ses doigts comme si elle venait de toucher quelque chose de sale et je crois que ça n’aide pas du tout à la faire mieux accepter.
« Aiden ici présente semble être venue me retrouver pour un problème, mais elle n’a pas encore eu le temps de l’aborder. »
J’invite les deux dames à prendre chacun un siège. Je suis stupéfait de constater qu’elles ont la même manière de s’assoir. Différentes ou semblables. Est-ce que Nora était comme Aiden dans son ancienne vie? Toute en douceur et en grâce? Je secoue la tête en souriant pour moi-même. Non, je ne crois pas que Nora ait jamais été douceur, même si sa grâce est indubitable. Quelque chose d’un peu brute mais hautain, alors qu’Aiden semble raffinée à l’excès, mais comme si elles étaient du même matériel de base.
Ou peut-être que je les compare parce que ce type de femme ne se croise plus par les temps qui courent. Elles semblent se ressembler tout simplement parce qu’elles ne ressemblent à rien qui a pu être vomit par les terres désolées ces deux cents dernières années? Sûrement.
Une fois les deux femmes installées, je m’allume enfin ma cigarette.
« Donc, commençons par le commencement. Pourquoi êtes-vous venu à moi? »
« Parce que je dois retracer une organisation capable de m’aider à me faire une nouvelle vie. J’ai pensé que le détective le plus célèbre du Commonwealth serait le plus à même de me porter assistance. »
« Le seul » que déclare Nora dans un toussotement.
Je lui lance un regard en coin puis souris à mon haute après avoir recraché ma boucane vers le côté pour ne pas l’envoyer en direction de mon invitée.
« Quel genre d’organisation? »
« Ils se font appeler le RailRoad. »
Et pas besoin d’être détective pour comprendre la tension qui s’empare immédiatement de Nora. D’ailleurs, la nouvelle venue semble le percevoir aussi.
« C’est un heureux hasard que Whisper en personne se présente au moment où j’en requiers l’assistance. »
Quand on parle d’une mauvaise tactique. En tout cas, côté tomber les masques, cette femme est une vraie pro. Comme la pro de la gâchette qui dégaine immédiatement Deliverer et qui le braque en direction d’Aiden, bondissant sur ses pieds.
« Nick! Elle est de l’Institut! »
« Une Courser. Je sais. Elle me l’a dit. Remet ton arme au fourreau. »
Nora me perce de son regard, semblant penser que j’ai complètement perdu la tête. Plutôt que de m’obéir, elle avance dans ma direction dans un geste protecteur sans lâcher sa cible du regard. Ça serait presque attendrissant.
« Silver, couchée! »
Elle grogne mais rengaine finalement. Plutôt que de retourner à sa place, cependant, elle s’assoit sur le coin de mon bureau en gardant les yeux bien fixés sur l’autre femme.
« Je sais que dans la procédure standard, un caretaker aurait pu m’aider, mais j’avoue que ma situation est un peu différente de celle d’un synthétique ordinaire. Tenter de tâter le terrain me ferait voir et connaître et assurément attirerait sur quelques alliés potentiel le courroux de l’Institut. »
« Elle siffle bien, le rossignol » grogne Nora.
« Justement, ne serait-ce que les oiseaux dans le ciel du Commonwealth servent à dessin l’endroit d’où je viens pour me repérer si j’ose me montrer. »
« Pour ça que je les tue à vue » que continue mon amie.
« Alors, qu’attendez-vous de moi? » que je lui demande.
Elle se penche dans ma direction et il m’est donné de constater que son habit a prévu un décolleté très plongeant dans cette position. Je me force à garder mes yeux bien ancrés dans les siens.
« Je savais que votre meilleure amie était un membre important de l’organisation du railroad. J’espérais que vous pourriez m’aider à m’infiltrer dans leurs bonnes grâce. J’ignore si je peux vraiment être sauvée, mais qui n’essayerait pas d’avoir une vie meilleure? »
Nora persiffle en croisant les bras, visiblement irritée.
« Vous en savez, des choses. »
« Depuis que vous avez éliminé Z2-47, vos faits et gestes sont épiés par l’Institut. Il ne leur a pas échappé que vous étiez en contact avec des synthétiques dissidents malgré toutes vos précautions. J’y ai vu une opportunité. »
« Une opportunité? »
« Une opportunité d’échanger en bonne intelligence. Je vous mets en garde, vous m’aidez à m’échapper. »
Nora pose sa main sur mon épaule et je sens dans ce geste la vérité. Elle a peur. Les seuls moments où elle cherche un contact avec moi, c’est pour me rassurer ou pour se rassurer. Si elle pose aussi ostentatoirement la main sur mon épaule devant quelqu’un d’autre, c’est qu’elle se sent au supplice. Ses doigts s’enfonçant dans le replie de mon manteau sont une question.
« Qu’est-ce que tu en penses? »
Je me penche pour retrouver mon cendrier et je me tourne pour y écraser ma cigarette en me tournant vers mon amie. Je lève les yeux sur elle et je fais un léger geste du menton.
« Tu ne sembles pas la sentir. »
Elle se tord d’une légère grimace. Je retourne mon attention sur la nouvelle.
« Vous nous dites que l’Institut garde un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser et en échange, vous voulez qu’on vous révèle des informations sur une organisation ultra secrète. Je ne trouve pas que les plateaux de la balance sont très à niveau sur ce coup-là. C’est évident que l’Institut doit avoir un œil sur Nora depuis qu’elle a abattu un Courser! »
La jeune femme devant moi hoche la tête de compréhension.
« J’ai une liste de synthétiques infiltrés. Pour chaque étape que vous me ferez parcourir vers ma liberté, je vous révélerai un nom. »
Nora toussote.
« Désolé. Je ne crois pas que ça me soit utile. »
« Pas utile de savoir lequel de vos settlers vous vend dès qu’il aperçoit Deacon à Sanctuary? Pas utile d’empêcher les attaques groupées contre vos settlements chaque fois que vous essayez d’approcher l’Institut? »
« Alors là, je pense qu’on a une monnaie » que je soulève.
Et ma Silver qui grince des dents. Elle se lève et se dirige vers la porte.
« Je vais contacter le RailRoad. Nous discuterons de votre cas et ce que nous pouvons pour vous. Préparez votre liste et elle est mieux d’être avérée. »
« Ne doutez pas de ma bonne volonté. »
Nora se tourne vers elle une dernière fois, la main sur la poignée.
« Je n’ai pas besoin de douter ou croire. Si vous osez faire quoi que ce soit qui compromettrait la sécurité d’une personne à qui je tiens, je vous traquerai, je vous trouverai et je vous ferai supplier la mort de venir vous prendre. »
Elle sort sur cette dernière note oh combien joyeuse. Elle a de la prestance, la belle. Je souris quand la porte se referme, puis je me tourne vers l’autre demoiselle.
« En attendant, vous avez fait remarquer que vous promener au grand air ne vous ferait pas le plus grand bien. J’imagine que votre petit tour de magie pour apparaître où vous voulez est plutôt limité, sinon vous seriez apparu directement dans l’organisation, non? »
« En effet. Je ne pouvais me téléporter qu’à partir de l’Institut vers une destination enregistrée. Ne vous en faites pas, j’ai effacé mes coordonnés et personne ne peut savoir que je suis ici. »
« Mon agence est enregistrée? »
« Vous êtes un synthétique très connu. »
Je me renfrogne, me frottant le menton en réfléchissant.
« Je ne suis pas certain que ce soit une bonne nouvelle. Mais en attendant, j’ai cru comprendre que les Gen III sont plutôt similaires aux humains niveau besoin. Avez-vous faim? »
La belle s’étire quelque peu, étouffant un bâillement.
« Je vous avouerais que je viens de passer ces derniers jours à organiser mon évasion sans vraiment dormir. Je serais plutôt fatiguée. »
« Hmm. Je ne suis pas certain que Nora accepterait de vous loger au Home Plate, elle ne semble pas vous blairer. »
Je me lève et lui tends la main, l’invitant à me suivre. Mais plutôt, elle reste la main dans la mienne, me regardant dans les yeux.
« Je vous avoue que je la comprends. »
Je baisse mon regard sur sa main tandis qu’elle fait un autre pas vers moi, souriant légèrement.
« Hm. Je ne sais pas si le Dougout est un endroit idéal pour se terrer » que j’essaie de réfléchir.
« Les rues de Diamond City sont sous le contrôle d’un agent double de l’Institution. »
« Donc pas moyen non plus de vous faire évacuer vers Goodneighbor. Il ne reste qu’une possibilité. »
Je lève à nouveau les yeux pour rencontrer de très près les siens couleur du ciel. On pourrait s’y envoler.
« Même si je vous vois venir, je ne voudrais surtout pas vous incomber un tel fardeau. »
« C’est pourtant vous qui avez demandez. »
Son autre main se pose sur mon épaule, se rapprochant encore d’un pas. Je sens maintenant son souffle sur mon visage tandis qu’elle lève le sien, étant d’une taille légèrement plus petite à la mienne.
« Je vous suis donc obligée? »
« Je ne vous obligerais jamais à rien, ce serait une façon indigne de traiter une dame telle que vous. »
Elle entrecroise ses doigts avec les miens, rapprochant légèrement sa main de mon cou. Même si j’adore flirter pour le jeu, je trouve que celui-ci ressemble un peu trop à un jeu dangereux.
« Alors comment traitez-vous les dames telles que moi? » qu’elle me murmure à l’oreille en se levant sur la pointe de ses pieds.
De ma main de métal, je lui saisie le menton pour la ramener devant moi.
« Mademoiselle, je ne sais pas ce que vous pensez faire, mais je pense que vous perdez votre temps. Ce vieux synth n’est pas d’un bois qu’on peut enflammer. »
« C’est votre amie qui vous en a convaincu? »
« Plutôt mon vécu. »
« Quel dommage qu’on vous ai fait croire un tel mensonge. »
Cette fois, je peux sentir son corps brosser mon manteau tandis qu’elle se rapproche encore à ce qu’on pourrait dire plus de distance du tout, sa voix restant un souffle de tendresse qui pourrait presque m’y faire croire.
« Je vous l’ai dit, c’est la vie qui me l’a enseigné. Ce n’est pas un mensonge. »
« Laissez-moi vous prouver que oui. »
Elle ferme les yeux en refermant l’espace qui séparait ses lèvres des miennes, mais j’avoue que je suis un peu trop saisie pour répondre immédiatement. Lorsque sa main sur mon épaule vient se poser comme un voile sur ma nuque, je ne peux plus résister et je goûte ce fruit que je me suis interdit si longtemps. Le fruit se croque avec délice et devient immédiatement une folie des sens, son sucre coulant sur mes lèvres et sa chaleur se déversant dans mon corps comme si il était encore de chair et de sang. Ma main de métal vient immédiatement cueillir le creux de ses reins et je comble le peu d’espace qui pouvait encore exister en l’attirant à moi, complètement submergé.
« Fichtre… »
Je crois que ce sont mes dernières paroles, ce soir-là. En effet, j’ai pu étendre la belle dans mon lit, mais j’avouerais qu’elle y a très peu dormi. Plutôt, la professionnelle de la technologie de l’Institut m’a appris tout ce qu’elle savait sur la manière dont j’avais été conçu, et nous avons conçu ce que j’appellerais le triomphe de ma conception. Il serait sans dire que pour l’espace d’une seule nuit, je me suis sentit plus vivant que depuis toutes ces décennies depuis lesquels je parcours les terres désolées.
Alors pour répondre à la question d’Hancock, définitivement, j’ai de très nombreuses zones érogènes. Pour répondre à la question de Nora, je sais me servir de ma bouche pour autre chose que la dépiter. Pour répondre à ma question existentielle, je possède maintenant entièrement quelque chose qui m’appartient à moi, et à moi seul.
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Edition en français en très bon état général Paru chez BD Erogene en 2003 Urotsukidōji (超神伝説うろつき童子, Chōjin densetsu Urotsukidōji, littéralement Urotsukidōji, la légende du Chōjin) est un manga hentai de Toshio Maeda. Il a été prépublié dans le magazine Manga Erotopia de l'éditeur Wani Magazine et a été compilé en un total de six volumes. La version française a été éditée par BD érogène. Il a été adapté en six séries d'OAV entre 1987 et 2002. Amanojaku est un être mi-homme mi-bête qui a été banni sur la Terre à la suite de méfaits impliquant l'Ancien et sa fille Mimi. L'Ancien envoie Amanojaku sur Terre rechercher le Chōjin (littéralement : l'être suprême), le dieu invincible de la dimension des démons qui se cache dans le corps d'un humain. Un groupe de démons reptiliens veut trouver le Chōjin et utiliser ses pouvoirs sur l'ordre de la Reine des Démons. Guidés par Suikakujū, le rival de l'Ancien, ils montent une série de complots pour essayer de capturer le Chōjin (la plupart finissant très mal). #oiseaumortvintage #melodieensoussol #butindechine #retourdechine #librairie #libraire #librairiemarseille #librairieindependante #librairiedoccasion #librairieenligne #livresdoccasion #onlinebookstore #bookstore #livrerare #vintage #vintagebook #urotsukidoji #bderogene #toshiomaeda https://www.instagram.com/p/ChuTkiCsp7D/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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