So I recently took an amazing trip by car driving ALL the way from Houston, Texas out to Pittsburgh to spend this year’s Anthrocon with friends! There’s a LOT I have to share about the time on the road getting here and I will probably have a lot to still share going forward.
Why did I drive all this way? Who the heck even am I? I’m Draycu, and this is my first post ever on Tumblr, (I’m pretty dang sure at least) halito!! I’m moving here from Twitter after all the, ~stuff~, going on lately. To answer that first question, I wanted to grow and learn what it’s like to take a road trip in 2023 across the USA. There’s been a lot of changes I’ve gone through in the past, five years now? Change in career, changes to my family, and changes to my own body and sense of self.
I really want to share my experiences as best I can, show folks what it’s like doing something wild like packing your car and leaving for a journey of more than a thousand miles across so many different states and geographical regions! Hehe, I get a bit nerdy when it comes to travel too, and seeing the Appalachien Mountains was truly a magical experience to me. I’ve been a gal who’s lived her entire life in a place that’s mostly flat and lacks a lot of trees around the major cities. Seeing the steep roads and views in Pittsburgh has been INCREDIBLE and BREATHTAKING!!
Texas is also burning up a lot; my mom let me know the ac stopped working shortly after I left home. I’m glad I’m staying safe, and my friends have been really wonderful letting me enjoy the AC weekend!
So, I figure I’ll post stuff here, blog about my journey back home and exploration of the east coast back through the Appalachiens and down to the gulf coast of Mexico. (I miss the ocean and beach front a LOT)
Y’all can ask me stuff, I don’t mind! I’m not sure how many folks might come across my tumblr, but halito, (hello in choctaw language) and yakoke (thank you) for taking a look!
Here’s some more photos from my time at AC, it was WILD! (The guy covered by a poncho and armadillos is one of the awesome folks letting me have a place to stay while visiting Pittsburgh! His name is Kassc, lol)
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I think I joined the dsmp fandom mid covid, during my country's second lockdown, all because I saw a Technoblade animatic and had to know more about what the heck this all was.
When Minecraft first came out, I hated it because I was one of those dumbasses that hated things because they were popular. But now as I'm finally experiencing all the things I refused to experience as a kid because of that stupid idea, I don't think I've ever been happier.
I've made so many friends, I've been able to write more, I've improved on my art, all because I was stuck in a dorm room for nearly two years trying to figure out what the fuck was up with the dsmp lol. Kid me would've cringed but kid me needed get his head out of his ass anyways so who cares. I've had so much fun and I only regret not getting interested in the fandom sooner.
I'm still gonna keep writing and drawing, SBI is still my major focus at the moment but I might dip my toes into qsmp at some point in the future.
In anycase, thank yall for being the first fandom I've ever had the joy of interacting with, and thank you Technoblade for yeeting me into this maddening and amazing experience.
Yakoke ikana.
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LA PETITE HISTOIRE DE LA MONTRE LA PLUS CÉLÈBRE DU RAP
Déjà plus de 20 ans qu’elle s’exhibe aux poignets des emcees millionnaires...
« Partie intégrante de notre héritage, pièce iconique s’il en est, la Five Time Zone a initié une révolution en matière de design. Bien qu’elle ait depuis sa sortie abondamment inspiré la concurrence, elle demeure un sommet indépassable. Aujourd’hui encore, elle nous sert de référence pour nos nouveaux modèles. »
Cette rapide présentation traduite directement du site internet de Jacob & Co. résume plutôt bien ce qu’a été la Five Time Zone pour qui n’a pas connu cette incroyable époque qu’était le rap de la première partie des années 2000. Quand le mouvement s’est affirmé comme une force culturelle et commerciale incontournable... à l’écart des sentiers battus.
Tandis que les albums se vendaient sans forcer par millions (Nelly, Eminem, 50 Cent...) dans une ambiance où tout était à l’excès (les budgets des clips, les bijoux, les soirées...), une frontière bien délimitée séparait l’urbain du mainstream.
La musique n’était pas la même. Les publics n’étaient les mêmes. Et les codes en matière de mode n’étaient certainement pas les mêmes.
Si à l’heure actuelle, Cardi B, Travis Scott et Kendrick Lamar posent sans complexe pour Balenciaga, Alexander Wang ou Calvin Klein, au début du siècle, leurs homologues étaient allègrement snobés par les marques de luxe.
Quant à l’horlogerie, imaginer la moindre collaboration relevait de la science-fiction.
Née dans ce contexte, la Five Time Zone offrit pour la première fois aux rappeurs la possibilité de porter une pièce spécialement conçue pour eux, en phase avec leurs aspirations
Retour sur l’histoire d’une montre à l’esthétique des plus criardes qui a su concilier goût pour la flambe et libre entreprise, et qui, en 2023, de Drake à Pharrell en passant par A$AP Rocky, est toujours autant apprécié par les têtes d’affiche du game.
« It was all a dream »
1979. Débarquée d’Ouzbékistan, un pays d’Asie Centrale converti de force au communisme dans les années 20, puis intégré dans la foulée à la grande U.R.S.S., la famille Arabo s’installe dans le quartier du Queens à New-York.
Dernier de leurs cinq enfants, Yakov, 14 ans, comprend très vite que le seul salaire de préparateur de hot-dogs de son père ne suffit pas pour joindre les deux bouts. C’est ainsi qu’à 16 ans il déserte les bancs du lycée pour intégrer une formation de joaillerie.
Six mois plus tard, il prend la décision de se lancer en solo. Cinq ans plus tard, il ouvre à 21 ans sa propre échoppe en plein Manhattan, Jacob & Co..
Très vite, cette petite bijouterie de quartier commence à faire parler d’elle. Un peu à la manière de Dapper Dan qui à Harlem personnalise n’importe quel vêtement à coup de logos Gucci, Prada ou Louis Vuitton, Yakok Arabo, devenu entretemps Jacob Arabo, propose des bijoux uniques qu’il confectionne à partir de pierres précieuses dénichées aux quatre coins du globe.
Hasard ou coïncidence, en 1993, un évènement change le cours de sa vie : la chanteuse rnb Faith Evans franchit le pas de sa porte. Mariée avec Notorious B.I.G., la légende veut qu’après avoir flashé sur une bague, elle lui ait laissé un acompte de cinq dollars, puis lui ait promis que ce dernier passerait lui régler la différence.
Toujours est-il que lorsque le Big Poppa revient, il hérite pour l’occasion d’un surnom qui va lui coller à la peau, Jacob the Jeweler (« Jacob le Bijoutier »), mais aussi et surtout d’une toute nouvelle clientèle, celle des rappeurs et des rappeuses.
Un lieu de pèlerinage
Jusqu’à alors adeptes des chaînes en or, l’explosion des ventes pousse les rappeurs à se convertir aux joies du platine et des diamants. Finies les dookie chains à la Run-DMC, bonjour les customs à la Birdman ou Puff Daddy qui coûtent le prix d’une berline allemande.
Jacob a beau ne pas cultiver de lien avec le hip hop, animé par cette même mentalité de hustler, il comprend au fond mieux que quiconque les désirs et les attentes de ces nouveaux acheteurs – ses créations brillent de mille feux, elles sont uniques, et le cas échéant il accepte volontiers de fondre d’anciennes pièces pour en concocter de nouvelles.
L’association fonctionne d’ailleurs tellement, que lorsqu’un artiste signe en maison de disques, la coutume veut qu’il se rende chez Jacob the Jeweler pour se payer un caillou.
[Ou pour citer Kanye West sur Touch The Sky : « I went to Jacob an hour after I got my advance, I just wanted to shine »]
C’est ainsi qu’après une quinzaine d’années à fournir pendentifs, bagues et gourmettes en tout genre, Arabo comprend qu’il dispose d’une nouvelle une carte à jouer : plutôt que de « givrer » à tour de bras des Rolex, pourquoi ne pas plutôt accoucher de sa propre montre ?
En 2001, un premier modèle voit le jour, l’Angel, du nom de sa femme Angela.
Pour son second essai, en 2002, Arabo croise deux sources d’inspirations qui n’ont a priori rien à voir : la toute première montre que son père lui a offerte l’année de ses 13 ans et la vie de jet setteur de ses clients.
« Elle avait deux fuseaux horaires différents, deux mouvements différents et une carte du monde sur le cadran. Je ne l’ai jamais jetée. »
De là, lui vient tout d’abord l’idée de placer sur le cadran quatre sous-quadrants afin que quel que soit l’endroit où son propriétaire se réveille, il ait toujours la bonne heure, puis celle d’assortir ses couleurs aux couleurs bariolées des tenues des rappeurs (le rhinocéros Ecko, les virgules des Air Force, les jerseys des franchises sportives, les casquettes New Era, les peaux de pêche roses de Cam’ron...).
« Mes clients voyageaient constamment. Ils adoraient ajouter des diamants sur les lunettes de leur montre. Ils s’habillaient de toutes les couleurs possibles et imaginables, ils avaient besoin d’une montre qui aille avec leurs tenues. C’est pour ça que j’ai créé la Five Time Zone. C’était la première montre de voyage cool. Elle était large. Elle était colorée. Elle avait plein de diamants dessus. Et il y avait même des bracelets interchangeables. Personne ne faisait ça. »
La montre de la contre-culture
Reconnaissable entre mille grâce à son cercle bleu à l’heure de New York, son pentagone rouge à l’heure de Los Angeles, son triangle jaune à l’heure de Paris et son carré bleu royal à l’heure de Tokyo, la Five Time Zone est vendue dans sa version simple 5 500 dollars.
Son prix peut toutefois être facilement multiplié par dix au gré des personnalisations (taille du cadran, métal du boîtier, métal du fermoir, incrustation de diamants, bracelets en alligator...), un atout considérable dans la course à l’ostentation que se mènent alors les rappeurs.
Évidemment peut-on presque penser avec le recul, ne manquait plus que Jay Z pour booster sa visibilité.
Roi de l’horlogerie dans le rap, à en croire le très documenté compte Instagram @aintnojigga, le patron de Roc-A-Fella fut le premier emcee à avoir acheté une Five Time Zone.
Bon pote avec Jacob qu’il name droppait déjà en 1999 sur son single Girl’s Best Friend, il s’affiche notamment avec en 2003 lors de son fameux concert « d’adieu » au Madison Square Garden.
Dès lors, la mécanique de la hype s’enclenche, des rappeurs aux rich & famous, chacun s’affiche avec sa Five Time Zone (les mannequins Naomi Campbell et Gisele Bündchen, l’actrice Angela Bassett, le chanteur de U2 Bono, Paris Hilton...).
Résultat, sans piston, il faut parfois patienter jusqu’à six mois sur liste d’attente pour acquérir une Five Time Zone.
Une question de timing
Auteur de l’ouvrage Ice Cold. A Hip-Hop Jewelry History publié il y a quelques mois, Vikki Toba considère que ce raz de marée ne serait pas reproductible aujourd’hui.
« Cela n’aurait rien à voir. Hier, le rap regardait le luxe avec envie. Le luxe en retour méprisait le rap. Il y avait un vide à combler. »
Si à sa décharge un Jay-Z a entretemps passé des partenariats avec les très élitistes Audemars Piguet et Hublot, Jacob & Co. a toutefois su négocier plutôt habilement le défi des nouvelles générations, que ce soit en collaborant Nigo et Supreme, ou en jouant habilement la carte du revival auprès des amoureux des 00’s.
Cela sera-t-il suffisant pour permettre à la Five Time Zone de régner vingt ans de plus ? Seul le temps le dira.
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