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#éveil spirituel
annajojanisz · 10 hours
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Écouter / acheter: Réseaux sociaux et illusion de séparation de Annajo Janisz
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Retrouve sur son blog le podcast éveilleur du journal d’incarnation d’Annajo Janisz #8 sur les Réseaux sociaux et l’illusion de séparation. 
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aainaalyaa · 11 months
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“Soyez sélectif où que vous soyez sur les réseaux sociaux - ne vous laissez pas entraîner dans les cycles karmiques des autres — vous vous adressez à ceux avec qui vous socialisez.
— Mle. AainaA-Ridtz A R, Mille et Une Nuits
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Les Cercles de Lumière, c'est nul !
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Je ne sais pas
Je ne sais pas
(sous-titre : "Un lapin sur la lune")
Depuis bientôt 2 ans que je partage mes publications, ma Spiritualité sur ce groupe, j'ai fait un compte du nombre de fois que j'ai écrit "Je ne sais pas". Je laisse quelques secondes pour qu'un nombre arrive dans l'esprit : 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1. Le temps est écoulé.
Pour la réponse, mon traitement de texte m'indique que le nombre est de cent soixante-neuf, en fait, cent septante et un, avec le début de l'écriture de ce texte. Ces quatre petits mots ont été utilisés cent septante et une fois sur un total de cinq cent neuf mille cent trois, en fait non cinq cent neuf mille cent six, en fait non cinq cent neuf mille cent douze. J'ai volontairement écrit les nombres en lettres pour ne pas influencer la rapide visualisation du décompte. Je vais m'arrêter ici dans le décompte car plus j'ai écrit plus ce nombre augmente.
Par contre, j'ai écrit 459 fois "je sais", en fait 460 avec celui-ci. Je n'ai pas fait le "coup" du décompte pour trouver la valeur. Quand j'écris "je sais" (461), c'est pour indiquer que j'ai fait l'expérience de ce qui a suivi le "je sais" (462).
Pourquoi est-ce que j'écris sur "je sais" et "je ne sais pas" ? Comme je viens de l'indiquer quand j'écris "je sais", c'est que je sais que j'ai fait l'expérience de ce qui a suivi le "je sais". Je me répète pour bien amener à la Conscience que c'est l'expérience qui a été vécue qui a amené ce "savoir". Si je dis que je sais m'asseoir, c'est que j'en ai fait l'expérience même si je ne sais pas quand ceci s'est produit dans ma vie. SI je dis que je sais écrire, que je sais lire, c'est aussi que j'en ai fait l'expérience. Pour être correct, je devrais écrire "je ne sais plus" (utilisé que quatre fois avec celui-ci). Par contre, je sais que je ne sais pas chanter ou jouer d'un instrument de musique par exemple. C'est aussi l'expérience qui a fait que j'ai essayé de chanter et que je sais que je ne sais pas le faire. Par contre, chantonner, je sais le faire.
Tout ceci pour m'amener vers ces questions : "Est-ce que je sais que Dieu existe ?" ou "Est-ce que je crois que Dieu existe ?" (et me vient à la lecture que tout ceci va me permettre à un moment ou à un autre de finaliser le texte "La Conscience de Dieu", pas après pas). Si j'écris que je sais que Dieu existe, c'est que j'en ai déjà fait l'expérience. Toutefois (et non doutefois) si j'écris que je crois que Dieu existe, n'y a-t-il pas, comment dire, un doute, une remise en question, une croyance. Une croyance est, par essence même, limitante. Ou comme je l'ai déjà écrit, dans d'autres textes, elle est changeante, mouvante, ni vraie, ni fausse, ni réelle, ni irréelle. Ainsi, même si j'ai écrit que je ne sais pas chanter, je crois que je peux chanter "juste" un jour (bon avec un professeur de chant, il s'entend).
Aparté : à ce stade de l'écriture, j'ai l'impression que Raymond Devos me parle. Fin de l'aparté.
Donc, j'écrivais que je sais que Dieu existe et pourtant, je n'en ai pas fait l'expérience. En fait, je n'en ai pas fait l'expérience directe. En d'autres termes, je ne l'ai pas rencontré directement. Comme je l'ai écrit pour ma FOI, c'est un État d'Être que je ne sais pas expliqué avec des mots car il est "nécessaire" d'en faire l'expérience.
Pour illustrer mon propos, je vais mettre dans la "peau" d'un athée. Un athée n'est pas nécessairement quelqu'un qui ne croit en rien.  Un.e athée est une personne qui "nie" ou "rejette" l'existence de toute divinité ou entité Divine. Un.e athée n'adhère, généralement, à aucune religion. Pourtant, l'athéisme peut prendre différentes formes, de l'agnosticisme (dérivé du grec "agnôstos" signifiant "ignorant", lui-même dérivé de "gnostis" signifiant "connaissance" avec le préfixe privatif "a-") qui exprime "ne pas affirmer, ni nier l'existence de Dieu"(à retenir pour la suite de la lecture), à une conviction plus grande, voire ferme, en l'inexistence de toute divinité. Dit d'une autre façon, un athée fonde ses convictions sur des raisonnements logiques, scientifiques ou philosophiques plutôt que sur des dogmes religieux. Comme je l'ai précisé dans ce paragraphe, l'athéisme en soi ne constitue pas une croyance ou une doctrine particulière, mais plutôt une absence de croyance en Dieu ou en une puissance Divine.
Pourtant, quand je parle avec des personnes, je dis que je suis athée. N'est-ce pas paradoxal quand je dis que je sais que Dieu existe et que je suis athée ? Je suis athée vis-à-vis du Dieu des religions. J'ai déjà écrit sur les religions, ces histoires racontées par des hommes pour prendre le contrôle sur d'autres hommes.
Je reprends mon "costume d'athée" et je vais utiliser ce que l'on appelle : "l'inversion de la charge de la preuve". Késako ? L'inversion de la charge de la preuve est un concept juridique se produisant lorsque la responsabilité de prouver un fait ou une affirmation est déplacée de la partie habituellement chargée de la prouver vers l'autre partie. Normalement, la charge de la preuve incombe à la partie qui avance une allégation ou une demande. Cependant, dans certains cas, en raison de circonstances spécifiques prévues par la loi, la charge de la preuve peut être inversée. Cela signifie que la partie qui conteste ou nie l'allégation doit prouver que celle-ci est fausse.
Avec mon costume d'athée, je n'affirme pas que Dieu n'existe pas. C'est à celles et ceux qui croient en Dieu de prouver son existence et non à moi de prouver son inexistence. Âmie Lectrice, Âmi Lecteur, tu me suis ? Dit d'une autre façon : "Ne pas croire que Dieu existe" est différent de "Croire que Dieu n'existe pas". Si un petit mal de tête survient, pas de stress, je vais illustrer mon propos.
J'imagine que je rentre dans une pièce et que se trouve sur une table, un bocal rempli de billes de différentes tailles, de différentes couleurs, de différents motifs. Je précise que les billes sont en parfait état, de bien belles sphères sans aspérités. Dans ce bocal, le nombre de billes est soit pair soit impair. Puis quelqu'un me demande d'indiquer si le nombre est pair ou impair. Quelque part, il me demande de prendre position, de m'affirmer. Je regarde le bocal et, tant que je n'ai pas accès aux billes en déversant le contenu du bocal sur la table, je ne sais pas dire si le nombre est pair ou impair.
Si je dis que je ne crois pas que le nombre de billes est pair, est-ce que ceci veut dire que je crois qu'il est impair ? En voici une bonne question, n'est-il pas ? La réponse est : "Que nenni !", "Pas du tout !" ou "Absolument pas !". Tant que je n'ai pas la preuve en comptant les billes, tant que je n'ai pas eu d'indice de la part de celle ou celui qui les a mises, je ne sais pas m'avancer sur la parité ou l'imparité (si, si, ce mot existe) du nombre. Donc ma position est claire : "Je ne sais pas". Tout simplement, je ne sais pas.
Maintenant, si une personne entre dans la pièce et affirme que le nombre est pair ou impair, est-ce que je vais la croire "sur parole" ? Comme je le dis souvent, j'applique mon discernement. Je vais donc demander quelle est la preuve qui a permis de déclarer que le nombre est pair ou impair. La preuve ne pourra être établie qu'à partir du moment où un comptage des billes est effectué. Et je pousse "le bouchon plus loin", un double décomptage est à effectuer pour éviter une "tromperie".
Je retire mon costume d'athée.
C'est un peu la même expérience que le "Chat de Schrödinger" dont je pensais en avoir parlé dans un texte. Et bien, ce n'est pas le cas (et non le chas, tout dépend si l'on prononce le "ch" comme un "k" comme dans "Michaël"). L'expérience du "Chat de Schrödinger" est une expérience de pensée en physique quantique. Elle a été proposée par le physicien Erwin Schrödinger en 1935 pour illustrer certaines implications étranges de la théorie quantique. L'idée de l'expérience est la suivante : "Imaginez un chat placé dans une boîte hermétiquement fermée avec un dispositif quantique, comme un atome radioactif. Si l'atome se désintègre, cela déclenche un mécanisme libérant un poison et tuant le chat. Si l'atome ne se désintègre pas, le chat reste en vie".
Selon les principes de la mécanique quantique, avant d'ouvrir la boîte et d'observer, le chat existe dans un état superposé, à la fois vivant et mort. Ce n'est que lorsque l'observation est effectuée que l'état du chat se "réalise" en vivant ou mort. L'expérience illustre le concept de superposition quantique et la nature probabiliste de la réalité à l'échelle subatomique, où les particules peuvent exister dans plusieurs états simultanément jusqu'à ce qu'une observation les "force" à adopter un état spécifique (à la relecture, c'est le principe d'Heisenberg que j'avais explicité dans le texte "Et Maintenant ! Une page de publicités … spirituelles"). Cette expérience est une métaphore uniquement destinée à souligner les aspects théoriques de la mécanique quantique et n'est donc pas une expérience pratique avec un chat réel (ai-je entendu "pauvre bête" à un moment ?).
Cette expérience, du point de vue de ma Spiritualité, est une illustration métaphorique de la dualité et de l'incertitude inhérentes à la réalité matérielle. Elle suggère que tant que je ne suis pas pleinement conscient ou "éveillé", ma réalité existe dans un état indéterminé, oscillant entre des polarités telles que la vie et la mort, la lumière et l'obscurité, la joie et la peine, le tangible et l'intangible, le visible et l'invisible.
La boîte symbolise ma perception limitée de ma réalité, tandis que le chat représente mon essence spirituelle. L'expérience souligne que ma compréhension de la vie est souvent conditionnée par des perspectives limitées. C'est seulement à travers une prise de conscience spirituelle ou une expansion de la conscience que je peux transcender cette dualité apparente et accéder à une acceptation de l'UNité et de la "réalité" spirituelle qui transcende les opposés. En d'autres termes, l'observation spirituelle ou la prise de conscience conduit à la transformation de ma réalité de potentiel indéterminé en une expression claire et harmonieuse de la vie spirituelle.
Il en est de même pour l'existence de Dieu. Elle peut être comparée à l'expérience du "Chat de Schrödinger" aussi d'une manière métaphorique. La boîte représente le voile (le fameux "voile de l'oubli") qui obscurcit l'acceptation humaine de la nature Divine. Et la question de l'existence de Dieu peut être considérée comme étant dans un état indéterminé tant que l'Être n'a pas fait l'expérience directe de la réalité Divine. Dans cette perspective, l'existence de Dieu n'est pas simplement une question de preuves tangibles, mais plutôt une expérience personnelle et spirituelle. Oui, j'ai bien souligné "personnelle" car ceci reste, avant tout, mon expérience, qui n'est que mon expérience comme j'aime à la préciser. Avant cette expérience, la réalité Divine peut sembler à la fois présente et absente, tout comme le chat est simultanément vivant et mort avant l'observation.
Ainsi, ma spiritualité est que l'existence de Dieu peut être révélée par une recherche intérieure, une connexion spirituelle, une expérience mystique ou simplement une circonstance de la Vie. Elle va bien au-delà des limites de la perception sensorielle et de la raison pour accéder à une acceptation intuitive et directe de la présence Divine. Ainsi, la question de l'existence de Dieu peut rester dans un état de potentiel jusqu'à ce que l'Être fasse l'expérience personnelle de la réalité Divine.
(Michaël "Shichea" RENARD (20231122-1))
(Art Numérique : Bing Creator suivant mes directives)
(Musique lors de l'écriture : Bergman - 2023 - Embers)
P.S. : Pourquoi ai-je sous-titré ce texte "Un lapin sur la lune" ? J'affirme qu'il y un lapin sur la lune. En l'affirmant, est-ce que j'ai vécu l'expérience de voir un lapin sur la lune ou est-ce que je crois qu'il peut y avoir un lapin sur la lune. Soit je peux ne pas y croire, soit je peux prendre ce que je viens d'affirmer au pied de la lettre. Pourtant, je peux aussi répondre qu'un lapin ne pourrait vivre sur la lune et effectivement un lapin ne pourrait y vivre. Ce qui est vrai (encore "pauvre bête"). Cependant, en affirmant qu'il y a un lapin sur la lune, je sais qu'il y a des tâches sombres sur la surface lunaire pouvant être interprétées comme un lapin. Ce qui est vrai aussi. Dit d'une autre façon, il ne suffit pas que je le dise pour que ce soit vrai.
Saint-Anselme de Canterbury a écrit : “Dieu est l'Être tel qu'on ne peut rien penser qui le surpasse”. Que dire ? Ma réponse est : "Je …".
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dandanjean · 3 months
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annajojanisz · 4 months
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Reviens vers ton Essence en te reconnectant à ton cœur, ta véritable guidance. Les vidéos d'Annajo t'y invitent en douceur et en conscience.
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art-vortex · 8 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Équilibre Énergétique" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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chantalradiesthesie · 11 days
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Qui sont les Cercles de Lumière ?
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lesportesdelaudela · 1 year
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L'éveil de la solidarité
La solidarité est bien véritablement une loi naturelle sur les modalités de laquelle il importe, tout particulièrement, de retenir l’attention. Tous les êtres humains seront un jour forcés de suivre les règles qui découlent de la loi générale régissant la Création tout entière et l’étude attentive des modalités diverses de cette loi d’équilibre et de stabilité doit les conduire à la compréhension…
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Si l'on s'intéresse aux causes lointaines, la guerre d'Indochine n'a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S'emparer des esprits n'est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s'inscrivent dans le grand mouvement d'expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d'une religion radicalement étrangère à la tradition d'un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d'autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d'exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d'aujourd'hui, convaincus qu'ils sont d'apporter “la civilisation et le progrès” pour le bien de tous. Ainsi débute l'histoire équivoque de la colonisation qui, pour l'Indochine, ne devient effective qu'à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l'énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l'auto-culpabilisation. L'anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l'aventure coloniale de la France n'avait été qu'un moment particulier du grand mouvement d'expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n'y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l'envahissante supériorité technique et matérielle de l'Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s'occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l'ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu'elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. L'Inde constitue un cas à part dans la mesure où la colonisation britannique, n'ayant pas eu un effet de “table rase”, a laissé subsister une part notable de la tradition hindoue enracinée dans le système des castes. Pour la Chine et le Vietnam, il n'en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l'extérieur, par l'adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d'abord l'acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l'empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l'aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d'assumer tout en s'y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l'époque n'inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C'est en eux que se maintenait l'âme d'un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1.520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d'espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.
Dominique Venner
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